Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Vente privée [Aleksandra Letukiene]

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Mélinda Warren

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    Petite vampire qui aime mordre des fesses <3

Vente privée [Aleksandra Letukiene]

jeudi 27 décembre 2018, 21:34:16

« Mes chères amies, la vente peut commencer ! »

Les multiples enchérisseurs acquiescèrent doucement tandis que la vente privée commençait dans le somptueux manoir de Maria Cabbia. La belle femme était une comtesse ashnardienne influente dans la capitale, qui aimait participer aux discussions de salon et se faisait bien voir des décideurs politiques. Elle laissait ainsi le soin à son mari d’administrer leur comté, passant l’essentiel de son temps à la capitale, ce qui était tout à fait du goût de son mari. Il était de notoriété publique que les Cabbia ne s’étaient mariés que pour union politique, et se trompaient régulièrement. Mélinda était bien placée pour le savoir, car Lady Cabbia était une cliente assidue de son harem. Elle avait décidé d’organiser une vente d’esclaves privée. La vente avait donc lieu dans le manoir familial des Cabbia, au sein de la capitale, une superbe villa antique avec des colonnes en marbre, plusieurs jardins, des écuries, des fontaines... Les Cabbia étaient de richissimes propriétaires terriens, car leur comté comprenait des carrières de pierre et de profondes mines exploitées par des familles naines. Ils étaient également de fins négociateurs, car habitués sur leurs terres à parlementer avec les syndicats nains. Cette vente privée n’avait que pour but de se faire bien voir, et s’organisait d’ailleurs autour d’une fête qui, comme le voulait les traditions antiques, durait plusieurs jours, mélangeant beuveries, jeux, et beaucoup de sexe.

Mélinda avait participé à l’organisation de cette fête en réquisitionnant plusieurs de ses esclaves, qui faisaient office d’hôtesses, de danseuses, ou de distractions sexuelles. Après tout, que serait une fête à Ashnard sans son lot de sexe ? Mais, pour l’heure, la vampire était dans sa loge, et étudiait les différents lots qui se présentaient. Elle buvait un verre d’un délicieux vin rouge, en compagnie de sa merveilleuse femme, Vanillia Warren. Assise à côté d’elle, Vanillia donnait ses commentaires sur les lots.

« Tu sais que, si nous n’achetons pas un lot, Maria va bouder ?
 -  Oui, oui, j’attends juste le bon lot... »

La vampire sourit brièvement, et les lots continuèrent à défiler. Mélinda décida d’acquérir un premier esclave, très musclé, qui se présenta nu, avec une belle queue, et répondant au nom de Gregor. Elle ne comptait pas surenchérir davantage... Quand un nouveau lot arriva.

« ...Je vous présente Aleksandra, une ravissante maid formée par Lady Cordanno. Une jeune femme pudique comme on les aime, aux proportions parfaites, surtout mammaires... Elle est évidemment très obéissante, et a une affinité particulière avec les vampires, dont le sang est d’excellente qualité. »

Mélinda sourit brièvement. Cette esclave était faite pour elle !

« On la prend ?
 -  Ce serait dommage de passer à côté d’une si jolie paire... »

Mélinda était bien d’accord, et commença donc à enchérir...

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Aleksandra Letukiene

Humain(e)

Re : Vente privée [Aleksandra Letukiene]

Réponse 1 vendredi 28 décembre 2018, 02:39:12

Encore une fois, Aleksandra changeait de main. Après avoir servi Madame de Cordanno quelques années, celle-ci avait finalement décidé de la vendre. L’esclave avait tout de même eut le droit à des explications. Besoin de sang neuf d’une part, risque pour la santé de l’esclave de l’autre. Le côté chétif de son corps avait peut-être fini par déplaire et a inquiéter. Après tout, une esclave qui meurt parce qu’on a trop pris de son sang ne pouvait plus se montrer utile. Elle avait donc été vendue et rapidement après, elle s’était retrouvée dans un autre manoir, servant d’autres personnes, entourée d’autres esclaves. Cette fois-ci elle n’eut même pas le temps de s’adapter que déjà, on s’était débarrassé d’elle.

Même si elle y avait raconté la vérité, en expliquant que le linge de maison avait eut quelques soucis suite à une mésaventure avec une sirène, on ne lui avait pas fait confiance. De toute façon le majordome avait tout de suite eut une dent contre elle, elle le sentait et il était terrifiant. Son départ de ce nouveau manoir avait finalement été quelque chose de plutôt positif de son point de vue. La-bas elle devait dormir avec les autres esclaves, elle était souvent maltraitée et il n’y avait que des humains, elle vivait dans une peur constante que quelqu’un décide de lui faire comprendre sa place, même parmis les esclaves.

C’était donc en pleine nuit qu’on était venue la chercher. Le majordome l’avait attrapé par le bras, lui avait fait revêtir sa tenue de maid et l’avait conduite jusque dans un chariot dans lequel on lui mit un bâillon avant de l’emmener loin du manoir. Le voyage s’était déroulé relativement bien, le chariot était menée par quelques humaines vendeuse d’esclaves qui se faisaient un plaisir de récupérer des esclaves en douce avec l’aide du majordome. Elle n’était pas la seule du chariot à avoir été enlevée dans la nuit ainsi. Une demi-douzaine d’autres esclaves femmes avaient été prise dans le même dortoir. Le chariot roula longtemps à travers les champs, les forêts et les terres abandonnées. La seule pause de la journée c’était durant l’après-midi, les esclavagistes profitérent des quelques esclaves du chariots pour qu’elles préparent le repas. Immédiatement finit, elles durent remonter dans le chariot et attendre le départ.

C’est plusieurs heures après que le chariot avait atteint sa destination. La capitale impériale. Les humaines laissèrent le chariot devant les portes et guidèrent les esclaves dans la ville. On les guida jusqu’au manoir Cabbia, famille dont tous les esclaves présents ignoraient tout. Elles furent enfermée dans la cave et on les laissait s’y reposer pour quelques heures avant la soirée. La cellule était petite et faite de pierre grise et froide. Elle aurait été très acceptable pour une personne, parfaite pour deux esclave, mais pour six elle était trop petite. Alors que les cinqs autres esclaves se tenaient très proches les unes des autres pour se tenir chaud, Aleksandra s’était recroquevillée seule dans son coin. Le personnel du manoir avait laissé à disposition une grande bassine d’eau dans laquelle les esclaves pouvaient boire. Même si les autres esclaves n’avaient pas empécher Aleksandra de boire, celle-ci n’osait pas demander.

