Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Aleksandra Letukiene

Humain(e)

Identité : Aleksandra Letukiene
Âge : 23 ans
Sexe : Féminin
Race : Humaine
Sexualité : Homosexuelle (Mais les propositions de toutes parts sont les bienvenus !)


Physique :
C’était il y a quelques années, vous vous rendiez chez un de ces grands négociants hautes coutures afin de traiter avec lui. Vous êtes vous même un, ou bien une, des plus grand(e)s marchands de textiles, vous vendez des tissus d’une qualité rare et vous désirez vous assurer que l’investissement dans ce projet n’est pas trop risqué.
Alors que vous arrivez devant le grand manoir, après avoir traversé des jardins que l’on qualifierait sur terre de “jardins à l’Anglaises”, vous êtes immédiatement reçu et pris en charge par une belle et jeune servante qui vous attendait devant la porte. Vous luttez pour que votre regard tombe et s’ancre sur le visage de la servante mais vous êtes faible et vos yeux chutent irrémédiablement dans un décolleté qui offre à la fois toute la poitrine et en même temps, qui la gonfle et la fait ressortir. Malgré cet effet vous pouvez sans trop vous avancer affirmer que cette demoiselle dispose d’une poitrine largement supérieure à ce que vous avez l’habitude de rencontrer. Trop faible pour lever les yeux et voir sa réaction, vous n’êtes sorti de votre rêverie que lorsque la demoiselle tourne les talons et se dirige vers le manoir d’un pas calme et lent. A votre plus grande surprise, vous remarquez que l’uniforme qui suggère énormément de front semble beaucoup plus conservateur a l’arrière. Cette jeune servant dispose en effet d’une jupe longue, arrivant légèrement au dessus de ses pieds, juste ce qu’il faut pour qu’elle ne puisse pas marcher dessus. De même, vous parvenez à peine à distinguer le mouvement de hanche de la jeune servante, complètement camouflé par son uniforme, alors qu’elle s’avance vers le manoir.
Vous luttez pour reprendre conscience et vous vous dirigez vers le manoir a sa suite. Vous ne sauriez dire si la jeune fille a suivre le protocole mais vous la suivez, espérant qu’elle n’ait rien dit d’important et qu’elle vous guide bel et bien jusqu’à un salon ou un bureau dans lequel vous rencontrerez ce fameux couturier.

Vous n’avez alors plus de divertissement visuel, vous pouvez donc vous concentrer sur d’autres attribut, moins vulgaire, de cette jeune demoiselle. De dos, vous remarquer un léger soucis, ses bras ne sont pas couvert par des vêtements et alors vous voyez qu’ils sont faible, maigre. Elle ne doit pas faire beaucoup d’activité avec ceux-ci mais même en prenant cette idée en compte, ses bras semblent trop maigre pour une femme disposant d’une telle poitrine et faisant cette taille.
Vous regardez autre chose alors, ses cheveux. Ceux-ci font oublier le rachitisme des bras. Ils semblent si doux, si beaux, vous pourriez jurer que simplement en les regardant, vous sentez avec votre nez une douce odeur de lavande. Ses cheveux sont d’un blanc légèrement argenté, immaculé et long, ils arrivent juste au dessus des hanches de la servante et semblent presque couler comme un ruisseau blanc.

Il semble finalement que vous soyez arriver dans le salon dans lequel vous attend le couturier. La demoiselle vous fait rentrer et vous pouvez, pendant quelques instants, admirer un visage doux, vierge de toute violence, empreint d’innocence et de bienveillance. Cette tête est entourée par de beaux cheveux parfaitement maîtrisé. Votre regard se perd quelques instants dans les yeux d’améthyste jeune fille.
Un timide sourire se dessinant sur ses douces lèvres et un geste de sa main, squelettique en accord avec ses bras, vous invite à entrer dans le salon sans plus attendre. Un homme vous y attend et se lève à votre entrée. Il fait un geste de la tête à la jeune femme et s’approche de vous, vous tendant la main.


