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[ UA - Karl&Rubis ] Un boulot pleins de surprises et d’inattendus ~

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Rubis Starling

Humain(e)

Il existe de nombreuses théories et recherches sur les univers et réalités parallèles, des concepts fascinants qui évoquent l'existence d'autres mondes semblables ou radicalement différents du nôtre. Selon ces théories, il s'agirait de dimensions pouvant coexister avec la nôtre, séparées par des frontières invisibles où les lois de la physique, les événements ou même les versions de nous-mêmes varieraient. 

Dans ces théories scientifiques (comme celle du multivers) on suppose que chaque choix ou événement pourrait engendrer une nouvelle réalité, donnant ainsi naissance à ce que l'on appelle un univers ou une réalité parallèle.

Et aujourd’hui, nous nous trouvons dans l’un d’entre eux où nous suivons les aventures de deux individus bien distincts, dont le destin semble adorait jouait avec eux et leurs rencontres. Et l’un de ces individus, ou plutôt l’une, est Rubis Starling, une charmante jeune demoiselle pas comme les autres, pas ordinaire pour cette drôle de planète qu’est la terre et même pour ce pays qu’est le Japon, dans notre charmante ville de Seikusu.

Voyez-vous, c’est une albinos avec donc des traits distincts comme une chevelure blanche comme la neige, des yeux d’un rouge digne de la pierre précieuse dont elle tire son prénom et une peau si claire et sensible au soleil qu’on pourrait croire que c’est un vampire (ou lui faire la blague de, mais vous ne serez sûrement pas le premier à lui faire cette blagounette). Bien sûr, contrairement à la norme japonaise, elle est grande et élancée du haut de ses 1m68 (mais un peu plus en fait à cause des talons qu’elle porte, donc compter dans les 1m76/78) et elle a des formes qu’on peut qualifier de généreuses oui, avec une poitrine et des hanches voluptueuse à en faire tourner les têtes (faute de faire tomber des langues comme dans les cartoons).

Donc physiquement, cette demoiselle est donc assez atypique, notamment pour notre beau pays du soleil levant, même si les cosplays ont populariser pas mal les looks particuliers avec le port de perruques et lentilles de toutes couleurs. Et en parlant d’atypique, son look vestimentaire peut l’être tout autant. Vêtue principalement de noir (et parfois de blancs pour les chemises ou autres exceptions vestimentaires), elle affectionne particulièrement une casquette et une veste en cuir (noire bien sûr) et arbore quelques bijoux ainsi que des piercings aux oreilles, mais aussi un ras de cou noir en plastique avec lequel elle joue de temps en temps entre ses doigts quand elle réfléchit. Et pour rajouter une couche à sa particularité, la demoiselle a un tatouage entre son cou et sa poitrine, qui est un symbole qu’elle a vu dans un livre de son paternel et qu’elle a revue en rêve adolescente, lui donnant le déclic de se faire tatouer ça un peu sur un coup de tête mais en suivant son instinct aussi paradoxalement.

Et des paradoxes, elle en a quelques uns la demoiselle, de nature douce et gentille elle s’est enfermé dans une carapace de rebelle et provocatrice, qui ne se laisse pas faire et sait envoyer les gens valser avec classe et glamour, enfin ça, ça dépend des jours, parfois elle envoie valser sans prendre de gants, mais bon vous verrez si ça vous tombe dessus ou pas hein.

