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Remarque liminaire :
Cet RP décrit un scénario alternatif. Les mésaventures arrivant dans ce RP à Aemiliane ne sont donc pas canoniques au personnage. En ce qui concerne la Fut-Corp, les éléments décrits dans ce RP sur la société sont, en revanche, inscrits dans la continuité du personnage.
Située près de certains quartiers populaires tekhans (https://img00.deviantart.net/00fe/i/2012/244/7/b/bridge_by_jordangrimmer-d5d0014.jpg) en périphérie de la ville, la Fut-Factory(/b] (https://img00.deviantart.net/d98b/i/2011/354/2/7/factory_33_by_drawingnightmare-d4jpkd2.jpg) était un établissement très particulier, et très bien protégé. Des clôtures électriques accompagnées de drones de surveillance, de caméras de sécurité, et de gardes protégeaient l’accès des lieux. Plusieurs panneaux signalaient d’ailleurs que l’accès de la Fut-Factory étaient rigoureusement interdits en raison des cuves de produits chimiques, pouvant s’avérer mortels et très toxiques. Rien qui ne permette de décourager une intrépide jeune femme.
La Fut-Factory se composait de plusieurs bâtiments reliés entre eux par des ponts, ainsi que de hautes cheminées, et de grosses cuves abritant effectivement des produits dangereux pour la santé. Le cœur de l’usine était composé d’un mystérieux bâtiment, intitulé « Bâtiment n°33 », en raison du chiffre gravé sur le front du bâtiment. Des camions-citernes sortaient et rentraient régulièrement de la Fut-Factory, et c’était par leur biais qu’il était possible de s’infiltrer... Ou en passant par les égouts, mais il faudrait alors se douter d’un solide masque à gaz, car les égouts de la Fut-Factory rejetaient des produits toxiques, qui se déversaient ensuite dans des stations d’épuration. En tout cas, l’endroit restait surveillé, et c’était typiquement le cas à l’intérieur du Bâtiment N°33.
Sas de sécurité, cartes magnétiques, caméras de surveillance, détecteurs de mouvement, la Futr-Corp avait doté l’ensemble d’une sécurité exceptionnelle. C’était ici, dans le Bâtiment n°33, qu’on trouvait les laboratoires de l’organisation. Les différents produits venant des autres ailes de l’usine se regroupaient ici. Le lait des Ushis émanant des enclos fermés, les produits chimiques... Tout ça se regroupait là, dans des compresseurs et des synthétiseurs automatisés, qui fabriquaient ainsi un précieux liquide rose brillant : la F-Gen. Ce mystérieux mutagène transformant les hommes en F-Boys et les femmes en F-Girls... Une secret drastique qui visait à protéger les secrets de fabrication du F-Gen.
Les gardes se déplaçaient dans les couloirs du Bâtiment N°33, et, en analysant les différents ordinateurs et terminaux, il apparaîtrait vite que les tuyaux filaient dans le sous-sol du Bâtiment N°33. Plusieurs niveaux souterrains accessibles depuis quelques ascenseurs. C’est là-dessous que le décor changeait. Les couloirs blancs et lumineux des étages laissaient place à des couloirs plus sombres. Il n’y avait aucun garde humain, mais des dispositifs électroniques.
La jeune femme qui s’était infiltrée découvrit ainsi une aile abritant des séries de portes verrouillées. On aurait presque pu se croire dans une prison, et il y avait fort à parier que la Fut-Corp abritait ici ses secrets les plus inavouables. Après tout, il ne fallait pas oublier que cette société était poursuivie par la police, qui la suspectait de multiples infractions, dont le kidnapping, l’esclavage illégal, les viols, la torture, et même d’homicides. C’était donc là une piste sérieuse, surtout quand on pouvait pirater la serrure de l’une de ses cellules. Qui sait ? Peut-être y avait-il derrière de jeunes femmes terrorisées, destinées à servir de cobayes pour les expériences sinistres de la Fut-Corp ?
La porte s’ouvrit ainsi dans un vrombissement... Révélant une cellule assez étroite, avec une masse au milieu, qui se retourna vers la femme en grognant.
C’est ainsi qu’Aemiliane découvrit l’un des gros secrets de la Fut-Corp...
...Une indescriptible créature immonde (https://rule34.xxx/index.php?page=post&s=view&id=872906) lui fit brusquement face, un œil cyclopéen émergeant au milieu de son ventre pour regarder l’intruse.
« Hooooonnnn... !! » hulula la créature en s’approchant dangereusement d’elle.
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La Fut-Corp. Encore une mégacorporation sombre et obscure qui était en train de ronger Tekhos Metropolis, comme bien d’autres dans son genre. GWC ne faisait pas partie du lot bien entendu – après tout, la fouineuse de ce soir était employée là-bas ! Elle ne pouvait pas se permettre de penser du mal de sa propre entreprise et surtout, de sa propre patronne qu’elle aimait beaucoup. Aemiliane était une brillante scientifique, le jour. Une matière grise qui mettait à profit son savoir pour le compte de GWC mais pas que ! Depuis peu, l’intrépide aidait à combattre le crime à Tekhos Metropolis grâce à Spider-Woman ; l’héroïne tant décriée par la presse.
C’était un secret qu’elle devait garder bien entendu. Mais étant une groupie de la femme araignée, le destin les avaient réunis toutes les deux et voilà qu’à présent elles coopéraient ensembles. D’ailleurs, leur relation allait bien au-delà de cela ... Mais, ce n’était guère le sujet. Aemiliane aidait la justicière costumée dans ses escapades, généralement en lui servant de support technique et logistique. Elles formaient un brillant duo ! Mais étrangement, la scientifique sentait qu’elle n’en faisait pas assez ... Elle sentait un manque, un vide à combler. Elle devait s’investir plus personnellement dans la lutte contre la criminalité.
Pour se faire, elle avait décidé depuis peu de se déplacer personnellement sur le terrain, à ses risques et périls. Sans prévenir Spider-Woman évidemment, sinon celle-ci l’en aurait tout bonnement empêché afin de la préserver. Mais Aemi’ était du genre à n’en faire qu’à sa tête et surtout, à ne pas considérer assez le danger. Ce soir, elle allait malheureusement se heurter à la réalité. Tout commença quand la malicieuse scientifique décida de s’infiltrer, de nuit, dans l’usine principale de la Fut-Corp. Une entreprise malsaine et poursuivie par les autorités, pour plein de raisons. Aemi’ savait que Spidey travaillait dessus mais, elle était décidée à lui donner un sérieux coup de main en allant voler des informations pour elle.
C’était son plan, son idée. Ses talents de pirate informatique lui permirent de passer les premières sécurités, et sa silhouette fine ainsi que sa belle souplesse firent qu’au final, pour une simple agente de support, elle se démenait plutôt bien sur le terrain ! Le bâtiment qui l’intéressait était celui qu’on nommait Bâtiment 33 et selon les premiers renseignements d’Aemiliane, celui-ci était le meilleur candidat pour cacher de lourds secrets. Elle se retrouva nez-à-nez avec une série de portes verrouillées, dans une aile menant au cœur dudit bâtiment. Si jusqu’à présent la voleuse ne s’était pas fait repérer, rien ne disait que la chance continuerait de lui sourire. Elle observait les portes et fut alors convaincue qu’elles cachaient des pauvres cobayes, des sujets d’expériences qu’elle devait, dès lors, libérer.
Rapidement, elle se dirigea vers la première cellule – l’endroit lui faisant de plus en plus penser à une prison – puis entama le piratage du système de verrouillage grâce à un ordinateur embarqué dans un appareil sur son bras. La technologie Tekhane, il n’y avait rien de plus beau à voir ! Aemiliane finit alors par déverrouiller cette première porte, avec l’espoir de sauver sa première victime. Le sas s’ouvrit, mais la pièce était plongée dans une étrange pénombre. C’était une cellule étroite, très étroite ... Un cruel sort pour la personne située dedans. S’il s’agissait bien d’une personne. Car quand la jeune femme posa son regard dessus, elle plissa des yeux puis les écarquilla, alors qu’un rugissement retentit. « AH ! » Cria-t-elle subitement, prise par surprise, ne pensant guère un seul instant que sa voix pouvait la faire repérer.
Aemiliane sauta en arrière alors que l’hideuse créature difforme commençait à avancer vers elle. « HIDEUX ! » S’exclama-t-elle alors que puisant dans toutes ses forces, et grâce à l’adrénaline, elle parvint à refermer le sas sur le monstre. Son cœur battait très fort et très vite. Elle commençait à réaliser qu’elle ne trouverait pas que des victimes ici, mais aussi ... Des horreurs. Tout s’enchaina à partir de cet instant car, la levée de sa voix avait attiré les deux gardes circulant sur cette aile. « PAS UN GESTE ! » Hurla alors le premier, arrivant derrière Aemiliane. Celle-ci se mit alors à courir de toutes ses forces, chanceuse de ne pas se trouver sur le chemin d’une des nombreuses balles qui ricochèrent à droite à et à gauche.
Elle était repérée, et les choses n’allaient qu’empirer. Mais elle était plus que jamais déterminée à poursuivre sa mission, de lever le voile sur cette horrible entreprise ! La jeune femme courrait donc, tentant de semer la sécurité qui avait d’ailleurs activé l’alarme, retentissante à présent de partout. « ZUT ! » S’insurgea Aemiliane, alors que dans la précipitation et la volonté de semer le garde, elle se faufila derrière une porte de service, qui menait ... Quelque part. Elle n’avait pas réfléchit avant d’entrer, désireuse uniquement de se cacher.
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Meryl (https://rule34.xxx/index.php?page=post&s=view&id=1461284) était une F-Girl assez dangereuse, l’une des plus autoritaires qui soit. Mère d’April (https://rule34.xxx/index.php?page=post&s=view&id=2790185) et de Peach (https://rule34.xxx/index.php?page=post&s=view&id=2111420), elle était connue et réputée pour être aussi perverse qu’autoritaire. Il était donc normal de confier à cette femme, au demeurant une ancienne militaire, des responsabilités importantes, et notamment la surveillance de la Fut-Factory. Meryl était dans la salle de contrôle, et n’avait pas su repérer Aemiliane, en grande partie parce qu’elle était occupée à besogner l’une des gardes.
Sa massive queue s’enfonçait dans le con de la femme, qui était en levrette devant elle, couinant sous son masque. Quand la garde avait le malheur de trop baisser la tête, Meryl attrapa sa longue chevelure, formant une natte dans son dos, pour la relever, ou empoignait directement le masque. La garde se faisait ramoner depuis plus d’une demi-heure, maintenant, confirmant l’endurance surréaliste des F-Girls. Sa combinaison noire en latex, moulante et intégrale, remuait et brillait au gré des coups de reins de Meryl, lorsque l’alarme se mit à retentir dans la salle de contrôle.
« Putain ! » pesta Meryl.
Elle relâcha la garde, sa solide queue tendue couverte de mouille, et se rapprocha rapidement d’un écran, où une autre garde ne tarda pas à apparaître.
« Il y a eu une intrusion, Commandante !
- Mais comment est-ce possible ? »
Une opératrice pianota sur un clavier, et fit rapidement apparaître l’image d’une caméra de surveillance. Meryl se pencha vers celle-ci, sa queue venant au passage se frotter contre l’épaule de l’opératrice, qui mouillait maintenant depuis un bon quart d’heure sur son siège, tant elle avait envie de connaître le sort de la garde. Meryl grogna en voyant une jeune femme ouvrir l’une des portes, là où dormait les Démons. Elle fuit ensuite à bride abattue, et Meryl se pinça les lèvres.
L’opératrice, qui avait la tête tournée vers sa queue, en humant l’odeur, prête à y apposer sa langue, revint brusquement à elle quand le poing de Meryl s’abattit violemment sur le bureau.
« Retrouvez-moi cette pute d’activiste ! »
Les gardes de la Fut-Factory portaient le même uniforme : une combinaison noire moulante en latex intégrale. Seules leurs lèvres apparaissaient, et elles disposaient, à travers la cagoule, d’une visière améliorée. Aemiliane, qui fuyait, dut ainsi rapidement constater qu’il n’était pas aisé de les semer, car les deux gardes à sa poursuite étaient très rapides, et voyaient son corps à travers une vision thermique, une brillante tâche orange se détachant d’un corps bleu et froid.
En désespoir de cause, Aemiliane ouvrit une porte, et s’aventura dans un couloir latéral. Il y avait là un escalier, au fond, que la femme commença à gravir… Avant qu’une puissante main ne vienne la saisir à son cou.
« Tiens, tiens, mais qui voilà ?! » s’exclama Meryl en plaquant Aemiliane contre le mur.
Preuve de sa force redoutable, elle avait soulevé la jeune femme au passage, venant l’écraser contre le mur. La technicienne ne touchait même plus sol, et Meryl la regarda silencieusement.
« Tu appartiens à quelle ONG ? Quel journal ? Je te conseille de me répondre vite, salope, ou je te broie le cou ! »
Fort heureusement, Aemiliane avait pour elle un avantage… Elle était plutôt jolie, et Meryl, qui n’avait pas eu l’occasion de se décharger dans le corps de la garde, était donc très frustrée. Sa grosse queue était d’ailleurs tendue à son maximum, redressée, et la pointe de sa trompe caressait les cuisses de la jeune femme…
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La situation échappait doucement au contrôle d’Aemiliane. Elle n’était pas Spider-Woman ... Elle n’avait pas de sens développés, ni de super-force pour se sortir des mauvaises passes. Cela elle s’en rendait compte à présent ; quand elle était essoufflée après avoir courue comme une dératée pour se planquer derrière une porte. Voilà donc qu’elle se pensait à l’abri, même si elle se doutait que la sécurité finirait par la retrouver vu leur équipement de pointe. C’était pour cette raison qu’elle devait se remettre à fuir. Mais de là où elle était, il n’y avait qu’un seul passage. Un long couloir étroit menant à un escalier.
Il n’y avait pas d’autre choix possible ! Aemiliane accouru donc vers le fond du couloir et commença à gravir rapidement les marches. Peut-être que cela allait la mener à une issue ? En tout cas elle n’avait pas d’autre option pour le moment. L’adrénaline pompée partout dans son corps la faisait bouger de manière précipitée mais, cela n’empêcha guère la subite main de venir l’empoigner soudainement à la gorge. « ARGH ! » Gémit-elle brusquement, manquant de s’étouffer alors qu’une douleur saisissante s’éprit de son dos. Plaquée contre le mur et endoloris, elle se rendit compte avec effroi qu’elle était soulevée et maintenue par une femme au très fort gabarit. Une femme très musclée et en colère, qui n’hésita guère à lui faire mal.
Aemiliane avait du mal à respirer et à répondre. Elle s’agitait au-dessus du sol mais, elle ne parvenait guère à faire plier le bras de son assaillante. Il fallait réfléchir et vite. Que faire ? Quoi dire ? Aemiliane était forte pour les analyses rapides, fort heureusement. Elle remarqua vite la colère de cette femme, mais aussi, son sexe exposé et tendu qui se frottait contre ses cuisses. Si elle était en pareil état, c’était qu’elle venait de faire l’amour mais n’avait pas pu finir son affaire. Elle était donc, probablement, frustrée. Peut-être pourrait-il en tirer avantage ? Mais la scientifique préférait avant songer à une option moins humiliante ...
Sauf qu’il n’y en avait pas beaucoup. Se battre avec cette femme était impensable ! Lui mettre un coup bien placé, surtout avec sa zone sensible ainsi exposée, pourrait lui offrir de quoi fuir mais si jamais elle venait à se faire rattraper elle savait qu’elle risquait sa vie. Aemiliane déglutit puis commença à doucement bouger sa jambe pour frotter lentement le sexe en érection de la femme, tout en la regardant dans les yeux. « C-Ca serait bête de me tordre le cou alors qu- ... Que ... Il pourrait servir à autre chose ... » Dit-elle en ayant du mal car sa gorge était comprimée. Pour mieux appuyer ses dires, Aemiliane se mit à frotter plus sérieusement la trique de la femme avec sa jambe, excitant davantage ce membre. « On p-peut s’arranger ! » Finit-elle par dire, espérant qu’elle pourrait trouver un moyen de fuir une fois qu’elle serait en train de satisfaire cette femme. Pour parfaire le tout, la scientifique lui fit ses inimitables yeux de biche !
Elle peinait encore à croire à la carrure de cette dame. Elle était si forte, si musclée, était-ce naturel ? Ou était-ce là la manifestation du sinistre F-Gen sur lequel Aemiliane enquêtait ? C’était sa principale raison d’être ici après tout.
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C’était une conséquence du F-Gen, un accroissement significatif de la masse musculaire, s’accompagnant d’une endurance surnaturelle. Ce n’était pas un hasard si les F-Girls pouvaient tenir pendant des heures sans jamais être totalement épuisées. Cette force surnaturelle qui les habitait s’exprimait aussi bien dans le sexe qu’en temps normal. La puissante Meryl avait été bien dotée, et elle aurait pu tuer cette intruse sur place, lui briser les cervicales. Fort heureusement pour elle, Meryl était effectivement en manque, et cette fille était belle… En plus de dégager une aura de perversité que Meryl sentait clairement. Elle frémit ensuite quand les jambes de sa proie caressèrent son chibre, et que, en désespoir de cause, la jeune femme ne lui propose… De la soulager sexuellement.
Les sourcils de Meryl se froncèrent brusquement, comme si elle s’attendait à un piège. Tout ça semblait… Assez inopportun. Et elle était suffisamment maîtresse d’elle-même pour ne pas se laisser trop facilement abuser par le comportement nonchalant de la jeune femme. D’un
autre côté…
*Il faut reconnaître qu’elle est sexy…*
Meryl hésita donc un peu, continuant encore à étouffer la jeune femme… Puis la relâcha brusquement. L’air fusa dans les poumons d’Aemiliane, qui tomba sur le sol, son visage se retrouvant à hauteur du sexe de Meryl. Son phallus tapait contre son front, et la puissante F-Girl se retourna vers les gardes qui venaient d’arriver.
« Mettez-lui un collier de restriction ! »
Les gardes obtempérèrent rapidement, sortant un collier noir à pointes métalliques, et le posèrent autour du cou de la jeune femme, avant de serrer. Le collier se mit à biper, clignotant sur place, se verrouillant sur la nuque d’Aemiliane, puis une laisse électrique fut mise à celui-ci, que Meryl saisit ensuite. Sur un petit écran digital, le chiffre « 2 » apparut. Meryl sourit malicieusement, tentant dans son autre main un boîtier, qu’elle alluma.
Elle précisa ensuite le contenu de l’appareil :
« Ce collier est relié à ce dispositif. Si tu t’éloignes à plus de 2m de ce dispositif… »
Un geste valant mieux que mille mots, Meryl lança l’appareil, qui atterrit à quelques mètres… Et la laisse se mit à vibrer. Les pointes du collier s’illuminèrent alors, et touchèrent le cou d’Aemiliane, diffusant de terribles champs électriques. Des arcs meurtriers et douloureux, qui durèrent une vingtaine de secondes, avant que Meryl ne récupère le boîtier, mettant alors fin à cette souffrance.
« Je saurais ton nom tôt ou tard, salope. Puisque tu ne veux pas me le donner, timide, je vais t’appeler Salope. Et je vais commencer par te défoncer la chatte, Salope ! »
Meryl tira sur la laisse, et amena ainsi Aemiliane dans la salle de contrôle, sous le regard prudent des gardes. Là, la femme empoigna à nouveau Aemiliane, et l’envoya s’écraser sur une table. Sa queue massive et monstrueuse caressa ensuite les hanches de l’ingénieure, puis Meryl promena ses mains sur ses cuisses, et déchira d’un coup sec sa minijupe.
« Hurle, Salope… Hurle ! »
Et, d’un coup sec et brutal, Meryl s’enfonça violemment en elle, sa longue tige se frayant un passage à travers sa chatte étroite.
Meryl ayant été frustrée, il allait falloir du temps pour qu’elle se remette dans le bain. Sa queue lui faisait terriblement mal, et ce contact jouissif ne manqua pas de la faire trembler de part en part.
Autrement dit, Aemiliane allait joyeusement souffrir entre ses bras puissants et sa queue terrifiante…
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La priorité pour Aemiliane était de se sortir des griffes de cette brutasse. Mais comment faire ? La seule solution qu’elle avait trouvé fut d’user de ses charmes et de l’apparente frustration sexuelle de la dame à son avantage. Mais, en vérité elle jouait avec le feu ; et elle était sur le point de se brûler. Alors qu’elle venait de frotter sa cuisse contre l’impressionnante trique de l’immense femme aux beaux muscles qui la faisait scandaleusement loucher des yeux, elle déglutit en sentant la poigne se détendre sur son cou. Elle tomba finalement comme une pierre au sol sur ses fesses. « Aïe ! » Gémit-elle sur le coup, crispant son visage alors qu’elle sentit subitement la massive queue de l’inconnue taper son front.
Puis, elle sut qu’elle venait de se brûler quand elle entendit cette histoire de collier. « Non ! Pas de collier, j’aime pas ça et ... » Dit-elle, se faisant interrompre par les gardes qui l’attrapèrent puis lui apposèrent le collier de force, autour du cou. L’étau de serra sur sa fine et délicate gorge qui a présent était prisonnière de cet étrange appareil qui ne présageait rien de bon. Aemiliane n’avait pas prévu de se retrouver en laisse ainsi. Cela compliquait ses plans et les possibilités de s’enfuir. Mais, même dans cette situation critique elle gardait espoir ... Elle finirait par trouver un moyen pour s’échapper d’ici et faire éclater la vérité ! En attendant elle regarda la dame lui expliquer qu’en réalité, ce collier était un appareil à décharge électrique et qu’il se déclencherait dès qu’il se retrouverait à plus de deux mètres du boitier qu’elle tenait.
La scientifique écarquilla ses yeux au moment où, sadique comme est cette brute, celle-ci jeta le boitier au loin, déclenchant la décharge électrique. « AAAAAH ! » Cria alors Aemiliane, serrant ses dents et se faisant clouer au sol alors qu’une violente, très violente douleur se manifesta au niveau du collier sur son cou. De puissantes décharges électriques parcourait son corps et la paralysait au sol dans une douleur incommensurable et insupportable. Cette harpie ne plaisantait nullement et venait de mettre en laisse Aemiliane pour de bon, pour un certain temps du moins. La scientifique convulsa à terre mais finit par se calmer et se ressaisir quand le boitier fut récupéré et mit de nouveau à porter. La scientifique offrit un air et un regard hostile à son assaillante qui avait dès lors le toupet et l’irrespect de lui donner une insulte pour nom !
(C’est toi la salope ici ! Tu vas voir quand je sortirai d’ici, ton manège va vite tourner court.) Pensa Aemiliane. Cependant ce n’était pour l’instant pas au programme car on conduisit de force l’intruse dans une salle de contrôle. Elle n’avait pas le choix, à cause de ce maudit collier ! Et alors qu’elle pensait subir un interrogatoire musclé, voilà qu’elle se fit violemment pousser sur une table. Le choc lui fit terriblement mal au dos mais, à peine eut-elle le temps de rouvrir ses yeux qu’elle sentit l’immense femme la plaquer puis lui déchirer sa jupe courte. Elle n’eut guère le temps de l’insulter qu’elle vit l’épais membre frotter ses cuisses et ses hanches avant de s’enfoncer brutalement en elle, lui procurant bien plus de douleur que de plaisir. « HAAAAAA ! » Hurla-t-elle, de douleur, d’effroi plutôt que de plaisir alors qu’elle avait l’impression de se faire déchirer en deux, littéralement. La douleur était presque aussi intense que celle du collier électrique et pendant au moins une dizaine de minute, elle ne ressentit rien d’autre que de la souffrance.
