Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid) [Fini]

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Souta et Janus

Humain(e)

Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid) [Fini]

mercredi 15 décembre 2021, 12:59:15

= 22h18 : dans un bar de Seikusu =

- Putain ! J'en ai croisé des branleurs, mais toi...
- J'suis désolé ! J'voulais pas ! J'ai-
- Ta gueule ! Casse-toi fissa !
- Non, j'vais m'le faire ! L'enculé, il m'a-
- Tu vas rien t'faire du tout. Faut qu'on t'amène au toubib.
- Il a clamsé la semaine dernière. Ces connards d'albanais l'ont fait bouffer vivant par leurs clebs car un de leur chef est mort sur le billard.
- Merde, c'est vrai. Bah, pas le choix, on va aux urgences. On trouvera bien une excuse.
- Ou alors je leur dis la vérité. Que ton cousin est un connard qui ouvre un peu trop sa gueule.
- Non, s'te plaît. Sa mère risque de le buter.
- Et ce serait que justice.
- T'abuses, mec. Puis elle mérite pas de perdre son gamin de cette façon.
- Tu fais chier. Tu le sais ?



Tout se passait bien et on rigolait autour après une mission facile et pas trop mal payée. Sauf que le cousin d'un membre du groupe a voulu frimer devant des nanas en se vantant d'être un excellent lanceur de couteau. Résultat des courses, je me trouve avec une lame plantée dans l'aine et l'envie de casser la gueule à ce connard.
Le pire c'est que je ne sais même pas comment ce débile a fait pour me viser et m'atteindre alors que j'étais dans son dos ! Il a forcément fait exprès, je vois pas d'autre possibilité.

Faute d'autre solution, mon collègue et moi décidons de faire un saut aux urgences avec sa bagnole. Même si il a foutu une serviette et un drap pour éviter que j'en foute partout je suis content de pouvoir au moins saloper un peu sa bagnole en guise de vengeance. Le sang ça part pas facilement et même si on ne le voit pas les flics peuvent toujours le faire réapparaître avec leurs produits chimiques.
Ca lui vaudra pas de grosses emmerdes non plus si ça venait à arriver, mais un homme peut bien rêver.


= 22h45 : arrivée aux Urgences =

Le bras autour du cou de celui qui m'aide à tenir debout nous nous dirigeons à l'accueil où se tient le cliché de toute série médicale. Une bonne femme est là, clope à la gueule, le téléphone dans une main et son portable dans l'autre.

- Faut que vous aidiez mon pote.
- Hein ?
- Il est blessé à la jambe.
- J'suis pas aveugle.


La femme s'interrompe une seconde pour se redresser et vérifier ma blessure avant de retourner sur sa chaise.

- C'est bon, ça coule pas. Il est pas, non plus, en danger de mort.
- Vous déconnez !
- Un peu de respect ! Allez donc remplir ce formulaire et on vous appellera le moment venu.


On les connait les nanas comme ça. Elles pensent qu'à leur gueule et à moins d'avoir du fric sur soit on ne peut pas négocier avec elles. Cette conne ne perd rien pour attendre car je suis du genre rancunier.


= 23h27 : dans la salle d'attente =

J'ignore si c'est le fait de rester sans rien foutre depuis tout à l'heure mais je commence à sentir de moins en moins ma jambe. En décidant de regarder, plus par curiosité qu'autre chose étant donné que je ne sens pas plus de douleur que ça, je constate que le sang s'est remis à couler le long de ma jambe.
Au même instant un médecin débarque et demande à ce qu'on m'emmène sur un brancard avant d'hurler sur la grognasse de la réception.
Enfin, je ne peux que voir car je n'entends rien de plus que des sons inaudible et caverneux qui me résonnent dans les oreilles. Même mes lèvres refusent de bouger alors que je tente de toutes mes forces de lâcher un "Bien fait pour ta gueule" à celle qui m'a laissé crever ici.


= ??h?? : dans les couloirs de l'hôpital =

J'émerge lentement avec un mal de crâne carabiné comme après une mauvaise cuite. Mes fringues sont partiellement déchirées et découpées alors que j'entends difficilement une voix qui semble provenir de plusieurs kilomètres de distance. Signe que je suis encore dans un état foireux.

- Bonsoir ! Vous m’entendez ? Nous sommes parvenus à guérir votre blessure et ce ne fut pas simple car cela aurait pu devenir grave si nous étions intervenu trop tard.
Je vous demanderai de ne pas bouger pour le moment, quelqu'un va venir vous recoudre dans quelques minutes.


N'ayant ni l'énergie, ni l'envie de vérifier ce qui se passe autour de moi, je reste allongé en fixant les lumières au plafond. Laissant également les divers bip, les voix d'inconnus et autres sons me bercer. Pour le moment j'ai juste envie de souffler.
« Modifié: samedi 26 février 2022, 20:01:53 par Souta et Janus »

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)

Réponse 1 jeudi 16 décembre 2021, 18:48:36

Début de la garde, 19h. Tout commence par des urgences calmes. Les collègues m'ont laissé un service plutôt tranquille. Pas trop de monde, des petites blessures à droit à gauche mais rien de bien méchant. Je m’accorde un café pour commencer ma nuit, deux sucres et du lait, comme chez Mamie. Hanna vient me voir pour me confirmer mon planning de la semaine prochaine, il manque encore du monde sur certains jours, je vais encore devoir me taper une journée supplémentaire de garde pour compenser. C’est la quatrième ce mois ci. J’espère secrètement que ça se répercutera un peu sur mon salaire pour pouvoir me payer quelque chose de sympa à la fin du mois. Peut être des sous-vêtements. Ouais on a toujours besoin de nouveaux sous-vêtements. Une sirène me sort de mon état pensif. Trauma crânien, tombé d’un toit. Ca y est ,le bordel commence. Je regarde l’heure rapidement. 19h13. Super, le calme aura duré 13 minutes.

22h17

La c’est Bagdad. Une épidémie de gastro est arrivée. Les gamins sont tous en train de vomir dans tous les sens. Y’a deux mecs bourrés qui se sont battus, l’un à une fracture de la mâchoire, l’autre à la main et ils continuent à se hurler dessus. J'essaye de calmer les deux alcooliques en leur proposant un médicament pour la douleur, l'infirmière mets de la glace sur la main de l'un pendant que je vais chercher de la morphine pour l'autre. Y’a trois petits vieux qui ont chutés à la maison et au moins, un des trois s’est peté le col du fémur, si ça n’est pas les trois. Y'a un gamin qui s'est ouvert le front en fonçant dans une table, un autre qui s'est mordu la langue jusqu'au sang. On nous a déjà appelé pour nous prévenir que deux voitures s’étaient percutés pas loin d’ici et que les blessés allaient pas tardé à arriver. On ne sait pas trop ou donner de la tête. La salle d'attente est déjà pleine, les gens s'entassent les uns sur les autres. La nuit va être longue.

23h31
 
«  Mary, pourquoi y’a du sang par terre? » Je fronce les sourcils en voyant la mare de sang dans l’entrée et demande à l’hôtesse d’accueil ce qui se passe. Celle ci hausse les épaules, absolument pas intéressée par la flaque. Je remonte la trainée de sang et trouve un gars assis sur une chaise, à peu près conscient. Je crie sur mes collègues «  J’ai besoin d’aide » Un des médecins débarque avec un brancard et m’aide à soulever le mec pour le placer dessus. Et au passage, Mary se fait remonter les bretelles par le chef de service qui lui demande pourquoi une telle plaie n’a pas tout de suite été pris en charge. Mary baisse les yeux, peu fière d’elle. Ca n’est pas la première fois qu’elle foire. J’espère presque qu’elle se fasse virer. En attendant, on dirige le patient vers une salle de consultations. Il a déjà perdu pas mal de sang, les infirmières le perfusent pendant qu’on essaye de trouver d’ou ça saigne. Le médecin essaye d’éponger ce qu’il peut pendant que je trifouille pour trouver le point d’appel. «  J’ai! » Dis-je fièrement en mettant mon doigt dessus. Le saignement s’arrête presque instantanément. Quelques points au niveau de la plaie, quelques compresses pour absorber ce qu’il reste et le patient est sauvé. Il est pale, un peu shooté mais toujours vivant. Le médecin me tape sur l’épaule d’un air reconnaissant puis frappe doucement la joue du patient pour le réveiller. « Bonsoir ! Vous m’entendez ? Nous sommes parvenus à guérir votre blessure et ce ne fut pas simple car cela aurait pu devenir grave si nous étions intervenu trop tard. Je vous demanderai de ne pas bouger pour le moment, quelqu'un va venir vous recoudre dans quelques minutes. » Il me lance un signe de tête sur la plaie pour me montrer que c’est mon boulot maintenant. « Bonsoir, je m’appelle Astrid, je suis l’une des internes ici. C’est moi qui vais vous recoudre. Vous pouvez me dire votre prénom et comment vous vous êtes fais ça? » Je m’installe sur une chaise près du patient pour examiner la plaie. Je penche ma tête vers celle ci. Son boxer est sur le chemin, on a même pas prit le temps de lui enlever pendant la bataille. « Je vais devoir découper votre boxer comme vous avez pas le droit de bouger. » Il a l’air jeune, plus jeune que moi. Je suis un peu gênée de devoir faire ça mais bon, c’est nécessaire. Les joues rougies, je prends des ciseaux et commence à découper, en essayant de faire attention à ses parties intimes pour qu’elles soient toujours couvertes.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)