Mais pourquoi une personne douce et gentille de base se cache derrière tout ça me direz-vous ? C’est simple, la vie nous forge et parfois, ça brûle tellement qu’on veut à tout prix résister à la douleur du feu ardent qui nous façonne, pour le meilleur et le pire. Et ça a surtout était le pire pour cette chère Rubis Starling dont la triste histoire lui revient parfois à ses souvenirs, comme aujourd’hui…

~~~
Rubis n’est pas japonaise (vous l’aurez pariez), elle nous vient de la Suède, qu’elle a quitté il y a environs deux ans à ses 19 ans, donc nôtre demoiselle a 21 ans à l’heure où nous parlons. Dans son beau pays souvent enneigé et entourés de natures verdoyantes, de montagnes majestueuses et de splendides lacs bleus comme sur des cartes postales, Rubis a eut une enfance compliquée. Elle a été élevé par un couple de deux scientifiques, travaillant tout deux sur des sujets totalement opposé : une mère spécialisée en biomécanique et un père spécialisé en univers parallèles et multivers, d’un côté un domaine très terre à terre comme on dit et un autre plus la tête dans les nuages. Et leurs spécialisations étaient souvent la source de plaisanterie l’un envers l’autre, mais du jour au lendemain, cette source de plaisanterie devint celle de toute leurs disputes, avec une petite fille au milieu de tout ça, qui voyait ses parents se déchiraient pour des broutilles.

Élevée dans une famille en conflit perpétuelle, Rubis trouva refuge dans les livres, la nature et les étoiles, lui permettant de s’offrir des moments de solitude et d’échappatoires à toutes ces disputes familiales. Mais malgré cela, ses parents l’aimaient quand même, partageant de doux moments avec elle, mais leurs mauvaises ententes et leurs rancœurs pesaient lourd sur le coeur de cette petite fille qui se demandait pourquoi ils passaient souvent leur temps à se déchirer. Et c’est d’ailleurs dans un moment de déchirement, qu’un drame se produisit ! Les parents de la demoiselle étaient en voiture, avec elle, et une nouvelle dispute éclata, toujours et encore à cause de leur spécialisation mutuelle et tout ce qui les opposés, comme d’habitude. Mais cette fois, la dispute finisa mal, la voiture accéléra, dérailla, et le drame se produit… Un terrible et horrible accident de la route, tuant ses deux parents à l’avant du véhicule sur le coup et elle… Elle en échappa, blessée mais sauve, secourue à temps par d’autres automobilistes sur la route.

Rubis devint donc orpheline âgée de 9 ans, en entendant sans cesse autour d’elle que c’était elle la source de malheur de ses parents, qu’ils ne se disputaient jamais avant sa naissance, que sa mère aurait dû l’abandonner (on vous épargne les therme plus horrible comme la noyade) en découvrant qu’elle était une albinos car ils portaient malheur, la preuve étant en parlant de l’évolution de ce charmant couple qu’était ses parent à leur début avant de l’avoir et de la mort tragique qu’elle avait provoqué car elle portait malheur. C’est dur à porter sur de jeunes épaules de telles choses, qui sont souvent rabâcher dans votre dos et parfois juste devant vous, pour bien vous montrer que vous n’êtes pas comme les autres, que vous n’êtes pas désiré dans le troupeau car vous n’en fait pas partie.

C’est donc ainsi que la jeune Rubis commença sa vie à l’orphelinat, où les enfants n’étaient pas tendre avec elle à cause de sa différence, de ses histoires autour, du fait qu’elle portait malheur et pouvait apporter la mort. Les années à l’orphelinat furent compliqué pour la jeune fille, qui malgré ses maintes tentatives de gentilles et douceurs naturelles étaient rejettés autant par les pensionnaires que le personnel de l’orphelinat. Rubis était majoritairement seule, dans une chambre entouré de livres ou dehors dans un coin loin de tous, isolée et meurtrie même, victime d’harcèlements en continue. Et c’est à l’adolescence qu’elle commença à se rebeller, à faire le mur, affrontant ses camarades quand ils l’embêtaient et ayant été jusqu’à casser la figure d’un d’eux même ! Mais pour sa défense il l’avait attraper par le col et elle s’était juste défendue, mais bon, qui croirait une demoiselle en pleine rébellion après tout, et surtout, qui la croirait elle, l’albinos porte malheur qui attire les conflits ? Personnes… C’est donc avec ce genre de pensées et attitudes d’autrui que Rubis se referma encore plus, se forgeant cette carapace de rebelle, provocatrice, qui n’a peur des mots ni d’en venir aux mains si nécessaire, car elle devait avant tout se protéger de ce monde qui ne voulait pas d’elle.

Rubis continua donc sa triste vie à l’orphelinat, attendant patiemment sa majorité pour quitter les murs de cette horrible bâtisse avec ces horribles personnes, sachant pertinemment que jamais personne n’adoptera une albinos. Et en attendant cela, elle se réfugiait dans les livres et dehors quand elle faisait le mur, allant se balader dans la ville, admirer les étoiles ou se perdre dans les bois ou parfois même en ville, poussant le vice jusqu’à travailler de temps en temps dans les bars en tant que serveuse pour se faire un peu d’argent au black, en attendant patiemment le jour où on lui ouvrira la cage pour qu’elle puise prendre son envol.

Et quand le jour de ses 18 ans arrivèrent enfin, Rubis sortie de sa « prison » comme elle la surnommer ironiquement mais avec une pointe de vérité dans le cœur, et elle embrassa cette liberté où elle n’aurait plus à subir les harcèlements et mauvais mots quotidiens de la part de tous ces gens qui l’entourait à l’orphelinat (mais pas que malheureusement). Par chance, Rubis était de nature sérieuse malgré sa rebelltiude et elle avait tout organisé pour avant sa sortie quand le jour viendra, lui permettant ainsi de pouvoir trouver un logement pas cher dans une résidence pour jeunes gens tout en allant proposer son cv à différents endroits pour travailler.

Mais bon, c’était une petite ville, tous le monde se connaissait, tous le monde connaissait les mauvaises histoires sur les albinos et le malheur qu’ils apportent, et une majorité des gens la connaissait, malgré elle. Elle ensuivit donc plusieurs refus pour des postes quand elle n’était pas chassé de certains commerces même, qui refusait qu’elle y mette les pieds. Mais par chance, au bout de plusieurs jours, quand elle alla à un des bars où elle avait fait la serveuse au black quelque fois, et qu’elle parla avec la barmaid de son soucis à trouver un emploi, on lui proposa un petit contrat de quelques mois pour être serveuse. C’était une chance que la demoiselle se saisissa sans hésiter et c’est comme ça que commença sa carrière de serveuse dans les bars, lui permettant de pouvoir accumuler pas mal d’argent car ça payer bien, surtout quand c’était du travail de nuit, qu’elle favorisait donc pour la rentabilité puis parce qu’elle aimait l’ambiance de la nuit, tous ces gens qui s’amusaient et danser… Ha danser, elle aimait ça et elle avait découvert les joies de la danse en découvrant les bars adolescente en faisant les murs, c’était une des rares choses de bien qui lui était arrivé dans la vie ça, lui conférant une certaine passion pour la danse aujourd’hui d’ailleurs.

La vie commençait enfin à se dérouler sans accro pour Rubis, qui pouvait enfin profiter de sa liberté et de la vie, même si ce n’était pas facile tous les jours dans une ville où les gens vous hait on pouvait le dire. Et c’est lors d’une de ses journées sans travail, peu de temps avant la fin de son contrat dans le bar dans lequel elle avait commencé à travailler, que Rubis découvrit une pub pour une sorte de tombola/tirage surprise de voyage organisé par l’aéroport pour encourager les jeunes à voyager dans le monde, en leur « offrant » un aller simple (contre une petite somme d’argent) dans un pays tirés au hasard, afin de les inciter à voyager et pourquoi pas travailler dans ce pays. Le concept était loufoque mais il plaisait terriblement à cette demoiselle qui se disait que c’était peut-être l’opportunité pour elle de quitter son pays, ce pays qui semblait n’avoir jamais voulu d’elle d’ailleurs en lui enlevant les seuls êtres chers qu’elle avait et en l’entourant de gens qui la haïssait sans cesse. Même s’il y avait quelques exceptions, comme ces collègues au bar ou les autres personnes qu’elle connaissait de ce milieu, elle avait souvent l’impression d’être de trop.

Et c’est donc ainsi que Rubis, après avoir fini son contrat, récupérer les papiers nécessaires pour le voyage et fait sa valise en emportant le peu d’affaire et livres qu’elle avait, se dirigea à l’aéroport, s’inscriva à la tombola du jour et tira au sort avec ses petites mains un billet pour le Japon direction la belle ville de Seikusu ! C’est donc ainsi du haut de ses 19 ans qu’elle quitta son pays la Suède et arriva au Japon, curieuse et enthousiasme pour vivre sa nouvelle vie, mais restant sur ses gardes et rebelle malgré tout, car… Bah, on ne peut pas enlever des années de souffrances et une carapace chargée d’histoires si rapidement, cela prendra du temps, surement.