Puis lentement, avec honte certes mais tout de même, le plaisir commençait à remplacer la douleur ... Le corps d’Aemiliane réagissait face à ces puissants coups de trique et bientôt ses cris de douleurs se transformaient en cris d’extase malgré elle et malgré le fait qu’elle refusait de se soumettre aussi facilement. Etait-ce au fond un fantasme, pour elle ? De se faire prendre par une puissante femme physiquement ? Une femme à la forte carrure et au caractère très dominant, qui la prendrait encore et encore, la faisant hurler comme jamais elle n’avait hurlé dans sa vie ? L’hypothèse n’était pas à écarter ... Mais après tout, Aemiliane restait et restera une petite perverse ! Au point que son corps remuait et vibrait d’extase mais aussi que ses douces cuisses vinrent lentement s’enrouler autour de sa partenaire pour mieux la sentir lui bourriner la chatte.
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La passion soudaine de Salope pour sa queue ne surprenait pas Meryl. Les F-Girls étaient des amantes très populaires, et la Fut-Room, le nom du bordel de la Fut-Corp, était très populaire. La Fut-Room avait connu un succès fulgurant, et quantité de femmes venaient. Des Sénatrices, des militaires au repos, des femmes d’affaires… Miranda Forge était une habituée de la Fut-Room, et louait même les talents des F-Girls comme escort girl ! Le sexe faisait partie intégrante de la vie des F-Girls. Elles étaient très douées, et c’était typiquement le cas pour Meryl, une femme forte et dominante. Son membre s’enfonçait durement dans le corps de cette intruse, qui hurla sur place, se tortillant sur le bureau, sous le regard envieux des gardes et des opératrices.
« Petite salope, haaaa… HURLE, MA PUTE !! »
Et Aemiliane hurlait ! Des hurlements délectables et délicieux ! Meryl ne cherchait même pas à savoir qui elle était. Elle ne cherchait même pas à la questionner, elle se contentait de la baiser, de la prendre, et sentit rapidement Aemiliane se détendre. Sa partenaire hurlait de douleur, mais aussi de plaisir, et Meryl gloussa. Mains posées sur ses hanches, elle la prenait contre la table, grognant doucement, enfonçant sa solide trique en elle, des coups de reins puissants et appuyés.
Aucune des gestes de l’ingénieure ne lui échappait, que ce soit les rougeurs sur ses joues, ou son corps qui devint plus ample, plus malléable, plus souple, tandis que Meryl continuait à la labourer énergiquement.
« Tu mouilles, pétasse… Tu mouilles comme une grosse chienne parce que je te BAISE ! »
La jeune femme ne pouvait rien nier, et alla même jusqu’à enrouler ses cuisses autour de la taille de Meryl. La F-Girl se mit à ricaner à nouveau, et remonta ses mains, venant pincer les seins de la femme, les tordant fort, et donna un nouveau coup de reins, plus puissant encore, qui souleva le rebord de la table, entraînant sa chienne, avant qu’elle ne se recule, remettant la table en place… Puis Meryl recommença encore, donnant un nouveau coup de reins.
Sa salope continuait à couiner sur place, à gémir, et Meryl, elle, imperturbable, la prenait encore. Même si Meryl avait très envie de jouir, la F-Girl pouvait très largement tenir la cadence. Elle avait reçu un entraînement surhumain en la matière, dont on en voyait les conséquences en ce moment. Elle continuait à besogner cette femme, et, au bout d’une dizaine de minutes, sentit sa prisonnière contracter son premier orgasme, se relâchant sur place.
« Et voilà… Maintenant, tu jouis comme une grosse pute, sale chienne… Mais ce n’est que le début, je vais défoncer ton corps de sale truie ! Tu entends ? JE VAIS TE DÉFONCER LARGE ! »
Autoritaire, cruelle, et volontiers injurieuse, Meryl souriait quand elle s’enfonçait lourdement en elle, déformant le ventre d’Aemiliane en tapant très fort contre son utérus, lui faisant parfois cracher sa salive. Meryl finit alors par la relever, et, sa queue toujours plantée en elle, alla plaquer Aemiliane contre le mur le plus proche, et continua à la fourrer hargneusement, le corps de l’ingénieure remuant contre elle, se frottant, tandis que le corps massif de Meryl l’écrasait, ses lourds seins se pressant contre le torse de la jeune femme.
« Ne sombre pas trop vite, sale pute… Toi et moi, nous ne faisons que commencer ! »
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Aemiliane peinait à croire qu’elle se donnait en pâture ainsi. Mais comment faire autrement ? Comment résister à une pareille queue ? Jamais elle n’avait ressenti autant de plaisir à se faire tringler par une hermaphrodite qu’à présent ... La seule pouvant égaler ce sentiment étant l’inimitable Miranda Forge. Mais, toujours était-il que la puissante femme au corps d’athlète était en train de la rendre folle à force de la bourriner ainsi. Son petit et menu corps remuait fermement à chaque coup de trique, ceux-ci rendant de plus en plus euphorique la jeune femme. Ses yeux finirent par se révulser alors qu’elle enroula pour de bon ses cuisses autour de sa bourrelle qui semblait ne pas en avoir fini avec elle.
Jusqu’où irait-elle, d’ailleurs ? En tout cas elle tenu le coup jusqu’à ce que Aemiliane, ne pouvant plus lutter, finit par jouir. Un terrible orgasme la frappa, la saisit de part en part, faisant courber son corps sous l’euphorie de la jouissance. « HMMMM ! » Rugit-elle de sa voix douce, rouge de honte pour avoir osé jouir ainsi entre les bras d’une méchante femme, mais aussi rouge de plaisir car cette même femme venait d’apporter à Aemiliane un plaisir fou. Faisant fi de ses insultes et injures, elle ne put cependant pas ignorer la douleur provoquée par le choc contre le mur. Le choc de son dos de faisant plaquer de force contre le mur, alors que son corps était en suspens en l’air, maintenu uniquement par l’inarrêtable femme.
Elle gémissait en continue, se mordant la lèvre et rougissant comme une tomate pendant qu’elle se faisait prendre en toute impunité. Aemiliane avait cru à une humiliation mais, cette queue était si ferme, si appétissante, si ... Jouissive, qu’elle ne parvenait à ne rien voir si ce n’était l’extase qu’elle lui procurait. Le fait que la femme soit musclée et autoritaire plongeait d’avantage l’intruse dans sa transe car cela correspondait à l’un de ses fantasmes. Preuve qu’elle sombrait et ne se rendait pas compte de sa situation, l’intrépide scientifique décida de venir capturer les lèvres de sa partenaire quand celle-ci plaqua sa poitrine contre la sienne.
Leurs visages étant proches, elle en profita pour venir poser tendrement ses lèvres contre les siennes, faisant abstraction de toutes les reproches qu’on pourrait lui faire ; à savoir que se donner ainsi à l’ennemi était une mauvaise chose, que succomber aux charmes d’une telle brute était humiliant, etc. Pour Aemi’ rien de tout cela ne comptait désormais ; elle désirait se faire prendre, encore et encore. Elle désirait jouir, désirait même pomper cette queue jusqu’à lui vider ses bourses ! Il ne faisait aucun doute, d’ailleurs, que ça serait la première chose qu’elle ferait une fois que la montagne de muscle déciderait de la reposer au sol. En attendant elle continuait de gémir voire hurler d’euphorie à force de se faire empaler ainsi.
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Aemiliane était... Inhabituellement résistante. Diable ! La jeune femme alla même jusqu’à embrasser Meryl, signe qu’elle n’était pas encore totalement inconsciente. Ce geste surprit Meryl, qui suspendit même pendant quelques secondes ses coups de reins, observant la femme. Ses mains gantées étaient posées sur les cuisses d’Aemiliane, soulevant ses jambes, les plaint, et permettant ainsi à Meryl d’avoir une meilleure assise sur son corps.
« Hm... Tu es étonnamment résistante, Salope. C’est vraiment à croire que tu as attendu ça toute ta vie... Peut-être que tu es venue ici juste pour ça ? Pour avoir l’honneur d’être déflorée par une F-Girl, hey ? Mais, tu sais, hmm... Tu n’avais qu’à sonner à notre porte ! Les salopes comme toi sont toujours les bienvenues pour que nous nous détendions. »
Il n’y aurait aucune pitié de la part de Meryl, aucune aide, aucune forme de sympathie ou de compréhension, rien d’autre que du sexe brut, dur, et pur. Elle recommença à la prendre contre le mur, s’écrasant contre elle, faisant défiler les minutes. La mouille d’Aemiliane s’égouttait doucement, le long de l’épais vit de Meryl, un bracquemart redoutable qui avait trouvé sa place dans le corps de la femme, s’y logeant bien au chaud. Meryl adorait sentir sa queue labourer un con, elle adorait se répandre ainsi, sentir sa partenaire sombrer peu à peu, le plaisir cédant place à une sorte de folie, d’état second et profond. Aemiliane était en train de divaguer, sa salope personnelle en transe. La chair claquait, le cuir crissait, et les coups de claquement résonnaient dans toute la pièce, s’accompagnant des soupirs de l’intruse, et des grognements rauques de Meryl. Son magnifique dos était en sueur, tout comme le reste de son corps musclé, ses muscles saillants ressortant au fur et à mesure qu’elle besognait sans relâche sa partenaire.
Le temps défilait donc, jusqu’à ce que Meryl ne grogne sur place. La F-Girl se pinça les lèvres, et ferma les yeux, avant de soupirer encore... Puis se relâcha alors. Ceci étant dit, l’orgasme d’une F-Girl était à la hauteur de leur énergie surnaturelle. La queue monstrueuse de Meryl tressauta sur place. À bien l’observer, on pouvait voir des veines remuant dessus, saillant le long de son vit difforme. Dans un grognement, Meryl se relâcha donc, expulsant une quantité phénoménale de foutre.
Sa queue tressauta sur place, et balança un épais jet crémeux, qui explosa dans le ventre d’Aemiliane, et fit considérablement grossir ce dernier, amenant la jeune femme à la limite de son endurance, en plein ahegao. Meryl s’était crispée en se relâchant, et jouit ainsi pendant une bonne minute, ayant à chaque fois des vagues de plaisir qui remontaient en elle, l’amenant à jouir encore davantage.
« Haaaa... »
Devant ce plaisir exquis, de légers râles s’échappaient de ses lèvres. Meryl s’enfonça ensuite lors de la dernière couche, puis se retira finalement. Aemiliane s’écroula alors au sol, un mélange de mouille et de sperme s’échappant de son sexe torturé, formant une épaisse flaque entre ses cuisses.
« Hmmm... Pfff... Haaaa... »
Meryl sourit ensuite, au bout de quelques secondes, et posa sa main sur les cheveux d’Aemiliane, tirant sa tête en arrière, lui présentant la vue de son sexe. Et son membre était toujours bien tendu, comme si Meryl était prête à attaquer encore. Et, d’ailleurs, un sourire malsain ornait les tendres lèvres de la F-Girl.
« Tu n’espérais quand même pas t’en sortir si facilement, Salope ? Renifle donc cette belle queue, elle est recouverte de ta mouille de petite pute... »
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Au fond, avait-elle réellement attendu ce moment toute sa vie ? Probablement pas mais, ce qui demeurait vrai était bel et bien que ça l’excitait. Elle avait entendu parler de la Fut-Room et du service très particulier de cet établissement mais, n’avait jamais franchi le pas de ses portes. Pourtant ce n’était pas l’envie qui lui manquait ; l’idée de se faire bien défoncer par de belles et puissantes femmes musculeuses, dotées de membres aussi gros qu’infatigables était très séduisante. Aemiliane avait des fantasmes particuliers et quand on la voyait, on ne se doutait pas forcément à première vue qu’elle était du genre à adorer se faire tringler de la sorte. Et pourtant ...
Et pourtant c’était ce qui était en train de se passer. La jeune femme continuait à se faire sauvagement prendre par une F-Girl qui semblait décidée à lui faire payer son intrusion. Mais visiblement le baiser qu’elle vint lui arracher la surprit. En quoi était-ce surprenant ? Aemiliane était en train de se laisser aller, de succomber à son fantasme en se disant qu’après coup, elle parviendrait sans doute à se sortir de cette situation. Peut-être qu’en acceptant de jouer avec cette femme, de lui servir de vide-couille, la pilule passerait mieux ? C’était à tenter, en tout cas. Ainsi donc Aemi’ continua de se faire prendre encore et encore, repoussée dans ses derniers retranchements alors qu’elle finit, inévitablement, par jouir à nouveau.
« HAAAN ! » Couina-t-elle de toutes ses forces, un nouvel orgasme la saisissant de partout, faisant vibrer son corps tout entier alors que le foutre de sa partenaire vint bourrer ses entrailles. Elle n’avait jamais vu une telle quantité de foutre en une seule fois ... C’était surréel ! Elle se faisait remplir, encore et encore, son ventre finissant par gonfler à vue d’œil. « Hmmm ... Haaaa ... » Gémit-elle finalement, tombant au sol quand sa puissante partenaire la laissa tomber. Un mélange de foutre et de mouille inondait son entrejambe, donnant à Aemiliane l’aspect d’une pauvre prostituée dont on aurait abusé. Mais ... Elle se sentait incroyablement bien. Se faire tringler ainsi, se faire baiser de la sorte ... C’était quelque chose dont elle avait eu envie depuis fort bien longtemps.
Puis une douleur s’empara d’elle au niveau de sa chevelure. Elle se la fit empoigner par la femme qui tira dessus pour lui faire pencher la tête en arrière, afin de mieux lui présenter son énorme mandrin, encore dressé même après ce déluge de foutre. « J-Je n’espérais rien ... Je ... Je ... » Dit-elle, hésitante. Ses yeux étaient braqués sur ce puissant sexe en érection, qui provoquait en elle un terrible voire un féroce appétit. Elle lorgnait dessus, la voix entrecoupée alors qu’elle finit par succomber à ses désirs. La jeune femme posa ses mains sur les fermes cuisses de sa bourrelle puis vint plaquer son visage contre ce gros bracquemart. Obéissant à la lettre, elle inspira un grand coup, reniflant l’odeur viril et enivrante se dégageant de cette trique, avant de commencer à la lécher avec appétit.
« Ahh c'est si bon ... Hmm j'aurai du ... J'aurai du venir plus souvent ... » Dit-elle. Il ne fallut guère longtemps pour voir Aemiliane lécher et embrasser ce bâton de chair de partout. La jeune femme semblait même y mettre du cœur ! Elle était comme possédée, comme une droguée pouvant enfin soulager son besoin en poudre blanche. La scientifique se régala en léchant ce sexe de toute part, en l’embrassant et en le frottant contre son petit visage. Mais il lui en fallait plus ... Bien plus. Aemi’ termina sur le bout rosé de cette tige aussi rigide qu’une barre de fer, puis se mit à l’enfourner lentement dans sa bouche. Rien que cette partie occupait presque la totalité de sa bouche mais, elle ne se découragea guère ! La jeune femme suçota et pompa sur la cerise de sa partenaire de fortune, enfournant cette partie dans sa chaude bouche, se préparant lentement à enfourner tout le reste ...
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Meryl fronça les sourcils devant le comportement... Très inattendu de sa salope. Agenouillée devant elle, la jeune femme reprenait ses esprits, et, alors que la F-Girl s’attendait logiquement à la voir fuir, à battre en brèche, la jeune femme... Alla s’attaquer à son sexe. Elle l’embrassa doucement, le lécha tendrement, n’arrivant pas elle-même à s’expliquer son comportement, ce qui ne manqua pas d’amener sur les lèvres de la redoutable Meryl un sourire vorace.
« Et bien, qui l’aurait cru ? C’est à se demander si tu n’es pas venue ici juste dans l’espoir de te faire joyeusement fourrer par moi, ma belle... »
La F-Girl sourit ensuite, moqueuse et provocatrice. Elle posa une main sur ses hanches, s’y appuyant, et, avec son autre main, alla caresser fermement les cheveux d’Aemiliane. Elle la laissait faire, la jeune fille expliquant, entre deux baisers, qu’elle aurait dû venir plus souvent, ce qui ne manqua pas de provoquer un rire moqueur. La puissante femme laissa donc sa Salope s’activer, jusqu’à ce qu’elle arrive au sommet de sa queue, et ne commence à la prendre en bouche.
Meryl était une femme très dominatrice, mais elle appréciait fortement la soumission volontaire. Ce viol sauvage avait visiblement beaucoup plu à la Tekhane, et, quand Aemiliane commença à avaler son sexe... Meryl posa brusquement sa main sur ses cheveux, s’y maintenant fermement. Un sourire malicieux orna alors ses lèvres, et elle maintint sa prise, empêchant ainsi Aemiliane de se retirer.
« Okay, trésor... Tu veux sentir ma grosse sucette, hein ? Mais il faut te préparer, trésor. »
L’une des gardes en latex amena une seringue violette, et se glissa dans le dos d’Aemiliane. Le bout de la queue de Meryl tapait déjà contre la gorge de la femme, mais il lui était impossible de se retirer, tant Meryl la bloquait sur place avec ses épaisses mains. C’était une véritable souffrance, et la seringue se déversa ensuite dans le cou de la jeune femme, libérant un liquide très spécial, qui allait lubrifier et anesthésier sa gorge. La jeune femme dut rapidement sentir le changement, quand la sensation de régurgitation se mit à diminuer. Souriant malicieusement, Meryl commença alors à forcer le passage.
La F-Girl avait une queue bien grosse, membrée et veineuse, assoiffée. Un membre épais et tendu, qui se glissa progressivement en elle, s’enfonçant ensuite dans sa gorge, forçant le passage. Souriant malicieusement, Meryl continuait à donner des coups de reins, enfonçant sa queue le plus profondément possible.
« Là, voilà, voilà... J’adore ça, hmmm... Vas-y, bave sur ma queue, trésor, et profite... Sens ma queue qui remonte dans ta trachée, puis qui descend en toi. »
Meryl arborait une voix très douce, un ton calme et plaisant qui tranchait avec la fureur physique dont elle faisait preuve en ce moment. Souriant encore, ses yeux brillaient d’une lueur malicieuse, tandis qu’elle continuait lentement à s’enfoncer en elle...
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Aemiliane ne savait pas vraiment pourquoi elle faisait cela. Elle avait juste une envie pressante de sexe rien qu’en voyant la taille de ce mandrin sous son nez. Qui avait dit après tout qu’elle était toute chaste et pure ? Au contraire, elle était de ce point de vue là une véritable Tekhane dans l’âme ; addict au sexe. Il y avait là face à elle une puissante F-Girl, avec un membre démesuré mais très appétissant, qu’elle léchait d’ores et déjà avec un certain entrain. Oui, elle commençait à apprécier le potentiel des F-Girl mais, cela n’excusait en rien les atrocités qui se tramaient par ici. Elle n’avait en rien oublié le but principal de sa mission ; faire éclater la vérité sur la Fut-Corp.
Mais pour cela il fallait des preuves. C’était ce qu’elle était venue chercher ici mais, les choses s’étaient rapidement gâtés pour elle. Voilà qu’elle était retenue avec une belle F-Girl qui lui offrait gracieusement sa queue ; pour une petite perverse comme Aemi’, c’était une distraction trop grande pour être ignorée. Ainsi donc elle léchait et embrassait avec appétit ce membre et enfouissait son petit visage contre. Cependant il semblait que la F-Girl avait un autre plan en tête. Contre toute attente elle commença à enfourner son énorme membre dans la bouche de la jeune femme malgré l’étroitesse de celle-ci. Aemiliane couina de douleur et tenta de se libérer, mais ne sentit que la ferme poigne de la femme à la place, maintenant sa tête en place de force.
Puis Aemiliane vit la garde se rapprocher avec une étrange seringue au liquide violet. Elle se tortilla sur place, ne désirant pas se faire piquer et injecter un produit dont elle ne connaissait pas les effets mais, ne put faire grand-chose pour empêcher cela. Elle se fit piquer à la gorge et couina encore, jusqu’à ce que rapidement elle sentit la douleur s’estomper. Aemiliane comprit alors qu’elle venait de se faire, en quelques sortes, anesthésier la gorge ... Pour faciliter le passage de ce monstre de sexe. D’ailleurs elle écarquilla fortement ses yeux quand la puissante F-Girl se mit à s’enfoncer en elle. « HMMM ! » Rugit-elle non pas de douleur mais d’un mélange de gêne ... Et de plaisir. Sa gorge gonfla beaucoup, se déforma bien à vue d’œil mais grâce à la précédente piqure, aucune douleur n’était ressentie.
L’intruse se voyait ainsi se faire violer la gorge par ce mandrin disproportionné, qui rentra complètement en elle jusqu’au point où elle ne put que baver sur cette queue. Elle perfora sa gorge, pourfendit ses entrailles pour se glisser bien profondément, faisant manquer d’air à Aemiliane. L’oxygène lui manqua et lui rendit les pensées confuses, la tête légère, lui faisant révulser ses yeux alors qu’elle perdait doucement pied avec la réalité. Mais elle ressentait aussi tout le goût de cette trique, de ce gros morceau de chair qu’elle était en train de pomper ; car effectivement, la scientifique commençait à bouger d’elle-même sa tête pour venir sucer la F-Girl. Etait-ce là une preuve supplémentaire de sa perversité ? Bien évidemment.
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Meryl n’était pas n’importe qui. Clairement pas. La F-Girl avait senti les vagues formes de protestations de l’intruse, mais, pour la jeune femme, il était trop tard. Depuis qu’elle avait choisi de s’infiltrer illégalement dans la Fut-Factory, Aemiliane était tombée entre leurs mains. Et Meryl était tout simplement trop en manque pour passer à côté de l’occasion. Elle imposa donc à la femme une gorge profonde... Voire, vu la profondeur de pénétration, une poitrine profonde. La queue de Meryl se bloqua un peu à hauteur de la gorge de la femme, puis s’enfonça encore, déformant le cou d’Aemiliane, qui écarquilla les yeux, ses cris coupés par ce membre massif, qui s’enfonça ensuite dans sa tranchée.
« Aaaaahhh... Oui, voilà... »
Les gardes entourant Meryl tremblaient d’excitation devant cette scène, en voyant la gorge d’Aemiliane se déformer sous les coups de reins de Meryl. De fait, vu la profondeur de la fellation, Meryl ne remuait plus beaucoup. Elle se reculait, faisant relever la queue sur quelques centimètres, puis s’enfonçait encore, faisant couiner Aemiliane, croissant ainsi en elle, s’enfonçant de plus en plus loin. Sa queue massive déformait aussi les lèvres de la jeune femme, qui avait la tête relevée, facilitant ainsi le passage, ses yeux écarquillés croisant ceux de Meryl, qui conservait sur ses lèvres un sourire malicieux et pervers.
Meryl serra encore ses doigts sur les mèches de cheveux de l’intruse.
« Dieu, que j’aime ça ! Tu commences à manquer d’air, hein, petite salope ? »
Elle sentait le vertige dans les yeux de la femme. Elle couinait encore, gémissant à nouveau, papillonnant des yeux. L’air lui manquait, même si elle respirait par le nez. La privation d’oxygène était aussi lieu à ce « plaisir » surhumain. Et, pour ne rien arranger, l’une des gardes alla se lover dans le dos d’Aemiliane, et glissa sa main entre ses cuisses, ses doigts nacrés de latex noir filant contre sa chatte. Elle sourit sous son masque en sentant la mouille de la jeune femme, et la masturba alors plus tendrement, faisant encore rougir Aemiliane.
D’autres gardes la forçaient à maintenir ses mains sur le cul musclé et charpenté de Meryl, n’hésitant pas à déplacer les mains d’Aemiliane quand elle les retirait. Et, pour parfaire le tableau, une autre garde avec un gode se rapprocha. Elle portait une belle culotte noire par-dessus sa combinaison, et approcha son gode du fessier musclé de Meryl.
« Maîtresse...