Réponse 2 jeudi 16 décembre 2021, 23:23:13

Le repos dont j'espérais profiter n'est que de courte durée. Une question de secondes à peine ? Ou alors il s'est écoulé une heure entre les deux interventions vocales ? Le fait d'être dans les vapes et crevé n'arrange rien à ma notion du temps. Pour ce qui est de la douleur je peux gérer sans véritable souci. Par contre la came et les médocs c'est une autre affaire vu que j'évite ça comme la peste. Font chier les toubibs à ne penser qu'avec leurs cachets et autres produits. A croire que ce sont des putains de sadiques qui attendent la première excuse pour te planter ou te charcuter. Ils veulent aider leur prochain ? Et mon cul c'est du poulet ?

C'est d'ailleurs pas vraiment un cul, même si elle en a forcément un, voilà que quelqu'un se présente à moi. Astrid ? C'est pas très japonais tout ça. Je tourne la tête par réflexe en suivant le son de sa voix pour mettre un visage sur la femme qui me cause.

Pour le moment son visage reste encore flou pour moi. Saloperie de médoc ! Comment je vais la reconnaître si jamais elle se foire ? Les salauds ont prévus le coup. Ils bourrent les patients de saloperies pour se couvrir à l'avance en cas de pépin.

- Mon prénom ? Bonne question...

En général on a l'habitude de balancer de fausses identités quand on fait un saut à l’hôpital, question de sécurité. Le souci c'est que mon état m'empêche de réfléchir et de trier mes pseudonymes encore actifs ou déjà cramés. Heureusement pour moi, j'enchaîne sans trop réfléchir en détournant le sujet.

- Ce qui m'est arrivé ? De ?

Mon regard se dirige cette fois vers ma jambe blessée. Putain ! Je m'en souviens. Un brin de lucidité anime ma voix quand je lui réponds.

- Quoi, ça ? C'est rien ! Juste le fruit d'un verre de trop et d'un pari débile.

Évitons de crier sur les toits que j'ai déjà vécu bien pire. Surtout qu'elle ne perd pas de temps pour annoncer la couleur et commencer à se jeter sur mon boxer.

- Ah ?

Je me retiens cette fois de faire une blague un peu sale. Elle tient des ciseaux après tout. Un mot de travers et elle me la coupe sur le champ en prétextant un accident.
Vu le côté où elle s'est positionnée je sais d'avance par où elle va attaquer et, cette fois, c'est juste trop tentant.

- Heureusement que j'me suis pas blessé à l'autre jambe, sinon l'accès aurait été bloqué.

D'un geste lent et discret je tire sur le drap qui couvre mon autre jambe pour montrer que mon boxer est bien rempli du côté opposé où elle se trouve. Même au repos il y a déjà de quoi bien remplir le sous-vêtement. Il arrive même que mon gland dépasse quand je me tient debout. Si ce n'est pas le cas actuellement c'est sûrement parce qu'il est trop intimidé.

- Même endormi il peut être difficile à réveiller et pousser.

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)

Réponse 3 vendredi 17 décembre 2021, 17:19:54

Entre tous les drogues qui lui ont été administrés, je suis un peu surprise qu’il arrive encore à me parler correctement. La morphine sait très bien soulager la douleur et provoque de temps à autre des états euphoriques. Ses réponses ont l’air cohérentes, mais ça ne sont pas des réponses. Je n’ai toujours pas son prénom, ni comment ça lui ai arrivé. Il esquive mes questions. Je fronce les sourcils. Qui fait un pari stupide et se retrouver avec un couteau planté dans la jambe? Le mec est bizarre ou il a des copains bizarres. Ou les deux « Du coup, vous êtes ivres là? » Ca explique le bordel qu’il doit y avoir dans sa tête, en plus des anti-douleurs et de l’anesthésie. «  Et j’ai toujours besoin votre nom. » Je tiens le bon bout, il faut absolument que je lui fasse cracher son identité. En soi, même une fausse identité, ça me conviendrait, tant qu’on peut le noter sur l’ordinateur à un autre nom que XXX, ce qu’il est pour le moment.

J’écarquille les yeux en l’écoutant. Attends, il est vraiment en train de se découvrir pour me montrer sa bite? J’espère profondément que c’est l’anesthésie qui le fait parler au médecin qui est censée le recoudre. Et il continue en plus. J’attrape le drap et le recouvre rapidement, ma main posé sur son entre jambe par dessus le tissu. «  Tu rigoles là? T’es vraiment en train de me la montrer? Gamin, je suis censée te recoudre. » Puis je me rends compte de ma position, ma main posé sur sa queue, mon visage à 5 cm de ma main. Si quelqu’un rentre maintenant, on peut croire que je le branle en consultation. Je retire ma main comme si j’avais été brulé. Bordel. Je l’ai appelé gamin et je l'ai tutoyé, j’ai dépassé les bornes. « Huuum, désolée. On va dire que ce sont les drogues qui ont parlé et que tu n’as pas essayé de me montrer… Ton engin. » Mes joues qui étaient déjà rosées, deviennent rouges de honte. Alors oui, j’ai vu et senti sa grosseur, est ce que ça m’a un peu excitée? Un peu. Putain de perverse que je suis. Je suis censée le recoudre et je pense déjà à toutes les façons ou il pourrait m’utiliser. Je secoue la tête, essayant de replacer mes pensées dans le bon sens. C’est un gosse, il a pas plus de 25 ans c’est sure, Astrid, tu peux pas baiser un gamin, reste professionnel.

Je me lève de la chaise pour prendre le matériel de suture. Pense aux aiguilles, aux fils. Je me re concentre comme je peux. Un peu d’anesthésiant local. « Reste calme, je vais te refaire une anesthésie locale. » Je mets mes gants et prends la petite seringue, piquant autour de la plaie. Puis j’entame la suture, 6 points à l’intérieur, 8 points à l’extérieur. Plusieurs fois, ma main l’effleure, mais je garde ma concentration, je ne peux pas penser à ça maintenant. Une fois terminé, je me recule pour admirer le résultat. La plaie est propre, les points ont l’air de tenir malgré mon manque de concentration. J’appuie doucement sur la plaie pour tester la douleur. « Ca fait toujours mal quand j’appuie là? »

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)

Réponse 4 vendredi 17 décembre 2021, 19:03:30

Ah ouais, la vache ! Je balance quelques blagues et elle fonce directement pour vérifier l'état de la marchandise ? On est également passé au tutoiement en un temps record. Sans parler de sa tête qui s'est dangereux rapproché de mon paquet. Un peu plus et je tenais le tiercé gagnant dans l'ordre.
Mon objectif était juste de détendre l'atmosphère et de rigoler un peu. Surtout qu'en général le personnel dans les hôpitaux ne s'offusque pas pour grand chose car des cours d'anatomie ils en ont eu plus d'un avec les années.
Vivre à Seikusu doit également avoir permis à chaque personne qui bosse ici d'avoir vu des bites par dizaines. En plus des corps étrangers exotiques logés dans des cavités où ils n'ont pas leur place. Sa réaction est amusante et me donne envie de jouer davantage pour voir comment elle répondra à mes gestes.
Même sa façon de s'exprimer est pudique. Un "engin" ? Soit c'est de la timidité, soit c'est de l'envie car elle a pu entrevoir les dimensions du bout de viande.

Lorsqu'elle revient à la charge avec sa seringue en me demandant de ne pas bouger je joue le jeu alors que j'aurais préféré ne pas me taper de piqure supplémentaire et inutile. Font chier avec tous ces médocs, à croire qu'elle veut abuser de moi ou me foutre KO pour avoir la paix.

