Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

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Souta et Janus

Humain(e)

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 15 vendredi 12 février 2021, 18:00:29

Le bus arrive à notre arrêt alors que Kara semble quasiment sur le point de me demander de donner vie à ce fantasme que je viens de lui déballer dans les moindres détails. Les gens nous regardent quitter notre transport dans la hâte pour finir seuls à l'arrêt du bus. Seuls les lumières des publicités de chaque côté de l'arrêt nous illumines maintenant que la nuit commence à se faire de plus en plus présente malgré l'heure.

Sans m'y attendre je sens sa main me saisir le paquet avec une certaine fermeté et témérité que je ne lui connaissais pas. Parler de ce que je lui ferais m'a logiquement fait bander comme un âne sous mon jean qui est déformé par ma queue gonflée à bloc qui serait plu qu'heureuse de répondre favorablement à sa demande quelques secondes plus tôt. Malheureusement pour nous deux je ne fais pas un boulot dans lequel on peut se porter pâle.

Ma main retourne alors rapidement jouer avec sa petite chatte qui a commencé à souiller sa culotte que je sens humide en venant l'écarter une seconde fois.

- Merde, mes doigts glissent tout seul. Quelle salope... T'es trempée alors qu'on est dehors.

Après une rapide mais intense intrusion entre ses cuisses, je retire mes doigts pour les lécher et les glisser dans sa propre bouche pour l'empêcher de gémir trop fort. La laissant se frotter, s'appuyer contre moi. Une idée perverse me vient alors à l'esprit. Plusieurs même, mais les autres attendront demain.

- Okay, tu pourras te calmer ce soir. Mais t'auras un gage en échange.

Mes doigts quittent ses lèvres douces et trempées pour venir lui choper son énorme poitrine pour la malaxer aussi fort que je peux pendant que je l'embrasse en même temps. Sans aucune grâce. Tout en vulgarité, ma langue partant chercher la sienne tout en enfonçant mes doigts dans un de ses seins par-dessus ses fringues.

- Je veux tout voir. Alors tu vas te prendre en photo, te filmer et m'envoyer le tout sur mon portable.

Notre baiser se rompt un bref instant seulement pour lui donner sa consigne. C'est vrai, quoi. Tout adulte qui se respecte sait que briser les règles n'est jamais sans conséquence. Ma queue remue comme celle d'un petit chien alors que je l'imagine déjà en situation. C'est l'occasion parfaite pour aller encore plus loin dans nos délires si particuliers.

Un énième baiser vient se poser sur ses lèvres quand je recule la tête un bref instant pour la regarder droit dans les yeux en continuant mes massages brutaux sur son corps.

- Montre-moi la salope qui se cache derrière ce tailleur et je viendrais m'occuper de toi demain.

Certaines personnes passent à côté de nous sans s'arrêter. On nous jette des regards jalousés, surpris, dégoûtés... Cela n'arrête pas mes mains de jouer avec sa petite chatte et sa poitrine pour la pousser à accepter de faire ce que je lui demande en l'excitant au maximum. Comme plus tôt, je lui glisse doucement à l'oreille.

- Je crève d'envie de soulever ton petit corps au bout de ma bite. De déformer ta petite chatte à t'en faire hurler. Alors à toi de jouer. Envoie-moi ce qu'il faut pour me motiver.

L'heure tourne et je dois encore rentrer chercher mes affaires avant de partir bosser. Je termine notre échange avec quelques petits gestes bien placés et une grosse claque sur son cul qui résonne jusqu'au quartier suivant. Le tout accompagné d'un petit clin d'oeil alors que je me retourne pour m'en aller.

Kara Desco

Humain(e)

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    Kara est une jeune femme de bientôt trente ans, commerciale pour une grande entreprise, qui s'ennuie dans son job, et qui passe le plus clair de son temps à geeker sur le web et jouer en ligne sous le pseudo de Cassandre. Tantôt le parfait cliché de la working girl, tantôt la pantouflarde en legging qui mange de la glace dans son canapé ^^

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 16 dimanche 14 février 2021, 23:57:14

Kara n’avait pas menti, elle se sentait sincèrement hors d’elle, dans un état second d’excitation qu’elle peinait à dissimuler. Le voulait-elle seulement ? Yes ! Enfin, il accède à sa demande, il abdique, elle a gagné ! Ce n’était pas aussi bon qu’obtenir qu’il vienne chez elle, là, tout de suite, vite. MAIS, cela signifiait qu’il était dans le même état qu’elle, assez pour céder sur certains points. En l’embrassant furieusement, la jeune femme gloussa contre ses lèvres, cela sentait bon la victoire.

« Hmmm… »

Et évidemment, il fallait qu’il mette une condition ! L’entendre parler l’électrisa encore plus, il avait le don pour se faire désirer, pour attiser les flammes en elle, il savait sur quel levier appuyer, cela semblait si facile pour lui… Kara soupira d’envie en mordant sa lèvre.

« Tout voir ? »

Merde, c’était dangereux, ça, non ? Elle savait à quel point ce genre de jeu pouvait dévier, mais dans la fièvre, la tête pleines d’images salaces, la frustration rendait cette condition vraiment attirante, pire, vraiment, vraiment motivante.

Ses mains sur sa poitrine l’encouragent énormément, à vrai dire, elle sait que c’est une belle avancée que d’avoir obtenue ce modeste passe-droit, mais plus il est vif et brutal, plus il la regarde droit dans les yeux, et plus Kara en veut davantage. Elle le veut, elle a envie de lui, elle est persuadée qu’elle ne pourra pas tenir bien longtemps…

« Tu vas pas être déçu… » Murmure-t-elle d’une voix éraillée par la brûlure de sa gorge, en montrant les dents. « Tu vas jamais réussir à bosser correctement cette nuit, je vais te spammer si fort… »

Elle ne voit même pas les gens qui passent autour d’eux, tellement elle est électrisée et au bord du gouffre. Sa main se frotte nerveusement, en tremblant, contre son jean, qu’elle aimerait virer coûte que coûte. Ce qu’il lui révéla la fit transpirer d’un coup, comment pouvait-il lui dire qu’il voulait la baiser sans passer à l’acte ? Il avait une volonté de fer, ce con, et elle, elle fondait…

Mais il faut qu’il s’en aille.
NON ! Kara tente de le retenir, mais la claque la fait sursauter et elle ne peut retenir un gémissement plus fort. Les yeux bien écarquillés, incrédule, elle le regarde s’éloigner la bouche ouverte, totalement surexcitée mais médusée. Elle mit une minute à s’en remettre, à faire de l’ordre dans ses idées, avant d’avaler difficilement sa salive et marcher jusqu’à son immeuble. En courant, même.

Rentrer chez elle, avaler deux grands verres d’eau, foncer sous la douche pour se refroidir.

Kara reste un long moment pour souffler, mais son corps et surtout sa mémoire a gardé toutes les sensations en tête… Elle a encore la voix de Souta au creux de son oreille qui lui souffle des scènes vulgaires, et fatalement, son pouls s’accélère. En quelques secondes, en fermant les paupières, la jeune femme a des images bien nette de ces quatre sièges du bus. La chaleur monte jusqu’à ses joues, envahit ses reins…

Elle souffle, va cuisiner pour se changer les idées. Mais c’est trop dur. Il est trop présent. Elle peine à se concentrer sur quoi que ce soit, c’est un enfer. En grognant, Kara lâche son couteau et abandonne sa popote pour se laver les mains et se passer de l’eau sur le visage… Elle a l’impression d’avoir de la fièvre… Autant arrêter de se cacher ou de se mentir, elle soupire, déterminée.

D’un pas net, elle se dirige vers sa chambre en se saisissant de son téléphone portable, et prend une première photo, pour débuter en douceur… Elle est encore habillée, ouvre son chemisier, appuie encore pour un cliché plus évocateur, bien décolleté. Kara envoie les premières photos en se mordillant la lèvre, se sentant légèrement ridicule. Mais rapidement, le jeu devient plus intéressant… Il aura droit à un joli cliché de ses sous-vêtements, lui qui les martyrise depuis deux jours. Lentement, sa main glisse sur le tissu simple de son soutien-gorge, tout en appuyant encore pour déclencher cette fois une courte vidéo.

Elle glisse ses doigts sous le tissu, le téton qu’elle effleure, sensible, s’érige aux premiers contacts, excités comme elle l’a été par leur petite séance à l’arrête de bus. Doucement, sa respiration s’accélère, elle se prend au jeu, envoie sa vidéo à Souta. Pendant un moment, debout, elle ne fait que se dévêtir et caresser lentement sa peau, en faisant profiter le maître du jeu avec quelques visuels bien cadrés. Merde, elle se trouve presque sexy en se voyant en photo.

Kara ferme les yeux alors qu’elle descend sa main sur son ventre, sa poitrine se soulève plus vite, elle revoit parfaitement la bouche de Souta s’approcher d’elle, a des flashes de leurs parties de sexe si obscène à l’hôtel. Et immédiatement, ses doigts trouvent le chemin de son entre-jambe, en frissonnant de plaisir. Elle se laisse tellement aller qu’elle en oublie, un instant, de prendre des photos, s’allongeant sur son lit qui grince.