Finalement, le soir était tombé sur la capitale et peu à peu, les esclaves enfermés dans la caves pouvaient entendre au dessus d’eux un brouhaha naître sans qu’ils ne sachent vraiment ce qu’il allait se passer. Un par un,  des serviteurs du manoir venaient chercher une cellule d’esclave pour les guider à l’étage d’au dessus. Comme aucuns ne redescendaient, les esclaves toujours dans les cellules commençaient doucement à s’inquiéter. En particulier Aleksandra, recroquevillée et seule, qui pouvait entendre les murmures des autres esclaves qui proposaient des scénarios chacuns plus terribles que les autres. Tremblant de plus en plus a chaque instant, elle n’arrivait même pas a trouver l’idée de se calmer ou de relativiser, d’espérer quelque chose qui ferait avancer sa situation.

Ce fut finalement le tour de sa cellule d’être conduit au rez-de-chaussé. Elles firent un bref passage dans un riche salon qui s’était improvisé salon de coiffure, de maquillage et tailleur expresse. Un maquillage peu cher fut appliquer sur chaque esclave pour les rendre plus attirantes, dissimuler quelques défauts du visage. Les cheveux étaient nettoyés et mit en valeur, un parfum bon marché appliquer pour camoufler l’horrible odeur de fauve que chaque esclave avait attrapés pendant le voyage. Finalement un passage devant un tailleur expresse qui ne réparait aucun vêtement mais qui avait le talent de les nettoyer, visuellement, d’un coup de main et de camoufler les petites imperfections. Les esclaves qui ne portaient aucun vêtements spécifique paraissait nu, Aleksandra garda sa tenue de maid, un simple coup de mains de la part du tailleurs rendait sa tenue parfaitement repassé, propre et mettait sa poitrine bien plus en valeur. Après le passage avec le tailleur, un homme écrivait sur le bras de chaque esclave un numéro composé de trois chiffres, 6 4 et 8 étaient ceux d’Aleksandra. Dernier détail, on passait autour du cou de chaque esclave un collier de cuir, celui d’Aleksandra était rose vif.

Une fois que les esclaves étaient prêtes, on les guidait jusqu’à une sorte de petit théâtre, regroupant les esclaves dans les coulisses. Un par un, ils passaient sur la scène, devant une foule de riches personnes aux intentions différentes et aux idées plus ou moins mauvaises. Le bruit que faisait les enchères terrifiait Aleksandra. Elle se voyait déjà appartenir à un ignoble pervers qui ne cesserait d’abuser de son corps et de la maltraiter, ne lui laissant aucune chance pour s’enfuir et la condamnant à ses mauvais traitement jusqu’à ce que son corps ne l’abandonne. Elle préférait encore finir enchainée au fond d’une mine plutôt que d’être vendue à un tel individu. Malheureusement le choix n’était pas le sien. Elle voyait ses collègues passer les unes après les autres et son passage s’approchait. Son coeur battait terriblement fort, tellement qu’elle sentait une douleur vive à sa poitrine. Sa respiration se faisait plus rapide, plus saccadée, ses jambes tremblait et elle craignait de s’effondrer devant toutes les personnes présentes.

Un petit coup de bâton dans son dos lui donna le signal, c’était à elle de passer. L’idée de finir comme jouet sexuel pour un immonde porc luttait contre le scénario ou personne ne voudrait d’elle. Un garde attache une laisse à son collier avant de la tirer jusqu’à la scène. Son corps tout entier tremblait à l’unisson, elle fixait le sol. Croiser le regard de n’importe qui aurait pu lui faire perdre son calme et elle aurait même pu pleurer si elle avait aperçu le porc de son imagination. Une femme sur la scène présenta l’esclave. Elle n’écoutait rien, ne comprenait rien. Elle attendait simplement le signal qui lui dirait de quitter l’espace. Après ce qui lui semblait comme une éternité, sans écouter quoi que ce soit, simplement à attendre et à espérer quitter cet endroit le plus vite possible, elle sentit la laisse tirer sur le collier. Le garde l’emmenait jusqu’à une salle plus reculée dans le bâtiment.

Elle fut emmenée jusqu’à une grande salle de bal dans laquelle tous les esclaves étaient regroupé, en attendant que leur nouveau propriétaire vienne les chercher ou bien que la vente aux enchères se termine. On l’accompagna jusqu’à un coin de la salle, à côté d’un autre esclave, grand, musclé, nu. Elle reçut l’ordre de ne plus bouger, on détacha la laisse pour la réutiliser et le garde alla voir un homme qui portait un registre. Elle les aperçut échanger deux mots puis l’homme au registre inscrire quelque chose sur ses grandes pages. L’attente était à nouveau très longue, chaque esclave partait un par un selon les envies de leurs nouveaux propriétaires. Des membres du personnels étaient partis voir les nouveaux propriétaire, leur demandant ce qu’ils préféraient pour récupérer leurs nouvelles acquisition. Ils pouvaient être livré chez eux, leur être donner de suite en main propre, devant tous les autres invités, ou bien aller les chercher dès qu’ils le voudraient dans la salle de bal.
« Modifié: lundi 31 décembre 2018, 15:28:28 par Aleksandra Letukiene »

Mélinda Warren

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Re : Vente privée [Aleksandra Letukiene]

Réponse 2 vendredi 04 janvier 2019, 00:43:54

Maintenant qu’elles avaient leur esclave, Mélinda et Vanillia n’avaient qu’une envie : la déballer ! Elles rencontrèrent rapidement Gregor, qui était un homme musclé, bien bâti, mais aussi très soumis. Torse nu, portant un simple pagne, il attendait sur une estrade, à côté de leur nouvelle servante, que le duo rejoignit en étant guidée par un majordome. Aleksandra. La délicate esclave s’agenouilla craintivement devant elles, tandis que Mélinda récupéra sa laisse, et sourit brièvement. La femme accompagnant Aleksandra s’éloigna, tandis que les deux vampires se tinrent face à la maid. Mélinda et Vanillia n’étaient pas des géantes, elles avaient même plutôt une taille relativement petite. Mélinda se déplaça doucement, se rapprochant de la femme, et lui donna ses premières instructions :

