Identité : Hisui Inoue
Âge : 21
Sexe : Féminin
Race : Humaine
Sexualité : Bisexuelle
Physique : Un mètre soixante huit. Un regard émeraude lorsque la nuit tombe et que les étoiles scintillent, une couleur rappelant la menthe lorsqu'il y a un petit peu plus de luminosité, quand les lumières d'intérieur sont allumées, quand une lampe de chevet éclaire son visage enjoué. Olive, le plus souvent, un vert qui n'est jamais le même et qui ne laisse personne indifférent. Un vert d'eau clair, un vert de prairie, des teintes différente pour chaque angle de vue, pour chaque personne qui pose ses pupilles sombre dans le maelstrom en plein centre du sien : sa pupille, un tourbillon sombre enseveli et prisonnier en au milieu de cette marée resplendissante, verdoyante. Un blanc qui enrobe ses iris, les mettant tellement en valeur.
Un corps sculpté sans être athlétique, sculpté par la vie et par la génétique, non par le sport et les exercices. D'ailleurs, ça se remarque bien vite. Son corps est fin sans être celui d'une plastique parfaite. De sa taille moyenne, son poids se compte en cinquantaine de kilos et demi. Cinquante cinq, aucun abdo sur son ventre plat lorsqu'elle se positionne pour, un peu moins lorsqu'elle ne fait pas exprès de l'avoir. Des courbes bien existante sans en être débordant. Ses jambes sont élégante, fine, grimpant avec discrétion jusqu'à ses cuisses qui, dès ici, commencent à prendre de la place. Ses cuisses son un petit peu plus épaisse que la moyenne, et ses fesses suivent la cadence.
Une courbe charmante qui n'est pas sculpté, derrière ses fesses, il n'y a pas de squat. Il y a de la course à pieds, seul sport qui pratique et qui lui a musclé les cuisses et les mollets, raffermissant ses amas de graisse, car c'est ce que c'est dans tous les corps existant, les fesses : de la graisse. Raffermis sans pour autant être aussi dur et rond qu'une femme pratiquant une à deux heures par jour d'exercice quotidien.
Ses hanches donnent envient d'être saisit, ses tenues sont multiples et variées, elle aime la mode et elle le montre, parce qu'elle veut se trouver jolie, belle. Une innocence qui se ressent sur son visage. Il n'y a, au premier regard, aucune once de méchanceté, de mauvaiseté, il n'y a que la candeur et la douceur dans les traits de sa peau. Tracé par un maître, un sculpteur, son petit nez courbé ajoute un charme à ses lèvres qui, sans être pulpeuse, sont d'un rose éclatant. Ses joues sont fines et collent à son visage même si ses pommettes forment une petite boule sur chaque coin de ses joues, donnant un aspect agréable à sa peau et esthétiquement mignon. Ses sourcils sont fin et droit malgré une toute petite courbure, chose qui a son importance, car quand on la regarde, si il n'y avait pas ses sourcils, on considérerait cette fille comme une femme fatale. Il n'en est rien. On passe de la femme fatale à la femme charmante, élégante et mignonne.
Deux petits grains de beautés, symétrique, sous ses deux yeux, situé au centre. Une symétrie parfaite témoignant de sa génétique généreuse et de la chance que les cieux lui ont offert. Pour son physique, du moins. Des épaules relevés, des petits bras fins qui témoignent également de son manque de sport plus haut.
De la course ? Oui, il était écrit qu'elle fait de la course. C'est le cas, malgré cette poitrine qui lui fait mal au dos par moment. La partie qui devrait en ravir plus d'un, probablement, bien que ce soit la partie qu'elle a, de prime à bord, détestée, haï. Parce que c'est cette poitrine qui lui a fait vivre le premier évènement traumatisant et horrifiant de sa vie, mais au delà de ça... qu'est-ce qu'elle est jolie. Ses formes rondes, tellement que l'on pourrait croire à des faux, et pourtant, si on pose notre main dessus, il s'agit de vrais seins dans lesquelles des doigts peuvent s'enfoncer. Masser l'endroit revient à s'offrir à soi-même un plaisir sans équivoque, relaxant, sans même parler de sexualité.
Des cheveux roses, naturels. Des cheveux roses dont les pointes sont à l'effigie de ses yeux. Pointes... Ça n'est pas réellement des pointes, mais une partie de sa chevelure est d'un colorie vert, qu'elle se fait elle même, ajoutant un peu d'extravagance et de plaisir à son corps. Pour se différencier d'autres aux cheveux roses, pour être elle, pour qu'elle puisse se regarder et se trouver belle sans voir une copie qu'elle a déjà vu dans les rues.
