Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Siegfried Rosenfeld

Humain(e)

Oui, bien-sur qu'il profiterais du fait  qu'elle ait avoué ne pas connaître quelque chose, mais bien-sur, il n'était pas un connard fini, alors, il avait décidé de lui apprendre ce qu'il pouvait en si peu de temps.  Puis, après cela, il  fut un peu surpris, juste avant qu'elle ne le remercie, il put voir un sourire, mais, pas comme ceux qu'il voyait depuis tout à l'heure, plutôt proche de celui qu'elle avait lorsqu'elle l'attendait en regardant les oiseaux voler. Lui avait-elle vraiment sourit ? Sans jeu ni moquerie derrière ? Non, non, elle devait juste être très bonne comédienne se dit-il.

Il lui rendit donc un sourire lui aussi, continuant leur petit jeu avant de l'entendre parler de leur enseignant de l'église. La, son sourire  s’agrandit, presque crispé sous sa phrase car, peut être que pour elle  les banc du scriptorium avait été agréable, mais pour lui, cela avait  était un enfer, règle, tablette, écrire à s'en faire  saigner les mains et reprendre des coups pour avoir sali ses parchemins de son sang, non, tout ce qu'il avait apprit n'avait été que douleur.

"  Au vu de nos professeur, cela ne m'étonne pas"

Dit-il simplement, la jalousant un peu, imaginant très bien que mademoiselle premier de la classe avait dut être chouchouté pendant ses études au vu de son comportement " exemplaire ". Mais voila, après tout cela, ils avaient enfin trouvé les matériaux adéquat pour leur mission, sous le regard ravis de la jeune Doris qui rapidement s'occupa de les récupérer en leur disant qu'elle allait de ce pas apporter tout cela à son maître, les prévenant qu'elle revenait vite pour prendre leur mensuration. Il hocha simplement la tête à ses mots avant de lui dire, histoire de continuer le petit jeu

" C'est vraiment très gentil de votre part mademoiselle et nous ne vous remercieront jamais assez pour tout ce que vous faite pour nous. "

Puis, quand elle partie en arrière boutique, le sourire de l'exorciste disparu, venant alors avouer à sa partenaire quelque chose dont il était presque sure

" Nous n'aurons pas les bague ce soir mais demains soir."

Oh elle devait se demander pourquoi alors, n'ayant pas envie de faire de suspens sur ce coup là, il lui dit

" Je lui ais demandé pour ce soir parce que je connais sa façon de faire, toujours en retard, donc, soi on a de la chance et effectivement il nous les fait dans le délais demandé, sinon, comme je l'ai prévu, nous les auront demain soir. On recevra sûrement un messager en crois de journée si j'ai raison."

Puis, il se tourna de nouveau vers l'ouverture de l’arrière boutique,, pouvant entendre les pas impatient de l’apprentie revenir pour s'occuper d'eux.

Onyx Svart

Terranide

Après que la louve exorciste ait remercié son collègue, tout en lui avouant qu’elle préférait sa façon d’expliquer, contrairement à la façon d’enseigner au scriptorium, elle put apercevoir sur son visage un sourire des… Plus intriguant. C’était à peine visible, vraiment, mais, commençant finalement à s’habituer à lui, à apprendre à le connaître à force de le détailler et travailler avec lui, elle repérait des choses chez lui, forcément. Et ce sourire était étrange, il lui semblait cacher quelque chose d’à peine visible.

Et sa réponse, aussi simple qu’à son habitude, lui laissant entendre quelque chose d’imperceptible, ses oreilles tressaillant doucement sur sa tête, son sixième sens s’y mettant même, lui soufflant que quelque chose était étrange dans tout ça. Elle ne savait pas quoi, mais…Elle ressentait quelque chose. Et au vu de ce qu’elle avait pu voir avec certains lors de son apprentissage, l’enseignement pouvait être sévère, trop sévère même. Bon, ce n'était pas ses affaires de toute manière, même si une part d’elle était intriguée, voire peinée à l’idée que ce genre d’enseignement est put être réservé au grand brun. Bon, c’était pas le moment de penser à ça, puis de toute façon c’était pas ses oignons, donc hop hop hop ma grande, hoche la tête pour approuver ce qu’il dit, sourit pas trop mais garde ton sourire quand même et que le spectacle continue !

Puis le cinéma reprit là où il en était. Le choix des matériaux avant été fin, au grand soulagement de l’apprentie vendeuse, qui ne manqua pas de s’emballer et de tout faire comme il faut, afin de combler les envies de ce petit couple de clients qu’elle ne souhaitait pas voir partir chez la concurrence. Et alors que Doris s'apprêtait à se sauver dans l’arrière-boutique, les derniers mots que lui adressèrent Siegfried vinrent illuminer son visage ravi, touchée, attendrie et émue à souhait.

« Ho mais je vous en prie monsieur, c’est bien normal ! C’est un des plus moments de sa vie, le mariage, je me dois de tout faire en mon pouvoir pour que vous soyez comblée et en garder un bon souvenir.  »

Et après un sourire des plus émue, l’apprentie vendeuse fila très vite, les laissant donc seuls tous les deux un moment. Et pendant cet instant, Onyx avait reporté son regard vers Siegfried, l’écoutant de nouveau avec grande attention quand il lui affirma qu’ils n’auront pas tout cela pour ce soir. Et avant qu’elle ne puisse ramener sa fraise et lui demander comment il savait ça, il la devança, venant donc lui dire le pourquoi du comment.

À ses mot, la belle louve hocha doucement la tête, mais ses oreilles se mirent à tressaillir sur sa tête, la poussant à tourner sa tête en même temps que son binôme vers la porte de l’arrière-boutique, de laquelle ils purent voir Doris sortir toute guillerette, avec un nouveau plateau en main.

« Me revoilà ! Si vous voulez bien préparer vos mains droites s’il-vous-plaît, afin que je prenne les mesures de vos annulaires droits ! »

Dit l’apprentie vendeuse joyeusement, un beau sourire commercial aux lèvres, avant de faire signe un tête à la louve.

« Honneur aux dames, si monsieur veut bien ! Approchez vous madame, que je puisse prendre les mesures pour votre alliance qui vous unira à votre chère moitié. »

Les oreilles de la noirette se dressèrent sur sa tête à ses mots, ses yeux étants grands ouverts, alors qu’elle s'efforçait de ne pas s’étouffer et garder son timide mignonnet sourire d’épouse toute sage, sous les yeux sûrement amusé du beau brun à ses côtés qui devait s’en amuser. Faisant mine d’être gênée et tousser légèrement pour se dégager la gorge, la louve hocha timidement la tête en souriant, s’approchant sans un mot jusqu’au comptoir pour tendre sa main droite à Doris. Et là, l’apprentie vendeuse se saisit délicatement de la main d’Onyx, venant passer son maître autour de son annulaire, tout en s'extasiant d’admiration.

