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String ou Shorty ? Coton ou Dentelle ? (Ryuga)

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Ryuga

Humain(e)

Re : String ou Shorty ? Coton ou Dentelle ? (Ryuga)

Réponse 15 samedi 26 décembre 2009, 17:24:32

Ryuga entendait quelques personnes qui passaient non loin de leur cabine, et qui bien sûr ne se doutait pas une seconde de ce qui était entrain de se passer… Tout cela était vraiment excitant, ils devaient s’efforcer à ne pas faire trop de bruit sous peine d’être surprit. Une fois le pantalon de sa chanteuse retiré, celle-ci vint prendre appui sur le porte manteau au-dessus d’elle, et d’une souplesse dont l’inspecteur se ravissait de jour en jour, elle passa ses jambes autour de sa taille, et l’amena contre elle.

-   Non mais tu as vu ce que tu me fais faire...

Le policier rit légèrement devant la figure qu’il imposait à Miya, ce qu’elle était belle, il l’aimait sincèrement, et il voulait tout voir, tout faire avec elle, pour n’avoir rien à regretté s’il arrive malheur à l’un ou à l’autre. La demi-déesse parvint à se tenir d’une seule main au porte manteau ce qui lui permit de glisser sa main le long du corps de Ryuga, faisant frissonner sa peau à son passage. Il en profita pour déposer des baisers sensuels sur les lèvres de son amante, alors qu’elle déboutonna avec une facilité déconcertante son pantalon, et s’empressa de libérer le membre de l’inspecteur qui ne désirait que ça. La chanteuse resserra l’étreinte de ses jambes sur son corps, l’amenant un peu plus contre elle.


- Heureuse de constater que je ne suis pas la seule à être ravie de me retrouver dans une situation si... séduisante...

En effet, la verge dressée de désir de Ryuga ne laissait aucun doute sur le désir dans lequel, cette situation et la femme qu’il aimait, l’avait plongé. Il laissa échapper quelques soupirs en sentant la main si douce de Miya commencer à s’aventurer sur son sexe chaud. Puis elle le guida lentement en elle, l’extrémité de son membre se posant sur son intimité, avant de s’y engouffrer doucement, amenant le policier à faire tout son possible pour réprimer les gémissements que le contact du sexe de son amante lui arrachait. La respiration de Ryuga n’était déjà plus régulière, totalement dépendante de leur récente union, et alors que la totalité de sa verge allait être pressée dans l’antre si chaud et désirable de Miya, ils marquèrent un temps d’arrêt obligatoire s’il ne voulait pas s’arracher mutuellement un cri de plaisir, qui les aurait tout de suite mis dans une situation très très gênante…

-   Je t'aime tant... C'est terriblement excitant de savoir que n'importe qui peut nous surprendre ici...

-   Que c’est bon d’être en toi… Mais ne gémit pas trop fort mon amour… Ils vont nous entendre…

Ryuga ne savait pas si c’était la gêne, ou le désir qui faisait rougir les joues de Miya, mais quoi qu’il en soit, elle était superbement sexy. Elle entreprit de guider le bassin de l’inspecteur en elle, dans des vas et viens intenses et ponctués de soupires de plaisir. Il s’empressa de venir placer ses mains sous ses fesses pour la soutenir, et lui permettre de lâcher le porte manteau, pour qu’elle ne soit maintenue hors du sol que par le mur de la cabine sur laquelle il la plaquait, et ses mains qui agrippaient maintenant sa peau avec possessivité.
Ryuga faisait répondre le bassin de la demi-déesse au sien, grâce au nouveau positionnement de ses mains. Ses soupirs ne tardèrent pas à devenir de petits gémissements, et quand il entendit les pas et la voix d’une vendeuse très proche d’eux, il plongea sa tête dans le cou de Miya pour les réprimer, et stoppa les mouvements de sa verge, en la laissant bien plaquée contre les parois de l’intimité de son amante.


-   Vous trouvez votre bonheur Mademoiselle ?

L’inspecteur laissa répondre Miya à la question innocente de la vendeuse, alors que son cœur était emballé de peur d’être surprit et de désir pour elle. Il profita du fait que ses lèvres s’aventuraient sur son cou pour pincer sa peau avec délicatesse entre, et commencer un suçon comme pour palier à son envie de reprendre les mouvements de leurs sexes. Il prit le départ de la vendeuse comme une libération, et resserra l’étreinte de ses mains sur sa peau pour mieux reprendre un mouvement fort et puissant en elle.
La bouche de Ryuga délaissa le cou de la chanteuse, pour laisser les soupirs de plaisir que provoquait chacune de ses venues en elle, se faire entendre chaudement contre son oreille. Il la regardait dans les yeux avec tout son amour, alors qu’il était encore un peu rouge de gêne, mais dieu que c’était bon… Voilà un ébat qui restera dans leurs mémoires…

Miya Diablo

Dieu

Re : String ou Shorty ? Coton ou Dentelle ? (Ryuga)