Caractère : Gentille. Gentille et délicieusement enjouée, en permanence. Une douceur, une candeur malgré une innocence de volée, malgré une vie qui a essayée de lui marcher dessus à mainte reprise. Elle ne s'est pas laissée faire. Elle aurait pu mourir, elle aurait pu devenir mauvaise, prendre des teintes pâles plutôt que la beige qu'elle possède. Elle aurait pu baisser les yeux à chaque regard et ne plus oser faire d'activité ni même rentrer à la maison, mais il n'en fut rien. Au contraire. Des larmes est née Hisui, dans les larmes son caractère s'est forgé, et c'est en grimpant les parois de l'abîme dans lequel elle avait trébuché qu'elle a su se retrouver. Qu'elle a su qui elle était. Une fille qui ne peut pas arrêter de sourire, de rire.
Une fille qui n'a pas envie de se laisser faire. Sa sexualité ? Ça a été si difficile. Tellement, durant les premières semaines, mais elle a fini par accepter ce qu'elle avait vécu, par s'accepter et s'aimer, et surtout, avec un côté malsain, elle a fini par justifier ce qu'elle est devenue par ce qu'elle a vécu. Oui. C'est à cause de ce qu'elle a vécu qu'aujourd'hui le sexe a pris une place si importante dans sa vie. C'est à cause de ce qu'il s'est passé lorsqu'elle était plus jeune qu'elle ne peut pas se passer de relations sexuelles. Que ses rapports sont pour la plupart violent, et que dans les jeux qu'elle demande à faire lors des ébats, le viol est souvent de la parti. Les étranglements, les insultes, la méchanceté, et puis les caresses, la tendresse juste après pour lui rappeler que tout n'était qu'un jeu.
Elle est si joyeuse, un sucre d'orge, et quand elle gonfle les joues pour se plaindre, plisse les yeux, on a envie de croquer dedans. Sa voix et délicate, son rire est si doux et son tempérament n'est pas du genre à s'imposer. Elle ne s'impose pas mais ne s'efface pas, dans les relations sociales. Elle est extravertie. Oui, extravertie, bien qu'elle se laisse parfois se terrer dans un silence lorsqu'elle ne ressent pas le besoin de parler.
Histoire : Pourtant, rien ne laissait présager que la vie allait être ainsi pour cette jeune fille venant d'une riche famille d'aristocrate Japonais. Un père avocat, une mère politique qui a été durant cinq années de suite au ministère des affaires étrangères. Des familles nobles, entre grand père des deux familles qui faisaient de l'économie et les grand mères qui dirigeaient des entreprises, on est bien dans l'aristocratie et bien loin des clichés des familles japonaises selon lesquelles les mères ne travaillent pas.
Des écoles prestigieuses pour les deux parents, elle a suivit le pas, elle a tout fait pour que sa scolarité soit exempt de tout reproche, bien que ce soit difficile. Elle était convoité à l'école, tant en primaire qu'au collège, et au lycée encore plus. Le lycée. C'est ici que tout a basculé. Elle a toujours été de nature timide, n'osant pas se révéler, se mettre en avant, une introvertie par excellence, résultat, les seules personnes venant lui parler étaient des garçons intéressés par le fait d'avoir une petite amie, qui plus est, extrêmement jolie. Ils s'en fichaient de qui elle était réellement.
Des amis, elle en avait, des filles pour la plupart, mais elle restait discrète, parce que sa famille lui a toujours appris à se taire et à ne pas trop en faire, à être la gentille et douce fille à papa et maman. Fille à papa et maman. Fille à papa. Papa. Des mots qui, quand ils reviennent à son esprit, lui rappellent le moment qui a changé sa vie. Comment survivre à ça ? En se reforgeant et en changeant qui l'on est. En devenant quelqu'un d'autre.
Tokyo, l'année de ses seize ans, trois jours après la fête qui l'a fait grandir. L'année scolaire au Japon commence en Avril et se finit en mars de l'année suivante. Son anniversaire est le 17 Avril, la rentrée scolaire était le huit. Cette nuit là, ils étaient le vingt. Vingt Avril, après un repas délicieux composés de fruits de mers haut de gammes et de boulette de riz, d'un thé vert et d'un petit verre de vin autorisé par le père, à table, la jeune femme avait ressenti un mal de crâne subjuguant dans les vingt minutes qui suivirent le repas. Un mal de tête qu'elle a essayé de contester, mais en vain. Après le repas, plutôt que de passer l'heure avec sa famille à jouer ensemble à des jeux de sociétés ou bien à regarder la télévision, à s'entraîner à faire du piano pour leur beaux yeux, elle est s'en est allée dans sa chambre.