~~~

Et c’est en repensant à tout cela, son histoire, les raisons qu’ils font ce qu’elle est, que notre chère Rubis se mit doucement à souffler par le nez en souriant amusée toute seule, jouant avec son collier autour de son cou tout en étant plaqué contre un mur dans une ruelle près de la porte de service du bar dans lequel elle travaillait depuis quelques mois. C’était calme, c’était paisible et le seul bruit était les grésillements d’une lampe d’un commerce à côté dont les leds clignotaient en permanence en faisant quelques bruits, ce qui ne semblait pas dérangeait la demoiselle plus que ça, même au contraire, elle semblait les admirer en se perdant dans ses pensées lointaines en ce moment.

Mais quelque chose vint l’importuner, un bruit de pas et une odeur de cigarette, la faisant doucement froncer des sourcils que sa casquette siègé sur sa tête cachée. Ni une ni deux, la jeune albinos jeta son regard en direction du bruit et de l’odeur, fusillant du regard une collègue qui jeta son mégot au sol.

« Hey Sakura ! Bon sang de bonsoir, t’exagère putain ! »

Siffle Rubis entre ses dents, se redressant de contre le mur en se dirigeant vers elle pour ramasser le mégot et lui foutre sous le nez, les sourcils toujours légèrement froncé en regardant la jeune femme face à elle à présent.

« C’est pas une poubelle ici, putain de… Raaaah ! » tapant du pied avant de se retourner pour aller vers la poubelle, écrasant bien le mégot à l’endroit à cet effet avant de le jeter dedans, la demoiselle aux prunelles écarlates reporta son regard vers sa collègue  « Fais attention quoi, t’es pas chez ta mère ici, t’es au boulot ! »

Et sur ses mots, Rubis soupira en croissant les bras, avant de se diriger vers la porte de service pour rentrer dans le bar et commencer à prendre son service, tout comme sa collègue jetteuse de clope sur le sol qui ne pipa pas un mot face a la ralerie de la demoiselle à la blanche chevelure, qui n’aimait apparemment pas qu’on jette des trucs au sol sur son lieu de travail.
« Modifié: dimanche 12 janvier 2025, 00:08:56 par Rubis Starling »

Karl Neumann

Humain(e)

Il est si facile d’altérer une vie, d’altérer un traumatisme et ainsi, changer la façon de gérer un évenement pour une personne, un simple changement, c'est tout ce qu'il suffisait pour changer entièrement des évenement, prendre à gauche au lieu d'à droite, manger dans un restaurant au lieu de chez soi.

