Un retour dans le sang et les larmes pour reprendre à zero [ Rubis ]

Lors de la danse enflammée de leurs deux corps à l’unisson quand la demoiselle se retrouva à califourchon sur le barman qui la souleva a l’aide de ses bras pour accentuer ses coups de bassin en elle pour faire ressentir encore plus de plaisir à la serveuse, Rubis laissa échapper d’entre ses lèvres lors de leur baiser passionnel qui accompagnait leurs ébats sulfureux son prénom à plusieurs reprise en le réclamant encore et encore.

Sa douce complainte suppliante de désir ne laissa pas de marbre le beau brun qui s’arrêta de l’embrasser pour poser son front contre celui de la jolie albinos en la regardant avec ardeur tout en l’invitant à continuer de se laisser aller et de se faire plaisir autant qu’elle le voulait. À ses mots la jeune femme rougissa légèrement en lui souriant avec douceur en le regardant de ses yeux scintillant de mille feux de passion pour lui puis quand Karl reprit leur baiser essentiel à leur passion charnel, Rubis frissonna doucement en répondant à ses lèvres et sa langue, gémissante de nouveau de plaisir entre ses lèvres.

Puis la demoiselle se retrouva de nouveau dos au matelas avec le barman au-dessus d’elle, ne lâchant pas son étreinte autour de son cou pour se laisser tomber avec lui et ne pas quitter ses lèvres afin de ne pas interrompre leur baiser passionnel, gémissante de plaisir dans leur danse qui tout comme leur baiser ne s’était pas interrompu un instant, leurs corps se mouvant avec une telle passion et ardeur l’un pour l’autre. Mais Rubis pouvait ressentir les mouvements de basin beaucoup plus intenses et puissants de Karl, claquant entre ses cuisses en la faisant gémir plus fort encore, son corps en demandant davantage et ses demandes fut encore plus intenses quand elle sentie le bras gauche de l’homme au dessus d’elle qui la tenait pour cambrer son dos, réagissant elle aussi en cambrant davantage son dos et son basin pour mieux l’accueillir en elle. Et chaque coup de basin devint de plus en plus fort contre celui de la demoiselle, claquant dans un bruit terriblement érotique et mouillé autant pas la sueur de leurs corps brûlant de désirs en action que par l’intimité désireuse de la demoiselle pour le beau barman.

Les gémissements de Rubis s’amplifia au rythme des grincements du lit qui se fit plus intense tout comme les coups de bassins de Karl contre celui de la demoiselle qui soupira de désir et plaisir par toutes les sensations qu’il lui faisait ressentir, susurrant son prénom d’une voix douce et chaude tout bas de plus en plus, indiquant qu’elle se laisser aller et aimait ça, qu’elle en voulait encore plus et que toutes les sensations qu’il lui faisait ressentir la faisait monter de plus en plus au paradis.

Karl s’enivrait, se droguait sous ce moment paradisiaque, indestructiblement bon, ou tout un tas de sensation le possédait. Il était totalement envouté par ce moment, par la voix de la belle Rubis prononçant son nom dans de doux gémissement, tel un chant accompagné par le grincement du lit et les caresses de leur de corps roulant l'un contre l'autre. Il ne pouvait retenir ses râles de plaisir, il n'y arrivait plus, tout était beaucoup trop bon, ne faire qu'un avec elle, la sentir contre lui et lui donner du plaisir étaient beaucoup trop bon.

Ses lèvres se séparerent un instant des siennes, comme une envie débordante de gouter à nouveau son corps, de la couvrir de baisé, susurrant sa nuque, descendant doucement sur ses épaules, la naissance de ses bras avant de descendre sur sa poitrine généreuse. Ses lèvres goutaient à sa peau légerement salé par leur effusion de preuve de leur sentiments respectif, laissant lentement sa langue dérivé sur ses tétons délicieusement durcis par leurs ébats sulfureux.

Sous cette position, Karl se courbait un peu plus, laissant son membre donner un angle de nouveau différent, conservant un tempo soutenu, rapide et puissant, suivant la musique de ses gémissements, ce calquant sur ses mouvements pour être sure de l'entendre prendre du plaisir, laissant ensuite sa poitrine, déposant de fiévreux baisé entre ses seins, sur le haut de son ventre cambré à l'extase avant de remonter sur ses lèvres affamé à souhait des siennes tout en laissant un souffle brulant parcourir sa peau soyeuse sous ses baisé. Il la sentait, cette sensation brulante, bouillonnante dans son bas ventre, qui montait de plus en plus, qui le poussait à la garder contre lui, à vouloir d'autant plus la sentir et lui faire sentir comme elle le rendez fou et dur pour elle, alors que le nirvana se sentait arriver au loin, échangeant des regard presque animal avec cette femme qui faisait chavirer son coeur.

Totalement ensorcelée et folle de désir, la jolie albinos ne cessa de gémir en susurrant amoureusement le prénom du beau brun tandis qu’il s’activait au creux des jambes de
 la demoiselle qui a chacun des claquements de son basin contre le sien gémissait plus fort tellement c’était trop bon et que c’était de plus en plus bon de le sentir si loin et de plus en plus fort, commençant à la faire monter doucement au paradis.