Réponse 16 dimanche 27 décembre 2009, 00:53:29

Le sourire de Miya s'élargit en sentant les mains de Ryuga sur ses fesses, avec cette pointe de possessivité. Aucun soucis là-dessus : elle lui appartenait toute entière. Étrange pour une femme qui se voulait libre... Et pour deux personnes qui ne voulaient plus jamais tomber amoureuses... Elle passa ses bras autour du cou de son amant, soupirant de bonheur, et toujours un peu gênée de se retrouver dans une telle situation, mais pourtant ô combien excitante ! Se surpassait-il aujourd'hui, en cet instant ? Car Miya avait envie de hurler... Sans doute l'interdiction de se faire entendre qui lui faisait cet effet là. Sa tête se colla à celle de Ryuga lorsqu'il enfouit son visage dans son cou dénudé, et il cessa tout mouvement lorsqu'il entendit la vendeuse approcher, et s'arrêter. Dieu ! Miya voyait ses pieds, sous le rideau, et elle s'accrocha davantage à son compagnon, toute rouge.

"Et merde !" pensa-t-elle, gênée.

Au lieu de ça, la jeune femme n'eut pas l'audace d'ouvrir le rideau, et après un soupir de soulagement, la demi déesse bascula la tête en arrière pour qu'elle se colle à la paroi de la cabine derrière elle, les yeux levés vers le plafond. Miya hésitait entre le rire nerveux ou le meurtre avec des mots.

- Oui, merci... Tout se... (elle baissa les yeux pour regarder Ryuga, et elle faillit rire en le voyant aussi rouge qu'elle ne devait l'être.) passe à merveille... J'ai presque fini...

Son amant lui suçotait le cou, lui arrachant un frisson, et elle se mordit la lèvre pour ne pas soupirer ou gémir tant qu'elle voyait ces maudits escarpins sous le rideau. Et lorsqu'enfin la vendeuse partit s'enquérir auprès des autres clientes, elle sentit avec délectation les mains de Ryuga resserrer leur étreinte, son bassin se mouvoir à nouveau, pour son plus grand plaisir. Les soupirs qui glissaient le long de son oreille, si chauds, la rendait toujours un peu plus amoureuse de lui ; deux semaines qu'ils étaient "officiellement" en couple, deux semaines qu'il n'y avait pas un seul nuage à l'horizon, et Miya ne pouvait plus se passer de lui... Ce n'était pas pour rien qu'elle s'était arrangée pour avoir ce jour de congé en particulier... Et puis, il était tellement beau, tout gêné qu'il était. Miya s'autorisa un gémissement à peine étouffé, les dents serrées, lorsqu'ils jouirent dans un ensemble parfait. Elle croisa les pieds un peu plus dans le dos de son amant et laissa sa tête tomber dans le creux du cou de Ryuga, essoufflée, et avec un mal de mâchoire assez gênant... Elle finit par rire légèrement, sans bouger.

- Tu me rends complètement dingue... Promets-moi qu'on recommencera... Je ne sais pas si c'est le lieu qui fait ça, mais c'était... encore mieux...

Ils s'accordèrent quelques minutes pour récupérer, les yeux dans les yeux, leurs lèvres étirées en un grand sourire de contentement se frôlant parfois pour s'embrasser, et tandis que Miya vit la vendeuse repasser devant sa cabine, se détacha à regret de son compagnon, et remit ses vêtements, réajusta correctement les nuisettes sur leurs cintres respectifs avant de sortir. Sur le chemin de la caisse, elle prit d'autres nuisettes, de coupe similaires à celles qu'ils avaient choisies, et une robe de chambre en satin, légèrement transparente, dans les tons saumon... Quand elle posa le tout sur la caisse, elle se tourna vers Ryuga, le coeur cognant encore fort dans sa poitrine, et les yeux brillants, lui demanda :

- Alors ? On s'arrêtera là pour aujourd'hui ? ... Niveau achats, je précise... finit-elle avec un sourire.

Ryuga

Humain(e)

Re : String ou Shorty ? Coton ou Dentelle ? (Ryuga)

Réponse 17 mercredi 30 décembre 2009, 20:24:35

De longs soupirs en gémissements plus ou moins bien réprimés, Ryuga sentit ses muscles se contracter, signe du point culminant de son plaisir. Il resserra l’étreinte de ses mains sur les fesses de Miya, pour mieux plaquer son bassin contre le sien. Son membre ainsi pressé dans l’intimité de la chanteuse put libérer sa semence chaude en elle, dans un râle de plaisir qu’il fit le moins audible possible.
Ils soufflèrent doucement l’un contre l’autre, laissant leurs muscles se décontracter, et Ryuga desserra son étreinte sur le corps de Miya pour laisser ses pieds retrouver le sol.


-   Tu me rends complètement dingue... Promets-moi qu'on recommencera... Je ne sais pas si c'est le lieu qui fait ça, mais c'était... encore mieux...


-   Je ne sais pas, mais une chose est sûre… On recommencera…
Lui répondit-il avec un doux sourire.

