Tomboy [PV]

Les Tekhanes étaient plutôt misandres, ce qui était aussi le cas pour Meryl. C’était dans leur éducation, après tout. Peach n’avait pas hésité à la pénétrer, et remuait doucement en elle. Ceci étant dit, pour Aemiliane, Peach avait l’allure d’une fille. Il en avait la corpulence, le corps, le comportement... Et, à Tekhos, une femme membrée était quelque chose de très courant. Meryl avait longuement formé Peach pour qu’il ressemble à une fille, mais, curieusement, alors qu’elle aurait pu l’amener à changer de sexe, elle ne l’avait jamais fait. Qui sait ? Peut-être qu’elle aimait bien l’idée d’avoir un fils qui soit une petite pédale... En tout cas, Peach se régalait, et ce sous les yeux mielleux et le sourire amusé de sa chère mère, qui n’hésitait pas à frapper régulièrement son cul avec son pied, arrachant à l’homme des couinements.

Surtout, Peach s’évertua à embrasser Aemiliane sans discontinu. C’était une pénétration à la fois romantique et intense. Il n’y avait pas le niveau de brutalité et de démence qu’une relation avec Meryl, mais on ne pouvait qu’admirer le talent de Peach, qui ne rompait presque jamais le baiser. Il ne l’arrêtait que quelques secondes, de temps en temps, pour retourner encore l’embrasser. Ses lèvres étaient d’une douceur incroyable, fraîches, tendres, infiniment délicieuses. Et il témoignait d’une forte endurance, tout en tremblant de plaisir en sentant cette mouille autour de sa queue. La chatte d’Aemiliane était plus facile à pénétrer que les culs serrés des esclaves, même si leurs culs étaient, comme le sien, régulièrement déformés. Aemiliane ne protestait pas, ne bougeait pas, se contentant juste de gémir, et de répondre à ses baisers. Et la sensation exquise de sa queue nichée en elle était un véritable régal, un bonheur permanent.

« Hmmm... »

Meryl n’en perdait bien sûr pas une miette. C’était elle qui avait assuré la formation de son fils, qui avait veillé à son éducation sexuelle, faisant de lui un magnifique amant. Aemiliane en avait la démonstration, et, quand la main de Peach se retira de la sienne, ce fut pour pincer son sein, malaxant son téton. Il coinça d’ailleurs ce dernier entre ses doigts, et tira dessus, arrachant à la jeune femme des soupirs supplémentaires. Impossible pour elle de lutter, tout simplement, et c’est ainsi que Peach frémit en la sentant jouir.

Le jeune homme ne se relâcha toutefois pas encore tout de suite, et préféra redresser son visage, ravi de son exploit.

« Je l’ai fait jouir, Maman ! Elle jouit contre ma queue !
 -  Voilà qui confirme votre compatibilité, alors !
 -  Hihi ! Haaaa... C’est si agréable, toute cette mouille, je flotte dedans, je barbote ! »

Peach sourit à nouveau à Aemi’, et l’embrassa alors sur les lèvres.

« Tu peux me palper les fesses si tu veux... Je n’ai pas l’endurance de ma Maman, mais je vais encore tenir un bon quart d’heure avant de jouir en toi... »

Avec les F-Girls et les F-Boys, l’endurance était le maître mot, et Aemiliane en avait la démonstration contre son corps !

Plus rien ne semblait compter pour Aemiliane, qui était perdue dans les lèvres étonnamment très douces et délicieuses de Peach. Qui aurait cru qu’un garçon pouvait être aussi irrésistible ? Aemiliane était comme beaucoup de Tekhane attirée par les femmes ; là où d’autres mondes le couple standard était formé d’un homme et d’une femme, ici, le beau sexe avec le beau sexe était la norme. Aucune Tekhane ne pouvait trouver cela spécial ou étonnant. Une fille comme la jeune scientifique en train de se faire prendre par Peach, était typiquement le genre à rentrer parfaitement dans la norme et donc, à n’être attirée que le féminin.

Mais pourtant ... Quelque chose en elle changeait. Peut-être car Peach était assez féminin malgré son clair statut de mâle ? Peut-être qu’au fond, ce n’était pas si bizarre et étrange d’aimer le sexe opposé, tant qu’il reste un tant soit peu féminisé. C’était une sensation très étrange pour Aemiliane qui se découvrait tout en se faisant violer. Le garçon était si doué et si tendre avec elle qu’il finit par la faire jouir. Content de son petit exploit, il retourna vite fait l’embrasser et ne rompit sous aucun prétexte son baiser, envoûtant sa proie qui ne sut lui résister. Il se dégageait de lui un charme irrésistible, similaire à celui de sa mère ! Aemiliane y succombait avec délice. Le poison se distillait en elle et promettait de faire des ravages ...

Ainsi donc, elle s’agrippa à son nouvel amant et ne décolla plus de ses lèvres, si pulpeuses et si douces. L’embrasser était en soi un plaisir à part ; plaisir différent que d’embrasser Meryl, mais plaisir quand même ! Cela ne faisait que l’exciter, que la rendre plus folle et plus euphorique. Plus elle perdait pied avec la réalité et plus elle se laissait faire, franchissant encore et encore le point de non-retour. Son amant était tout bonnement délicieux, et Aemi’ ne résista guère quand il lui massa son sein, pinçant son téton rosé. « Haaaw P-Peach ! » Gémit-elle onctueusement, rougissant et soupirant d’aise, de plaisir.

