Tani Rei & Rosalia ✦ Discovering Pleasure

Cette histoire est celle d’une Rosalia alternative. Elle est âgée de vingt-un ans et elle vient de devenir professeur stagiaire au lycée de Seikusu, un travail qui lui sert de couverture. Elle s’adonne toujours à son grand amour le cambriolage la nuit. Mais elle est inexpérimentée.

- Bienvenue, Mademoiselle Del Tredici.

Le proviseur peine un peu à prononcer son nom pendant que son regard traîne longuement sur le magnifique décolleté de la belle femme. Ses paroles semblent s’adresser à ces deux magnifiques merveilles enfermés dans une chemise trop étroite dont elle menace de s’échapper à chaque instant.

Le regard ne semble pas la gêner. Elle s’habille de manière provocatrice pour être regardée. Elle  aime être désirée même si ce n’est qu’un vieux croulant devant elle. Elle s’en contente. Il doit y avoir des hommes plus charmants dans le coin.

- Merci. Pouvez-vous me conduire à mon bureau ?
- Bien sûr, suivez-moi.

Le vieux est déçu de devoir passer devant. Il ne peut pas admirer les jolies fesses bien rondes et moulées dans la jupe du professeur. Mais les élèves qu’ils croisent en chemin s’en donnent à cœur joie. Tout le monde semble s’intéresser de près à la nouvelle stagiaire dans l’établissement.

Son bureau lui est montré. Elle rencontre par la même occasion ses collègues que des vieux hommes moches ou des femmes défraîchis. Elle n’y trouve rien de bien intéressant. Parmi ses élèves, seuls des puceaux prépubères se montent…

Si Rosalia aime attirer les regards, elle aime séduire mais elle a tout de même certaines exigences parmi ses conquêtes : des hommes matures âgés d’au moins dix-huit ans. Un minimum auquel elle ne déroge jamais.

Après deux mois de travail, la stagiaire se rend bien compte que ce travail n’est qu’une couverture. Il ne lui apporte rien d'intéressant. C’est même d’un ennui mortel…

Il y a juste une curiosité qu’elle a noté : un élève qui n’est jamais présent dans l’une de ses classes. Tani Rei, dix huit ans, il vient qu’une fois par an presque… Il est devenu un vrai mythe au sein de la classe à se demander s’il existe vraiment.

Rosalia se demande aussi à quoi il peut ressembler… S’il compte un jour valider son année.Toutes sortes de rumeurs courent sur lui… Pour certains il est un mystérieux agent secret pour d’autres, il est un délinquant qui s’est fait virer plusieurs fois du lycée.

Avec autant de rumeurs à son sujet, il attire même l’attention de Rosalia.

Un beau jour, lors de sa dernière heure de cours avec cette classe, la belle professeur tombe sur ce mystérieux élève en faisant l’appel. Tani Rei. Il est plus grand qu’elle ne l’imagine avec une chevelure noir comme le jais et un magnifique regard violet.

Il n’a pas cette allure de gamin qu’ont ses camarades de classe. Il ressemble à un homme, un vrai… C’est assez pour attirer la curiosité de Rosalia.

- Tani. Tu resteras à la fin du cours.

Pendant tout le cours, la professeur lui lance des regards plus ou moins discrets. Les autres élèves remarquent vite son intérêt pour l’élève venu pour la première fois les honorer de sa présence. Mais personne ne dit rien.

A la fin de l’heure, tout le monde commence à ranger son sac petit à petit et la professeur vient se poster juste devant le bureau du fameux élève pour s’assurer qu’il ne parte pas dans son dos. Elle se penche légèrement sur son bureau pour lui offrir une parfaite vue sur ces merveilles.

- Tu comptes passer tes examens sans jamais être là ? Ce n’est pas une bonne idée si tu veux éviter le redoublement…

Etrange… De plus près son élève est encore plus séduisant… Il dénote avec les mochetés de l’établissement. Il est plus attirant, plus intéressant…

Mais la séductrice cache un secret honteux : elle est encore vierge. Si ses habits lui permettent d’attirer les regards, elle n’a que très peu d’expérience…

- Viens à mon bureau.

