Sous sa révérence et sa réponse, la demoiselle, sous son rire rafraîchissant et son regard taquin, repartis sur leur histoire de contrat. Avec les révélations qu'ils s'étaient fait l'un l'autre au restaurant, le nom de ce contrat existait désormais et, sonnait beaucoup plus vrai qu'un simple jeu maintenant. Sur ce point, Karl continua de rire, puis, il ne put que répondre quand elle ajouta avec son air malicieux, qu'en plus de cela, il ferait bien des jaloux chez leur collègues.
Le barman ne put s’empêcher de rire à ses mots, imaginant déjà les regard des autre s'ils venaient à annoncer avoir une liaison.
" Mmmmh, toujours aussi tentant, mais, ce dernier point me fait penser que je vais sûrement devoir garder un œil derrière moi, voir affronter en duel d'autre prétendants et prétendante si je me retrouve à signer."
Il disait cela sur le ton de la rigolade, mais il n'en pensait pas moins. Sakura pouvait sûrement devenir casse pied en apprenant cela et leur pourrir la vie, même si, il ne pensait pas qu'elle irait forcement jusque là, non, le vrai point noir serait leur employeur, qui lui ne manquerait pas de le faire. Mais Karl s'en fichait tant que cela ne retombait que sur lui, par contre, il devrait s'en mêler si cela retombait et il le savait, ce serait le cas, si cela retombait sur Rubis.
Sur leur paroles, il entraient dans le parc, leur pas ne perdant pas le rythme de la balade, mais n’accélérant pas non plus, prenant le temps de savourer cette instant de nature, cette fausse sensation de liberté si indispensable, en tout cas aux yeux de Karl. Les grillons accompagnaient de leur chant leur balade nocturne. Il gardait un léger et doux sourire, entendant la jeune femme reprendre derrière lui, acquiesçant à sa remarque sur cette endroit. Tout cela avait un effet paradoxale, l'endroit lui faisait du bien, lui rappelant les forets noir d'Okshor, qui entourait les chaines de montagne des titans, mais en même temps lui comprimait le cœur de nostalgie, comme si, les dieux lui interdisait de revivre dans un endroit pareil, d’être un prisonnier de ce monde de béton et d'acier.
Mais les nouveaux mots que la jeune femme à ses cotés lui offrit le tirèrent de ses pensées. Il était touché par cela, mais, lié au pensées d'avant, il ne pouvait que lui répondre.
" J'aimerais que ce soit le cas Mademoiselle Starling, mais chaque chose à une fin."
Dit-il d'abord sur une voix douce, teinté d'un point de mélancolie, regardant droit devant lui, puis, un sourire au lèvres, il la regardait de nouveau pour lui répondre.
" Il faudra bien que je vous ramène chez vous, il serait mal vu que vous tombiez de fatigue avant et que je me retrouve à vous porter sans savoir où vous ramener."
Dit-il en finissant sa phrase d'un léger rire, finissant par conclure sur un ton plus doux.
" Mais nous pouvons encore continuer un peu, tant que vos yeux ne vous pique pas."