Enlaçant son amant, elle finit par céder à son appel et plaça donc ses mains sur son fessier. La scientifique commença alors à le masser, à le pincer, à palper cette croupe moins fournie que celle d’une femme mais, paradoxalement, aussi excitante et plaisante ! Peach était véritablement une agréable surprise qui la séduisait de plus en plus. Elle ne pensait même plus à cette inquiétante histoire de compatibilité, de frère et autre. Tout ce qui l’incombait, maintenant, était de palper le beau fessier de son amant. Elle en écartait chaque rive pour les faire revenir ensemble. Ses mains serpentaient et s’aventuraient toujours plus profondément, jusqu’à flirter dangereusement avec sa petite rondelle toute étroite et serrée.

Son cœur battait la chamade dans sa poitrine. Elle était incroyablement excitée par tout ceci et par Peach, au point de ne plus voir le danger imminent. Finalement, Aemi’ se laissa corrompre davantage quand elle céda à son petit vice ... Malicieusement, voilà qu’elle se mit à doigter l’étroite petite porte de Peach. « Tu m’excite beaucoup mon beau ... Je n’ai jamais été attirée par les garçons mais toi ... Haaan toi, tu es ma faiblesse ! » Dit-elle alors, embrassant tendrement son amant tout en continuant de le doigter de plus en plus rapidement et fermement. « Jouit Peach, fourres-moi !!! » Affirma-t-elle ensuite, décidée à le faire jouir comme il l’avait faite jouir.

Paradoxalement, Peach était bien plus féminine que sa mère. Si Meryl avait subi des traitements hormonaux et magiques pour devenir une F-Girl, Peach, lui, avait subi des traitements similaires pour devenir un F-Boy… Un garçon parfait ! Les traitements avaient affiné sa silhouette, embelli ses formes, et fait disparaître beaucoup de pilosité. Peach n’avait ainsi pas de barbe, ni de poils au torse, pas même autour des tétons ! Une véritable peau de bébé, extrêmement douce, et les traitements avaient aussi modifié ses cordes vocales. Au-delà de ça, il subissait continuellement un conditionnement psychique pour avoir un comportement plus féminin, que ce soit en marchant, dans ses réflexions, dans sa façon d’être. Honnêtement, Meryl pouvait tout à fait le déguiser en fille, et Peach aimait d’ailleurs, auprès des autres, se présenter comme une fille. Quand ils sortaient en soirée, Peach se présentait toujours au féminin, et, jusqu’à présent, personne ne l’avait identifié. Pour Peach, c’était toujours une grande fierté que de se faire passer pour une fille, et de réussir. Meryl n’avait jamais éduqué son fils pour en faire un garçon fier de sa virilité, un jeune homme qui chercherait à lutter contre les clichés ambiants. Au contraire, avant même de devenir une F-Girl, elle avait déjà usé certains traitements hormonaux pour féminiser Peach autant que possible.

Le résultat final était très réussi ! Peach était une pure merveille ! Meryl avait beau le battre et l’humilier régulièrement, elle l’appréciait énormément. Il était son enfant, après tout, et elle avait enfin l’occasion d’accomplir son plus grand rêve avec cette humaine soumise. Meryl en aurait pourtant bien fait une F-Girl, mais… L’amour maternel passait avant le reste, n’est-ce pas ? Aemiliane, de son côté, commençait à se prendre sincèrement d’affection pour Peach, palpant ses délicieuses fesses, un joli cul bien moulé, se frottant à lui. Aemi’ pouvait ainsi sentir combien le cul de Peach était tendre, moulant, combien il était féminin.

Aemiliane ne tarda d’ailleurs pas à déclarer sa flamme, ce qui fit sourire Peach, révélant ses magnifiques dents. Il l’embrassa à nouveau, avant de poursuivre :

« Tu sais que je ne suis un garçon que parce que je te l’ai dit, Aemi’… À chaque fois que Maman m’emmène en soirée et que je couche avec une femme, elle me prend pour une fille. Mais toi, tu sais que je suis un garçon… Donc, tu m’apprécies en tant que garçon ! »

Un raisonnement qui semblait sincèrement ravir le jeune homme, qui continua à la prendre. Il frémissait en sentant Aemiliane le doigter, mais son cul, qui était habitué à recevoir la verge impériale de sa mère, se faisait sans problème à ce doigt. Il appréciait en tout cas. À bien y réfléchir, Peach passait plus de temps avec un plug anal que sans. Ses parois anales se dilataient donc très facilement, ce qu’Aemiliane put aisément constater… Tout comme elle put constater que la vigueur de Peach s’accrut quand elle commença à le sodomiser.

Peach accéléra donc le rythme, gémissant encore. Ils s’embrassèrent encore, et la bouche de Peach alla suçoter le creux du cou d’Aemiliane, mordillant doucement sa chair. Peach sentait bon, un parfum agréable qui venait imbiber les narines de l’ingénieure, tandis que le jeune travesti continuait à la baiser énergiquement, à un rythme soutenu et intense. Il savait de plus que sa mère le regardait, et il ne pouvait pas se permettre, face à elle, de ne pas être à la hauteur ! Il y allait donc franchement, accélérant encore le rythme, grognant doucement, se pinçant les lèvres.

« A-Aemiliane… !! »

Dans un râle, dans un ultime soupir, Peach se crispa sur place. Il ferma les yeux, se pinça les lèvres… Et sa queue balança dans le corps de la femme des filaments de foutre. Il se mit à jouir copieusement en elle, balançant sa crème chaude, qui éclata dans son corps. Un long et jouissif orgasme, exquis à souhait !

« Hmmmmmmmmmm… !!! »

Oh, quel bonheur !

La jeune femme constata bel et bien que l’étroitesse du fondement de Peach était toute relative. L’aisance avec laquelle elle parvenait à s’introduire témoignait de l’usage intensif qu’avait subi ce conduit. Cela suffisait pour faire fantasmer Aemi’, qui s’imaginait dès lors des scènes très sulfureuses avec ce garçon au milieu, se faisant prendre encore et encore, justifiant de l’état de sa rondelle. Tout comme avec Meryl, elle était très charmée, envoutée et excitée. Ces deux-là formaient véritablement une paire et cela promettait beaucoup pour la suite.