En sentant les lèvres du barman quittait quelques instants les siennes, Rubis se pinça les lèvres en le regardant avant de fermer les yeux quand elle sentit ses lèvres dans son cou qui descendit sur ses épaules avant d’arriver à sa poitrine qu’il goûta de ses lèvres et sa langue quand il arriva à ses tétons, faisant ainsi soupirait et gémir de plus en plus fort la jeune femme par ses lèvres sur son corps et sous la danse ardente de leurs deux corps en feu, leur bassin poursuivant cette danse effrénée qui fut gémir la jolie demoiselle de plus belle en ne cessant de prononcer le nom de Karl.

Et les gémissement de Rubis devinrent plus intenses quand elle sentit le membre de Karl prendre un autre angle en elle, le sentant se courbait tandis qu’elle se courbait pour répondre à la forme de son membre et ses mouvements, se pinçant les lèvres avec envie en sentant ses lèvres sur son corps qui goutaient avec passion son corps, la faisant frisonner et avoir la chaire de poule en ne cessant de gémir en appelant Karl et encore Karl, rien n’y personnes d’autres que lui.

Puis leurs corps se remirent en contact l’un contre l’autre, provoquant chez la jeune l’enlacement avec ses deux jambes autour de la taille de Karl, ses jambes désireuses de le retenir contre elle et en elle, son corps et son bas ventre brûlant de désir et d’envie de le sentir encore, le garder en elle et le sentir venir le moment venu. Et leurs lèvres aussi se retrouvèrent avec passion tandis que leurs langues s’étaient enlacées de nouveau dans ce bal buccal, étouffants leurs râles, soupirs et gémissements ainsi que leurs voix quand ils parlaient. En le sentant davantage en elle plus fort et tout au fond d’elle, ressentant intensément l’entièreté de la virilité de Karl en elle, devinant chaque détail de son membre fou de désir pour elle qui  le ressentait jusqu’au fond de son être qui brûlait de désir et hurler qu’il le voulait, brulant d’envie de lui et l’accueillir en elle, gémissant plus fort à chaque fois et de plus en plus de sa douce voix qui ne cessaient d’appeler son nom, le réclamant toujours et encore, accompagnait de « oui » et « encore » suppliant et plaintif tandis qu’elle sentait le nirvâna arrivait à grand pas alors que ses lèvres ne quittaient pas celles de Karl bien au contraire, continuant de l’embrasser et caresser ses cheveux avec fougue, son corps dansant avec envie et énergie contre le sien tandis que leur basin avait changé de rythme pour un rythme encore plus fort et intense, claquant bruyamment par leur passion que leur râles et soupirs de plaisir manifestaient bien en plus des doux nom chuchotés de Karl que Rubis réclamait avec passion dévorante et un amour sincère en le regardant de ses jolis yeux écarlates qui ne voyaient que lui.

Ses mots, ses râles, ses gémissements et son nom qu'elle prononçait si chaudement était des encouragements qui le poussait d'autant plus à continuer, qui annihilait toute sensation possible de fatigue, comme drogué, dopé par le désir de lui donner du plaisir, de la faire miauler, de la faire jouir. Il en avait envie plus que tout, lui apporter un plaisir immense, lui faire oublier ces moments difficile dans une explosion d'extase et de sensation d'avoir quelqu'un avec qui le partager.

Karl s'était délecté du gout de sa peau, désormais assaisonné à la perfection par leurs ébats des plus torrides, mais, lorsqu'elle se mit à cerner ses jambes autour de sa taille, se fut le gestes qui le ramena  venir dévorer ses lèvres de baisés, à laisser de nouveau sa langue réclamer sa jumelle pour un bal endiablé, tandis que ses va et viens profond venait encore et toujours assaillir son intimité sans jamais faiblir, changeant seulement sous les sensation qu'il recevait, l'angle de ses coups de reins, venant presser de temps à autre ses hanches contre les siennes, son bas ventre forçant ses pétales trempé à en épouser la forme. Au bout du compte, sous ce plaisir immense, Karl ne put se retenir lui aussi de prononcer le nom de la belle, de gémir rubis, autant dans un son de plaisir que sous l'impression d'en vouloir plus.

Mais c'était le cas, il en voulait plus, son corps en réclamait plus, réclamait de la sentir atteindre l'extase, la sentir perdre pied et crier à en perdre la voix de plaisir. Il les sentait, ses picotements de plus en plus fort, de plus en plus intense, qui montaient encore et toujours dans son bas ventre, cette alerte de son corps qui arrivait bientôt au seuil du paradis, le poussant à l'embrasser avec plus de fougue, ses hanches venant suivre cela en accélérant ses va et viens, tentant bien que mal de garder une grande ampleur pour que son membre caresse, masse et coulisse contre son cocon divin le plus possible, mais, cela devenait très dur, surtout sous les encouragements que la belle lui donnait.

Son bras gauche se resserra alors autour d'elle, venant faire plaquer le ventre de la belle contre le sien, la faisant d'autre plus cambrer sous les caresses et les frottements de leur deux corps sous ses assaut intimes. Sa main droite, elle, passa sur son flanc, venant caresser sa poitrine avec douceur, la massant délicatement un cours instant avant de remonter sur sa nuque pour finir par se glisser dans sa chevelure, venant lui avouer difficilement entre deux souffle, deux baisée et deux râle

" Rubis ... je vais .... c'est trop bon de ... ne faire qu'un ... avec toi..."

dit-il, son regard animal agripper au sien.

