Prénom: Ayumi
Nom: Kôshokuna
Âge: 19 ans
Sexe: Féminin
Race: ESPer
Orientation: Pansexuelle
Physique & Caractère:
Pour son âge, Ayumi fait encore lycéenne, et elle a pourtant terminée ses études. Et à vrai dire, elle a aussi achevée sa croissance au lycée, si bien qu’elle semble faire 3 ans de moins. Ainsi, malgré ses 19 ans, elle ne mesure qu’un mètre soixante seulement et ne pèse pas plus de cinquante kilos. Il n’en reste pas moins que, malgré sa petite taille et ses faibles formes féminines – une petite poitrine et un fessier peu bombé), elle est très attirante, avec ses longs cheveux châtains foncés et lisses qui tombent jusqu’à ses fesses, ses grands yeux verts bouteilles très expressifs et son épiderme légèrement basané. Enfin, ses mamelons proéminents et sa vulve charnue complètent son physique.
Dans la vie de tout les jours, Ayumi s’habille différemment en fonction du temps et des saisons. Pourtant, elle possède une tenue particulièrement perverse qu’elle affectionne: des jolières aussi longues que les bottes à talon haut assorties, en latex blanc rosés et transparents et aux bordures dorées, ainsi qu’un "collier" dans le même style. Sa poitrine est à l’air libre, mais son intimité elle, est couverte par une pastille de latex.
La jeune femme ne porte cette tenue dépravée qu’en certaines occasions, comme son manoir ou… lorsqu’elle décide de faire de l’exhibitionnisme la nuit tombée.
Car Ayumi est clairement une perverse. Malgré son éducation et ses centres d’intérêts divers, il n’y a rien qu’elle aime plus au monde que sentir les regards scruter son corps dénudé, les mains caresser et palper celui-ci, les membres défoncer ses orifices et leur jus épais la remplir ou la recouvrir. Lorsque la jeune femme se fait démonter par un homme ou dorloter par une femme, elle est emplie d’un sentiment d’amour, qu’elle n’a jamais connue avec sa famille, et qui l’a conforte donc dans son choix de vie.
Histoire:
Ayumi est née dans une famille de la haute société et, comme souvent dans ce milieu, son existence n’avait pour seul but que d’épouser un homme qu’elle n’avait pas choisie, de préférence un orphelin, pour augmenter toujours plus le prestige de ses parents. Pire encore, ils prévoyaient aussi de le faire tuer dans un accident pour s’accaparer sa fortune et remplir d’avantage encore leur coffre fort.
Pour cette raison, leur fille n’était pour eux qu’un outil pour parvenir à leurs fins et elle se devait donc d’être belle et attirante, et posséder une excellente culture générale. En revanche, ils ne ce sont jamais vraiment intéressé à elle, hormis vérifier une fois par an qu’elle répondait à leurs attentes exigeantes. La moindre petite erreur était synonyme de sanction sévères.
Ayumi ne supporta plus cette vie bien longtemps. A quoi bon naître dans une riche famille, si au final ce n’est que peur être l’esclave de ses parents et n’avoir droit à rien ? Alors elle fuga de chez elle en emportant un peu d’argent au passage – même si c’est plus qu’il n’en faut pour vivre décemment pendant quelques années – à ses 14 ans et traversa une bonne partie du pays pour finalement poser ses valises à Seikusu.
Bien sûr, elle avait prévue son coup. Elle s’était inscrite à Mishima comme interne en utilisant une adresse mail temporaire et un faux nom de famille, pour éviter que ses parents ne retrouvent sa trace. Ainsi, une fois installée dans sa chambre, elle en profita pour aller ouvrir un compte en banque et y déposer son argent, en utilisant ses vraies coordonnées cette fois, mais en passant par une association pour jeunes en difficulté – plus familiale que financière.
Ainsi, Ayumi mena une scolarité plus ou moins normale, se fit des amies et des rivales pour la première fois de sa vie, ainsi que ses premiers rapports sexuels et les dérives qu’on lui connaît aujourd’hui. Ce fut d’ailleurs à cette occasion qu’elle découvrit les possibilités que lui offraient son corps, d’une étonnante souplesse. Ses parents retrouvèrent sa trace vers le milieu de sa dernière année, mais grâce au soutien de son association et aux témoignages de ceux qui avaient assisté aux retrouvailles, ses parents perdirent tout droits de garde sur leur fille et durent même payer une lourde amande pour éviter la prison quant à leurs projets.
A la fin de ses études, son diplôme avec mention en poche, Ayumi aurait pu choisir n’importe quelle carrière. Mais le lycée l’avait transformé et avait fait de la jeune fille fragile une sacrée perverse. Toutefois, elle n’avait pas non plus envie de passer sa vie dans un bordel. Alors elle choisit d’ouvrir son propre café à thème, celui-ci étant sur le "latex de luxe". Basiquement, elle, ainsi que ses serveuses, possèdent la même tenue de latex rosé et transparent, et dont seul le vagin est couvert. En plus des boissons et pâtisseries habituellement proposées dans un café, la clientèle peut aussi déguster les serveuses à même la table, pour un supplément budgétaire un peu plus conséquent.
Depuis deux ans que le Café Kôsho est ouvert, celui-ci marche plutôt bien. Les serveuses sont d’anciennes camarades de classe et le café accueil même des stagiaires de temps à autre. Depuis son ouverture, c’est Ayumi elle même qui gère le comptoir. Son café se situe en périphérie de la ville, au rez de chaussée d’un manoir réhabilité, tandis qu’elle même vit dans les étages supérieurs. Ainsi, elle peut se rendre de chez elle au café en restant dans la même tenue.
Autres:
Le pouvoir d’Ayumi peut sembler basique aux premiers abords, mais il est en réalité très pratique. Son corps est en caoutchouc, que ce soit sa chair, ses organes ou ses os, mais il se déclenche fort heureusement lorsque c’est nécessaire seulement, sinon elle serait incapable de tenir debout.
Concrètement, cela signifie qu’il peut se déformer en cas de choc, s’étirer ou se tordre dans des positions improbables, que ce soit totalement ou partiellement, sans qu’elle n’en ressente de douleur.
D’un point de vue sexuel, elle peut se faire pénétrer par un membre de la taille d’une batte de baseball jusqu’à la garde et n’y prendre que du plaisir. L’autre particularité de son corps, c’est que sa peau est naturellement glissante et avec des reflets de lumière, comme si elle était huilée, alors que c’est l’effet caoutchouc.