- Là, ouais, ouais, vas-y ! »
La garde se blottit contre le corps puissant de Meryl, posant ses mains sur ses hanches, et s’enfonça dans son fondement. Meryl soupira alors, et sa queue tressauta sur place à ce contact. Pour Aemiliane, la situation continuait à durer, mais son esprit se refusait à tomber dans les pommes, lui faisant ainsi ressentir chaque seconde de cette fellation brutale. De plus, la sodomie infligée par la garde se ressentit aussi sur le corps de Meryl, qui put ainsi se mouvoir plus facilement, déformant régulièrement la gorge de la belle Tekhane.
« T’es si bonne, ma salope... Profite bien, découvre... Hmmm... Les prémices de... De ta nouvelle existence... ! »
-
Le manque d’air créait chez Aemiliane un frein supplémentaire, une barrière de plus l’empêchant de se libérer de cette situation. Plus elle se laissait faire, plus elle se faisait piéger et entrainer dans une spirale de sexe et de douleur paradoxale, mais furieusement addictive. En d’autres termes elle parvenait de moins en moins à laisser sa raison dicter sa conduite au profit de sa grande perversité, de son goût pour le sexe et les femmes musclées comme celle qui était en train de détruire sa gorge. Le manque d’oxygène lui rendait les pensées légères, presque superficielles ; comme si elle venait à peine de se réveiller et qu’elle n’avait pas toute sa tête.
Mais elle n’était pas dans les mêmes conditions. Ici, il y avait un danger ! Un grand danger, même. Aemiliane continuait de se faire prendre la gorge par cette queue gargantuesque, ressentant le plaisir sans la douleur incommensurable du passage d’un tel membre dans sa gorge grâce à la piqure. Autrement dit, elle savourait réellement ce qui était en train de lui être fait. Sucer une telle trique était très addictif et plaisant pour elle, au point où elle se voyait de moins en moins repartir d’ici sans avoir jouit. Néanmoins elle se ravisa vite de cette pensée qui l’effraya ... Elle devait fuir plutôt que rester ici. C’était pure folie de vouloir coucher délibérément avec cette femme ! Qui savait ce qu’elle allait lui faire ?
Pourtant se défaire de l’emprise était dur. Horriblement dur. Aemiliane subissait les coups de trique et elle perdait peu à peu pied avec la réalité sans jamais pour autant sombrer totalement. Elle était maintenue dans un état à mi-chemin entre l’euphorie et la raison. Entre l’inconscience et la conscience. Cependant elle était encore loin de voir et ressentir toute l’attirance qu’elle éprouvait envers sa bourrelle. Elle écarquilla ses yeux en sentant une garde venir dans son propre dos pour ensuite commencer à la caresser doucement, faufilant sa main entre ses cuisses pour venir s’occuper de sa féminité qui était un véritable feu de forêt incandescent. « HM ! Hmmmm ... ! » Gémissait la jeune femme, la bouche pleine, ne pouvant que pousser des cris et couinements.
Son corps était bouillonnant, chaud et en sueur. Elle vibrait de plaisir et d’extase maintenant que quelqu’un était en train de s’attaquer à sa zone si sensible et intime. Elle serra ses cuisses pendant les premières secondes, luttant vainement contre son corps qui finit par se relâcher et permettre à la garde de la satisfaire. Mais ce qu’elle vit ensuite ... Ce qu’elle vit la fit complètement fondre. Alors qu’elle peinait à penser de manière rationnelle et censée, se perdant dans ses fantasmes et ses vices, elle observa avec intérêt l’autre garde qui s’approcha de la puissante femme, gode entre les cuisses. Quand elle se mit à pénétrer sa maitresse, à lui marteler le fondement, la scène fit terriblement, extrêmement plaisir à Aemiliane.
Une si puissante femme, à la forte carrure et au fessier si ferme et si musclé, se faisait enculer par une de ses subordonnées. Aemi’ tentait de lâcher son emprise obsessive sur le fessier de la femme mais à chaque fois, elle se les faisait remettre en place de force, jusqu’à ce qu’elle n’ait plus envie elle-même de quitter cet endroit. Elle s’acharna alors dessus, à le masser, à le malaxer et tâter sa fermeté tandis qu’elle sentait les coups de trique dessus, provenant de la garde. Voir cette dame se faire prendre par derrière déclencha un déclic en elle, une sorte de vice caché qui se révéla dès lors. Elle ne savait pourquoi mais, l’idée même de sodomiser cette femme, de sentir une queue rentrer dans un cul si ferme et si solide la mettait dans un profond état d’excitation. Un fantasme, peut-être ? Perdue dans ses pensées floues et confuses, corrompue par ses fétiches, sa perversité et son manque d’air, Aemi’ commença alors à s’imaginer à la place de la garde.
En train de sodomiser cette femme, en train de claquer sa croupe et malaxer ses seins. Mais aussi, elle s’imaginait se faire réduire en petite pute de service, se faire violée et traitée comme une petite chienne par cette même femme, se voyant la servir et la vénérer pour toujours, à vouloir coucher encore et encore avec elle dès que la moindre occasion se présenterait à elle. Ça serait si facile de réaliser tout ceci ... Si facile. Il lui suffisait de tout abandonner, y compris elle-même. Mais, elle ne pourrait cependant jamais réaliser la première partie de ce fantasme étrange qui était de pouvoir sodomiser cette femme. Ce rappel à la réalité la frappa d’un seul coup et elle retrouva un peu ses esprits, arrêtant immédiatement de penser à tout cela. Elle se crispa mais, son corps la trahit ... Se faire détruire la gorge et même plus profond, tout en se faisant masturber de force finit par venir à bout de sa résistance.
« HMM – HMMMMMMMMMMM !!! » Couina-t-elle puissamment contre la trique de sa violeuse, alors qu’elle se tordit en avant, se bombant et plaquant ses cuisses l’une contre l’autre. L’orgasme la frappe de part en part et elle enferma la main de la garde contre sa féminité pour jouir dessus, pour sentir encore ces fins doigts de latex en elle, pour prolonger le plus que possible son fougueux orgasme qui la fit baver au coin des lèvres ... Et qui la fit définitivement avoir honte.
-
« Elle mouille encore plus fort, Maîtresse...
- Ah oui, hmmm... ?
- Depuis que Deborah vous sodomise, je le sens le long de mes doigts... Cette fille est une vraie catin. »
Meryl sourit, avant de se pincer ses lèvres. Elle avait mis sur elles un joli gloss violet, légèrement brillant, et était maintenant nu,e à l’exception de ses gants et de ses collants. Une redoutable beauté musclée (https://img.rule34.xxx//images/2100/76a7fe0a2b6705d4f86446c28ebc1dd0.png), femme au corps athlétique et puissant, qui enfonçait sa monstrueuse verge dans la bouche de la jeune femme. L’intruse était une poupée de chair entre ses mains, et tout crissait et couinait. Comme Aemiliane pouvait le constater, Meryl n’était nullement contre le fait de se faire sodomiser. Pour devenir une F-Girl, elle avait suivi un traitement intensif, particulièrement lourd, aussi bien génétique que sexuel. Et, même si Meryl passait plutôt son temps à baiser ses amantes et ses amants, elle laissait aussi ces dernières la pénétrer. Et le vibromasseur de Deborah était au demeurant bien moins épais que les vits de ses partenaires.
Devenant peu à peu folle, Aemiliane perdait pied avec la raison. L’excitation, cette situation surréaliste, le manque d’oxygène dans sa bouche... Tout cet ensemble faisait que la jeune femme était peu à peu en train de perdre pied avec la réalité. Sa vision devenait plus lourde, ses glapissements étouffés dans sa gorge. Sa salive coulait de son menton, tandis que les minutes défilaient. La femme triturant ses lèvres intimes le faisait avec un talent redoutable, et pinça le clitoris de la jeune brunette au mieux. Aemi’ gémit à nouveau, aspergeant de mouille les doigts nacrés de latex, et se tortilla alors, l’orgasme venant la traverser. Elle gémit plus fortement, et les mains de Meryl se crispèrent en conséquence sur sa tête, s’enfonçant dans son cuir chevelu, son regard devenant encore plus vicieux, plus viscéral, tandis qu’Aemiliane, dans de longs soupirs, se relâchait avec bonheur.
« Ton premier orgasme, je suppose, ma salope ? Hmmm... Mais ma bite est si bien dans ta bouche... Hmmm... Haaaa...
- Hmmm... Hmmmm... !! »
Deborah se pinçait fortement les lèvres. Elle bandait les muscles pour offrir à sa Maîtresse une bonne sodomie, et se surpassait en la matière. Les gardes de la Fut-Corp étaient considérées, aux yeux des F-Girls, comme leurs esclaves. C’était dire le rôle prépondérant, au sein de la société, de ces femmes améliorées. Elles n’étaient pas les instances dirigeantes de la Fut-Corp, mais étaient un poil en-dessous, commandant aux restes. Les gardes leur servaient autant de protectrices que d’amantes récurrentes, comme la belle Deborah. La belle esclave se forçait pour offrir à sa Maîtresse un spectacle digne de ce nom.
Pendant ce temps, une autre garde se rapprochait, tenant une tablette informatique entre les mains.
« Elle travaille pour GeoWeapon Corp., Maîtresse... Aemiliane Ganis. Une simple ingénieure.
- Ah oui ? Vraiment, hmmm... ? Moi qui aurais cru... À une espèce d’idéaliste, hnnnn... Ta chef ne te baise pas assez ? Ce n’est pourtant pas le genre de Miss Forge... »
Meryl continuait à baiser la bouche d’Aemiliane, accélérant progressivement le rythme, imposant petit à petit une cadence soutenue, un rythme infernal.
« Elle entretient un blog... Enfin, un site Internet voué à Spider-Woman...
- Hooo...
- Elle s’est sans doute prise pour une héroïne en voulant venir ici...
- Ou elle avait envie de devenir ma salope... Ah putain ! »
Meryl jurait en sentant sa queue devenir de plus en plus douloureuse. Elle la comprimait vers le bas, et son membre ne cessait de vouloir se redresser. Meryl gémit encore, surtout quand Deborah pinça et tira sur ses puissants tétons. Meryl cessa alors de parler, et continua à besogner sa proie pendant encore une bonne minute... Avant que sa queue ne tressaute. Un frisson la traversa, Meryl se pinça les lèvres, et poussa un long gémissement... En jouissant généreusement.
Sa queue libéra une profusion de sperme, un foutre chaud qui éclata dans la gorge de la jeune femme. Aemiliane se reçut tout cela de plein fouet, le sperme éclatant dans sa gorge, filant directement dans son estomac. Mais l’orgasme de Meryl était à la hauteur de sa nature, et il fut long et intense, d’épaisses quantités de foutre venant éclater dans la bouche d’Aemiliane. Meryl retira enfin son sexe, jouissant en finissant sur le visage d’Aemiliane, recouvrant sa tête de jets de sperme, Meryl se masturbant frénétiquement pour balancer d’ultimes jets.
« Lààà, voilà... Tu es marquée à ma vie, ma salope... J’ignore ce que tu es venue foutre ici, et je m’en tamponne. Ton petit cul m’est passé sous le nez, et je compte bien continuer à te baiser encore très longuement... »
Autant dire que tout cela n’était qu’un début !
-
Les choses se gâtaient davantage quand l’identité de l’intruse fut révélée. Rien qu’avec un visage, ces harpies venaient de la retrouver et avait visiblement tout un dossier à son égard. Elles avaient trouvé qu’Aemiliane était une employée de GWC, une scientifique mais aussi, qu’elle entretenait un blog dédié à la figure controversée de Spider-Woman ! Comment avaient-elles fait ? Son site était tout petit et n’avait que peu de trafic, comparé aux résultats qu’on trouvait rien qu’en tapant Spider et Woman dans la barre de recherche. Tout cela craignait pour Aemiliane car sa véritable identité était révélée. Ces femmes savaient donc qui elle était ... Ce qui n’allait pas être sans conséquences.
Mais pour l’intéressée, ce n’était nullement le temps de réagir ou se plaindre. En lieu et place elle continuait à suffoquer contre la juteuse et si appétissante queue de la F-Girl, qui inlassablement, sans jamais se fatiguer, continuait de lui bourrer la gorge à grand coups de burin. Comme si cela n’était pas suffisant, voilà qu’elle fondait comme neige au soleil face au doigtée de cette femme collée dans son dos, la masturbant frénétiquement de ses doigts de latex. A force, Aemiliane avait jouit ; elle venait de s’humilier elle-même en succombant à un bel orgasme ! En d’autres termes, elle montrait qu’elle appréciait se faire traiter comme une petite chienne ... Ce qui n’était évidemment pas acceptable.
Cependant elle restait une petite vicieuse. Elle avait ses faibles et ses penchants. Malheureusement – ou heureusement – pour elle, la femme se tenant debout et détruisant sa gorge était la personnification d’un fantasme de longue date, sur les hermaphrodites grandes, fortes et dominantes. Cette femme avait tout pour exciter Aemiliane et la plonger dans un état d’euphorie sexuelle ! C’était d’ailleurs pleinement le cas. La scientifique succombait avec appétit à son immense trique qu’elle suçait et pompait même si elle se faisait pilonner la gorge de force. Elle voulait cette queue, elle la désirait, elle mourrait d’envie de la pomper encore et encore jusqu’à vider ses deux savoureuses sacoches.
D’ailleurs, cela ne tarda guère à arriver. Tout du moins en partie. En effet, la puissante femme finit par ne plus retenir son orgasme et se libéra d’elle-même, enfonçant fermement la tête d’Aemiliane contre elle, pourfendant sa gorge en enfonçant entièrement son membre dedans. Puis quand la scientifique sentit son corps vibrer, sentit sa maitresse du moment chauffer et râler d’un soupir viril, elle sut ce qui allait arriver. Et elle l’accepta à bras ouverts malgré tout le contexte, malgré tout ce qui venait de se passer ... Elle ferma ses yeux et commença à aspirer, de toutes ses forces, buvant encore et encore ce précieux foutre chargé d’hormones. Mais il y en avait trop ! Beaucoup trop. La pauvre se retrouva vite submergée et toussa alors que finalement la femme retira sa queue et termina son affaire directement sur son visage. Entrouvrant ses lèvres d’un geste presque mécanique, sans même réfléchir, Aemi’ se retrouva le faciès couvert de cette épaisse et délicieuse crème blanche très rapidement.
Elle ne put que tousser et surtout reprendre son souffle. Une véritable bouffée d’air frais, qui lui rendit ainsi sa raison. Ce ne fut qu’à ce moment-là qu’elle se rendit réellement compte des dégâts ... Elle était nue, elle venait de se faire violer la gorge par une brute épaisse qui lui avait éjaculé à la figure sans aucune forme de respect ni retenue. Pour couronner le tout ... Elle semblait avoir aimé ça ! Haletante, le regard plus troublé que jamais, Aemiliane se redressa comme elle le put tout en s’essuyant le visage. « Si ... Si tu comptes vraiment me retenir ici et croire un seul instant que tu peux faire de moi ta petite salope ... » Dit-elle tout en ayant le regard curieusement braqué sur la magnifique musculature de la femme. Ses petites mains se levèrent et partirent caresser ce si beau et solide corps, passant ses doigts sur le relief ferme de ses abdominaux puis ses bras, en se mordant la lèvre. « Alors autant que j’en tire plaisir au lieu d’en souffrir ... J’ai ... J’ai toujours rêvé de me faire sauter par quelqu’un comme toi ! Et puis qui sait, peut-être tu me laisseras partir si je suis assez gentille ... » Dit-elle d’un ton incroyablement franc, une lueur de malice dans son regard. Aemiliane se hissa subitement sur la pointe de ses petits pieds puis partit tendrement et langoureusement embrasser la femme, capturant ses délicieuses lèvres contre les siennes, l’emportant de force dans un sulfureux baiser.
Puis elle se dégagea, tournant le dos à la femme tout en prenant appui contre la table sur laquelle elle fut prise il y a quelques temps à peine. Ensuite elle bomba son fessier rond et charnu, offrant une vue imprenable à celle qui avait toutes les commandes à cet instant-là. « Montre-moi ce qu’une F-Girl a vraiment dans le ventre ! » Dit-elle alors en penchant sa tête sur le côté, invitant directement la femme à venir lui détruire sa petite rondelle toute rose. Cependant, cela ne l'empêchait de penser qu'elle ne devrait pas succomber autant à ses pulsions, car elle savait au fond qu'elle risquait d'y perdre plus que d'y gagner ... Ou plutôt, elle savait qu'elle devait briser un tabou si elle désirait vraiment, sincèrement, éprouver du plaisir à faire tout ceci. Mais était-elle prête à se l'avouer ?
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Meryl venait de violemment et savamment marquer cette jeune intruse. Sans égaler le système de recherche de GWC avec leurs EVA, la Fut-Corp disposait aussi de ses propres algorithmes et outils de reconnaissance faciale. Pour confondre Aemiliane, son visage avait été photographié par des caméras numériques, et l’image mise sur un logiciel de reconnaissance numérique, qui avait comparé les détails de son visage avec bon nombre de photographies. Elles avaient ainsi accédé au registre du personnel de GWC, et, à partir de là, les algorithmes avaient continué à étendre leurs recherches, ce qui avait permis d’obtenir un lien vers le blog d’Aemiliane, ses pages sur les réseaux sociaux, ce genre de choses. À Tekhos, tout était connecté, tout se savait, et, du peu qu’Aemi’ avait vu de la Fut-Factory, elle comprenait maintenant que la Fut-Corp n’était pas juste une entreprise sexuelle fournissant des amantes au corps disproportionné. Elle disposait ainsi de ses entrées au sein de GWC, et Aemiliane était désormais à un tournant de son existence. En prenant conscience, elle hésita un peu, puis les pulsions furent trop fortes. Était-ce lié au sperme de Meryl ? Ce sperme pouvait après tout être doté de propriétés magiques... Mais peut-être était-ce aussi lié à cette femme ? Les F-Girls savaient combien Tekhos était une société perverse, ultra-sexualisée, et, en voulant mettre fin au sexe masculin, les autorités tekhanes n’avaient fait que désorganiser cet équilibre hormonal. Les F-Girls représentaient, à leur manière, un substitut de virilité et de masculinité dont, en leur for intérieur, les femmes étaient toujours attirées. C’est ce qui expliquait le succès phénoménal de la Fut-Room, et qui permettait surtout aux F-Girls d’avoir quantité de contacts, car elles n’hésitaient pas à baiser longuement leurs clientes, au point de leur faire perdre l’esprit, et d’en faire des esclaves dociles.
Il n’appartiendrait pas à Meryl de savoir quoi faire d’Aemiliane. La politique de la direction était de ne pas avoir trop d’espions au sein d’une même compagnie pour limiter les fuites. Et l’ingénieure était conquise. Elle palpa le corps musculeux de Meryl, qui la laissa faire, puis, se hissant sur la pointe des pieds, l’ingénieure alla l’embrasser. La queue trempée de Meryl se frottait contre le ventre d’Aemi’, et Meryl posa ses solides mains sur les fesses d’Aemiliane, serrant son cul, malaxant son postérieur.
« Hmmm... »
Elle sourit ensuite quand Aemiliane s’appuya contre la table, lui présentant ses fesses.
« Je crois que tu es juste une salope, ma pute... Mais je ne refuse jamais de détruire un joli cul comme le tien... Mesdames, préparez-là ! »
Les gardes-esclaves de Meryl se déplacèrent alors. Un collier noir lui fit mis autour du cou, véritable collier de chienne, avec une puce de géolocalisation, une fermeture étanche, et des diodes électriques à l’intérieur permettant de pacifier une esclave en cas de rébellion. Mais, Tekhos oblige, elle reçut également des collants et des gants noirs en latex, longs et moulants. Impossible pour elle de protester, car, à chaque fois, le collier diffusait un courant électrique. Les gardes-esclaves lui mirent donc de longs gants brillants et des collants, pendant que deux autres gardes, agenouillés devant Meryl, masturbaient et embrassaient son pieu.
Ne voulant pas encore tuer Aemiliane, Meryl ordonna également qu’on ingère en elle une solution spéciale, conçue dans les locaux de la Fut-Factory, et on lui planta dans le corps une seringue abritant un liquide rose, le même qu’on utilisait sur les clientes de la Fut-Room. Avec ce sérum, le corps d’Aemiliane devrait apte à n’importe quelle pénétration. La douleur serait là, mais le sérum développait aussi le plaisir, afin d’éviter que le sujet ne tombe dans le coma, ou ne décède d’une hémorragie interne.
Le temps que tout cela se fasse, Meryl était désormais prête. On avait également attaché au collier une laisse. Meryl l’attrapa, et tira brusquement dessus. Le collier se serra alors, étouffant Aemiliane, tandis que la femme se rapprocha. Aemi’ put ainsi sentir contre ses fesses la queue massive de sa tortionnaire.
« Tu ne résistes même pas, tu es en transe... J’ai déjà baisé des salopes, mais toi, ma pute, tu es vraiment hors concours... »
Meryl déplaça sa main sur les hanches d’Aemiliane, et pinça son sein, tirant sur le téton. Ses seins étaient bien gonflés, les tétons assoiffés, et, avec son autre main, elle guida sa queue vers le fondement de la femme.
« Je vais te ravager le corps, ma salope... Quand j’en aurai fini avec toi, quand je t’aurai détruit, tu ne te souviendras même plus de ton nom, et tu ne pourras plus te passer de ma queue. C’est comme ça, vous êtes toutes comme ça, vous les Tekhanes... Regarde autour de toi, si tu ne me crois pas. Toutes ces gardes sont autant de mes proies, des femmes que j’ai brisé comme toi, avec la seule force de ma queue et de mon endurance. »
Était-ce là le sort qui attendait Aemiliane ? Devenir une poupée sexuelle comme toutes ces autres femmes ? Meryl n’en savait encore rien, mais elle ne lui mentait pas. Toutes ces gardes avaient été transformées en esclaves sexuelles par le talent insatiable des F-Girls... Talent dont Aemiliane allait pouvoir encore prendre conscience, car Meryl enfonça sa queue dans son cul...
...Et vinrent le concert jouissif et exquis des hurlements, le corps massif de Maryl s’écrasant dans le dos de sa jeune proie...
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Quelle pouvait bien être la raison qui faisait qu’Aemiliane était aussi coopérative ? Après tout elle était venue ici, au départ, pour dénoncer la Fut-Corp. Pour trouver des preuves de leurs infamies, de leurs expériences atroces. Elle avait même commencé à trouver lesdites preuves rien qu’avec cet espèce de monstre difforme qu’elle avait libéré de sa cage en pensant à un sujet d’expérience. Rien que ça formait une preuve ! D’ailleurs elle ne savait toujours pas de quoi il s’agissait et, vu la situation, il était probable qu’elle ne le sache jamais. Qui savait ce qui se cachait encore aux tréfonds de ce bâtiment ? La jeune femme était venu pour cela mais, force était de constater qu’au final elle avait trouvé mieux à faire.
Car voici qu’à présent elle s’offrait d’elle-même à la grande dame au corps musclé. Présentant son délicieux fessier, elle attendait avec impatience de sentir la puissante queue de la femme se coller contre son anus et venir faire mal. Très mal. Cependant ce n’était pas exactement cela qui arriva ; du moins pas de suite. D’abord elle vit les gardes s’approcher et venir la tenir de force, la maintenant en place contre son gré. « Non ! » S’exclama-t-elle, restant tout de même raisonnable même si elle semblait quémander encore et encore du sexe. Elle avait refusé d’emblée ce collier mais, les gardes avaient une poigne bien trop forte. Elle fut forcée de rester en place, le corps plié pendant qu’un collier lui fut attaché au cou.