L’union de leurs deux corps brûlants de désir et d’amour ne ressentaient plus aucune fatigue, leur soif l’un pour l’autre les tenaient bien éveillées comme ensorcelés par le désir qu’ils avaient de ne faire qu’un, de faire plaisir à l’autre, le sentir prendre du plaisir, le sentir lâcher prise, ne plus penser a rien de tous ces moments difficiles qu’ils ont traversés tout deux, oublier leurs douleurs en cet instant magique pour ne penser qu’à l’extase qui allaient les unir ce soir et sceller leur contrat.

Rubis se sentait partir de plus en plus dans leur danse charnelle et passionnée, elle voulait être là seulement pour lui et faire prendre le plus de plaisir possible à Karl, lui faire tout oublier des terribles moments de ces dernières semaines et de ces 11 années de souffrance en se donnant entièrement à lui et en lui étant totalement dévouée dans leurs ébats torrides, souhaitant plus que tout le faire jouir pour le comblée et monter au 7e ciel voir même au delà.

Leurs corps étaient animaient réciproquement par tout ce plaisir enivrant et l’amour qui les consumait depuis tant de temps l’un pour l’autre ainsi que par ce besoin d’aller plus loin encore et encore, sentir davantage l’autre et l’entendre prendre du plaisir, le voir prendre du plaisir et lui donner touts les plaisirs possibles et inimaginables pour lui montrer qu’il était le seul qui comptait en cet instant important, ces objectifs étaient autant vitaux, sincères, bestials et emplie d’amours pour leur moitié.

La demoiselle enlaçait avec force et désirs la taille du barman de ses jambes, le sentant encore plus en elle, la faisant gémir plus fort sous chacun de ses coups de basins puissants qui propulsa son membre si dur et empli de désir entre ses parois intimes qu’il caressait avec fougue et que ces dernières l’enlaçaient dans ce temple chaud et humide de plaisir pour et par lui. Leurs lèvres s’étaient retrouvées pour retrouver ce contact vital entre elles ainsi que pour réunir leurs langues qui reprenaient leurs danses ardentes en étouffants leurs râles, soupirs et gémissements de bonheur. Et quand la jolie albinos entendit le beau brun gémir son nom, elle eut le cœur qui se mit a battre à en exploser et l’embrassa encore plus fougueusement pendant que son basin accéléra la cadence contre le sien comme si il venait de faire une incantation pour l’appeler, la faisant gémir encore plus de plaisirs plaintifs et de bonheurs alors que son corps s’animait encore plus contre le sien comme envoûtée par les appels de Karl.

La passion ne faisait que monter tout comme la température, tout comme l’intensité de leurs gémissements et soupirs, tout comme le nombre de fois où ils s’appellent mutuellement maintenant, tout comme la vitesse de leurs corps ondulants, de leurs lèvres et langues dansantes, de leurs caresses aventureuses et des coups de reins qui les unissaient, oui, le grand final de l’extase orgasmique et jouisif n’allait plus beaucoup tarder à se présenter, il arrivait à grand pas pour leur plus grand bonheur.

Sentant Karl la serrer contre lui avec force de son bras gauche, collant ainsi son ventre au sien et surtout son bas ventre au sien, le sentant claquait encore plus fort et résonnant dans toute la pièce, Rubis en frissonna en resserrant bien plus fort ses jambes autour de lui, le voulant encore en elle, ces gémissements s’enchaînaient et ne s’arrêtaient plus ou très rarement par leur baiser. Le corps de la demoiselle se cambra encore plus pour mieux s’adapter à la courbe du corps et du membre du beau brun, se courbant d’autant plus sous l’effet de sa main qui se baladait sur son corps en la caressant venant cajoler sa belle poitrine généreuse de tendres caresses et massages qui la fit se cambrer encore plus à n’en plus pouvoir se cambrer davantage.

Et quand elle sentit ensuite la main du barman se mouvoir dans sa nuque pour pouvoir passer dans sa chevelure, une légère chaire de poule se manifesta sur son corps lui donnant envie de l’embrasser encore plus intensément tout en gémissant de plaisir encore plus. En entendant Karl lui avouer entre deux baisers mêlés à des gémissements et râles que c’était trop bon de ne faire qu’un avec elle et qu’il allait bientôt venir, Rubis laissa glisser sa main dans ses cheveux pour venir caresser son visage avec amour en le regardant intensément du même regard animal qu’elle avait par leurs ébats, répondant elle aussi par moment entrecoupés d’une voix chaude et saccadée, emplie de désir.

« Karl… Je… Je sens… Que… Je… Moi aussi… C’est trop bon… Oui… Faire qu’un… Avec toi… C’est tellement… Bon… Ho Karl… Je… Je suis… Prête… Je t’attends… Je te… Veux… Karl… »

La jolie demoiselle lui avoua elle aussi ressentir toute cet extase et prête à l’accueillir en ne désirant que ça, souhaitant jouir avec lui et atteindre le nirvâna. Rubis gémissait plus vite et plus fort sous chacun de ses coups de basins, sous chacune de ses caresses de par sa main ou son corps, sous chaque caresser de ses lèvres et sa langue dans leur baiser, elle n’arrêtait pas de gémir intensément, miaouler plaintivement de bonheur à en perdre la voix quasiment tellement c’était bon et intense de ne faire qu’un avec lui, ne cessant de dire et redire le nom de Karl, de l’appeler sans cesse aux portes du paradis pour l’atteindre avec lui.