Leur appartement ? C'est à se demander si il n'est pas aussi grand qu'une villa. Malheureusement non, mais il n'a pas à rougir. De cent-soixante mètres carré en plein Tokyo, c'est un très grand appartement possédé par la famille Inoue, et dans cet appartement, les chambres sont toutes espacées de plusieurs mètres carrés. Plusieurs chambres, pour les invités et pour elle, fille unique. Dans sa chambre, la jeune fille s'était allongée, avait enfilée ses écouteurs mais n'avait même pas pu mettre une quelconque musique, envoyé un quelconque message à ses amis, se déshabiller et se changer que sa conscience s'est envolée. Elle est tombée dans l'inconscience et le sommeil avait pris à part son beau visage pour l'embrasser doucement. Un sommeil dont elle se souviendra toute sa vie.
Un mal de ventre. Qu'est-ce que c'est ? Elle se voit courir à travers un labyrinthe puis tomber. Tomber, mais elle essaie de ramper, de fuir quelqu'un, sans réussite. Son corps se retourne à l'intérieur de cette pyramide maudite dans laquelle elle se sent prisonnière, et c'est face à un visage absent qu'elle se met à hurler. Un hurlement strident, mais personne pour l'aider. Pourquoi est-ce qu'elle se trouve dans un labyrinthe ? Pourquoi ses bras se font plaquer ? Non, ce n'est pas la réalité. Ce n'est pas la réalité.
C'est en se répétant cette phrase que ses paupières finissent par s'entrouvrir, lentement.
Lentement.
Chaque seconde est importante. Le mal de crâne est toujours présent mais elle se réveille, elle sort de son sommeil. Elle ne comprend pas. Son corps bouge doucement, gesticule, mais elle ne comprend pas. Elle est encore à l'ouest, bien pas totalement consciente, son visage fixe sa table de chevet et la lumière allumée, ses figurines de mangas préférées, des shojo pour filles gênées et amoureuse de la romance. Qu'est-ce qu'il se passe ? Son matelas bouge. Sa tête se redresse avec lenteur et délicatesse, et enfin, elle voit. Elle voit sans réellement comprendre. Elle a mal ? Non, elle n'a pas mal, ou peut-être que si, elle ne sait pas trop. Qu'est-ce qu'il y a ?
Droguée. Oui, elle a été droguée. Sur son corps, un homme qui se meut lentement. À son bassin se trouve pourtant toujours la jupe d'écolière, de lycéenne, non ? Et sa culotte ? Elle réalise. Levant ses yeux, le visage qui apparaît, éblouit par la lueur de la lampe de chevet, est celui de son père. Un père nu, face à elle, qui est en train de bouger dans son corps. Les yeux de la jeune fille s'écarquillent, elle ne comprend pas. Dans sa peur, sa stupeur, elle ne réagit pas tout de suite, et ce manque de réaction laisse au père le temps de voir qu'elle s'est éveillée.
« Put... Oui... Pardon ! Pardon Hisui... ! C'est... H-Ha ! Han ! A-Ah ! Ma fille ! Ma petite fille ! Je t'- »- PAPA ! Papa arrête ! Tu me fais mal ! S-S'il te plaît ! J't'en s-... PAPA ! ARRÊT-
Sa voix se fait couper. Une main violente vient frapper sa joue tandis que l'autre s'écrase sur son cou. Le regard de l'homme devient celui d'un chien enragé. On pourrait y voir l'enfer dans ses yeux tant il semble hors de contrôle. Elle ne comprend pas, les larmes coulent à cause de la douleur du coup, de la douleur du rapport, du viol qu'elle subit.
- Papa... Papa stop ! Maman ! MAMAN ! Je veux m-
Un autre coup. Il ne parle même plus. Deux baffes qui ont frappés ses joues avant de venir s'écraser sur ses lèvres. Elle hurle, malgré les coups, mais sa voix est étouffées sous sa main, sous sa paume. C'est violent. Le rapport est si violent pour elle. Qu'est-ce qu'il se passe ? Pourquoi ça lui arrive ? Elle n'est même pas dans son état normal, elle ressent une douleur immense mais surtout une peur intense. Elle ressent, avec toute la pensée écœurante qui peut vous venir en tête, également du plaisir. Du plaisir malsain, pas parce qu'elle aime ça, mais parce que physiquement il y a frottement. Parce qu'on la pénètre, à répétitions, et qu'elle est consciente. Qu'elle le sent entrer profondément en lui. Encore et encore, elle se fait prendre, elle hurle et essaie de se débattre, mais ses deux mains sont attachées aux barres de bois de son lit, par dessus son visage, derrière l'oreiller.