« Relève-toi, humaine. »

Aleksandra obéit donc, assez craintive, ce qui était compréhensible. Les esclaves ne savaient jamais à quoi s’attendre auprès de leurs nouveaux propriétaires, et Madame de Cordanno, pour autant que Mélinda le sache, n’était pas une propriétaire particulièrement cruelle... Mais très perverse. Mélinda se glissa dans le dos de la femme, et caressa doucement ses épaules. Elle resta silencieuse, et écarta quelques mèches de cheveux. Il y avait là le collier en cuir de la jeune servante, mais les doigts de la vampire glissèrent surtout sur son cou, sentant deux petits trous.

La vampire sourit alors, et se pencha contre elle. Ses seins se glissèrent dans le dos de la jeune femme, et elle lécha son cou, sentant les deux trous.

« C’est bien ce que je pensais. La marque de Cordanno ne s’est pas encore effacée... »

Vanillia s’approcha à son tour de la femme, et caressa avec sa main sa joue, glissant le long de ses seins, en caressant l’ourlet, frottant sa belle robe soyeuse. Ainsi entourée entre les deux femmes, Aleksandra avait toutes les raisons du monde d’être heureuse.

« Je n’ai pas forcément pour habitude d’être sur les traces d’une consœur, mais je pense que Cordanno préférerait que l’une de ses poupées soit sous les ordres d’une vampire que d’une simple humaine...
 -  Il va falloir la faire manger un peu, elle est assez maigre... »

La vampire acquiesça doucement.

« C’est ce qui arrive quand on pompe trop fréquemment le sang des esclaves, on absorbe aussi les protéines et les nutriments... Il faudra reprendre son équilibre alimentaire, mais elle ne doit pas trop grossir non plus, je m’en voudrais qu’elle ne puisse plus rentrer dans sa belle robe... »

Vanillia hocha brièvement la tête.

« Est-ce que tu es vierge, Aleksandra ? Sur le devant, mais aussi... Derrière ? »

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Aleksandra Letukiene

Humain(e)

Re : Vente privée [Aleksandra Letukiene]

Réponse 3 vendredi 11 janvier 2019, 00:15:43

L’attente de l’esclave avant d’être menée jusqu’à sa nouvelle propriétaire avait été juste assez longue. Elle avait du, a son plus grand malheur, attendre dans une grande salle bruyante, entourée d’humains et de mâles. Même si la plupart des esclaves en ventes n’étaient ni mâles ni humains, elle s’était retrouvée entourée de tous les côtés par ce qu’elle craignait le plus. Lorsque finalement un majordome venait attacher une nouvelle laisse a son collier de cuir et l’emmenait en dehors de la salle, accompagnée par le grand esclave mâle qui avait attendu durant tout ce temps a ses côtés.

Finalement, ils rejoignirent leurs nouvelles maîtresses. Elles étaient deux, pas très grande. L’esclave qui fixait encore le sol avait a peine oser lever les yeux vers elles. Elle s’était simplement mise a genou une fois arriver a destination et avait attendu des ordres ou un intérêt de la part des deux femmes. Elle pensait que c’était des humaines, elle n’était pas vraiment rassurée à cette idée même si elle ressentait un certain soulagement en réalisant qu’elle ne serait pas la proie des regards ou des mains perverses d’un mâle désoeuvré. Ses nouvelles maîtresses prirent leur temps pour étudier le corps de l’esclave mâle. Ce colosse, trop musclé, trop grand, trop bien bâti, avait le don de faire terriblement peur à Aleksandra qui se sentait fragile a côté de lui.

Ce fut finalement son tour d’attirer l’attention de ses deux maîtresses. Elles délaissèrent le colosse et vinrent s’occuper d’Aleksandra. Elle tremblait en sachant que l’attention de ses deux nouvelles maîtresses était désormais fixé sur sa pauvre petite personne. Elle ne savait vraiment pas a quoi s’attendre et elle n’osait pas du tout lever la tête pour les regarder. Le premier ordre fut de se lever, rien de très difficile et pourtant cela semblait lui prendre un effort considérable. Ses jambes tremblaient et son souffle se faisait beaucoup pus rapide. Ses yeux roulaient rapidement partout autour d’elle, a la recherche d’un point fixe et sûr, un moyen d’éviter le regard des deux femmes.

Aleksandra sentit les mains de sa nouvelle maîtresse, elle eut un sursaut très rapide mais se reprit aussi vite, gardant les yeux au sol, se concentrant pour rester immobile, impassible, pour ne montrer aucune émotion. Mais celle qui lui caressait le dos pouvait facilement sentir ses épaules trembler. Le tremblement touchait tout son corps mais s'intensifie là ou elle sentait la main chaude de la femme derrière elle. Elle eut le très léger réflexe de déplacer doucement sa tête sur le côté, faisant bouger son cou pour fuir les doigts passer proche du collier de cuir et venant tâter des marques de crocs que madame de Cordanno avait laissé après les “prises de sangs”. Elles n’étaient pas inconfortables et ne provoquaient pas de douleur pour l’esclave, c’était uniquement le geste de la toucher qui faisait trembler l’esclave.

C’est alors qu’elle sentit la femme derrière elle se pencher en avant, collant sa poitrine contre le dos de l’esclave, caressant de sa langue les marques de morsures. De derrière, elle pouvait simplement sentir le tremblement de l’esclave et peut-être entendre quelques plaintes sourdes, aussi étouffé que possible par la jeune femme. En revanche, sa maîtresse de devant pouvait voir le visage d’Aleksandra se déformer sous l’effet de la peur et du stress. Une horrible grimace, mélangeant dégoût et crainte, rassemblant larmes aux yeux , regard terrifié mais immobile et lèvres tremblante, se formait sur le visage de l’esclave. Elle déglutissent en restant aussi concentrée que possible pour retenir ses larmes et pour rester immobile.

