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Bonne à tout faire (Marguerite Clairbois)

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Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Bonne à tout faire (Marguerite Clairbois)

Réponse 15 samedi 22 janvier 2022, 17:49:13

 

L'instruction du prêtre suffit pour que la jeune croyante reste là et renonce à ses projets immédiats ! Elle le regarde, un moment incertaine sur la conduite à tenir et lui sourit avec hésitation, se demandant visiblement ce qu'elle peut à présent faire de plus pour satisfaire l'homme de dieu ? Mais la réponse ne vient pas. Pas de la bouche du prêtre en tout cas.

...

Enfin si. Mais pas avec des mots. Elle a la surprise de le voir poser les genoux au sol devant elle lui offrir une dévotion qu'elle ne pensait pas avoir mérité ! Pourtant les caresse du prêtre sont douces. L'excitation n'a pas eu le temps de retomber, il ne faut pas grand chose pour qu'elle soupire puis gémisse sous les attentions qui lui sont portées. Elle écarte les jambes de son mieux pour faciliter le passage à l'homme de dieu et tremble à plusieurs reprises lorsque son bouton intime est stimulé. Elle serre entre ses doigts le napperon qu'elle n'a pas lâché et le presse contre elle entre ses seins.

Lorsque enfin le prêtre relève la tête, elle baisse les yeux vers lui. Elle a le reflexe de prendre son visage entre ses mains et s'essuyer avec douceur la mouille qui lui macule le visage. Elle murmure, le souffle court et le visage rougi par l'excitation et les nouvelles bouffées de plaisir.

- Oui mon père. S'il vous plait, chassez mes démons.

Elle ferme les yeux quand de nouveau il se remet à l'œuvre et rejette sa tête en arrière. Elle s'agrippe à sa tête, contracte parfois involontairement les doigts quand un sursaut la prend.  Et finalement, constatant que la position était tout sauf adaptée à "l'exorcisme" qu'ils étaient en train de pratiquer, elle finit par lâcher le napperont d'autel et prend place sur un des bancs de la paroisse, allongée sur le dos sur lui.  Il s'agit de celui du premier rang, où les nobles personnes et les notables prennent place les jours de messe. Là où les jeunes mariés s'installent le jour de leur cérémonie. Ainsi allongée sur le bois, le père Yves a tout le loisir de lui relever les cuisses, les maintenir en position écartées et reprendre sa sainte œuvre purificatrice. La jeune femme se cambre, tressaute et bientôt ses cris retentissent au sein de l'auguste chapelle, amplifiés par les hautes voûtes de l'édifice religieux.
 
 




Pere_Yves

Humain(e)

Bonne à tout faire (Marguerite Clairbois)

Réponse 16 dimanche 23 janvier 2022, 08:41:17

« … chassez mes démons », je n'ose y croire ; c'est la première fois qu'une paroissienne mêle autant le sacré et le cul. Car, au fond de moi-même, je sais très bien que la religion n'a plus rien à voir là-dedans. Enfin si, puisque j'offre le bonheur, mais quand même pas comme on me l'a enseigné.

De toutes celles que j'ai connues, Marguerite correspond à l'expression « le vice sous la pureté ». Dieu me pardonnera de dire que « on lui donnerait le Bon Dieu sans confession » comme le dit l'expression, et malgré certains décolletés bien surprenants dans sa tenue de paysanne.

Mais, une fois franchies ces barrières qui ne demandent qu'à se lever, c'est tout simplement incroyable. Elle se donne sans retenue, au point que je ne sais plus si c'est par dévotion ou par excitation.

Mais elle conserve une âme bonne, des gestes délicats, comme de m'essuyer le visage luisant de sa mouille. Avec le napperon de l'autel ! Je ne sais pas si ça relève du blasphème ; la question n'a jamais été posée en séminaire.

Je replonge avec délice dans cette offrande, ma langue explore avec douceur. Même si ses jambes tremblent un peu, je veux prendre le temps de faire monter ses soupirs pour qu'ils soient en écho aux vieilles pierres, et qu'ils expriment dans mon église la plus belle des mélodies.