Pour Karl, tout ce passa le jour fatidique qui l'envoya sur terre, Son épouse avait prit cette fois son courage à deux mains, et avait remplacé le valet pour attendre dans la tente de son époux, voulant lui annoncer une heureuse nouvelle. Sous l'annonce qu'elle lui fit, accompagné de son père pour témoin, Karl était aux ange, le sourire jusqu'aux oreilles et le cœur battant à en rompre. Cette fois, ce n'était donc pas le valet qui vint prendre un carreau d’arbalète, mais sa bien aimée. Tout ce passa beaucoup plus vite pour lui, l'adrénaline, la haine, la rage, le firent dégainer son épée plus vite, venant abattre l'assassin sous un crie mélangé de douleur et de rage.

Dans cette univers, la garde rapproché eut le temps de venir à leur aide malgré le piège tendu et, seulement guidé par la haine et la vengeance, Karl ne voulait et ne pouvait faire qu'une chose, faire payer la personne derrière tout cela.

Pour le Karl que vous connaissez, il arriva sur terre par le sort jeté de son épouse pour le sauver de son exécution, pour ce Karl là, se fut, quand il battu à mort la personne responsable de la perte de celle qui représentait tout pour lui que cela arriva. Dans son dernier souffle, le magicien incanta un sort pour essayer de se sauver, mais rien en fut, mélangeant les mots, se fut Karl qui fut donc transporté. Sur terre, Karl fut donc bien plus violent, lorsque la police le trouva et, lui manqua de respect du à son rang, il finit bel et bien au poste et fit de la prison pour agression sur agent des forces de l'ordre. Le Japon avait bien tenté de l'extrader dans son pays d'origine, mais, aucune trace de lui sur terre, rien, alors, il finit un temps en asile, le faisant se calmer, seulement pour pouvoir en sortir.

Karl, après tout cela n'était pas devenu barman, mais plutôt homme de main, ayant passé son temps à se battre dans les rues de Tokyo, puis de Seikusu, il lui fut demander de travailler un peu comme videur pour un bar de la ville ayant des liens avec les Yakuza.

Sa façon de s'habiller elle, ne changeait pas, toujours habillé avec classe, chemise blanche, cravate noir, pantalon noir et chaussure noir, ses deux mains, bien en chair, mais couverte de cicatrice sur ses phalanges. Son regard lui, n'était pas simplement posé, il donnait constamment l'impression de vouloir en découdre, ce qui n'était pas vraiment faux. Il souhaitait toujours rentrer dans son monde, mais ses inspirations étaient beaucoup plus noir. L'heure du service arrivait, lui était déjà dans le bureau du patron, quand celui-ci lui demanda d'aller chercher Rubis pour qu'il lui parle

" Je suis là pour faire la sécurité, pas pour faire votre pigeon voyageur."

Son ton était sec, froid, autant que son regard envers lui, qui, il savait qu'il pouvait bien lui demander des choses, mais étant seulement autorisé à l'avoir comme videur, il savait qu'il ne pouvait pas le forcer. Karl sorti donc de la pièce, descendant au bar pour en sortir par la porte de service, voulant d'abord souffler un coup, arrivant, il put voir Sakura le visage un peu coincé et, put entendre quelqu'un pester contre elle. Poussant la porte, il se retrouva donc dans la ruelle mal éclairé et, put donc voir la râleuse en question. Au début, il n'en prêta pas plus attention, oui, il la trouvait belle, un caractère bien trempé, mais plaisant, mais il avait d'autre chat à fouetter. Il se posa contre le mur du bar, prenant quelques secondes avant de briser le silence

" Mademoiselle Starling, il parait que le patron veux vous voir, je vous préviens, ça ne va pas vous plaire."

Sa voix était plus douce, moins agressive, elle donnait moins l'impression qu'il voulait détruire la terre entière en cette instant.

Rubis Starling

Humain(e)

Alors que les demoiselles s’apprêtaient à entrer dans le bar, une voix sortit de nulle part vena interpeller avec douceur les oreilles de Rubis, qui reporta son regard en direction de la provenance de celle-ci. Le regard de l’albinos se posa sur une silhouette épaisse et grande, la faisant cligner des yeux plusieurs fois en regardant Karl, restant sans un mot pendant quelques secondes alors que Sakura se demandait quelle mouche avait piquait sa collègue qui chantait y a encore quelques secondes.

Et après son petit bug durant lequel elle était juste entrain d’admirer son collègue en se disant qu’il était vraiment classe et très beau, remarquant son timbre de voix plus douce quo l’avait adoucie aussitôt, elle revint à elle et répondit en hochant doucement la tête à la japonaise pour le remercier.

« Ho ? Ha… Je… Bon, bah je vais aller voir ça… Merci Monsieur Neumann… »

Sa voix était plus douce aussi en lui répondant et en le regardant, pendant que Sakura se demandait ce qui avait pu la calmer d’un coup en les zieutant tout les deux, passant son regard de l’un à l’autre avant d’arrêter de peur de se faire prendre par l’un des deux et d’avoir droit à un regard d’eux. Profitant de l’opportunité, la demoiselle prit la poudre d’escampette en passant devant l’albinos, qui continuait de regarder Karl avant de voir le manège de Sakura qui lui passait devant mais surtout qui se barrait.