« Ho ! Vous avez vraiment de très belles mains, toutes fines et légères. Puis vous avez des doigts fins et délicats, élancés aussi ! Puis cette blancheur de peau… Et la douceur de votre peau… On dirait des mains de princesse ! »

« … C’est gentil… Merci…  »

« Mais ne soyez pas si timide ! Puis, c’est vrai, je ne dis pas ça seulement pour vous flatter ! Vous avez de très belles mains, elles sont très nobles ! Puis vous avez une peau de bébé, si fine et presque translucide, d’une douceur… C’est monsieur qui va être aux anges après le mariage ! »

S’exclama Doris tout sourire en regardant la belle louve, avant de se retourner vers Siegfried en lui adressant un beau sourire tout en riant doucement, amusée, avant de reporter son regard vers Onyx. Puis, après cette séance de compliments, l’apprentie vendeuse se concentra sur son travail, terminant de prendre les mesures de l’annulaire droit de la belle louve, venant à prendre des notes de tout ça sur un papier sur le plateau.

« Mmmmh… C’est bon pour madame, même si je dois avec regret lâcher votre main, maintenant, je dois prendre les mesures de monsieur ! »

Un rire gênée de la part de la louve, un rire amusée de la part de la vendeuse, puis Doris relâcha la main d’Onyx, qui remercia la jeune femme d’un muvement de tête, avant de se sauver mine de rien loin du comptoir. Puis, l’apprentie vendeuse jeta son regard vers Siegfried, lui adressant un beau sourire tout en lui faisant signe de la tête de s’approcher, afin qu’elle s’occupe maintenant de lui, sous les yeux de son épouse. Ce qui attira la curiosité de la jolie brunette, curieuse de savoir si le grand brun allait avoir droit à tout un tas de compliments gênants (pour elle, ça l’était en tout cas, surtout certains comme les mains nobles) et comment il allait gérer ça.

Siegfried Rosenfeld

Humain(e)

Il continuait donc d'écouter la jeune apprentie en jouant les parfait client et époux, souriant sous ses mots, l'entendant lui prouver qu'il avait bien réussi à se la mettre dans la poche. Elle était donc revenue pour demander leur mains afin de prendre leur mesure. Bien-sur, quand elle leur dit honneur au dame, il s’écarta du comptoir en venant reculer d'un pas, regardant la louve avant de lui offrir une révérence en l'invitant d'un signe de la main vers le comptoir

" Ma chère et tendre."

Dit-il alors, attendant impatiemment de voir la réaction de la vendeuse à tant de galanterie, aussi fausse soit-elle. Puis, redressé, se fut à son tour d'attendre, jetant un œil un peu autour de lui avant de la regarder travailler. Bien-sur qu'il avait vu Onyx manquer un saut sous les paroles de Doris et, son sourire en coin alors qu'il regardait ailleurs trahissait bien ses pensées, se foutant royalement de sa gueule sous les gros yeux qu'elle avait fait. Puis, il la regardait, enfin, regardait ses mains être manipulé, écoutant les réflexions de la vendeuse sur ces dernières, en émoi devant cela, ne tarissant pas d'éloge. Et, regardant alors lui aussi plus attentivement les mains de la louve, oui, il les trouvait fine, gracieuse, elle lui paraissait douce comme un duvet et délicate comme la soie, mais il sortie vite ses pensées de sa tête, ne voulant pas penser à bien, non, préférant ce dire que cela prouvait ce qu'il pensait d'elle, une jeune femme n'ayant jamais mis les mains dans la crasse, ayant toujours été chouchouté, voir meme ayant toujours trouvé quelqu'un pour faire ses basses besogne, venant meme à ce dire que sur ce coups là, c'était lui désormais qui se retrouvait à cette place.

Mais après, l'apprentie osa faire un petit trait d'humour osé,, prouvant qu'il avait réussi à lui donner confiance en eux, car parler de nuit de noce à des inconnues n'était vraiment pas professionnel.

Lorsqu'elle eut fini de prendre ses mesures, et, invita Siegfried à prendre place, il lui répondit

" Attention Mademoiselle, je vais finir par me méfier de vous en me demandant si vous n'essayez pas de me subtiliser ma fiancée."

Dit-il en plaisantant, alors que dans sa tête, il se disait surtout " oui, va y, embarque la avec toi que j'en sois débarrassé." Il vint ensuite tendre sa main droite sur le comptoir, contrastant alors totalement avec la main de la louve. Ses mains était grande, large, entre fine et épaisse. Elles étaient usée, vieilli, des cales sous les doigts et des égratignure sur ses phalanges montrant qu'il s'en servait quotidiennement. Il se demandait alors, qu'est ce qu'elle allait bien pouvoir lui raconter la dessus.

Onyx Svart

Terranide

Évidemment, un tel homme si galant et si attentionné envers sa fiancée, l’apprentie vendeuse en était totalement admiratif et attendrie, se disant que la belle louve avait bien de la chance d'avoir trouvé une telle perle. Heureusement que la jolie brunette ne savait pas lire dans les pensées, sinon elle aurait encore manqué de s’étrangler ! C’est donc sous le regard emplie d’émotions qu’Onyx s’approcha du comptoir, remerciant d’une révérence timide et d’un beau sourire son cher époux pour l’inviter à prendre place, ce qui ne manqua pas d’émouvoir davantage cette chère Doris.

Une fois près du comptoir, la louve exorciste se fit complimenter les mains, pour ne pas dire qu’elle se les étaient faites peloter même par cette apprentie vendeuse en admiration ! Bon bon bon, la demoiselle aux grandes oreilles avait pris sur elle, se contentant de sourire, d’être gênée, même si sa gêne n’était pas totalement jouer sous tous les compliments de Doris. Oui, elle était incroyablement gênée, pas au point de rougir, mais cela l'embarrassait tout ces compliments. Des mains de nobles… Ça n’arrêtait pas de lui tourner en boucle dans la tête, la ramenait à des choses qu’elle voulait à tout prix oublier. Et pourtant, elle avait de la chance d’avoir de telles mains, vu tout ce qu’elle avait dû faire depuis des années, travaillant comme une acharnée dans toutes sortes de métiers, souvent du très manuel malgré que c’était une donzelle. Puis, tout ce qui était ménage, plonge, manutention, etc. On s’y cassait des ongles, on n’arrêtait pas de se blesser, on avait la peau abîmée par tous les produits et à force d’astiquer… Ouais, pas vraiment des boulots où ses mains ont été épargnées. Mais elle a pu les préserver en y faisant attention, en leur faisant souvent des soins et massages, veillant à ne pas trop les abîmer, juste… Comme ça en fait, parce que ça lui paraissait normal d’y faire attention comme au reste de son corps d’ailleurs. Dans un sens, si elle ne s’occupait pas d’elle, personne ne le fera, donc, c’était logique pour elle de s’occuper d’elle.

Mais donc, après ce moment fort gênant en tout point, la brunette fut soulagée d’être enfin libérée, alors que le tour de son futur époux fut appelé. Et là, tout comme lui un peu plus tout, elle fit une petite révérence pour l’inviter à prendre place, se contentant d’un beau sourire plutôt que de mots, tandis que Doris l'invitait donc au comptoir. Et là, les mots que Siegfried adressait à l’apprentie vendeuse ne manquèrent pas de la faire réagir, faisant rire cette dernière aux éclats. Comprenant que la situation l’exigeait, la noirette ria donc elle aussi, plus discrètement, venant même à jouer un petit peu juste pour enrichir la scène.