« Lâchez moi ! » S’exclama-t-elle en vain, se tortillant sur place même si cela ne semblait pas faire broncher les femmes. Ainsi donc elle se retrouva avec un collier électrique au cou qui certes avait l’allure d’un collier en latex pour esclave, mais qui assurait à Meryl un contrôle sur Aemiliane. Elle grinça des dents et grogna mais, que pouvait-elle faire ? Elle n’avait pas la super force de son idole ! C’était peut-être ça au fond qui lui avait couté si cher ... Le fait d’avoir voulu faire comme elle, être une héroïne le temps d’un soir. En tout cas, sa préparation ne s’arrêta guère au collier puisque juste après, on lui arracha de force le reste de ses vêtements. Le froid s’empara de son corps exposé contre sa volonté mais ne dura longtemps car aussitôt, on le couvrit avec d’autres habits.
Aemiliane sentit qu’on lui glissa de longs et sexy collants de latex, brillants et moulants. Puis on lui enfila des longs gants de la même matière. Serrant sa peau et son corps, elle se sentait autant excitée qu’exposée et donc gênée. Mais ... Elle était incroyablement sexy avec ça ! Le rouge s’empara de ses petites joues et elle gémit, malgré elle. Aemiliane hoqueta quand la seringue piqua sa peau et déversa encore un liquide inconnu dans son système ... Qui sait quels étaient les effets ? Finalement elle fut prête pour sa bourrelle qui s’approcha dans son dos, finissant poser ses mains ses hanches. La caresse des mains fortes et puissantes de Meryl la fit frissonner de toute part, surtout quand elles dérivèrent vers sa belle poitrine, la faisant haleter. Cependant avec le précédent discours, elle se rendit compte que toutes les gardes étaient, en réalité, des victimes. Des femmes qui avaient croisé la route de Fut-Corp, puis transformée en putes à leur service.
C’était terrifiant. Aemiliane ne voulait pas terminer comme ça ... Mais sa part sombre, sa part perverse et mauvaise lui soufflait, sournoisement, qu’un tel traitement serait tant fantastique, tant agréable ; qu’être une pute, une salope de service dévouée à Meryl et à sa trique serait une vie tellement plus satisfaisante et agréable ! Elle chassa vite fait ces pensées sombres au moment où justement, Meryl plaqua sa lourde trique contre sa rondelle et commença à forcer le passage. Une douleur insoutenable s’empara de l’ingénieure qui se mit à hurler, à serrer des dents, même si rapidement une autre sensation s’ajouta ; un plaisir intense, brut, féroce ! Un frisson fort, saisissant, qui la prit aux tripes et qui lui fit révulser ses yeux tellement c’était bon ! Un concert quasi-orgasmique qui changea Aemi’ en une simple petite poupée entre les mains de son amante qui se défoula contre son cul. Douleur et extase se mélangèrent, mettant un foutoir insoutenable dans l’esprit de la jeune femme qui au final, hurla qu’on vienne l’enculer encore et encore ... Ses ongles griffèrent la table, sa bouche s’entrouvrit et ses yeux se révulsèrent alors qu’elle était à moitié étouffée par le collier autour de son cou, renforçant cette sensation d’euphorie par un léger manque d’oxygène.
Se sentir sexy et putassière dans son accoutrement de latex était au départ une humiliation, mais plus Meryl lui mettait cher, plus elle la détruisait de l’intérieur ... Et plus Aemiliane semblait adorer n’être qu’une petite poupée de sexe, vêtue en tant que tel !
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Pas d’échappatoires pour Aemiliane, plus de sortie de secours ! Mais qu’à cela ne tienne, Meryl n’allait pas, pour autant, se montrer inutilement cruelle. Elle comprenait après tout la délicate position d’Aemiliane, et allait surtout la baiser violemment. Attirée par tout ce côté brillant, par les formes langoureuses de sa délicieuse proie, Meryl s’abattit sur elle avec toute la force dont une F-Girl était capable. Son membre s’enfonça durement dans le fondement d’Aemiliane, et, même avec la drogue, la jeune femme le sentit passer. De fait, sans cette drogue, Aemiliane risquait, au mieux, le coma nerveux, et, au pire, d’en décéder. Mine de rien, l’anus était une zone sensible, plus fragile qu’on ne le pensait, et les F-Girls ne désiraient nullement tuer leurs partenaires. Meryl avait donc, par mesure de précaution, utilisé cette solution euphorisante, et elle avait bien fait !
Planant sur place, Aemi’ en oublia même l’idée de hurler au début, tant le choc fut impressionnant. Elle entendit ensuite le latex crisser contre la table, Aemiliane s’y crispant nerveusement, tandis que son corps partait vers l’avant, poussé en avant par la queue massive et monstrueuse de Meryl. Celle-ci se recula ensuite, traînant le corps de la femme avec elle, puis repartit en avant, faisant rebondir la table, dont les pieds se soulevèrent.
« Hmmmm... Là, voilà, ma petite pute... ! »
Lentement, Meryl enfonçait son épais dard en elle, une matraque monstrueuse et veineuse, bracquemart disproportionné pour le petit cul d’Aemi’. Ses parois anales se déformaient lourdement, et, là encore, sans la précieuse solution, qui aidait à dilater les parois anales de sa proie, Aemiliane aurait très certainement fait une hémorragie interne. Fort heureusement, la Fut-Corp avait pensé à tout ! Aemi’ était leur innocente proie, bien incapable de résister contre une telle femme. Meryl l’avait retourné, et, face à elle, Aemiliane était comme un deux face à un flush royal.
Meryl continuait donc à la prendre, se délectant des couinements de la femme, de ses hurlements de protestation, de ses longs gémissements. Son corps en venait à tressauter nerveusement sur place, tandis que, inlassablement, la puissante Meryl multipliait les coups de reins. Elle grognait sur place, serrant les dents, et ses mains se serrèrent aussi sur les hanches d’Aemi’... Puis elle remonta sa main, et empoigna d’une main ferme les cheveux d’Aemiliane, la redressant brutalement.
Aemiliane se retrouva ainsi contre le corps de Meryl, ses cheveux la tirant douloureusement en arrière, tandis que le membre monstrueux de Meryl pulsait doucement en elle.
« C’est l’enfer, hein, salope ? Est-ce que ta Miranda te baisait comme ça dans son bureau ? Et pourtant, tu adores ça, petite pute... Tu prends ton pied, hein, sale traînée ?! »
Difficile de nier, même si Aemiliane n’était pas en état de parler... Mais il suffisait aux esclaves de Meryl de regarder le visage d’Aemiliane pour avoir une réponse claire aux interrogations de leur Maîtresse.
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Meryl était une femme si forte, si dominante ... Il était de plus en plus dur pour Aemiliane de lutter contre elle ! Ne serait-ce que par l’euphorie sauvage et décomplexée que lui procurait son sexe démesuré. Plaquée contre une table, l’ingénieure était traitée comme une putain, à être sodomisée sèchement par une femme à l’appétit sexuel insatiable. Mais le pire était qu’elle adorait ça ! Au fond, Aemi’ adorait sentir cette queue remonter son anus et venir écarteler ses chairs. Elle adorait se faire traiter de la sorte surtout par une femme à grande carrure comme Meryl. Tout était réuni pour rendre folle cette petite perverse qui avait fini par trouver plus forte et rusée qu’elle-même.
La table tremblait et grinçait à chaque coup de rein de la F-Girl. Celle-ci mettait très cher à Aemiliane qui en souffrait autant qu’elle en tirait plaisir. C’était extrêmement douloureux de se faire sodomiser ainsi mais, elle peinait à croire au plaisir fou qu’elle prenait en parallèle ! Sa petite rondelle se contractant autour du véritable troisième bras de Meryl témoignait de son état. Elle se crispait contre la table, couinait et hurlait, les yeux révulsés et l’esprit volant en éclat, quittant ce monde. Aemiliane continuait de subir et de se prendre coup sur coup droit dans son fondement, jusqu’à ce que Meryl décide de changer un peu.
En effet, la scientifique grinça subitement des dents quand elle se fit tirer par la tignasse, l’obligeant à redresser sa tête en arrière. Collée contre le corps si ferme et si musclée de Meryl, Aemiliane ne put revenir à elle-même voire pire, elle plongea davantage dans sa transe. Elle se surprit à avoir adoré se faire tirer ainsi la chevelure par Meryl. En fait, il suffisait pour celle-ci de simplement traiter sa proie comme une poupée sexuelle pour qu’elle se sente réellement extasiée. C’était l’un de ses grands fantasmes après tout, et c’était sans doute ça qui au fond avait fait qu’elle s’était soumise avec une certaine facilité.
Se faire dominer par une femelle alpha, si l’on devait formaliser cela. Madame Forge était une femme incroyablement charismatique et charmante mais Meryl ... Meryl était la concrétisation d’un grand fantasme ! Celui d’une femme forte, grande, très musclée et surtout, brute. Une femme avec une trique énorme et une virilité certaine, qui la prendrait comme si elle n’était qu’une vulgaire pute, qu’une vulgaire trainée des bas-fonds de Tekhos. C’était ce qui était en train de lui être fait et ô combien elle aimait cela. Son petit corps tremblait et remuait fermement à chaque coup de trique, un filet de bave commençait même à se former à la commissure de ses lèvres tellement était-elle en pur état d’extase, les yeux révulsés.
Plus rien ne comptait à part Meryl. Plus rien ne comptait à part ... Sentir la terrible queue de sa Maitresse en elle. Sodomisée, baisée comme une chienne, Aemiliane divagua définitivement alors qu’elle s’essaya à une réponse. « Hmmm-HmMMMMM !!! Haaa encore ... Encoooooore !!! Oui, oui M-Maitresse ! » Dit-elle spontanément, se rendant à peine compte qu’elle venait d’appeler Meryl par sa nouvelle fonction fraichement assumée. Face à tant de force, tant de rythme et de puissance dans les coups de trique de Meryl, Aemiliane ne résista guère longtemps. Après de nombreuses minutes, sa petite rondelle finit par se contracter de toutes ses forces autour la massive queue de la F-Girl, alors que l’ingénieure hurla, possédée par tant de luxure, frappée par l’orgasme. Aemiliane se crispa sur place et hurla, encore et encore, de la mouille coulant abondamment entre ses cuisses qui tremblèrent.
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Quand on disait que les Tekhanes étaient sexistes, c’était à la fois exact... Et inexact. Certes, les mâles, au sens traditionnel du terme, n’avaient plus beaucoup d’attirance à Tekhos, et étaient souvent méprisés. Mais ce n’était pas une société qui pouvait revenir sur les règles fondamentales régissant l’être humain en un claquement de doigts. Et, quand on connaissait bien la société tekhane, on savait qu’il y avait toujours une attirance profond pour ce que le sexe masculin, fondamentalement, représentait : la brutalité, la violence, la domination, ce mélange savoureux et primitif de testostérone, de domination sexuelle, et de violence fondamentale. Quiconque voulait résumer le sexe à de la simple douceur ne comprenait pas les leviers contradictoires et fondamentaux qu’un rapport sexuel engendrait. Il y avait nécessairement de la violence dedans. Ce faisant, Aemiliane était l’incarnation type de la Tekhane pure souche, biberonnée dans une société féministe, et retrouvant, dans la sphère sexuelle, une sorte de liberté sexuelle. Elle était donc fortement attirée par Meryl, comme bien des Tekhanes, car le comportement brutal et musclé de Meryl lui rappelait inconsciemment ce dont la société privait ces femmes. C’est ce qui expliquait le succès des F-Girls, et le nombre croissant de clientes et de femmes désireuses de coucher avec elles. Ça, ainsi que le fait que la société tekhane était également très hyper-sexualisée. Les publicités promotionnelles de la Fut-Room mettaient volontiers en avant les biceps généreux des F-Girls, la taille disproportionnée de leurs verges, ainsi que la promesse de nuits terribles et intenses.
Fort heureusement, Aemiliane pouvait en profiter pleinement grâce à la solution qu’elle avait reçue, qui aidait son corps à apprécier ça. Pour autant, cette sodomie restait très brutale, et, quand Meryl tira sur les cheveux d’Aemiliane, la douleur éclata en elle. Aemiliane put alors constater la force presque surnaturelle de Meryl, car elle n’avait même plus besoin de s’appuyer sur la table pour la bourrer. Elle posa l’une de ses mains sur l’un de ses seins, et le pinça, tirant sur le téton, s’en servant comme appui pour continuer à la bourrer sèchement et furieusement.
« Lààà, oui, je sens ton excitation, ma salope... Tu aimes ça, hein ? Que je te prenne comme une vulgaire pute ? Parce que, hmm... C’est ce que tu es, haaaa... Ma pute, MA salope ! »
Elle mordilla le creux du cou d’Aemiliane, continuant à la prendre fougueusement. À chaque coup de reins, le corps d’Aemi’ se soulevait, et, dans cette position, Meryl insistait davantage sur la profondeur et l’intensité de ses coups de reins que sur leur multiplicité. Elle faisait savourer à Aemiliane ce monceau de chair qui s’enfonçait douloureusement dans son cul, défonçant ses parois anales et meurtrissant son corps. Tout ce qu’Aemi’ réussit à dire, entre ses borborygmes et ses glapissements, ce fut un délicieux « Maîtresse » qui résonna comme un abus de faiblesse...
...Puis Aemiliane eut un orgasme. Meryl le sentit, elle perçut la mouille qui filait le long des cuisses d’Aemi’, et la déplaça alors. Elle pivota sur place, faisant face à l’une des femmes l’accompagnant. Équipée d’un gode, l’une des soldats-esclaves de Meryl se rapprocha. La femme était entièrement recouverte d’une combinaison noire moulante en latex, légèrement brillante. Même ses yeux étaient masqués par la combinaison, ne laissant apparaître que des lèvres rougeâtres. Elle portait une ceinture gode, avec deux vibromasseurs plantés en elle, et ne tarda pas à aider sa Maîtresse, en allant pééntrer Aemiliane, frottant son corps moulant contre elle.
« Là, profite, sale pute, c’est ton destin qui t’attend ! Toi, hmmm, la brillante ingénieure de GeoWeapon Corp... Tu n’es rien de plus qu’une salope que je vais baiser pendant des heures ! »
Meryl avait déjà montré à Aemiliane qu’elle ne jouissait pas facilement, et elle comptait bien lui en faire encore la démonstration. Coucher avec une F-Girl était un sport d’endurance, et la femme-esclave pénétra donc Aemiliane, venant ainsi soutenir Meryl. Ses mains gantées s’appuyèrent sur les fesses de l’ingénieure, et, ensemble, Meryl et l’esclave se mirent à la labourer, entrecoupant les gémissements et les supplications d’Aemi’ de claquements spongieux, que ce soit la chair qui claque ou le latex qui se mettait à résonner et à crisser à chaque coup.
Pour Aemi’, ce devait être une véritable descente aux Enfers... Tout droit vers le Cercle de la Luxure !
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Cette sodomie était surréelle. Ô combien jamais on ne lui avait fait une chose pareille ... Pas avec autant de force et de brutalité. C’était ce qui lui manquait d’ailleurs, au fond. Cette sauvagerie sexuelle, qui lui faisait sentir qu’elle n’était qu’une salope entre les mains de son amante ! Quelque part elle aimait ce genre de choses et avait toujours manqué le fait que ses partenaires manquaient souvent de cette virilité. Attention, loin d’Aemiliane l’idée d’apprécier le genre masculin pour autant. Ce qu’elle désirait profondément était tout l’attrait viril, fort, sauvage et bestiale de la chose mais pas le genre en lui-même. Elle restait résolument attirée par les femmes, même les plus musclées et viriles !
Exactement comme Meryl, qui continuait encore et encore à s’acharner sur son pauvre petit séant. Aemiliane hurlait et pleurait à force de souffrir autant. Mais c’était cette souffrance qui lui procurait un plaisir si intense et si fou qu’elle en perdait pied avec la réalité. Sensible par nature, cette sodomie abrupte était donc une véritable épreuve de force. Elle n’était qu’une poupée de chiffon entre les puissantes de Meryl qui brutalisait son cul et bientôt sa poitrine, qu’elle malaxa aussitôt. Plus Meryl l’insultait, la traitait de pute et de salope et plus l’intéressée semblait se perdre dans les méandres de sa propre luxure. L’ingénieure était en train de se perdre elle-même, succombant à ses plus bas instincts.
Elle en venait à se demander si elle allait repartir, en fin de compte. Après tout, Meryl n’était pas si méchante ? Elle aurait pu la tuer, la torturer ou lui faire pire. Mais au lieu de cela, voilà qu’elle lui détruisait le cul, qu’elle était en train de satisfaire son fantasme tabou, qu’elle lui faisait enchainer orgasme sur orgasme ! Aemiliane fondait entre ses mains musclées et puissantes, au point où elle ressentit un véritable frisson d’extase rien qu’en entendant la grande femme clamer haut et fort qu’elle était sa salope désormais. À partir de cet instant, une partie d’Aemiliane su qu’il n’y aurait aucun retour en arrière. Le simple fait qu’on lui avait fait changé de tenue pour s’adapter au style local était un indicateur sur le devenir de cette femme.
Après son orgasme, Meryl décida de corser les choses. Une autre femme, entièrement recouverte de latex de la tête aux pieds, se joignit à elles. En d’autres termes, Aemiliane finit en sandwich entre ces deux femmes et ne tarda guère à se faire baiser par devant et derrière en même temps. Un rythme soutenu lui était imposé et si ce n’était grâce aux piqures qu’on lui avait fait, la pauvre se serait déjà évanouie. Mais là, son corps s’adaptait ; il accueillait autant la trique de Meryl que le gode son esclave sans même sentir d’excès. Au contraire ... Aemiliane ne sentit qu’un manque toujours plus grandissant de seconde en seconde. Elle voulait à tout prix se faire tringler, se faire baiser férocement. Ce comportement était-il dû aux produits qu’on lui avait injecté ? Ou était-ce simplement un comportement latent, qui avait toujours été présent en elle mais caché ?
En tout cas, elle hurlait et pleurait de douleur autant que d’extase. Entre Meryl et l’autre femme, son corps se trémoussait fermement et se balançait au rythme de leurs coups de butoir. Chaque coup, chaque claquement, chaque insulte ou mot poussait davantage Aemiliane au bord de la rupture, au bord de la raison ... Car viendrait un moment où son esprit lâcherait définitivement prise. Dès lors, Aemiliane sera de la pâte à modeler pour Meryl qui aura tout le loisir de la remodeler à sa guise !
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« Tu vois, hmmm... Quand le corps humain approche d’une certaine limite, hmm... L’esprit tombe dans l’inconscience. »
Aemiliane était désormais prise en sandwich, et la femme devant elle, entièrement recouverte de latex, sauf à l’exception de ses lèvres, délicieusement pulpeuses, soupirait doucement. Sa verge n’était pas aussi grosse que celle de Meryl, mais elle y allait franchement, motivée par les instruments sur son corps. Des vibromasseurs s’enfonçaient respectivement dans son vagin et dans son cul, et elle avait également, à hauteur de ses tétons, des pinces vibrantes. Ainsi, les esclaves de Meryl vivaient dans une atmosphère sexuelle continuelle. Elle gémissait doucement, ses deux mains s’appuyant sur le cul d’Aemiliane, la baisant sèchement, enfonçant sa verge jusqu’à la garde dans son intimité ruisselante, soutenue par Meryl, dont les deux mains palpaient férocement les seins d’Aemiliane. Elle s’appuyait sur ses mamelons, pinçant les tétons entre ses doigts gantés, tirant dessus, tout en s’amusant à pousser en avant, écrasant ainsi le corps de sa nouvelle chienne contre celui de l’esclave.
Pour Aemiliane, son esprit devait progressivement commencer à se disloquer, et elle n’arrivait d’ailleurs plus vraiment à parler. Elle haletait, elle gémissait, se contentant juste de subir, sans que rien ne semble devoir arrêter l’implacable F-Girl. C’était bien ce qui rendait les F-Girls si dangereuses, et leurs clients si accrocs. Avec elles, le sexe devenait une drogue dure, exigeante et lourde. Dans le dos d’Aemi’, Meryl l’enculait maintenant depuis une bonne demi-heure, avec cette grosse tige qui la labourait sans cesse.
« C’est le coma... Mais la substance que je t’ai injecté, elle empêche ça, et elle circule dans tes veines, et se régénère avec ton adrénaline. Tu comprends ? Le fait, que tu ne sois pas tombée dans le coma, c’est parce que tu apprécies d’être ma pute, d’être une salope que je baise sans relâche. »
Souriant encore doucement, Meryl continua à maltraiter les seins de la jeune femme, les pinçant douloureusement, et continuait surtout à la bourrer, à la prendre puissamment par le cul. Rien ne semblait devoir calmer l’imperturbable Meryl, qui pinçait durement les seins d’Aemiliane, éprouvant ses tétons, tirant fortement dessus. Elle écartait chaque sein l’un de l’autre, avant de les ramener, décrivant des cercles avec, tout en continuant à la besogner.
Aemiliane continuait à gémir, et la femme qui était devant elle alternait entre des baisers et des mordillements sur son cou. Ses dents se plantaient dans sa chair, et elle s’amusait avec le cul de la jeune femme, écartant ses fesses, comme pour faciliter le passage du pieu de Meryl.
« Putain, ce que c’est bon ! Tu es si étroite, ma salope, hmm... !! »
Et le temps continuait à filer. Petit à petit, Aemiliane allait enchaîner les orgasmes, et Meryl comptait bien continuer à la sodomiser encore une bonne demi-heure ! Elle relevait sa main pour faire tourner son visage, en profitant pour l’embrasser longuement, fourrant sa langue dans sa bouche.
« Tu m’appartiens, hmmm... Pleinement et totalement, ma petite pute ! »
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Le moment n’était pas encore venu pour Aemiliane de céder complètement, de lâcher prise entre les mains de Meryl. Non, elle n’était pas encore devenue sa petite soumise ! Mais cela ne saurait tarder vu ce qu’elle prenait ... D’un côté il y avait cette puissante F-Girl qui la sodomisait sans relâche et sans pitié et de l’autre, cette femme qui s’enfonçait hargneusement en elle, labourant ce qu’elle avait de plus intime et secret. Entre ces deux femmes, la scientifique n’était rien. Elle n’était qu’un vulgaire jouet, qu’une vulgaire poupée qui de seconde en seconde appréciait ce qui lui arrivait.
Elle ne parvenait plus à penser. Seule des gémissements, des couinements parvenaient à s’échapper de ses lèvres. Aemiliane enchainait orgasme sur orgasme sur la prochaine demi-heure, grâce à Meryl et à son endurance surhumaine ! Jamais son fessier n’avait été autant sollicité ... Jamais elle n’avait été sodomisée ainsi aussi durement et longuement. Meryl était définitivement d’un calibre supérieur et une fois qu’on y avait goûté, il devenait dur de s’en défaire. Aemiliane, dans ses pensées très troubles et confuses, se demandait réellement si elle désirait partir ; pourquoi ne pas devenir sa chienne ? Pourquoi ne pas juste pomper son dard à longueur de journée ?
Pourquoi ne pas être comme elle en fin de compte ? Meryl devait avoir une vie heureuse après tout ; elle sautait qui elle voulait, était une puissante femme, et devait en général avoir tout ce qu’elle voulait. Pourquoi ne pas juste rester et la servir ? Des pensées dangereuses et très alarmantes mais qui proliféraient de plus en plus dans l’esprit droguée et confus d’Aemi’. La jeune femme hurlait d’extase et de plaisir alors qu’on continuait de la prendre de partout, de solliciter son fessier à outrance, encore et encore. Chaque orgasme la rendait de plus en plus euphorique. Chaque jouissance l’amenait au bord du craquage.