- Toujours ? Non, j'ai pas eu mal avant non plus. C'est normal d'ailleurs ?

Par réflexe je retire le drap qui protège mon autre jambe pour vérifier que je peux la plier.  L'espace d'un instant j'oublie pourquoi elle avait été recouverte par l'interne qui est plutôt mignonne. Ce n'était pas de la panique, mais cette surprise m'a procuré une brève sensation de lucidité.
Sauf que dans le feu de l'action, plus rien ne masque la vision de mon entrejambe qui est aligné là, sur le lit, comme s'il s'agissait d'une planche à découper.

- Oups !

Je ne prends même pas la peine de revenir me couvrir. Ce qui est fait n'est plus à faire comme on dit. Pas sûr que ça colle à la situation actuelle par contre.

- C'est juste une bite de toute façon.

Elle l'a touchée juste avant, alors la voir prendre l'air ne va pas non plus la traumatiser. Évitons juste de balancer ça à voix haute pour ne pas qu'elle pique une crise. Les femmes ont pour vilaine habitudes de se mettre à gueuler sans raison la majorité du temps. C'est pas de la misogynie mais juste le fruit de mon expérience. Bon, d'accord, dans 80% des cas elles s'étaient retrouvées avec ma trique en pleine érection. Et ce n'est que dans les pornos ou les hentai que les femmes fondent devant des bites surdimensionnées, soyons francs. Toute femme normale lâchera un "non, je refuse de m'infliger ça".


Astrid Grace

Humain(e)

Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)

Réponse 5 dimanche 19 décembre 2021, 10:13:44

« Oui c’est tous les anesthésiants qu’on t’a donné. Tu ne peux pas avoir, mais ça va revenir. »

Je ne prends même plus la peine de le vouvoyer. Il est clairement plus jeune que moi et essaye de jouer les caïds, même avec une plaie profonde dans l’Aisne, ne voulant pas me donner son nom et esquivant mes questions avec brio.

Bon alors apparemment le gamin ne comprends pas la pudeur. Il veux absolument que je la vois. Quand il se découvre sur vérifier que sa jambe fonctionne encore, son sexe réapparait, comme par magie. Et en plus, il me nargue avec. Alors oui, elle est grosse et elle n’est même pas bandé, ça j’avais compris, je l’ai déjà vu de près, ça m’a déjà titillé. Le gars doit avoir des tendances nudistes… Ou exhibitionnistes. Comme toute femme, je réagis « Oui c’est juste une bite. J’en ai vu des plus impressionnante. » Et je lui souris, ravie d’avoir un peu pu le narguer à mon tour.

« -Astrid? On va avoir besoin de toi par ici ! » hurle le médecin à travers la porte. Une nouvelle urgence se profile et je dois laisser le gamin seul. «  Bon on te garde jusqu’à demain matin. Si tu te sens bien, tu pourras partir. Mais en attendant, tu bouges pas et tu dors. »

6h25

« Comment tu te sens? » Une main sur son épaule, je le secoue légèrement pour le réveiller. Il a dormi 6 heures d’affilé. Il ouvre un oeil, pas pressé de se réveiller complètement. Il a toujours moitié la queue à l’air, vu l’heure qu’il est et mon état de fatigue, ça me fait plus rire qu’autre chose. Je suis sure que c’est le genre de mec qui se trimballe à poil en permanence dans son appartement. « Je regarde ton pansement et si tout va bien. Tu peux y aller. » Cette fois, la fatigue de ma nuit l’emporte et je le découvre complètement. Il est tard ou tôt d’ailleurs, je suis claquée, ça m’amuse. Sa bite est à complètement à l’air cette fois, je me penche au dessus pour regarder la plaie, les joues rosies par ma audacité, le dos tourné à la porte pour que personne ne me voit faire. Le pansement est propre, la peau a l’air saine, je ne m’attarde pas dessus. «  C’est bon. Tu auras juste besoin de pansements tous les jours. Tu peux dire à tes potes de venir te chercher. » Je le recouvre, tout sourire et le laisse seul en lui faisant un petit signe de la main.


7h48:


La libération. Fin de garde. J’ai pas dormi une minute, j’ai des cernes de 45 cm sous les yeux, j’ai mal aux bras d’avoir soulevé des gens toute la nuit, mais j’ai fini. Je vais rentrer, prendre une douche et aller me coucher. Une fois dehors, je m’étire en baillant. Putain, et y’en a une nouvelle dans 2 jours. Fais chier.

Il caille en plus, je m’emmitoufle dans mon écharpe, sachant un nuage de fumée blanche en passant et m’engage vers ma voiture. C’est là que je le trouve. Sur un banc, affalé, en train de cailler avec son pull même pas épais. « Hey l’exhibitionniste! Qu’est ce que tu fais encore là? » Il a l’air seul, abandonné et frigorifié. « Tu sais quoi. Si tu me donnes ton prénom, je te ramène chez toi. » Je tapote sur ma propre épaule pour lui signaler de s’appuyer dessus pour s’aider à se relever et marcher. Ca sera ma bonne action de la semaine.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)

Réponse 6 dimanche 19 décembre 2021, 12:27:01

Si mes souvenirs sont bons, je ne pense pas avoir trop abusé sur la picole hier soir. Ouais, hier soir... Si j'en crois les infos qui sont diffusées à la télé pas loin de mon lit. J'ai dû m'écrouler comme une merde lorsqu'elle m'a conseillé de me pieuter quelques heures.
Par contre j'ai encore un peu la tête das le cul lorsqu'elle repasse me voir. Moins farouche cette fois en tout cas vu qu'elle n'a plus l'air si gênée qu'avant par ce que je ne me fais pas chier à cacher. Trop fatigué, une flemme incommensurable qui m'empêche d'aller chercher le bout du drap pour le remonter.

La coquine cachait bien son jeu en fin de compte. J'suis prêt à parier qu'elle est de celles qui attendent que les mecs prennent les devants pour vraiment se lâcher. Elle ne dira jamais oui d'elle même, mais... elle n'ira jamais dire non si on l'engage comme il faut.

Au bout d'une demie heure, une femme vient me voir pour me donner ma fiche de décharge en me ramenant mes fringues pour que je me sape. Dommage, je me serais bien fait la petite Astrid si elle était dans le coin. Malheureusement je la vois nulle part et je ne compte pas rester des plombes à glander pour un plan cul qui pourrait ne pas se concrétiser.

J'appelle le mec d'hier pour qu'il vienne me chercher mais j'obtiens que sa messagerie. Le portable que j'ai est réservé au boulot de la veille, du coup pas d'application pour réserver un taxi. Idem pour le bus, la majorité des chauffeurs vérifient qui mets un ticket ou pas. L'autre jour un gars a carrément appelé les flics car une grand-mère avait oublié sa carte et avait pas de monnaie sur elle. Y a pas à dire, on vit dans un monde de crevards.

Après plus d'une demie heure à me geler le cul en réfléchissant sérieusement à faire le trajet à pieds, une bonne surprise m'attend. Je ne l'avais même pas vu avant qu'elle ne m'appelle.

- Ah ? On se donne déjà des petits noms ? Bah, c'est évident, j'attends une solution qui me tombera du ciel.

Tant que c'est pas un avion, je suis preneur de quasiment tout le reste. Quasiment seulement, car les démons aussi ça craint et ces saloperies ont souvent des ailes.

- T'as l'air vraiment déterminée à me connaître.

Je souffle un grand coup pour tenter d'évacuer le froid avant de lui répondre.

- J'm'appelle Souta.

Autant lui donner mon vrai prénom. De toute façon j'aurais aucun mal à me sortir de possibles emmerdes le moment venu si j'en ai qui me tombent sur la gueule. En la voyant me proposer son épaule je refuse sans être méchant.

- Ca va aller, je suis pas encore devenu handicapé. Mais merci.

Tout logiquement nous nous dirigeons vers sa caisse dans laquelle je monte sur le siège passager à côté d'elle une fois qu'elle déverrouille la portière. Y a pas à dire, on est plus au chaud là-dedans. Juste le temps de laisser le froid qu'on a fait entrer dedans s'en aller. J'attends qu'elle démarre pour engager la conversation.

- J'suis curieux. T'offres souvent à des inconnus de les ramener après les avoir tripoté dans des lieux publics ? Je juge pas, hein !

La question est posée avec humeur vu que je rigole en même temps que les mots sortent de ma bouche. Pas de ton coquin ou plein de sous-entendu, juste une question pour détendre l'atmosphère.