« Ho non ! Je refuserais de te quitter, même pour tous les compliments du monde ! Il n’y a que tes mots et ta voix qui arrivent à me faire chavirer mon coeur, mais pas seulement. »

Et voilà, une apprentie vendeuse encore aux anges, comblée par ce mignon petit couple comme on en faisait plus. C’est donc ravie et amusée que Doris sourit aux deux jeunes gens, venant prendre la parole tout en préparant son maître.

« Allons monsieur, n’ayez crainte… Même si je le voulais, je ne pourrais pas vous voler votre fiancé… Elle a visiblement d’yeux que pour vous, à tant vous regarder comme elle fait, vous admirant même quand vous ne la regardez pas. »

… Attends, quoi ? Quoi quoi quoi ? Qu’est-ce qu’elle raconte l’autre là ? Attends… Elle avait passé son temps à les zieuter tellement durant tout ce temps, qu’elle a même fait gaffe au moment où Onyx regardait Siegfried quand il regardait ailleurs, notamment quand il parlait ou scrutait les plateaux tout à l’heure ? Mais… Ferme ta grande bouche ! Oui, tais-toi, plus un mot, chuuuuuuuut ! Il va s’imaginer des choses l'autre et va m’emmerder avec ça ! Raaaaah, non non non ! Il avait déjà assez de choses comme ça pour l’emmerder pour le restant de leur mission, alors lui donne pas d’idées en plus ! Mais heu ! C’était son destin ou quoi ?

Merci Doris, ha vraiment, merci ! Tu lui a donné du grain à moudre encore ! C’était trop aimable ! Bon, c’est pas grave. La belle louve se contenta de sourire toute timide en riant, gênée, faisant son épouse timide et amoureuse prise sur le fait, jouant avec le bas de sa robe toute embarrassée, jouant donc le jeu quoi, puisqu’il n’y avait rien à faire d’autres à cause de la révélation de l’apprentie vendeuse qui sourit attendrie en voyant cela, avant de retourner à son travail. Son maître donc en main, Doris reporta son attention sur la main de Siegfried, venant regarder attentivement sa main droite, tout en lui faisant une flopée de commentaires à lui aussi.

« Ho ! Vous avez une main bien large, et très grande aussi, une belle main virile comme on dit. Et… Vous avez la main pas trop épaisse ni trop fine, c’est plutôt bien équilibré. Vous n’avez pas les mains trop efféminées, ni trop mastoques, c’est très joli chez un homme ! »

S'exclama Doris avec enthousiasme, tout en prenant ses mesures ainsi que ses notes, poursuivant ses commentaires.

« En revanche, contrairement à votre fiancé…Vous avez les mains…  Égratignées… On voit que vous travaillez beaucoup de vos mains, qu’elles ne sont pas méningées… Des mains de manuels… Mais, elles sont très belles aussi je trouve ! Et quand on passe la main dessus, on sent qu’elle pourrait être douce, car vous avez un grain de peau assez fins et délicats… Vous devriez en prendre soin, je vous assure, il faudrait de peu pour les rendre douce. »

Terminant de prendre ses mesures et de les noter, l’apprentie vendeuse rangea son maître ensuite sur son plateau, libérant donc la main de Siegfried en lui adressant un beau sourire, avant de plaisanter aussi avec lui.

« En tout cas, votre femme sera ravie aussi après les mariages avec de telles mains ! D’ailleurs, si je serais vous, je demanderais à ce qu’elle me masse les mains avec les siennes ! Ça doit être très agréable, puis, ça serait une manière de prendre un peu plus soin de vos mains des petits massages ! Et c’est encore mieux quand c’est fait par sa moitié ! »

Onyx ouvra de grands yeux à ses mots, les clignant plusieurs fois. Non, lui donne pas des idées… J’ai pas envie de me retrouver à lui masser les mains en plein dans la boutique, car je suis sûre que c’est le genre d’idée tordue qui pourrait naître dans sa tête juste pour m’emmerder. Et là, alors que Doris récupéra son plateau toute contente, elle jeta un regard au petit couple, attendant une réaction ou un mot de leur part, sûrement avant qu’ils ne tardent à se quitter, vu que les mesures étaient finies maintenant.
« Modifié: jeudi 19 juin 2025, 22:43:23 par Onyx Svart »

Siegfried Rosenfeld

Humain(e)

La louve continuait bien son petit jeu, ça il pouvait le reconnaître, elle savait suivre le rythme, même si, à certain moment, il avait bien vu qu'elle avait eut quelques couac, mais qu'elle s'était suffisamment bien rattraper pour que l'apprentie n'y voit que du feu. Il s'amusa beaucoup de sa réponse, mais, ce qui l'amusa le plus fut celle de l'apprentie. Oh son regard s'illumina, tournant sa tête en sa direction en ayant entendu qu'elle le regardait quand il avait le dos tourné, ou, sous l'impression de Doris, l'admirait.

Oh il avait un sourire jusqu'aux oreille en sachant très bien que la chère Onyx allait sûrement vouloir la tuer pour avoir dit cela, mais, il n'était pas dupe, pour lui, elle devait sûrement plus lui casser du sucre mentalement sur son dos.

" Vous m'en voyez des plus rassuré."


Dit-il simplement en posant cette fois sa main sur le comptoir afin d’être à son tour pris en compte dans les mesure. Il eut droit à ses commentaires lui aussi, parlant de l'état de ses mains, lui disant qu'il devrait essayer d'en prendre soin, car, d’après elle, elle pouvait sûrement être des plus douce. Et puis quoi encore se dit-il ? Elle devait vraiment être beaucoup trop aux anges à cause de leur numéro pour penser cela. Il ne voyait pas la possibilité d'avoir des mains douces, les entretenir ? Les masser ? Pourquoi ? Pour lui ? Une perte de temps se disait-il, il finirait dans un caniveau ou au fond d'une cave, alors que ses mains ou meme lui, soi beau et propre, il n'en voyait pas d’intérêt, tout ce qu'il comptait c'est qu'elle puisse fonctionner.

Mais bien-sur, il n'en dirait rien à la jeune femme, souriant simplement en faisant croire que ses paroles l'amusait. Puis, sous ses dernières parole, il ne put se retenir de regarder Onyx, très amusé par la proposition que lui faisait l'apprentie de masser les mains de son marie. Oh cela lui avait effleuré l’esprit de tenter cela à l'instant, de faire d'autant plus grincer des dents la jeune louve, mais, il décida que non. Les seuls personnes qui voudrait le masser étaient celle qu'il paierait, ça, il en était sure et, cela lui fit un instant de vide dans son torse, laissant un sourire paraissant triste avant de se ressaisir, se forçant à l’égayer de nouveau en se retournant vers l'apprentie.

" Je vous remercie grandement pour cette proposition, je n’hésiterais pas à le lui demander son aide pour cela lorsque nous seront tranquillement installé chez nous."

Puis, il attendit que la demoiselle est bien fini de prendre ses mesures avant de retirer sa main. Maintenant que tout était réglé, il pouvait donc repartir, venant faire une révérence devant la demoiselle avant de reprendre la parole.

" Nous vous remercions encore énormément pour votre aide et vos conseils et, nous vous souhaitons donc une bonne journée. Nous n’hésiterons pas à parler de vous à nos connaissances."