Elle profite de cette victoire qu’elle a obtenu… Ses doigts frottent doucement sur son clitoris, elle sait comment faire, elle soupire et gémit, avant de réaliser qu’elle n’envoie rien. Se mordillant la lèvre, elle se tortille et se penche pour réussir à trouver un angle adapté. Quelle connerie, ce n’est pas si facile de prendre une photo à la fois sexy et évocatrice de cet endroit. Mais ses efforts payent, elle lui envoie une vidéo de son index et son majeur joints, caressant adroitement chaque partie sensible de son intimité, attendant encore pour les insérer à l’intérieur.

Mais se concentrer sur le cadrage tout en se touchant, c’est vraiment la galère, elle tourne l’objectif et transmets à Souta une vidéo de son visage, les joues rouges, alors qu’elle se met à gémir légèrement sous la chaleur que produisent ses massages, en l’insultant cependant.

« T’es vraiment qu’un connard. Régale-toi avec ça. J’espère que t’es bien à l’étroit dans ton froc. »

Ses mouvements s’accélèrent, elle lâche un temps le portable pour venir s’occuper de sa poitrine en même temps qu’elle écarte ses lèvres intimes et y glisse ses doigts. L’atmosphère de sa chambre devient plus torride, elle soupire et geint, continue un moment avant de reprendre son smartphone et filmer sa main qui bouge, bouge plus vite, le son à fond pour que ses collègues entendent. Elle pense à ses mains, à lui. A ses lèvres, sa langue au même endroit.

« Oh, putain. »

Nerveusement, sans vraiment plus réfléchir au cadrage, certaines photos qu’elle lui envoie sont floues tant elle commence à perdre pied. La contrepartie devient accessoire, elle a la tête farcie de visions érotiques qui l’excitent et font s’intensifier ses gestes, comme ses vocalises.

Mais Kara se connait bien, agit avec efficacité, sent le plaisir monter, monter encore… En sueur, elle rattrape juste à temps son téléphone pour se filmer, filmer son visage qui se tord, avant qu’elle n’explose, en direct devant l’objectif. Le son saturé de l’appareil capte son orgasme, son corps se tord et se crispe, se détend, les spasmes font sauter la vidéo.

Elle se laisse retomber, les bras en croix, en se rendant compte qu’elle a oublié d’arrêter le film… Elle le ramène alors contre sa bouche pour réussir à articuler douloureusement.

« A demain, Souta. »

Il faut qu’elle s’y reprenne à plusieurs reprises pour réussir à lui envoyer cette putain de vidéo, ses doigts engourdis l’empêchent de correctement pianoter sur l’écran tactile. Elle l’abandonne sur son lit quand elle trouve la force de se lever pour aller reprendre une douche, à bout de souffle. Ça fait un bien fou. Elle se sent sur un nuage… Vivement demain.



Souta et Janus

Humain(e)

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 17 mercredi 17 février 2021, 23:16:04

La soirée se passe tranquillement les premiers heures. On peut dire que l'équipe a fait connaissance et fait son travail avec autant de sérieux pour assurer la sécurité des lieux qu'en organisant les futures soirées de beuverie pour se détendre ensuite. Leur professionnalisme et leur soin du détail dans les deux catégories est tout aussi impressionnant à voir.

Alors que l'on s'occupe de virer un chat de la pelouse qui a fait courir deux gardes du corps jusqu'à les crever vu que la bestiole n'arrêtait pas de déclencher des détecteurs de mouvements, mon portable s'est à mis à vibrer sans discontinuer lui aussi. Dans un coin de ma tête je sais de quoi il s'agit. Ou plutôt de ce dont j'ai envie qu'il s'agisse. Sans le faire exprès je me mets à sourire au contenu qui m'attend à la prochaine pause.
Le terme pause reste assez fort vu qu'on travaille surtout en rotations. Ce qu'on appelle des pauses sont des moments pour revoir certains détails si nécessaires, s'adapter en conséquence et se changer les idées une dizaine de minutes.

Il me suffit de regarder les premières photos d'elle à moitié à poil pour suffire à lancer la machine. Ma main gauche vient se poser sur la bosse qui vient d'y apparaître en une fraction de seconde pour la replacer histoire de pas me retrouver trop coincé sous mes fringues. Le tout accentué d'un "La salope..." en voyant la première vidéo. Je parcours le tout sans attendre et rigole à l'écoute de son petit message à la fin. Un message auquel je réponds par texto avec un émoji d'aubergine.
Un gars du boulot m'a expliqué que c'est une sorte d'allusion sexuelle qu'on envoie à quelqu'un pour plaisanter ou lui dire qu'on est très réceptif à ce qu'il nous dit ou envoie. En tous les cas, ça devrait faire passer le message normalement.

Le reste du boulot se passe sans trop de souci, même si je n'ai qu'une envie là. Une envie d'action, peu importe sa nature. M'emmerder comme un rat mort n'arrange rien à la situation. Bien au contraire, ça force à cogiter encore plus pour rien. Plusieurs heures passent alors et l'envie ne fait que grandir davantage.

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En rentrant du boulot je file me coucher pour être frais et dispo. Quitte à sacrifier quelques heures de sommeil je me lève à 11h pour prendre une douche rapide et j'embarque mes affaires pour arriver aux alentours de 12h au boulot de Kara. Je descends du bus qui m'a rappelé quelques bons souvenirs et fais quelques pas pour me glisser dans un coin isolé où on ne peut pas me repérer de l'intérieur pour lui envoyer un texto.

Citer
Le déjeuner est servi !

Tout en effectuant quelques pas de côté pour sortir de l'ombre, je prends une photo du paquet en carton d'une boulangerie à laquelle je suis passé avant de venir pour la lui envoyer.

Citer
Je dois le livrer à quel étage ?

J'attends un peu et réagit en entrant dans le bâtiment une fois qu'elle m'a répondu en me faisant passer pour un livreur. Le truc qui marche tout le temps vu qu'aujourd'hui ils ne portent plus d'uniforme quand il s'agit de bouffe. Une fois dans l'ascenseur je pense reconnaître un ou deux de ses collègues qui discutent entre eux sans faire gaffe à moi. La chose se confirme quand je les vois descendre au même étage que moi.

A mon tour d'en sortir pour me rendre dans la pièce qu'elle m'a indiqué. En ouvrant je la vois là, au milieu d'une sorte de bureau vacant. Les stores baissés. Sans attendre une seconde inutilement je ferme la porte derrière moi en tournant le verrou qui est sur la poignée et pose le carton sur le premier meuble à portée de main en fixant ma vicieuse employée.

- Viens là, toi !

En temps normal j'aurais arraché son haut sans réfléchir. Sauf qu'elle est au boulot et qu'elle pourra pas y retourner avec des fringues en lambeaux. Du coup je me contente de soulever sa jupe pour tirer sur sa culotte en la poussant sur le bureau vide afin de la faire se poser dessus. Le bout de tissu qui protégeait son entrejambe descend rapidement le long de ses jambes pour finir au sol.

Quelques doigts viennent tâter le terrain qui semble plus que prêt à m'accueillir. Là encore, pourquoi perdre du temps ? On aura d'autres occasions de s'amuser. Si je suis venu là c'est pour la baiser. Je me penche en avant pour l'embrasser rapidement tout en continuant de la doigter d'une main alors que l'autre déboucler ma ceinture et ouvre mon jean. L'envie est si pressante qu'il ne me faut que quelques secondes pour y parvenir.
Je recule la tête et le torse pour me redresser afin de lui présenter ma queue gonflée et tendue comme un piquet. Quelques gouttes de pré-sperme qui en dégouline.
Mon gland se frotte le premier contre ses lèvres. Puis une petite poussée fait glisser ma queue sur la longueur contre ses lèvres intimes depuis l'extérieur. Sans doute une envie inconsciente de vouloir me lubrifier le chibre avec son jus à elle avant de commencer. Une lueur vicieuse dans le regard je replace mon gland à l'entrée de sa vulve en la regardant et lui annonçant.

- Essaie de pas gueuler aussi fort que sur ta vidéo.

Sans la prévenir je lui enfonce ma queue brûlante et remuante jusqu'à sentir mon gland cogner au fond de son petit trou. Forçant et écartant ses parois étroites au passage. Un geste qui m'extirpe un long et savourant soupir de soulagement. Putain, c'est que je me retenais depuis plusieurs jours, moi aussi.

Kara Desco

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Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 18 jeudi 18 février 2021, 22:30:06

Dur dur de se concentrer au bureau.
Son petit jeu de la veille semble comme un rêve ou une séance ivre… Elle a réalisé un peu tôt le matin à quel point elle a réussi à être super provoquante et à aller encore plus loin dans leur petit jeu pervers à Souta et elle. Et finalement… Kara se sent vraiment bien avec ça. Même si elle a évité de regarder exactement tout ce qu’elle a envoyé. Pour éviter de se trouver ridicule, sans doute.

Et devant son ordinateur, la jeune femme soupire un peu, sans réussir à vraiment concentrer ses idées professionnelles sur un seul objectif. Zéro productivité, elle a des cernes. Elle se fait chambrer, répond comme à son habitude par un majeur bien tendu vers cette bande de cons… Ils sont pénibles, la charient sur son hypothétique ‘mec’

« J’ai PAS de MEC, ok ?! »

Mais ils n’en démordent pas.
En pianotant un peu fort pour tenter de couvrir les gloussements de ces débiles, Kara se plonge comme elle peu dans le travail. Des appels à des fournisseurs, des confirmations de mails, des choses ennuyeuses. Tellement nulles par rapport à un trajet super chaud en bus… NON. Ne pas y penser. Elle se l’interdit. Si elle commence à se rappeler de tout ça, c’est sûr, la journée passera très lentement jusqu’au soir, où elle sait qu’elle retrouvera Souta pour une nouvelle séance.