-Bienvenue ! Bienvenue ! J’espère que ma belle Aleksandra vous a fait bon accueil ! Vous avez fait bon voyage ?

Les amicalités commence, vous vous serrez la main puis il vous invite à vous asseoir. Vous échangez quelques banalités jusqu’à ce que la servante revienne, portant un plateau sur lequel vous profiter d’un service à thé magnifiquement décoré de motifs forestier bleu et jaune se démarquant sur la porcelaine blanche. En déposant votre tasse sur la table basse qui se situait à côté de votre fauteuil de cuir, vous remarquez que la peau de la jeune fille est presque aussi blanche que la porcelaine.
Avec l’attention la plus délicate possible, la jeune servante s’active à vous servir votre thé, vous proposant sucre et lait qu’elle sert a votre convenance tandis que votre interlocuteur commence enfin à parler de l’affaire qui vous intéresse tous les deux.


-Aleksandra, va te préparer. J’avais prévu une femme d’une sublime beauté pour vous présenter mes pièces aujourd’hui  malheureusement, elle est tombé malade il y a de ça une semaine et elle a dû rentrer chez elle en urgence. J’ai donc dû composer avec ma servante, j’espère que cela ne vous gênera pas trop ?

Après quelques instants ou le négociant vous montrait quelques croquis sur lesquels il travaillait, une jeune demoiselle fit son entrée dans la pièce. C’était Aleksandra mais les vêtements qu’elle portait semblait la transformer complètement. Un rapide coup d’oeil vous permettait de comprendre que le tissu qui composait la robe était de mauvaise qualité. Pourtant, la robe en elle même ainsi que la servante étaient d’une beauté sublime. Elle portait une robe verte émeraude qui était, pour les jambes, beaucoup moins conservatrice que la tenue de servante qu’elle portait et pour le torse, tout aussi ouverte. Vous remarquez alors qu’à l’image de ses bras, les jambes de la jeune fille étaient longues mais terriblement maigre. Vous pouvez deviner derrière le tissu des hanches larges mais sans aucune graisse et qui ont pour résultat des fesses plates et discrètes. Alors qu’elle se déplace vous remarquez que le dos de la robe est ouvert et vous pouvez facilement distinguer un certain nombre de cicatrice relativement discrète mais qui semblent par moment très violentes.
Un geste de la tête de votre interlocuteur et la jeune fille disparaît. Pendant son absence, vous ne pouvez conserver votre question et vous lui demander pourquoi est-ce qu’elle est si maigre alors que dispose d’une poitrine aussi énorme par rapport au reste de son corps.


-Oh ? Ne vous occupez pas de ce détail, c’est un sortilège assez simple et peu coûteux. C’est un de mes… Plaisirs de propriétaire. Si vous voulez, toute sa graisse est concentré au même endroit. Rien de plus qu’une préférence personnelle.

La jeune fille revient vêtue d’une autre tenue. Ces passages s'enchaînent une vingtaine de fois jusqu’à ce que vous ayez fait votre choix. Vous serrez la main de cet homme et quitter sa propriété en vous disant que ce partenariat sera profitable…
Et pourtant vous voici, quelques années plus tard au coeur de l’Empire Ashnard. Alors que vous voyez cette fille, toujours aussi maigre, avec une poitrine moins énorme que dans vos souvenirs, une poitrine presque normale pour une femme qui aurait plus de rondeur, presque nue, un collier autour du cou, forcée de suivre une colonne d’esclave. Vous vous souvenez de cet échange commerciale qui a complètement échoué.


Caractère :

Mon tendre amour,

Cette soirée chez Madame de Cordanno, fut très instructive. C’est une vraie chance que cette dame vampire ait jeté son dévolue sur moi. Son influence et son argent feront rapidement de moi une personnalité importante de l’armée impériale. Cependant je ne vous écris pas pour vous ennuyer avec des détails futils, des tactiques ou encore des intrigues qui permettraient mes promotions non. Je vous écris cette lettre au sujet de l’esclave de Madame de Cordanno. Je sais que vous êtes contre l’esclavage et pourtant je tenais à vous parler de son esclave à elle dans l’espoir que votre avis en soit changé.