Suite qui démarra aussitôt quand le jeune garçon laboura de plus en plus forts Aemiliane, jusqu’à atteindre à son tour son point d’orgue. Son point culminant, l’orgasme qui le fit jouir généreusement en elle ! La jeune femme l’avait désiré, l’avait demandé et maintenant, elle était servie. Elle couina tendrement et se laissa envahir par toutes ces merveilleuses sensations, notamment celle de la semence filant dans ses entrailles, la remplissant encore et encore. Que son orgasme fut long ! Peach éjaculait très copieusement en elle, et plus il le faisait plus elle adorait.

Elle jouit également à nouveau contre lui, contre son tendre amant. Une très belle surprise fut-il, au point de faire doucement chavirer les convictions sexuelles d’Aemiliane, sans pour autant lui faire accepter ou aimer les hommes pour autant. S’ils étaient comme Peach alors ... Elle pouvait avoir un faible. Sinon, ce n’était pas possible ! Plus elle y pensait et plus elle trouvait ça attirant, d’ailleurs. Un garçon androgyne, à la limite de la féminité et la masculinité. Quel beau mélange. Elle en fantasmerait presque ! En tout cas, elle jouit contre Peach et tous les deux succombèrent à un bel orgasme, les laissant en sueur.

Une telle libération sexuelle était bon. Très bon. Aemi’ savourait chaque seconde qui s’écoulait après ça, se lovant contre son amant à la peau si douce. Cependant, se libérer d’un peu de sa frustration sexuelle lui avait permis de revenir proportionnellement à la raison. Ce fut alors à cet instant qu’elle fronça légèrement ses sourcils, se posant les bonnes questions suite à ce qui venait de se passer. « Mais ... Mais tu es un garçon Peach. Et tu viens ... De jouir en moi ! » Dit-elle alors, se rendant progressivement compte de ce que cela impliquait réellement. Ses yeux s’écarquillèrent alors qu’elle regarda le garçon dans les siens, troublée.

« Dit-moi que les trucs qu’on t’as faits t’ont rendu stérile ? Je ... Je ne peux pas ... Je ne veux pas tomber enceinte, c’est pas possible ! » Finit-elle par dire, paniquée. Aemiliane s’était rapidement souvenue que les hermaphrodites étaient en majorité stériles et que c’était devenu par conséquent une habitude ; il n’y avait peu voire aucun risque de tomber enceinte avec. Mais Peach ? Il était normalement un garçon, un vrai ! Elle n’avait plus que pour espoir qu’il lui dise qu’effectivement, tous ses traitements hormonaux lui ont fait perdre toute fertilité ... Sinon, elle serait dans de beaux draps.

Peach esquissa un léger sourire. Il flottait dans une bulle de plaisir, très largement détendu après avoir enfin joui dans le corps de son amante. Il s’était pour le coup copieusement relâché en elle. Un puissant orgasme qui l’avait traversé, et dont il se montra particulièrement fier, vu la quantité de sperme. De la même manière, Peach se demandait aussi si Aemiliane n’avait pas encore joui… Très heureux, le jeune homme restait encore contre elle, frottant son corps au sien, sentant sa chaleur, percevant sa sueur. C’était quelque chose qu’il appréciait tout particulièrement, une sensation délectable. L’après-sexe… Un moment presque encore plus intime que pendant le sexe, où les corps se déposaient. Avec sa mère, il se retrouvait toujours lové contre elle, sa tête se perdant entre ses seins énormes. À ce moment-là, Peach réalisait combien sa mère l’aimait, car, après avoir joui, elle était d’une grande douceur, câlinant ses cheveux, jusqu’à ce qu’il s’endorme. D’un naturel très doux, Peach avait toujours aimé les câlins, et c’était pour lui un excellent moyen de s’endormir.

Mais là, Aemi’ semblait recouvrer ses esprits, et annonça un truisme, ce qui fit doucement sourire Peach, qui ne put s’empêcher de plaisanter face à elle :

« Oui, c’est exact, et ce fut même très bon, ma belle ! »

Sa queue était d’ailleurs toujours plantée en elle, comme si son membre barbotait dans du liquide amniotique. C’est ensuite que l’ingénieure rassembla ses esprits, et se mit à parler, indiquant qu’elle craignait d’être tombée enceinte, car elle ne voulait pas tomber enceinte. Nullement inquiet, Peach souriait encore, mais une lueur sembla illuminer ses yeux quand Aemiliane affirma ne pas vouloir de progéniture.

Meryl intervint à ce moment, se déplaçant à côté des deux amants.

« Elle n’est pas encore très bien dressée, elle continue à croire que nous nous importons de son avis…
 -  Soyons tolérants, Mère, c’est tout nouveau pour elle ! »

Meryl haussa les épaules, et frappa avec son pied les fesses de son fils.

« Tâche de ne pas trop m’interrompre quand même !
 -  Oui, désolé Maman !! »

Peach se dandina doucement sur place, et regarda à nouveau Aemiliane, avant de l’embrasser encore, un bref baiser. Meryl avait déjà été très évasive quant au sort qu’elle réservait à Aemiliane, mais Peach n’était pas aussi cachottière que sa mère, et ne tarda pas à répondre à la jeune femme :

« Aucune de mes modifications hormonales n’a modifié ma fécondité, ma chère sœur. Mais je pense que nous devrions encore faire l’amour, afin que je sois sûr que tu sois enceinte de moi…
 -  On verra ça plus tard, Peach ! Il est temps de retourner au laboratoire ! »

Peach hocha doucement la tête en se redressant, libérant enfin le corps d’Aemiliane. Le jeune homme se déplaça ensuite, et entreprit de s’habiller plus proprement. Il avait les cheveux courts ce soir, mais disposait d’une perruque en attendant que ses cheveux repoussant, et l’enfila sur sa tête, puis opta pour un style gothique. Devant un miroir, il utilisa un eye-liner autour de ses yeux, un rouge à lèvres noir, puis enfila des vêtements moulants en cuir.