Quelques mots venant de sa maîtresse de derrière, elle ne comprenait que le “Cordanno” de sa phrase, n’ayant pas fait attention au reste. De toute façon, la maîtresse de devant s’avançait à ce moment là et sa main se rapprochait dangereusement, pour Aleksandra en tout cas. L’esclave leva rapidement les yeux, découvrant un air craintif. Elle avait réussi à contenir les larme, aucune n’avaient couler le long de ses joues. Des canines dépassaient légèrement des lèvres de la femme aux cheveux bleus, trahissant sa nature vampirique et mettant immédiatement en confiance l’esclave. Son regard s'éclaire doucement, ses tremblements s’appaisaient et la main posée d’abord sur sa joue puis glissant sur sa poitrine lui procurait une agréable sensation de chaleur. Quelques mots venant de derrière finissait de la calmer. Elle ne tremblait plus autant, mais elle n’était pas en confiance totale pour autant, elle se sentait simplement mieux. En terrain connu même.

Elle commençait a prendre de grandes respirations pour se calmer et alors que les deux vampires discutaient entre elle, lorsqu’elles abordèrent le sujet de la corpulence de l’esclave, celle-ci se retint d’intervenir. Elle voulait se justifier en quelque sorte mais surtout dire que ce n’était pas de la faute de madame de Cordanno. Mais elle se retenait, une esclave ne parle pas avant d’en avoir reçu l’invitation ou l’ordre. Ce fut rapidement le cas, avec une question qui, malheureusement, était bien la dernière à laquelle l’esclave aurait voulu avoir à répondre.

-Je… Non… Enfin pas devant…

Elle marqua une légère pause, une légère hésitation avant son dernier morceau de phrase. Signe d’un mensonge. Son visage dénonçait sa nervosité. Elle espérait que de cette manière là, les vampires ne chercheraient pas a y toucher… Ou au moins elles se montreraient plus gentilles. Et puis après tout, madame de Cordanno n’y avait jamais touché, c’était seulement ceux d’avant…

-Je suis désolée Maîtresses mais… Ce n’est pas la faute de Maîtresse de Cordanno, si je suis si maigre c’est à cause de mon ancien Maître…

Sa tête rentrait doucement dans ses épaules, elle avait un peu peur de la réaction de ses maîtresses vampiriques. Elle avait prit la parole sans autorisation pour les contredire après tout. Une de ses mains venait doucement soulever sa poitrine.

-C’est lui qui m’a fait ça.

Elle parlait avec une petite voix, tout juste suffisante pour être entendue malgré le bruit autours d’elles.

Mélinda Warren

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Re : Vente privée [Aleksandra Letukiene]

Réponse 4 lundi 21 janvier 2019, 01:20:14

Les deux vampires observaient leur délicieuse proie. Une nouvelle esclave... C’était toujours un bel évènement, une situation qu’il fallait honorer comme il se devait ! Située devant la femme, Mélinda perçut néanmoins sa nervosité, et fronça même les sourcils en devinant le sillon de larmes sur ses joues... Avant qu’elle ne se calme lentement. Elle papillonna des yeux en reprenant son calme, lorsqu’elle vit les canines pointues de la vampire. Une esclave qui était rassurée d’apprendre que sa Maîtresse était une vampire ? Voilà qui n’était pas banal ! Mélinda sourit alors, et la jeune femme leur expliqua ensuite, timidement, qu’elle n’était visiblement pas vierge sur le devant. La vampire fronça doucement les sourcils. Elle ne connaissait pas beaucoup Madame de Cordanno, et essayait de se rappeler ce qu’elle faisait avec ses esclaves.

Vanillia, de son côté, léchait encore le cou de la femme, glissant sur les deux petits trous dans le creux de son cou, et caressait ses hanches. Aleksandra leur expliqua que son ancien Maître avait visiblement fait des mutations sur elle pour que la graisse aille se concentrer à hauteur de sa poitrine, au détriment du reste de son corps. Mélinda hocha doucement la tête.

« Je vois... C’est un mutagène classique pour les esclaves. »

Et le fait qu’elle appelle encore son ancienne propriétaire « Maîtresse », tout en ne les appelant pas spontanément, elles, Maîtresse... Mélinda hocha encore la tête en se rapprochant, et sa main caressa de nouveau la joue de la jeune femme. Elle était très timide, même si son esprit semblait s’égayer lorsqu’elle songeait à son ancienne Maîtresse. La vampire lui sourit à nouveau, tout doucement, et se pencha vers elle. Ses lèvres se scellèrent aux siennes, et elle l’embrassa quelques secondes.

Un baiser tendre et délicat, destiné à apaiser un peu les tensions qui étaient en train de croître dans le corps de la petite beauté.

« Je m’appelle Mélinda, Aleksandra. Je suis ta Maîtresse...
 -  Et moi, je suis Vanillia, sa femme... Tu peux me considérer comme une seconde Maîtresse, ma belle.
 -  Nous sommes des vampires, comme tu l’as sans doute remarqué. Et toi, tu es désormais notre esclave. Tu vivras désormais au sein de notre demeure, un harem... Mais, vu ta faible expérience sexuelle, il faudra sans doute te former un peu avant. Tu sais faire le ménage, non ? Et tu as déjà servi une vampire, donc je suppose que tu dois apprécier de donner ton sang ? Et que ton sang a sûrement été traité pour être de bonne qualité, non ? Cordanno doit être une vampire qui apprécie les bons mets sanguins... »

Mélinda se tapota ensuite les lèvres.

« C’est agréable, non ? On appelle ça l’Étreinte... Je suis sûre que tu devais adorer ça, quand Cordanno plantait ses crocs en toi, et que le sang s’échappait de ton corps, ce sentiment d’euphorie qui te traversa ensuite... Quand on maîtrise bien l’Étreinte, on peut faire jouir ses proies comme ça, tu sais... »

Pour l’heure, Mélinda tâtait le fonctionnement d’Aleksandra, voyant comment celle-ci réagissait à ses provocations...