Le manoir de Madame de Cordanno dispose d’une bonne centaine d’esclave et pourtant, celle-ci, arrivée la dernière et qui semble en relativement mauvais état, est la favorite de Madame. En effet, cette jeune esclave est totalement soumise et obéissante à sa maîtresse, comme le devrait chaque esclave selon moi. Mais je sais que c’est ce côté “obéissance” et “soumission” qui vous dégoûte dans l’esclavage alors laissez moi poursuivre.

Cette esclave est en fait très heureuse dans sa condition. Alors peut-être serait-elle, sur le moment, plus heureuse une fois libre ? Mais cette joie ne durerait pas, pas pour elle en tout cas. Au début, je la pensais simplement craintive, nerveuse, battue par sa maîtresse comme le montre les nombreuses cicatrice qu’elle porte. Pourtant, c’est aux côtés de sa dite maîtresse que je la voyais la plus détendue. Je me suis alors intéressé à son cas. Madame de Cordanno a bien évidemment déclaré que ce n’était pas un sujet de conversation qui la passionnait mais elle a accepté de répondre à mes questions. Il se trouve que l’esclave est totalement terrifiée par les “mâles” et ce qui y ressemble. Elle se montre aussi très craintive envers les femmes humaines comme j’ai pu le constater lorsqu’elle se trouvait proche de ses “collègues”.

Dans la soirée, nous avons dîner avec Madame de Cordanno. L’esclave était là, c’était la seule de la pièce d’ailleurs. Elle m’a alors confirmée que cette fille était sa préférée et que le fait que Madame de Cordanno ne soit pas, ou plus, humaine et en même temps qu’elle dispose des traits d’une femme, l’esclave se montrait tout à fait docile et en confiance a ses côtés. J’admet que je me suis senti un peu vexée, que moi, capitaine à l’avenir radieux, n’inspire pas confiance à une vulgaire esclave.

Durant le dîner, Madame de Cordanno s’est évidemment servie en sang et elle l’a fait d’une manière brutale, presque sauvage, sur son esclave. Le sang dégoulinant, je crains un instant que mon hôtesse ne décide de laisser mourir son esclave pour me faire un exemple. Mais une fois qu’elle était repue, elle usa d’un léger sortilège pour refermer la blessure de son esclave qui était toujours baignée de sang. Je sais que l’esclave ressentait la douleur, ça se voyait sur son visage et sur ses maigres bras pourtant, elle restait calme et était toujours aussi obéissante.

Puis plus grand chose d’intéressant jusqu’à tard dans la nuit. Il y a peut-être une heure ou bien deux, je suis sorti de ma chambre pour faire un tour. Vous savez mon amour, ce genre de nuit ou je n’arrive pas a trouver le sommeil. Eh bien c’est cette nuit là que je passe actuellement. Cette nuit donc, je suis sorti faire un tour et, dans le coin d’un couloir j’ai croisé l’esclave, assise sur le rebord d’une fenêtre, qui regardait au loin. Au courant de sa terreur pour les humains, j’ai d’abord fait connaître ma présence avant d’approcher lentement. Elle me regardait évidemment avec de grands yeux terrifié mais elle acceptait ma présence au final.

Vous connaissez ma curiosité, j’ai donc démarrer la conversation en lui demandant ce qu’elle faisait ici a cette heure de la nuit. Je trouve en effet curieux que l’esclave d’une vampire, en pleine nuit, ait le droit de vagabonder dans les couloirs et de se tenir aussi proche de la liberté. Elle ne parut pas hésiter un instant avant de répondre qu’elle obéissait à un ordre de sa maîtresse. Elle ment terriblement mal. Sa voix était encore plus tremblante que d’habitude, ses yeux soutenaient mon regard mais je décelais facilement le doute dans ceux-ci. Et pourtant vous savez à quel point je crois facilement à ce que l’on me raconte.