Quand son smartphone vibre, comme une addict, Kara le chope et ouvre la bouche. Peut-être s’attendait-elle à une photo un peu osée… Mais il faut avouer que c’est pas mal, mais mystérieux. Le déjeuner ? Elle regarde l’heure. Ah, mais oui, c’est l’heure de la pause ! La photo qui vient ensuite lui donne le sourire. Oh, merde, le con. Il a changé ses plans pour déjeuner avec elle ? Son cœur se met à battre plus vite et d’instinct, ses reins chauffent…

Elle pianote vite, lui indique l’étage concerné, vérifie rapidement dans l’écran de son téléphone qu’elle est présentable, sous un regard amusé d’un collègue à qui elle lance un regard noir… Ok, impossible de faire monter Souta avec ces gros lourds, Kara lui envoie un complément d’information, lui donnant le signalement d’un bureau de formation rarement utilisé, histoire d’être tranquilles. Elle n’a aucune envie d’avoir à se justifier…

Impatiente, son corps semble réagir avant son esprit, déjà frémissant alors qu’elle entend ses pas qui approchent… Il entre ! Il faut avouer qu’elle a eu le réflexe de rendre la pièce cosy, même si cela reste un bureau et qu’elle n’a pas pu faire de miracles… La température monte d’un cran quand elle pose son regard sur lui, le voyant fermer la porte à clé. Immédiatement, Kara sait qu’elle va sauter la pause déj. Sa respiration accélère déjà.

Les yeux de Souta sont sans équivoques, et les siens répondent avec la même intensité. Ils ont faim, mais ce qui se trouve dans le paquet a encore le temps de s’inquiéter pour son avenir. Accompagnant ses gestes, Kara se dandine pour permettre à sa culotte de descendre correctement au sol, leurs gestes semblent impatients, le contact de ses mains est immédiatement brûlant, et elle se sent électrisée dès qu’il glisse sa main entre ses cuisses, déjà excitée par la situation.

« Salut. »

Souffle-t-elle avant qu’ils ne s’embrassent à pleine bouche, ses doigts s’insérant facilement en elle, déjà trempée, son baiser masquant sa respiration bruyante. L’empressement de Souta la surexcite, tous les sons sont amplifiés lorsqu’elle ferme les yeux : la bouche de ceinture, le jeans qui tombe, le boxer aux chevilles. Il a l’air de ne plus tenir, et à vrai dire, elle est dans le même état. Une seule chose tourne en boucle désormais dans son esprit. Qu’il la prenne. Maintenant. Sans attendre. Peu importe comment, pourvu qu’il la baise rapidement.

Kara passe ses mains sur sa nuque en ouvrant les paupières pour poser les yeux sur sa queue dressée, celle qui la fait rêver depuis des jours, en se mordant la lèvre pour retenir un piaffement enthousiaste. Lorsqu’il se place correctement, comme une promesse d’imminente satisfaction de leurs désirs à tous les deux, et qu’elle croise son regard, la jeune femme bascule la tête en arrière en enfonçant ses doigts dans la peau de son cou. Merde, il a des yeux de fauves, l’ambre de son regard est brillante, il a l’air malsain, ça la rend dingue.

« Embrasse-moi, si non j’vais alerter tout l’immeuble. Je veux ta queue. »

Et ça ne manque pas, dès qu’il s’insère sans autre forme de procès, écartant ses parois intimes dans un mélange de soulagement et de pic énorme de plaisir, Kara doit se mordre la langue brutalement pour ne pas crier. La sensation d’empalement la transporte, elle tremble tout de suite, comme s’il comblait un manque, cette frustration énorme qui lui rongeait les entrailles.

« Oh oui ! »

Elle sait qu’elle ne tiendra pas longtemps tellement c’est bon, et surtout, qu’elle va couiner, c’est sûr. Se contractant, sa bouche vient cueillir la sienne d’un geste possessif en ramenant son visage vers le sien de ses mains, dont l’une monte dans ses cheveux pour agripper ses mèches argentées. Encore ! Encore !

Son bassin s’agite à un rythme effréné, elle se sent immédiatement en sueur, et s’en fiche, c’est trop bon de l’avoir en elle, meilleur que ses doigts ! En quittant sa bouche malgré le risque, Kara colle ses lèvres contre son oreille pour respirer contre son lobe, lui faisant partager combien il s’excite.

« Ça t’a plu ma petite séance photos hier ? T’as aimé hein ? Ça t’a excité au travail ? Avoue, après ça tu pouvais pas rester sans venir me baiser hein ? C’était trop long, une semaine, sans prendre ta petite Kara, hein ? »



Souta et Janus

Humain(e)

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 19 jeudi 18 février 2021, 23:08:05

Quelques baisers viennent combler les premiers secondes. En général c'est moi qui cause quand on veut lancer la machine. Faut croire qu'en plus de se lâcher physiquement, ma petite employée de bureau a la langue qui se délie de bien des façons. Ceci dit elle n'a pas tort quand elle suppose que j'avais une sacrée envie de me la faire. Et qui suis-je pour prétendre le contraire ?

- Ouais, c'était vraiment bandant.

Un premier baiser revient l'occuper alors que je me retire lentement pour revenir faire cogner ma queue au fond de son trou étroit à l'aide de mes hanches. Toutes mes forces y vont pour repousser son corps en arrière car je compte bien y loger chaque centimètre de mon chibre épais.

- Ta petite chatte mérite de se faire remplir chaque jour. Plusieurs fois par jour. Et aujourd'hui... on est un de ces jours.

Je repars de plus belle pour l'emballer tout en la pilonnant comme une brute en m'accrochant aux contours du bureau qui, heureusement, est fixé au sol. Autrement le bout de mobilier aurait changé de place en faisant un bruit monstre en un claquement de doigt. Calmer mon envie, me déchaîner sur elle et penser au fait que ses collègues pourraient entendre n'est pas simple à maîtriser.
Sa petite chatte douce, chaude et serrée me met rapidement au supplice. Elle a beau faire la maligne, Kara avait autant envie que moi de tirer un coup rapide pour lâcher un peu de pression

Etant donné que le bureau sur laquelle je la prends n'ira nulle part je m'amuse à le lâcher en me redressant. Trois doigts de ma main gauche foncent remplacer ma bouche au niveau de ses lèvres pour l'occuper. Mon autre main préférant venir ouvrir son haut pour libérer ses énormes mamelles et virer le soutif qui les protège pour les regarder remuer au rythme des coups de reins brutaux, secs et répétés que je lui mets en grognant sans aucune retenue.

Les minutes passent rapidement. Cinq, dix... On voit pas le temps défiler quand on s'amuse à ce qu'il parait. Cette courte abstinence et l'envie pressante d'aller au bout ne m'encourage pas à savourer et faire durer l'instant. J'agrippe un de ses seins de ma main libre pour le malaxer bien fort sans pour autant ralentir les coups de butoir. Ma bite est un véritable engin de destruction qui creuse un tunnel dans ses entrailles. Une façon de préparer le terrain pour tout à l'heure car ce soir je ne travaille pas. Je garde l'information pour moi, jusqu'au bon moment de lui annoncer la chose.

Passé le quart d'heure, mon corps est devenu une véritable fournaise. Les efforts intenses, l'envie de la briser en la prenant de toutes mes forces et cette explosion qui risque de survenir dans quelques instant me poussent à me pencher sur elle pour plaquer mon torse contre sa poitrine afin de lui poser une question essentielle.

- Tu dois sentir ma queue gonfler et trembler de plus en plus fort. Mnnn ! J'ai les couilles pleines à craquer, reste à savoir où je vais les vider. Dans ta bouche d'affamée ou dans ta chatte de salope en manque ?

Sur le moment je tiens vraiment à lui laisser le choix. Pourtant une pensée me vient rapidement à l'esprit. Si je me vide dans sa chatte elle risque d'avoir du mal à retourner bosser vu que ça va déborder encore plus que les fois d'avant. Idem pour sa bouche de toute manière. Reste à choisir la moins mauvaise des solutions. Je décide alors à sa place.

Mes coups de reins se font plus violents alors que je lui murmure à l'oreille des "Tu le veux mon jus, hein ?" ou encore "Je commence la connaître ma salope.". On est plus dans une baise courte et brutale qu'une vraie partie de plaisir comme l'autre soir. Le moment de me soulager arrive donc logiquement au bout de quelques secondes.
D'un geste habile du pied je fais se rapprocher une poubelle en fer avant de forcer Kara à venir se mettre à genoux de l'autre côté de celle-ci. D'une main je fais remonter ses cheveux qui s'étaient collés sur son visage à cause de la sueur pour les placer à l'arrière de son crâne que je tiens d'une main ferme tout en me branlant frénétiquement de l'autre en poussant mon gland et les premiers centimètres de ma queue dans le creux de sa joue.

- Le déjeuner est servit, ma belle. Régale-toi !

Sans une parole de plus un énorme et long soupire de soulagement s'échappe de ma bouche alors qu'une massive quantité de sperme pâteux et collant vient envahir sa bouche. La pression libérée entre ses lèvres est si forte que je vois des filaments épais s'échapper de ses narines pour finir dans la poubelle. Elle ne pourra jamais tout avaler. Mais au moins elle pourra recracher ou laisser le surplus finir sa course sans trop se salir et tâcher le bureau.