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Aleksandra Letukiene

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Re : Vente privée [Aleksandra Letukiene]

Réponse 5 mercredi 23 janvier 2019, 22:45:06

Attentive à ce que ses nouvelles maîtresses comptaient lui faire, Aleksandra pensait cependant à ce que madame de Cordanno lui faisait “subir” comme traitement au niveau sexuel. elle avait toujours été très douce et très compréhensive à l’égard de l’esclave, elle ne l’a jamais forcer a faire quoi que ce soit et a toujours voulu que l’esclave lui fasse plaisir de sa propre volonté, en l’invitant à agir mais en acceptant tout a fait le refus. Ce côté compréhensif était la principale raison qui fait que la jeune femme n’avait maintenant confiance qu’envers le sexe féminin. Cependant la vampire était perverse et avait des besoins très importants, elle demandait souvent à l’esclave si elle voulait lui plaire de certaines façons. Plus longtemps Aleksandra restait à son service et plus perverse était madame de Cordanno à son égard. La vampire avait interdit à ses esclaves de relâcher l’excitation qu’elles pouvaient ressentir sans son accord, de cette façon les esclaves devaient forcément la supplier pour être soulagés. De plus lorsqu’elle avait une esclave dans son lit, elle aimait beaucoup alterner les passage ou elle était l’active, faisait tout pour son propre plaisir mais aussi pour celui de l’esclave, et les passage ou elle se trouvait plus passive mais elle restait toujours celle qui donnait les ordres.

L’esclave sentit la femme derrière elle continuer de lui lécher le cou, ses mains se baladant sur ses hanches par la même occasion. Aleksandra s’était calmé depuis, elle ne tremblait plus du tout, ses yeux ne comportaient plus de larmes et un doux sentiment de sécurité naissait tout doucement dans son corps. Elle n’avait pas encore totalement confiance en elles, c’était trop tôt pour le dire, mais elle ne se sentait plus menacé. Lorsque la vampire face a elle s’approcha, tendant la main pour caresser la joue de l’esclave, celle-ci baissa la tête, un signe de soumission, dévoilant d’ailleurs une légère crainte, mais c’était surtout pour éviter de croiser son regard. Son coeur se mit à battre très fort dès qu’elle aperçut les lèvres de sa nouvelle maîtresse s’approcher des siennes. Relevant très doucement la tête, elle ferma les yeux lorsque les lèvres se scellent les unes aux autres. Elles étaient douce, autant que le baiser dont il ressortait une bienveillance agréable. Ses joues devenaient rouges. Sa maîtresse était magnifique et elles avaient déjà un contact aussi intime.

Lorsque les lèvres se séparaient, Aleksandra suivie pendant quelques instant le retrait du visage de sa maîtresse mais elle se reprit rapidement, baissant la tête pour fixer son regard sur le sol. Son visage était rouge pivoine, son coeur battait vite mais différemment de lorsqu’elle était en panique. Ses maîtresses se présentaient. Mélinda était devant elle et semblait, selon Vanillia qui était derrière, sa maîtresse “principale”. Elle hocha doucement la tête sans la relever. Suivirent une série de questions.

-Oui, je fais le ménage Maîtresse, la vaisselle, le linge, les vitres, les poussières. J’ai aussi quelques rudiments en cuisine même si j’imagine que ce n’est pas d’un grand intérêt pour vous. Et Maîtresse de Cordanno m’a appris à apprécier lorsqu’elle buvait mon sang. Et elle a très peu traiter mon sang, elle a surtout ajusté ma production sanguine, le goût était déjà parfait selon elle.

Dit-elle doucement en relevant juste un tout petit peu la tête. Puis sa maîtresse lui expliqua “l’étreinte”, sa description collait parfaitement avec un jeu de madame de Cordanno. L’esclave ne saurait dire si sa précédente maîtresse vampirique maîtrisait suffisamment la technique, elle n’avait jamais fait jouir Aleksandra de cette façon-là, mais souvent, elle prenait l’esclave sur les genoux et lorsque les crocs se plantaient dans son cou, la main elle se dirigeait vers son entre-jambe. Si l’esclave jouissait pendant l’action, et qu’elle prenait du plaisir à “donner son sang”, la jouissance n’était jamais seulement dû au sang qui quittait ses veines.

Devant sa nouvelle maîtresse, l’esclave rentrait légèrement sa tête entre ses épaules et son visage devenait rouge, comme si elle avait honte d’avoir en effet prit du plaisir pendant ces moments là. Elle releva le regard pour l’accrocher timidement dans celui de sa maîtresse.

-Maîtresse de Cordanno ne m’a jamais faite jouir… De la sorte… Enfin pas seulement avec ses crocs… Et elle me faisait même parfois mal en buvant…

Sa voix était encore assez timide. Déjà elle était gênée de parler de ce genre de chose. Mais en plus elle n’était vraiment pas fière de ce qu’elle venait de dire puisque ça revenait en quelque sorte à dire du mal de son ancienne maîtresse. Elle se sentait un peu comme si elle venait de discréditer son ancienne maîtresse aux yeux d’une de ses paires. Mais c’était la vérité. Madame de Cordanno lui faisait souvent mal en mordant fort, en enfonçant très profondément ses crocs, en buvant vite et sauvagement ou tout simplement en remuant la mâchoire lorsqu’elle buvait.

-Je suis vraiment désolée d’être comme ça Maîtresses… Aussi pitoyable je veux dire.

Un sentiment de culpabilité se développait en elle, elle avait à nouveau baisser les yeux. Elle tourna légèrement la tête sur le côté pour essayer de voir son autre maîtresse derrière elle, pas trop pour ne pas avoir l’air impolie face a sa maîtresse Mélinda, jusqu’à ce que son visage soit bloqué et que tourner davantage aurait nécessité de bouger le reste du corps. La proximité de son corps avait le mérite de calmer l’esclave et lui apportait une chaleur et un réconfort incroyablement agréable. Rechercher le contact visuel était, en fait, une recherche de réconfort pour s’assurer que ses gestes étaient bien réel, et aussi pour savoir a quoi celle qui bougeait ses mains si bien pouvait ressembler.