Entre ses gestes avant ma sortie et le fait qu'elle soit partante pour me raccompagner je me lance à une question bien plus tendancieuse.

- Alors comme ça t'as vu des bites plus impressionnantes que la mienne ?

Ma main vient se poser sur sa cuisse pendant qu'elle tient le volant. Une astuce comme une autre pour profiter de la situation. Cette route je la connais par coeur et je sais qu'il y a très peu de feux, ce qui m'offre une opportunité parfaite de continuer mon petit jeu.

- Par contre je doute que la mienne puisse entrer dans une aussi petite bouche et délicate que la tienne.

Un fait que je suis pressé de vérifier par moi-même dans un moment. Ma main sur sa cuisse s'en éloigne pour attraper sa main libre au niveau du poignet pour la déposer sur ma trique qui commence à se réveiller doucement mais sûrement.

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)

Réponse 7 mardi 21 décembre 2021, 10:49:23

Il me fait rire. Il parle beaucoup. Il a une certaine confiance en lui que j’apprécie. Ca n’est pas un des fils de riches que j’ai l’habitude de soigner avec leur portable à l’oreille et leur carte Gold, qui nous regardent travailler de haut. Lui m’a vraiment parlé, genre une vraie discussion. Bon une discussion qui tournait autour de l’exposition de sa bite, mais ça c’est une autre affaire. «  Déterminée à te connaitre, je sais pas. Mettre un nom sur l’exhibitionniste que tu es, ça par contre oui. »

Souta, finalement je mets un prénom sur son visage. Il reste convenable et refuse mon épaule offerte avec compassion. Le gars veux peut être avoir l’air d’être d'un dur à cuire. Nous nous dirigeons vers ma voiture sur le parking des employés. Je la déverrouille et le vois se faufiler à l’intérieur avec soulagement. Je mets le contact et allume le chauffage. Je ne sais pas depuis combien de temps le jeune homme est dehors mais un peu de chaleur ne va pas lui faire de mal.

J’essaye de me concentrer sur la route. Je me convaincs que si je le ramène chez lui sans avoir fait de sous entendu, je le laisse partir et je n’y repense plus. Je souris quand il me demande si je ramène souvent mes patients. La vérité? Ca m’arrive jamais de proposer à des patients de les ramener chez eux. Je ne l’ai d’ailleurs jamais fais avant aujourd’hui. Et si l’un d’entre eux était un psychopathe? Et si Souta était un psychopathe? J’essaye de me persuader dans ma tête que c’est pour me donner bonne conscience et que c’est parce qu’il est jeune et qu’il fait froid, mais soyons réaliste. C’est surtout que j’ai joué avec le feu une partie de la nuit avec lui et que ça me reste en tête. Le but n’était pas de finir comme ça, coincée avec lui dans une voiture. « Non à vrai dire, ça n’arrive jamais. Et je ne t’ai pas tripoté ! » Faussement offusquée, je ris, les yeux rivés sur la route. C’était pas du tripotage, c’était au pire de l’effleurage.

Puis Souta prends des initiatives, Sa main se pose sur ma cuisse. Putain. Il pense à la même chose que moi. Et là, il lance les hostilités. Mes joues rougissent d’un seul coup, alors oui, j’y pense depuis plusieurs heures, mais de là, à ce que ça se réalise… C’étaient potentiellement des pensées parasites de médecin fatiguée pour s’aider à continuer, le joli fantasme médecin - patient, celui qui nous fait regarder des pornos et acheter des costumes d’infirmières sexy à Halloween. Il prends mon poignet et la dirige vers sa queue, commentant sur le fait qu’elle ne rentrerait surement pas dans ma bouche. Je reste surprise devant son audace. Et en même temps, j’ai déjà vu sa bite plusieurs fois, je l’ai invité dans ma voiture et je lui fais des sous entendus vexants sur son penis depuis tout à l’heure. L’arrogance du gamin est ressorti évidemment. Les yeux toujours fixés sur la route, je la sens grossir sous ma main. Ok, c’était clairement le genre de queue qu’on commente entre collègues aux Urgences, celle qu’on voit par inadvertance et qui nous fait fantasmer en sortant. Je m’arrête au seul feu rouge de la route, les joues en feu, l’excitation palpable, et relance le jeu. « Il va falloir qu'on vérifie  ça ensemble alors. » Avec mon index et mon pouce, je défais le bouton de son jean, descends sa braguette et sort sa bite, passablement excitée et déjà imposante. Je l’enserre entre mes doigts et commence à la faire glisser. L’exhibitionniste a maintenant le droit à une branlette dans la voiture. Prescription du médecin. « Reste concentré quand même, tu dois m’indiquer la route. » Plutôt fière de mon coup, je passe quelques vitesses avant de la reprendre en main et de le branler, plus vigoureusement cette fois.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)

Réponse 8 mardi 21 décembre 2021, 13:23:46

Le jeu démarre bien plus rapidement que je l'avais anticipé, preuve qu'elle avait juste besoin d'une situation propice et d'un coup de pouce pour se lâcher. En parlant de doigt, les siens se baladent sur mon jean pour l'ouvrir et venir chercher ma tige encore molle qui gonfle petit à petit sous ses caresses maladroites étant donné qu'elle doit quand même conduire la voiture en surveillant la route.

L'air frais qui rentre dans la voiture depuis le petit espace laissé ouvert au niveau de la vitre de mon côté me permet de prendre autant mon temps que possible pour grossir. Il ne faudrait pas que ça se termine trop vite non plus vu qu'elle semble aimer ce genre de pratique coquine. Pour quelqu'un qui me qualifie d'exhib, branler un mec dans sa bagnole en sachant que n'importe qui pourrait nous voir ne semble pas la déranger.

C'est vrai que la majorité des personnes en voitures qui vont au boulot à cette heure sont encore à l'ouest. Mais ce serait sans compter sur un bus qui pourrait passer à côté de nous. On n'est jamais à l'abri d'une surprise.

- Tourne à gauche après le carrefour là-bas où on voit l'enseigne verte.

Plus on se rapproche de mon appart et plus je sens l'excitation monter en moi. Pas au point de finir en pleine érection cependant. Alors que ses doigts fins et délicats continuent de faire gonfler ma trique, on finit par arriver à un stop avec personne aux alentours ou derrière nous.

- Attends... Repars pas tout de suite. Bave un peu dessus pour mieux me branler.

Bien entendu je ne compte pas attendre d'arriver dans mon appart pour essayer de la faire goûter à ma queue. Sauf que vu qu'on est encore en voiture, ça la foutrait mal si elle venait à s'étouffer avant de nous envoyer sur le décors sur un mauvais mouvement.

Après un peu moins de cinq minutes supplémentaire de trajet, on fini enfin par arriver à mon adresse. Je la laisse se garer, enclencher le frein à main et couper le contact  pour venir glisser une main entre ses cuisses par-dessus son bas pour venir la chauffer un peu. Ce n'est que chose normale vu qu'elle n'a pas hésité à jouer avec moi. Mon visage s'approche du sien, langue légèrement tendue pour aller à la recherche de la sienne afin de l'embrasser de manière baveuse et sale. La chose dure à peine une dizaine de secondes, le temps de la titiller.

- J'suis pas un monstre, j'vais pas dégueulasser ta bagnole. Descends et suis-moi.

Le parking ici n'en est pas vraiment un. Il s'agit juste d'un petit espace pour quelques caisses à côté de la porte d'entrée du bâtiment qui, elle aussi, ne tient même plus fermée. Je ne prends même pas la peine de me rhabiller en la tirant avec moi dans le hall couvert de tags. Des lettres et autres prospectus sont étalés, écrasés, couverts de traces de pas boueuses à même le sol.

- On sera bien ici.

Ma trique déjà épaisse et grasse alors qu'elle encore à demie dressée dans l'autre main, je lui fais comprendre de se mettre à genoux devant moi alors que je me colle dos contre un mur.

Étant donné que je ne bande pas encore suffisamment, j'ai besoin de soulever mon gros bout de viande pour présenter mon gland humide à son menton. Ce dernier s'écrase sur sa peau si douce et parfaite. L'odeur qui provient de mon sexe couvre facilement celle qui régnait dans le hall d'entrée vu son positionnement par rapport à ses petites narines.