« … Mais vas-y je t’en prie, passe devant hein… Va le voir pour moi le patron tant qu’on y est hein ! »

Sifflant ses quelques paroles en levant les bras en l’air avant de finir par les croiser en regardant Sakura se sauver comme une bécasse, Rubis leva les yeux au ciel en soupirant, avant de marmonner tout bas quelque chose.

« Si cet enfoiré me reparle de ces extra… Je lui fais bouffer son bureau… »

Puis après son soupirage accompagné des mots à peine audible qu’elle avait murmuré, la demoiselle reporta son regard vers le videur, se sentant un peu idiote à rester là comme ça.

« Je… Heu… Merci encore et bonne pause ! »

Et un petit salut de tête en levant légèrement sa casquette avec sa main pour saluer Karl en lui faisant un beau sourire, Rubis se faufila par la porte de service et pénétra dans le bar, se dirigeant vers le bureau de leur patron, avec un mauvais pressentiment sur ce qu’il lui voulait, espérant quelque part au fond d’elle que ce n’était pas ça, sinon ça allait swinguer.

Karl Neumann

Humain(e)

Karl jeta un regard sur Sakura qui avait décidé de rester au final, pour quel raison ? Il n'en savait rien et s'en fichait un peu dans le fond. Il eut un sourire en coin qu'il ne put retenir en entendant Rubis râlait après cette pauvre Sakura. Elle n'était pas méchante cette chère Sakura, elle avait juste le nez un peu trop fourré de partout et tout le monde au bar savait que c'était elle à qui il fallait parler pour les ragots les plus croustillant.

Lorsque se fut au tour de Rubis de repartir dans les bureau, Karl croisa les bras avant de hocher la tête, venant lui répondre d'un très simple

" Bonne chance."

Car oui, il savait que son patron allait lui prendre la tête bien comme il faut pour faire des extra, sûrement essayer de la soudoyer pour ou la faire chanter. Lui détestait ça,mais ce n'était pas son problème, en tout cas, par pour le moment alors il s'en fichait. La ruelle était maintenant déserte, il était enfin seule, avec les bruits désagréable de la ville. Il restait encore une bonne demi heure avant l'ouverture de la nuit, quand, des loubards arrivèrent,venant s'en prendre à lui, car, il avait refusé l’accès à l'un d'eux la nuit dernière et l'avait sèchement reconduit à vite partir. Batte de base-ball, chaîne de vélo, démonte pneu, ils avaient tout prévu. Karl en était presque content, pouvoir se battre, s'occuper, se défouler, il savait qu'il allait avoir mal, il savait qu'il allait prendre des coups, mais cela lui faisait du bien, ressentir une autre douleur, combler un vide, voila le gain qu'il y voyait. Le combat fut plutôt rapide, Karl commença par remonter ses manches sous leurs insulte, puis, jeta la poubelle en métal la plus proche vers eux, lui créant une diversion pour foncer droit sur eux juste derrière. Son poing droit s'écrasa directement dans le visage du beau parleur avant que son coude gauche ne parte lui, dans les cotes d'un de ses comparse armé du démonte pneu. Il eut à peine le temps de relever son bras droit, le pliant pour se protéger la tête qu'il y reçu un coups de batte dessus, reculant un peu avant de lever de nouveau les poing, prêt à se battre. L'un d'eux fonça sur lui en l'insultant, brandissant son arme, ce qui poussa Karl a venir donner un violent coup de talon dans son ventre pour le projeter contre un des mur avant de recevoir un coups de poing d'un autre. Il encaissa le cou dans les cotes et vint riposter d'un coups de tête directe et franc avant de venir donner un cou de talon sur le coté d'un genoux.

Les coups pleuvaient de sa part, il en recevait, mais arrivaient à en esquiver le plus possible et à encaisser le reste, puis, enfin, tout cela s’arrêta, le groupe venant à fuir la queue entre les jambes et en boitant, tandis que Karl cracha un peu de sang par terre en les regardant partir. Ses poing étaient encore serré, l'adrénaline à profusion dans ses veines, reprenant son souffle pour chercher à se calmer. Ensuite, il rentra à l’intérieur du bar, allant jusqu'au comptoir sous le regard d'un des serveur, quelque peu médusé par son apparence, ses cheveux décoiffé, ses poings rouge et taché de sang, des ecchymose  sur les avant bras.

" Le jour ou je vous demanderez votre avis je vous le direz."

Dit-il sèchement avant que l'un d'eux ne se mette à vouloir lui parler, tandis qu'il se servit un verre d'alcool bien chargé, avant de le boire cul sec. Il se mit ensuite à passer ses mains sous l'eau pour les laver, venant se recoiffer en attendant que le service commence.

