Peach esquissa un léger sourire. Il flottait dans une bulle de plaisir, très largement détendu après avoir enfin joui dans le corps de son amante. Il s’était pour le coup copieusement relâché en elle. Un puissant orgasme qui l’avait traversé, et dont il se montra particulièrement fier, vu la quantité de sperme. De la même manière, Peach se demandait aussi si Aemiliane n’avait pas encore joui… Très heureux, le jeune homme restait encore contre elle, frottant son corps au sien, sentant sa chaleur, percevant sa sueur. C’était quelque chose qu’il appréciait tout particulièrement, une sensation délectable. L’après-sexe… Un moment presque encore plus intime que pendant le sexe, où les corps se déposaient. Avec sa mère, il se retrouvait toujours lové contre elle, sa tête se perdant entre ses seins énormes. À ce moment-là, Peach réalisait combien sa mère l’aimait, car, après avoir joui, elle était d’une grande douceur, câlinant ses cheveux, jusqu’à ce qu’il s’endorme. D’un naturel très doux, Peach avait toujours aimé les câlins, et c’était pour lui un excellent moyen de s’endormir.
Mais là, Aemi’ semblait recouvrer ses esprits, et annonça un truisme, ce qui fit doucement sourire Peach, qui ne put s’empêcher de plaisanter face à elle :
«
Oui, c’est exact, et ce fut même très bon, ma belle ! »
Sa queue était d’ailleurs toujours plantée en elle, comme si son membre barbotait dans du liquide amniotique. C’est ensuite que l’ingénieure rassembla ses esprits, et se mit à parler, indiquant qu’elle craignait d’être tombée enceinte, car elle ne voulait pas tomber enceinte. Nullement inquiet, Peach souriait encore, mais une lueur sembla illuminer ses yeux quand Aemiliane affirma ne pas vouloir de progéniture.
Meryl intervint à ce moment, se déplaçant à côté des deux amants.
«
Elle n’est pas encore très bien dressée, elle continue à croire que nous nous importons de son avis… -
Soyons tolérants, Mère, c’est tout nouveau pour elle ! »
Meryl haussa les épaules, et frappa avec son pied les fesses de son fils.
«
Tâche de ne pas trop m’interrompre quand même ! -
Oui, désolé Maman !! »
Peach se dandina doucement sur place, et regarda à nouveau Aemiliane, avant de l’embrasser encore, un bref baiser. Meryl avait déjà été très évasive quant au sort qu’elle réservait à Aemiliane, mais Peach n’était pas aussi cachottière que sa mère, et ne tarda pas à répondre à la jeune femme :
«
Aucune de mes modifications hormonales n’a modifié ma fécondité, ma chère sœur. Mais je pense que nous devrions encore faire l’amour, afin que je sois sûr que tu sois enceinte de moi… -
On verra ça plus tard, Peach ! Il est temps de retourner au laboratoire ! »
Peach hocha doucement la tête en se redressant, libérant enfin le corps d’Aemiliane. Le jeune homme se déplaça ensuite, et entreprit de s’habiller plus proprement. Il avait les cheveux courts ce soir, mais disposait d’une perruque en attendant que ses cheveux repoussant, et l’enfila sur sa tête, puis opta pour un style gothique. Devant un miroir, il utilisa un
eye-liner autour de ses yeux, un rouge à lèvres noir, puis enfila des vêtements moulants en cuir.
Le jeune homme retourna ainsi devant sa mère et Aemiliane
dans une nouvelle tenue très réussie. Meryl, elle, opta pour
un débardeur noir avec un survêtement, sa queue massive disparaissant dans le pantalon, glissant vers le bas, comprimée dans la tenue.
«
Tu as mis le temps, Peach ! -
Désolé, Maman, je voulais me faire belle pour Aemi’… Mais, si elle est enceinte, il faudra attendre un peu avant d’en faire mon petit-frère, non ? Tu crois que je pourrais me marier à elle si elle porte mon enfant ? -
Tu as vraiment envie d’être Papa ? -
Je veux t’offrir de belles petites-filles qui me sodomiseront quand elles en auront l’âge… Et que tu formeras sexuellement ! Ou des petites pédales comme moi ! »
Meryl sourit brièvement, et se pinça les lèvres.
«
Tais-toi, vilain garçon, je n’aime pas avoir une érection dans mon pantalon… Et, puisque tu tiens tant à Aemi’, tu portes le collier ! »
Pendant que Peach s’habillait, la jeune femme avait été habillée rapidement. Les servantes de Meryl avaient posé sur sa tête un serre-tête avec des oreilles de chat, un collier avec une petite clochette dorée qui sonnait à chaque mouvement, et un
plug tail avec une queue caudale qui remuait et s’animait dans le fondement, retenu par une culotte noire en latex avec un vibromasseur planté dans ses cuisses, et qui vibrait également.
«
Et ne traîne pas, Peach, nous avons toute l’installation à traverser pour rejoindre la voiture ! »
Peach acquiesça encore, tout en souriant à Aemiliane, et en tirant sur la laisse :
«
Hihi, gloussa-t-il,
tu es ma neko à moi, Aemiliane ! »