Kara Desco

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Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 20 samedi 20 février 2021, 14:41:18

Entre deux coups de reins, les informations transmises par Souta lui parvenaient difficilement jusqu’au cerveau. Il fallait dire qu’elle en prenait pour son grade, et subissait d’énormes coups de butoirs en devant faire en sorte de ne pas hurler, ce qui était assez compliqué pour Kara… Mais elle rêvait, ou il avait vraiment dit qu’il avait l’intention de la remplir plusieurs fois ? Cette idée tourna en boucle dans sa tête, comme une promesse géniale, la bouche en cœur crispée pour ne pas gémir de plaisir.

En grand gentleman, Souta l’aide à ne pas geindre trop fort en lui enfonçant des doigts dans la bouche, qu’elle lèche et suce presqu’immédiatement comme une assoiffée, électrisée par chacun de ses mouvements, entrée dans une transe incontrôlable… A vrai dire, Kara avait du mal à se souvenir où elle était, tout tournait autour d’elle, tout ce qui comptait était cette trique énorme qui la pilonnait et la main ferme de son amant qui palpait avec frénésie sa poitrine désormais libérée. Il y allait fort et ça lui allait ! Oh, oui.

C’est si fort qu’elle a l’impression d’être une poupée de chiffon ravagée par une force brute, son corps encaisse, et quand il déclare de manière si obscène qu’il est au bord d’exploser, avec des mots toujours plus vulgaires, comme à son habitude, elle s’étouffe presque avec sa salive, recrachant ses doigts pour éviter de suffoquer et dans l’intention de lui répondre. Faut faire un choix… Et ce n’est pas des plus faciles, parce que Kara, là, tout de suite, n’a aucune envie de voir sa queue s’éloigner d’un pouce de son entre-jambe, elle serait tentée de lui ordonner de rester fiché en elle, de la remplir profondément…

Mais Souta redouble de force et Kara vrille sur le bureau alors qu’il s’affale sur son corps en sueur, sa voix suave, chaude, grésille à ses oreilles et dans un réflexe sauvage, elle lui attrape les cheveux pour lui faire comprendre comme il la rend dingue.

Elle n’a pas le temps de réaliser qu’elle se retrouve avec une facilité déconcertante au sol, à genoux, soumise, mais docile, relevant des yeux vitreux de désirs et des intenses plaisirs qu’elle vient de prendre… Elle réalise. Oh, la poubelle. Heureusement qu’il lui emprisonne les cheveux, elle semble incapable de coordonner ses mouvements pour autre chose qu’ouvrir la bouche et tirer la langue pour accompagner ce gland brûlant qu’il glisse contre sa joue. Pas besoin d’être experte pour savoir ce qui va lui arriver, Kara se sent frémir d’impatience et tremble avant de sursauter dès qu’elle sent la hampe dure comme du bois se dresser pour la remplir soudainement.

C’est beaucoup trop, elle s’étouffe, les larmes lui montent aux yeux et elle manque d’air mais dans une suffocation, la jeune femme arrive à aspirer assez d’oxygène pour ne pas s’asphyxier. Impossible de tout avaler, elle sent un haut-le-cœur la faire tressauter et recrache comme elle peut son sexe, le visage dégoulinant au-dessus de cette poubelle de bureau cylindrique.

C’est un peu le comble de la déchéance totale. Elle se sent sale, et paradoxalement, repue, comblée, heureuse. Cette sensation étrange la laisse fiévreuse un petit moment, tanguant légèrement au-dessus de l’objet qui accueille de longs filets blancs. Le bureau est empli de leurs odeurs et des respirations saccadées…  La tête lui tourne.

« Putain… » Une quinte de toux la soulève un peu. « T’es le mec le plus dégueulasse que je connaisse… »

Kara tire de sa poche un mouchoir, s’essuie comme elle peut, pour pouvoir relever son petit visage saccagé vers celui de Souta.

« J’adore ça. »

Il lui faut un moment, encore, pour pouvoir se redresser, elle a mal aux jambes à vrai dire, grimace. « Merde. » Impossible de retourner au bureau dans cet état, même s’ils ont tenté d’être un minimum correct… Non, vraiment pas. Pas correct. Pas du tout ! En quelques pas, elle réussit à atteindre le bureau, pour s’y asseoir.

« Y a des douches au dernier étage, là où les Dirlos ont leur salle avec les rameurs. » Kara parle lentement, sa gorge brûle. « J’peux pas retourner dans mon bureau comme ça… Regarde. »

Malgré tous leurs faibles efforts, elle avait le menton collant et blanc, et quelques gouttes dans le cou, ou une mèche de cheveux. Sans parler de l’odeur de fauve et de son entre-jambe…

« T’es chiant ! Je vais me faire chambrer moi ! » Gronda-t-elle en lui donnant un coup de poing de toute sa petite force dans l’épaule.



Souta et Janus

Humain(e)

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 21 samedi 20 février 2021, 20:38:24

Quel spectacle bandant à souhait c'est de la regarder se démener pour tenter d'avaler ou de recracher le trop plein de sperme qui gicle entre ses lèvres, entre ses joues ou file directement dans sa gorge de là où je suis. Le son dégueulasse produit par sa bouche quand elle recrache ma queue et une bonne dose de sperme au passage est le clou du spectacle. Je reste à ma place, la queue à l'air, sans dire un mot ou faire un geste pendant qu'elle reprend son souffle et s'essuie comme elle peut.

- Je le sais déjà.

La remarque vaut pour les deux phrases. Celle sur ma personnalité et la sienne. Son vrai visage commence à se montrer un peu plus chaque jour, chaque partie de baise... chaque coup de bite qui vient tambouriner son col sensible. Aujourd'hui on peut affirmer sans se tromper que la petite vendeuse/employée de bureau timide ou peu sûre d'elle prédomine. Il est évident qu'elle n'a pas dominé toutes ses craintes. Ce qui viendra avec le temps. Naturellement. Et je compte bien jouer un rôle essentiel dans ce processus.

Je l'écoute et réponds d'un bref.

- Ouais, ça pour regarder, je regarde.

Elle ne l'a sûrement pas remarqué mais cette éjaculation n'a pas calmé mon envie pour autant. Mon sexe est toujours aussi gonflé et tremblant, prêt à repartir à l'action à la moindre occasion ou faille qui s'offrirait à ce dernier. Mon geste est hésitant, le temps de trouver un espace non souillé, pour attraper la poubelle et la pousser un peu plus loin. J'en profite pour attraper une chaise un peu plus loin que je ramène vers Kara et un coussin qui trainait sur un meuble et qui semble dépourvu de poussière. Quelqu'un a dû le balancer ici pour ne pas s'embêter a trouver un endroit où le ranger.

Mon bras se tend pour donner le coussin à Kara alors que je pose mon cul sur la chaise après l'avoir essuyé rapidement avec un chiffon ramassé sur le bureau. Les jambes écartées comme je peux avec le pantalon encore vissées sur les chevilles je la regarde droit dans les yeux.

-  T'as l'air crevée. Prends le temps de souffler cinq minutes... en me nettoyant la queue.

Une main vient se poser sur un de ses poignets pour lui faire comprendre de venir s'y mettre. Sans la forcer, sans tirer pour lui faire mal. Simplement l'accompagner. C'est de sa faute après tout, non ? Qui m'a chauffé et encouragé à briser les règles ? Faut assumer, c'est ça être adulte.

- Ca me donnera le temps de réfléchir à un plan pour que t'ailles te doucher sans te faire choper par tes collègues.

Je me mets alors à sourire et ricaner un bref instant avant de reprendre dans la foulée.

- Mais t'iras te débarbouiller seule. Ton petit cul a beau me faire envie, la suite attendra ce soir car je bosse pas.

Plusieurs soupirs accompagnent les gestes de ma belle employée qui me donne presque l'impression d'être un de ces patrons qui s'éclipse régulièrement avec sa secrétaire pour un cinq à sept à l'abri des regards. Je dois avouer que c'est assez excitant et que je comprends ce qui doit motiver ces salauds. A la seule différence que j'ai pas besoin de motiver Kara avec une promotion ou un délire du genre. Non, ma grosse queue suffit à la motiver.

La chose dure bien une dizaine de minutes durant lesquelles je lui fais lécher mon chibre pulsant et brûlant sous tous les angles de façon lascive et baveuse. Faudrait pas que je me retrouve avec une bite collée à un boxer souillé en sortant, ce serait crade. Je termine par ranger mon engin après l'avoir essuyé avec un mouchoir et sors le premier pour voir si le chemin est libre.

Tels deux ninjas, on se faufile dans les couloirs et montons au dernier étage. Là encore, je sors de l'ascenseur le premier pour détourner l'attention des personnes présentes en piquant un faux scandale sur un faux litige qui implique un aspirateur défectueux et une garantie frauduleuse. Tout est dans la gestion et je sais m'y prendre pour emmerder le monde sans en faire assez pour qu'ils appellent la sécurité.

Une fois que je sais qu'elle a terminé de faire ses affaires je fais semblant d'avoir reçu un texto et m'excuse en précisant que je me suis trompé de bâtiment et je pars sans demander mon reste en rigolant.


En arrivant dehors j'écris et envoie un message à Kara :
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Même heure, même arrêt de bus. Ce soir on va chez toi !