Puis, il se mit à fouiller dans la poche de son pantalon, venant en tirer quelques pièces d'argent en venant les glisser vers la demoiselle, se penchant sur le comptoir en lui chuchotant

" Pour votre travail exemplaire, mais surtout n'en parlait pas à votre maître."

Clignant alors de l’œil sous ses derniers mots avant de reculer. Oh il savait que s'il l'apprenait, Manfred allait l'insulter et le maudire de tout les noms, cela le faisait rire rien que d'y penser d'ailleurs. Ensuite, il marcha donc vers la porte d'entrée, l'ouvrant au son de la petite cloche avant de faire le dernier geste du parfait fiancée, invitant Onyx à passer la première en lui tenant la porte. Quand il furent enfin sorti, il était temps de faire tomber le masque, son sourire disparaissant d'un coups, reprenant un visage neutre, presque froid avant de reprendre la parole

" Bon, ça c'est fait, plus que le reste des ingrédient et ensuite les tatouages."

Onyx Svart

Terranide

Ho oui, elle l’avait vu son beau sourire jusqu’aux oreilles, tout content d’apprendre qu’elle le regardait, tout ça, grâce à la grande bouche de Doris hein ! Merci chérie ! Raaaah… Bon, pas grave, c’était fait, restait plus qu’à espérer qu’il ne l’emmerderait pas avec ça plus tard. Mais la suite aussi était pleine de surprise avec cette apprentie vendeuse ! Ha vraiment, c’était une perle celle-là… Elle ne manquait pas une occasion pour l’ouvrir et lui donner quelques idées hein ! Ils étaient de mèche ou quoi ?! Non, pas possible… Ça, c’était pas possible… Bah, le hasard, il avait vraiment un drôle d’humeur ce petit… Ahem ahem, ce petit chenapan ! Maintenant, cette chère Doris suggéra l’idée que la louve masse les mains de son futur époux. Mais vas-y, tant que tu y es, suggère lui que je lui fasse une petite danse hein !

La pauvre louve était vraiment mise à rude épreuve dans ce petit théâtre, mais vraiment. Bon, comme d’habitude, petit sourire gêné, petit rire embarrassé et aller, on retourne jouer un peu avec les cheveux, jouant la petite épouse timide embarrassée de parler de cela. Et cela fonctionna parfaitement auprès de Doris, qui souriait attendrie en regardant les deux époux. Mais, la jolie brunette avait remarqué, encore, quelque chose qui l’avait intriguée un court instant chez son cher binôme quand il s’était retourné pour la regarder très amusé par l’idée de l’apprentie vendeuse. Mais, durant un instant, très brève, elle avait pu voir son air amusé laisser place à un sourire… Triste ? Oui, elle en était sûre, c’était ça. Et alors que le beau brun retourna la tête aussitôt, devenant guilleret soudainement, la petite noirette se posait des questions. Pourquoi ? Qu’est-ce qui l’avait rendu comme ça ? Même si ce n'était pas le grand amour entre eux, ça lui faisait de la peine d’avoir vu ça, et, ça lancer son cerveau à se poser mille et une questions du pourquoi du comment. Quelle plaie d’être observateur, c’était parfois compliqué, comme là.

Mais ce petit instant de questionnement alla se mettre dans un coin de la caboche d’Onyx, retournant à l’instant présent et continuant d'observer la scène de théâtre se jouer, attendant patiemment que cela prenne fin. Et cela ne tarda pas, voyant Siegfried remerciait l’apprentie vendeuse pour son travail, venant à terminer d’un coup maître en lui donnant quelques pièces d’argent en jouant le client complice, ce qui fit mouche et séduisat totalement la jeune femme. Oui, il était doué, la belle louve le reconnaissait, il était vraiment doué dans l’art de la comédie, qu’on s’y croirait presque. Même elle, elle y aurait crû à ses petits mots doux qui lui avait fait un petit quelque chose, mais voilà, ça aurait marché seulement si elle ne savait pas que c’était du chiquet et si elle ne connaissait pas tant le personnage. Bien entendue, elle vint elle aussi remercier chaleureusement la vendeuse, venant s’incliner toute timide en la saluant, un sourire aux lèvres des plus émues et comblées.

« Merci, mille fois merci… Grâce à vous, nous pourrons enfin sceller notre amour… Vraiment, vous avez été extraordinaire et si adorable… Merci beaucoup mademoiselle.. »

Ho, l’apprentie vendeuse était aux anges avec ce petit couple si polie et adorable, oh oui ! Elle souriait émue, les larmes aux yeux presque tant elle était heureuse d’avoir pu les aider. Parfait, il n’y avait plus rien à ajouter, ils avaient même réussi à lui couper le sifflet, ha enfin ! Ça lui évitera de dire une énième bêtise avant qu’ils ne sortent. C’est donc dans un silence, saluer à plusieurs reprises en entendant des petits bruits de larmes retenues, qu’ils purent se diriger vers la sortie. Et afin de clore le clou du spectacle, Doris put assisté à toute la galanterie du gentil époux envers sa timide épouse, venant lui tenir la porte pour qu’elle sorte avant de lui, alors qu’elle le remercia d’une tendre sourire timide, avant de sortir suivie par lui.

Ça y est, les rideaux étaient tombés, et comme au théâtre, les acteurs retrouvaient leurs identités. Et donc, une fois dehors, Onyx reporta son regard vers Siegfried, le voyant tirer la tronche comme à son habitude, tout en venant annoncer la suite.

« En effet ! Prochaine étape, direction le quartier des alchimistes. »

Après cette affirmation de la part de la louve, ils reprirent leur marche, en silence. Quittant donc le quartier des joailliers, ils finirent par arriver au quartier des alchimistes. Là, ils avaient besoin de craies magiques, de poudres rituelles et de pigments alchimiques, afin d’avoir les bons ingrédients pour les types de traçages et cercles qu’ils allaient devoir faire.

Ils se procurèrent donc assez rapidement ce qu’ils cherchaient, la demoiselle aux grandes oreilles poilus allant et venant dans tous les rayons, réglés comme une horloge, sachant tout ce qui fallait prendre. Et là, ils prirent donc des craies de charbon noir pour absorber les flux destructeurs, de la poudre de sel noir pour renforcer les barrières protectrices des cercles et des pigments d’or rouge pour forcer le démon de la destruction à se soumettre. Pour le démon de la luxure, ils trouvèrent des crais de sel blanc purifié pour disiper l’aura envoutante du démon, de la poudre d’argent pour neutralisser les envoutements et des pigments de nacre blanche pour renforcer la puissance des incantations de purification. Puis, pour les encens, ils avaient déjà ce qui leur fallait, donc pas besoin de s’encombrer de plus.

Une fois les emplettes finies, ils se retrouvèrent de nouveau dehors. Mais cette fois, pas besoin de coup de théâtre ou d'entourloupe, hormis quelques sourires et quelques battements de cils de la part de la louve pour négocier le prix, vu tout ce qu’ils avaient pris. Surtout les poudre de métaux et de pierre, qui n’étaient pas donné il fallait avouer, donc une petite négociation s’imposait, surtout pour éviter de faire raler son charmant binôme. Donc, un peu de charme, sans promettre quoi que ce soit, juste en faisant quelques compliments par-ci et là, et le tour était joué ! Ils avaient eu une belle ristourne !