Elle hurlait, mais rien n'y faisait. Il n'y avait rien d'autre que ses larmes, sa douleur, ses pieds qui se débattent et ses mains qui forcent pour retirer les colliers de serrage plastique autour de ses poignets, sans réussite. Entre ses cuisses, du sang et du sperme. Au dessus de lui, un visage, un homme acharné qui avait commencé à gémir, à gémir à voix haute, encore et encore. C'était si bon pour lui, de violer sa petite fille, sa progéniture, sa fille qu'il a juré de protéger, sa fille avec laquelle il dormait quand ils étaient petit, à trois, avec sa femme. Sa fille qu'il emmenait à l'école, à la crèche, à qui il faisait prendre sa douche.
« E-Encore ! Pardon... A-Ah, je peux pas m'arrêter... Je t'aime ! Je t'aime, pardonne ton vieux père... Mais soit une bonne fille ! Soit la bonne fille à papa, tu ressens du plaisir aussi... Hein ? Je le sais... Je le sais ma chérie... A-Ah ! Hm !»
Ça ne s'arrêtait pas. Le cauchemar dure tellement longtemps. Il a duré si longtemps. Sa main autour de son cou qui l'étouffait s'était arrêté pour venir doucement entre les cuisses de sa fille, pour la toucher. Il la touchait, et elle ? Elle se débattait encore plus. Parce qu'elle ressentait du plaisir. Elle pleurait tellement, elle n'arrivait pas à mordre ses doigts, sa voix était étouffée, il n'y avait rien à faire.
Elle jouissait. Elle jouissait en même temps qu'il la baisait, pour sa première fois, malgré la douleur de sa virginité prise, malgré la douleur de l'étranglement, des coups violent, elle jouissant, car il la masturbait avec attention et le faisait bien. Parce qu'il la prenait encore et encore. Elle ne voulait pas jouir, elle ne gémissait même pas, mais son corps, chimiquement, réagit aux actions qui se produisent. Alors elle a ressentit une jouissance malgré un horrifiant moment.
Lorsque tout fut fini, après quinze minute de cauchemar, il n'y avait plus aucun bruit dans la pièce. Quand le père l'a quitté, c'est avec une fille larmoyante, qui ne hurlait plus, car elle n'avait plus la force. Elle était rempli de semence, celle de son père. À côté, sur la table de chevet, une pilule du lendemain et de l'eau qu'il lui a demandé de prendre, en partant. Pour ne pas qu'elle ait d'enfant. Ces mots l'ont encore plus terrorisée.
Le lendemain ? On l'a retrouvé mort. Il s'est suicidé, dans son lit, à côté de sa femme qu'il avait drogué, prenant une trop grande quantité de drogue, de cocaïne et autre pourriture. Il est mort, d'une overdose ou d'un suicide, et jamais personne n'a su pour le viol de cette jeune fille. Personne. Elle voulait en parler le lendemain, à sa mère, mais elle n'a pas pu, car ce même lendemain attesta de la mort de son père.
Alors elle a changée.
Alors elle s'est forgée.
Du jour au lendemain, elle est devenue plus extravertie, après un mois d'absence à l'école. Une extraversion qui lui a permis de se faire des copains, de réels petits copains, qu'elle gardait un mois, tout au plus. Elle riait, jouait avec ses amis, était bien plus heureuse, ou en tout cas, semblait l'être. Le viol ne l'a pas aidé, mais il a créé sa personne. Si elle pouvait revenir en arrière ? Oui, bien sur qu'elle ferait tout pour ne pas que ça arrive. Elle a perdu un père, elle l'a même pleuré, parce qu'elle n'a pas compris pourquoi est-ce qu'il est mort, pourquoi est-ce qu'il l'avait violé. Elle n'a même pas eu le droit de le détester après ce qu'il lui avait fait.
Aujourd'hui, cela fait plus de cinq ans que son père a disparu. Sa vie est menée par la débauche et par l'envie de vivre, la joie de vivre. Elle continue ses études et travaille dans un petit café à côté de celles-ci. Elle est heureuse dans sa vie, une vie à laquelle elle ajoute beaucoup de piquant... Parce qu'elle se sent mal, lorsqu'il n'y en a pas. Sans charmer directement, elle ne refuse pas de l'amusement.
Elle ne refuse pas grand chose.
Autre : J'espère que l'histoire n'est pas trop terrible pour vous ! Même si c'est 18+ ça peut vraiment être... difficile à lire, j'imagine !
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