Les premières caresses de la main de Ryuga, sur le corps de Miya, semblaient ne pas la laisser insensible, et elle laissa glisser la nuisette rose, pour venir s’accrocher à la taille du policier et l’embrasser avec passion. Ce dernier n’était pas en reste, et lui rendait ses baisers, en profitant du torse nu de la demi-déesse pour y aventurer ses mains.
- On essaye la turquoise, ou je suis en train de te faire craquer ?
Miya se cambra à ces mots, pour venir chercher la nuisette turquoise, laissant une vue des plus excitante à Ryuga. Il regardait les seins de la chanteuse, pointer vers le ciel, et le reste de son corps s’offrir à lui. Elle enfila le tissu transparent, puis sans prendre le temps de l’ajuster correctement, elle se redressa et embrassa à nouveau le policier, qui commençait déjà laisser vagabonder ses mains sur le tissu. La nuisette était vraiment sexy, il avait bien fait de la prendre, les formes de Miya, sans être vulgairement dévoilées, se laissaient juste deviner.
- Elle est parfaite…
A ce moment là, cela fonctionnait aussi bien pour le vêtement, que pour la femme qui était dans ses bras. Ryuga descendit sa main gauche le long du flanc droit de Miya, pour l’engouffrer dans l’ouverture de la nuisette et venir s’emparer de la fesse qu’il trouva, si fermement emprisonnée dans le jean qu’elle portait. Sa main droite ne resta pas longtemps inactive non plus, et c’est avec un petit sourire qu’il l'a laissa passer entre les seins de la chanteuse, resserrant le tissu contre sa poitrine, et faisant ressortir ses tétons, qui commençaient à se raidir légèrement. Il déposa de doux baisers dans son cou, puis tout en laissant par moment sa langue jouer sur sa peau, il entreprit de durcir d’avantage les perles qui se trouvaient sur la poitrine de Miya. Ainsi la main de Ryuga qui était au centre du torse de sa partenaire, se déplaça vers la droite et commença par effleurer de ses doigts son téton, puis le fit jouer entre son pouce et son index dans une danse sensuelle. Le policier lança un regard joueur vers la demi-déesse, et pour cause, avec un tissu aussi fin, on ne voyait plus que cette légère pointe de chaire qui se détachait du reste. Il fit de même avec l’autre, en ramenant ses lèvres vers celle de Miya, pour l’embrasser avec amour, sa langue venant chercher la sienne avec volupté. Ils pouvaient entendre les gens aller et venir autour des cabines d’essayage, et Ryuga devait avouer que cela rendait les choses encore plus excitantes.