La demande sonne plutôt comme un ordre quand elle se tourne pour se rendre jusqu’à son bureau et attendre le félin. Elle se demande encore comment l’approcher et réduire la distance entre eux…

La réalité pouvait parfois faire peur. Mais heureusement qu’elle n’était pas connue. Tani avait déjà ses diplômes. Il avait eu des cours privés lorsque la vieille peau qui l’avait pris sous son toit était encore vivante. Aujourd’hui, il avait hérité de toute sa fortune. S’il venait en cours c’était simplement car il en avait la possibilité. Il prenait une apparence plus jeune pour s’incruster dans le système quand bon lui semble. Bien que la direction soit au courant de ses absences prolongées, il avait toujours eu des notes plus hautes que la moyenne lors des épreuves qui pouvaient signer son renvoi définitif. Il profitait donc du règlement. Il pouvait ainsi chasser des proies dans ce milieu …

Aujourd’hui, il faisait acte de présence. La raison ? Il y en a aucune en particulier. Cependant, il avait entendu des rumeurs dans les couloirs. Une nouvelle prof super bonne. Elle était toute jeune et ne devait pas être beaucoup plus âgé qu’eux. Intrigué … il resterait jusqu’à mettre la main dessus et se faire une idée. Au cours de cette prof, il était assez côté fenêtre, vers le centre de la classe mais plus proche du fond que du tableau. D’ailleurs, lorsque la prof le remarquait, elle lui demandait de rester à la fin du cours. Il soupirait bruyamment, faisant un geste de la main par-dessus son épaule, marquant qu’il s’en fichait pas mal …

-Ouais ouais d’accord …

Encore une qui voulait lui faire la morale ? Quoi qu’il en soit, son instinct le faisait réagir dès qu’elle posait son regard sur lui, relevant le sien pour intercepter le regard de la jeune professeur … Si elle voulait un combat de regard, il allait le lui offrir. Il se fichait pas mal que les autres remarques l’intensité de son regard quand il la prenait en flagrant délit. Parfois même, il jouait avec son stylo à la bouche … La subtilité de mimer une fellation. Il tentait ainsi de la mettre mal à l’aise, tout en restant dans la limite de ce qu’elle pourrait bien lui dire. Et puis … Si elle commençait à faire des remarques à ce sujet, elle creuserait sa tombe. Tani aurait de quoi répliquer.

A la fin du cours, elle vint se mettre devant son bureau pour surveiller qu’il reste, se penchant légèrement vers lui et offrant une superbe vue sur cette tenue qui semblait tenir en priant dieu de lui donner assez de force pour retenir les obus qu’elle portait. D’ailleurs, pendant que les autres passaient à côté, il se redressait lentement, avec le regard qui cherchait à plonger encore plus profondément dans ce décolleter … jusqu’à l’entendre parler d’examens.

-Vous avez si peur pour mon avenir ? Alors que c’est seulement le premier jour que nous nous croisons ? Ne vous en faites pas madame … Oh … Ne me dites pas que vous voudriez vous occuper de moi ?!

Elle lui demandait de venir à son bureau. Se retournant et offrant une vue magnifique sur ce fessier qu’il regardait avec intérêt. Il la laissait arriver à son bureau, jusqu’à ne plus voir ce joli trésor sous ses yeux et il se levait afin d’aller au bureau du professeur. Il penchait alors la tête une fois qu’il était devant son bureau et il mit ses mains dans ses poches.

-Dites mois professeurs … Pourquoi vous habillez si serrer ? Vous n’avez pas un peu de mal à respirer ? Je serai vous … Je me mettrai à l’aise.