« Bon, maintenant qu’on a les ingrédients… On fait quoi ? Tu veux qu’on s’occupe des tatouages ? »

Demanda Onyx en reportant son regard vers Siegfried, le sac de courses dans ses bras presque enlacer, sa tête légèrement penchée qui faisait passer quelques unes de ses mèches de cheveux devant ses yeux, un sourcil haussé et un regard attentif, tout en attendant sagement une réponse ou un signe de sa part à sa question sur la suite des événements.
« Modifié: vendredi 20 juin 2025, 01:20:17 par Onyx Svart »

Siegfried Rosenfeld

Humain(e)

Il hocha simplement la tête sous son annonce d’aller chez les alchimiste, prenant alors tout de suite le pas, ne voulant pas s'attarder à tout cela, ne voulant pas perdre de temps, car, ils en perdraient forcément lorsqu'ils devraient se mettre en planque pour attendre qu'un rite soit initié.

Cette partie la fut longue, très longue à son goût, pouvant voir sa partenaire faire les courses qu'ils avaient besoin sans que lui n'ait le temps de dire quoi que ce soit, dans un sens, tant mieux. Au moins, elle connaissait quoi prendre, par contre, leur bourses allaient vraiment être vidé par tout cela, même si, il ne se l'avouerait qu'à lui même, les talents d'Onyx ou surtout sa beauté, aidèrent bien à réduire les prix.

La matinée était donc bien entamé, midi pointant le bout de son nez quand il eurent enfin fini d'acheter tout ce dont ils avaient besoin. Là, la demoiselle se mit à lui demander si il était temps de s'occuper de leur tatouages, ce à quoi il hocha la tête positivement.

" Autant s'en occuper maintenant oui."

Lui jetant un regard rapide à ce moment là, finissant par ajouter

" J'ai tout le matériel dans ma chambre d'auberge."


Puis, il ne lui laissa pas vraiment le choix de protester d'y aller ou non, se mettant en route. Il leur fallut une bonne heure de marche pour arriver dans un quartier populaire et, entrer dans l'auberge où il séjournait. L'aubergiste, lui, était aussi aimable que Siegfried, ne jetant qu'un simple coup d’œil amplis de jugement dans leur direction sans dire un mot. Une fois arrivé à sa chambre, Siegfried ouvrit la porte, mais jeta d'abord un regard au sol avant d'entrer. Il avait laissé une ligne de farine sur le sol ainsi que du sel, mais, aucune d'elle n'avait été abîmé et aucune trace de pas  blanche n'avait apparu sur le parquet. Alors, évitant de marcher dessus, il entra donc, venant se débarrasser de son sac, ainsi que de son manteau sur son porte manteau avant d'aller fouiller dans le reste de ses affaires.

Sans dire grand chose pour le moment, il dit en venant s'installer au vieux bureau se trouvant dans la chambre, déposant plusieurs ingrédient, un pilon et un mortier ainsi qu'un livre et des flacons.

" Fait comme chez toi le temps que je prépare tout ça."

C'était plus pour ne pas à l'avoir au dessus de son épaule à regarder ce qu'il faisait plutôt que par politesse, mais, quand meme un peu aussi. Là, il suivait les instructions de son manuelle préférant être sur de soin travail plutôt que de travailler de mémoire, broyant essence et plante, mélangeant pigment et liquide afin de créer une " peinture " pour leur tatouage. Il était silencieux, concentré, méthodique, précis, son regard fixé sur son travail, oubliant tout ce qu'il pouvait y avoir autour. Puis, au bout d'une dizaine de minutes, la solution était presque terminé, la faisant doucement chauffer au dessus d'une bougie avant de dire à Onyx

" Bon, il va falloir faire trois tatouage sur nous, tu préfère commencer par lequel ? la destruction ou la luxure."

Se tournant alors pour la regarder, attendant de savoir ce qu'elle choisirait.

Onyx Svart

Terranide

En entendant Siegfried lui confirmer qu’ils allaient s’occuper des tatouages maintenant, Onyx hocha simplement la tête, s’attendant à ce qu’il ne lui accorde pas un regard comme d’habitude, et alors qu’elle s’apprêta à redresser sa tête et détourner son regard de lui, elle se retrouva à le croiser brièvement tout de même. Ça l’avait un peu surprise même, mais, elle n’en laissa rien paraître, à part quelques clignements de yeux rapides en le regardant. Et alors qu’il lui rappela qu’il avait tout le nécessaire dans sa chambre pour cela, au lieu de lui répondre « Je le sais grand nigaud, tu me l’as déjà dit ce matin. », la belle louve se contenta d’hocher doucement la tête de nouveau.

Mais, elle n’eut point le temps de dire quoique ce soit de toute manière, car, aussitôt monsieur exprimé, aussitôt il filocha sans rien dire. Nan mais ho ! Pas la peine de courir hein ! En plus, c’est pas du jeu, avec ses grandes jambes là le géant, il allait plus vite qu’elle ! Raaaaaah, elle aurait dû le traiter de grand nigaud, ça lui apprendra à être gentille et de ne pas rappeler à son binôme qu’il perdait la tête ! Et donc, c’est d’un pas entre le sautillement et le début de course qu’elle se mit à le rattraper, avant de reprendre un pas plus lent en arrivant non loin de lui, reprenant la marche tout en le suivant donc sagement sans dire un mot pendant une bonne heure.

Même une fois arrivée dans le quartier populaire, la belle louve garda le silence, se contentant d’observer discrètement tout ce qui trouvait-là, reconnaissant même certains lieux qu’elle avait visité y a quelques années ou d’autres où elle avait même bossé. Bon, ça semblait animé et toujours aussi sympathique par ici. Mais assez tergiversé à coup d’observation ! Continuant donc de suivre sagement ce grand dadet qui lui sert de binôme. Et cela l’amena donc à pénétrer dans une auberge, venant saluer d’un petit mouvement de tête l’aubergiste qui sembla tout aussi aimable que le grand brun, mais son regard en disait long sur ce qui pensait. Heu… Non, non, non, je vous arrête tout de suite ! Je suis pas une catin, et puis même, y a pas moyen qui se passe quoique ce soit, arrêter de regarder comme ça en pensant le contraire tout en jugeant hein !

Nan mais sérieux, les gens vont dans les auberges pour ça maintenant ? Hooooo, laissons tomber et ne nous occuper pas de ça, on a d’autres chats à fouetter se disait-elle. Donc, tout en détournant le regard de cet aubergiste trèèèèèès sympathique tout comme son regard, la brunette suivit sagement son binôme, s’arrêtant à bonne distance quand il s’arrêta, reprenant la marche en le voyant reprendre. Quand elle pénétra dans sa chambre, elle fit bien attention aux marquages sur le sol, se disant que ça devait être une sorte de système de sécurité, afin de vérifier que personne ne soit entrer, ou alors, c’était un nouveau genre de traçage des cercles de protection, mais ça, elle avait un gros doute là-dessus. Et alors que son charmant partenaire fit sa vie en silence, il prit quand même la peine d’ouvrir la bouche et lui dit de faire comme chez elle.