Je sais que le plaisir s'empare peu à peu d'elle. Ses mains ont emprisonné ma tête. J'en sens parfois l'insistance pour que je continue, pour que j'arrête, pour que j'accélère. J'en sens parfois presque la griffure sur mon crâne dégarni par l'âge. Oui, moi si vieux et pervers, elle si jeune et fraîche.

Elle qui ose même prendre l'initiative, alors que je la sentais de plus en plus vaciller sur ses jambes. Mais quelle initiative ! Car c'est pour s'allonger sur un banc, carrément sur celui du premier rang réservé aux élites, à la place précisément de l'épouse du directeur de l'école – une vieille bourgeoise coincée soit dit en passant -, et m'offrant un spectacle divin.

Oui, divin ! Car, si Dieu a voulu m'offrir l'image de la beauté terrestre, c'est exactement cela. Marguerite, sainte innocente pécheresse, étendue nue sur feu le napperon de l'autel, les cuisses écartées sur son sexe aussi bien dessiné que luisant de mouille, et relevées tenues par ses mains pour m'en faciliter l'accès.

Une posture d'offrande ! Je bande de nouveau si fort, que je pourrais la prendre ainsi, et vraiment me libérer en elle. Elle était si brûlante sous ma langue, que ma queue rentrerait aisément, et que la jeune paroissienne ne demanderait pas davantage que d'être ainsi bourrée sur ce banc que je sais grinçant. Mais non !

Me traverse pourtant le fantasme qui, à presque chaque mariage me prend, juste avant de prononcer la bénédiction d'union nuptiale. Celui de savoir ce qu'il y a sous la robe de mariée, et même de lui offrir la dernière baise avant la vie maritale. Marguerite est plus ou moins sur cette place dédiée, elle serait sublime nue sous sa robe blanche.

Je me garde ça pour le jour où elle trouvera un villageois à marier. Pour le moment...

« Marguerite, tu es l'oeuvre de Dieu, et je vais t'honorer pour chérir son oeuvre », lui dis-je en reprenant ma posture. Mais, cette fois, je lève ses jambes sur mes épaules, je passe mes mains entre le napperon et ses fesses pour les tenir soulevées, et je reprends de plus belle mon ouvrage.

Le plat de ma langue se plaît à explorer, goûter, échauffer.
La pointe de ma langue se plaît à enrouler ce petit bouton de chair, qui n'est pas instrument du vice, mais expression du plaisir divin.
Marguerite bouge des hanches, ondule, gémit.
J'aime entendre son souffle saccadé, ses soupirs montant, ses petits cris qui en appelleront d'autres et résonneront dans toute l'église.
Je veux lui offrir ce plaisir, à elle seule, pour elle, au nom de Dieu qui est Amour.
Je me fie à ses mouvements, à ses tensions, à ses vibrations.
Parfois, ses jambes emprisonnent presque ma tête, et je ralentis un peu.
Parfois, je sens comme une moindre tension, et j'accélère sans retenue.

Mais, quand ses mains se crispent sur le pauvre napperon martyrisé, quand ses jambes se tendent à me faire mal aux épaules, quand ses cris se font désordonnés à être plus aigus que la plus aigüe des notes du vieil orgue, alors j'accélère autant que je peux, quitte à manquer d'air, comme un déshydraté voulant boire à la source tout le liquide qui lui est offert.

Marguerite n'est plus une simple paroissienne venue se confesser, mais l'expression du bonheur quand elle jouit. Je voulais cela pour elle, rien que pour elle. Je pourrais la prendre à ce moment précis, me satisfaire en elle, mais non.
Je me relève doucement, écartant ses jambes délicatement, la regardant encore agitée de soubresauts sur ce banc qui n'aura plus tout à fait la même teneur à la prochaine messe.