Souriant après sa petite remarque, il retirait alors deux boutons de sa propre chemise pour laisser paraitre quelques traits qui prouvait un physique avantageux. Mais également dans l’objectif de l’encourager à faire de même de son côté, bien qu’il se dît que cela aurait peu d’impact.

-Pourquoi me retenir madame ?

L’attitude provocatrice de Tani pendant le cours l’a rendu d’autant plus intéressant pour la professeur stagiaire. Elle s’intéresse à lui à cause de son physique, de son attitude mais aussi pour en faire un exemple. Ce travail permet à la voleuse de s’offrir une couverture sereine et peu demandante une fois la titularisation faite.

Elle veut montrer son implication dans son rôle dès maintenant afin de parfaire sa couverture. Tani est parfait pour obtenir ce qu’elle veut. C’est un élève dissident, qui ne vient jamais… Si elle réussit à le convaincre, quels que soient les moyens de venir plus régulièrement… Elle pourra gagner en confiance parmi ses collègues.

Elle aspire à obtenir rapidement leur respect pour s’adonner à sa véritable passion sur le côté.

Rosalia s’approche. Le regard insistant qu’il porte à son décolleté ne la dérange pas. Il est même un atout conséquent pour motiver l’élève à revenir. Comme à son habitude, la professeur adore sentir le regard des hommes la désirer et celui des femmes la jalouser pour sa plastique de rêve.

Tani n’est pas qu’un élève. Il est qualifiable d’homme contrairement aux adolescents qui peuplent sa classe. La plupart vont encore chouiner dans les jupes de leurs mères à la moindre mauvaise note… Lui s’affirme. Il est provocateur et insolent mais ça fait partie de son charme quelque part.

Quand il évoque la possibilité de s’occuper de lui, Rosalia répond avec amusement :

- Oui. Mais pas avec une fellation. Tu as l’air d’en avoir très envie… Mais il va falloir te trouver une autre boniche…

Elle n’a pas envie de perdre ce bras de fer contre lui. Elle se fait comme lui très provocante dans son attitude car ils semblent mieux s’entendre sur ce terrain.

La professeur quitte sa place et revient à son bureau. Elle s'assoit sur le meuble ce qui fait remonter un peu sa jupe sur ses cuisses pendant qu’elle attend Tani qui prend tout son temps pour venir. Pire, cet élève malpoli reprend en la provoquant de nouveau. Il joint le geste à la parole quand deux de ses boutons sautent à tour de rôle.

Le décolleté plongeant montre sa poitrine cernée par un magnifique soutien gorge noir bordé de dentelle. Le bouton en dessous de sa poitrine menace de céder sous la pression qui lui est imposée et d’en dévoiler un peu plus sur sa lingerie fine.

- Je ne suis pas serrée. Mais si tu veux me mettre à l’aise pour parler, continue. Fais-en de même, je t’en prie. Nous en avons pour un moment.

Elle répond toujours sur le ton de la provocation. C’est après tout la seule chose que Tani semble comprendre. Puis Rosalia se dit que même s’il venait à défaire sa chemise, son élève n’irait pas plus loin.

Mais… Il commence à faire chaud dans la salle de classe. La provocation commence à laisser sa place à des pensées un peu plus concrètes. Si elle est provocante et sûre d’elle, Rosalia n’a jamais eu d’expérience dans la luxure. Alors peut-être que son corps ingénu réagit trop vite à des propos futiles….

Elle a besoin de se concentrer sur son objectif. Tani lui permet de reprendre avec sa question.

- Je ne vais pas passer par quatre chemins.

Ses jambes se croisent. Sa main s’agite près de son visage pour faire l’effet d’un éventail.

- Je veux que tu viennes plus souvent en cours.

Elle veut prouver qu’elle est capable de dompter le plus difficile des éléments. Même si en réalité, Rosalia se trouve dans une posture plutôt complexe… Il y a entre eux une proximité qui ne laisse pas indifférente. C’est elle qui est censée avoir une position de pouvoir mais son élève domine la conversation.