Puis quitte à être traité d'exhibitionniste, autant jouer le jeu jusqu'au bout, non ?
« Modifié: mardi 21 décembre 2021, 18:00:50 par Souta et Janus »

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)

Réponse 9 lundi 27 décembre 2021, 01:47:29

Mes yeux essayent de se concentrer sur la route, mais ma tête ne pense qu’à sa bite qui grossissait entre mes doigts. Certes, toute la ville aurait pu nous voir, quelqu’un aurait pu facilement griller cette branlette sauvage, pourtant toute la situation me rends folle. Je ne pensais pas être comme ça, dépravée et délurée oui, mais pas aussi confiante, jamais aussi audacieuse.

A un stop, je me penche sur lui et sors la langue. Je lape sa queue tendue de la base au point culminant, étalant ensuite la salive partout avec ma main puis je me redresse pour reprendre la route. Ma concentration est de plus en plus fluctuante. Il faut qu’on arrive vite. Il me fait tourner et m’indique ou aller. Arrivée à destination, j’ai le droit à un roulage de pelle rapide, sa main cherchant à m’exciter rapidement. Comme si je n’étais pas déjà mouillée d’avance. Sa façon de faire me fait sourire, il a l’air… Presque respectable. Il me chauffe langoureusement, parle crûment, sort sa bite à tout bout de champs, mais il est franc et honnête. Contrairement à moi, il sait exactement ce qu’il veux et comment l’obtenir. Alors que je remets toujours en cause mon esprit pervers, lui reste fidèle de ses sentiments et les applique avec fermeté. Ca m’impressionnerait presque si j’avais le temps de réfléchir.

Il m’entraine hors de la voiture, la queue à l’air, le jean simplement maintenu par ses hanches et se pose dans le hall d’entrée. L’endroit est sombre, mal éclairé, l’ampoule au dessus d’eux a l’air d’être cassé. La situation me fait mouillée, j’ai un peu l’impression d’être une prostituée qu’on baise dans un coin d’immeuble à la va vite avant de retourner à la vie normale. Il commence à me signaler de me mettre à genou. Son sexe est déjà luisant de notre précédente altercation, elle est déjà de bonne taille. Mon visage parait presque petit à coté, je pose mes lèvres sur son gland, roulant ma langue autour, les yeux levés vers lui. Je commence tout juste à le titiller, suçotant le bout histoire de l’exciter un peu plus, comme si ma bouche ne pouvait pas prendre plus, puis je m’enfonce sur sa bite et entame de long va et viens. De la salive s’accumule dans ma bouche, ça coule un peu à coté, il me remplit exactement comme il faut. Mes mains se posent sur ses cuisses et accompagnent le mouvement. Je le regarde toujours droit dans les yeux, ses pupilles puent le plaisir et sa bouche s’entre-ouvre d’une façon obscène. J’ai envie de cette bouche partout. 

Soudain, on entends une porte claquée au loin, beaucoup plus haut dans l’immeuble. Mon mouvement s’arrête au fond de ma gorge, peur d’être prise sur le fait. Je ne me relève pas encore. On entends quelqu’un descendre des escaliers, se rapprochant de plus en plus. Dans un élan de panique, je pousse Souta dans un coin vraiment très sombre du hall, près de l’escalier principal, derrière un mur, là ou il n’y a presque pas de lumière. A genoux, on m’aperçoit à peine. La personne se rapproche quand je glisse un doigt sur mes lèvres pour lui dire de se taire puis entreprends de gober son chibre loin dans ma gorge. Je m’étouffe sur sa bite et il ne peut pas dire un mot au risque d’être découvert. C’est jouissif. L’exhibitionnisme me va plutôt bien au final. Le mec passe dans l’entrée, un casque sur les oreilles, une démarche assurée, il ne voit même pas qu’à deux pas de lui, un mec se fait sucer la bite dans l’obscurité.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)

Réponse 10 lundi 27 décembre 2021, 10:06:15

Vu la façon dont les évènements s'enchainent, mon impression sur la petite interne en médecine ne fait que se confirmer. La majorité des nanas aurait réclamé de faire ça ailleurs ou, au moins, dans d'autres conditions. Pas elle. Oh non, la petite vicieuse sur laquelle je viens de mettre la main s'est exécutée en venant me pomper la queue sans aucun signe d'hésitation. Ou alors elle a l'habitude de chauffer des mecs à la vue de tous.

Pour le moment je l'observe tranquillement en soupirant de plaisir à la sensation de sa douce langue qui goûte mon gland avec timidité. Lorsque la chaleur de sa petite bouche recouvre mon gland je lâche un son bien plus perceptible. La chaleur de mon haleine se transforme en petit nuage de fumée lorsqu'elle quitte mes lèvres dans ce froid qui règne. Le mélange des températures est un excellent moyen de pousser l'excitation d'un homme quand on s'amuse de cette manière.
Ma langue se glisse lentement le long de mes propres lèvres pour les humidifier avant qu'elles ne gercent. Même ma gorge me semble sèche car je n'ai rien bu ou manger depuis plusieurs à bien y repenser. C'est alors que je me dis que, situation bandante mise à part, j'aurais probablement dû aller à mon appart pour boire un truc. Comme quoi, les besoins primaires ne sont pas les même pour tout le monde. A l'heure actuelle c'est à elle que je veux offrir une boisson si particulière.

- Urrrrgh !

Un étrange son s'échappe de ma bouche car je me fais embarquer en même temps que j'avale ma propre salive. Le fait de me déplacer sur le côté ne l'empêche pas de garder ma queue dans sa bouche en tout cas. Sa sucette doit vraiment lui plaire pour ne pas vouloir la lâcher.
Si elle finit par le faire, c'est uniquement pour me faire signe de ne pas parler avant qu'elle ne se remette au boulot. Amusé par la situation, je pose ma main sur l'arrière de son crâne pour appuyer dessus en voyant qu'elle tente déjà de son côté de m'avaler autant qu'elle peut.

Assez rapidement je remarque qu'un mec traverse le hall. Vu sa dégaine et sa démarche il doit s'agir de Kanzaki. Une petite frappe qui enchaîne les plans foireux et les dettes à une vitesse folle depuis quelques mois. Le pauvre type s'est fait entuber par sa nana qui s'est tirée avec un autre mec après avoir emprunter du pognon à des mecs pas nets en utilisant son nom à lui. Du coup il est obligé de traîner dans des plans hyper foireux si il veut pas finir à bosser dans une mine ou de vendre certains de ses organes sur le marché noir.
Le genre d'histoire qu'on entend à tous les coins de rue dans ce quartier quand on vit depuis assez longtemps.

La porte se met à claquer au fond, signe qu'il est parti. Ce n'est pas pour autant que je relâche la pression sur Astrid pour la voir engloutir presque trois quart de ma grosse queue qui continue de gonfler et durcir dans son antre chaude et baveuse. J'attends d'entendre sa respiration devenir plus difficile et voir sa salive éclabousser partout pour la libérer et admirer le beau spectacle de son beau minois un peu plus souillé.

- Même comme ça tu restes jolie comme tout.

Je la fais alors se relever pour glisser une main sous son haut pour venir chercher ses seins. La seconde se glissant tout aussi rapidement pour venir agripper son petit cul avec fermeté. La chaleur me gagne encore plus alors que je la presse contre moi en gémissant comme un animal en chaleur. L'excitation est si forte que je ne contrôle pas totalement mes gestes. J'ai froid, chaud, j'ai envie de lui faire un million de choses.
Ma main empoigne encore plus fort une de ses fesses alors que ma langue s'étire pour venir lui faire une longue et lente léchouille dans le coup pour goûter à sa transpiration.
A chaque fois que je contracte mes doigts sur son cul, les muscles de mon bras se contractent pour la faire se presser un peu plus le ventre contre le mien.

- Continue de me branler, ma belle.

Le petit jeu de caresse continue une dizaine de secondes. Ou du moins jusqu'à ce qu'un de mes doigts vienne se faufiler entre ses fesses pour venir titiller son œillet. Sans pour autant y entrer, ou alors pas vraiment. Je m'amuse à faire semblant de vouloir le visiter en m'arrêtant à l'entrée de ce dernier. La voir se tortiller est tellement amusant et excitant.

De mon côté, je sens que ma trique ne va plus tarder à gagner sa forme ultime en sentant les doigts d'Astrid s'écarter sur la circonférence de ma tige épaisse. L'heure du vrai test est enfin arrivée. Mes lèvres se collent aux siennes dans un baiser bien baveux que je romps rapidement avec un grand sourire en baissant le regard pour lui faire comprendre où allait se dérouler la suite de cet échauffement.

- A genoux ! Et montre-moi ta langue.