L’esprit presque réduit à néant, elle écarquilla subitement ses yeux quand sa maitresse décida de tourner son visage de force pour venir embrasser ses lèvres. Sentir la bouche de Meryl, sa saveur, sa chaleur ... Ce fut la goutte d’eau qui fit déborder le vase. Aemiliane céda à cette attention et embrassa langoureusement Meryl en retour, acceptant donc ce baiser avec grand appétit ! « Hmmmmm ... » Ronronna-t-elle, essoufflée et en sueur, mais plus que jamais affamée et en manque. Elle profita de ce baiser au maximum, se régalant de la saveur des lèvres de Meryl, des lèvres de sa délicieuse maitresse ! Comment avait-elle pu nier l’évidence ?
En venant ici, en se faisant coincer par Meryl ... Comment avait-elle pu se leurrer elle-même ? Meryl n’était pas son ennemie mais au contraire, était une véritable chance pour elle. Une chance d’accéder à une vie remplie de luxure et de plaisir. Une vie de servitude qui lui permettra d’être avec Meryl pour toujours ! Aemiliane plongea encore et encore sa langue dans la bouche de la F-Girl, l’embrassant avec toute la fougue et la passion dont elle pouvait faire preuve. « Oui Maitresse ... Oui ... Je vous appartiens ... Je suis votre ... Je veux être votre ! » Finit-elle par dire, la voix mièvre et le regard très intense, plongé dans celui de Meryl.
Aemiliane caressa la joue de la femme et se mordit la lèvre. Elle gémit à cause de cette queue toujours plantée dans sa croupe mais, cela ne l’empêcha guère de se jeter à nouveau sur les lèvres de Meryl, l’embrassant très fortement et sensuellement. Aemiliane venait de franchir un point de non-retour ...
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Aemiliane répondit volontiers à son baiser. La jeune femme tremblait nerveusement sur place, mais retrouva un semblant de volonté quand Meryl l’embrassa. Un baiser ferme et appuyé, auquel Aemiliane répondit en fourrant sa langue dans sa bouche. Elle soupira lentement devant ce baiser délicieux, témoignant de la passion de la jeune femme, qui eut d’ailleurs un nouvel orgasme. Meryl se retenait alors de jouir, car elle avait franchi depuis plusieurs minutes le point de non-retour, et sentait le sperme s’accumuler, prêt à jaillir, à fuser... Elle n’était pas une F-Girl pour rien, elle avait appris à se maîtriser. Meryl était une femme terrible en ce sens, car, en se contrôlant, elle en devenait encore plus impitoyable en faisant l’amour. C’était pour ça que ses clients réguliers recevaient toujours un élixir à boire, car il permettait de protéger leur corps. Autrement, coucher avec une F-Girl était du sport, et le fait qu’Ameiliane, bien qu’aidée par la potion, soit encore en état de parler, de pouvoir formuler des propos intelligibles, témoignait de sa résistance, de son endurance, de la capacité exceptionnelle de son corps. Meryl l’embrassa donc, tandis que l’esclave occupée à la besogner savourait la mouille de la femme.
L’ingénieure s’avoua alors vaincue, décrétant vouloir être son esclave. Un ricanement mesquin s’échappa des lèvres de Meryl, qui attrapa alors douloureusement les cheveux d’Aemiliane, et tira en arrière.
« Ce que tu veux ? Petite pute, j’en ai rien à branler de ce que tu veux ! Tu seras ce que je déciderai ! Une chienne, une salope, un trou à bites, je m’en fous ! Je te foutrais dans nos toilettes, avec ton cul de salope, et on t’enculera à chaque fois qu’on ira pisser ! C’est ça, ta destinée ! Tu es venue ici pour ça, pour être ma pute, ma chienne. Je m’en cogne de ce que tu veux, t’es ma salope ! »
Meryl devenait de plus en plus agressive, vindicative, violente... C’était là le signe qu’elle se retenait de jouir. Elle grogna encore, et griffa le sein d’Aemiliane, avant d’aller mordre sa nuque, plantant ses dents dans sa chair. Elle se montrait de plus en plus violente, et grogna encore, avant de bander ses muscles, et serra le corps d’Aemiliane en agrippant ses hanches...
« Hnnn... »
Sa queue tressauta alors, et une lame de fond s’empara de son corps. Dans un grand soupir, Meryl se mit à jouir copieusement, balançant d’épais filaments de foutre dans le cul de la jeune femme. Un long orgasme, ténu, car elle jouit bien pendant une bonne minute, crachant des giclées et des giclées de foutre, sans relâche. Elle s’abandonna à cet exercice avec un grand plaisir, se relâchant copieusement en elle. Un long et délicieux orgasme, où sa queue sembla cracher sans fin du foutre, ce qui gonfla le ventre d’Aemiliane.
Meryl sentit ensuite le sperme la repousser, et laissa Aemiliane s’effondrer au sol, où elle termina ensuite son office en se masturbant encore, balançant des giclées de foutre complémentaires sur son corps. Elle zébra ainsi le dos et les fesses d’Aemiliane, puis termina sur son visage, crachant quelques décharges sur ses cheveux et sur son visage, la noyant sous un déluge surnaturel de sperme.
« Ooooh PUTAIN !! Ça SOULAGE, BORDEL !! »
Meryl avait désormais un sourire ravi sur les lèvres, reprenant peu à peu sa respiration en observant sa nouvelle esclave au corps endolori.
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Les invectives de Meryl ne faisaient qu’exciter davantage Aemiliane, qui succombait pleinement alors à la F-Girl. Elle n’avait plus la force ni le courage de l’affronter. Cette femme était beaucoup trop puissante physiquement – et sexuellement – pour que la scientifique puisse espérer rétorquer. C’était d’ailleurs déjà trop tard pour ça ! Comment ferait-elle sans la trique de Meryl pour lui rappeler à quel point elle n’était qu’une chienne en chaleur ? Comment ferait-elle sans sa poigne ferme et viril pour la maintenir en laisse ?
Encore une fois, Meryl lui rappela sa place vite fait bien fait quand elle se mit, finalement, à jouir en elle. Meryl devenait plus violente et agressive quand elle approchait de son orgasme, n’hésitant pas à tirer sur la crinière de la jeune fille pour se défouler. Douloureux certes, mais diablement excitant ... Plus elle se montrait forte et dominante, plus Aemi’ semblait adorer cela. Au fond c’était toujours ce qui lui avait manqué ; une bourrelle à la poigne de fer qui ferait d’elle une parfaite petite chienne docile ! Ainsi donc, en tant que tel, elle se contenta d’encaisser le terrible orgasme de Meryl qui lui fit décharger des quantités absurdes de foutre en elle.
« Hnnn ! » Couinait fortement Aemiliane qui sentait ses intestins de tordre et se remplir de semence, encore et encore, jusqu’à raz-bord. Meryl fit déverser un véritable déluge de foutre dans ses entrailles jusqu’au point où son ventre gonfla, rien qu’à vue d’œil ! Une belle forme rondelette vint s’éprendre de son ventre, avant qu’elle ne s’écroule en entier au sol, lâchée par Meryl et sa garde. Endoloris et faible, Aemiliane était comateuse, entre la réalité et le coma. Elle se rendait compte que sa maitresse lui éjaculait dessus encore bien généreusement, l’arrosant comme s’il ne s’agissait que d’un sac à foutre. Mais ... Ô combien c’était bon et excitant !
Aemiliane n’avait clairement pas l’air très fière. Au sol, comateuse et couverte de foutre. Une allure peu flatteuse, qui collait bien à une prostituée, mais pas à elle ... Pas vrai ? C’était malheureusement en train de changer. La scientifique devenait accro à Meryl, à sa trique envoutante, à son sperme. L’effet de cette drogue combiné à tout ce qui s’était passé, avec en plus le fantasme profond de la jeune femme, avait eu raison de sa dignité. Esclave était-elle devenue. Reprenant peu à peu ses esprits, le premier réflexe d’Aemiliane fut de s’essuyer le visage et se lécher les doigts, récoltant ce délicieux foutre, n’en perdant pas une goutte !
Puis elle rampa au sol, s’approchant de la grande Meryl. Levant son regard vers le sien, elle l’abaissa ensuite vers sa si juteuse queue puis la caressa, avant de venir porter ses lèvres dessus. Meryl ne rêvait pas ; de son plein gré, voilà qu’Aemiliane se mettait à nettoyer son sexe ! Ce n’était pas une fellation mais, les nombreux coups de langues et langoureux baisers de la jeune femme étaient révélateurs sur ses intentions. Le rouge gagna ses joues alors qu’elle se sentait honteuse d’être devenue une esclave, d’être rabaissée à un tel niveau. Mais ce rouge trahissait aussi son excitation ! Oui, elle était excitée à l’idée d’être une dépravée, de n’être que la salope de Meryl. Au fond, elle en avait toujours rêvé et cette femme était sur le point de lui offrir ça.
Une fois le nettoyage terminé, Aemiliane resta à genoux devant Meryl, levant sa tête et ses yeux vers elle. « Et ... À ... À présent ? » Dit-elle d’une voix basse, presque soumise. Disant cela, elle s’approcha pour venir caresser les abdominaux si bien tracés de Meryl, finissant même par se pencher pour les embrasser et s’y frotter. De son autre main, elle caressait de manière nonchalante la massive queue de Meryl, qui même après un furieux orgasme, était encore très, très lourde et conséquente.
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La F-Girl sourit doucement en voyant Aemiliane ramper vers elle. C’était à croire que sa volonté avait été totalement annihilée. Un changement très impressionnant ! Aemiliane n’était pourtant pas une jeune femme paumée. Elle avait un poste au sein de GeoWeapon Corp., un appartement luxueux, de l’argent... Et voilà qu’elle se dandinait devant la queue de Meryl ! Après lui avoir défoncé le cul dans tous les sens, Meryl sourit doucement en voyant Aemiliane s’attaquer à sa queue, la léchant tendrement, venant la nettoyer, tout en soupirant doucement. Autour des deux femmes, les gardes observaient la scène. Main sur la hanche, Meryl avait récupéré son téléphone portable, et avait envoyé un SMS, avant de filmer la jeune femme. Elle prenait des souvenirs pour elle-même, et cadra le beau visage ruisselant de sperme d’Aemi’, demandant à sa Maîtresse ce qui allait se passer maintenant. Meryl leva brièvement les yeux en voyant une nouvelle personne rentrer dans le dos d’Aemiliane, et sourit brièvement.
« Impatiente, salope ? »
Elle releva son pied, et le posa sur le torse d’Aemiliane.
« Maintenant... Le show va pouvoir commencer ! »
Du pied, Meryl poussa Aemiliane, la renversant sur le dos. La jeune femme tomba à la renverse, sans pouvoir faire quoi que ce soit pour s’opposer à la dangereuse Meryl. Toujours aussi dominatrice, la femme avait toujours une impressionnante trique. Elle n’était pas une F-Girl pour rien, et son endurance sexuelle était surnaturelle, largement à la hauteur de sa verge monstrueuse. Elle se rapprocha doucement d’Aemiliane, qui vit alors une silhouette sur sa droite. De magnifiques collants roses en latex apparurent, avec des gants roses, une minijupe blanche transparente révélant un string rose dans lequel une queue se balançait, de calibre plus petit que celle de Meryl. Un soutien-gorge était dressé sur le torse de cette seconde personne, qui avait également un collier rose avec un cœur autour de son cou.
Meryl se tenait à côté de cette personne, montrant un lien de famille évident (http://img110.xooimage.com/files/c/3/7/c373f9f7e4e54075...a281a32-5589141.jpeg). La mystérieuse personne tendit alors un doigt vers Aemiliane.
« C’est elle, Maman ?!
- Hum-hum... Une salope qui s’est introduite dans notre usine sans autorisation, et qui attendait que je tombe sur elle. »
Meryl sourit malicieusement, et fit les présentations :
« Aemiliane, je te présente Peach, mon fils.
- Coucou, Aemiliane ! Tu es très mignonne ! »
Peach avait un plug anal niché dans les fesses, qui vibrait doucement, ce qu’il était possible d’entendre quand personne ne parlait.
« Peach est fils unique, et a toujours rêvé que je lui offre un petit-frère, qu’il pourrait lui aussi tourmenter... »
Les yeux de Peach brillaient de malice à cette idée.
« Et voilà que les Dieux ont entendu mes prières en amenant une belle salope entre mes bras...
- Elle est parfaite, Maman ! Je pourrais jouer avec elle, dis ? S’il-te-plaît ! »
Meryl sourit à nouveau, et haussa les épaules, avant d’ébouriffer les cheveux de son fils :
« Je n’ai pas pu t’enculer ce soir à cause d’elle, alors... Tu pourras l’amener dans notre salle de jeux à la maison, oui...
- Génial ! Merci, Maman ! »
Peach embrassa alors sa mère sur les lèvres, visiblement impatient de pouvoir s’amuser avec Aemiliane...
...Qui était loin d’être au bout de ses malheurs.
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Aemiliane était encore loin d’être au bout de ses peines. Cependant pouvait-on parler de peine ? Il semblait que plus Meryl lui corsait l’affaire, plus elle aimait ça. Qui savait jusqu’où ça pouvait aller. En attendant de le savoir, voilà que la scientifique était aux pieds de sa nouvelle maitresse, en train de lui nettoyer doucement la queue. Rien ne fut dit. Ni Meryl ni Aemi’ ne pipèrent mot. L’esclave jouait docilement avec le sexe de la puissante F-Girl sous le regard de celle-ci. Main sur la hanche, smartphone en main en train de la filmer, la jeune femme observa ce sourire bref mais malicieux. Impatiente ? Peut-être elle l’était ... Mais elle ne savait pas à quoi s’attendre.
Néanmoins des réponses n’allaient pas tarder à lui être données. En effet, sans qu’elle ne puisse rien dire ni faire, Aemiliane se vit repousser en arrière, sur le dos, plaquée au sol. Meryl avait posé son pied sur son torse, la forçant ainsi à s’allonger au sol. Puis peu de temps après voilà qu’une étrange personne se joignit à la partie. Au début, l’intruse pensait à une autre femme ; son apparence était clairement féminine. La demoiselle s’approcha donc et se retrouva bien vite aux côtés de Meryl. Allongée de force au sol, sur le dos, Aemiliane avait donc un angle de vue assez particulier qui lui faisait voir sous la jupe semi-transparente de la fille.
Ce fut à ce moment-là qu’elle écarquilla ses yeux ! Il ne s’agissait pas d’une fille mais d’un garçon. La stupéfaction était de mise, mais elle en eut définitivement confirmation quand le garçon se mit à parler. Sa voix était douce et aigue, mais possédait un arrière-gout, un fond masculin subtil qui trahissait de son réel genre. Cependant la surprise fut encore plus grande quand elle apprit qu’il était le fils de Meryl ! La situation devenait très curieuse et surtout incompréhensible. Pourquoi avoir ramené son fils ici ? Pourquoi était-il si androgyne et féminin ? Tant de questions, si peu de réponses. Aemiliane restait là muette, à observer le jeune éphèbe et sa mère à tour de rôle à mesure qu’ils échangeaient.
Peach avait d’ailleurs un plug anal niché dans son fondement ; de cela, Aemiliane en était sûr en entendant le bruit de fond qui s’en échappait. C’était définitivement inquiétant, mais aussi, terriblement excitant. Néanmoins le plus troublant et inquiétant restait à venir. L’intruse leva ses sourcils et s’inquiéta en entendant Meryl lui dire que Peach – son fils – avait toujours désiré un petit-frère. Une déclaration qui n’aurait rien eut de troublant si elle ne fut pas suivie par une autre, visant Aemiliane elle-même. (Quel est le lien ... ?) Pensa-t-elle alors. Quel était le lien entre le désir d’avoir un petit-frère pour Peach, et elle-même ? La jeune femme n’avait pas fait le lien pour le moment, même si le regard plein de malice du garçon trahissait quelque chose de grave.
Voir mère et fils s’embrasser de manière si langoureuse, si obscène devant ses yeux la fit rougir et aurait presque provoqué en elle l’envie de les joindre ! Mais elle préféra poser cette question qui lui brûlait les lèvres. « Q-Quel est le rapport entre moi et ... L-Le souhait d’avoir un petit-frère ? » Finit-elle par demander, les joues rouges. En tout cas, malgré cette confusion et cette appréhension, l’excitation ne parvenait pas à quitter Aemiliane. L’idée de pouvoir jouer avec un garçon aussi mignon que Peach la séduisait beaucoup ... Qui savait ce que ce brave avait en réserve ? Il suffisait de voir comment Aemi’ lorgnait sur son membre et celui de sa mère tour à tour pour savoir qu’elle avait, encore une fois, très faim ...
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Peach ne put que doucement sourire quand, inquiète, Aemiliane leur demanda le lien entre son désir d’avoir un petit-frère... Et elle. Ne le voyait-elle pas ? D’un autre côté&, tout cela devait être assez nouveau pour elle. Peach aurait bien été tenté de lui répondre, mais son autoritaire mère le fit à sa place :
« On ne prend pas la parole quand on n’a pas été invitée à le faire, sale chienne ! » grogna Meryl en posant son pied sur son sexe, et en appuyant dessus.
Peach rougit à son tour, se mordillant doucement les lèvres. La violence autoritaire de sa mère l’excitait autant qu’elle plaisait à Aemiliane, un autre point commun entre eux ! Ils étaient faits pour être frères ! Peach l’observa encore, détaillant ce beau corps, les formes anguleuses de cette femme, et se dandina sur place en sentant sa queue l’élancer douloureusement. Ce comportement n’échappa pas davantage à Meryl, dont la main gantée jaillit pour palper sa queue, arrachant à Peach plusieurs soupirs. Le jeune homme se pinça les lèvres, sentant la main de sa mère serrer son sexe. Lui aussi avait eu droit au pied de sa mère lui écrasant son sexe, serrant sur son phallus en érection. Peach était clairement un masochiste, formé et éduqué ainsi, et qui n’avait pas bénéficié des améliorations phalliques de sa mère. Son sexe était resté naturel, contrairement à son corps, qui avait subi des traitements hormonaux avant de le féminiser.
Meryl ordonna ensuite à Peach de nettoyer la jeune femme.
« Aemiliane doit apprendre que je n’aime pas la vulgarité obscène, et je ne compte pas la ramener à la maison dans cet état !
- Oui, Maman ! »
Aemiliane n’aurait pas encore le droit de comprendre ce qui l’attendait. Savamment, Meryl maintenait le suspens. Peach, de son côté, s’agenouilla à côté de la jeune femme, et entreprit consciencieusement de la lécher, avalant le sperme de sa mère. Il y en avait un peu partout, et il s’appliqua donc, commençant par sa tête, léchant Aemiliane comme le ferait un chien, sa langue filant longuement le long des joues de la jeune femme, sur son nez, sur ses lèvres... Et il l’embrassa au passage, un baiser long et sensuel, empreint de talent. Un vrai baiser de femme, avec des lèvres tendres, parfumées. Sa peau satinée se frottait contre celle d’Aemiliane, et il continua son office, léchant ses seins, glissant sur les tétons, raclant la peau de la jeune femme avec ses dents pour en avaler le sperme, et poursuivit son effort, la nettoyant pleinement.
Ce nettoyage lingual dura bien plusieurs minutes, Peach terminant en léchant le nombril d’Aemiliane. Il poussait de légers soupirs, agréables à entendre, et ponctua son nettoyage de baisers à de multiples endroits. Des baisers se posèrent ainsi sur tout le ventre d’Aemiliane, puis il remonta ensuite jusqu’à son visage, et caressa ses cheveux. Pour les cheveux, il allait falloir une douche, car le sperme s’était niché dans la chevelure de la femme. Un sourire délicat illumina le visage de Peach, qui embrassa la jeune femme, fourrant sa langue à nouveau dans sa bouche, appuyant son sexe tendu contre sa chatte.
Meryl posa alors son pied sur le cul de Peach, appuyant sur ses belles fesses, faisant gémir le jeune homme.
« Tu as envie de la prendre, hein ? Je le comprends... »
Qui mieux que Meryl pour connaître les désirs de son propre fils ? Il ne répondit pas, occupé à embrasser la femme, et Meryl retira son pied.
« Mais je suis d’humeur généreuse ce soir, tu peux défoncer sa petite chatte, tu n’es pas habitué à passer par là, après tout...
- Hmmm... »
Visiblement ravi, Peach rompit brièvement le baiser, et embrassa Aemiliane sur le bout du nez, puis posa sa main sur son sexe, et le guida entre les cuisses de la jeune femme. Il regarda la femme dans les yeux, et enfonça ensuite son sexe en elle, soupirant doucement, puis commença à remuer en elle. La sensation devait être bien différente d’avec Meryl, mais Aemiliane allait vite compter que la taille ne faisait pas tout, car Peach était redoutablement doué ! Et il retourna rapidement embrasser la femme, tout en serrant ses mains dans celles d’Aemiliane, les plaquant sur le sol, et continua ainsi à la baiser, s’enfonçant profondément en elle, puis donna une série de coups de reins avec son bassin, se délectant du corps de la jeune femme.
« HMMMM... !! »
-
Le doute et le trouble étaient toujours là. Il aurait été trop simple d’obtenir une réponse à sa question ; Meryl décida d’entretenir le suspense au maximum, comme si ce lien était la clé de voute de la suite. Essayant de faire travailler ses méninges, Aemi’ tenta de trouver par elle-même ce qui la liait à tout ceci, à Peach notamment. La réflexion et la logique étaient ses points forts en tant que scientifique mais, elle fut très rapidement perturbée puis interrompue. Hoquetant alors qu’elle sentit le pied de Meryl appuyer sur son sexe, elle rougit furieusement et ne parvint à se concentrer assez pour penser.
Pas le temps pour elle de se reconcentrer car Peach enchaina ! En effet, le garçon se pencha et finit par se mettre à la lécher. Au début elle fut surprise et grimaça doucement mais, rapidement, la langue de son nouvel amant lui procura bien du plaisir. Surtout au moment de ce premier baiser qui la surprit beaucoup par sa douceur et sa chaleur, malgré qu’il s’agissait d’un garçon ! Si elle n’avait pas vu sa trique déformant sa culotte, jamais elle n’aurait pu s’imagier qu’il n’était pas réellement du beau sexe. L’illusion était parfaite ... Si parfaite. Ce baiser envouta Aemiliane qui, timide au départ, se laissa peu à peu aller et embrassa en retour Peach.
Cependant, celui-ci décida de partir ailleurs et se mit à nettoyer le reste de son corps, de la même manière. Tout ceci était excitant et la jeune femme regardait le curieux éphèbe d’un air assez malicieux. Elle s’en mordit la lèvre quand il embrassa son ventre à plusieurs reprises, mais fut définitivement séduite quand il revint à la charge sur ses lèvres. Ainsi donc, les deux partagèrent un nouveau baiser et cette fois-ci, il fut bien plus langoureux et long ! Aemiliane y répondait avec désir tandis que ses mains frottaient le dos de Peach, stimulée et excitée par la pression de sa trique contre sa féminité.
Mais ce qui devait arriver finit par arriver ; voilà que Peach se mit à la pénétrer ! « Haaaa ! » Couina-t-elle de sa voix cristalline, rougissant furieusement. Ses mains furent capturées par son amant qui les plaqua au sol, tandis qu’il se mettait à aller et venir en elle, tout en l’embrassant encore et encore. Peach était une agréable surprise pour Aemiliane, qui s’attendait à être forcée de coucher avec un homme – ce qui serait tout sauf excitant à ses yeux. Mais là, malgré son sexe, malgré qu’il était bel et bien un garçon, c’était différent. C’était bon. C’était terriblement bon, même. La jeune femme couinait et embrassait son amant de toutes ses forces, ressentant chacun de ses coups de butoirs avec grand plaisir et extase.
