Le surveiller, c’est ma priorité. Est ce que je vais essayer de justifier le fait de l’avoir suivi chez lui en disant que c’était à des fins purement professionnel? Peut être. En soi, tant que je suis avec lui, on peut dire que je le surveille. Pas sure que de l’exercice soit vraiment conseillé dans sa situation, mais je ne suis qu'étudiante en Médecine, j’ai le droit de faire des erreurs. Le fait de me soulever pour me poser sur un meuble par exemple, je suis à peu près sure que c’est pas conseillé. Je ne suis pas une charge lourde mais quand même. Mon esprit de médecin prends le dessus une seconde pour regarder au niveau de sa plaie, puis repart aussitôt quand ses doigts commencent à jouer avec mes seins. Mon intégrité médicale n’a strictement aucune chance face à mon excitation.
Je sens ses mains sur mon corps bouillant, ses lèvres sur mes tétons dressés, son haleine qui glisse sur ma peau. Bordel que c’est bon. Je me tortille sur son meuble, ne sachant plus ou me mettre. Il a partout et nul part à la fois, j’ai chaud mais je frissonne. Il sait comment s’y prendre pour m’exciter. Malgré son jeune âge, il doit avoir pas mal d’expérience. Et moi qui pensais avoir affaire à un branleur qui ne tiendrait pas 5 minutes, bite en main, je dois reconnaitre que j’avais tort sur tous les points. Mes mains glissent dans ses cheveux, m’accrochant comme si ma vie en dépendait. « Beaucoup trop longtemps. » J’ai envie de ses mains partout sur moi, partout en moi. Il s’arrête sous mon regard suppliant. Je lâche un gémissement de contrariété, je ne veux pas m’arrêter là. Mais ça n’est pas le plan de Souta non plus, il m'attrape par les hanches pour me faire descendre. « Attends, ne me porte… » Je ne réussis pas à finir ma phrase avant de toucher le sol. «… Pas. » Si son bien être complet était mon principal problème ce matin, j’aurais commencé par éviter de le sucer dans un hall d’entrée. J’essaye de me sortir de la tête que je suis une médecin en carton qui s’apprête à baiser son patient de la nuit, alors qu’aucun des deux n’a vraiment dormi, que l’un d’entre eux a prit beaucoup d’anesthésiants et que l’autre tient au café. Les consentements sont évidemment là mais est ce qu’ils sont vraiment éclairés, c’est une autre question.
Je reste incrédule devant lui. Je l’ai vu en chemise d’hôpital, je l’ai vu en boxer, mais là dans son plus simple appareil, en érection en plein milieu d’une salle de bain glaciale, j’en ai du mal à avaler ma salive. Je le reluque de haut en bas, prenant le temps de défaire mon jean et d’enlever mes chaussures. Il y a quelques heures, j’étais en train de le suturer, le visage beaucoup trop près de sa bite et là, j’étais presque nue, complètement mouillée à baver sur ses abdos.
A peine déshabillée, Souta me pousse contre le mur de la cabine de douche. Il fait froid putain. Ma peau est en feu, excitée par tous les gestes de Souta et l’impatience de nos actes, mais le carrelage glaciale sous mes pieds me rappelle que nous sommes nus dans une salle de bain sans chauffage. Tout mon corps tremble, autant de froid que d’appréhension. Je ne vois pas ce qui se passe derrière moi, je sens juste ses mains qui me parcourent et sa voix amusé qui me dit ce qu’il a l’intention de faire. Ses doigts se glissent en moi, enfin récompensée de ma patience. Je gémis de plaisir, j’ai l’impression de me liquéfier. De la cyprine mouille ses doigts et dégouline le long de mes cuisses, des cliquetis humides se font entendre, mes hanches bougent sur sa main, essayant de les enfoncer plus loin, plus fort. Son pouce retourne explorer l’entrée de mon cul, je ne sais déjà plus ou donner de la tête alors s'il commence aussi à s'occuper de cet orifice là, on a pas finit.
Il rit à mon oreille, continuant de jouer avec ma patience. Je hoche la tête rapidement, oui putain, j’en veux plus. Il est là, blotti contre moi à me murmurer des mots pervers, je sens son énorme queue collé contre mon dos, je sens son souffle chaud dans mon cou, toutes mes craintes par rapport à lui, à sa blessure, à son âge, au fait qu’il soit un patient, s’envolent. Je bouillonne, prête à l’emploi, prête à devenir la salope qu’il rêve de baiser sous la douche. Je ferais absolument tout ce qu’il me demande tant qu’il promets de me prendre. Il a assez joué avec moi pour voir que je ne peux absolument pas résister à lui, j’ai juste envie d’une bonne baise et nos préliminaires m’ont trop excitées pour qu’on en reste là. Une de mes mains part à la recherche de sa bite dans mon dos. Une fois trouvée, je tends mon cul en arrière, positionnant son gland l’entrée de ma chatte. Elle est toute trempée mais elle reste étroite pour le recevoir. Je recule contre lui, le maintenant fermement pour qu’il puisse rentrer à l’intérieur sans glisser. « Oh putain… » Je n’ai rentré qu’à peine un quart et déjà je me sens remplie. Mes parois vaginales s’écartent, mais c’est toujours très serré. J’entame des légers va et viens, juste pour aider à m’écarter comme il faut pour pouvoir me baiser avec force. Je tremble de plaisir, la chatte écartelée. « Prends moi Souta. Baise moi. Putain, j’ai besoin que tu me baises. » Merde, c’était suppliant ça. Je n’arrive plus de retenir mon impatience. L’eau chaude coule sur nos corps entremêlés, ne nous aidant pas à calmer l’atmosphère. Mes hanches ondulent sur lui et essayent de grappiller quelques centimètres de bite. Une de mes mains se pose devant moi, m’aidant à tenir debout en tendant les fesses en arrière, l’autre glisse entre mes jambes, explorant mon clitoris gonflé avec la pulpe de mon index.