Finalement, un moment de silence et un regard soutenu de ma part et elle craquais, d’abord en m’assurant adorer l’air frais et calme de la nuit, la possibilité d'admirer la lune. Mon regard se faisant toujours plus appuyer même si elle disait la vérité, elle m’avoua honteusement qu’elle se trouvait là car elle espérait trouver un moyen de s’échapper pour rejoindre Tekhos, de l’autre côté du continent. J’étais abasourdie non seulement du fait qu’elle lâchait son plan si facilement mais en plus de sa naïveté en pensant pouvoir rejoindre, en tant qu’esclave en fuite, un pays de l’autre côté du continent.

Elle s’est levée devant mon étonnement, a fermé la fenêtre et a commencée à partir pour rejoindre les ténèbres du le couloir. J’ai alors attrapé son bras pour la retenir mais elle a immédiatement eu un mouvement de recul et alors que j’insistais, elle m’a repousser en se montrant presque violente, sauvage. Comme si ma main avait représenter un danger quelconque pour la peau de l’esclave. Elle a eut de la chance que je sois sous le toit de sa maîtresse, autrement je lui aurais appris à se comporter comme une esclave.

Enfin bref, je vous ai écris cette lettre pour décrire ma soirée et surtout le comportement de cette esclave qui a la chance d’appartenir à une maîtresse comme Madame de Cordanno. Non seulement elle dispose d’une maîtresse puissante et compréhensive mais surtout, le manoir est un endroit ou elle se trouve en sécurité, si elle se trouvait en liberté elle se ferait facilement violée, agressée et si elle devenait esclave dans un champ ou dans une mine, elle deviendrait la victime, le punching ball de tous les autres esclaves. Pensez à cela mon amour, lorsque l’on discutera à nouveau de prendre une esclave ensemble. Elle sera certes notre propriété, disposant de droit et de liberté réduite, mais nous lui offrirons la sécurité et l’assurance de vivre. Je vous demande d’y réfléchir et, pourquoi pas, de commencer à chercher un ou une esclave à qui nous rendrons service en l’achetant.

Je vous aime,

Votre moitié.

P.S : L’ayant dénoncer, sa maîtresse m’a affirmé être déjà au courant et que l’esclave n’était pas capable de cacher quoi que ce soit.




Histoire :
Il se fait tard. Vous rentrez dans une salle dans laquelle se trouve une petite cage. Il fait très sombre et un humain normal ne verrait rien. Vous, grâce à votre sang, vous arrivez à discerner la petite cage ainsi que l’humaine qui se trouve à l’intérieur. Vous vous en approchez doucement et vous asseyez en face d’elle, en tailleur, à même le sol. Les pierres froides ne semblent pas vous dérangez plus que ça. Votre travail ce soir, en apprendre plus sur l’esclave qui se trouve à l’intérieur.

-Bonsoir. Aleksandra c’est ça ? Je suis ici pour en savoir un peu plus sur toi… Peux-tu me parler de ton enfance pour commencer ? Est-ce que tu te souviens de tes origines ? Dites-vous d’un air presque calme, afin de mettre en confiance la jeune femme.
-Je… Je ne me souviens pas d’avant ma première vente… Répond-elle avec une voix abîmée, cassée.
-Je vois… Dans ce cas peut-être peux-tu me parler de cette première vente ?
-Je ne sais plus. Mon Maître m’avait simplement expliqué que mes parents avaient dû me vendre ou bien ils auraient eut des problèmes.

Vous prenez quelques notes sur un morceau de papier. L’Histoire de l’esclave ne vous intéresse pas vraiment mais dans des cas comme le sien, ou vous ne connaissez rien, votre travail consiste souvent à en savoir plus sur ce qui l’a amenée où elle est.