« D’accord… »

Répondit-elle simplement, en marchant doucement, en faisant attention à ne pas faire de bruits, le voyant déjà concentrer à son bureau et s’affairer aux préparations. Elle retira sans faire de bruit sa capeline et l’accrocha a l’un des crochets de son porte-manteau, posant ensuite silencieusement son sac près de celui-ci ainsi que le sac de courses, se faisant le plus discrète possible. Elle se contenta de se poser sur une chaise non loin de là, toujours dans un silence presque religieux, regardant discrètement ce qui l’entourait, plus par curiosité que véritable analyse ou recherches de quoique ce soit. Puis, elle reporta son regard vers lui, regardant au loin ce qu’il faisait. Il était vraiment concentré, minutieux et travaillait avec sérieux, c’était impressionnant à voir mais étrangement relaxant. Puis,ça le changeait de son côté bourru et aimable comme une porte de prison aussi. Ça le rendait même très captivant et charmant.

Et pour une fois, elle ne pesta pas après elle, non. La jolie noirette continuait de l’observer au loin, en se disant que c’était vrai qu’il était agréable à regarder quand il était ainsi. Mais, ça, elle ne lui dirait jamais de la vie, ho, fallait pas pousser les gars ! Et alors qu’elle le regardait depuis sa chaise, le dos bien droit et ses mains sur ses genoux, elle remua doucement ses oreilles en l’entendant prendre la parole après un moment. C’est donc toute attentive qu’elle écouta sa question, tout en le regardant son regard fixé dans son mortier et son bouquin, avant de le voir venir sur elle. Là encore, elle n'était pas préparé, ses oreilles venant à bouger doucement de gêne sur sa tête en le regardant, avant de tousser doucement en prenant la parole pour chasser sa gêne.

« Ahem ! Je… Je dirais celui de la destruction pour commencer, non ? Il me semble que c’est un des plus longs à faire et assez complexe en plus, donc, autant commencer par lui ? »

Siegfried Rosenfeld

Humain(e)

Il pouvait voir qu'elle faisait une drôle de tête alors qu'il s'était retourner pour lui annoncer avoir presque fini, fronçant légerement le regard. Qu'est ce qu'elle faisait derrière son dos pendant qu'il travaillait ? Est ce qu'elle se foutait de lui ? C'était une bonne question, cela ne lui plaisait pas, mais, il n'avait pas que cela a faire que de se prendre la tête dessus tout de suite, il avait plus important actuellement.

L'écoutant donc lui répondre, il tapotait de sa main sur sa jambe, dans un rythme très régulier, puis, sous son annonce de préférer commencer par la destruction, il soupira en fermant un instant les yeux. C'était complexe oui, et cela allait lui prendre la tête et sûrement à elle aussi, enfin, sauf si elle était bien la je sais tout habituel bien-sur se disait-il. Il tourna donc les pages du grimoire qu'il avait sortie pour trouver le sigil approprié, puis lui disant tout en continuant de tapoter sa jambe.

" Très bien, je te laisse retirer ta chemise alors "


Sans hésitation, sans réflexion, il avait dit cela le plus naturellement possible, venant à s’arrêter dans son tapotement pour venir retirer le flacon de sur la bougie, venant alors la déverser dans un bol. Il attendit quelques secondes, gardant un œil sur la mixture, voulant s'assurer qu'elle ait bien prit, mais aussi qu'elle refroidisse un peu pour ne pas se brûler avec. Ensuite, il se pencha sur le coté pour fouiller dans ses affaires afin de sortir un long pinceau au poil nombreux, propre et épais, la point se retrouvant pourtant fine. Il se mit alors à poser son pinceau dans le bol, le laissant s'imbiber avant de se tourner en prenant son grimoire dans l'autre main, espérant qu'elle soit prête.

Onyx Svart

Terranide

Pourquoi il fronçait des sourcils comme ça ? Quoi ? Ça lui allait pas de commencer par le tatouage de la destruction ? Pourquoi demander alors ? C’était logique aussi, hein, banane va ! Autant commencer par le plus compliqué, comme ça, le reste ça va tout seul non ? Haaaaa, laissons tomber, ça servait à rien de dire quoique ce soit, et même de penser à ce stade-là, ouais ouais ouais. Bon, concentration, regardage de zieutage de monsieur pas content, qui tapotait de la main sur sa jambe, soupirant ensuite en fermant les yeux. Puis, le charmant brun retourna à son grimoire et ses mixtures, tout en invitant la brunette à retirer sa chemise.

Haaaaa… Oui, ça, c’était un détail qu’elle avait juste un peu oublié, mais juste un peu. Y allait falloir se déshabiller un petit peu, bon… Bah, quand faut y aller, faut y aller hein. Même s’il ne la regardait pas, elle hocha de la tête, par habitude sûrement, avant de lui répondre le plus simplement du monde.

« D’accord. »

Onyx n’était même pas sûre qu’il l’avait entendu, tant il avait l’air concentré. Puis, bon, ça changerait quoi de toute façon ? Riiiiiiiien ! Donc, la belle louve jeta un regard vers son buste, clignant des yeux un moment, avant de soupirer intérieurement, et de poser ensuite ses mains sur les boutons de sa chemise, commençant donc à la déboutonner. Heureusement qu’elle portait des mitaines aujourd'hui, et pas ses gants longs qui recouvraient ses bras. Sinon, ça lui aurait pris un peu plus de temps à enlever tout ça, et ça aurait sûrement fait râler son charmant collègue de devoir attendre.

Donc, tout en pensant à cela, elle continua de déboutonner son haut, tirant ensuite sur chaque pan de sa chemise, puis elle laissa glisser cette dernière de ses épaules avant de la rattraper, venant la plier doucement pour ensuite la poser sur ses jambes. Voilà, c’était fait, elle avait retiré sa chemise, dévoilant son torse presque nue et sa poitrine qui étaient recouvert de bandelettes, venant un peu comprimé et serrer cette dernière. Est-ce qu’elle devait lui dire que c’était fait ? Ou c’était pas la peine, il allait s’en rendre compte en retournant sa tête par ici, non ? Heu, ouais, elle savait pas trop sur ce coup-là. Puis, elle était un peu gênée de devoir se montrer ainsi. Un peu prise au dépourvue, ses oreilles remuant doucement de gêne sur sa petite tête en se pinçant rapidement la lèvre, avant de la lâcher et se redresser, essayant de se reprendre en restant bien droite, attendant donc patiemment que Siegfried reporte son regard par ici quand tout sera prêt, c’était plus simple autant pour elle que pour lui.

Siegfried Rosenfeld

Humain(e)

Les tatouages temporaire partait d'un principe créé par l'exorciste Holitzer il y a des dizaines d'années de cela. A force de lutter contre les forces du mal, il avait put en déduire quelques point, dont, un lien entre leur possession et les chakra, que le type de démon venait plus ou moins influencer. Il était donc important de placer le tatouage adéquate au bon endroit sur le corps d'une personne et, en l'occurrence, là, il devrait en placer trois. Par chance, l'un des trois était complémentaire au deux, donc, il n'aurait pas à le faire deux fois.