Mélinda Warren

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Re : Vente privée [Aleksandra Letukiene]

Réponse 6 lundi 04 février 2019, 01:31:04

Maintenant que Mélinda était mariée, elle s’efforçait de partager tout avec sa femme, ce qui impliquait d’acheter ensemble des esclaves, ou de les former ensemble. Qui irait s’en plaindre ? Avoir deux Maîtresses au lieu d’une seule était toujours un grand moment de satisfaction pour un esclave. Timide et nerveuse, Alekxandra leur parlait difficilement, n’osant pas développer ce qu’elle disait. Toutefois, ses explications confirmèrent ce que tout le monde disait sur l’Étreinte. Les écrivains ashnardiens s’amusaient à voir en cela un geste très érotique, et, à vrai dire, c’était une image qu’on retrouvait aussi chez les écrivains terriens. De tous les lvires que Mélinda avait pu lire sur les vampires, Anne Rice était indéniablement celle qui décrivait le mieux le caractère un peu ambivalent, presque schizophrénique, d’un vampire. Une créature charmante, séductrice, qui pouvait vous séduire et vous faire tourner la tête avec sa maîtrise du sang, tout en faisant preuve d’une indéniable sauvagerie et d’une exceptionnelle cruauté. Torturer Aleksandra en la mordant trop fort était assurément un acte délibéré de Madame de Cordanno, qui, comme Mélinda, devait instinctivement savoir comment transformer l’Étreinte, comment la faire passer d’une séance chaleureuse et érotique à une scène de torture.

Mélinda sourit donc brièvement à cette idée, tandis que, en confessant cela, la belle esclave tournait encore nerveusement la tête, cherchant à capter le regard de Vanillia. Elle le croisa d’ailleurs, et ce fut là l’occasion d’un nouveau baiser entre les deux femmes. Vanillia était aussi libertine que sa femme, et n’hésita donc pas, l’embrassant tendrement.

*Elle ne nous dira pas si elle appréciait ou pas d’avoir mal... Mais quelque chose me dit que Madame de Cordanno a voulu développer en elle ses pulsions masochistes.*

De son côté, Mélinda ne serait pas passée par l’Étreinte. Elle était sur ce point favorable à des méthodes plus traditionnelles, comme les fouets, les fessées, la cravache... Elle comprit en tout cas qu’elles allaient devoir éduquer toutes les deux Aleksandra, d’un point de vue sexuel. Une perspective qui réjouissait Vanillia. Depuis qu’elles s’étaient mariées, la perversité de Mélinda avait largement déteint sur sa femme, et elle avait remarqué combien il pouvait être excitant de former un esclave, de le dresser, de lui enseigner tout ce qu’il y avait à savoir en matière sexuelle.

Les présentations étaient donc faites, et Mélinda se déplaça alors.

« Très bien, Aleksandra. Madame de Cordanno t’a bien dressé, mais nous allons devoir terminer ton éducation... Retournons à la maison. »

Vanillia acquiesça, et se chargea alors de mettre à Aleksandra l’instrument désormais indispensable de sa condition : un collier noir en cuir. Le collier avait une boucle pour y attacher une laisse, ainsi qu’un petit pendentif en forme de cœur doré qu’on pouvait ouvrir. Le nom « WARREN », enfin, était brodé à l’intérieur du collier, ce qui permettait, pour le cas où Aleksandra se perdait, de savoir à qui elle appartenait.

« Tu ne dois jamais te débarrasser de ton collier, Aleksandra. Il a été traité pour être imperméable. »

Elle l’attacha donc, puis ne résista pas à l’envie d’accrocher à ce dernier la laisse, qu’elle tint dans la main droite, la main gauche se glissant dans la main de sa femme. Elles sortirent ensuite, emmenant Aleksandra derrière elles.

Le harem Warren n’était pas très éloigné de l’hôtel des ventes, et elles y allèrent à pied, traversant une série de rues piétonnes. Les esclaves étaient très courants dans la capitale, mais étaient souvent bien habillés, reflétant ainsi la richesse de leurs propriétaires, et, pour certains, leur arrogance. Ashnard restait pour autant la capitale impériale, un endroit propre où la débauche publique était très limitée. Il n’y avait pas de séances d’orgie dans les rues, mais on trouvait malgré tout des estrades ou des toilettes particulières, offrant des esclaves publics.

Le trio passa par une grande place aérée avec une fontaine au centre, et où une série de drapeaux flottaient en l’air. La plupart des rues ashnardiennes avaient été proprement pavées, de sorte qu’elles ne se salissaient pas sur de la boue, contrairement à bien des rues de Nexus. Finalement, elles rejoignirent l’une des entrées du harem, à l’arrière.

Le harem était un bâtiment élégant et très propre, un ancien manoir de luxe, composé de multiples couloirs, chambres, et salons. Une sorte de petit palais du plaisir, avec des tapisseries érotiques, des odeurs d’encens vous mettant en confiance, ou avec des esclaves attachées contre les murs, offerts pour la détente des clients, qui pouvaient les palper, les faire jouir, dans l’attente de pouvoir s’adonner aux plaisirs charnels avec leurs courtisanes.

Mélinda et Vanillia rejoignirent une belle chambre, et fermèrent la porte derrière Aleksandra. Elles s’assirent ensuite chacune sur un fauteuil, tout en observant leur nouvelle acquisition.

« Bon, alors... As-tu déjà vu un sexe masculin, Aleksandra ? » s’enquit la vampire.

DC d’Alice Korvander.