-Très bien. Ce premier maître, raconte moi un peu la vie avec lui, est-ce qu’il était dur avec toi ? Combien de temps l’as-tu servie et pourquoi n’es-tu plus à son service ?
-Je l’ai servie longtemps. Quinze ans selon lui. Il n’était pas méchant avec moi il aimait juste… Toucher quelques endroits… Il ne me faisait jamais mal et il n’était pas trop exigeant. Elle marque une pause, comme une hésitation. Il y a eu un accident et j’ai dû quitter son service.
-Ou est-ce qu’il te touchait exactement ? Vous avez senti l’hésitation et vous savez qu’elle vous cache quelque chose, mais vous n’avez pas vraiment envie de rentrer dans ce que vous considérer comme un détail.
-Mes seins… Il a fait en sorte qu’il n’y ait qu’eux qui prennent de la graisse...

Vous la regardez et remarquer qu’en effet sa poitrine se démarque du reste de son corps mais que dans l’ensemble, poitrine compris, elle est terriblement maigre. Vous seriez même prêt à parier que la cage est plus lourde qu’elle.

-Sortilège j’imagine… Décris-moi tes maîtres après cet homme, si j’ai des questions je te couperai.
-Après lui c’était Madame de Cordanno, il n’y a eu personne entre les deux. Dit-elle encore avec cette légère hésitation. Et elle m’a vendue pour ne pas mettre ma santé en danger à cause de ses habitudes. Elle était très gentille avec moi et je me sentais bien avec elle.
-Tu me mens Aleksandra. Qu’est-ce qu’il s’est passé entre Madame de Cordanno et ton premier maître ? Dites-vous d’un air légèrement agacé, vous forcez un peu le trait cependant
-C’était… C’était un groupe d’hommes… Des humains. Ils me faisaient du mal… Ils étaient violent… Tous les jours...

Cette fois-ci vous savez qu’elle vous dit la vérité et en même temps, vous entendez une certaine forme de détresse dans sa voix, elle tremble, elle sanglote même. Vous finissez d’écrire quelques notes. Vous comprenez que ce groupe d’homme a pris la virginité de cette fille, dans la violence, si elle la possédait encore après son premier maître. Vous vous levez et vous commencez à quitter la pièce, laissant la jeune fille seule en pleure. Vous avez à peu près tout ce dont vous avez besoin de savoir pour estimer son prix et pour pouvoir la revendre.

Autre :
Vous vous intéressez à elle ? Oh évidemment, je comprend ce que vous pouvez lui trouver. On voit rarement une telle paire de… Oh ? Ce qu’il faut savoir ? Pas grand chose… La seule chose a son sujet, digne d’intérêt et que j’ai pu remarquer, c’est que ses cheveux sont toujours parfait et qu’elle les coiffe avec une facilité remarquable, même sans aucun matériel à disposition. Et elle prétend que c'est son premier maître qui l'a fait mais il semble que toute la graisse de son corps soit concentrer dans sa poitrine. Partout ailleurs, elle n'a que la peau sur les os.

Comment avez-vous connu le forum ? Un Topsite

Je reconnais avoir pris connaissance du contenu du topic sur le traitement automatisé des données personnelles qui est fait par l'hébergeur de LGJ
« Modifié: mercredi 26 décembre 2018, 13:14:34 par Princesse Alice Korvander »

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Peut-on voyager quand on est privé de liberté ? [Alice]

Réponse 1 mercredi 26 décembre 2018, 13:14:19

Vampire, une esclave, une robe de maid, des gros seins...

...

 ;D

(Et des gants blancs fins et soyeux *.*)

Bienvenue sur le forum !

Ta fiche est bonne, malgré quelques fautes ici et là.

Tu es VALIDÉE !

Cassidy Green

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Re : Peut-on voyager quand on est privé de liberté ? [Valicidée !]

Réponse 2 mercredi 26 décembre 2018, 13:24:52

Bienvenue ;D
Voici mon topic pour découvrir mes autres comptes. Veuillez aussi me contacter sous ce compte pour mes autres personnages, vu que je suis plus souvent connecter avec Cassidy Green qu'avec les autre ;D


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