Le jeune homme retourna ainsi devant sa mère et Aemiliane dans une nouvelle tenue très réussie. Meryl, elle, opta pour un débardeur noir avec un survêtement, sa queue massive disparaissant dans le pantalon, glissant vers le bas, comprimée dans la tenue.

« Tu as mis le temps, Peach !
 -  Désolé, Maman, je voulais me faire belle pour Aemi’… Mais, si elle est enceinte, il faudra attendre un peu avant d’en faire mon petit-frère, non ? Tu crois que je pourrais me marier à elle si elle porte mon enfant ?
 -  Tu as vraiment envie d’être Papa ?
 -  Je veux t’offrir de belles petites-filles qui me sodomiseront quand elles en auront l’âge… Et que tu formeras sexuellement ! Ou des petites pédales comme moi ! »

Meryl sourit brièvement, et se pinça les lèvres.

« Tais-toi, vilain garçon, je n’aime pas avoir une érection dans mon pantalon… Et, puisque tu tiens tant à Aemi’, tu portes le collier ! »

Pendant que Peach s’habillait, la jeune femme avait été habillée rapidement. Les servantes de Meryl avaient posé sur sa tête un serre-tête avec des oreilles de chat, un collier avec une petite clochette dorée qui sonnait à chaque mouvement, et un plug tail avec une queue caudale qui remuait et s’animait dans le fondement, retenu par une culotte noire en latex avec un vibromasseur planté dans ses cuisses, et qui vibrait également.

« Et ne traîne pas, Peach, nous avons toute l’installation à traverser pour rejoindre la voiture ! »

Peach acquiesça encore, tout en souriant à Aemiliane, et en tirant sur la laisse :

« Hihi, gloussa-t-il, tu es ma neko à moi, Aemiliane ! »

Beaucoup d’informations surgissaient de toute part pour Aemiliane. Il y avait en premier lieu le fait que Peach était un garçon, malgré les apparences, et qu’il était capable de la mettre enceinte. La jeune femme, malgré toute sa perversion, ne désirait nullement porter un enfant. Le fait que Peach n’était guère rassurant en affirmant qu’il lui referrait bien l’amour pour être sûr qu’elle soit enceinte, était inquiétant. Pourquoi vouloir une telle chose ? Aemi’ ne leur sera d’aucune utilité si son ventre était tout rond et gonflé. L’ingénieure déglutit rien qu’à l’idée d’être forcée d’accouchée ... Elle espérait réellement qu’elle ne soit pas en cloque.

Mais ce n’était pas le seul point sur lequel elle n’était pas rassurée. De base, toute cette situation n’aurait jamais dû se produire ; mais à présent qu’elle était tombée sous le joug de Meryl, qu’elle avait succombé à elle et sa queue, elle allait devoir faire face aux conséquences. Dans son esprit, c’était encore flou ... Etait-elle réellement tombée entre les mains de Meryl pour toujours ou cherchait-elle encore un moyen de fuir ? Cette confusion était grande, très grande. Cela l’empêchait de réfléchir sainement. Ne pas réfléchir correctement l’empêchait de se rendre compte de ce qui allait advenir d’elle. Peach venait de parler de petit-frère en la visant elle bien explicitement. Qu’est-ce qu’il voulait dire par là ? Etait-il juste timbré comme sa mère, ou bien était-il sérieux ?

Si oui, comment pensait-il pouvoir faire ? Aemiliane était une femme et rien ne pouvait changer ça ! C’était pour cette raison que l’ingénieure pensait que c’était plus une manière de parler qu’autre chose. Elle était à mille lieux de penser qu’il fallait prendre ces mots au pied de la lettre. Quoiqu’il en soit, l’instant câlin avec Peach prit fin. Le garçon et sa mère décidèrent qu’il fallait quitter les lieux et rejoindre le laboratoire. Ils prirent chacun leur route, quant à Aemiliane, elle fut prise en charge. Avant de la faire rejoindre sa nouvelle maitresse, qu’était Meryl, on l’habilla encore un peu. Bien que récalcitrante, elle le fut bien moins qu’auparavant. Elle couina et rougit quand on lui enfonça le plug et le vibromasseur, se sentant dès lors constamment excitée ! Avec cet accoutrement, elle était encore plus mignonne qu'avant.

Impossible donc de réfléchir, encore une fois. Toute son attention était happée par ce qu’elle ressentait à cause de ces deux jouets nichés en elle. Après quelques temps, elle regagna sa place aux côtés de Peach et Meryl et ne put qu’être séduite par leur changement d’habits. Peach était encore plus craquant et mignon. Meryl était ... Incroyablement sexy, même avec ce genre de survêtement. Cette bosse qui déformait hargneusement son pantalon attisait l’appétit d’Aemi’. Cependant elle n’avait pas le temps de reluquer correctement sa maitresse car Peach tira sur la laisse suspendue à son cou. Voilà donc qu’elle était à la merci du jeune garçon. Un petit et timide hochement de la tête suffit comme réponse, avant qu’elle suive les deux dans le dédale de couloir.