Comme un gamin, je prends plaisir à venir tapoter sa langue avec mon gland pour tâter le terrain. La main à la base de ma trique pulsante et dont la chaleur est encore plus évidente avec le froid ambiant, je mesure à vue d’œil si elle va pouvoir entrer dans sa petite bouche et la chose semble assez mal engagée. Même si elle s'en est très bien sortie avant, les choses ont évoluées et de façons drastiques.

- Tu voulais voir si tu pouvais me bouffer la bite ? C'est le moment.

Mes hanches remuent légèrement alors que ma trique encore un peu humide se frotte sur une de ses joues dont la chaleur prouve l'excitation de ma partenaire du soir. Vu qu'elle avait déjà du mal à me prendre en entier avant, ce sera déjà un miracle qu'elle puisse engloutir la moitié du massif bout de viande que je lui offre en guise de petit déjeuner. Elle devrait d'ailleurs être contente d'avoir un truc à grignoter alors que je crève de faim en face d'elle. Et est-ce qu'elle ferait preuve de gratitude en me remerciant ? Même pas. Aaaah, les bonnes valeurs se perdent.

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)

Réponse 11 lundi 03 janvier 2022, 11:14:49

Pourquoi je ne suis même pas surprise? Une pipe dans un couloir public ne le dérange pas, ça l’excitait même un peu plus, je sens sa bite grossir encore dans ma bouche pendant que l’inconnu passe dans mon dos. Ils allaient devoir aborder le sujet un peu plus tard, l’exhibitionnisme leur convient parfaitement. Souta est silencieux mais pas inactif, ses mains viennent aider ma bouche à engloutir peu plus son sexe.  Ma respiration devient de plus en plus dure, son gland tape dans le fond de ma gorge, empêchant l’air de circuler correctement. Alors que des petites larmes coulent du coin de mes yeux et que de la salive s’échappe de la commissure de mes lèvres, il continue de pousser dans ma bouche. Je pensais que c’était pour taire les bruits de succion et éviter de se faire repérer mais l’inconnu est déjà loin et Souta continue de m’étouffer. Avec un sourire un peu sadique, il relâche son emprise et m’aide a me redresser, admirant son travail, presque fier. Je dois avoir l’air d’un sacré bordel, mais ça ne l’empêche pas de commenter sur ma beauté approximative. Petit con. C’est de ta faute si j’ai l’air d’une trainée.

C’est à son tour de jouer avec moi. Pendant que mes mains s’activent sur son bout de chair, ses doigts à lui se faufilent sur mes fesses. Il les pétrit avec force, m’arrachant un long gémissement. Si lui est presque en érection complète, je suis actuellement complètement trempée. La chaleur dans mon ventre ne fait que d’augmenter et j’ai très envie de le sentir en moi. Je ne sais pas comment j’en suis arrivée là , à branler un patient dans un couloir d’immeuble, mais la situation est foutrement excitante. Ses doigts bougent sur mes fesses, jouant légèrement mon anus. Je me dandine contre lui, laissant mon cul venir au contact de ses doigts. Mes yeux se posent sur ma main, pensant à la suite des événements. Il est gros, très très gros, je ne sais pas si ça passerait. Je couche régulièrement avec des hommes mais pas de cette taille. Je ne suis pas un grand gabarit et il fait déjà plus d'une tête de plus que moi. Ma main peine à faire le tour de sa bite, je la pensais au maximum de son érection mais elle continue de grossir. Si j’arrive à le prendre en entier, ça sera déjà un exploit.

Souta revient à la charge pour me rouler une pelle pleine de salive. Je lui souris, les lèvres et le menton souillés, avant de redescendre à genoux. Je lui tire la langue, pensant qu’il voulait jouir dessus et mater la scène mais non. Il joue les petits cons, il tapote son gland sur ma langue, me montrant à quel point elle est grosse. Son bassin s’active et avance dans ma bouche, j’essaye de lécher sa trique comme je peux mais elle prends trop de place. J’arrive à rentrer à prendre à peu près la moitié en bouche grâce à ses mouvements mais ma respiration redevient compliqué. Quelques bruits obscènes résonnent dans la pièce, mélange de salive et de fluides corporels. Je le sens tremblant, mes deux mains se posent sur ses cuisses dégagées, griffant doucement sa peau. Ca fait son petit effet, Souta est en érection complète. Il ne peut pas aller plus loin et moi non plus, s’il s’enfonce plus loin, je vais étouffer pour de bon. Le but du jeu n’est clairement pas de retourner à l’hôpital. Je comprends qu’il ne va pas tarder à exploser, je l’espère presque. Son endurance est aussi impressionnante que sa queue. Une de mes mains vient rejoindre ma bouche pour masturber ce que cette dernière ne peut pas atteindre. Elles essayent de bouger en même temps pour le branler tout du long. Puis d’un coup, tout son corps se crispe, il passe une main dominatrice dans mes cheveux, maintenant la position qu’il veux et finit par éjaculer entre mes lèvres. J’ai du mal à tout avaler, ça déborde et coule dans mon cou puis sur mon tee shirt. Pas grave, il ira à laver ce soir. Après de longues minutes à profiter de son orgasme, Souta se calme, le dos caler dans le mur, allaitant. Je me releve et pose mes deux mains sur son torse avant de me mettre sur les pointes de pieds pour glisser à son oreille. « Ca mérite au moins un petit déjeuner ça non? » Je souffle dans son cou et y dépose un baiser qui aurait pu être tendre s’il n’était pas souillé de fluides.

J’ai très chaud alors qu’il fait un froid de canard dehors. Mon cul est à moitié à l’air, mes cheveux sont un bordel monstre et j’ai probablement du sperme resté sur les lèvres. Pas du tout crédible l’enfant modèle. Je prends Souta par la main et le dirige vers les escaliers, je n’ai strictement aucune idée d’ou je vais mais j’y vais. Il m’indiquera la route à suivre jusqu’à son appartement. Je ne pense plus qu’à une chose, rejoindre son appartement pour pouvoir continuer les festivités.

Arrivé à sa porte, je le laisse ouvrir avec ses clés et me glisse à l’intérieur. Une fois la porte refermée, je viens plaquer mon torse contre le sien et le pousse contre le mur. Dans l'entrée, nos manteaux tombent au sol puis rapidement, j’attrape le bas de son tee shirt et le fais voler par dessus sa tête. J’ai très envie de le voir complètement nu. Le mien ne tarde pas à rejoindre celui de Souta par terre. Je n’ai même pas pris la peine de mettre un soutien gorge pour le boulot. Inconfortable. Ma poitrine se colle à lui, espérant bien être récompenser pendant que mes mains explorent son torse avec passion. Mes seins sont tendus par l’excitation, ils ne demandent qu’à être touchés. Suppliante, mes lèvres contre les siennes, je lui murmure. « C’est à ton tour de me montrer ce que tu sais faire avec ta langue. »

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)

Réponse 12 mardi 11 janvier 2022, 11:21:03

L'idée était juste de la mettre au défi pour m'amuser avant de passer aux choses sérieuses. Je m'étais pas imaginé un seul instant qu'elle chercherait à me vider une première fois avant qu'on aille dans mon appart. Faut croire que j'ai encore décroché le gros lot ce soir en tombant sur une affamée ou une nympho en manque qui a besoin de bien se faire tirer pour calmer ses envies. Heureusement pour elle que c'est dans mes cordes et que l'envie ne manquera pas ce soir.

- Mouais, faut voir.

Le fait de m'avoir partiellement vidé mérite un bon point après tout. Je fais genre de la jouer détaché alors que de toute manière il était déjà prévu qu'elle passe la nuit chez moi. Et probablement un peu plus demain. En grande partie pour surveiller l'état de ma guérison, bien entendu. Après, si elle offre des bonus dans la foulée, pourquoi se priver ?

Alors que l'on s'avance dans les escalier et paliers, je l'arrête pour lui indiquer que mon appartement est là. L'insertion de la clé est hasardeuse mais je finis par réussir à ouvrir la porte qui se referme aussi vite derrière nous. Nos fringues ne mettent pas plus de temps à voler dans l'entrée. La fatigue et le manque de sommeil me privent d'une partie de mon endurance malheureusement. D'habitude je ne m’essouffle pas aussi rapidement et facilement.

Vu la qualité de l'immeuble, le chauffage est loin d'être stable et élevé. Sentir son corps brûlant contre le mieux me rend sacrément servir pour pas me les geler. Ses petites mains ne sont pas en reste niveau température. On dirait deux petits bouillottes qui massent mon torse musclé avec avidité. Le manque de luminosité m'empêche de déceler son regard qui doit être rempli de désir.