Elle reconnaissait la poigne de Meryl, même si c’était différent. Peach était un garçon très doué avec sa queue, cela se voyait ! Il arrachait à Aemi’ de savoureux soupirs et gémissements, la poussant de plus en plus vers un énième orgasme. « HMMM ! » Rugit-elle de fougue et de plaisir, fourrant chaudement sa langue dans la petite bouche appétissante de Peach, le trouvant de plus en plus irrésistible comme sa mère. Son corps remuait et vibrait face à ses coups de trique, et bientôt elle se mit à ressentir de furieuses sensations en son bas-ventre.
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Les Tekhanes étaient plutôt misandres, ce qui était aussi le cas pour Meryl. C’était dans leur éducation, après tout. Peach n’avait pas hésité à la pénétrer, et remuait doucement en elle. Ceci étant dit, pour Aemiliane, Peach avait l’allure d’une fille. Il en avait la corpulence, le corps, le comportement... Et, à Tekhos, une femme membrée était quelque chose de très courant. Meryl avait longuement formé Peach pour qu’il ressemble à une fille, mais, curieusement, alors qu’elle aurait pu l’amener à changer de sexe, elle ne l’avait jamais fait. Qui sait ? Peut-être qu’elle aimait bien l’idée d’avoir un fils qui soit une petite pédale... En tout cas, Peach se régalait, et ce sous les yeux mielleux et le sourire amusé de sa chère mère, qui n’hésitait pas à frapper régulièrement son cul avec son pied, arrachant à l’homme des couinements.
Surtout, Peach s’évertua à embrasser Aemiliane sans discontinu. C’était une pénétration à la fois romantique et intense. Il n’y avait pas le niveau de brutalité et de démence qu’une relation avec Meryl, mais on ne pouvait qu’admirer le talent de Peach, qui ne rompait presque jamais le baiser. Il ne l’arrêtait que quelques secondes, de temps en temps, pour retourner encore l’embrasser. Ses lèvres étaient d’une douceur incroyable, fraîches, tendres, infiniment délicieuses. Et il témoignait d’une forte endurance, tout en tremblant de plaisir en sentant cette mouille autour de sa queue. La chatte d’Aemiliane était plus facile à pénétrer que les culs serrés des esclaves, même si leurs culs étaient, comme le sien, régulièrement déformés. Aemiliane ne protestait pas, ne bougeait pas, se contentant juste de gémir, et de répondre à ses baisers. Et la sensation exquise de sa queue nichée en elle était un véritable régal, un bonheur permanent.
« Hmmm... »
Meryl n’en perdait bien sûr pas une miette. C’était elle qui avait assuré la formation de son fils, qui avait veillé à son éducation sexuelle, faisant de lui un magnifique amant. Aemiliane en avait la démonstration, et, quand la main de Peach se retira de la sienne, ce fut pour pincer son sein, malaxant son téton. Il coinça d’ailleurs ce dernier entre ses doigts, et tira dessus, arrachant à la jeune femme des soupirs supplémentaires. Impossible pour elle de lutter, tout simplement, et c’est ainsi que Peach frémit en la sentant jouir.
Le jeune homme ne se relâcha toutefois pas encore tout de suite, et préféra redresser son visage, ravi de son exploit.
« Je l’ai fait jouir, Maman ! Elle jouit contre ma queue !
- Voilà qui confirme votre compatibilité, alors !
- Hihi ! Haaaa... C’est si agréable, toute cette mouille, je flotte dedans, je barbote ! »
Peach sourit à nouveau à Aemi’, et l’embrassa alors sur les lèvres.
« Tu peux me palper les fesses si tu veux... Je n’ai pas l’endurance de ma Maman, mais je vais encore tenir un bon quart d’heure avant de jouir en toi... »
Avec les F-Girls et les F-Boys, l’endurance était le maître mot, et Aemiliane en avait la démonstration contre son corps !
-
Plus rien ne semblait compter pour Aemiliane, qui était perdue dans les lèvres étonnamment très douces et délicieuses de Peach. Qui aurait cru qu’un garçon pouvait être aussi irrésistible ? Aemiliane était comme beaucoup de Tekhane attirée par les femmes ; là où d’autres mondes le couple standard était formé d’un homme et d’une femme, ici, le beau sexe avec le beau sexe était la norme. Aucune Tekhane ne pouvait trouver cela spécial ou étonnant. Une fille comme la jeune scientifique en train de se faire prendre par Peach, était typiquement le genre à rentrer parfaitement dans la norme et donc, à n’être attirée que le féminin.
Mais pourtant ... Quelque chose en elle changeait. Peut-être car Peach était assez féminin malgré son clair statut de mâle ? Peut-être qu’au fond, ce n’était pas si bizarre et étrange d’aimer le sexe opposé, tant qu’il reste un tant soit peu féminisé. C’était une sensation très étrange pour Aemiliane qui se découvrait tout en se faisant violer. Le garçon était si doué et si tendre avec elle qu’il finit par la faire jouir. Content de son petit exploit, il retourna vite fait l’embrasser et ne rompit sous aucun prétexte son baiser, envoûtant sa proie qui ne sut lui résister. Il se dégageait de lui un charme irrésistible, similaire à celui de sa mère ! Aemiliane y succombait avec délice. Le poison se distillait en elle et promettait de faire des ravages ...
Ainsi donc, elle s’agrippa à son nouvel amant et ne décolla plus de ses lèvres, si pulpeuses et si douces. L’embrasser était en soi un plaisir à part ; plaisir différent que d’embrasser Meryl, mais plaisir quand même ! Cela ne faisait que l’exciter, que la rendre plus folle et plus euphorique. Plus elle perdait pied avec la réalité et plus elle se laissait faire, franchissant encore et encore le point de non-retour. Son amant était tout bonnement délicieux, et Aemi’ ne résista guère quand il lui massa son sein, pinçant son téton rosé. « Haaaw P-Peach ! » Gémit-elle onctueusement, rougissant et soupirant d’aise, de plaisir.
Enlaçant son amant, elle finit par céder à son appel et plaça donc ses mains sur son fessier. La scientifique commença alors à le masser, à le pincer, à palper cette croupe moins fournie que celle d’une femme mais, paradoxalement, aussi excitante et plaisante ! Peach était véritablement une agréable surprise qui la séduisait de plus en plus. Elle ne pensait même plus à cette inquiétante histoire de compatibilité, de frère et autre. Tout ce qui l’incombait, maintenant, était de palper le beau fessier de son amant. Elle en écartait chaque rive pour les faire revenir ensemble. Ses mains serpentaient et s’aventuraient toujours plus profondément, jusqu’à flirter dangereusement avec sa petite rondelle toute étroite et serrée.
Son cœur battait la chamade dans sa poitrine. Elle était incroyablement excitée par tout ceci et par Peach, au point de ne plus voir le danger imminent. Finalement, Aemi’ se laissa corrompre davantage quand elle céda à son petit vice ... Malicieusement, voilà qu’elle se mit à doigter l’étroite petite porte de Peach. « Tu m’excite beaucoup mon beau ... Je n’ai jamais été attirée par les garçons mais toi ... Haaan toi, tu es ma faiblesse ! » Dit-elle alors, embrassant tendrement son amant tout en continuant de le doigter de plus en plus rapidement et fermement. « Jouit Peach, fourres-moi !!! » Affirma-t-elle ensuite, décidée à le faire jouir comme il l’avait faite jouir.
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Paradoxalement, Peach était bien plus féminine que sa mère. Si Meryl avait subi des traitements hormonaux et magiques pour devenir une F-Girl, Peach, lui, avait subi des traitements similaires pour devenir un F-Boy… Un garçon parfait ! Les traitements avaient affiné sa silhouette, embelli ses formes, et fait disparaître beaucoup de pilosité. Peach n’avait ainsi pas de barbe, ni de poils au torse, pas même autour des tétons ! Une véritable peau de bébé, extrêmement douce, et les traitements avaient aussi modifié ses cordes vocales. Au-delà de ça, il subissait continuellement un conditionnement psychique pour avoir un comportement plus féminin, que ce soit en marchant, dans ses réflexions, dans sa façon d’être. Honnêtement, Meryl pouvait tout à fait le déguiser en fille, et Peach aimait d’ailleurs, auprès des autres, se présenter comme une fille. Quand ils sortaient en soirée, Peach se présentait toujours au féminin, et, jusqu’à présent, personne ne l’avait identifié. Pour Peach, c’était toujours une grande fierté que de se faire passer pour une fille, et de réussir. Meryl n’avait jamais éduqué son fils pour en faire un garçon fier de sa virilité, un jeune homme qui chercherait à lutter contre les clichés ambiants. Au contraire, avant même de devenir une F-Girl, elle avait déjà usé certains traitements hormonaux pour féminiser Peach autant que possible.
Le résultat final était très réussi ! Peach était une pure merveille ! Meryl avait beau le battre et l’humilier régulièrement, elle l’appréciait énormément. Il était son enfant, après tout, et elle avait enfin l’occasion d’accomplir son plus grand rêve avec cette humaine soumise. Meryl en aurait pourtant bien fait une F-Girl, mais… L’amour maternel passait avant le reste, n’est-ce pas ? Aemiliane, de son côté, commençait à se prendre sincèrement d’affection pour Peach, palpant ses délicieuses fesses, un joli cul bien moulé, se frottant à lui. Aemi’ pouvait ainsi sentir combien le cul de Peach était tendre, moulant, combien il était féminin.
Aemiliane ne tarda d’ailleurs pas à déclarer sa flamme, ce qui fit sourire Peach, révélant ses magnifiques dents. Il l’embrassa à nouveau, avant de poursuivre :
« Tu sais que je ne suis un garçon que parce que je te l’ai dit, Aemi’… À chaque fois que Maman m’emmène en soirée et que je couche avec une femme, elle me prend pour une fille. Mais toi, tu sais que je suis un garçon… Donc, tu m’apprécies en tant que garçon ! »
Un raisonnement qui semblait sincèrement ravir le jeune homme, qui continua à la prendre. Il frémissait en sentant Aemiliane le doigter, mais son cul, qui était habitué à recevoir la verge impériale de sa mère, se faisait sans problème à ce doigt. Il appréciait en tout cas. À bien y réfléchir, Peach passait plus de temps avec un plug anal que sans. Ses parois anales se dilataient donc très facilement, ce qu’Aemiliane put aisément constater… Tout comme elle put constater que la vigueur de Peach s’accrut quand elle commença à le sodomiser.
Peach accéléra donc le rythme, gémissant encore. Ils s’embrassèrent encore, et la bouche de Peach alla suçoter le creux du cou d’Aemiliane, mordillant doucement sa chair. Peach sentait bon, un parfum agréable qui venait imbiber les narines de l’ingénieure, tandis que le jeune travesti continuait à la baiser énergiquement, à un rythme soutenu et intense. Il savait de plus que sa mère le regardait, et il ne pouvait pas se permettre, face à elle, de ne pas être à la hauteur ! Il y allait donc franchement, accélérant encore le rythme, grognant doucement, se pinçant les lèvres.
« A-Aemiliane… !! »
Dans un râle, dans un ultime soupir, Peach se crispa sur place. Il ferma les yeux, se pinça les lèvres… Et sa queue balança dans le corps de la femme des filaments de foutre. Il se mit à jouir copieusement en elle, balançant sa crème chaude, qui éclata dans son corps. Un long et jouissif orgasme, exquis à souhait !
« Hmmmmmmmmmm… !!! »
Oh, quel bonheur !
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La jeune femme constata bel et bien que l’étroitesse du fondement de Peach était toute relative. L’aisance avec laquelle elle parvenait à s’introduire témoignait de l’usage intensif qu’avait subi ce conduit. Cela suffisait pour faire fantasmer Aemi’, qui s’imaginait dès lors des scènes très sulfureuses avec ce garçon au milieu, se faisant prendre encore et encore, justifiant de l’état de sa rondelle. Tout comme avec Meryl, elle était très charmée, envoutée et excitée. Ces deux-là formaient véritablement une paire et cela promettait beaucoup pour la suite.
Suite qui démarra aussitôt quand le jeune garçon laboura de plus en plus forts Aemiliane, jusqu’à atteindre à son tour son point d’orgue. Son point culminant, l’orgasme qui le fit jouir généreusement en elle ! La jeune femme l’avait désiré, l’avait demandé et maintenant, elle était servie. Elle couina tendrement et se laissa envahir par toutes ces merveilleuses sensations, notamment celle de la semence filant dans ses entrailles, la remplissant encore et encore. Que son orgasme fut long ! Peach éjaculait très copieusement en elle, et plus il le faisait plus elle adorait.
Elle jouit également à nouveau contre lui, contre son tendre amant. Une très belle surprise fut-il, au point de faire doucement chavirer les convictions sexuelles d’Aemiliane, sans pour autant lui faire accepter ou aimer les hommes pour autant. S’ils étaient comme Peach alors ... Elle pouvait avoir un faible. Sinon, ce n’était pas possible ! Plus elle y pensait et plus elle trouvait ça attirant, d’ailleurs. Un garçon androgyne, à la limite de la féminité et la masculinité. Quel beau mélange. Elle en fantasmerait presque ! En tout cas, elle jouit contre Peach et tous les deux succombèrent à un bel orgasme, les laissant en sueur.
Une telle libération sexuelle était bon. Très bon. Aemi’ savourait chaque seconde qui s’écoulait après ça, se lovant contre son amant à la peau si douce. Cependant, se libérer d’un peu de sa frustration sexuelle lui avait permis de revenir proportionnellement à la raison. Ce fut alors à cet instant qu’elle fronça légèrement ses sourcils, se posant les bonnes questions suite à ce qui venait de se passer. « Mais ... Mais tu es un garçon Peach. Et tu viens ... De jouir en moi ! » Dit-elle alors, se rendant progressivement compte de ce que cela impliquait réellement. Ses yeux s’écarquillèrent alors qu’elle regarda le garçon dans les siens, troublée.
« Dit-moi que les trucs qu’on t’as faits t’ont rendu stérile ? Je ... Je ne peux pas ... Je ne veux pas tomber enceinte, c’est pas possible ! » Finit-elle par dire, paniquée. Aemiliane s’était rapidement souvenue que les hermaphrodites étaient en majorité stériles et que c’était devenu par conséquent une habitude ; il n’y avait peu voire aucun risque de tomber enceinte avec. Mais Peach ? Il était normalement un garçon, un vrai ! Elle n’avait plus que pour espoir qu’il lui dise qu’effectivement, tous ses traitements hormonaux lui ont fait perdre toute fertilité ... Sinon, elle serait dans de beaux draps.
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Peach esquissa un léger sourire. Il flottait dans une bulle de plaisir, très largement détendu après avoir enfin joui dans le corps de son amante. Il s’était pour le coup copieusement relâché en elle. Un puissant orgasme qui l’avait traversé, et dont il se montra particulièrement fier, vu la quantité de sperme. De la même manière, Peach se demandait aussi si Aemiliane n’avait pas encore joui… Très heureux, le jeune homme restait encore contre elle, frottant son corps au sien, sentant sa chaleur, percevant sa sueur. C’était quelque chose qu’il appréciait tout particulièrement, une sensation délectable. L’après-sexe… Un moment presque encore plus intime que pendant le sexe, où les corps se déposaient. Avec sa mère, il se retrouvait toujours lové contre elle, sa tête se perdant entre ses seins énormes. À ce moment-là, Peach réalisait combien sa mère l’aimait, car, après avoir joui, elle était d’une grande douceur, câlinant ses cheveux, jusqu’à ce qu’il s’endorme. D’un naturel très doux, Peach avait toujours aimé les câlins, et c’était pour lui un excellent moyen de s’endormir.
Mais là, Aemi’ semblait recouvrer ses esprits, et annonça un truisme, ce qui fit doucement sourire Peach, qui ne put s’empêcher de plaisanter face à elle :
« Oui, c’est exact, et ce fut même très bon, ma belle ! »
Sa queue était d’ailleurs toujours plantée en elle, comme si son membre barbotait dans du liquide amniotique. C’est ensuite que l’ingénieure rassembla ses esprits, et se mit à parler, indiquant qu’elle craignait d’être tombée enceinte, car elle ne voulait pas tomber enceinte. Nullement inquiet, Peach souriait encore, mais une lueur sembla illuminer ses yeux quand Aemiliane affirma ne pas vouloir de progéniture.
Meryl intervint à ce moment, se déplaçant à côté des deux amants.
« Elle n’est pas encore très bien dressée, elle continue à croire que nous nous importons de son avis…
- Soyons tolérants, Mère, c’est tout nouveau pour elle ! »
Meryl haussa les épaules, et frappa avec son pied les fesses de son fils.
« Tâche de ne pas trop m’interrompre quand même !
- Oui, désolé Maman !! »
Peach se dandina doucement sur place, et regarda à nouveau Aemiliane, avant de l’embrasser encore, un bref baiser. Meryl avait déjà été très évasive quant au sort qu’elle réservait à Aemiliane, mais Peach n’était pas aussi cachottière que sa mère, et ne tarda pas à répondre à la jeune femme :
« Aucune de mes modifications hormonales n’a modifié ma fécondité, ma chère sœur. Mais je pense que nous devrions encore faire l’amour, afin que je sois sûr que tu sois enceinte de moi…
- On verra ça plus tard, Peach ! Il est temps de retourner au laboratoire ! »
Peach hocha doucement la tête en se redressant, libérant enfin le corps d’Aemiliane. Le jeune homme se déplaça ensuite, et entreprit de s’habiller plus proprement. Il avait les cheveux courts ce soir, mais disposait d’une perruque en attendant que ses cheveux repoussant, et l’enfila sur sa tête, puis opta pour un style gothique. Devant un miroir, il utilisa un eye-liner autour de ses yeux, un rouge à lèvres noir, puis enfila des vêtements moulants en cuir.
Le jeune homme retourna ainsi devant sa mère et Aemiliane dans une nouvelle tenue (https://rule34.xxx/index.php?page=post&s=view&id=2458085) très réussie. Meryl, elle, opta pour un débardeur noir avec un survêtement (https://rule34.xxx/index.php?page=post&s=view&id=2887593), sa queue massive disparaissant dans le pantalon, glissant vers le bas, comprimée dans la tenue.
« Tu as mis le temps, Peach !
- Désolé, Maman, je voulais me faire belle pour Aemi’… Mais, si elle est enceinte, il faudra attendre un peu avant d’en faire mon petit-frère, non ? Tu crois que je pourrais me marier à elle si elle porte mon enfant ?
- Tu as vraiment envie d’être Papa ?
- Je veux t’offrir de belles petites-filles qui me sodomiseront quand elles en auront l’âge… Et que tu formeras sexuellement ! Ou des petites pédales comme moi ! »
Meryl sourit brièvement, et se pinça les lèvres.
« Tais-toi, vilain garçon, je n’aime pas avoir une érection dans mon pantalon… Et, puisque tu tiens tant à Aemi’, tu portes le collier ! »
Pendant que Peach s’habillait, la jeune femme avait été habillée rapidement. Les servantes de Meryl avaient posé sur sa tête un serre-tête avec des oreilles de chat, un collier avec une petite clochette dorée qui sonnait à chaque mouvement, et un plug tail avec une queue caudale qui remuait et s’animait dans le fondement, retenu par une culotte noire en latex avec un vibromasseur planté dans ses cuisses, et qui vibrait également.
« Et ne traîne pas, Peach, nous avons toute l’installation à traverser pour rejoindre la voiture ! »
Peach acquiesça encore, tout en souriant à Aemiliane, et en tirant sur la laisse :
« Hihi, gloussa-t-il, tu es ma neko à moi, Aemiliane ! »
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Beaucoup d’informations surgissaient de toute part pour Aemiliane. Il y avait en premier lieu le fait que Peach était un garçon, malgré les apparences, et qu’il était capable de la mettre enceinte. La jeune femme, malgré toute sa perversion, ne désirait nullement porter un enfant. Le fait que Peach n’était guère rassurant en affirmant qu’il lui referrait bien l’amour pour être sûr qu’elle soit enceinte, était inquiétant. Pourquoi vouloir une telle chose ? Aemi’ ne leur sera d’aucune utilité si son ventre était tout rond et gonflé. L’ingénieure déglutit rien qu’à l’idée d’être forcée d’accouchée ... Elle espérait réellement qu’elle ne soit pas en cloque.
Mais ce n’était pas le seul point sur lequel elle n’était pas rassurée. De base, toute cette situation n’aurait jamais dû se produire ; mais à présent qu’elle était tombée sous le joug de Meryl, qu’elle avait succombé à elle et sa queue, elle allait devoir faire face aux conséquences. Dans son esprit, c’était encore flou ... Etait-elle réellement tombée entre les mains de Meryl pour toujours ou cherchait-elle encore un moyen de fuir ? Cette confusion était grande, très grande. Cela l’empêchait de réfléchir sainement. Ne pas réfléchir correctement l’empêchait de se rendre compte de ce qui allait advenir d’elle. Peach venait de parler de petit-frère en la visant elle bien explicitement. Qu’est-ce qu’il voulait dire par là ? Etait-il juste timbré comme sa mère, ou bien était-il sérieux ?
Si oui, comment pensait-il pouvoir faire ? Aemiliane était une femme et rien ne pouvait changer ça ! C’était pour cette raison que l’ingénieure pensait que c’était plus une manière de parler qu’autre chose. Elle était à mille lieux de penser qu’il fallait prendre ces mots au pied de la lettre. Quoiqu’il en soit, l’instant câlin avec Peach prit fin. Le garçon et sa mère décidèrent qu’il fallait quitter les lieux et rejoindre le laboratoire. Ils prirent chacun leur route, quant à Aemiliane, elle fut prise en charge. Avant de la faire rejoindre sa nouvelle maitresse, qu’était Meryl, on l’habilla encore un peu. Bien que récalcitrante, elle le fut bien moins qu’auparavant. Elle couina et rougit quand on lui enfonça le plug et le vibromasseur, se sentant dès lors constamment excitée ! Avec cet accoutrement, elle était encore plus mignonne qu'avant (https://rule34.xxx/index.php?page=post&s=view&id=2729075).
Impossible donc de réfléchir, encore une fois. Toute son attention était happée par ce qu’elle ressentait à cause de ces deux jouets nichés en elle. Après quelques temps, elle regagna sa place aux côtés de Peach et Meryl et ne put qu’être séduite par leur changement d’habits. Peach était encore plus craquant et mignon. Meryl était ... Incroyablement sexy, même avec ce genre de survêtement. Cette bosse qui déformait hargneusement son pantalon attisait l’appétit d’Aemi’. Cependant elle n’avait pas le temps de reluquer correctement sa maitresse car Peach tira sur la laisse suspendue à son cou. Voilà donc qu’elle était à la merci du jeune garçon. Un petit et timide hochement de la tête suffit comme réponse, avant qu’elle suive les deux dans le dédale de couloir.
Le trio se dirigeait vers une voiture qui allait les conduire on ne savait où. Meryl avait mentionné un laboratoire, c’était sans doute là qu’elle comptait se rendre. Quelque part, c’était une aubaine pour l’intruse car elle allait pouvoir être au cœur de l’installation ! Jamais elle n’aurait pu accéder au laboratoire par elle-même et là ... Elle en avait l’occasion. Ce n’était donc pas le moment de fuir. Quand elle fut installée dans la voiture, un silence se fit de sa part. Joues rouges, jambes tremblantes car tentant de retenir la furie entre ses cuisses, elle regardait Peach et Meryl tour à tour. Elle avait envie des deux ! Tellement envie. Son corps lui réclamait d’aller se jeter sur eux, qu’importe comment. Ainsi, elle attendit sagement que la voiture démarre pour faire son office. « Maitresse ... » Dit-elle, avant de glisser sa main sur la bosse de son pantalon, caressant cette matraque. Elle lui adressa un regard très gourmand en guise d’accompagnement.
Mais elle en oublia pas Peach pour autant ! Son autre main partit dans la direction opposé et vint à son tour chercher la bosse du jeune garçon se formant à la surface de son pantalon serré. Aemi’ était donc en train de caresser deux triques en même temps ... Et espérait grandement faire effet !