Se tournant donc vers elle, il fit bouger sa chaise dans un grincement pour se rapprocher d'elle, son grimoire posé sur ses jambes, le bol et le pinceau dans ses mains. Là, il était bien en face d'elle, leur genoux se touchant presque. Il se mit à jouer de son pinceau dans la " peinture" puis, en sorti se dernier, venant retirer le trop plein en frottant le bord du bol avec, puis, releva son regard vers elle. Oui, elle était très séduisante, et ça elle devait le savoir et, là, aussi dévêtu, il se mordait l’intérieur de la joue discrètement. Pourquoi ? Et bien parce qu'elle avait beau être chiante, énervante et je sais tout, il la trouvait tout de meme très attirante et, les bandelettes venant soutenir sa poitrine la mettait très en valeur. Il se mit donc une claque mental pour se ressaisir, puis, commença à poser le pinceau juste au dessus de sa poitrine.

La " peinture " était encore très chaude, mais, elle n'était pas brûlante pour autant, juste à la limite de cette sensation. Là, de nouveau, son regard était des plus concentré, fixant, visualisant ce qu'il devait tracer, dessiner et écrire sur son buste, juste au niveau du chakra du cœur, car oui, la destruction aimait tirer son influence à partir de ce chakra. Il était méthodique et, doux dans ses mouvements, prenant le temps de bien faire, la pointe en poil de vison caressant la peau de la louve délicatement tout en apposant la peinture chaude sur elle, tandis qu'il récitait à voix basse des psaumes qui devait agir sur ce qu'il traçait, qui devait charger en énergie et bénir le sigil en question. Il y prit tout son temps, venant plonger plusieurs fois de nouveau son pinceau dans son bol pour continuer, puis, quand il eut fini avec le premier, il remontât son regard vers le sien

" Il va falloir que tu te lève pour que je fasse le deuxième."


Oui, la destruction aimait jouer avec le chakra du cœur, mais, il y avait aussi besoin de poser un sigil pour le chakra sacré afin de garder le divin près d'elle dans cet instant qui serait des plus infernal pour elle si elle venait à être possédé.

Onyx Svart

Terranide

Onyx le regarda se tourner enfin vers elle, le voyant s’approcher avec sa chaise dans un grincement qui fit remuer doucement ses oreilles, mais qui ne la pertuba pas plus que ça. Elle était bien droite, ses mains sur ses genoux, le buste légèrement en avant pour la partie à tatouer, le tout en restant des plus silencieuses pour ne pas l’énerver ou l’agacer. La brunette le regarda un instant, croisant son regard, avant qu’il ne se mette à travailler avec sérieux. Elle ne bougea pas d’un poil ou d’une oreille en sentant le pinceau se posait sur sa peau, la peinture chaude mais pas trop venant titiller sa peau, qui ne la fit pas tressaillir non plus tant elle se concentrait pour ne pas bouger en cet instant, mais, une légére de poule naissa sur sa peau au contact de la température du liquide qui glissait sur son buste.

Durant tout le processus, du moins, la première partie que Siegfried était en train de faire avec minutie, elle resta bien calme, ne prononçant pas un seul mot afin de ne pas le déconcentrer. Mais, ses yeux se posaient sur lui, le regardant travailler avec minutie, si concentré et sérieux. Et là, elle se fit la même réflexion que tout à l’heure, lorsqu’elle le zieuta quand il travailla à son bureau, se disant qu’il était vraiment séduisant et captivant ainsi. Et là encore, elle ne pesta pas après elle, non. Il valait mieux accepter ses pensées et éviter qu’elle ne s’agace, au risque de remuer et tout faire capoter, ce qui ferait grandement chanter le bellâtre qu’elle admirait.

D’ailleurs, il ne tarda pas à relever le regard vers elle, venant la surprendre cette fois, que ses oreilles se mirent à remuer doucement de gêne sur sa tête, venant même à rougir très très légèrement tant elle était surprise. Puis, quand elle entendit ses mots, elle cligna plusieurs fois des yeux lentement, le temps de faire descendre la gêne qui était venue habiter ses oreilles et ses joues, puis elle hocha doucement de la tête. 

« D’accord. »

Répondit-elle tout simplement, venant à reculer doucement sa chaise, afin de ne pas  bousculer ses genoux qui touchaient les siens. Puis, une fois cela fait, la belle louve se releva, son buste mais surtout sa poitrine se retrouvant au niveau de la tête de son binôme, son ventre ventres à nue dévoilait à ses yeux, dont le bas était souligné par sa jupe posait à peine sur le bas de ses hanches. Puis, elle attendit sagement de savoir si ça lui allait ou non comme ça, se disant que si ça n’allait pas, il lui dirait ou il la bougerait, afin de continuer la suite du tatouage.

Siegfried Rosenfeld

Humain(e)

La encore il l'avait surpris sur le fait alors qu'il était venue à regarde de nouveau son visage. Encore une fois elle clignait des yeux comme quelque prit sur le fait et ses oreilles la trahissaient aussi cette fois, les voyant bel et bien bougé. Il n'y avait pas de bruit aux alentour, en tout cas pas que lui entende, alors, il ne pensait pas qu'elle ait d'excuse pour cela. Il avait bien envie de la confronter pour savoir si elle n'était pas en train de se foutre de sa gueule, mais non, il fallait continuer tant que la peinture était active, tant qu'elle n'avait pas séché.

Alors, il put ensuite la voir reculer en lui disant encore une fois un simple d'accord, se demandant bien ce qu'elle avait. Pas de pic, pas de remarque étrange face à lui, pas de remontrance à retirer sa chemise, il se demandait si elle n'avait pas quelque chose derrière la tête pour lui pourrir la vie plus tard.

Donc, elle se leva, venant à être, sa poitrine à hauteur de sa tête, son regard se retrouvant donc en plein dedans sans l'avoir voulu et oui, à ce moment là une pensée le traversa, se demandant à quoi elle ressemblait sans ses bandages, si elle était tout aussi belle que maintenant ou bien plus. Là, ce fut la pensée de trop, venant à se mordre l’intérieur de la joue bien plus fort tout en redescendant son regard sur son ventre, chassant cette pensée loin de là avant de pouvoir reprendre son travail. Mais son ventre, lui aussi était plaisant à voir, lisse, presque blanc comme la neige, montrant un peu de musculature, dessiné parfaitement. A se rythme, il allait s'arracher un morceau de joue, venant à tourner une page de son grimoire pour en trouver le bon sigil qu'il avait annoté d'un marque page auparavant.

Puis, il recommença le rite, venant apposer de nouveau le pinceau, cette fois moins chaud sur sa peau, créant, traçant et dessinant un nouveau sigil sur son ventre. Ce n'était pas évident pour lui, car il devait le faire juste sur son nombril, mais, rien ne devait déformer ou interrompre le dessin, alors il devait composé avec ce creux, traçant autour, adaptant les proportion pour qu'il ne se retrouve pas dans les lignes. Toujours aussi concentré dès qu'il fut lancé dans son travail, encore une fois il marmonnait, chuchotait les psaume et les prières qui animerait cette marque et l'aiderait dans leur plan de secours. Il prit encore une fois tout son temps pour ne rien raté, car, la moindre coulure, la moindre rature et il devait tout recommencer, meme l'épaisseur des traits influait sur le flot des bénédiction qu'il était sensé apporté.