Rubis Starling

Humain(e)

Avant de se faufiler dans le bar, Rubis avait très bien entendu les mots du videur qui lui souhaitait bonne chance, ce à quoi elle s’était contenter de hocher la tête tout simplement avant de passer la porte de service.

Et alors qu’elle traversa le couloir en croissant quelques collègues qui se mettaient en marche pour préparer les choses, ne manquant pas de les saluer au passage, car même si c’était une petite rebelle, elle était quand même polie la petite demoiselle hein ! Tandis qu’elle continuait sa traverser du couloir en finissant par arriver dans le bar, Rubis se prépara mentalement quand elle continua son chemin vers le bureau de leur patron. Une fois devant la porte du bureau, la demoiselle soupira doucement en jouant avec son collier autour de son cou avant de toquer à la porte, entendant aussitôt la douce voix de son patron qui se voulait mielleuse en invitant à rentrer, ce qu’elle fit en pénétrant enfin dans le bureau en croisant sa tête des bons jours tout sourire, contrastant avec le visage non-souriant de la demoiselle.

« Bonsoir Monsieur… Il parait que vous vous voulez me parler ? »

« C’est exact ma petite Rubis ! J’ai une proposition à te faire ! »

« … Ha ? »

« Tu te souviens de ce que je t’ai parler les dernières fois ? J’aimerais savoir si tu y as réfléchit ? »

« … Réfléchit ?  »

Le voyant hocher de la tête, Rubis soupira doucement par le nez amusé avant de répondre de rire doucement en secouant la tête à la négative.

« Sérieux ? Vous vous foutez de moi ? Vous avez pas compris quand je vous ai dis que je ne voulais pas de votre merde ?!? »

« Mais pas du tout ma petite Rubis, je comprend tout à fait que tu as pu être surprise c’est normal ! Mais tu sais, pas mal de tes collègues en font des extras, ça leur donne de l’argent en plus puis ça leur permet de rencontrer du beau monde aussi et… »

« J’en ai rien à cirer de rencontrer qui que ce soit et gagner plus d’argent ! C’est non, ok ? Nada, rien ! »

« Allons allons ma petite Rubis, calme toi… Tout cela est tout à fait normal et ça peut être une chance pour toi de… »

« Une chance de faire le tapin sous couvert ?!? »

Elle éclata de rire tellement c’était ironique, venant à se tenir la tête en secouant la tête tant les paroles de son patron étaient ridicules et pathétiques à ses yeux. Mais le patron voyant son employée ne voulant toujours pas coopérer, se releva pour s’approcher vers, venant à poser ses mains sur ses épaules avec calme et un grand sourire affiché. Ce geste tout comme son approche fit perdre son rire à la demoiselle qui le regarda en le fusillant du regard, la mâchoire serrée en se demandant ce qu’il faisait là.

« Ma petite Rubis, allons… C’est tout à fait normal ce genre de demandes dans nos milieux… Puis tu sais, je suis un patron qui veille quand même sur mes employés, je vous envois pas avec n’importe qui… Et puis, tu pourrais au moins essayer avant de dire non hein ? Après tout, j’ai été gentil avec toi, tu peux bien l’être avec moi hein ? »

Rubis se retenait de l’interrompre et de s’énerver, elle serrait ses petits poings au rythme de sa mâchoire qui se desserrait et se resserrait au fur à mesure que son patron lui parlait en souriant, caressant ses épaules avec bienveillance tout en lui sururrant ses paroles si avenantes comme il essayait de lui faire croire. Elle réussissait à garder son calme malgre qu’elle bouillonnait sur place, mais elle éclata quand son patron vint lui caresser la joue avec douceur, lui faisait ouvrir de grands yeux et lever sa main qu’elle lui colla directement dans la tronche, l’envoyant valser sur son bureau tandis qu’elle se mit a pester.

« Posez pas vos sales pattes sur moi espèce de… ! Enfoiré va ! Va te faire foutre avec tes extra de merde, je t’ai dit non, je suis pas ta pute ! »

Toute colère et a raison, Rubis tourna les talons et sortit du bureau furibonde, sans vraiment regarder en ouvrant la porte, avant de se retrouver face à des collègues qui étaient là devant, a écouter « discrètement » aux portes, la faisant cligner des yeux plusieurs fois abasourdis.

« Hein ?!? Que… Quoi ?!? Nan mais ça va bien vous aussi ?!? Vous avez payez le ticket d’entrée pour le spectacle ?!? »

Fusillant ses collègues du regard en croissant les bras en les regardant, tandis que son patron se relevait derrière en regardant se qui se passait devant son bureau tout en se frottant à joue, il jeta des regards noirs aux écouteurs de portes tandis que la jeune femme fonça dans le tas pour sortir de ce bureau des enfers. Ses collègues s’écarterent pour la laisser passer, tout penauds et cons d’avoir été pris sur le fait à écouter, et alors qu’elle passa entre eux et retrouva le couloir, elle marcha tellement vite qu’elle se prit dans un pli de tapis sur le sol mal mis, la faisant donc chuter et tomber en avant, s’apprêtant à se casser la figure et ne pouvant pas se rattraper. Bon bah tant pis, on ferme les yeux et met les mains en avant en espérant limiter la casse…. À moindre d’un miracle qui sait.