Le trio se dirigeait vers une voiture qui allait les conduire on ne savait où. Meryl avait mentionné un laboratoire, c’était sans doute là qu’elle comptait se rendre. Quelque part, c’était une aubaine pour l’intruse car elle allait pouvoir être au cœur de l’installation ! Jamais elle n’aurait pu accéder au laboratoire par elle-même et là ... Elle en avait l’occasion. Ce n’était donc pas le moment de fuir. Quand elle fut installée dans la voiture, un silence se fit de sa part. Joues rouges, jambes tremblantes car tentant de retenir la furie entre ses cuisses, elle regardait Peach et Meryl tour à tour. Elle avait envie des deux ! Tellement envie. Son corps lui réclamait d’aller se jeter sur eux, qu’importe comment. Ainsi, elle attendit sagement que la voiture démarre pour faire son office. « Maitresse ... » Dit-elle, avant de glisser sa main sur la bosse de son pantalon, caressant cette matraque. Elle lui adressa un regard très gourmand en guise d’accompagnement.

Mais elle en oublia pas Peach pour autant ! Son autre main partit dans la direction opposé et vint à son tour chercher la bosse du jeune garçon se formant à la surface de son pantalon serré. Aemi’ était donc en train de caresser deux triques en même temps ... Et espérait grandement faire effet !

Aemiliane était très jolie en neko, indéniablement ! Peach était très heureux du cadeau que sa mère lui faisait. Un cadeau magnifique, la preuve ultime de l’indéfectible amour unissant la mère à son fils. Dans leur grande voiture, ils laissaient leur chauffeur les ramener à bon port, une vitre fumée les séparant de la cabine de pilotage. Devant eux, Aemiliane semblait s’impatienter, et Meryl sourit brièvement en constatant que Peach avait mis sur la tête d’Aemiliane un très élégant couvre-chef en dentelle. Un ensemble très assorti qui allait à ravir à la jeune femme !

Tandis que la voiture quittait le complexe, Aemiliane se rappela alors au duo. Peach était en train de pianoter sur son téléphone portable avant de rougir en sentant une main gantée caresser son entrejambes. Meryl, elle, était de son côté occupée sur une tablette tactile, consultant les informations, les actualités, ou sa messagerie professionnelle. Peach regarda alors Aemiliane, ce qui fit sourire Meryl en coin, celle-ci déposant sa tablette à côté d’elle pour venir ensuite commenter la scène :

« Elle se comporte vraiment comme une neko... Elle est en manque d’attention, n’est-ce pas, Aemiliane ? »

Inutile pour cette dernière de répondre, tant la question était purement rhétorique. Meryl sourit à nouveau, et Peach hocha la tête, en se rapprochant un peu de sa mère, permettant ainsi à Aemiliane d’avoir plus facilement accès à leurs sexes.

« Alors, autant lui en donner, non, Maman ?
 -  Comme tu veux, je t’en ai confié la responsabilité. »

Le jeune homme rougit poliment, et défit la boucle de son pantalon, libérant rapidement son sexe. Meryl en fit de même, ouvrant la fermeture de son survêtement, révélant ainsi sa propre virilité, plus épaisse et plus grosse que celle de Peach.

« Occupe-toi de nous bien comme il faut, ma neko ! »

Impossible pour Aemiliane de faire autrement, après tout, et deux chibres se dressaient devant elle.

« Tu sais, mon chéri, si tu l’engrosses, il faudra attendre pour en faire ton petit-frère...
 -  Oui, mais... Hmmm... Avoir un enfant me plairait bien, pas toi ? »

Meryl y réfléchissait aussi. Était-elle prête à avoir un petit-enfant ? Une délicieuse petite-fille qu’elle pourrait bien éduquer ? En réalité, elle se l’imaginait très bien ! Meryl avait beau être une femme autoritaire, violente, et très autoritaire, elle n’en restait pas moins une mère, une femme dotée d’un instinct maternel suffisamment fort pour avoir deux enfants. Le choix appartenait ceci dit à Peach, mais, s’il se sentait prêt à franchir le cap... Meryl savait déjà que leur fille bénéficiait d’une bonne éducation, et deviendrait à terme une F-Girl.

Évidemment, l’avis d’Aemiliane là-dedans, ou même son consentement, étaient totalement inutiles aux yeux des deux. Peach, de son côté, frémissait en sentant la main d’Aemiliane sur son sexe.

« Tu peux me lécher, si tu veux...
 -  Nous lécher, précisa Meryl. C’est ton rayon, non ? Les nekos savent bien lécher, montre-le ! »

Pour Aemiliane, la débauche sexuelle continuait sans relâche...

Ces histoires d’enfant ne plaisait guère à Aemiliane. Jusque-là elle s’en était plutôt bien tirée – façon de parler – car elle n’était pas amochée physiquement. Mais si elle tombait enceinte, les choses allaient gravement se compliquer. Avoir un enfant de Peach serait, pour le dire, une catastrophe. D’une part elle se ferait vite remarquer à son travail, là où on n’aimait guère les poids morts comme les femmes enceintes. D’autre part, cela la lierait irrémédiablement à ce garçon qui, même si elle éprouvait de plus en plus d’attirance et de sympathie envers lui, n’était toujours pas prête à devenir sa partenaire.

Mais au fond avait-elle le choix ? Voulait-elle réellement se séparer d’une occasion en or d’être aux côtés de Meryl pour un long, très long moment ? En vérité, l’idée de donner naissance lui faisait peur au point qu’elle était moins inquiète quant au fantasme de Peach visant à la faire devenir son petit-frère. S’imaginant tout sauf la réalité, elle pensait que ça serait moins pire. En tout cas elle savait que sur l’instant présent elle n’avait nul mot à dire. Elle se contenta de saisir les chibres de la mère et du fils, les caressant puis les astiquant lentement.