Ma main gauche vient caresser son sein droit avec délicatesse pendant que la droite vient claquer son petit cul avec violence dans un son qui résonne dans toute la pièce. Collée à cette petite forme parfaitement ronde, je la soulève en l'entraînant vers l'avant pour la faire s'asseoir sur le buffet installé contre le mur opposé. Avec un poids plume comme elle cela n'a rien de difficile, même dans mon état de fatigue avancé.

La transpiration saccadée, mes deux mains viennent se plaquer sur sa poitrine pour la caresser et la pincer afin de faire ressortir ses pointes sensibles pour mieux les sucer. Vu que l'on est désormais seuls il n'y a plus aucune raison de se faire discrets. De toute manière il n'y a quasiment aucune intimité ici vu que les murs semblent être en papier mâché.
D'audibles et humides sons s'échappent se ma bouche quand je tire sur un de ses mamelon pour le recracher en laissant une traînée de salive dessus. Puis je passe à l'autre.

De la main gauche je continue mon massage conjointement effectué avec l'aide de ma bouche, tandis que mon autre main descend lentement le long de sa peau chaude et couverte de sueur. Ses hanches fines, son ventre, son nombril... Je m'amuse à laisser mes doigts vagabonder dessus avec sensualité pour accentuer l'effet de mes succions sur sa poitrine.

Il ne me faut pas plus de quelques secondes pour me glisser sous sa culotte et découvrir qu'il y a une sacrée fuite que même le plus célèbre des pompiers moustachu ne pourra réparer. Heureusement que j'ai les bons outils à portée de main pour ce genre de situation.

Amusé par ma découverte, je m'arrête de jouer avec ses seins pour relever la tête et lui lancer en souriant.

- T'es trempée depuis longtemps ?

Je dépose alors un baiser et une léchouille dans le creux de sa nuque pour ensuite lui saisir la taille des deux mains pour la faire redescendre du meuble. C'est un meuble tout neuf, je veux pas le saloper rapidement.

- Amène ton petit cul, on va continuer sous la douche.

Je remonte alors mon pantalon que je tiens d'une main. L'autre venant lui claquer une nouvelle fois ce même boule que je lui ai ordonné de déplacer sans tarder.
La salle de bain n'est pas loin et je ne m'embête pas à fermer la porte de cette dernière. Mon pantalon, mon boxer et mes chaussettes sont les derniers morceaux de tissus qui finissent au sol avant que je n'aille allumer la lumière.

Me voilà complètement nu, les pieds sur le carrelage qui semble être encore plus glacé que d'habitude avec la différence de température qui règne. Cela n'empêche cependant pas ma bite de rester dressée et gonflée à bloc. Comme si mon éjaculation n'avait eu aucun effet sur mon endurance. Et pour le moment ma blessure ne me lance pas trop.

Remonté à bloc, je savoure ce court interlude en reluquant la jolie petit Astrid m'imiter pour ensuite l'emmener à mon tour sous la douche. J'en oublie même d'ouvrir le robinet en la plaquant face contre l'un des murs en verre pour me glisser à genoux derrière elle. Mes mains se collent contre l'intérieur de ses cuisses afin de les lui faire écarter ces dernières pour que j'entame une visite des lieux en bonne et due forme.

- Faut que je prépare le terrain. Je veux pas te casser trop vite.

Le fait qu'elle mouille abondamment m'aide à faire glisser mes doigts plus facilement entre ses lèvres intimes qui s'ouvrent sans aucune résistance pour m'accueillir. Mon pouce, lui, retourne titiller sa petite rondelle en entrant dedans progressivement. Je pense pas tester cet entrée aujourd'hui, mais ça peut pas faire de mal de la préparer un peu. Au moins psychologiquement.

Je ne peux malheureusement pas rester indéfiniment à genoux dans cette position car mon aine commence à me faire mal. Avec une certaine difficulté, je parviens à me relever et pense enfin à ouvrir les robinets alors que je viens me coller à mon tour contre elle. Mon torse parfaitement dessiné contre ses frêles et délicates épaules. Astrid semble si fragile, menaçant de se rompre quelque chose au moindre contact trop brut.
Ma bouche revient alors se poser sur son épaule que j'embrasse délicatement pour ensuite y déposer mes dents qui glissent dessus lentement. En bas, je n'ai pas arrêté mon exploration à l'aide de mes doigts qui continuent et préparer et ouvrir la voie dans sa petite chatte humide et dégoulinante.

- Tu veux plus que mes doigts ?

La pression de ses derniers se fait bien plus insistante, allant jusqu'à soulever son petit corps dans la foulée. Elle peut probablement m'entendre ricaner dans son oreille pendant que je m'amuse avec elle.

- Alors viens t'empaler sur ma bite comme une bonne petite pute. T'en crèves d'envie, je le sais.

Aucune nana normale ne mouillerait aussi facilement et rapidement qu'elle. Pourtant j'en ai croisé des nymphos dans ma vie. Là je crois que j'ai trouvé un cas assez particulier qui ne demande qu'à être étudié.

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)

Réponse 13 jeudi 13 janvier 2022, 13:53:29

Le surveiller, c’est ma priorité. Est ce que je vais essayer de justifier le fait de l’avoir suivi chez lui en disant que c’était à des fins purement professionnel? Peut être. En soi, tant que je suis avec lui, on peut dire que je le surveille. Pas sure que de l’exercice soit vraiment conseillé dans sa situation, mais je ne suis qu'étudiante en Médecine, j’ai le droit de faire des erreurs. Le fait de me soulever pour me poser sur un meuble par exemple, je suis à peu près sure que c’est pas conseillé. Je ne suis pas une charge lourde mais quand même. Mon esprit de médecin prends le dessus une seconde pour regarder au niveau de sa plaie, puis repart aussitôt quand ses doigts commencent à jouer avec mes seins. Mon intégrité médicale n’a strictement aucune chance face à mon excitation.

Je sens ses mains sur mon corps bouillant, ses lèvres sur mes tétons dressés, son haleine qui glisse sur ma peau. Bordel que c’est bon. Je me tortille sur son meuble, ne sachant plus ou me mettre. Il a partout et nul part à la fois, j’ai chaud mais je frissonne. Il sait comment s’y prendre pour m’exciter. Malgré son jeune âge, il doit avoir pas mal d’expérience. Et moi qui pensais avoir affaire à un branleur qui ne tiendrait pas 5 minutes, bite en main, je dois reconnaitre que j’avais tort sur tous les points. Mes mains glissent dans ses cheveux, m’accrochant comme si ma vie en dépendait. « Beaucoup trop longtemps. » J’ai envie de ses mains partout sur moi, partout en moi. Il s’arrête sous mon regard suppliant. Je lâche un gémissement de contrariété, je ne veux pas m’arrêter là. Mais ça n’est pas le plan de Souta non plus, il m'attrape par les hanches pour me faire descendre. « Attends, ne me porte… » Je ne réussis pas à finir ma phrase avant de toucher le sol. «… Pas. » Si son bien être complet était mon principal problème ce matin, j’aurais commencé par éviter de le sucer dans un hall d’entrée. J’essaye de me sortir de la tête que je suis une médecin en carton qui s’apprête à baiser son patient de la nuit, alors qu’aucun des deux n’a vraiment dormi, que l’un d’entre eux a prit beaucoup d’anesthésiants et que l’autre tient au café. Les consentements sont évidemment là mais est ce qu’ils sont vraiment éclairés, c’est une autre question.

Je reste incrédule devant lui. Je l’ai vu en chemise d’hôpital, je l’ai vu en boxer, mais là dans son plus simple appareil, en érection en plein milieu d’une salle de bain glaciale, j’en ai du mal à avaler ma salive. Je le reluque de haut en bas, prenant le temps de défaire mon jean et d’enlever mes chaussures. Il y a quelques heures, j’étais en train de le suturer, le visage beaucoup trop près de sa bite et là, j’étais presque nue, complètement mouillée à baver sur ses abdos.

A peine déshabillée, Souta me pousse contre le mur de la cabine de douche. Il fait froid putain. Ma peau est en feu, excitée par tous les gestes de Souta et l’impatience de nos actes, mais le carrelage glaciale sous mes pieds me rappelle que nous sommes nus dans une salle de bain sans chauffage. Tout mon corps tremble, autant de froid que d’appréhension. Je ne vois pas ce qui se passe derrière moi, je sens juste ses mains qui me parcourent et sa voix amusé qui me dit ce qu’il a l’intention de faire. Ses doigts se glissent en moi, enfin récompensée de ma patience. Je gémis de plaisir, j’ai l’impression de me liquéfier. De la cyprine mouille ses doigts et dégouline le long de mes cuisses, des cliquetis humides se font entendre, mes hanches bougent sur sa main, essayant de les enfoncer plus loin, plus fort. Son pouce retourne explorer l’entrée de mon cul, je ne sais déjà plus ou donner de la tête alors s'il commence aussi à s'occuper de cet orifice là, on a pas finit.