Soupirant, râlant lourdement dans un souffle torride, tout son corps s’électrisait sous les mots plaintif et séducteur de la demoiselle, lançant le départ du bouquet final de leur union. S'il avait eut encore sa main gauche, elle aurait englobé ses hanches, mais dans son cas, il se contenta de placer son bras au niveau de ses reins, juste à la naissance de ses fesses. Son autre main, elle, restait dans sa chevelure, restait derrière sa tête, caressant agrippant cette beauté qui faisait chavirer son cœur. La pièce résonnait de râle, de gémissement, de plainte du lit qui subissait leur union et de voix déchiré par le plaisir qu'ils s'offraient l'un l'autre.

Sous les dernières parole de la belle nymphe, Karl ne put se contenir, attiré autant consciemment qu’inconsciemment par ses mots, par le son aphrodisiaque, envoutant et tentateur de sa voix torturé par leurs ébats

" Je te veux Rubis ."

Lui répondit-il d'une voix puissante, couplé à un coup de reins profond en cette instant, la faisant quelque peu reculé dans les draps du lit en satin. Reprenant leur baisé torride et beaucoup trop envouté par les mots de la belle, ses coups de reins se mirent à prendre un rythme plus sulfureux, montrant bien qu'il allait bientôt arriver au nirvana, le bruit de leur deux corps se faisant plus rapproché, son souffle brulant, accélérant au rythme de ses va et viens tamponnant avec de plus en plus de vigueur le fond de son intimité sous chaque roulement de bassin qui n'en était presque plus sous l'élan incontrôlable qu'elle lui avait donné. Ses doigts se mirent alors à se resserrer autour de l’arrière de la tête de Rubis, ses râles se transformant en gémissement transpirant d'extase, tandis que sa voix trahissait ce qui allait arriver dans quelques seconde

" Oh Rubis ! .....Rubis ...Je ...."

Puis, comme appelé, comme ne pouvant autrement, il lui offrit un baisé des plus intense, comme si tout ne pouvait arriver sans cela, comme si tout en dépendait, tandis que ses coups de reins montait crescendo, alors que sa lame pulsait de plus en plus, gonflait à son paroxysme en elle pour finalement arriver au paradis, laissant son plaisir jaillir dans un gémissement plaintif, long et puissant, venant coller tout son corps contre le sien, comme ayant besoin de la sentir au plus près de lui, sentir tout son entièreté dans ce qu'il lui offrait, ayant besoin d'elle, voulant qu'elle ressente tout le bien qu'elle lui faisait, son souffle devenant erratique sous son orgasme qui le faisait presque trembler sur ses jambes.

Après avouer au barman tout l’extase qu’elle ressentait, toute l’envie qui l’habitait qui faisait qu’elle le voulait et qu’elle était prête à conclure leur union dans leurs ébats ardents, Rubis gemisssajt de plus belle et plus fort en ne cessant de dire le nom de Karl, s’en cassant presque la voix à force de miauler de bonheur et plaisir par leur danse brûlante et endiablée de leurs corps unis ondulant l’un contre l’autre.

Et quand le beau brun lui répondit à son tour d’une voix puissance qu’il la voulait aussi tandis qu’il lui donné un coup de rein puissant en allant loger son membre au plus profond d’elle, elle en gémissa plus fort tandis que son corps recula légèrement dans le lit par la force du coup, faisant pencher doucement sa tête en arrière en lâchant un cri bien fort de plaisir intense. Puis ensuite les lèvres de Rubis retrouvèrent celles de Karl tandis qu’elle s’agrippa avec force à son dos ainsi que sa taille à l’aide de son bras et ses jambes reprenant contact avec son corps après ce coup de rein qui la fit doucement décoller du corps du barman durant quelques instants, permettant ainsi au corps de la jolie albinos de danser de nouveau contre celui du beau brun au rythme de leur baiser passionné et torride.

La cadence s’accélérait très vite, elle fut plus intense et puissante voire bestiale, leurs râles et gémissements de plaisir se mêler au grincement du lit qui ne trouva pas un instant de repos par la passion enflammée de leurs deux corps qui ne se quittèrent plus, leur peau totalement collés l’une contre l’autre à part leurs bassins qui se séparaient pour revenir en contact très vite tout comme leurs lèvres et leurs langues à un rythme effrénée des plus délicieux manifestés par leurs gémissements transpirant l’extase dans cette union des plus contractuellement sacrée.

Rubis poussa un petit bruit brûlant tout en frissonnant doucement quand elle sentit la main de Karl se resserrait derrière sa tête tout en disant le nom de la demoiselle, signalant que le moment approchait, faisant briller les yeux de désir de la jeune femme qui remonta sa main du visage de Karl pour venir s’agripper à ses cheveux au même moment que le beau brun reprit leur baiser de manière bien plus intense et sauvage au rythme de ses coups de reins en la demoiselle dont la cadence devenait bien folle, la faisant gémir à répétition en l’appelant sans arrêt de sa voix étouffée par leur baiser, sentant la chaleur dans son bas ventre qui remonta dans tout son corps pour signalait bientôt le début du feu d’artifice.

« Mmmh… Karl… Karl… Je… Je… Ho Karl… Mmmh… »

L’air devenait plus chaud et électrique, leurs corps s’entrechoquaient tout en ne faisant qu’un dans cette danse charnelle effrénée et passionnée, leurs gémissements atteignirent un décibel et un degrés des plus brûlants et bruyants au rythme de la musique que produisait leurs corps avec les grincements du lit, l’anatomie interne de Rubis était des plus brûlant, humide et accueillant tout en étant bien serrer sur le membre vigoureux et dur de désir de Karl qui était gonflé à l’extrême et pulsait de désir sans s’arrêter, leurs lèvres et leurs langues dansaient à une vitesse folle tandis que le feu qui se dégageait d’eux s’enflamma enfin et prit feu pour démarrer ce feu d’artifice des plus enivrants, jouisifs et orgasmiques, les faisant jouir en même temps dans le scellage de leur union.

