Identité : Siegfried Rosenfeld
Âge : 30 ans
Sexe : Masculin
Race : Humain
Sexualité : hétéro
Physique : Siegfried est un homme d’un mètre quatre-vingt, le teint blanc et les yeux bleu pale. Il se fiche un peu de son apparence, arborant de long cheveux noir de jais et une barbe plus ou moins soigné selon le temps et les humeurs de monsieur. Il est plutôt musclé, pas du genre taillé comme un dieu grec, mais suffisamment pour voir qu’il n’est pas assis derrière un pupitre toute la journée, au chaud et à l’abri de tout. Sur sa peau, se trouve des tatouages par ci par là, des sigil, des incantations, des symboles religieux placé à des endroits stratégique, certains couvrant de vieille blessures. Il est habillé de façon a ce que l’on ne le remarque pas ou que, dans le cas contraire, on ne l’imagine pas faire son métier. De vieux habit sombre, délavé, parfois abimé qui montrait bien les lieux et les lieux parcouru avec. Bien-sur, en dessous de cela se trouve toute la bonne petite panoplie du petit exorciste, bijoux religieux, flasque d’eau bénite, pieux, stylet d’argent, en plus de tout le reste de ses armes et affaire dissimulé dans son sac de voyage qu’il porte partout avec lui.
Caractère : Il a un sale caractère. Un peu bourru, brut de décoffrage, il sait ce qu’est sa vie et il sait qu’elle ne durera pas longtemps. Le fait qu’il soit mal vue où qu’il aille n’aidant pas plus, il ne cherche pas vraiment à se sociabiliser, à part dans de rares occasion. Mais, même avec tout ses défaut, il a tout de même quelques qualité, comme celui, malgré tout, d’aider les autres, de se sacrifier pour les autres autant mentalement que physiquement. Il n’hésite pas à mentir sans remord s’il le doit, car il sait que la vérité peut être plus dangereuse. Il est professionnel, il fait passer la vie des autres avant la sienne, tant qu'il le peux, mais n'en montrera jamais cet impression. Malgré son caractère, il est un élève studieux, il sait reconnaitre quand quelqu'un a raison même s'il ne le dira pas. Il porte toujours un air bougon, comme forcé, car de toute façon, c'est le bon résumé de sa vie, il n'a pas le choix d’être ce qu'il est, alors il fait avec, qu'il serve sa sentence jusqu'à son bout ou qu'il trépasse en le faisant. Bien-sur il a quelques péché mignon, un peu d'alcool par ci par la, les femmes aussi par moment quand le temps et son caractère le lui permet, ce qui est rare, mais surtout être à la campagne, voir mieux, la montagne, se disant que s'il arrivait à terme de sa sentence en un seul morceau, ou un morceau suffisamment conservé, il irait vivre en montagne. Vous est-je dit que c'était un fourbe ? Oui, avec son expérience de vie et son instinct de survie forgé dans les ruelles depuis sa tendre enfance, il fallait bien savoir se débrouiller, être fourbe, improviser, ce qui l'aide beaucoup dans son travail. Il est habitué depuis toujours au basse besogne, à avoir les mains dans la boue et le sang, que ce soit le sien ou celui des autres et à déjà vu bien des horreur, naturel ou surnaturel, donc, le choquer sera plus difficile.
Histoire : Siegfried est un savant mélange de chance et de malchance. Né dans des rues sales et malfamé, abandonné par sa mère à peine avait-il respiré, il fut élevé a l’orphelinat local. Celui-ci un peu trop réputé, se retrouvait rapidement en manque de vivre, donc, la plupart des enfants devait faire la manche, travaillé ou faire l’aumône. Siegfried, lui, s’était retrouvé dans une bande de trouble fête, se servant de leur taille, de leur énergie d’enfant et de leur rapidité pour détrousser les passants. Argent, nourriture, objet de valeur, tout y passer tant que cela tenait dans la paume d’un enfant.
Bien-sur, cela ne dura pas bien longtemps, car ses choix n’avait pas été des plus judicieux. Il avait tenté de voler la mauvaise personne, une femme au service de l’église, l’attrapant la main dans le sac. Il fut donc tiré dans un endroit inconnue, mais qui sentait la même odeur que la femme en question, donc, sûrement un bâtiment religieux. Déshabillé, ausculté, noté, tout lui arrivait sans qu’il ne comprenne quoi que ce soit,, manipulé tel un objet par les moines et les nonnes, dont la femme qu’il avait tenté de voler, avant d’être jeté dans une cellule. Plus tard, un jugement lui fut rendu, le type de jugement des plus expéditif et sans défense, se retrouvant avec un choix, Servir l’église ou perdre sa main droite. Aujourd’hui, il se dit qu’il aurait peut être dut choisir la main droite, mais à l’époque, il avait accepté de servir l’église.
Il fut donc d’abord l’équivalent d’un esclave, faisant toute les corvée du monastère auquel ont l’avait envoyé, puis, petit à petit, d’autre tache s’ajoutèrent, venant lentement dévoiler le plan que lui avait réservé l’église. Il avait été dupé à rentrer dans un ordre connu, mais mal réputé, l’ordre de sainte Isabeau, spécialisé dans l’exorcisme et le combat contre les force démoniaque en tout genre. Il avait bien tenté de s’enfuir quand il avait compris cela, mais, dans les premiers tatouage qui lui furent apposé à son entrée au monastère, un l’en empêchait, lui offrant une douleur digne des enfer sur demande de celui qui avait marqué sa chair.
Il fut donc entraîné jours après jours, autant physiquement que mentalement, manuscrit, tome, parchemin, salle de combat etc. Les années furent lourde et longue, surtout sous la main de fer des exorciste locaux et de sa réputation parmi eux. Quand il fut assez âgé il se retrouva à devoir suivre son mentor sur les routes, d’affaire en affaire, d’exorcisme en exorcisme.
C’est une profession à haut risque, mal vu de beaucoup mais surtout des démons et, proche de sa majorité, son mentor en paya le prix, décédant durant l’un de leurs exorcisme, que Siegfried du terminer tant bien que mal. Il se retrouva marqué d’une balafre à la joue de cet instant, marque qui servit de rite de passage à l’age adulte et en tant qu’exorciste confirmé.
Mais tout n’allait pas rester rose bien-sur, les années continuèrent à s’écouler et les mauvais moments aussi, d’ailleurs, un nuage pointa rapidement le bout de son nez, un nuage avec des oreilles pointu et un regard perçant. A plusieurs reprise il se retrouva à devoir travailler avec une autre exorciste, qui, il ne s’en cachait pas, lui tapait sur le système, ses manières, sa façon de lui parler et de se comporter, cette impression qu’elle lui donnait . Il ne le lui dirait jamais, mais oui, elle était doué, elle savait ce qu’elle faisait, la majeur partie du temps, tandis que l’autre, il se retrouvait à devoir payer les pot cassé pour elle, toujours ravis que les affaires se finisse rapidement pour ne plus avoir à la revoir.
Mais voilà, son karma le rattrapait encore une fois, venant lui faire la bonne blague d’une convocation par le conclave.
Autre :
Comment avez-vous connu le forum ? déjà là
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