Cependant un choix cruel lui venait ; qui lécher en premier ? La puissante et attirante Meryl, ou le délicat et mignon Peach ? Rougissant comme une tomate, Aemiliane hésitait beaucoup. Vraiment beaucoup. « Je ... Je vous veux tous les deux ! » Déclara-t-elle dans un premier temps. Mais son regard se pencha rapidement vers Meryl, lui adressant un œil rempli de désir. Un regard pervers et très sulfureux, hypnotisé par la musculature ferme de la femme et surtout son gros membre entre ses cuisses. Inutile de dire que Meryl avait désormais une place particulière auprès d’Aemiliane, qui ne pouvait la voir autrement que comme la femme qui avait changé à jamais sa vie.

La femme qui était prédestinée à la dominer ; celle qui allait enfin dompter la petite furie qu’elle était ! Ainsi donc, l’ingénieure se pencha et comme une affamée, se mit à lécher le dard tout rigide et ferme de Meryl. « Hmm ! » Ronronna-t-elle de bonheur et de joie, léchant tendrement ce gourdin de chair. Sa langue filait langoureusement, léchant cette peau et ponctuant son chemin de baisers. Elle se perdit contre les lourds testicules de Meryl avant de revenir sur sa queue, prenant son temps pour entamer ses premiers vas et viens dans sa bouche. Mais, au même moment, sa main venait saisir plus fermement la trique de son Peach.

Aemi’ se mit à le masturber fermement, décidée à faire plaisir à son nouvel ami. Sa main filait avec une précision déconcertante, et une fermeté qui empêchait Peach de lutter ! Autant dire qu’elle faisait preuve d’une sacrée audace en décidant de faire plaisir aux deux en même temps. Mais, elle devait bien prouver qu’elle était digne d’être de la famille, après tout ?

Si Meryl avait pu lire dans l’esprit d’Ameiliane, et voir que cette dernière songeait à son boulot, et s’inquiétait des conséquences du fait d’être enceinte avec son travail, elle en aurait assurément souri. Une telle innocence, une telle naïveté ! Les rumeurs faisant de la Fut-Corp une organisation mafieuse et criminelle étaient très largement fondées, et, en ayant accès à la Fut-Factory, et en voyant les démons à l’intérieur, Aemiliane avait franchi les limites. Meryl avait déjà transmis l’information à la direction de s’occuper d’elle, de la faire disparaître. Tout le plan se mettait en branle afin de provoquer sa mort, et de la faire disparaître. Elle ne retournerait plus jamais chez elle, et ne retrouverait plus jamais sa vie d’antan. Elle appartenait pleinement et entièrement à la Fut-Corp, dont elle était désormais l’esclave. Il n’y avait même pas besoin pour Meryl de le dire, car c’était une certitude.

Mais là, face à leurs membres veineux, Aemiliane songeait surtout au sexe, à cette soif lancinante en elle. Meryl sourit brièvement en devinant les hésitations d’Aemiliane, dont le regard coulissait de la verge monstrueuse de Meryl à celle de Peach. À l’air libre, le sexe de Meryl semblait pulser dangereusement, se redressant doucement, exposant une série de veines, comme si ce chibre était gonflé aux hormones, dopé aux stéroïdes. Puis Aemiliane, comme la bonne petite chatte dressée qu’elle était en train de devenir, se dirigea ensuite naturellement vers la dominante du duo, et entreprit de lécher ce gros membre. Meryl soupira doucement, et alluma son téléphone portable, filmant tout naturellement la scène.

« Vas-y, Aemi’, fais de beaux mouvements, que nous puissions immortaliser la scène ! »

Silencieux, Peach se mordillait les lèvres, ondulant doucement sur place... Et gémit soudain en sentant l’une des mains d’Aemiliane caresser son sexe, venant le masturber. Il couina de plaisir, et rougit sur place, puis vit l’objectif du téléphone portable de sa mère glisser sur lui. Il sourit alors à la caméra, et fit même, brièvement, avec ses doigts, le « V » de la victoire, comme pour signifier que tout allait bien. Après tout, il contemplait celle qui allait porter son enfant. En réalité, le timing était idéal, car transformer une fille en Fut-Boy prenait toujours du temps. Il fallait adapter le démon incubateur à son hôte, ce qui nécessitait d’en faire grandir un ayant en lui le code génétique de sa proie, soit plusieurs mois de latence. C’était épuisant et très énergivore. Après tout, il y aurait sinon une recrudescence de F-Girls ou de F-Boys !

Peach soupira donc pendant qu’Aemiliane s’attaquait au couple incestueux, prenant le membre de Meryl en bouche. La main de la femme s’empoigna à ses cheveux, se serrant dessus, et serra brusquement, appuyant d’un coup sec, enfonçant sa queue de quelques centimètres supplémentaires dans la bouche de son esclave.

« Là, salope, oui... Regarde, Peach, hmmm... C’est comme ça qu’il faut traiter les petites putes comme ça, mon chéri. Pas de mots doux sans jurons, elles adorent ça. Plus j’insulterai cette chienne en rut, et plus elle mouillera !
 -  Haaa... Oui, Maman ! »

Meryl serra encore, étouffant Aemi’ avec une solide gorge profonde, qui dura bien une dizaine de secondes, avant qu’elle ne relâche la pression, et ne glousse sur place.

« Tu n’es pas habituée, hein ? Il m’arrive souvent d’étouffer mes partenaires quand je les baise, tu sais... Soit en les écrasant sur place, ce qui les comprime sous mon poids... Mais tu auras l’occasion de t’habituer, ma chérie, ne t’en fais pas... Vas-y, pompe bien, tu peux te caresser, si tu veux... Si tu jouis avant que nous arrivions à la base, je te baiserai sur le capot de la voiture. »

Dans tous les cas, elle la baisera, mais... Autant donner un peu de challenge, non ?