Il rit à mon oreille, continuant de jouer avec ma patience. Je hoche la tête rapidement, oui putain, j’en veux plus. Il est là, blotti contre moi à me murmurer des mots pervers, je sens son énorme queue collé contre mon dos, je sens son souffle chaud dans mon cou, toutes mes craintes par rapport à lui, à sa blessure, à son âge, au fait qu’il soit un patient, s’envolent. Je bouillonne, prête à l’emploi, prête à devenir la salope qu’il rêve de baiser sous la douche. Je ferais absolument tout ce qu’il me demande tant qu’il promets de me prendre. Il a assez joué avec moi pour voir que je ne peux absolument pas résister à lui, j’ai juste envie d’une bonne baise et nos préliminaires m’ont trop excitées pour qu’on en reste là. Une de mes mains part à la recherche de sa bite dans mon dos. Une fois trouvée, je tends mon cul en arrière, positionnant son gland l’entrée de ma chatte. Elle est toute trempée mais elle reste étroite pour le recevoir. Je recule contre lui, le maintenant fermement pour qu’il puisse rentrer à l’intérieur sans glisser. « Oh putain… » Je n’ai rentré qu’à peine un quart et déjà je me sens remplie. Mes parois vaginales s’écartent, mais c’est toujours très serré. J’entame des légers va et viens, juste pour aider à m’écarter comme il faut pour pouvoir me baiser avec force. Je tremble de plaisir, la chatte écartelée. « Prends moi Souta. Baise moi. Putain, j’ai besoin que tu me baises. » Merde, c’était suppliant ça. Je n’arrive plus de retenir mon impatience. L’eau chaude coule sur nos corps entremêlés, ne nous aidant pas à calmer l’atmosphère. Mes hanches ondulent sur lui et essayent de grappiller quelques centimètres de bite. Une de mes mains se pose devant moi, m’aidant à tenir debout en tendant les fesses en arrière, l’autre glisse entre mes jambes, explorant mon clitoris gonflé avec la pulpe de mon index.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Tu veux voir ma seringue ? (PV |-| Astrid)

Réponse 14 jeudi 13 janvier 2022, 18:10:14

Ma demande ne restera pas longtemps sans réponse. A force de me presser contre elle avec la bite gonflée à bloc, celle-ci s'est logiquement logée entre ses fesses pour venir initier un premier contact et une friction exquise pour me mettre en appétit. Le contact est cependant de courte durée car sa main vient tout aussi rapidement se saisir de mon manche comme elle le peut et le guider à l'entrée de tous les plaisirs. A l'instar de l'entrée cachée sous une cascade, ma bite se glisse en passant outre le déluge de liquide qui dégouline dessus pour s’engouffrer timidement dans une grotte étroite qui me laisse peu de marge de manœuvre.

- Urrrrrrgh !

Un premier et lourd gémissement s'étouffe entre mes lèvres en même temps qu'elle exprime à sa façon la situation. J'ai limite l'impression de me faire une vierge tellement ses parois m'écrasent et me barrent la route pour aller plus loin. Pour le moment je la laisse faire alors qu'elle initie les premiers mouvements pour s'habituer à ce qui risque d'occuper l'intérieur de son corps un bon moment.

Je me contente de l'observer pour le moment. Commentant par moment ce début tranquille mais ô combien intense d'une toute autre manière. C'est un étau et non une chatte qu'elle a là.

- Merde ! Ce que t'es serrée.

Son petit cul remue, se balance d'avant en arrière sous mon regard émerveillé en voyant une partie de mon sexe disparaître dans le sien.  Où est-ce qu'elle arrive à foutre ça dans un corps aussi frêle que le sien ? Aaah, la beauté de la science.

Au bout d'un moment je l'entends me demander de la baiser une fois que j'ai commencé à bien dilater et ouvrir un chemin décent en elle. Mes deux mains se saisissent alors de ses fesses que j'agrippe de toutes mes forces pour pousser et forcer encore quelques centimètres dans ce savoureux, lisse et humide trou qui ne demande qu'à être malmené.

Le passage fini cependant par bloquer en me laissant avec encore le dernier quart rattaché à ma base qui est à l'air libre. A force d'appuyer et de pousser dans sa direction, je finis par la plaquer de nouveau contre la vitre de la cabine de douche. Ma bouche, collée à son oreille, déverse des soupirs lourds et répétés pendant que je commence à accélérer le rythme de mes coups de hanche au fil des secondes.

Une de mes mains vient se saisir d'un de ses seins à la pointe dressée et malmener celle-ci du point de l'index et du pouce. J'ai remarqué tout à l'air qu'elle aime que l'on joue avec. La seconde remonte lentement le long de sa cuisse pour accéder à sa hanche sur laquelle elle se pose quelques secondes le temps de maintenir ma position. Ses courbes fines me donnent envie de la briser en deux en m'acharnant sur elle. Mais je n'en ferais rien. Par contre je ne vais pas me retenir de m'amuser avec cette nympho qui a clairement un côté soumise.
Curieux de voir ce que cela va donner, ma main continue son ascension pour finir par se placer, à l'envers, au niveau de son cou sur lequel j'effectue une légère pression. Juste de quoi prendre la température.

- N'importe quelle nana serait en train d'hurler de douleur en se prenant un truc pareil.

Ma poigne s'accentue légèrement sur les deux parties de son corps auxquelles je suis englué. Idem pour les coups de hanches qui se veulent plus brutaux et secs. J'ignore si c'est mon imagination, mais je pourrais jurer que son corps se soulève parfois quand je lui file un coup de bite trop puissant.

- Mais toi ça t'excite.

Déchaîné, je la pilonne en soufflant comme un bœuf pendant de longues secondes avec une intensité folle. Avant de diminuer le rythme pour effectuer un pas en arrière afin qu'elle puisse aussi souffler.
Ma main sur sa gorge se glisse pour se déposer dans ses cheveux à l'arrière de son crâne et effectue une nouvelle pression pour qu'elle collée à la vitre sans pour autant lui écraser la face dessus. Alors que j'initie une nouvelle série de pénétrations en profondeur alors que ma bite désormais brûlante suite à ce long et intense passage en elle, mon autre main vient lui claque de nouveau le cul.

- Ce putain de cul ! Merde !

Que je lâche en revenant le faire claquer une nouvelle fois. Si je continue à m'amuser dessus il va lui rester des marques. Avec la fatigue qui commence à me gagner je me dis que je ne vais pas pouvoir m'éterniser. Et il est hors de question que je me gâche le plaisir en finissant crevé avant de m'être fait plaisir avec elle.
Je glisse alors deux doigts dans sa bouche pour qu'elle les suce et les humidifie pendant que cette dernière continue de me limer la tige avec une efficacité redoutable. Deux doigts qui vont ensuite venir se glisser lentement mais sûrement dans son petit œillet. A en juger par la réaction de son corps, le résultat est évident. Je risque de ne même plus pouvoir ressortir de sa chatte qui m'essore comme un vieux torchon humide.

- KUUUUUUUUH !

Les mots refusent de sortir de ma bouche. Jamais une femme n'avait mis autant de pression sur ma queue auparavant. Sans le vouloir, pris par surprise, ma main lui écrase encore plus fort la tête sur le mur de douche. Je ne me rends même pas compte car les informations et les sensations se bousculent dans ma tête et dans tout le reste de mon corps. Mes muscles se crispent, ma mâchoire se serre, je transpire plus vite que l'eau n'évacue ma sueur... Je crois qu'on va pouvoir lancer un essai clinique d'un genre particulier tous les deux.

Dénué du moindre contrôle sur mon corps, c'est l'explosion. Le soulagement. L'extase s'empare de moi après la vive et subite douleur. Je me vide en elle durant des secondes entières. Remplissant tellement sa chatte de ma crème épaisse, que le liquide visqueux et blanchâtre repousse ma bite qui se fait expulser de là dans un son humide digne des pornos les plus crades de l'histoire.

- Putain... de merde... J'lavais pas vu venir... celle-là.

Enchaîner deux mots de suite est presque un supplice. Ma gorge est desséchée et me sert tellement. La salope est parvenue à me couper plus d'un truc.


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