- Par tous les moyens.

Sauf sexuel. Elle l’oublie de l’ajouter, peut-être volontairement… Elle mentirait si elle n’avoue pas s’être imaginé lui faire cette fameuse fellation quand il l’a mimé devant elle.

L’attitude de la professeure poussait Tani à être provocateur. Ce n’était pas pour lui déplaire, c’était un terrain qu’il appréciait particulièrement. Il était bon dans ce domaine … Il était un sale garnement qui ne se laissait pas marcher sur les pieds et celui ou celle qui voudrait le dompter n’existait tout simplement pas ! Il se fichait bien des problèmes qu’il pouvait avoir avec un tel comportement. Il avait déjà les diplômes qu’offraient cet endroit. Il n’y avait donc pas vraiment d’enjeu pour lui.

-J’irai chercher une boniche qui ne sert qu’à ça alors …

Parce que la jeune femme devant lui ne méritait pas d’être classifier uniquement pour faire une fellation ! Elle était destinée à bien plus et elle n’avait pas donner l’interdiction pour ce qui était au dela … Tani se mit alors à sourire, ayant peut-être trouver une demoiselle de jeu qui saurait l’amuser comme il le souhaite. Elle s’asseyait sur son bureau, dévoilant un peu ses cuisses comme sa jupe remontait sous ce geste. Sa poitrine avait décidé de se devoiler toute seule devant lui, les boutons craquant en ne supportant plus le poids qu’ils avaient sur les épaules. Tani laissait son regard plonger dans ce décolleter, sans retenu ni aucune gêne apparente, se délectant de ce qui lui était offert.

-Hm ? … Vous ne voulez pas faire de fellation cependant, vous me laissez-vous déshabiller ? … Avec grand plaisir ! Ne regrettez pas ce que vous venez de me dire …

Il s’était suffisamment approché d’elle en disant cela. Il laissait donc ses mains agripper d’une manière assurée sa chemise, à deux mains pour l’écarter d’un coup vif afin de faire sauter tous les autres boutons, même ceux qui couvraient son joli ventre plat, dévoilant ainsi son magnifique soutif en dentelle noir ! Il écartait comme il faut la chemise, la tenant toujours entre ses mains et il plongeait son regard dessus … Se léchant les lèvres avec un appétit certain.

Elle voulait qu’il vienne plus souvent en cours ? … Il soupirait silencieusement avant de relever son regard vers le sien pour le capturer de ses iris. Il n’y avait rien de motivant à venir ici. La seule raison pour laquelle il venait, s’était pour trouver une demoiselle quand il en ressentait le besoin ! Il lâchait donc sa chemise, se penchant vers elle en posant une de ses mains sur ses cuisses croisées et prendre appuie dessus. Il tendait son doigt de son autre main et il le laissait remonter le ventre plat du professeur, avant de faire passer ce doigt entre ses deux seins encore protégé de cette dentelle noir …

-Il n’y a rien qui me motive à venir ici professeure … Mais si vous tenez tant que ça à ma présence, il faudra donner du votre, que cela me motive assez pour me lever tous les matins pour que j’ai le sourire sur le chemin de ce pénible endroit …

Si elle voulait le faire venir par tous les moyens, c’est qu’il y avait un enjeu pour elle derrière tout ça. Il était loin d’être idiot. Il relevait son visage vers le sien, l’approche assez prêt pour que son nez vienne toucher le sien … son regard plongeant plus intensément dans le sien.

-Et ça tombe bien … Une fellation n’est en effet pas assez motivante pour ce genre de déplacement. Donc si vous préférez me voir ici plutôt qu’avec la bouche d’une boniche on ne sait ou … Il faudrait passer bien des crans en dessus … Vous comprenez ? …

Il serrait sa main qui s’appuyait sur sa cuisse alors qu’elle glissait en remontant celle-ci en la lui caressant, les doigts glissant de plus en plus vers l’intérieur.