C’était puissant, c’était enivrant, c’était paradisiaque, c’était même encore plus que ça, le nirvâna était dépasser et le 7e ciel avec. Leur passion des plus intenses et leurs ébats des plus puissants leur avait offert la plus belle et savoureuses des jouissances, le plus délicieux orgasme qui soit alors que leurs corps brûlant tremblants d’extases et bonheur qui ne faisaient plus qu’un dans ce feu d’artifice étaient collés à l’autre, peau contre peau, lèvres contre lèvres et front contre front, leurs mains resserrant chacune leur prise dans leurs cheveux, leurs bras autour d’eux pour ne pas se séparer un seul instant et les jambes de la demoiselle enlaça avec force la taille du barman, son basin collé au sien tandis qu’il venait en elle et qu’elle ressentait son divin nectar imbibé son temple sacrée dans l’union de leurs deux corps brûlant d’amour l’un pour l’autre dans la conclusion de leur contrat qui marqua le début de leur relation.

Une simple allumette aurait suffit pour embraser la pièce, tant leurs ébat était brulant de désir et de plaisir. Karl aurait voulu que ces sensations dure éternellement, que la foule d'émotion, d'hormone et de phéromone enivrante ne cesse jamais. Le gout de ses lèvres trempé de leur salive jointe, la douceur de sa langue dansant avec la sienne, l'odeur de son corps surchauffé roulant et caressant le sien à la perfection, le bruit de leur deux corps s'entrechoquant avec passion et humidité que ce soit par le désir ou l'effort, même les deux en même temps.

Le souffle du Barman s’accélérait, se faisant plus fort alors que son étreinte venait garder la belle bien contre lui, voulant la sentir tout entier prendre du plaisir, tout entière monter au nirvana avec lui. Sa main dans sa chevelure blanche stabilisait sa tête qui était malmené par ses coups de reins, les faisant bouger tout les deux dans les draps de satin trempé. Mais oui, le plaisir était devenu trop intense, alors il était temps pour lui de craquer en laissant le chant final se faire entendre, en laissant couler l'encre sur le contrat de leur union. Lorsqu'il se mit à jouir, gémissant d'une voix grave et légèrement tremblotant , il la sentit bien plus, son membre pulsant et gonflant en elle pour lui offrir le fruit de son plaisir, le faisant presque trembler d'extase. Le rythme effréné de son bassin avait totalement changé, ralentissant d'un coup, sans pouvoir le contrôlé, totalement guidé par son instinct, lui offrant de long, puissants et profonde pénetration, se calquant au rythme de ses jet pour les lui offrir à chaque fois qu'il écrasait la pointe de son membre au fond de son jardin d’éden. Puis, petit à petit, au rythme ou son orgasme se calmait, le reste de son corps en faisait de même, ses va et viens devenant de nouveau plus doux, tel des caresses, jusqu'à s’arrêter, bien plaqué contre elle, sans pression, juste, uni avec douceur et en entièreté. le souffle cours, le torse se gonflant en entier sous chaque respiration, Karl rouvrit les yeux pour admirer la demoiselle sous lui, relâchant doucement la prise de sa main droite, sans pour autant l'enlever de sa chevelure, tandis que son bras gauche la laissait se reposer correctement sur le matelas, la suivant dans cette descente.

Son cœur, pour le moment, n'était pas encore prêt à se calmer, battant encore la marche de guerre, alors qu'il admirait son visage, les émotions et l'adrénaline toujours bien présente dans son organisme. Il arborait un léger sourire, doux, plein de passion en admirant celle qui venait de lui donnait tant de plaisir, celle a qui il venait de s'offrir.

En cet instant le feu d’artifice entama son grand bouquet final, leurs deux corps totalement électrisaient et tremblants d’extase l’un contre l’autre étaient incontrôlables dans ce tango des plus endiablé par leurs désirs et plaisirs, allant à un rythme effréné animé par leur brûlante passion qui doucement se transforma en une douce valse animée par leur tendre amour l’un pour l’autre dans cet orgasme partagé ensemble par cette union qui venait d’être signé et conclue.

Lorsque Rubis s’était mise à jouir au même moment que Karl, allant ensemble au paradis, ses gémissements étaient devenus encore plus délicieux en se mettant à trembler d’une voix cristalline et aiguës, son corps totalement collés à celui du barman et s’y agrippant de toutes ses forces ne faisait plus qu’un avec le sien, leurs intimités totalement connectées et s’embrassant dans de puissants et doux vas et viens venaient de déclarer tout leur amour l’un pour l’autre dans ce pacte charnelle dont la signature fut posée par leurs jouissances orgasmiques qui fut des plus explosifs et merveilleuses.

Puis doucement, quand l’encre fut enfin posée sur le divin papier du temple de la demoiselle, la valse se fit plus douce, passant doucement à un lent slow, laissant retomber leurs corps et la puissante pression qu’ils exerçaient ainsi que celles de leurs membres dans de doux relâchements afin de tomber avec lenteur sur le matelas ensemble sans pour autant se décoller et relâcher leurs étreintes l’un l’autre, les laissants poursuivre leurs douces caresses charnelles en restant toujours connectés l’un l’autre, leurs corps toujours unis pour ne faire qu’un.