Etrangement – ou pas – l’idée de se faire écraser par Meryl était séduisante. Evidemment il ne fallait pas prendre cela au pied de la lettre mais ce qui était sûr était qu’Aemiliane adorait se sentir dominée par cette femme. Si grande, si forte, si musclée ... Elle incarnait l’une des meilleures formes de la perfection ! L’ingénieure raffolait de son corps et surtout de sa trique qu’elle pompait désormais avec un bien bel appétit. Elle suçait encore et encore, ses lèvres et sa gorge plongeant contre ce membre appétissant, bien que volumineux. Impossible de résister à un tel festin. La jeune femme n’osait l’admettre par résidu de pudeur ou dignité, c’était d’ailleurs pour la même raison qu’elle n’osait avouer pleinement désirer, très fortement, assumer sa nouvelle vie d’esclave.

Tout était allé si vite et pourtant, Aemi’ était en train de mettre une croix sur sa vie passée. Toute sa vie passée ! Pour en embrasser une nouvelle. Qui sait ce qui allait se passer au bureau ? Qui sait comment et pourquoi elle allait disparaitre aux yeux de tout le monde ? Ça importait peu. Tout ce qui importait était Meryl et Peach. Elle pompait l’une et branlait l’autre, démontrant là son savoir-faire. Mais malgré celui-ci, elle ne put s’empêcher d’écarquiller les yeux et s’étouffer douloureusement quand sa maitresse décida de l’enfoncer durement contre sa trique. L’air manqua rapidement et sa gorge lui fit mal, bien que la douleur était supportable grâce aux injections qu’elle avait reçu.

« HMMM ! » Grogna-t-elle contre le féroce membre charnu de Meryl, se laissant faire, subissant comme la petite chienne qu’elle était devenue. Une dizaine de seconde plus tard elle sentit l’air lui revenir, signe que Meryl avait relâché la pression. Elle respira grandement et rapidement, les joues rouges et le souffle rapide. « J’ai ... J’ai adoré, Maitresse. » Déclara-t-elle alors, regardant d’un œil très sensuel sa ravissante maitresse. L’occasion lui était donné de se caresser, de se soulager mais, si elle le faisait trop et jouissait, elle allait se faire prendre sur le capot. Etait-ce une punition ? En tout cas ça n’avait pas l’air car, l’idée de se faire sauter comme une pute par Meryl sur un capot de voiture sonnait comme tout sauf une sanction !

Néanmoins elle en oubliait son chéri. Malicieusement, elle déplaça sa main depuis la trique de Peach vers sa main, la caressant d’une manière particulièrement douce et attentionnée pendant l’espace de quelques secondes. Puis, elle la dirigea vers sa féminité, vers son intimité qu’elle offrait à son amant, l’incitant à la caresser. « Caresses-moi Peach ... Je veux te sentir me trifouiller ! » Finit-elle par dire, consciente que faire des demandes était risqué compte-tenu du caractère très dominant et fort de Meryl, qui n’aimait pas ça. Mais, c’était dans la nature d’Aemiliane d’être une provocatrice, une fouine, une tête brûlée ! Ça ne serait pas aussi amusant sinon. Cela ne l’empêcha guère de continuer à sucer sa maitresse en y mettant tout son cœur, creusant inlassablement ses joues contre ce membre veineux.

Cependant, elle finit par prendre une courte pause pour redresser sa tête, venant alors chercher un long baiser auprès des lèvres succulentes de Meryl. La scientifique embrassa très tendrement et affectueusement sa maitresse, plongeant langoureusement sa langue dans sa généreuse bouche tandis qu’elle caressait ses beaux abdominaux de par sa main. Main qui finit par se balader plus en haut, tâtant un des énormes mamelons de la grande femme ...

La petite Aemiliane était en train de succomber, totalement et pleinement. Elle ne pouvait guère lutter contre Meryl, contre la passion et la puissance de cette F-Girl. La puissante Meryl la mettait au pas, et c’était délicieux. Elle aimait déjà beaucoup sa nouvelle esclave, qui allait faire office de chatte de service pendant plusieurs mois. Elle serait régulièrement traitée avec le F-Gen pour la rendre apte à subir l’ultime transformation, celle qui achèverait de la transformer. L’idée de se doter d’un nouvel enfant n’était pas pour déplaire à Meryl. La femme n’était pas aussi hostile aux hommes que les autres Tekhanes habituelles, ce qui expliquait aussi pourquoi elle n’avait pas transformé son fils en fille, mais l’avait au contraire féminisé, pour son propre bien. De cette manière, Peach avait pu s’épanouir, jusqu’à devenir, consécration ultime, un F-Boy. Il était régulièrement l’objet des intrusions sexuelles des autres F-Girls, mais ce ne serait sûrement pas lui qui viendrait s’en plaindre, bien au contraire. Meryl esquissa un léger sourire, et Peach, quant à lui, obtempéra silencieusement, se glissant dans le dos de la jeune femme.

Aemiliane ne se laissa toutefois pas faire, et se redressa alors, venant embrasser Meryl, tout en caressant ses abdominaux. Meryl lui répondit doucement, la laissant faire. Finalement, Peach n’avait plus accès à l’intimité d’Aemiliane, mais ce n’était pas grave, le jeune homme savait s’adapter.

« Hmmm... »

La main d’Aemiliane palpa ensuite l’un des seins de Meryl, ce qui la fit sourire malicieusement. Elle rompit alors le baiser, et sa main remonta pour caresser la joue de la femme. Son pouce glissa sur ses lèvres, et elle l’enfonça dans sa bouche, conservant son sourire sur ses lèvres. La situation plaisait énormément à Meryl, qui adorait profiter du corps de cette jeune femme. Son regard glissa sur son corps, et son autre main se saisit de sa clochette, tirant doucement dessus.

