Le prêtre commence son œuvre purificatrice. Et à chaque coup de rein qu'il assène, la fidèle répond par un cri étranglé. Elle halète, tremble quand il s'arrête, les cuisses ouvertes et l'intimité inondée. Elle hoche quand il lui murmure ses instructions à l'oreille.
- Oui ... mon père ...
Sitôt ses poignets détachés, elle les masse et se hâte de s'exécuter, sans oser lever les yeux vers l'homme saint. Lui tournant le dos, elle ôte d'abord ses jupons qui échouent au sols, finissant de révéler l'intégralité de ses cuisses, ses jambes et ses fesses nues. L'opération est facile puisqu'ils s'attachent à la taille et que ceux-ci on déjà été déplacés. La jupe représente en revanche une difficulté car elle est partie intégrante de la robe dont elle doit se défaire quoi qu'il advienne. Elle se redresse donc à genoux pour délacer son corsage avant de passer la robe en entier par dessus la tête et se retrouve ainsi nue à l'exception de la petite croix qu'elle porte autour du cou. Elle pivote sur ses genoux, grimaçe au contact froid de la pierre sous ses genoux et accomplit le demi-tour demandé. Le visage rougi par la honte, le regard bas, elle presse alors sa poitrine pleine de ses deux mains et les expose à la vue du Père Yves, en même temps que le crucifix en bois qu'elle porte autour du cou vient se loger à la naissance du sillon forme par ses deux seins. Elle leve un regard timide vers l'homme de dieu dressé devant elle dont le sexe n'avait pas perdu en vigueur.
- Ainsi, mon père ... ?
Quelque chose dans le regard sévère et l'attitude de l'homme de Dieu la fait se convaincre de continuer. Alors elle change de position pour se mettre à hauteur de la verge et se met en devoir de la lécher abondamment le membre malgré la présence de sa mouille encore chaude dessus. Plus que donner du plaisir, elle macule ainsi le sexe de salive afin de préparer à la suite. Ce n'est qu'après de longues secondes qu'elle change de position. Elle se dresse sur ses genoux et emprisonne la tige de chair entre ses deux globes plantureux, créant pour le prêtre un fourreau de chair doux et accueillant. Elle presse ses seins de ses mains et exécute un lent va et viens, facilité par l'abondance de la lubrification. Elle accélère et amplifie le mouvement peu à peu, faisant tressauter le petit crucifix au dessus de sa poitrine pendant que le membre turgescent du prêtre allait et venait juste en dessous.
Entendant et ressentant les effets de son traitement sur le prêtre, elle ose relever un regard timide vers lui, comme si elle cherchait à quêter son approbation. Jamais une fille n'aura mis tant de cœur pour se faire pardonner de Dieu ...