Souta prends le relai et réussit à faire claquer mes fesses contre son pubis. Un long gémissement s’extirpe de ma bouche entre-ouverte et colle mon front contre la vitre froide, pensant que ça m’aidera à me calmer. Rien du tout, que dalle. L’intensité de ses mouvements me font perdre la tête, ma chatte s’écarte comme elle peut mais mes muscles pressent sur sa bite comme pour l’écraser. Je sais que je suis petite et que par conséquent, mon vagin est proportionné à mon corps, mais j'ai couché avec d'autres mecs, j'ai encaissé des bites plus grosses que la normale et je n'ai jamais ressenti une telle pression. Il me remplit complètement, je ne suis même pas sure que ma cyprine a la place pour sortir. Quand ses coups de butoirs deviennent plus violents, je crois même que mes pieds ne touchent plus le sol. Il maintient mon corps frêle entre ses deux mains, une sur ma gorge, l'autre sur ma hanche, j’ai l’impression d’être manipulée comme une poupée. Une poupée en train de se prendre des sacrés coups. La position m’oblige à cambrer les hanches, basculant mon cul en arrière pour le rencontrer, mais ça ne fait qu’accentuer la pression de ma peau contre la paroi froide. Ma tête elle aussi bascule en arrière sous la poigne de Souta, il serre légèrement, provoquant un hoquet de désir dans ma gorge. J'ai presque envie qu'il serre plus fort, mais je suis incapable de lui dire le moindre mot. La température ambiante est mitigée, l’eau chaude, la baise, la jouissance approchante me donnent chaud, mais la vitre glaciale refroidit chaque centimètre de peau qu’elle touche. Ca a l’air d’amusé Souta d’ailleurs puisqu’il prends le temps de bien m’appuyer dessus, écrasant ma poitrine contre le verre.
Mes mains cherchent l’équilibre, ne le trouvant pas devant moi, l’une entre elles attrape l’épaule du jeune homme et plante mes ongles dedans. Je ne cherche pas vraiment à lui faire mal ou à laisser des marques, juste à ne pas tomber. Ses mots ne m’aident pas à retrouver mes esprits. Il me compare aux autres filles, celle avec qui il a couché avant, celles qui ont eu mal à le baisant. Je ne dis pas que c’est plus facile pour moi, je vais probablement avoir du mal à marcher dans les prochains jours, mais le plaisir est tellement intense et que ça vaut toutes les marches en canard du monde. Je me sens pleine à ras bord, pleine de lui, plein de foutre et de cyprine, sa bite tape dans les profondeurs de mon vagin, je ne savais même pas qu’on pouvait aller aussi loin. La pression de sa bite se ressent jusque dans mon ventre, il bouge contre mes entrailles. Je ne sais plus ou donner de la tête.
Une premier claque s’abat sur mon cul, m’arrachant un couinement audible. Une marque rouge de la forme de sa main apparait dans ma peau puis disparait rapidement. Je n’ai pas le temps de profiter de la sensation qu’une deuxième arrive. Mes fesses ne restent rouge qu’une petite seconde mais la brulure elle, reste et m’irradie, je suis un peu plus proche de l’orgasme. Deux de ses doigts viennent s’insérer dans ma bouche, récupérant de la salive, je les suce comme je peux entre deux respirations saccadées. Il essaye peut être de me faire taire, mes gémissements deviennent vraiment bruyants, je n’arrive plus à choisir entre respirer et gémir du plus profond de mes cordes vocales. Mes hanches continuent de bouger sur sa bite, c’est raide, c’est dur, c’est intoxiquant. Chacune des contractions de ma chatte m’envoient presque au 7ème ciel, je le sens brûlant l’intérieur de moi.
Le moment ou ses doigts viennent appuyer sur mon anus est le moment ou il me perds. Mon corps brulant n’est plus qu’un torrent de plaisir, je ne sais plus comment je m'appelle. « Attends Souta… Attends. » Je me tortille contre lui, essayant de lutter contre l’orgasme imminent. Mais mon plaisir est plus fort que tout le reste, j’explose autour de sa grosse queue et de ses doigts. Ma chatte se resserre autour de lui, contractant tous les muscles de mon bas ventre, l’aspirant presque en moi. Souta se perds lui aussi, quelques secondes après mon propre orgasme, il gémit, pousse mon visage plus vivement contre la vitre pendant que j’essaye de récupérer ma respiration et se vide en moi dans un long gémissement. Comme si je n’étais pas assez remplie, sa semence pèse à l’intérieur de mon corps, écartant, comme si c’était encore possible, les parois de mon vagin pour l’accueillir. Mais la pression est trop forte et Souta sort et s’écarte de mon corps dans un bruit obscène. Son sperme épais et ma mouille se mélangent et glissent le long de mes jambes jusqu’à rejoindre le sol de la douche. Je suis vidée, dans tous les sens du terme. Je me retourne vers Souta, gémissant légèrement en sentant le mur froid dans mon dos et attire le jeune homme sur moi. Son corps est chaud et réconfortant. Mes bras entourent son cou et mon visage se cache dans son torse. « Je m’attendais pas vraiment à ça. » Autant dire que je ne m’attendais même à rien, c’était la première fois que je couchais avec un patient à sa sortie de l’hôpital. L’expérience avait été interessante mais je n’avais pas l’intention de continuer à chopper mes patients. « Tu te rends compte que mes jambes vont être incapables de me ramener chez moi là? Il va falloir que tu me proposes un lit, je vais pas tenir plus de 5 minutes debout. » Bizarrement, pour baiser follement dans une douche malgré le manque de sommeil, j’étais partante, par contre, une fois finie, il n’y avait plus personne. Je le serre contre moi et embrasse sa clavicule devant mes yeux, laissant l’eau chaud nous nettoyer de tous nos pêchés.