Une autre bonne dizaine de minutes passèrent encore quand il eut enfin finit. Là, il releva de nouveau son regard vers le sien tout en tapotant son pinceau sur le bol. L'encre commençait à se figer, il allait devoir la réchauffer un peu, alors, il se tourna de nouveau vers la table pour faire un peu chauffé la bougie tout en disant

" Les sigil pour la destruction sont fini, il ne reste plus que celui de la luxe. Il faut que tu baisse un peu ta jupe."

Onyx Svart

Terranide

Une fois relevée, Onyx se retrouva à surplombé Siegfried d’une tête, ayant donc vue sur son crâne et le haut de ses épaules. Et bien sûr, qu’est-ce qu’elle fit encore ? Baaaah, elle zieuta ce qu’elle avait sous les yeux, avant qu’il ne se mette à travailler comme quand il s’y mit d’ailleurs ! Quand Siegfried se mit à reprendre le tatouage et attaquer le second, elle se concentra au maximum pour ne pas bouger le ventre, priant pour que les poils du pinceau ne la chatouille pas. Heureusement, elle y arriva, faisant tout son possible pour minimiser sa respiration et éviter à son ventre de se mouvoir pour ne pas rater le tatouage. Quant aux chatouilles, afin de les oublier, elle chercha à figer sa concentration sur quelque chose, ou plutôt quelqu’un : son séduisant et captivant collègue en train de bosser, et oui !

Là, elle admira le haut de son crâne plus attentivement pour commencer, venant zieuter la longueur de ses cheveux et leurs chutes près de sa barbe, qu’elle ne voyait pas très bien en contre-plongée. La belle louve se disait qu’ils avaient une couleur de cheveux semblable, qu’ils étaient très beaux et qu’en plus, ils semblaient doux. Elle se demandait quel effet ça ferait de les toucher, mais, elle chassa rapidement cette pensée de sa caboche et vint se concentrer vite sur autre chose ! Aller, les épaules ! Elles étaient larges, imposantes et musclées, comme son torse qu’elle avait sentit tout à l’heure contre elle dans la boutique de joaillerie. Là encore, une petite question en tête hein, qu’est-ce que ça faisait de les toucher, est-ce qu’elles étaient fermes sous les doigts ? Non non non, ne te demande pas ça, vite vite vite, passe à autre chose, concentre-toi sur autre chose ! Bon, retour sur lui dans l’ensemble, de haut, du moins, elle ne voyait pas grand-chose, mais elle se doutait qu’il était tout aussi concentré. D’ailleurs, elle l’entendait réciter les psaumes avec sérieux et sur le même ton bas, se faisant la réflexion que sa voix était agréable à l’oreille.

Heureusement, le temps que la brunette fasse son zieutage ainsi que ses réflexions dans sa petite caboche, le second tatouage arriva à sa fin. Ouf, quel soulagement ! Un peu plus, et, elle ne savait plus où donner du regard pour rester concentrée. Mais, son regard tient, se retrouva encore à croiser celui de Siegfried. Et comme à chaque fois, elle cligna plusieurs fois des yeux en remuant doucement ses oreilles, essayant de paraître neutre, même si ses oreilles la trahissaient sans aucune compensation pour elle. Mais voilà, apparemment ça n’attira pas plus l’attention de son binôme de croiser son regard, ce qui la soulagea presque en le voyant se retourner vers son bureau pour travailler la peinture.

Puis là, ses oreilles se dressèrent sur sa tête à la nouvelle demande du beau brun, la faisant cligner des yeux plusieurs fois avant d’avoir le cœur qui se mit à battre doucement. Baisser un peu sa jupe ? Heu… Oui, c’est faisable, après tout, il y a pas le choix. Mais… C’était un peu gênant quand même. Donc, là, elle ne se contenta pas que d’une simple réponse, venant à demander en essayant de ne pas paraître trop gênée dans sa voix.

« D’accord, mais… Je… Tu… Il faut la baisser jusqu'où ? Heu… Je veux dire, ce ne serait pas plus simple peut-être de… La retirer complètement, plutôt que de la baisser, selon de l’endroit que tu as besoin d’atteindre ? »

Bon, d’accord. La jolie brunette était déjà gêner à l’idée de baisser un peu sa jupe, certes, mais, en y réfléchissant, elle se demanda vraiment jusqu’où il fallait la baisser. Car, si par malheur, la jupe n’était pas assez baissée, il faudrait la baisser davantage, et le temps de le faire, bah… La peinture pourrait sécher trop vite ou pire, dégouliner sur les vêtements et abîmer les traits du tatouage qui ont été faits, obligeant ainsi à tout recommencer ! Donc, après mûres réflexions, la belle louve se fit la réflexion que c’était peut-être plus intelligent et sage de retirer sa jupe, afin de ne pas prendre le risque de rater le tatouage, et permettre aussi à son collègue de travailler dans de meilleures conditions. Même, si elle le reconnaissait, ça allait lui faire bizarre de se retrouver en petite culotte et en bas devant lui.

Siegfried Rosenfeld

Humain(e)

Son interrogation était plutôt normal, mais cela voulait dire qu'elle n'avait jamais fait ce genre de rituel. Il ne pouvait pas vraiment s'en moquer, c'était assez rare à utiliser, la plupart des gens préférant remédier à des tatouage permanent à d'autre endroit que sur leur chakra, mais cela ne l’empêchait pas d'avoir un sourire ravis d'entendre qu'encore une fois elle ne savait pas quelque chose. Bien-sur ce sourire s’effaça bien vite pour reprendre, n'ayant pas de temps à perdre, surtout qu'il faudra après que ce soit lui qui soit aussi tatoué de la meme façon.

" Je dois apposer un sigil sur ton chakra racine, donc, au niveau de ton bas ventre, juste au dessus de ton entrejambe. "

Oui, il aurait put sortir des mots bien plus brut pour parler de son intimité, mais, il avait envie d’être " gentil" peut être par fatigue, peut être parce que ce n'était pas le moment de se prendre la tête. Il lui fallait l'apposer la, car comme elle devait le deviner, les organes reproductif de la demoiselle se trouvait pile dans cette zone, donc quel meilleure endroit pour le démon de la luxure pour la manipuler et l'influer, la posséder meme. Il haussa ensuite les épaules, venant lui dire

" Donc tu fais comme tu veux, tant que je peux te tatouer, a moins que tu préféré donner une chance supplémentaire au démon de jouer avec toi, mais dit le moi maintenant que l'on ne perde pas de temps."

Oui, bien-sur qu'elle avait le choix et cela le faisait chier si elle disait non, car il serait plus en danger, leur deux vie était maintenant lié contre leur grès, mais si elle choisissait de ne pas le faire, il devrait se démerder sans. Il attendit donc qu'elle fasse son choix, la regardant dans les yeux alors qu'il tapotait sur sa jambe de sa main à nouveau, comptant les secondes pour ne pas trop faire chauffer la mixture afin de ne pas en altérer les propriété et faire foirer tout le processus.
« Modifié: samedi 21 juin 2025, 00:20:58 par Siegfried Rosenfeld »


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