Kara Desco

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    Kara est une jeune femme de bientôt trente ans, commerciale pour une grande entreprise, qui s'ennuie dans son job, et qui passe le plus clair de son temps à geeker sur le web et jouer en ligne sous le pseudo de Cassandre. Tantôt le parfait cliché de la working girl, tantôt la pantouflarde en legging qui mange de la glace dans son canapé ^^

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 22 dimanche 21 février 2021, 17:19:08

Kara est derrière son bureau. Propre, autant qu’on peut l’être après cette éprouvante pause déjeuner. Elle a faim, d’ailleurs, mais se sent étrangement repue. Cette séance rapide et hard la rend ultra productive, toute l’énergie qu’elle a mise pour encaisser les coups brutaux a été rapidement récupérée, depuis qu’elle a lu un seul et unique sms. Chez elle. Ce soir. Comme l’employée modèle, Kara s’active avec acharnement sur son ordinateur, elle pianote, appelle des fournisseurs avec un zèle anormal. Cela ne manque pas d’attirer l’attention de ses collègues, et évidemment elle a droit à pas mal de réflexion, l’un d’eux demande même en ricanant s’il y a un rapport avec ce mec bizarre qui a tapé un scandale à midi.

A part un échange d’insultes classique, la jeune femme ne prend pas la peine de répondre, sauf pour souligner qu’elle a du boulot, elle, contrairement à ceux qui ont le temps se bailler aux corneilles. Ça ne manque pas, elle a fait mouche, et les deux lourdauds se remettent eux aussi à bosser. Mission accomplie, passons à la suivante…

Ce petit cachotier de Souta c’était bien gardé de lui dire qu’il ne travaillait pas ce soir, et Kara avait l’intention de se venger de cette petite trahison. Trahison assez sympathique, elle devait l’avouer : après des jours à se chauffer, la pause déjeuner ne suffit pas. Instinctivement, juste évoquer en pensée ce qui vient de se passer quelques heures plus tôt lui fait serrer les cuisses pour tenter d’éviter de s’exciter toute seule sur sa chaise de bureau.

Juste avant l’heure de quitter les lieux, la jeune femme fonce s’isoler aux toilettes avec un petit sourire pour elle-même, s’enferme, retire sa culotte qu’elle plie soigneusement et range dans la poche de sa veste, ricane toute seule, replace sa jupe, et ressort comme si de rien n’était, prenant l’ascenseur pour la conduire à l’arrêt de bus direction : le Paradis !

En sortant, l’air de rien, ou plutôt, espérant que son regard ne trahisse pas la petite malice qu’elle élabore, Kara sautille presque jusqu’à l’arrêt où elle aperçoit Souta, en lui lançant un énorme sourire complice. Evidemment, ils savent bien tous les deux ce qui va arriver… L’excitation est encore plus instantanée qu’elle sait qu’elle sera cette fois parfaitement satisfaite. Avec impatience, elle presse le pas, le rejoint, se hisse sur la pointe des pieds pour l’embrasser comme une collégienne. Les coups de langues qu’elle donne à ses lèvres, cependant, n’ont rien d’enfantin.

« Hey… Alors, petit cachotier, on a sa soirée de libre ? Comment ça se fait que tu bosses pas ? T'as une permission, ou un truc du genre ? Pas de meurtre à commettre ? » Elle lui tire la langue, ricane, glousse...

Le bus ne met pas longtemps à arriver, et tout naturellement, Kara prend sa main, mais se souvient alors d’une chose, tournant un œil vers lui, en plissant les paupières sur ses yeux en amande.

« C’est ton tour de choisir la place non ? » Elle est d’humeur joviale, cela transpire dans chacun de ses gestes, dans le timbre de sa voix, dans son enthousiasme survolté. Ne pouvant tenir en place, elle semble incapable d’être immobile même lorsqu’elle essaye de le laisser parler. En montant dans l’autocar, la jeune femme serre la main de Souta dans la sienne, prête à la suivre, et impatiente qu’il découvre sa surprise. Elle se retient de le lui dire, se mord la langue, il faut encore tenir un peu...



Souta et Janus

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Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 23 dimanche 21 février 2021, 17:46:52

Cette journée a déjà pris un tournant assez particulier. Reste à faire fructifier la chose autant que possible désormais. Surtout que Kara semble encore plus partante que moi. Elle me rejoint rapidement à l'arrêt de bus qui est moins occupé que les derniers jours.

- Ouais, mon patron ma laissé ma soirée quand je lui ai décidé qu'une nympho en manque m'attendait.

Un dernier baiser rapide pour se réchauffer et je lui offre un grand sourire en guise de réponse avant de me lancer dans le bus, ma main dans les siennes. L'autre tenant un sac plastique avec une petite surprise pour le trajet du retour. Une fois les deux marches montées, mon regard quadrille la zone. Comme avec l'arrêt, le bus est encore moins occupé que les autres soirs. Amusé, je me retourne vers Kara pour lui glisser à l'oreille.

- Je pourrais sûrement te baiser comme dans mon fantasme. Regarde, les quatre sièges sont vides.

Sans lui préciser si je suis sérieux ou non je la tire en direction de l'emplacement en question... pour me poser sur les deux sièges juste derrière. Nos places seront cependant échangées car je lui demande de se placer côté fenêtre pour rester de lui du couloir. Les gens ne vont jamais au fond de toute manière. Le fait d'être un rang plus en avant pimentera la chose.

- Maintenant qu'on est posé, à toi de jouer !

Je déboucle ma ceinture en ne démontrant aucun signe d'hésitation ou de gêne pour finir par lui présenter une queue aussi tendue et pulsante que dans le bureau vide. Couverte de large veines qui la font trembler d'anticipation. Puis j'ouvre mon sac pour en retirer un plaid que je prépare pour l'en recouvrir en partie si la situation l'exige. J'en bloque une partie sur ma droite qui donne accès au couloir à l'avance.

Après le résultat de l'éjac' de tout à l'heure qui en a foutu partout je vais éviter de me laisser aller en lui crachant dans la bouche. Pendant qu'on est dans le bus en tout cas. L'enchaînement des évènements est parfaitement frais dans ma tête et je pense qu'elle va autant prendre son pied que moi durant cette soirée.

Une main vient se poser sur son épaule et sa nuque pour emmener sa tête vers la vienne histoire de nous offrir un baveux échange de salive pour l'inciter à m'embrasser autre chose. Quelque chose de dur, d'épais et intoxiquant à ses yeux. Je ne pousse même pas le vice à forcer son engagement de la main. Non, je le laisse s'y lancer.

- J'ai une surprise pour toi avant qu'on arrive. Au lieu de te demander de fermer les yeux en attendant, je vais te faire me bouffer la queue pour t'occuper. Tu me dois plusieurs pipes après tout, alors viens te rattraper, Kara.

Comme à chaque fois, il ne me faut pas longtemps pour savourer ses prouesses alors que le bout disparaît entre ses lèvres gourmandes. On a plusieurs arrêts à faire avant de descendre. De quoi profiter de ses talents autant que nécessaire.

Kara Desco

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Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 24 dimanche 21 février 2021, 20:32:45

Décidément, Souta est toujours pleins de surprises ! Kara se dandine sur son siège lorsqu’il ose défaire ceinture et jean, assez pour qu’elle ne puisse pas manquer l’épais membre qui l’attend déjà avec impatience.

« La vache, mais t’es vraiment tout l’temps prêt toi ! » Kara ricane, toujours aussi enjouée, en plissant les yeux pour le taquiner, continue même en lui montrant ses dents tant elle sourit. « T’en as jamais assez ? Ou alors c’est parce que j’suis trop canon ? »

Leur relation lui donnait des ailes, assez pour avoir cette confiance en elle qui lui manquait cruellement habituellement. Souta l’avait déjà complimentée, souvent même, et à le voir toujours autant excitée par elle, son corps, ses attitudes, en demander toujours davantage, elle estimait qu’elle devait lui plaire… Un coup d’un soir ce serait contenter de la rappeler à l’occasion pour tirer son coup, là, passer une journée sans la baiser était déjà une torture pour l’un, comme pour l’autre. Kara en tirait un petit orgueil agréable, et se permettait ainsi de fanfaronner.

 « A moi de jouer ! » Répète la jeune femme en levant les sourcils d’un air provocateur, dès qu’il relâche ses lèvres après un baiser vulgaire comme il en a le secret, ce genre d’échange qui l’électrise vraiment, lui donne envie de le déshabiller illico, peu importe l’endroit. Il est obscène, quoi qu’il arrive, il trouve toujours le moyen d’être dégueulasse, et au début, ça l’avait un peu dérangé… Désormais, elle s’en amuse, au pire, et s’en trouve excitée, au mieux.

Le petit cachotier pousse le vice en ayant tout organisé pour qu’ils soient plus à l’aise, elle fait un détour par son cou, qu’elle adore croquer, avant de se pencher en deux, malgré le manque de place, courbant bien rond le dos, pour frotter sa bouche, son nez, ses joues contre le gland chaud qui l’appelle.

Et visiblement, ce n’est pas la seule surprise qu’il lui réserve, la forçant à relever les yeux pour échanger un regard curieux, intrigué, surexcité par ce qu’il vient de dire, pendant que sa langue joue déjà sur sa peau. « Une surprise ? C’est quoi ? » Oh, merde, elle se trémousse d’impatience ! Mais comment résister plus longtemps avant de ‘fermer les yeux ?’ Kara glousse avant de terminer sa séance de lapements, et ouvre doucement la bouche, à peine trop peu pour que le passage soit délicat au déjà, que cela force un peu, résiste, le presse.