Rubis avait rouvert doucement les yeux après cet extraordinaire et explosif feu d’artifice, son regard pétillant qui se fixa sur celui de Karl qui la regardait collé au-dessus d’elle, lui souriant avec douceur plein de passion après cet instant où il s’était totalement offert à elle. La jolie albinos lui souria avec douceur et tendresse, ses yeux pétillant d’amour et passion pour lui alors qu’elle s’était donnée totalement à lui corps et âme, caressant doucement ses beaux cheveux noirs de sa main derrière sa tête qui ne l’avait pas lâché.

Tout autour d’eux était redevenu silencieux et la seule musique qui se jouaient était celle de leurs cœurs battants qui faisaient doucement danser leurs torses et ventres en rythme avec leurs souffles qui tenta de retrouver une vitesse douce. Rubis ne quittait pas Karl des yeux, caressant ses cheveux avant de venir faire glisser sa main sur son visage pour le caresser avec tendresse tandis que ses yeux brillaient de mille feux pour lui en lui disant sans un mot des je t’aime à n’en pas finir après ce moment des plus magique qu’ils venaient de vivre pour la première fois.

Un calme sereins retomba lentement sur la pièce, seulement bercé par des respiration forte, cherchant à retrouver leur souffle avant de lentement s'effacer. Toujours au dessus de la belle serveuse, Karl la regardait, l'admirait, le moindre détail de son visage pétillant, de son regard écarlate, de sa peau blanche comme les nuage d'été, ses fin cil voletant lorsqu'elle clignait des yeux. Il resta un long moment ainsi, au dessus d'elle, appuyez sur ses coude pour ne pas l’écraser, mais suffisamment bas pour pouvoir continuer à sentir sa peau douce, moite et chaude de leurs ébats divin, laissant toujours leur coeur se parler l'un a l'autre alors qu'aucun mot ne sortait d'entre leur lèvres.

Petite à petit, Karl vint se mettre à caresser la douce chevelure de la belle, la recoiffant un peu en sentant ses doigts dans ses cheveux, puis, doucement, il vint passer son index et son majeur sur ses mèches qui collait à son visage, venant les déplacer doucement pour les passer derrière son oreilles pour mieux la voir. Ensuite, avec la même tendresse et délicatesse, il vint baisser un peu sa tête pour déposer un fin et doux baisé de nouveau sur ses lèvres, plus doux qu'une plume se posant à la surface de l'eau, mais prenant un contact sur l’entièreté de ses lèvres, les laissant se coller un instant, refaisant battre un peu son cœur avant de s’arrêter.

Karl fut le premier à rompre ce silence, s’éclaircissant doucement la voix avant de prendre la parole, dans une voix adoucis par ce qu'ils venaient de vivre ensemble

" Ca va ? "

C'était bête, c'était simple, mais il avait envie de le lui demander, il avait envie de l'entendre, profitant encore tant qu'elle le souhaiterait de cette proximité, de sentir sa chaleur et la douceur de sa peau contre la sienne, de ses bras autour de son con, dans ses cheveux et de ses cuisses encerclant sa taille dans une sensation délicieuse.

La jolie albinos regardait avec tendresse de ses yeux pétillants le beau brun au-dessus d’elle, qui était tout aussi silencieux qu’elle et la regardait sans un mot, souriant tout comme elle tandis que leurs corps s’animaient de leur respiration qui tenta de récupérer son rythme alors que leurs cœurs battaient toujours à une vitesse folle résonnant au travers de leurs poitrines respectives pour ne cesser de se parler entre-eux.

Rubis frissonna doucement en sentant la main de Karl caressait ses cheveux la faisant fermer les yeux quelques instants tout sourire en appréciant ce doux geste avant de rouvrir ses yeux pétillant de plus belle en le regardant amoureusement tandis qu’il recoiffait quelques unes de ses mèches avant de se pencher doucement pour venir déposer un tendre baiser sur les jolies lèvres rosées de la demoiselle qui sentit son cœur se remettre à battre la chamade tandis qu’un très léger gémissement s’échappa d’entre ses lèvres de ce doux contact entre leurs lèvres.

En entendant la question de Karl, Rubis esquissa un léger sourire emplie de tendresse en caressant la joue de Karl avant de lui répondre d’une petite voix toute douce et mielleuse par ce qu’ils venaient de vivre tous les deux ensemble.

« Merveilleusement bien… Je ne me suis jamais sentie aussi bien… »

Répondit-elle avant de lever doucement sa tête pour venir à son tour déposer ses lèvres contre celles de Karl dans une douceur des plus angéliques telle la caresse d’un ange.

« Et toi, ça va ? »

Demanda t-elle à son tour, voulant savoir comment il allait et comment il se sentait, profitant de cette tendre proximité entre-eux de leurs deux corps collés l’un à l’autre, de lui toujours en elle après le coup de feu au repos, de ses jambes autour de sa taille qui l’enlaçaient toujours tout comme ses bras autour de son cou, une de ses mains dans sa nuque et l’autre sur son visage qu’elle caressait tendrement avant de la faire remonter dans ses cheveux pour le recoiffer doucement à son tour, le regardant comme si il  était la plus belle chose au monde à ses yeux et c’était en effet le cas pour elle.