Karl Neumann

Humain(e)

Les mains propres mais égratigné et rougis par l'altercation, Karl se recoiffait donc au coté du Barman qui n'en menait pas loin. Il déroula ses manches, les boutonnant de nouveau proprement avant de défroisser sa chemise avant de se rendre compte qu'elle était taché. Il grogna quelque peu de fatigue de cela, devant donc partir se changer avant que la soirée ne commence, Mais, son regard fut attiré par le fait que la moitié du personnel c'était amassé dans le couloir menant au bureau du patron du bar.

" Bande d'idiot" [/
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Dit-il doucement en hochant la tête négativement, les voyant tel des papillons de nuit inexorablement attiré par la lumière des ragots pour pimenter un peu leur propre vie morne, voir inutile. Il sorti ensuite de derrière le comptoir pour se diriger vers le vestiaire, devant passer prés du troupeau de badot avant de voir, sortant en trombe et vociférant contre tout le monde, la jeune Rubis, qui comme il le pensait, était allé voir le patron, envoyant chier les autres employé qui fuyait tel des poules à qui ont courait après sous son, arrivé. Là, elle passa devant lui, quand elle se prit les pieds dans le tapis, le laissant la voir se lancer dans une chute pour embrasser le sol. Karl tendit son bras en réflexe sous elle, venant la saisir juste au dessus de ventre et juste en dessous de la poitrine.

Son bras lui faisait mal en cette instant, la douleur des coups et les muscles de ses avant bras crispé venant être attisé en cet instant, attendant qu'elle se redresse pour la lâcher. Il n'en dit pas mot, lui lançant simplement un regard pour voir si elle n’allait pas retomber, puis, repartis au vestiaire pour changer sa chemise taché de quelques goutte de sang, cela ferait mauvaise image pour le bar si les clients qui allaient arriver voyait ça. Une fois changé, la journée, ou plutôt la soirée pouvait commencer, pour le meilleur comme pour le pire.

Rubis Starling

Humain(e)

Elle s’y attendait à la chute, elle s’y était préparer même, fermant par réflexe ses yeux et tendant ses bras en avant pour ne pas trop se faire de mal et mieux supporter la chute. Quand soudain elle sentit quelque chose la réceptionné, l’attrapant au niveau de la taille juste entre la poitrine et le ventre. Rubis ouvra immédiatement les yeux en se rendant compte qu’elle avait été stopper dans sa chute, clignant plusieurs fois les yeux devant elle avant de les reporter sous elle pour y voir un bras dont elle suivit la ligne pour retrouver du regard son propriétaire. Rougissant très légèrement en voyant qui l’avait rattraper mais aussi à cause de la situation, la demoiselle se redressa presque comme un diable sortant de sa boîte, clignant plusieurs fois des yeux en regardant celui qui l’avait sauvé d’une embrassade non-désiré avec le sol.

« Heu… Je… M-merci et désolée… »

Balbuta-t-elle un peu gênée en hochant la tête pour remercier Karl, avant de le voir partir pour filer vers les vestiaires. Elle resta plantait là quelques secondes, debout au milieu du couloir, pendant qu’il partait, avant de remarquer au loin qu’il semblait avoir des taches de sang sur sa chemise, venant à la faire se questionner sur le fait qu’il s’était peut-être blessé et sans imaginer à la réelle origine.

Et pendant qu’elle était resté planter là, que certains de ses collègues avaient pris la poudre d’escampette en l’entendant et d’autres étaient restés près de la porte du patron en la regardant, Rubis reporta son regard vers eux en clignant plusieurs fois les yeux avant de rougir légèrement de nouveau de gêne par la situation.

« Qu’est-ce qu’il y a ? Vous voulez ma photo ?!? »

Ni une ni deux après avoir pesté en fronçant les sourcils, la demoiselle reprit sa route, calmement cette fois et en faisant attention où elle marchait, en prenant soin avant tout ça de remettre bien en place le tapis défait en venant s’agenouiller pour être sur que ça soit bien fait et qu’il n’y ait plus d’accidents de ce genre. Et une fois son chemin fait pour se diriger vers le bar récupérer son plateau et faire les dernières vérifications en salle pour être sure que tout était nickel avant l’ouverture du bar, la soirée et le travail purent enfin commencer, tranquillement comme d’habitude pour un bar, les serveurs et serveuses courant partout pour servir les clients qui arrivèrent de plus en plus nombreux comme très souvent.

Mais alors que le service battait son plein après quelques heures après le commencement, Rubis put apercevoir son patron au loin faire ses apparitions auprès de ses clients VIP, tout sourire et riant gênée quand il montrait sa joue. La jeune albinos esquissa un petit sourire en coin à cause de ça, se demandant bien quelle histoire il inventait pour justifier cette trace. Mais à un moment elle croisa son regard, le voyant tout sourire en la regardant et elle, bah elle venait de perdre son petit sourire rien qu’à sa vue, avec en prime un frison dans le dos qui lui vint d’un coup.