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Aleksandra Letukiene

Humain(e)

Re : Vente privée [Aleksandra Letukiene]

Réponse 7 jeudi 07 février 2019, 17:39:59

Aleksandra avait attendu bien sagement de voir ce que ses maîtresses voulaient faire d’elle. Au bout d’un bon moment, elle sentit sa maîtresse Vanilla mettre un collier de cuir noir autour de son cou. Élevant doucement la tête pour mieux laisser son cou a la merci de sa maîtresse, que la mise en place du collier soit plus simple pour elle. L’esclave sentit le cuir coller sa peau et se resserrer, appuyant doucement contre sa gorge, gênant très légèrement sa respiration, rien de grave mais exactement ce qu’il fallait pour que l’esclave se souvienne toujours qu’elle porte quelque chose autour du cou. Elle acquiesca en entendant sa maîtresse Vanilla lui dire de ne jamais retirer son collier. Elle savait bien que plus tard elle le ferait, qu’elle tenterait de s’enfuir et qu’elle retirerait son collier pour de bon une fois qu’elle aurait quittée Ashnard. Un peu plus tard, ce fut le tour de la laisse de s’accrocher au collier. Abaissant un peu le visage pour essayer de voir la règle ou la boucle de la laisse. Elle sentit le petit médaillon pendre et se bloquer contre le haut de sa cage thoracique.

Ses deux maîtresses commencèrent a la guider en dehors de l’hotel des ventes. L’esclave suivait du mieux qu’elle pouvait ses deux maîtresses. Elle ne faisait pas vraiment attention aux gens qui marchaient dans la rue comme elles. Elle continuait de se méfier et de chercher a se rapprocher de ses maîtresse lorsqu’un homme se rapprochait d’elle mais elle était plutôt sereine grâce a elles, elle se sentait plutôt en sécurité ou au moins ne se sentait pas menacée du tout. Cependant elle portait son attention sur ses maîtresses, faisant bien attention de ne pas les perdre et de ne pas prendre trop de retard sur elles, qu’elles n’aient pas besoin de tirer sur sa laisse pour la faire avancer plus vite. Elle n’observait pas les places ni les rues, ne prévoyaient pas encore d’itinéraire possible pour s’enfuir. Elle verrait bien tout cela plus tard.

Sa nouvelle maison n’était pas si éloignée que ça de l’hotel des ventes. Le manoir était immense, a vrai dire il était clairement plus grand et semblait beaucoup plus beau que le manoir dans lequel elle servait avant d’être revendue par le majordome. Pénétrant a l’intérieur, la première chose qu’elle remarquait, c’était les différentes esclaves attachées aux murs et servant à divers hommes. L’image était terrifiante et les tremblement de l’humaine reprirent. Tout à coup elle se sentait menacé et son pas était ralentit, son attention était piqué au vif. Elle jetait un regard très craintif, cherchant pourquoi pas un regard chaleureux ou au moins compréhensif de la part de ses maîtresses. L’inquiétude montait mais elle suivait, cherchant a maintenir le pas. Rejoignant une salle a l’écart, isolée du reste du manoir, la porte se fermait derrière elle et ses maîtresses prirent place devant, assises sur des fauteuil. L’image de ces pauvres filles aux murs, laissée en pature a des hommes trottait dans sa tête et elle craignait que ce soit mle destin qui l’attendait. Se pouvait-il que ça soit aussi terrible que ça ? Que la confiance qu’elle avait presque placer dans ses maîtresses soit mal placée ? Etait-ce son destin et son rôle ?

Elle se mit a genoux devant elles, baissant la tête. La question qu’elle craignait arriva, le sexe masculin. Elle en avait déjà vu évidemment mais moins elle en voit mieux elle se porte. Les yeux fuyant un peu, cherchant un point d’ancrage, le souffle court, elle semblait vraiment hésitante avant de répondre.

-Oui Maîtresse… J’en ais déjà vu beaucoup.

Le mot “trop” manquait de s’échapper de sa bouche, l’arrêt de sa phrase semblait d’ailleurs très sec.

-Mais c’était il y a longtemps, Maîtresse de Cordanno ne m’a jamais fait… “Jouer” avec…


Elle avait la sensation qu’elle parlait trop de sa précédente maîtresse, est-ce que ça pouvait agacer ses nouvelles propriétaires ? Elle tenta un rapide coup d’oeil vers elles pour voir un peu leur réaction, essayant de déceler peut-être un signe d’agacement, quelque chose dans le genre.

-Ces femmes dehors… Est-ce que je vais être… Comme elles ?

Elle voulait dire attachée a un mur a la merci des hommes qui passeraient par là. Elle avait cherché a se retenir de poser la question mais ça trottait dans sa tête, ça trottait beaucoup trop et elle voulait soulager sa curiosité.

-Est-ce que je vais être mise au service d’hommes ?

Elle sentait sa panique, sa crainte, sa nervosité remonter rapidement en elle. Bien au fait de cela elle se mit a pousser des respirations plus longue, elle se forçait a respirer plus fort pour essayer de se calmer. Ses yeux fixant l’espace qu’il y avait entre ses deux maîtresses.

Mélinda Warren

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Re : Vente privée [Aleksandra Letukiene]

Réponse 8 lundi 11 février 2019, 01:01:22

Le passé de cette femme était obscur, mais Mélinda savait une chose, une sorte de leçon éternelle qu’elle appliquait à chaque fois : tout esclave avait une vie, une existence passée. Il fallait découvrir cette existence, afin d’adapter au mieux son traitement. Habituellement, elle faisait ça seule, mais, cette fois, Vanillia avait tenu à y participer avec elle. Et Mélinda ne pouvait rien refuser à sa femme. Pour autant, Vanillia laissait surtout Mélinda agir. Elles avaient mis à Aleksandra son collier, et elles se tenaient désormais avec elle dans une chambre. C’est ainsi que Mélinda aperçut rapidement les lignes de faille d’Aleksandra, à travers les questions qu’elle posait.

Restant silencieuse, Mélinda se pinça doucement les lèvres, et s’empressa de lui répondre, dans l’unique but de la rassurer :

« Tu as peur des hommes, c’est ça ? Et bien... Je pense que nous pourrons travailler là-dessus, Aleksandra. En attendant que tu surmontes cette phobie, tu pourras coucher avec des femmes... Du moins, si cela ne t’effraie pas. »

Pour Vanillia, c’était l’occasion de faire quelques précisions :

« Tu dois bien comprendre que nous ne te forcerons à rien, Aleksandra. Cet endroit est ta maison, maintenant, ton nouveau foyer. Alors, tu dois t’y sentir en sécurité, et savoir que nous ne te forcerons pas à faire des choses qui te rebutent profondément. »

Mélinda acquiesça aux dires de sa femme. Aleksandra étant une nouvelle esclave, il était normal qu’elle ne comprenne pas encore les modalités de fonctionnement de la maison, des modalités bien différentes de ce qu’on avait l’habitude de voir ailleurs.

