J'expulse un bref instant l'air de mon museau tout en grognant, lorsque je vois la "pauvre fille" complètement terrorisée par ma présence. Mon regard impitoyable s'intensifie, alors que je commence à lui montrer mes dents pointues, dans un sourire volontairement carnassier. C'est alors que je remarque très vite sa chatte, juste au moment elle se pisse franchement dessus. La voir à ce point avoir aussi peur de moi et pour sa misérable vie de pathétique bipède toute branlante, me fait immédiatement partir dans un fou rire à la fois méprisant et diabolique.
- Hahaha... Hahahahahha... Hahahahahahahaha...
Soit cette allumeuse venait tout juste de s'envoyer en l'air avec une saloperie de son espèce, soit elle fantasmait de vouloir se faire violer comme une catin par le premier idiot qui passerait à sa portée, à la voir sans culotte. Alors pendant tout le temps où mademoiselle la pisseuse urine sur le sable qui se mouille rapidement entre ses cuisses, je la regarde faire avec autant d'amusement que de cruauté. Dès qu'elle a terminé de soulager son besoin de première nécessité, je me rapproche tranquillement d'elle. tandis que mes pattes s'enfoncent imperturbablement dans le sable, je passe d'abord mon museau sur sa chatte détrempée de sa propre urine que je renifle, avant de remonter un peu plus vers son ventre.
- Mais quelle vilaine fille! Ce n'est pas bien de se laisser aller comme ça, tu sais? Et venir ici toute seule sans personne. Sans avoir au moins de quoi te défendre contre les vilains méchants, ce n'est vraiment pas très prudent... Et en plus, la pauvre petite ne porte même pas de culotte.
Sans lui laisser le temps de réagir, je lui frappe violemment la tête avec le plat de la patte. Dès qu'elle touche son crâne, j'entends un bruit d'impact sourd. Cela ne lui fera pas de mal, mais ce sera déjà bien assez pour continuer de lui faire encore plus craindre ma présence, mais aussi la sonner le temps de quelques instants.
- Je cherchais un diner et il se trouve justement que tu es arrivée pile au bon moment...
Je profite de son l'inattention de cette salope pour lui déchirer ce sous-vêtement idiot, que la plupart des ces femelles portent. Un coup de griffe sans toucher une seule fois à sa peau de petit bébé fragile, suffit à déchirer ce tissus futile. Quant à son haut, j'écarte grand ma mâchoire pour aller me saisir de celui-ci. Pendant que je grogne, je la tire très violemment. Je secoue plusieurs fois la tête et je commence à la trainer dans le sable, jusqu'à ce que celui-ci se déchire grande en partie, presque aussitôt.
-Aaaaarrrrh! Grrrrr! Aaaarggh!
Une fois que je l'ai autant secouée qu'une proie que j'aurais éventrée avant d'en décrocher les boyaux, je recrache le gros morceau de tissu qui est partit avec, tout en la regardant avec mépris et furieuse excitation en même temps. sans connaitre cette fille, je la détestais déjà. Je détestais tout simplement parce que c'était une humaine! Et elle allait devoir être à mes pattes, si elle ne voulait pas que j'en fasse vraiment mon repas une fois pour toute!
- Dis-donc, c'est que tu as une sacrée paire de seins pour une sale grosse vache à lait, tu sais? Tu crois que si je te mettais enceinte fertilisant tes ovules avec mon foutre draconnique, que je pourrais en profiter pour le gouter après?...
J'écrase violemment l'un de ses seins, tout en continuant de l'observer avec agressivité. J'avais vraiment très envie de tuer cette pute! Mais en même temps, je ne voulais pas laisser une occasion de m'amuser avec une proie pareille!
- Ecoute moi bien, espèce de grosse crevure avec tes horribles cheveux. Si tu veux avoir une chance de ne pas voir tes membres éparpillés aux quatre coins de cette plage, tu vas faire exactement tout ce que j'attends te toi! Et pour commencer à me montrer ton obéissance de cloporte d'humaine remplie d'ordures infâmes jusqu'à la bouche, tu vas me montrer ce que c'est que d'être un vrai déchet! Un tas de merde sur pattes, qui aime bouffer ses propres excréments!
Bien que peux tout à fait utiliser mes pattes articulées, je me sers plutôt ma gueule pour lui attraper les cheveux par le côté. Je la force à se relever, pour qu'elle se mette accroupie. Je continue de lui parler, sans vraiment être gêné par cette prise aussi inexistante pour moi, que d'attraper une feuille.
- Je crois que c'est aussi comme ça, que les femelles de ta sous-race se mettent pour pondre leur progéniture nauséabonde, après s'être prostituées au bord des grands chemins ou dans ce que vous appelez chez-vous des "bordels"? Alors écoute moi très attentivement et ouvre grand tes oreilles, la pisseuse. Puisque tu as l'air d'aimer jouer avec tes déjections, tu vas commencer par me sortir ta plus grosse bouse ici sur le sable! Je veux te voir chier ta merde par terre, devant moi! C'est clair? Et quand ça sera fait, je vais te la faire bouffer, tout en te baisant la chatte qui sert à faire reproduire ton insupportable race de mammifère écoeurante! Est-ce que je suis assez clair pour toi ou je dois te le répéter, après t'avoir scalpé ton sale crâne de piaf primitif?
Je lui secoue la tête, tout en enserrant bien une partie de ses ridicules cheveux roses, avec mes dents de chasseur sanguinaire et impitoyable.
- Allez! Chie maintenant par terre! Et pousse bien fort, si tu ne veux pas que je la fasse directement sortir en t'arrachant moi-même les intestins! Vas-y pousse!
Tout en gardant ma parfaite emprise dominante sur elle, je commence à lui frôler la peau du ventre avec l'une de mes pattes griffues pour l'intimider.