De longues minutes, elle joue à descendre, puis monter sur sa trique énorme, toujours aussi dure quelle que soit la situation, le compressant de ses lèvres, puis le suçant, l’aspirant longuement. Ses mains empêchent boxer et jean de remonter malgré les mouvements, elle le plaque fermement contre son siège alors qu’elle remue les épaules, ricane parfois, le flattant de quelques coups de langues lorsqu’elle a été plus intense, avalant sa salive le plus discrètement possible.

C’est le pied, elle a une boule au ventre, de peur qu’on la surprenne, elle compte sur Souta pour faire le guet, pour s’assurer qu’il n’y a personne, mais dans son esprit, la description qu’il lui a faite la veille est encore bien présente, et lui fait de l’effet. Heureusement, son sexe épais pulse trop dans sa gorge et l’empêche de gémir de plaisir.

Dans un bruit vulgaire, elle le recrache et relève un peu les yeux, malicieuse.

« C’est quoi ma surprise ? »

Sans attendre, elle replonge, y va plus fort, longuement, de longues minutes, puis doucement, remonte sa langue sur toute la longueur veinée.

« C’est quoi ma surprise ? »

Kara reprend le chemin de sa queue, le martyrise un peu, insiste, se dandine sur son siège, l’expulse.

« C’est quoi ma surprise ? »

Elle continue, audacieuse, l'œil pétillant de provocation taquine, l'aiguillonne un bon moment.
« Modifié: dimanche 21 février 2021, 21:04:40 par Kara Desco »



Souta et Janus

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Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 25 dimanche 21 février 2021, 21:31:50

Avec toute l'énergie perverse que je lui connais désormais, on peut dire que ce trajet en bus fait partie de mon top-5 les plus amusant et excitant. Il y a pas si longtemps elle aurait été choquée et n'aurait sûrement jamais pu envisager de se laisser tripoter en public. Alors que là, sa bouche est en train de me lustrer la queue avec une volonté et perversion délectable pour nous deux.

Les minutes filent et elle ne perd pas l'occasion de venir me harceler avec la même question. Aussi irritable que cela peut paraître, je préfère m'en amuser en posant une main plus ferme sur sa bouche en lui répondant.

- C'est plus une surprise si je te dis tout maintenant. Contente-toi de t'étouffer sur ma queue.

Kara n'est pas encore en mesure de me dévorer la bite en intégralité. Heureusement, à force de l'entraîner et l'habituer à la taille de mon membre, je sais de quoi elle est capable et comment la pousser à bout ou m'arrêter au bon endroit sans qu'elle ne finisse trop rapidement à court d'oxygène.
Ma main lui bloquant la tête, je relève un peu les hanches pour donner quelques petits coups dans sa gueule d'ange pour pimenter les choses. Les arrêts défilent, les gens montent et descendent sans s'approcher du fond du bus.

J'appuie alors sur le bouton de demande d'arrêt en voyant que l'on arrive à 3 stations avant l'arrêt de chez Kara. Tout s'enchaîne ensuite rapidement pour descendre du bus à temps. Remballer la couverture, lui faire arrêter de me pomper la queue pour la ranger fissa dans mon boxer et mon jean et la traîner dehors à l'arrêt de l'engin qui nous a transporté jusqu'ici.

Un peu plus tôt dans l'après-midi je me suis permis de revoir l'itinéraire deux ou trois fois pour voir si il y avait des trucs intéressants et j'ai trouvé mon bonheur. En descendant plus tôt on va pouvoir se faire une petite excapade un peu particulière qui devrait être sacrément excitante.

Pas de temps à perde, j'emmène Kara avec moi dans une ruelle après avoir parcouru une bonne partie de la rue principale où le bus s'est arrêté.

- Viens par là, toi !

D'un geste précipité je sors la couverture du sac en plastique pour la déposer sur une machine à laver abandonnée et soulève Kara dans la foulée pour la faire s'assoir dessus en lui écartant les cuisses dans la foulée. Je découvre alors que je ne suis pas le seul à avoir préparé une surprise à l'autre. Je relève la tête dans sa direction en souriant.

- Quelle salope !

Je replonge alors dans l'autre direction pour venir lui dévorer la chatte tout en lui foutant trois doigts bien profondément entre ses lèvres intimes. C'est elle qui avait parlé de se faire brouter le minou sans attendre la dernière fois. Ben elle va être servie. Ma langue vient s'amuser à stimuler son clito en le léchant de manière répétée et quasi frénétique. Sur l'exemple du coup rapide de midi, il n'y a pas de place pour la douceur ou la délicatesse ce soir. Non, ce sera du hard et du vulgaire jusqu'à ce qu'on finisse sur les rotules le moment venu. Trop de tension attend d'être évacuée et elle va en faire les frais.

Le doigtage en règle avec aspiration de clitoris ou exploration de sa vulve se poursuite jusqu'à chercher à lui extirper un premier orgasme. Quand sa mouille se met enfin à couler en plus grande quantité je passe à l'étape suivante et ouvre son haut pour remonter son soutif. Je récupère un peu de sa cyprine que j'étale sur un de ses tétons sensible et dressé pour le dévorer à son tour. Tel un glouton qui n'a rien eu à se mettre sous la dent durant des semaines. Mes dents viennent le titiller et tirer dessus pour le faire s'étirer avant que je ne l'aspire et le lèche plus doucement.
Putain, cette énorme paire de seins m'avait manqué.

Plus bas je ne ménage pas mes efforts pour autant et continue de la trifouiller comme un possédé. Ma cible : un second orgasme. Et je poursuis cette noble quête le temps nécessaire pour y parvenir.

Lorsque c'est enfin fait je la regarde en rigolant. La partie inférieure de mon visage couverte de salive à force d'avoir bavé sans retenue sur ses nichons laiteux et si appétissants.

- Tu voulais connaître ta surprise ? La voilà !

Ma phrase se termine sur le bruit du tissu qui se déchire. Je viens de lui arracher sa jupe sans la prévenir. Le coup de la culotte en moi n'était pas prévu, alors je suis pas responsable.

- Tu vas rentrer à ton appart le cul à l'air. Avec un handicap particulier.... Je dois me garder avec la trique tout le trajet.

C'est con, car en plus elle doit être surexcitée avec ce que je viens de lui faire.

Kara Desco

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Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 26 mercredi 24 février 2021, 15:57:52

Plus elle le taquine, et plus elle se prend elle-même au jeu, s’excite par ses mesquineries, adore qu’il réagisse, et s’exécute sans problème quand il réclame qu’elle se concentre sur sa tache de succion assidue, pour garder la surprise encore intacte quelques instants supplémentaire. Elle y met tout son cœur, enthousiaste et malicieuse, malgré le fait qu’ils soient dans un lieu public, et les risques que cela représente.

Se trouver contrainte par ses gestes, mouvements de bassin ou ses mains, l’encourageait encore plus et la laissait trempée sans mal… De plus en plus, elle sentait la chaleur dans son bassin irradier et devenir de moins en moins contrôlable. Mais il la surprit en l’entraînant plusieurs stations avant celle qui se trouvait la plus proche de chez elle. Il s’était perdu ?

A voir comme il la mène dans une ruelle, Kara sait désormais qu’il a une bonne idée, précise, en tête, et que ce sera évidemment un très bon moment à passer tous les deux. Un… très bon moment, même, dès qu’il la hisse sur cette vieille machine à laver en ruine, elle est persuadée que Souta va enfin découvrir sa petite surprise, à elle… Il lui écarte les cuisses et Kara plisse les yeux en croisant son regard pervers. A son insulte, elle lui adresse un clin d’œil taquin. Il n’est pas le seul à avoir attendu ce moment depuis un bail !

Dès qu’il plonge entre ses cuisses, la jeune femme explose de plaisir, contenu depuis longtemps, c’est vrai qu’elle en rêve depuis plusieurs jours, et après ce qu’ils ont vécu à cet hôtel de luxe, et qu’elle sait combien Souta sait s’y prendre, jamais Kara n’aurait envie de s’en passer… Sans attendre, sans prendre de gant, sans perdre son temps à discuter ou à faire monter la température, Souta l’attaque fort directement, et elle couine déjà. C’est immédiat, elle se mord la lèvre, l’intensité la submerge sans attendre, puisque son amant est doué, oh, oui, si doué de sa langue !

Il l’a tellement chauffée ce midi qu’elle ne met pas longtemps à sentir le plaisir immense de l’orgasme arriver, et les premières contractions explosent alors qu’elle serre ses cuisses contre son visage, l’emprisonnant fermement pour éviter de hurler de bonheur.
Sa respiration saccadée, Kara a besoin d’une minute pour reprendre son souffle, mais ce petit affamé de Souta ne semble en aucun cas du même avis !

Sa bouche dévore alors sa poitrine, martyrise ses tétons, et la jeune femme a encore plus de peine à ne pas ameuter tout le quartier dans la ruelle, il y va fort, ses dents achèvent vraiment ses dernières barrières, même si visiblement, se trouver à cet endroit précis n’avait plus vraiment d’importance pour eux. A part se retenir de gémir trop fort, Kara se lâche, elle est obligée de toute façon, elle n’a pas le choix, le désir est trop puissant et Souta la rend trop folle.