« La finalité, c’est de faire de toi une courtisane de luxe, Aleksandra... Mais nous prendrons tout le temps qu’il faut pour cela. Tu as sûrement dû vivre des choses peu joyeuses dans le passé, mais, crois-moi, ma belle... Quand j’en aurai fini avec toi, tu te riras de tes peurs. »

L’idée était de commencer par la rassurer. Mélinda se releva alors, et rejoignit le lit, où elle s’assit dessus, croisant les jambes, avant de faire signe à Aleksandra de la rejoindre, et de s’asseoir à côté d’elle. Une fois la chose faite, ce fut au tour de Vanillia de se rapprocher, et de s’asseoir également à côté du duo, coinçant ainsi la belle esclave entre les deux vampires. Leurs mains commencèrent à la caresser, et Mélinda remonta la sienne pour caresser la joue d’Aleksandra, faisant ensuite tourner sa tête vers la sienne.

Elle lui adresse alors un léger sourire. Mélinda se voulait la plus rassurante possible dans sa manière d’agir, ce qui ne signifiait pas qu’elle ne comptait pas être entreprenante, ce qu’elle fit d’ailleurs... En embrassant doucement Aleksandra. Un baiser bref, qui ne dura que quelques secondes.

« Et les femmes, ça ne t’effraie pas, j’espère ? »

Vanillia posait déjà sa main sur le visage de l’esclave, tournant sa tête pour l’embrasser à son tour...

DC d’Alice Korvander.

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Aleksandra Letukiene

Humain(e)

Re : Vente privée [Aleksandra Letukiene]

Réponse 9 mercredi 06 mars 2019, 19:09:34

Si une chose était sûre, c’est que ses nouvelles maîtresses étaient beaucoup plus gentille que ce qu’elle aurait pu espérer à l’origine. Elle n’avait sentie qu’une seule volonté de leur part, c’était de rassurer l’esclave qui regardait d’un air soumis mais aussi très reconnaissant les deux vampires qui tâchaient d’expliquer au mieux à Aleksandra ce qu’elle allait devoir faire, a quoi sa vie allait ressembler etc. Le résultat fonctionnait plutôt bien puisque la jeune esclave tremblait moins et l’inquiétude quittait doucement son esprit. Les mots de sa maîtresse Vanilla étaient d’autant plus rassurant qu’il y avait une forme de volonté a l’accueillir dans cet environnement. Elle se demandait toujours quel genre de femme pouvait bien rester attachée a un mur pendant des heures pour être touchée et manipuler par des hommes. Autre chose qu’une punition semblait improbable pour son esprit apeuré, mais c’était une punition très coercitive en tout cas, le genre qui la terrifiait suffisamment pour la dissuader de faire n’importe quoi de mal.

Au bout d’un certain temps, sa maîtresse Mélinda vient s’installer sur le lit de la pièce, invitant l’esclave à la suivre et à s’installer à ses côté. Timidement mais sans aller trop lentement, Aleksandra alla s’asseoir à ses côtés. La maîtresse Mélinda avait déjà dit quelque chose qui se voulait encourageant et rassurant pour la jeune esclave qui était déjà prête à lui faire confiance, au moins assez pour ne pas constamment trembler en sa présence. Dès qu’elle fut assise, elle remarqua un léger mouvement de la part de sa maîtresse Vanilla, regardant doucement, toujours d’un air soumis et légèrement craintif, elle s'aperçut que c’était simplement la vampire qui venait s’installer aux côtés de l’esclave qui se trouvait maintenant étroitement coincée entre ses deux maîtresses. Malgré cela, elle ne semblait pas vraiment gênée par cela et faisait suffisamment confiance en ses deux maîtresses pour ne pas se sentir complètement coincée et ne pas appréhender le moment. Il y avait même un certain confort dans sa situation, leurs chaleurs avait un côté réconfortant et confortable.

Dans le même temps, l’esclave aux cheveux blancs sentait les mains de ses maîtresses commencer a danser sur son corps et à valser. Remontant doucement en direction de son visage pour y caresser sa joue, l’une des mains se faisait un peu plus présente. Tournant doucement la tête, pour suivre la main, elle fut surprise de sentir très rapidement les lèvres de sa maîtresse se coller aux siennes pour un doux baiser. Elle ouvrit grand les yeux de surprise et les laissait doucement reprendre une taille normale, voir les fermer à moitié, profitant de la douceur des lèvres de sa maîtresse, un léger frisson traversait alors son corps. Lorsque le baiser prit fin, elle eut à peine le temps de répondre à la question, de sa maîtresse que déjà Vanilla avait attrapé son visage pour offrir un nouveau baiser à l’esclave. A nouveau, elle sentit un léger frisson la traverser, un frisson plutôt agréable. Elle se sentait bien entre ses deux nouvelles maîtresses, sous leurs caresses d’ailleurs, elle sentait doucement monter son excitations. Leurs mains étaient beaucoup plus doué que ne l’était madame de Cordano pour être honnête.

Son excitation montait rapidement et l’esclave ne savait pas vraiment si elle pouvait prendre des initiative ou non. Elle avait chaud, son corps devenait plus sensible, au travers le tissu de sa tenue de maid, ses maîtresses pouvaient deviner un téton qui pointait et l’humidité qui se répandait entre ses cuisses et qui mouillait doucement sa culotte. Une main très timide mais très douce vint s’installer sur la cuisse la plus proche de chacune de ses maîtresses. C’était une main si timide qu’elle n’osait pas vraiment monter plus haut et restait relativement bas par rapport aux cuisses. Sur son visage, entre ses joues rouges se dessinait un petit sourire un peu forcé pour essayer de se montrer plus confiante et heureuse d’être là ou elle est.

-Non Maîtresse, les femmes me plaisent plus qu’elles ne m’effraient…

Dit-elle doucement en relevant les yeux vers Mélinda avant de doucement tourner la tête pour regarder son autre maîtresse.


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