Cette folle séance se termina quand Meryl se retira du corps d’Aemiliane, et que la jeune femme, les yeux dans le vide, tomba mollement au sol. Meryl respirait lentement, reprenant peu à peu ses esprits, sa queue trempée se dressant encore légèrement dans les airs, recouverte de traînées blanchâtres, des filaments de sperme et de mouille qui s’étaient collés à son membre. Elle respirait lourdement, et sourit ensuite doucement. Gisant au sol, Aemiliane respirait lourdement, son ventre bien gonflé. Meryl avait puissamment joui en elle, un orgasme terrible, à la hauteur de l’intensité et de la soif de la F-Girl. Elle n’avait rien épargné à Aemiliane, mais c’était bien naturel. Meryl s’était retenue pendant tout ce trajet, toute cette longue traversée depuis la Fut-Factory jusqu’à la Fut-Room. Et Peach était bien placé pour savoir que, quand sa mère se retenait ainsi, c’est qu’elle était en réalité sur le point de fondre. Elle avait donc bondi sur sa proie, et avait baisé Aemiliane sans relâche, jusqu’à... Jusqu’à cet orgasme.
«
Elle est épuisée, Maman... -
Ne la sous-estime pas, elle est plus endurante qu’elle en a l’air, cette petite. »
Peach ne put qu’acquiescer. Meryl ouvrit ensuite la porte du van, et sauta au sol.
«
Conduis-là dans le salon, je vais prévenir les autres que nous avons une petite chatte domestique... »
Peach hocha la tête, s’inclinant respectueusement devant sa mère, puis tira sur la laisse d’Aemiliane.
«
Allez, tu ne vas quand même pas te reposer ici, hein ? Dans ce van sinistre, c’est un coup à attraper une pneumonie ! »
Il tira encore sur la laisse, jusqu’à ce qu’Aemiliane puisse le suivre. Quittant le parking, il rejoignit un ascenseur qui les conduisit à la Fut-Room... Ou, plutôt, au Fut-Bunker, c’est-à-dire les quelques niveaux de la Fut-Room abritant les quartiers des F-Girls. C’était un ensemble de couloirs et de pièces abritant, outre les chambres, des salles d’expérience, des
love rooms, des laboratoires sexuels, des pièces de dressage pour les esclaves... Vu de l’extérieur, l’ensemble ressemblait à une sorte de complexe scientifique aseptisé, avec des couloirs blancs aux murs nus, des drones de nettoyage venant régulièrement faire le ménage. Les portes étaient toutes verrouillées par des cartes électromagnétiques ou par des scanners.
Peach, tout en chantonnant, rejoignit l’une de ces portes, et passa l’étape du scanner visuel. Il entra ainsi dans l’un des salons de la Fut-Corp, avec plusieurs sofas, des canapés, une grande télévision, et divers meubles à vocation sexuels, comme un chevalet, une croix de Saint-André, des fauteuils de massage avec des vibromasseurs... Et une autre personne qui, en les voyant arriver, s’extirpa du fauteuil où elle se trouvait, et protesta rapidement :
«
Et ben, vous avez mis le temps ! -
On a trouvé ma future femme ! Regarde, elle s’appelle Aemiliane ! -
Ta future femme ?! -
Ben oui, puisqu’elle va porter mon enfant ! Aemiliane, je te présente ma sœur... »
April ! Cette femme portait de courts cheveux violets, et avait, à l’image de sa mère, une poitrine absolument monstrueuse. Toute nue, April portait un collier rose, et était en compagnie de son amie d’enfance,
Roxy, qui, elle, avait une verge bien dressée. De fait, quand Peach et Aemiliane avaient fait irruption dans la pièce, April était occupée à sucer la queue de Roxy.
«
Elle est très jolie, cette fille », commenta rapidement Roxy.
Roxy se rapprocha ensuite d’Aemiliane, et pointa sa verge sous son nez.
«
Allez, vite ! »
Roxy contourna ensuite Aemiliane, et, sans guère d’hésitation, enfonça sa verge dans sa chatte, la pénétrant sans hésitation, et remua doucement en elle.
«
Maman est partie chercher les autres pour la présenter ! »
April acquiesça doucement, avant de se mettre devant Aemiliane, promenant sur son visage sa verge, qu’elle venait de faire pousser.
«
Ça nous laisse un peu de temps pour faire plus ample connaissance, alors... » susurra-t-elle avec malice.