En se tordant de plaisir à nouveau, serrant les dents, la mâchoire contractée à l’extrême, tout son corps se met à trembler et les larmes lui montent aux yeux sans peine. « Merde, merde, merde ! » Son corps tombe presque mollement sur la machine qui grince, et elle voit cependant le visage de Souta qui entre dans son champ de vision… et qui ricane ! L’enflure ! Il a l’air heureux de son petit effet, hein. Kara lui tire la langue en plissant les yeux. Elle pensait que c’était ça, sa surprise… Mais elle se trompait.

Choquée, elle voit presque au ralenti la main de Souta accrocher sa jupe et la tirer si fort que le tissu craque, se déchire, pour la mettre littéralement à poil. Ses yeux s’écarquillent, ronds, et elle ouvre la bouche comme une carpe.

« Quoi ?! » Kara fronce les sourcils et se redresse pour lui faire face, sous le choc. « Hé mais… ça va pas la tête ?! »

Elle se redresse encore, saute à bas de la machine à laver, mais même ainsi, elle est bien plus petite que lui, et ne peut pas rivaliser en taille, elle n’est pas impressionnante pour deux sous. « Tu m’dois une jupe. »

Bougonne-t-elle, d’un coup, avant de récupérer la petite couverture qui se trouvait sous ses fesses, pour l’enrouler autour de sa taille, en lui tirant la langue encore, et tentant de de lui donner un petit coup de pied dans le tibia, mais il faut qu’elle tienne le plaid, alors se rate.

En marchant jusqu’à revenir vers l’avenue principale qui donne vers la rue où elle réside, se tournant de temps en temps pour vérifier qu’il n’était pas loin derrière, en lui tirant encore la langue, comme si elle boudait, mais voulait quand même l’aguicher. Elle était morte de honte de devoir croiser des gens la regardant bizarrement, comme si elle sortait de la fashion week du pauvre. Quel enfoiré !

En bas de chez elle, Kara attend un peu qu’il la rejoigne. A sa hauteur, Kara minaude, le cherche. « Va falloir te faire pardonner d’avoir défoncer ma jupe, hein. » Sa main vient choper son col de veste, le tire jusqu’à l’intérieur de l’ascenseur, pendant que l’autre maintient toujours sa robe improvisée. Il se retrouve plaqué contre la vitre et elle se presse contre lui, serre sa poitrine contre son torse, l’écrase. « Tu devrais me demander pardon. Demande-moi pardon. Gentiment. » Ronronne-t-elle.



Souta et Janus

Humain(e)

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 27 jeudi 25 février 2021, 08:19:16

Le trajet jusqu'à chez elle se veut rapide. Bien plus rapide que je l'espérais au départ car je comptais en profiter un maximum en faisant durer la chose. Tant pis, ce sera que partie remise. Au moins elle a un minimum joué le jeu en laissant la porte ouverte pour d'autres plaisirs singuliers quand l'occasion e présentera. Et Dieu sait à quel point je suis imaginatif et volontaire pour forcer le destin quand on parle de cul.

Arrivés en bas de son immeuble, voilà que Kara se presse contre moi avec ses énormes nichons tout en essayant de faire preuve d'autorité. On sait tous les deux de quel type d'excuse elle s'attend lorsqu'elle me fait ce genre de demande et je ne peux m'empêcher de sourire quand je lui arrache sa jupe de remplacement des mains en rétorquant.

- Si t'en veux pas, suffit de le dire.

Le cul de nouveau à l'air, je viens glisser deux doigts dans sa chatte encore humide et visiblement sensible en posant l'autre main qui tient le plaid sur son cul pour la faire s'appuyer encore plus fort contre mon torse.

- T'as raison, j'suis désolé. Tu dois avoir froid... J'vais arranger ça.

Je lâche alors la couverture qui s'écroule sur le sol de l'ascenseur et fait tourner Kara pour échanger nos positions. Son visage et sa poitrine contre le mur et moi dans don dos. Une main revient rapidement fouiller entre ses cuisses pendant que je laisse descendre à genoux pour lui écarter son petit cul dans l'optique de permettre à ma langue de mieux attendre sa vulve que je me remets à léchouiller comme tout à l'heure.
Cette fois le risque est plus grand et le délai plus court. Je m'arrête un très bref instant pour ajouter.

- Regarde à quel point je suis désolé.

Un doigt de mon autre main vient alors se frotter entre ses lèvres intimes pour en récupérer un maximum de cyprine et vient dans la foulée coller son extrémité sur l'anus de la jolie employée de bureau pour en forcer l'entrée sans lui demander son avis. Mais je ne m'arrête pas là pour autant. Une troisième attaque fait son apparition avec mes dents qui agressent de façon virulente et appuyée ses fesses douces et couvertes de chair de poule. A l'air libre et qui sont à ma merci dans cet espace clos.

Je ne lui laisse pas le moindre répit alors que je la maltraite via ses deux trous tout en la mordant continuellement en aspirant ma propre salive lorsqu'elle cette dernière se met à couler un peu trop abondamment. Heureusement pour elle que la chose ne dure que quelques minutes... Même si je l'empêche de récupérer le plaid quand les portes s'ouvrent à notre étage.

- Vaudrait mieux pas traîner. Faudrait pas qu'un de tes voisins nous voit.

En lui annonçant la chose, je repars à ricaner en ajoutant un handicap à ma partenaire de jeu. Un seconde doigt force le passage de son petit oeillet pour ensuite installer un petit rythme de va et vient dans son anus frétillant. Je n'ai pas souvent jouer avec jusque là et j'avoue être sacrément curieux de voir ce que ça peut donner.
Lui doigter le fondement me force à rester collé contre elle. C'est donc tout naturellement que je profite de cette occasion pour la chauffer au maximum avec mes ruses habituelles. A savoir le souffle dans son oreille déjà, accompagné de petits commentaires "Ils sont larges les couloirs ici. Je pourrais te baiser derrière cette plante sans que personne nous voit. C'est pas l'envie qui manque en plus. Ca te tente ?"
Sans oublier la main baladeuse qui vient se glisser sous son haut pour revenir martyriser temporairement sa poitrine avec laquelle elle me tentait plus tôt. Y a pas à dire, jamais je pourrais me lasser de ses deux obus si moelleux et bons au goût une fois dans ma bouche.

Sans arrêter mon petit jeu, je la laisse rejoindre son appart et ouvrir la porte pour la pousser dedans en libérant son anus et sa poitrine tout en faisant claquer la porte derrière moi. Mes doigts viennent rapidement déboucler ma ceinture pour que mon jean et mon boxer disparaissent rapidement dans la sombre entrée de son appartement après avoir également quitté mes chevilles.

Je me mets de nouveau à genoux pour me positionner au-dessus de son corps allongé, au niveau de son visage, afin de lui présenter une queue molle, flasque, dénuée de toute énergie.

- C'est plutôt à toi de t'excuser. Je t'ai gardé excitée tout ce temps alors que toi... pas du tout.

D'habiles mouvements de hanche, je fais frotter mon chibre au repos sur son visage pour lui faire comprendre qu'elle a négligé sa part de façon un peu trop évidente et longue. Et qu'il va falloir remédier à ça.

- Tu vas commencer par me refaire bander ! Maintenant ! Comme je te l'ai appris, ma belle bouffeuse de bite.

Kara Desco

Humain(e)

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    Description
    Kara est une jeune femme de bientôt trente ans, commerciale pour une grande entreprise, qui s'ennuie dans son job, et qui passe le plus clair de son temps à geeker sur le web et jouer en ligne sous le pseudo de Cassandre. Tantôt le parfait cliché de la working girl, tantôt la pantouflarde en legging qui mange de la glace dans son canapé ^^

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 28 vendredi 26 février 2021, 09:58:18

Oui, le risque est plus grand, Kara en a bien conscience, le stress dans son estomac est largement annihilé par le désir fou de transgresser une règle. La chaleur l’envahit totalement à la seconde même où il la tourne et la plaque contre la vitre, et c’est le summum dès qu’il glisse ses doigts entre ses fesses et s’agenouille.

« Oh oui… Oh oui, t’es… vraiment… » Elle couine de plaisir. « Désolé… » Sa phrase se finit dans un gémissement qu’elle laisse échapper, dans cet espace clos qui fait résonner bien comme il faut leurs voix. Pourquoi son immeuble n’est pas plus haut ? Pourquoi son appartement n’est pas au dernier étage ?!

Quelques minutes intenses, trop intenses, Kara cogne son front contre le miroir en fermant violement les paupières pour résister à l’envie de hurler et rameuter tous les voisins, mais c’est de loin la sensation la plus puissante qu’elle ait ressenti, la sensation d’être prise totalement et sollicitée à plusieurs endroits stratégiques la fait trembler, la forçant à se tenir à la barre de l’ascenseur pour permettre à ses jambes de la tenir droite.

« Oh, Souta… » Gémit Kara, avant de sentir le léger sursaut d’arrivée à l’étage. Merde ! En paniquant un peu, elle songe naïvement qu’il va se retirer et qu’ils vont courir dans son appartement continuer leur petit jeu mais… Elle ouvre grand la bouche, les yeux brillants du plaisir qu’elle prend à chaque mouvement avec ces doigts en elle.

Marcher devient compliqué, elle ne sait pas réfléchir à tous ces stimuli à la fois, d’autant que ce petit enfoiré taquin lui parle encore à l’oreille, comme elle aime tant, comme il sait que cela va la mettre dans tous ses états… Oh, c’est vrai qu’il serait possible de se lâcher ici, dans à deux pas de chez elle, libre de crier à sa guise, Kara n’hésite pas longtemps !