Ryuga avait beaucoup apprécié lui aussi cette petite expérience, et l’idée de remettre ça, le faisait déjà frissonné, et qui sait, ils trouveront peut être d’autres endroits tout aussi excitant… Ils restèrent ainsi à se regarder, s’embrasser, se murmurer de douces paroles, pendant quelques minutes, puis ils se détachèrent à contre cœur en remettant en place leur vêtements. Les deux tourtereaux sortirent enfin de leur nid de fortune, les joues encore un peu rouge de gêne, et se dirigèrent vers la caisse. Miya déposa les nuisettes qui ne lui allaient pas, et prit plusieurs autres articles au passage, ce qui ravit l’inspecteur.


-   Alors ? On s'arrêtera là pour aujourd'hui ? ... Niveau achats, je précise...
finit-elle avec un sourire.

-   Bien sûr, pour les achats… Insista-t-il. Je pense qu’on a fait de belles acquisitions… Que dirais-tu de filer à mon appartement pour essayer tout ce qu’on ne pouvait pas ici ? Finit-il avec un regard joueur.

Peu après ils sortirent du magasin, Ryuga portant, dans chaque main, les sacs contenant les nouveaux vêtements de Miya, et cette dernière vint s’accrocher à son bras pour marcher à ses côtés. Ils firent quelques pas, et passèrent devant la vitrine d’une bijouterie dont les lumières mettaient parfaitement en valeurs les articles. L’inspecteur vit les yeux de la demi-déesse se river sur la vitre du magasin tout le temps qu’ils prirent pour la longer. Il savait qu’elle adorait les bijoux, et il se sentait tellement bien avec elle, il avait envie… « D’officialiser » un peu la chose, sans aller jusqu’à une demande de fiançailles, il gardait les pieds sur terre, cela ne faisait que deux semaines qu’ils étaient ensemble. Mais il voulait lui faire plaisir, et lui montrer qu’il tenait vraiment à elle, que ce n’était pas qu’une amourette de passage… La décision était prise, il passerait d'ici quelques jours dans ce magasin pour y acheter une bague, afin de montrer, même s’il n’avait pas besoin de le faire, combien il tient à la femme qu’il aime.

Miya Diablo

Dieu

Re : String ou Shorty ? Coton ou Dentelle ? (Ryuga)

Réponse 18 jeudi 31 décembre 2009, 16:32:02

Le programme du reste de la journée, promettait d'être très intéressant : après-midi cocooning chez Ryuga, peut-être un resto en amoureux avant que Miya ne reparte travailler... La demi-déesse s'accrocha au bras de son amant, la tête sur son épaule, les yeux fermés, se laissant guidée par lui. Peu importait où il l'emmenait, la jeune femme était désespérément amoureuse et lui faisait une confiance aveugle. Sans interrompre leur marche, elle se dressa sur la pointe des pieds pour déposer un baiser sur sa joue, et vit la bijouterie. Après un regard, elle s'arrêta net et sourit à Ryuga.

- Ca te dérange si on s'arrête là deux minutes ?

Elle poussa la porte, et Miya se retrouva au paradis. Les yeux brillants de convoitise, elle avança jusqu'aux premières vitrines, contenant des bracelets. A ce moment-là, elle lâcha le bras de son compagnon, après un petit sourire d'excuse, pour mieux se pencher et observer les bijoux. Une vendeuse s'approcha pour la conseiller, et lui permettre de voir les bracelets de plus près. Bien entendu, le premier coup de foudre de la demi-déesse se porta sur un bracelet de bras assez fin, mais que la jeune femme décida de mettre au poignet. Miya flasha sur d'autres bracelets, aux styles tout à fait différents, puis passa aux pendentifs - pour le coup, elle prit quatre nouvelles chaînes fines - et en vint à finir sur les bagues. Cela faisait déjà un quart d'heure qu'ils étaient entrés, Ryuga et elle, et Miya n'avait pas vu le temps passer. Elle essaya de nombreux anneaux, tous plus élaborés les uns que les autres, et pourtant, son œil finit par être attiré par un anneau, très simple. Miya avait bien dans l'idée d'offrir à Ryuga quelque chose qu'il pourrait porter en permanence pour penser à elle, même si elle se doutai que sans cela, c'était déjà le cas. Il fallait que cette chose ne puisse pas être facilement perdue ou abimée, et ne pas pour autant être gênant pour son travail de policier...

"Cet anneau est parfait..." pensa-t-elle.

Bien entendu, cela risquait de donner un caractère quelque peu officiel, à leur relation, et peut-être qu'offrir une bague à Ryuga pourrait au final le faire fuir. Non. Elle préciserait bien, le moment venu, que c'était vraiment un "objet" pour qu'il pense un peu plus à elle, qu'il n'y avait aucune demande officielle, et qu'elle ne voudrait pas gâcher leur relation pour "ce genre de broutille". Miya se tourna vers son amant, qu'elle avait lâchement abandonné dans la bijouterie, et lui sourit en faisant un petit signe de la main. Alors c'était décidé.

- Vous me mettrez celui-ci aussi...

Et une fois toutes ses trouvailles soigneusement emballées, sa carte bancaire débitée, Miya revint se coller tout contre Ryuga et l'embrassa :

- Désolée pour l'attente, mon amour...



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