Karl la regardait toujours sous ses questions, admirant son visage, écoutant sa douce voix lui répondre tout en continuant de caresser ses cheveux et son visage, profitant lui aussi de se caresses qu'il trouvait des plus agréable. Il ne pouvait et ne voulait de toute façon, pas s’empêcher de sourire délicatement en entendant ses mots, disant qu'elle se sentait merveilleusement bien, allant meme jusqu'à dire qu'elle ne s'était jamais senti aussi bien.

Sous cela, il ne put que souffler d'amusement, ayant un peu de mal à la croire tout de même, ne se considérant pas si important que cela pour lui apporter un tel bonheur, mais le compliment le touchait tout de même. Bien-sur, après un doux baisé de sa part, la demoiselle lui demanda elle aussi si il allait bien, le faisant agrandit un cours instant son sourire avant de lui répondre en gardant un ton apaisant pour la belle demoiselle.

" Très bien oui, c’était ..... magique."

Un délivrance, un instant où il avait eut l'impression de pouvoir poser son fardeau, de ne penser qu'à l'instant présent, de ne penser qu'au plaisir et au bonheur, que ce soi pour lui, mais surtout pour elle, le poussant à venir déposer un doux baisé sur son front. Ensuite, comme toute les bonnes choses avait une fin, Karl choisi doucement, après quelques minutes d'une étreinte des plus douce, de venir s'allonger sur le coté avec elle, lui faisant toujours fasse, et rompant leur union pour le moment. Maintenant sur le coté, la regardant toujours avec douceur, il pouvait caresser librement le bras de la belle, ses flancs, ses hanches, glissant sur ses cuisses, recommençant ce trajet avec lenteur et délicatesse en reprenant la parole, le cœur battant toujours

" Tu n'es pas trop fatigué ? "

Lui demande t-il pour entendre de nouveau sa voix, pour en savoir plus, pour s'assurer que ce n'était pas une illusion ou un rêve.

Ses yeux pétillants de tendresse, d’admiration et d’amour pour le barman, la jolie serveuse ne le quitta pas des yeux après l’avoir tendrement embrasser en lui demandant comment il se sentait à son tour. Quand elle l’entendît lui répondre d’une voix apaiser qu’il allait très bien et que c’était magique, son sourire s’agrandît un court instant également en faisant emballer son petit cœur qui dégagea une douce chaleur dans sa poitrine en entendant les mots du beau brun. Elle était heureuse de savoir qu’il allait bien à sa réponse mais surtout à la tonalité de sa voix, rassurée qu’il ait pu oublier durant un moment tout ce qu’il avait traverser durant toutes ces années.

Rubis ferma les yeux quelques instants quand Karl embrassa ensuite son front après lui avoir répondu avant de mettre fin à leur union entre leurs deux êtres tandis qu’il tourna légèrement pour s’installer sur le côté en l’emmenant avec lui dans ce tournage, se laissant totalement faire en le suivant docilement. Ne le quittant pas des yeux tandis qu’elle le regardait toujours de ses jolis yeux qui pétillaient de mille feux, elle frisonna légèrement en ayant doucement la chaire de poule quand il se mit a caresser son corps de haut en bas et inversement avec tendresse, faisant augmenter la cadence des battements de cœur de la demoiselle.

Et quand Rubis entendit de nouveau la voix de Karl lui posant une nouvelle question pour s’enquérir de sa fatigue, elle souffla doucement amusé en venant lui répondre d’une petite voix un peu taquine tandis qu’elle fit glisser sa main de ses cheveux sur son visage à ensuite son cou avant de toucher du bout des doigts ses clavicules et venir poser sa main sur son torse.

« Mmmh… Pourquoi ? Tu veux une seconde danse ? »

Demanda t-elle avec un regard malicieux avant de rire doucement avec tendresse, venant ensuite déposer un nouveau baiser sur ses lèvres tandis qu’elle se mit doucement à rebouger sa main pour caresser son torse avec douceur du bout de ses doigts fins et délicats. Puis quand elle quitta ses lèvres elle esquissa un beau sourire en poursuivant ses caresses sur son torse pour passer ensuite sur son bras et ensuite ses hanches puis ses pectoraux, alternant entre ses doigts et la paume de sa main en venant reprendre la parole de sa douce voix mielleuse.

« Non je ne suis pas fatiguée… Et toi ? »

Lui demanda t-elle en continuant ses caresses sur son corps en venant jouer de doux aller retour sur le sens de ses caresses alors qu’elle le regarda de ses jolis yeux écarlates pétillants de tendresse pour lui, pour entendre encore sa voix et s’assurer à son tour que tout ça n’était pas un rêve et le fruit de son imagination, voulant continuer à lui parler et l’écouter tout en continuant à l’admirer et le cajoler.

Karl la regardait toujours avec attention et tendresse, lui ayant demandé comment elle se sentait, si elle était fatigué désormais après leur moment intime et intense passé. Sur ses mots, il put admirer un nouveau sourire sur le visage de la demoiselle qui faisait battre son cœur à ses cotés, sentant ses doux doigts parcourir ses muscles avec délicatesses, le laissant profiter d'une sensation très agréable à ses yeux.