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Aemiliane était très jolie en neko, indéniablement ! Peach était très heureux du cadeau que sa mère lui faisait. Un cadeau magnifique, la preuve ultime de l’indéfectible amour unissant la mère à son fils. Dans leur grande voiture, ils laissaient leur chauffeur les ramener à bon port, une vitre fumée les séparant de la cabine de pilotage. Devant eux, Aemiliane semblait s’impatienter, et Meryl sourit brièvement en constatant que Peach avait mis sur la tête d’Aemiliane un très élégant couvre-chef en dentelle. Un ensemble très assorti qui allait à ravir à la jeune femme !
Tandis que la voiture quittait le complexe, Aemiliane se rappela alors au duo. Peach était en train de pianoter sur son téléphone portable avant de rougir en sentant une main gantée caresser son entrejambes. Meryl, elle, était de son côté occupée sur une tablette tactile, consultant les informations, les actualités, ou sa messagerie professionnelle. Peach regarda alors Aemiliane, ce qui fit sourire Meryl en coin, celle-ci déposant sa tablette à côté d’elle pour venir ensuite commenter la scène :
« Elle se comporte vraiment comme une neko... Elle est en manque d’attention, n’est-ce pas, Aemiliane ? »
Inutile pour cette dernière de répondre, tant la question était purement rhétorique. Meryl sourit à nouveau, et Peach hocha la tête, en se rapprochant un peu de sa mère, permettant ainsi à Aemiliane d’avoir plus facilement accès à leurs sexes.
« Alors, autant lui en donner, non, Maman ?
- Comme tu veux, je t’en ai confié la responsabilité. »
Le jeune homme rougit poliment, et défit la boucle de son pantalon, libérant rapidement son sexe. Meryl en fit de même, ouvrant la fermeture de son survêtement, révélant ainsi sa propre virilité, plus épaisse et plus grosse que celle de Peach.
« Occupe-toi de nous bien comme il faut, ma neko ! »
Impossible pour Aemiliane de faire autrement, après tout, et deux chibres se dressaient devant elle.
« Tu sais, mon chéri, si tu l’engrosses, il faudra attendre pour en faire ton petit-frère...
- Oui, mais... Hmmm... Avoir un enfant me plairait bien, pas toi ? »
Meryl y réfléchissait aussi. Était-elle prête à avoir un petit-enfant ? Une délicieuse petite-fille qu’elle pourrait bien éduquer ? En réalité, elle se l’imaginait très bien ! Meryl avait beau être une femme autoritaire, violente, et très autoritaire, elle n’en restait pas moins une mère, une femme dotée d’un instinct maternel suffisamment fort pour avoir deux enfants. Le choix appartenait ceci dit à Peach, mais, s’il se sentait prêt à franchir le cap... Meryl savait déjà que leur fille bénéficiait d’une bonne éducation, et deviendrait à terme une F-Girl.
Évidemment, l’avis d’Aemiliane là-dedans, ou même son consentement, étaient totalement inutiles aux yeux des deux. Peach, de son côté, frémissait en sentant la main d’Aemiliane sur son sexe.
« Tu peux me lécher, si tu veux...
- Nous lécher, précisa Meryl. C’est ton rayon, non ? Les nekos savent bien lécher, montre-le ! »
Pour Aemiliane, la débauche sexuelle continuait sans relâche...
-
Ces histoires d’enfant ne plaisait guère à Aemiliane. Jusque-là elle s’en était plutôt bien tirée – façon de parler – car elle n’était pas amochée physiquement. Mais si elle tombait enceinte, les choses allaient gravement se compliquer. Avoir un enfant de Peach serait, pour le dire, une catastrophe. D’une part elle se ferait vite remarquer à son travail, là où on n’aimait guère les poids morts comme les femmes enceintes. D’autre part, cela la lierait irrémédiablement à ce garçon qui, même si elle éprouvait de plus en plus d’attirance et de sympathie envers lui, n’était toujours pas prête à devenir sa partenaire.
Mais au fond avait-elle le choix ? Voulait-elle réellement se séparer d’une occasion en or d’être aux côtés de Meryl pour un long, très long moment ? En vérité, l’idée de donner naissance lui faisait peur au point qu’elle était moins inquiète quant au fantasme de Peach visant à la faire devenir son petit-frère. S’imaginant tout sauf la réalité, elle pensait que ça serait moins pire. En tout cas elle savait que sur l’instant présent elle n’avait nul mot à dire. Elle se contenta de saisir les chibres de la mère et du fils, les caressant puis les astiquant lentement.
Cependant un choix cruel lui venait ; qui lécher en premier ? La puissante et attirante Meryl, ou le délicat et mignon Peach ? Rougissant comme une tomate, Aemiliane hésitait beaucoup. Vraiment beaucoup. « Je ... Je vous veux tous les deux ! » Déclara-t-elle dans un premier temps. Mais son regard se pencha rapidement vers Meryl, lui adressant un œil rempli de désir. Un regard pervers et très sulfureux, hypnotisé par la musculature ferme de la femme et surtout son gros membre entre ses cuisses. Inutile de dire que Meryl avait désormais une place particulière auprès d’Aemiliane, qui ne pouvait la voir autrement que comme la femme qui avait changé à jamais sa vie.
La femme qui était prédestinée à la dominer ; celle qui allait enfin dompter la petite furie qu’elle était ! Ainsi donc, l’ingénieure se pencha et comme une affamée, se mit à lécher le dard tout rigide et ferme de Meryl. « Hmm ! » Ronronna-t-elle de bonheur et de joie, léchant tendrement ce gourdin de chair. Sa langue filait langoureusement, léchant cette peau et ponctuant son chemin de baisers. Elle se perdit contre les lourds testicules de Meryl avant de revenir sur sa queue, prenant son temps pour entamer ses premiers vas et viens dans sa bouche. Mais, au même moment, sa main venait saisir plus fermement la trique de son Peach.
Aemi’ se mit à le masturber fermement, décidée à faire plaisir à son nouvel ami. Sa main filait avec une précision déconcertante, et une fermeté qui empêchait Peach de lutter ! Autant dire qu’elle faisait preuve d’une sacrée audace en décidant de faire plaisir aux deux en même temps. Mais, elle devait bien prouver qu’elle était digne d’être de la famille, après tout ?
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Si Meryl avait pu lire dans l’esprit d’Ameiliane, et voir que cette dernière songeait à son boulot, et s’inquiétait des conséquences du fait d’être enceinte avec son travail, elle en aurait assurément souri. Une telle innocence, une telle naïveté ! Les rumeurs faisant de la Fut-Corp une organisation mafieuse et criminelle étaient très largement fondées, et, en ayant accès à la Fut-Factory, et en voyant les démons à l’intérieur, Aemiliane avait franchi les limites. Meryl avait déjà transmis l’information à la direction de s’occuper d’elle, de la faire disparaître. Tout le plan se mettait en branle afin de provoquer sa mort, et de la faire disparaître. Elle ne retournerait plus jamais chez elle, et ne retrouverait plus jamais sa vie d’antan. Elle appartenait pleinement et entièrement à la Fut-Corp, dont elle était désormais l’esclave. Il n’y avait même pas besoin pour Meryl de le dire, car c’était une certitude.
Mais là, face à leurs membres veineux, Aemiliane songeait surtout au sexe, à cette soif lancinante en elle. Meryl sourit brièvement en devinant les hésitations d’Aemiliane, dont le regard coulissait de la verge monstrueuse de Meryl à celle de Peach. À l’air libre, le sexe de Meryl semblait pulser dangereusement, se redressant doucement, exposant une série de veines, comme si ce chibre était gonflé aux hormones, dopé aux stéroïdes. Puis Aemiliane, comme la bonne petite chatte dressée qu’elle était en train de devenir, se dirigea ensuite naturellement vers la dominante du duo, et entreprit de lécher ce gros membre. Meryl soupira doucement, et alluma son téléphone portable, filmant tout naturellement la scène.
« Vas-y, Aemi’, fais de beaux mouvements, que nous puissions immortaliser la scène ! »
Silencieux, Peach se mordillait les lèvres, ondulant doucement sur place... Et gémit soudain en sentant l’une des mains d’Aemiliane caresser son sexe, venant le masturber. Il couina de plaisir, et rougit sur place, puis vit l’objectif du téléphone portable de sa mère glisser sur lui. Il sourit alors à la caméra, et fit même, brièvement, avec ses doigts, le « V » de la victoire, comme pour signifier que tout allait bien. Après tout, il contemplait celle qui allait porter son enfant. En réalité, le timing était idéal, car transformer une fille en Fut-Boy prenait toujours du temps. Il fallait adapter le démon incubateur à son hôte, ce qui nécessitait d’en faire grandir un ayant en lui le code génétique de sa proie, soit plusieurs mois de latence. C’était épuisant et très énergivore. Après tout, il y aurait sinon une recrudescence de F-Girls ou de F-Boys !
Peach soupira donc pendant qu’Aemiliane s’attaquait au couple incestueux, prenant le membre de Meryl en bouche. La main de la femme s’empoigna à ses cheveux, se serrant dessus, et serra brusquement, appuyant d’un coup sec, enfonçant sa queue de quelques centimètres supplémentaires dans la bouche de son esclave.
« Là, salope, oui... Regarde, Peach, hmmm... C’est comme ça qu’il faut traiter les petites putes comme ça, mon chéri. Pas de mots doux sans jurons, elles adorent ça. Plus j’insulterai cette chienne en rut, et plus elle mouillera !
- Haaa... Oui, Maman ! »
Meryl serra encore, étouffant Aemi’ avec une solide gorge profonde, qui dura bien une dizaine de secondes, avant qu’elle ne relâche la pression, et ne glousse sur place.
« Tu n’es pas habituée, hein ? Il m’arrive souvent d’étouffer mes partenaires quand je les baise, tu sais... Soit en les écrasant sur place, ce qui les comprime sous mon poids... Mais tu auras l’occasion de t’habituer, ma chérie, ne t’en fais pas... Vas-y, pompe bien, tu peux te caresser, si tu veux... Si tu jouis avant que nous arrivions à la base, je te baiserai sur le capot de la voiture. »
Dans tous les cas, elle la baisera, mais... Autant donner un peu de challenge, non ?
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Etrangement – ou pas – l’idée de se faire écraser par Meryl était séduisante. Evidemment il ne fallait pas prendre cela au pied de la lettre mais ce qui était sûr était qu’Aemiliane adorait se sentir dominée par cette femme. Si grande, si forte, si musclée ... Elle incarnait l’une des meilleures formes de la perfection ! L’ingénieure raffolait de son corps et surtout de sa trique qu’elle pompait désormais avec un bien bel appétit. Elle suçait encore et encore, ses lèvres et sa gorge plongeant contre ce membre appétissant, bien que volumineux. Impossible de résister à un tel festin. La jeune femme n’osait l’admettre par résidu de pudeur ou dignité, c’était d’ailleurs pour la même raison qu’elle n’osait avouer pleinement désirer, très fortement, assumer sa nouvelle vie d’esclave.
Tout était allé si vite et pourtant, Aemi’ était en train de mettre une croix sur sa vie passée. Toute sa vie passée ! Pour en embrasser une nouvelle. Qui sait ce qui allait se passer au bureau ? Qui sait comment et pourquoi elle allait disparaitre aux yeux de tout le monde ? Ça importait peu. Tout ce qui importait était Meryl et Peach. Elle pompait l’une et branlait l’autre, démontrant là son savoir-faire. Mais malgré celui-ci, elle ne put s’empêcher d’écarquiller les yeux et s’étouffer douloureusement quand sa maitresse décida de l’enfoncer durement contre sa trique. L’air manqua rapidement et sa gorge lui fit mal, bien que la douleur était supportable grâce aux injections qu’elle avait reçu.
« HMMM ! » Grogna-t-elle contre le féroce membre charnu de Meryl, se laissant faire, subissant comme la petite chienne qu’elle était devenue. Une dizaine de seconde plus tard elle sentit l’air lui revenir, signe que Meryl avait relâché la pression. Elle respira grandement et rapidement, les joues rouges et le souffle rapide. « J’ai ... J’ai adoré, Maitresse. » Déclara-t-elle alors, regardant d’un œil très sensuel sa ravissante maitresse. L’occasion lui était donné de se caresser, de se soulager mais, si elle le faisait trop et jouissait, elle allait se faire prendre sur le capot. Etait-ce une punition ? En tout cas ça n’avait pas l’air car, l’idée de se faire sauter comme une pute par Meryl sur un capot de voiture sonnait comme tout sauf une sanction !
Néanmoins elle en oubliait son chéri. Malicieusement, elle déplaça sa main depuis la trique de Peach vers sa main, la caressant d’une manière particulièrement douce et attentionnée pendant l’espace de quelques secondes. Puis, elle la dirigea vers sa féminité, vers son intimité qu’elle offrait à son amant, l’incitant à la caresser. « Caresses-moi Peach ... Je veux te sentir me trifouiller ! » Finit-elle par dire, consciente que faire des demandes était risqué compte-tenu du caractère très dominant et fort de Meryl, qui n’aimait pas ça. Mais, c’était dans la nature d’Aemiliane d’être une provocatrice, une fouine, une tête brûlée ! Ça ne serait pas aussi amusant sinon. Cela ne l’empêcha guère de continuer à sucer sa maitresse en y mettant tout son cœur, creusant inlassablement ses joues contre ce membre veineux.
Cependant, elle finit par prendre une courte pause pour redresser sa tête, venant alors chercher un long baiser auprès des lèvres succulentes de Meryl. La scientifique embrassa très tendrement et affectueusement sa maitresse, plongeant langoureusement sa langue dans sa généreuse bouche tandis qu’elle caressait ses beaux abdominaux de par sa main. Main qui finit par se balader plus en haut, tâtant un des énormes mamelons de la grande femme ...
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La petite Aemiliane était en train de succomber, totalement et pleinement. Elle ne pouvait guère lutter contre Meryl, contre la passion et la puissance de cette F-Girl. La puissante Meryl la mettait au pas, et c’était délicieux. Elle aimait déjà beaucoup sa nouvelle esclave, qui allait faire office de chatte de service pendant plusieurs mois. Elle serait régulièrement traitée avec le F-Gen pour la rendre apte à subir l’ultime transformation, celle qui achèverait de la transformer. L’idée de se doter d’un nouvel enfant n’était pas pour déplaire à Meryl. La femme n’était pas aussi hostile aux hommes que les autres Tekhanes habituelles, ce qui expliquait aussi pourquoi elle n’avait pas transformé son fils en fille, mais l’avait au contraire féminisé, pour son propre bien. De cette manière, Peach avait pu s’épanouir, jusqu’à devenir, consécration ultime, un F-Boy. Il était régulièrement l’objet des intrusions sexuelles des autres F-Girls, mais ce ne serait sûrement pas lui qui viendrait s’en plaindre, bien au contraire. Meryl esquissa un léger sourire, et Peach, quant à lui, obtempéra silencieusement, se glissant dans le dos de la jeune femme.
Aemiliane ne se laissa toutefois pas faire, et se redressa alors, venant embrasser Meryl, tout en caressant ses abdominaux. Meryl lui répondit doucement, la laissant faire. Finalement, Peach n’avait plus accès à l’intimité d’Aemiliane, mais ce n’était pas grave, le jeune homme savait s’adapter.
« Hmmm... »
La main d’Aemiliane palpa ensuite l’un des seins de Meryl, ce qui la fit sourire malicieusement. Elle rompit alors le baiser, et sa main remonta pour caresser la joue de la femme. Son pouce glissa sur ses lèvres, et elle l’enfonça dans sa bouche, conservant son sourire sur ses lèvres. La situation plaisait énormément à Meryl, qui adorait profiter du corps de cette jeune femme. Son regard glissa sur son corps, et son autre main se saisit de sa clochette, tirant doucement dessus.
« Tu veux savoir quelque chose, Aemi’ ? Mes seins se gorgent facilement de lait... Et je crois que tu pourras boire en pompant un peu. Qu’en dis-tu ? Les petites chattes comme toi aiment bien le lait, non ? »
Meryl sourit à nouveau, toujours aussi malicieusement, et l’incita à venir, posant sa main sur ses cheveux, et la guida près de son sein. Peach remonta alors, et ses doigts s’attaquèrent à son plug anal, qu’il retira alors. Il lécha alors son fondement, glissant sa langue contre sa rondelle, palpant ses fesses avec ses mains. La voiture, fort heureusement, roulait sans trop d’accrocs, ce qui permettait aux trois amants de continuer à s’envoyer joyeusement en l’air.
Meryl gémit alors doucement, et, rapidement, son téton se mit à relâcher un délicieux liquide blanchâtre et juteux dans sa bouche.
« Hmmm... Son petit cul est bien élargi, Maman...
- Oui, elle aime se faire sodomiser, c’est une belle salope, tu sais... »
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Plus ça allait et plus Aemiliane se complaisait dans cette situation. N’était-ce pas déjà le cas auparavant ? Pas exactement. De plus en plus elle appréciait grandement ce qui lui arrivait et se disait sincèrement, au fond, que c’était une meilleure vie qui l’attendait. Peut-être n’aurait-elle plus de job à GWC, ni même de contact avec ses anciennes amies, mais ... Elle serait désormais entourée de bien belles et beaux amants ! Ce qui se fait de meilleur à Tekhos. L’ingénieure ne protestait plus vraiment et se laissait aller, acceptant donc sa destinée ; celle de devenir l’esclave privée de Meryl ! Et peut-être plus d’ailleurs ...
En tout cas, elle continuait à embrasser tendrement sa maitresse sur ses lèvres et maintenait sa poigne sur son sein. Elle couina et rougit furieusement quand Peach se mit à toucher à son plug, frémissant et vibrant sur ses cuisses surtout quand il finit par l’extraire. « Ahh ! » Rugit-elle subitement, comblée juste après par une malicieuse langue venant explorer sans honte sa délicieuse petite rondelle. « Hmm Peach ! » Couina-t-elle d’une voix docile et joueuse, rouge comme une tomate. La gêne avait laissé place au plaisir et au vice.
Aemiliane fut un peu surprise d’entendre Meryl lui affirmer que ses seins se gorgeaient facilement de lait mais, après tout, avec toutes les modifications génétiques que subissaient les F-Girl ce n’était au fond plus très étonnant. Ainsi en bonne petite chatte docile, la jeune femme se pencha un peu et vint tendrement lécher et embrasser le sein de sa maitresse. Puis peu de temps après voilà qu’elle eut confirmation des dires de la F-Girl ; un savoureux liquide s’écoula, ressemblant très fortement à du lait. Evidemment, Aemi’ ne se priva guère pour s’en repaitre et lécher davantage.
Après tout, elle était une petite chatte avec son accoutrement ! C’était visiblement le thème du moment. Avec Peach lui arrachant soupirs et couinements en continue à force de lui lécher la rondelle, la jeune femme ne parvenait vraiment plus à se raisonner – quand bien même elle avait passé le point de réfléchir sainement, même sans aucun stimulus. Elle était, pour le dire ainsi, condamnée. Mais de manière volontaire ... C’était à se demander ce qu’elle était venue réellement chercher avec cette opération d’infiltration. En tout cas elle avait trouvé quelque chose de grandiose, qui dépassait tout ce qu’elle pouvait imaginer ...
Alors qu’elle continuait de téter sa maitresse elle ne résista guère au désir de venir glisser sa main sur le puissant braquemart de celle-ci, commençant à l’astiquer, à le branler de toutes ses forces, faisant des vas et viens avec sa petite main qui paraissait minuscule sur ce membre.
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Assise sur la banquette, Meryl souriait doucement en voyant Aemiliane s’attaquer à l’un de ses seins. La jeune esclave fut sans doute surprise d’apprendre que Meryl pouvait allaiter sans trop de difficulté. Mais elle était une F-Girl, après tout... Et les F-Girls étaient des individus très particuliers, des femmes exceptionnelles, comme Aemiliane se devait de le réaliser à chaque seconde. Elle s’attaqua donc à son sein, et commença à sentir le lait affluer entre ses lèvres. À ce contact, Meryl soupira doucement, sa tête basculant en arrière, et sa main serra les cheveux de la chatte de service, qui s’appuya alors sur sa trique. Elle dut en effet sentir la pointe de sa verge caresser ses hanches, la queue de Meryl se redressant doucement et fortement.
« Hmmm, ma queue te manque, hein, petite chatte ? Tu dois avoir envie de la sentir en toi, hein ? »
Impossible pour elle de répondre, car la main de Meryl la maintenait contre son sein. Toutefois, Peach était fort heureusement là, et le jeune travesti savait très bien comment réagir avec sa mère. Ils faisaient l’amour depuis tellement longtemps ensemble qu’il savait quoi faire sans même qu’elle ne le propose. Peach se redressa alors, et posa ses mains sur les cuisses d’Aemiliane, et la souleva alors.
« Laisse-toi faire, mon amour... Vu comment la bite de ma Maman te manque, il faut bien satisfaire ta soif, non ?
- C’est normal, c’est une petite chatte en manque d’affection, Peach... »
Peach avait donc soulevé le corps d’Aemiliane, et attrapa avec son autre main le sexe de sa mère, tirant dessus. La queue de sa mère se retrouva ainsi contre le ventre d’Aemiliane, qui dut encore courber son dos, tandis que Peach tirait encore sur le sexe de sa mère, l’abaissant finalement presque à la verticale, jusqu’à ce que son membre se retrouve sous le corps de la belle chatte. De fait, Peach sentit contre ses doigts des filaments de mouille qui s’échappaient des cuisses de la jeune femme. Leur esclave était vraiment une exceptionnelle perverse, et, après avoir tiré sur la queue de sa mère, Peach la releva doucement.
Et, comme à son habitude, il chantonnait doucement, comme si tout cela était innocent et enfantin pour lui. La verge de Meryl heurta l’intimité d’Aemi’, puis s’enfonça encore, venant ainsi la pénétrer.
« Là, voilà... Profite, ma chérie. Je suis un peu comme ton mari, maintenant, il est normal que je prenne soin de ma femme et de son bonheur... »
Meryl sourit malicieusement, et releva le visage d’Aemiliane, venant l’embrasser alors que sa bouche était pleine de lait, tout en déplaçant son autre main, la posant sur son cul. Elle malaxa ses fesses fortement, et la gifla ensuite sèchement, faisant claquer les fesses de l’ingénieure dans l’habitacle de la voiture. Elles s’embrassèrent longuement, la puissante femme sentant avec une délectation immense son érection se répandre dans le corps de sa partenaire.
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Il était indéniable qu’Aemiliane était devenue une petite accroc au sexe de Meryl. Comment faire autrement ? Une queue si grosse et si rigide, impossible de ne pas la vouloir en elle. Ainsi donc pendant qu’elle continuait de boire le lait de sa bien belle maitresse, le sexe de celle-ci frotta sa hanche et cela excita grandement la jeune esclave. Cependant impossible pour elle de faire quoique ce soit puisque la ferme et forte poigne de Meryl maintenait son visage contre son opulente poitrine. De ce fait, Aemiliane était pour le moment condamnée à sentir cette verge la caresser sans pouvoir pour autant l’absorber en elle.
Mais c’était avant que Peach, son curieux crush, décide de lui venir en aide. Elle se laissa faire quand il la souleva légèrement pour permettre à la queue de sa mère de se faufiler au bon endroit. Tout son petit corps frémit rien qu’à ce contact entre cette verge et sa féminité. Puis le moment tant désiré survint ; Peach relâcha tout et permit donc à Aemiliane de s’assoir sur la juteuse trique de Meryl, l’enfonçant tendrement en elle. « Haaa ! » Couina-t-elle fortement en rougissant comme une tomate. Peach était serviable et aimable, même dans ce moment pervers. Un véritable mari comme il se définit lui-même ... Même si, cela demeurait très étrange et inhabituel.