« Marguerite, après l'expiation de tes péchés, Dieu t'a offert tout son amour ».
Je redeviens l'homme d'Eglise, même si mon sexe est tendu sous ma tenue d'office.

« Mais je vois qu'il fait nuit. Si tes bêtes sont déjà rentrées, tu peux venir te reposer au presbytère. Tu auras de quoi te laver si tu le souhaites, et j'ai même de quoi dîner ».
Il manque une certaine dimension à cette invitation, quand même. Ça fait trop genre « je t'invite dans ma piaule, tu te douches et on remet le couvert » !
Alors j'ajoute : « Ce sera aussi l'occasion de voir tes activités d'entretien de l'église ».

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Bonne à tout faire (Marguerite Clairbois)

Réponse 17 dimanche 23 janvier 2022, 19:16:38


La jouissance avait cloué la jeune paroissienne au banc. Les mains agrippées à la tête du père, elle avait joui. Intensément, longuement. Un orgasme qui l'avait laissée pantelante sur le banc, comme sonnée, le regard encore perdu au milieu de milles étincelles. Le prêtre lui offre sa bénédiction et aussi insensées que soient ses paroles et la situation, en bonne croyante elle avait répondu par un signe de croix et par un murmure.

- Merci mon père.

Elle finit par reprendre suffisamment ses esprits pour se relever, de nouveau nue et hésitante. Peut être serait elle restée là indéfiniment sans savoir quoi faire, si le prêtre n'avait pas une fois encore pris la parole pour lui confier des instructions claires.  Le soir venait de tomber, ah oui ? La journée avait passé si vite. Sa confession avait duré bien plus longtemps qu'elle ne l'avait cru.

- Venir au presbytère ? Pour parler de l'entretien de l'église ?

Oui. Elle hoche la tête, toujours aussi docile et impudique dans sa tenue d'Eve. Mais elle finit par cligner des yeux et annoncer d'un air contrarié.

- Mais je n'ai pas rentré mes bêtes mon père, je dois le faire. Je vais le faire et vous rejoindre ... si ca vous convient ?

Elle le regarde par en dessous, hésitante. Mais il n'y a pas le choix. Même les animaux rachitiques qu'elle possède sont un bien trop précieux pour être laissés à la portée des renards ou des maraudeurs nocturnes. Sans compter que les laisser dehors se remarquerait très vite. Alors l'homme de Dieu ne peut que donner son assentiment. Elle ramasse ses affaires, se rhabille de son mieux et sort ainsi de l'Eglise, échevelée et ma refagotée. Des gloussements et des œillades entendues accompagnent son passage tout le long du chemin qui mènent à sa petite fermette. Elle s'y active pour réaliser les corvées quotidiennes qu'elle est contrainte de largement amputer à cause du manque de temps. Dieu aime les travailleurs courageux et punis la fainéantise. Mais les bénédictions du père Yves peuvent ils être vus comme une perte de temps par le très haut ? La question n'était pas très claire. Il faudra qu'elle pense à la poser au guide spirituel de leur village.

Elle se lave et se change avant de jeter un châle sur ses épaules et sa gorge nue. Elle se glisse dans l'air nocturne pour rejoindre le logement du prêtre. Il était tard, elle s'en voulait un peu d'avoir pris autant de temps. Peut-être le père Yves avait il même imaginé qu'elle lui avait fait faux bond ... cette pensée l'angoisse. Elle lève la main, prête à timidement frapper au carreau. Mais elle se fige. Elle entend des voix à l'intérieur. Qu'est-ce que ca peut être ? Le prêtre est-il en prière et parle t'il seul ? A t'il reçu un visiteur nocturne, un pénitent mortifié qui n'a pas su attendre la prochaine séance de confesse pour se purifier ? Curieuse comme une pie (c'est un vilain défaut), elle approche son oreille de l'huis et essaye d'écouter. Sa présence saura t'elle rester discrète ou les crissements de ses souliers sur les graviers de l'allée ont ils déjà trahi sa présence ?


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