Et afin de ne plus le regarder et quitter cette drôle de situation, la demoiselle tourna les talons en regardant ailleurs, retournant s’occuper de ses clients tout sourire en bonne serveuse qu’elle était. Puis après un petit moment encore à travailler en salle ainsi, elle décida de se sauver prendre une pause, signalant à quelques collègues qu’elle allait en pause avant de déposer son plateau au bar, se sauvant ensuite dans les couloirs pour se diriger vers la porte de service et sortir enfin respirer de l’air frais, mais surtout fuir tout ce bruit et ce regard de son patron qu’elle ne pouvait plus supporter et qui la mettait terriblement mal à l’aise ce soir. Une fois dehors, elle souffla un bon coup et alla se poser contre un mur, dos au mur, se laissant doucement glisser contre celui-ci pour s’asseoir doucement sans s’assoir, voulant juste être accroupie quelques instants pour se détendre et se reposer.

Karl Neumann

Humain(e)

 Il n'avait pas vraiment réagit à son remerciement, il avait juste continuait son chemin jusqu'au vestiaire pour se changer avant de démarrage de la soirée, puis, quand tout fut bon et qu'il était de nouveau présentable, il partit vers l'entrée du bar pour s'installer et attendre le début des hostilité. Et la soirée battait son plein, il y avait du monde pour un endroit que Karl trouvait ridicule, mais, en meme temps, ses goûts n'était pas très proches des gens de ce monde et ça il le savait.

Accepter, refuser des gens, ne serait-ce qu'en les regardant, en devinant leur personnalité, leur façon d’être, ou juste parce que la tête de certain lui revenait et d'autre au contraire. Des prises de tête aussi, avec les gens qui était refusé, surtout ceux ayant un peu trop bu, voulant en découdre avant d’être rapidement calmé par Karl et son collègue de boulot. Il y avait aussi ceux qui avait réussi à passé et qui causait des problème à l’intérieur du bar, qu'il fallait virer sans plus attendre. En soi, c’était un travail qui occupait, un travail qui ne laissait pas le temps de se préoccuper de l'heure.

D'ailleurs, en parlant d'heure, après tout cela, il était temps pour lui de faire une pause, laissant son collègue seul un instant. Il passa par l’intérieur du Bar, puis, ressorti par la porte de service pour se retrouver dans la ruelle qui, en cet heure, paraissait si silencieuse comparé aux alentour. Tournant la tête, il put voir que quelqu'un était là aussi et, regardant avec plus d'attention, c'était La jeune Rubis, assise contre le mur du Bar

" Dur soirée ? "


Dit-il d'une voix grave et posé, voyant bien qu'elle avait l'air au bout de sa vie. Il glissa ensuite ses mains dans ses poches tout en restant debout, ne s'attendant pas forcement à une réponse et, se mettant à regarder ailleurs après sa question.

Rubis Starling

Humain(e)

Cela faisait quelques minutes que Rubis avait pris sa pause, profitant de cet instant pour souffler un peu et essayer de chasser ce qui la contrarier de l’esprit. Alors qu’elle se demandait qu’est-ce qu’elle allait devoir faire pour se débarrasser de son patron avec ses propositions malaisantes, elle ne put s’empêcher à un moment de se demander si tout cela était normal, puisqu’il lui disait que pas mal de ses collègues faisaient ça, est-ce qu’après tout c’était pas elle qui n'était pas normal de refuser cela ?

Soupirant en laissant tomber sa tête contre ses genoux, elle pesta intérieurement en se disant que non tout cela n’était pas normal, qu’il fallait qu’elle trouve un moyen de lui faire comprendre qu’il pouvait toujours courir et aller se faire voir avec ses extras, et qu’elle allait donc devoir encore l’affronter ce soir. Mais à part l’envoyer valser et lui en collait une, elle ne voyait pas trop comment faire pour lui dire non.   

Alors qu’elle se perdait dans ses pensées, la jeune albinos n’entendit même pas le bruit de la porte de service quand celle-ci s’ouvrît pour indiquer que quelqu’un prenait sa pause à son tour. Mais ce qui la ramena à la réalité et la fit sortir de ses pensées était une voix lointaine qu’elle entendi, une voix qu’elle reconnaissait et qui attira tout de suite son attention, relevant sa tête de ses genoux et reportant son regard en direction du son pour regarder celui qui lui avait donc poser une question.

« On peut dire ça… Et vous ? »

Repondit-elle dans un petit soupir d’une voix fatiguée, avant d’esquisser un petit sourire en ayant une voix douce, regardant Karl regarder ailleurs en se demandant par curiosité qu’est-ce qu’il pouvait bien regarder.

« Pas trop compliqué pour vous à l’entrée ce soir ? »

Demanda-t-elle avec curiosité et pour commencer à faire un brin de causette avec son collègue, enfin si celui-ci avait envie de discuter pendant sa pause.


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