Dès qu’ils ont franchis la porte, elle se retrouve déjà allongée sur le dos, essayant frénétiquement de retirer sa chemise proprement, sa veste tombe au sol en même temps que le pantalon de Souta, elle en tremble d’impatience, le souffle déjà court.

« Viens ! »

Dès qu’il est à genoux au-dessus d’elle, Kara lève les mains pour glisser ses paumes sur ses cuisses en gloussant.

« Oh oui, viens. Viens je vais me faire pardonner, trésor. »

C’est rare de le voir au repos, mais elle ne doute pas que ce soit provisoire, et elle sait désormais comment agir, un large sourire malsain aux lèvres, en venant caresser plus haut son aine et effleurer la peau douce de son membre, pour pouvoir le diriger contre ses joues, ses lèvres qu’elle garde fermées, son menton, même son cou. Un moment, elle ne fait que le caresser et frotter son visage, puis ouvre la bouche et prolonge son jeu avec sa langue, sur la longueur qui s’affermit déjà, la faisant sourire.

Son visage en penche pour permettre de venir s’occuper de ses bourses, comme il lui a appris, louchant sur cette queue entre ses yeux, s’affairant en respirant de plus en plus fort, tant la situation l’excite à nouveau. Après les avoir gobées et sucées, haletante, Kara les recrache pour remonter s’occuper de cette énorme tige qui durcit, sa langue s’active sur les veines naissantes, jusqu’à suçoter son gland, et laisser ses mains accompagner le mouvement.

Quand enfin elle le prend en bouche, les lèvres bien rondes, elle ne peut s’empêcher un gémissement étouffé soulagé, de plaisir. Ce qu’elle aime le sucer ! Kara s’applique alors, lui offre toute son énergie à le contenter, les yeux pétillants d’enthousiasme, folle de désir, sur un petit nuage. Elle se dit qu’elle peut faire ça des heures, avant de sentir sa mâchoire s’ankyloser, et le recracher dans un bruit obscène.

« Encore, trésor ? »

Sa main quitte son sexe pour essuyer son menton qui goutte, racler sa lèvre de ses dents. Elle bascule le crâne pour pencher le visage en arrière et voir celui de Souta, les yeux explosés par l’envie.

« Dis-moi encore, dis-moi que tu veux venir dans ma bouche encore, comme ce midi. Aller… »



Souta et Janus

Humain(e)

Re : Qu'est-ce que tu mijotes, encore ? [Souta, Kara]

Réponse 29 vendredi 26 février 2021, 12:41:07

Inutile de lui répéter la demande deux fois pour la voir se mettre à l'oeuvre et s'occuper de ma queue comme s'il s'agissait de l'objet le plus précieux du monde. Tout y passe entre ses lèvres, sa langue et ses doigts. Et pas forcément dans cet ordre. Varier les plaisirs est un ingrédient essentiel pour faire monter la température et l'envie.
Quelques minutes suffisent pour me faire gonfler suffisamment afin de lancer les hostilités. Sentir sa bite gonfler et durcir entre les lèvres d'une femme procure une sensation de puissance vivifiante et enivrante qui encourage à se donner encore plus. C'est con et tellement simpliste quand on prend quelques secondes pour réfléchir à la chose. Et pourtant cela fera toujours des miracles sur son homme.

A en juger par son expression, elle commence à aimer ça. Probablement au point d'avoir les pupilles en forme de coeur si on était dans un manga hentai. Heureusement pour elle, je peux être aussi salaud et pervers que les mecs qu'on trouve dans ces même lectures. Quand elle demande si j'en veux encore, je réponds d'un simple "Ouais..."

Une demande, qui confirme ce que je pensais il y a une seconde sur son amour de la viande épaisse et veineuse, arrive tout aussi rapidement. Et cette fois j'en lâche un peu plus pour lui faire comprendre ce qui va suivre.

- J'vais faire plus que ça. A te voir t'amuser autant avec ma queue me donne envie de te faire bouffer ma bite.

Je me redresse légèrement et la tire avec moi dans la foulée pour la faire se remettre debout. Cette courte interlude lui offrira un peu de répit pour reprendre son souffle. Sans que je la ménage complètement pour autant. Mes doigts viennent rapidement jouer avec les contours de ses formes généreuses pendant que je frotte ma bite bien tendue encore ses fesses sur toute la longueur. Comme une pauvre saucisse coincée entre deux miches de pain.

- Emmène-moi dans ta chambre. On sera plus à l'aise avec un lit pour le prochain jeu.

Deux doigts reviennent jouer de manière plus évidente avec son anus délicat le temps du trajet. Il devient de plus en plus clair que je veux travailler ce passage là pour le moment propice. Qui ne sera pas ce soir vu qu'on parle d'un passage délicat qui demande de l'effort et de la patience pour ne pas tout gâcher.

Je la laisse allumer la lumière et la libère de mes doigts pour lui claquer le cul. Plus par jeu que pour lui faire mal. Là, je lui demande de me passer son portable en lui présentant la chose.

- On va poursuivre la séance photos de l'autre soir. Et je vais me servir de ton portable, comme ça tu pourras les garder ou les supprimer.

Le portable déverrouillé, je tourne l'écran dans sa direction pour qu'elle puisse voir que j'ouvre directement et uniquement l'appareil photo. Je dépose ensuite le téléphone sur le lit pour retirer ce qui me reste de fringues et me pose le cul bien réceptionné au pied du lit et caressé par sa couette qui est légèrement froide. Mon regard la sculpte sous tous les angles pendant que ma main récupère l'outil qui va nous servir à transcender l'art dans les prochaines minutes. Voir heures, si tout se déroule bien.

De l'autre main je lui fais un signe du doigt pour venir se remettre en position.

- Commence par amener ton petit cul ici, Kara.

La chose faite, je lui ordonne ensuite de poser ses mains sur mes cuisses en lui ordonnant de ne plus s'en servir jusqu'à nouvel ordre. Puis je prends un premier cliché d'elle dans cette position. J'enchaîne avec un second après avoir posé ma bite épaisse et pulsante sur son visage délicat mais déjà légèrement usé par les évènements de l'entrée.

- T'es encore plus belle et bandante avec ma queue sur le visage.

Sans attendre, je me saisis de ma trique à la base de celle-ci pour guider le gland entre les lèvres de ma salope préférée. Les sons de chaque photo prisent avec le portable se poursuivent en même temps que notre petit jeu. A savoir me frotter le bout sur ses lèvres légèrement enduites de salives, puis quand j'entre entre ses dernières.

Bien rapidement je décide de presser sur son crâne avec ma main qui a lâché mon sexe pour lui faire gober de force la sucette dont elle raffole tant. La moitié est a peine entrée que je sens déjà sa glotte se faire repousser et frotter par une veine. Ma poigne se resserre alors sur sa tignasse pour la faire remonter jusqu'à ce que je sente ses lèvres sur les contours de mon gland. Et là je la renvoie doucement dans l'autre sens pour se remettre à engloutir.

Je bascule alors en mode vidéo pour enregistrer les sons humides, dégoutants et dégradants qui s'échappent de ses lèvres collées à mon appendice en masquant l'objectif qui est tourné vers la couette. Chaque mouvement est accompagné d'un léger gémissement retenu de ma part pour ne pas gâcher la bande son originale qu'elle nous offre. Seuls quelques commentaires bien sales et réducteurs à son égards pimenteront la chose en cas de visionnage futur.

Quelques pauses lui sont offertes ici et là pour reprendre de l'air par le nez. La salive, elle, s'accumule sur son visage et mes couilles qui finissent par tremper dans un liquide salivaire qui ressemble plus à de l'écume que de la salive. Passé les cinq minutes, je l'aide à se retirer complètement et la regarde, son visage défiguré par les efforts intenses répétés pour immortaliser le moment par une dernière photo en arrêtant l'enregistrement vidéo.

- Il y a encore du boulot, mais tu vas devenir une parfaite bouffeuse de bite avec le temps.

Pour la position suivante je lui demande de monter sur le lit en se mettant sur le dos. Le visage dépassant du pied du lit pour donner l'impression qu'elle pourrait tomber au moindre mauvais mouvement. Je relance un enregistrement vidéo en m'approchant d'elle lentement, la bite tendue et dégoulinante de salive pour la bifler dans un nouveau son tout aussi sale que les précédents. L'accumulation de salive des deux côtés fait virevolter quelques gouttes brillantes dont certaines finissent sur mon ventre. Chose qui m'excite terriblement. Je me sens bouillonner à la pousser à faire des trucs aussi tordus.

- Tu voulais que je te remplisse la gueule, hein ? Que ça déborde par tous tes trous ? Avec cette queue ?

Quelques autres coups de bite pleuvent sur son beau minois déjà bien souillé quand je tiens ma queue d'une main et le portable de l'autre alors que je fais mine d'amener de nouveau mon gland vers sa bouche. Ce qui est fait une feinte. Je mets fin à la vidéo et jette le portable un peu plus loin sur le lit en venant présenter mes couilles à ses lèvres pendant que ma queue se glisse entre ses deux obus. Mes deux mains attrapent ces deux divines merveilles qui viennent s’aplatir de chaque côté de mon membre pour une branlette digne de ce nom.

- Continue de me travailler les burnes, Kara, et t'auras droit à un vrai feu d'artifices. Ooooh, putain ! Ouais !

Elle me devait des pipes et des branlettes espagnole, non ? Autant mélanger les deux pour aller plus vite.


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