En tout cas la jeune femme pu enfin se trémousser contre le sexe de sa maitresse adorée ! L’ingénieure commença à danser sur place, se hissant d’elle-même sur cette queue massive, l’enfonçant en elle à allure régulière. Quand Meryl se mit à malaxer ses fesses, elle se mordit la lèvre. Mais quand elle se reçut la claque dessus, elle couina subitement, de telle sorte qu’elle faisait comprendre qu’elle en redemandait. Ce genre de petites choses, de petites attentions, elle en raffolait après tout ! Mais elle ne résista guère au baiser. En effet, elle se courba en avant et vint embrasser Meryl de toutes ses forces, savourant encore une fois l’exquise saveur de ses lèvres mauves.
Douces et délicieuses, contrastant avec l’aspect féroce et brutal du corps de Meryl. Sa bouche avait un goût de paradis ... Aemiliane pouvait s’y perdre pendant des heures ! Sa langue plongeait encore et encore dedans, se tordant et dansant avec celle de sa maitresse tout en gobant et dévorant les succulentes lèvres de la F-Girl. Un baiser long, langoureux et enflammé que les deux femmes partagèrent tandis qu’elles se faisaient l’amour. Aemiliane se faisait à nouveau sauter par Meryl, à son plus grand bonheur et extase. « Maitresse ! Oui, Maitresse ! Encore !!! » Gémit tendrement Aemiliane, en transe, enivrée par tout ce que pouvait dégageait Meryl ... Elle était sa maitresse, et plus rien ne pouvait changer cela à présent.
De ce fait, tout – absolument tout – ce qui provenait de Meryl était bon et à prendre. Tout ce qu’elle pouvait lui faire était également, extase et plaisir ...
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Meryl esquissa un léger sourire devant l’appétit manifeste d’Aemiliane. Maintenant que la petite chatte avait sa verge dans son corps, elle ne cherchait plus à lutter, elle s’abandonnait totalement. Son corps ondulait sur place, se dandinant le long de sa verge. Dans son dos, Peach souriait, et Meryl laissa la femme l’embrasser, répondant volontiers à son baiser, ses solides mains se posant sur ses hanches. Elle appuya dessus, serrant sa peau, et répondit longuement à son baiser, avant de sourire encore. Les gestes de Meryl étaient plutôt lents, elle ne cherchait pas à forcer le passage, et laissait plutôt à Aemiliane le soin de savourer sa belle queue. Son membre dressé se perdait en elle, et elle hocha doucement la tête.
« Encore, hein ? Qu’est-ce que tu es gourmande, ma chérie...
- Elle tient bien l’allure, hein ? Je suis sûr que c’est déjà une grosse cochonne avant qu’on n’en fasse notre petite chatte, Mère ! »
La F-Girl sourit doucement, et remonta sa main, caressant le visage d’Aemiliane. Peach ne resta pas en reste de son côté, car il se frottait contre Aemiliane, son membre tendu remontant depuis ses vêtements pour caresser les fesses de la jeune femme. Il déboutonna son pantalon, libérant sa queue, et caressa avec le joli petit cul d’Aemiliane. Prise entre eux deux, la jeune femme ne pouvait que subir leurs assauts, et Peach posa sa main sur son sexe, avant de l’approcher de son fondement.
Elle esquissa un léger sourire, et embrassa Aemiliane dans le creux du cou, puis approcha sa verge de son cul. Pour l’aider, Merul posa ses mains sur les fesses d’Aemi’, les écartant bien fort l’une de l’autre, ce qui permit à Peach de se glisser en elle. Autant dire que la banquette devenait bien remplie, et le fourgon devait désormais rouler lentement pour maintenir le trio en place.
« Hmmm, Aemi’... Ton cul est encore bien élargi, hihi... »
Indéniablement, Aemiliane allait être bien au sein de la Fut-Room. Elle serait la petite chatte de femmes musclées et puissantes, et la femme de Peach. Il posa d’ailleurs ses mains sur ses seins, en appui, et commença à la prendre, donnant des coups de reins, pendant qu’Aemiliane commençait à couiner sur place, les deux membres remuant en elle, s’enfonçant profondément. Ils optaient davantage pour la lenteur et pour la profondeur de leurs coups de reins, plutôt que pour la rapidité.
Peach se mit à gémir encore, couinant délicieusement dans les oreilles de la femme, et continua donc à remuer en elle, déflorant son délicieux petit cul...
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Un délice sexuel qui n’en finissait pas de tomber sur Aemiliane. En transe, la jeune femme oubliait tout les tracas et la difficulté de sa vie ; pourquoi se donner tant de mal pour si peu ? Alors qu’elle pouvait être entourée de femmes si puissantes et si bonnes. Meryl, Peach ainsi que toutes les autres F-Girl et F-Boy ! L’ingénieure avait tout pour être heureuse dans sa nouvelle vie. Adieu la difficulté et les complications d’un vrai métier. Elle accueillait à bras ouverts sa nouvelle condition d’esclave sexuelle, vouée à assouvir tous les désirs les plus salaces de ses maitresses. Vouée à assouvir ses propres pulsions sexuelles en continue !
Car il était bon de rappeler que, après tout, Aemiliane fantasmait beaucoup sur les femmes comme Meryl. En avoir une en face d’elle était donc une expérience unique et très excitante. Au point où elle en devenait rapidement accro. La jeune femme ne pouvait plus s’empêcher de danser sur la massive queue de Meryl, de se l’enfoncer toujours plus profondément en elle afin de chercher le précieux orgasme qui allait la rendre encore plus euphorique. Mais ce fut défintivement mieux quand Peach se décida à venir dans son dos pour lui aussi venir chercher sa part.
Le jeune garçon se faufila et grâce à l’aide de Meryl qui écarta bien le petit fessier d’Aemiliane, il put ainsi enfoncer sa queue à son tour. La jeune femme poussa un cri soudain et étouffé, mais qui transpirait l’extase de se faire sodomiser ainsi. Prise en sandwich entre deux amants tout aussi performants l’un que l’autre, elle était vouée à leur servir de jouet. Se balançant sur Meryl, elle sentait son délicieux amant lui marteler le fondement tout en empoignant fermement sa poitrine, lui pinçant doucement les tétons. « Haaa Peach ! » Couina-t-elle doucement, succombant à ses multiples baisers dans son cou, étant très sensible à ce genre de choses.
Aussi lent et langoureux tout ceci pouvait être, il n’en demeurait pas moins que c’était intense. Avoir deux amants d’un seul coup était difficile à surmonter, même pour une petite perverse comme Aemiliane. Cette dernière continuait à plonger aveuglément dans ce bain de sexe et luxure, enivrée par Meryl et son fils. Elle se rendit à peine compte qu’elle finit par jouir une première fois, l’orgasme la paralysant de part en part pour lui offrir un instant de pure euphorie, suivie par un second ... Puis par tant d’autres. En somme, la jeune femme était submergée de partout, tant physiquement que mentalement, surchargée par cette frénésie sexuelle dont elle à la fois victime et heureuse chanceuse ...
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« Han... Maman, son cul est... Si étroit... Hmmmm... !
- C’est sûr que tu n’es pas habitué, Peach... Ce n’est pas une F-Girl, hmmm, mais c’est ta petite salope, tu as intérêt à en prendre soin, hmmm...
- Elle ne manquera jamais d’amour avec moi, Maman, hmmm... !! »
Dans le dos d’Aemiliane, Peach soupirait encore, essayant de se faufiler. Sa position était assez inconfortable, d’autant qu’ils étaient dans un van, ce qui n’était clairement pas pensé pour ça ! Mais leurs corps se collaient mutuellement, et, pour rien au monde, Peach n’aurait retiré sa queue. Il prenait en ce moment un pied d’enfer, et son sexe l’élançait furieusement, douloureusement... Et c’était terriblement bon ! Un plaisir jouissif le traversait, et il s’appuya sur les seins d’Aemiliane, se crispant dans son dos, ses coups de reins permettant de faire remuer la jeune chatte, dont la clochette carillonnait de temps en temps. Sa bouche se posa sur le cou d’Aemiliane, et il mordilla sa peau, se crispant encore contre elle.
Quant à Meryl, elle prenait son pied. Véritable force tranquille, elle soupirait peu, ne hurlait pas, savourant ce spectacle. La petite chatte remuait contre elle, et elle empoignait parfois ses cheveux, venant alors l’embrasser fougueusement, furieusement, et même douloureusement, car elle n’hésitait pas à mordiller sa lèvre inférieure. Elle se recula ensuite, continuant à sourire malicieusement, et soupira ensuite.
« Quelle énergie, en tout cas... Tu es une petite chatte insatiable... C’est à croire que tu es en manque, ma belle, hmmm... Mais je n’ose imaginer que Miranda Forge aurait pu laisser ta chatte rester en feu sans venir éteindre les flammes avec sa lance. »
Ils en étaient à un stade où la poésie n’était plus de mise. Meryl parlait de façon très crue, ce qui allait à merveille avec ce que subissait Aemiliane. Du sexe sauvage, violent, intense, brutal, avec de belles queues bien juteuses ! Bref, tout ce qui faisait le bonheur du sexe tekhan, a fortiori avec une F-Girl ! Fidèle à sa réputation, Meryl ne comptait pas jouir vite, tandis que, peu à peu, Aemiliane s’aliénait, disparaissant encore.
Le van, de son côté, descendit dans un parking souterrain, ce qui amena Aemiliane à s’écraser contre les seins de la femme. Le véhicule s’arrêta ensuite sur une place de stationnement, mais personne ne semblait pressé de sortir. Au lieu de ça, maintenant que le van était enfin arrêté, Peach pouvait donner des coups de reins plus prononcés, sans avoir à craindre de tomber à la renverse. Grognant et soupirant longuement, il continua à se répandre dans le corps d’Aemiliane, jusqu’à se mettre à jouir copieusement en elle.
« Aaaaaaahhh... !! »
Peach se calma ensuite progressivement, ce qui fut alors l’occasion pour Meryl de se relever d’un coup. Surpris, Peach en tomba à la renverse, et Meryl s’avança, écrasant Aemiliane contre la paroi du van, puis remua furieusement, se mettant à la baiser sèchement, intensivement, avec une énergie forte et redoutable.
« Hmmm, bordel de salope... Haaaa... Haaaaaaa... !! »
Sous ce rythme frénétique, même le van se mit à remuer, annonçant un final grandiose !
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Il était difficile de comparer madame Forge avec Meryl et Peach. C’était deux choses différentes, comme ... Des pommes et des oranges. Meryl était plus axée sur la domination active, frontale et brutale. De la virilité à l’état pur, tandis que sa patronne – désormais ancienne patronne – était une dominante mais bien plus subtile, raffinée et fine. C’était deux mondes différents. En tout cas celui de Meryl avait le mérite d’être nouveau pour Aemi’, ne serait-ce que par le fait que pour la première fois de sa vie elle couchait également avec un garçon ! Elle ne savait pas pourquoi mais plus Peach lui parlait et la baisait et plus ... Elle ressentait de la sympathie pour lui.
Il était très mignon après tout. C’était un petit régal de le sentir dans son dos en train de la sodomiser, de lui dire qu’il prendra soin d’elle, etc. La scientifique avait eu la subite envie de le prendre dans ses bras et lui faire plein de baisers et caresses mais, vu la situation, il lui était impossible de le faire. Tout ceci pour dire qu’elle ressentait de plus en plus d’attirance pour Peach, malgré son sexe. Elle continua donc à se faire prendre en sandwich par la mère et son fils, en continue, inlassablement. Enchaînant orgasme sur orgasme, la vidant de toute énergie.
Cependant, le van arriva à destination. Personne n’en sortit et, à présent qu’il était stabilisé, l’amant d’Aemiliane put enfin adopter un rythme plus soutenu. Le jeune garçon se mit à la sodomiser plus fort et plus rapidement, assénant à sa croupe de secs et violents coups de trique qui finirent par le faire jouir de toutes ses forces. Aemi’ sentit avec joie et plaisir la semence de Peach se rependre dans son fondement, lui remplissant généreusement les entrailles, lui procurant une bien agréable sensation. Elle caressa le visage de Peach en posant sa main sur son visage, derrière son épaule, mais alors qu’elle s’apprêtait à tourner son visage pour venir embrasser son mari, Meryl décida de passer aux choses sérieuses.
Voilà donc que la scientifique se retrouvait presser contre la paroi du van, à se faire démolir par la F-Girl ... « HAAA ! HAAAAANNNN !!! » Gémissait-elle puissamment alors qu’elle subissait avec extase la fureur sexuelle de sa maîtresse adorée. Elle hurlait, encore et encore, suppliant Meryl de l’achever, de la faire jouir, de faire d’elle sa petite pute en lui fourrant l’utérus de sa précieuse semence. Au bout de longues et intenses minutes, alors que l’ingénieure suait et se fatiguait beaucoup, le coup de grâce arriva ; Meryl se relâcha copieusement en elle. La puissante F-Girl se défoula sur Aemi’, s’en servant comme un vide-couille sans plus de considération pendant son long et puissant orgasme. Le van lui-même se mit à remuer tellement la force des coups de trique était intense.
Finalement, la jeune femme manqua de peu de sombrer dans l’inconscience. Essoufflée et à bout, elle jouit une dernière fois en même temps que sa grandiose maîtresse, se retrouvant avec un ventre bien gonflé de foutre, lui donnant des allures de femme enceinte. À moitié inconsciente, elle rêvassait pendant qu’elle se remettait de ses émotions et de ce furieux orgasme que Meryl avait subi et déchargé sur elle. Le plus surprenant était sans doute qu’au fond, Aemi’ ne pensait qu’à une chose ; à quand était la prochaine fois ?
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Cette folle séance se termina quand Meryl se retira du corps d’Aemiliane, et que la jeune femme, les yeux dans le vide, tomba mollement au sol. Meryl respirait lentement, reprenant peu à peu ses esprits, sa queue trempée se dressant encore légèrement dans les airs, recouverte de traînées blanchâtres, des filaments de sperme et de mouille qui s’étaient collés à son membre. Elle respirait lourdement, et sourit ensuite doucement. Gisant au sol, Aemiliane respirait lourdement, son ventre bien gonflé. Meryl avait puissamment joui en elle, un orgasme terrible, à la hauteur de l’intensité et de la soif de la F-Girl. Elle n’avait rien épargné à Aemiliane, mais c’était bien naturel. Meryl s’était retenue pendant tout ce trajet, toute cette longue traversée depuis la Fut-Factory jusqu’à la Fut-Room. Et Peach était bien placé pour savoir que, quand sa mère se retenait ainsi, c’est qu’elle était en réalité sur le point de fondre. Elle avait donc bondi sur sa proie, et avait baisé Aemiliane sans relâche, jusqu’à... Jusqu’à cet orgasme.
« Elle est épuisée, Maman...
- Ne la sous-estime pas, elle est plus endurante qu’elle en a l’air, cette petite. »
Peach ne put qu’acquiescer. Meryl ouvrit ensuite la porte du van, et sauta au sol.
« Conduis-là dans le salon, je vais prévenir les autres que nous avons une petite chatte domestique... »
Peach hocha la tête, s’inclinant respectueusement devant sa mère, puis tira sur la laisse d’Aemiliane.
« Allez, tu ne vas quand même pas te reposer ici, hein ? Dans ce van sinistre, c’est un coup à attraper une pneumonie ! »
Il tira encore sur la laisse, jusqu’à ce qu’Aemiliane puisse le suivre. Quittant le parking, il rejoignit un ascenseur qui les conduisit à la Fut-Room... Ou, plutôt, au Fut-Bunker, c’est-à-dire les quelques niveaux de la Fut-Room abritant les quartiers des F-Girls. C’était un ensemble de couloirs et de pièces abritant, outre les chambres, des salles d’expérience, des love rooms, des laboratoires sexuels, des pièces de dressage pour les esclaves... Vu de l’extérieur, l’ensemble ressemblait à une sorte de complexe scientifique aseptisé, avec des couloirs blancs aux murs nus, des drones de nettoyage venant régulièrement faire le ménage. Les portes étaient toutes verrouillées par des cartes électromagnétiques ou par des scanners.
Peach, tout en chantonnant, rejoignit l’une de ces portes, et passa l’étape du scanner visuel. Il entra ainsi dans l’un des salons de la Fut-Corp, avec plusieurs sofas, des canapés, une grande télévision, et divers meubles à vocation sexuels, comme un chevalet, une croix de Saint-André, des fauteuils de massage avec des vibromasseurs... Et une autre personne qui, en les voyant arriver, s’extirpa du fauteuil où elle se trouvait, et protesta rapidement :
« Et ben, vous avez mis le temps !
- On a trouvé ma future femme ! Regarde, elle s’appelle Aemiliane !
- Ta future femme ?!
- Ben oui, puisqu’elle va porter mon enfant ! Aemiliane, je te présente ma sœur... »
April (https://rule34.xxx/index.php?page=post&s=view&id=1609108) ! Cette femme portait de courts cheveux violets, et avait, à l’image de sa mère, une poitrine absolument monstrueuse. Toute nue, April portait un collier rose, et était en compagnie de son amie d’enfance, Roxy (https://rule34.xxx/index.php?page=post&s=view&id=697226), qui, elle, avait une verge bien dressée. De fait, quand Peach et Aemiliane avaient fait irruption dans la pièce, April était occupée à sucer la queue de Roxy.
« Elle est très jolie, cette fille », commenta rapidement Roxy.
Roxy se rapprocha ensuite d’Aemiliane, et pointa sa verge sous son nez.
« Allez, vite ! »
Roxy contourna ensuite Aemiliane, et, sans guère d’hésitation, enfonça sa verge dans sa chatte, la pénétrant sans hésitation, et remua doucement en elle.
« Maman est partie chercher les autres pour la présenter ! »
April acquiesça doucement, avant de se mettre devant Aemiliane, promenant sur son visage sa verge, qu’elle venait de faire pousser.
« Ça nous laisse un peu de temps pour faire plus ample connaissance, alors... » susurra-t-elle avec malice.
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Epuisée, Aemiliane l’était. Il n’y avait qu’avec madame Forge qu’elle éprouvait un tel effort physique à chaque fois, et en général, il y avait des courtes pauses. Là, avec Meryl et Peach elle était lessivée. Pas de répit, pas de pause ; il n’y avait que du sexe intense et sauvage à longueur de temps. Ainsi donc, dans ce van, elle était réellement en train de comater après l’orgasme de Meryl. Même si cette dernière affirmait que la jeune femme était endurante, la vérité était que de tels efforts physiques allaient finir par l’achever. Néanmoins cela ne l’empêcha pas de suivre Peach quand celui-ci décida de conduire Aemi’ vers un endroit plus tranquille.
Rester dans ce van n’était pas une bonne idée, il avait raison. Ainsi donc, en bonne petite chatte docile, la jeune femme suivit le garçon dans le dédale de couloir. Comme toujours, des murs blancs et dénués de toutes décorations s’offrirent à Aemiliane qui pensait encore à un complexe scientifique caché. Mais, il y avait des chambres et des lieux de vie. Etaient-ce là les quartiers privés des F-Girl ? C’était fortement possible. Elle en eut la confirmation quand elle termina sa trotte dans un salon privé, où résidait d’ores et déjà deux curieuses femmes. L’une d’elle, assise sur une chaise disposant de godes et vibromasseurs, se leva et semblait surprise de voir le butin que leur rapportait Peach.
Le garçon n’eut aucun mal à affirmer qu’il s’agissait là de sa future femme alors que, rien n’était joué ni gagné. Aemi’ n’était pas encore prête à réaliser complètement l’ampleur de sa situation. Pas encore prête à devenir la moitié de Peach. Même si le garçon en question était charmant ! Pour la première fois, la jeune fille ressentait de l’attirance pour quelqu’un du sexe masculin même si, Peach restait un cas très particulier vu son apparente et criante féminité. En tout cas elle fut surprise de voir ces deux femmes et surtout d’apprendre que Peach avait effectivement une sœur, une vraie. Il y avait donc une véritable famille à la tête de cette entreprise, ce qui rendait les choses plus ... Excitantes.
Néanmoins, quand la queue de Roxy frotta son visage, puis celle d’April, son appétit sexuel se réveilla. Dans son état il lui était impossible de ne pas trouver ces verges excitantes et appétissantes. Elle gémit de plaisir quand elle se fit pénétrer doucement, accompagnant les mouvements de la F-Girl tandis qu’elle commença à lécher et couvrir de baiser le délicat membre d’April. « Hmm ... Enchantée ... » Dit-elle alors avec sa petite voix perverse, se mettant donc à pomper le délicieux membre de la sœur de Peach.
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Aemiliane allait vite comprendre que toutes les F-Girls fonctionnaient comme Meryl. La perversion était le maître-mot ici, et Aemiliane n’allait pas y échapper ! Après avoir longuement baisé avec Meryl, la future femme de Peach (et bientôt futur petit-frère) avait droit à la fille ! April était une adolescente dans la pleine fleur de l’âge, moins endurante que sa mère, moins musclée, mais qui restait une F-Girl. Il était fréquent qu’elle s’amuse avec Roxy, qui faisait pour ainsi dire partie de la famille. Roxy était après tout la meilleure amie d’April, ce qui expliquait pourquoi Meryl avait accepté de la capturer pour la transformer. Quant à Peach, il lui semblait tout à fait normal de présenter Aemiliane à April, afin qu’April puisse en profiter. C’était... C’était comme une sorte d’introduction familiale ! Et Aemiliane, en sentant une verge contre son visage, sembla se réveiller, sortant de sa léthargie. Difficile de dire qui elle saluait vraiment : April ? Ou la verge d’April ?
« Ma queue est également enchantée de te voir... »
Et, très naturellement, Aemiliane alla gober ce sexe. April gémit doucement en caressant ses cheveux, empoignant ses fausses oreilles triangulaires. Dans son dos, Roxy gémit également, serrant les fesses d’Aemiliane, palpant ses délicieuses fesses, son agréable petit cul. Roxy se pinça encore les lèvres. La jeune femme avait été initiée dans ce domaine par la responsable des lieux, Charlie, qui l’avait joyeusement baisé dans son bureau (https://rule34.xxx/index.php?page=post&s=view&id=2154228). Après cette longue séance, Roxy avait pu les rejoindre.
Rapidement, Aemiliane sembla retrouver son énergie, comme si le sexe était son carburant. Fidèle à lui-même, Peach s’était empressé de récupérer son téléphone portable, et filma la scène. Ah, ça, April & Roxy formaient vraiment un beau duo. Leur ressemblance physique jouait aussi pour elles, et ce n’était pas un hasard si Roxy appelait Meryl « Maman ». Pour Peach, elle faisait tout simplement partie de la famille. Tandis qu’il filmait, il s’empressa de raconter aux deux femmes comment lui et Aemiliane s’étaient croisés.
« Elle est venue au sein de la Fut-Factory, et est rapidement tombée sous le charme de Maman. C’est une ingénieure qui travaille pour GeoWeapon Corp., c’est un très bon parti !
- Ah, vraiment ? Mmmhmm... Elle a été baisée par Miranda Forge ?
- Sérieux ?! »
Roxy s’en pinça les lèvres, ce qui fit doucement rire Peach. Le jeune homme s’était rapprochée du trio, et caressa avec sa main le dos d’Aemiliane. La queue d’April s’enfonçait profondément en elle, multipliant les gorges profondes.
« Il faut que tu saches, mon amour, que Roxy apprécie beaucoup Miranda Forge. Son plus grand fantasme serait de pouvoir coucher avec elle... »
De fait, savoir que sa queue s’enfonçait dans une chatte qui avait sans aucun doute déjà été prise par Miranda Forge sembla transcender Roxy, qui gagna en excitation, et accéléra alors le rythme, venant pénétrer plus lourdement encore la jeune femme !