Mais Rubis réussit à le prendre au dépourvus, venant lui répondre par une question, voulant savoir pourquoi il lui demandait cela, prenant un ton malicieux accompagné d'un regard qui l'était tout autant, finissant par lui demander s'il souhaitait une seconde danse. L'idée ne lui avait pas traversé l'esprit à ce moment là, mais, sous sa question, ses caresses, son regard malicieux et sa voix séductrice, il ne pouvait pas dire qu'il n'avait pas encore envie d'elle. Déglutissant alors que son cœur venait de remonter un peu dans les tours, il pouvait sentir ses mains se balader un peu sur lui, la demoiselle se laissant explorer son corps, chose qu'il ne pouvait pas refuser et qu'il appréciait de sentir, continuant lui aussi ses caresses douce et sensuelle dans son dos. Elle finit par enfin réellement répondre à sa question, venant lui répondre que non, la demoiselle n'était pas encore fatigué malgré la journée de travail, malgré le manque de nourriture, malgré l'alcool et bien-sur, leur union, la trouvant incroyablement endurante pour un bout de femme comme elle, ce qui le fit sourire un peu plus.

Ses doigts continuaient de caresser toute ses courbes, de ses épaules jusqu'à ses mollets, passant avec douceur et sensualité au passage sur ses cuisses, sur l'arrondis de ses fesses en même temps que ses hanches, sur le creux de sa taille pour remonter sur son flanc, encore et encore. Il finit par lui répondre, non sans être un peu gêné

" Et bien ... je ne suis pas vraiment fatigué non plus et... "

Il vint arrêter sa main au niveau des hanches de la taille de la douce Rubis, épousant ses formes, son regard dans le sien, maintenant nu l'un face à l'autre, pouvant se regarder sans artifice, sans vêtements, dans leur plus simple appareil et totalement à la merci l'un de l'autre

" Tu en a envie ? "

Lui demanda t-il, se demandant si elle avait dit cela parce que c'était le cas où si elle voulait seulement savoir pour lui. Mais, en tout cas, pour elle, il suffisait simplement de baisser son regard pour se rendre compte qu'elle lui plaisait vraiment et que oui, l'envie était toujours là, sa virilité déjà de nouveau bien rêvé et pulsant doucement au rythme de son cœur.

Après avoir demander à Karl pourquoi il lui demandait si elle était fatigué en voulant savoir s’il voulait une seconde danse avec elle avant de rajouter en répondant enfin à sa question qu’elle n’était pas du tout fatiguée tout en venant s’enquérir à son tour de sa fatigue, la demoiselle souria avec tendresse au barman dont elle caressait le corps avec douceur sensuellement, souhaitant plus que tout ce contact avec son corps qu’elle découvrait vraiment en cette nuit magique.

Les doigts du beau brun n’avait pas cesser de parcourir le corps de la jolie demoiselle, faisant reprendre de la vitesse à son cœur battant tandis que de doux frissons la gagnait de nouveau accompagnée d’une légère chaire de poule des plus agréables, nourrissant ainsi son amour pour lui et le brasier qui régnait dans son corps toujours emplie de désir pour lui malgré leur première danse des plus torrides et épuisantes, n’ayant pas eu raison de l’endurance de la demoiselle visiblement.

Quelques instants après avoir poser sa question, en entendant la réponse de Karl qui lui répondit gêner ne pas être fatigué, la demoiselle souria davantage en le trouvant impressionnant d’être si endurant après tout l’alcool qu’il avait bu le ventre vide depuis des semaines, la douleur qu’il enmagisinait  depuis des années et qui était des plus lourdes ces deux dernières semaines en plus de bien sûr leur union qui était des plus puissantes et prenante physiquement mais d’un délice addictif sans pareil.

Son regard dans le sien, Rubis poursuivait ses caresses avant de s’arrêter au même moment que Karl qui vint poser sa main dans le creux de ses hanches à sa taille alors qu’elle venait arrêter la sienne à sa taille également après avoir caresser ses abdos avec sensualité et tendresse. Ne le quittant pas des yeux, son cœur battant et la chaleur ne quittant pas son corps, la jolie albinos eut ses yeux qui se mirent à trembler sous la question du beau brun qui lui demandait si elle en avait envie, la faisant doucement rougir à cette question.

Tout son corps le réclamait encore, le désir ne l’avait pas quitter, ses jolis tétons rosées étaient toujours vaillants au bout de ses généreux seins de porcelaine, son antre toujours envahit d’une douce chaleur tropical ainsi qu’une douce humidité tandis qu’elle ressentait les battements de son cœur qui étaient en rythme avec les mouvements de son joli ventre et les coups d’électricité qu’elle avait en son bas ventre, oui, tout son corps le désirait encore et il n’avait qu’à jeter un petit coup d’œil à sa voluptueuse poitrine ou même sentir cette dernière contre son torse pour se rendre compte que le désir l’habitait tout comme de simples caresses entre ses cuisses auraient indiqués le climat qui habitait son intimité.

Rubis regarda Karl de ses yeux tremblants, silencieuse quelques instants et rougissant un peu plus en serrant doucement sa main sur sa hanche alors qu’elle colla un peu plus son corps au sien, sentant au passage la virilité de Karl bien réveillé et pulsant encore, lui faisant pincer ses lèvres en regardant Karl avant de lui répondre d’une voix mielleuse et légèrement chaude de nouveau.

« Oui… J’ai envie de toi encore Karl… »

Lui avoua t-elle en aggripant doucement sa hanche du bout de ses doigts délicat en se collant davantage à lui, venant poser un timide baiser sur ses lèvres en fermant les yeux avant de lui demander en chuchotant, même si elle sentait très bien sa virilité en bas qui était prête à un nouvel assaut, voulant savoir s’il retourner simplement sa question ou si lui aussi en avait terriblement envie d’être de nouveau uni.

« Et toi… Tu en as envie ? »