« Tu veux savoir quelque chose, Aemi’ ? Mes seins se gorgent facilement de lait... Et je crois que tu pourras boire en pompant un peu. Qu’en dis-tu ? Les petites chattes comme toi aiment bien le lait, non ? »

Meryl sourit à nouveau, toujours aussi malicieusement, et l’incita à venir, posant sa main sur ses cheveux, et la guida près de son sein. Peach remonta alors, et ses doigts s’attaquèrent à son plug anal, qu’il retira alors. Il lécha alors son fondement, glissant sa langue contre sa rondelle, palpant ses fesses avec ses mains. La voiture, fort heureusement, roulait sans trop d’accrocs, ce qui permettait aux trois amants de continuer à s’envoyer joyeusement en l’air.

Meryl gémit alors doucement, et, rapidement, son téton se mit à relâcher un délicieux liquide blanchâtre et juteux dans sa bouche.

« Hmmm... Son petit cul est bien élargi, Maman...
 -  Oui, elle aime se faire sodomiser, c’est une belle salope, tu sais... »

Plus ça allait et plus Aemiliane se complaisait dans cette situation. N’était-ce pas déjà le cas auparavant ? Pas exactement. De plus en plus elle appréciait grandement ce qui lui arrivait et se disait sincèrement, au fond, que c’était une meilleure vie qui l’attendait. Peut-être n’aurait-elle plus de job à GWC, ni même de contact avec ses anciennes amies, mais ... Elle serait désormais entourée de bien belles et beaux amants ! Ce qui se fait de meilleur à Tekhos. L’ingénieure ne protestait plus vraiment et se laissait aller, acceptant donc sa destinée ; celle de devenir l’esclave privée de Meryl ! Et peut-être plus d’ailleurs ...

En tout cas, elle continuait à embrasser tendrement sa maitresse sur ses lèvres et maintenait sa poigne sur son sein. Elle couina et rougit furieusement quand Peach se mit à toucher à son plug, frémissant et vibrant sur ses cuisses surtout quand il finit par l’extraire. « Ahh ! » Rugit-elle subitement, comblée juste après par une malicieuse langue venant explorer sans honte sa délicieuse petite rondelle. « Hmm Peach ! » Couina-t-elle d’une voix docile et joueuse, rouge comme une tomate. La gêne avait laissé place au plaisir et au vice.

Aemiliane fut un peu surprise d’entendre Meryl lui affirmer que ses seins se gorgeaient facilement de lait mais, après tout, avec toutes les modifications génétiques que subissaient les F-Girl ce n’était au fond plus très étonnant. Ainsi en bonne petite chatte docile, la jeune femme se pencha un peu et vint tendrement lécher et embrasser le sein de sa maitresse. Puis peu de temps après voilà qu’elle eut confirmation des dires de la F-Girl ; un savoureux liquide s’écoula, ressemblant très fortement à du lait. Evidemment, Aemi’ ne se priva guère pour s’en repaitre et lécher davantage.

Après tout, elle était une petite chatte avec son accoutrement ! C’était visiblement le thème du moment. Avec Peach lui arrachant soupirs et couinements en continue à force de lui lécher la rondelle, la jeune femme ne parvenait vraiment plus à se raisonner – quand bien même elle avait passé le point de réfléchir sainement, même sans aucun stimulus. Elle était, pour le dire ainsi, condamnée. Mais de manière volontaire ... C’était à se demander ce qu’elle était venue réellement chercher avec cette opération d’infiltration. En tout cas elle avait trouvé quelque chose de grandiose, qui dépassait tout ce qu’elle pouvait imaginer ...

Alors qu’elle continuait de téter sa maitresse elle ne résista guère au désir de venir glisser sa main sur le puissant braquemart de celle-ci, commençant à l’astiquer, à le branler de toutes ses forces, faisant des vas et viens avec sa petite main qui paraissait minuscule sur ce membre.

Assise sur la banquette, Meryl souriait doucement en voyant Aemiliane s’attaquer à l’un de ses seins. La jeune esclave fut sans doute surprise d’apprendre que Meryl pouvait allaiter sans trop de difficulté. Mais elle était une F-Girl, après tout... Et les F-Girls étaient des individus très particuliers, des femmes exceptionnelles, comme Aemiliane se devait de le réaliser à chaque seconde. Elle s’attaqua donc à son sein, et commença à sentir le lait affluer entre ses lèvres. À ce contact, Meryl soupira doucement, sa tête basculant en arrière, et sa main serra les cheveux de la chatte de service, qui s’appuya alors sur sa trique. Elle dut en effet sentir la pointe de sa verge caresser ses hanches, la queue de Meryl se redressant doucement et fortement.

« Hmmm, ma queue te manque, hein, petite chatte ? Tu dois avoir envie de la sentir en toi, hein ? »

Impossible pour elle de répondre, car la main de Meryl la maintenait contre son sein. Toutefois, Peach était fort heureusement là, et le jeune travesti savait très bien comment réagir avec sa mère. Ils faisaient l’amour depuis tellement longtemps ensemble qu’il savait quoi faire sans même qu’elle ne le propose. Peach se redressa alors, et posa ses mains sur les cuisses d’Aemiliane, et la souleva alors.

« Laisse-toi faire, mon amour... Vu comment la bite de ma Maman te manque, il faut bien satisfaire ta soif, non ?
 -  C’est normal, c’est une petite chatte en manque d’affection, Peach... »

Peach avait donc soulevé le corps d’Aemiliane, et attrapa avec son autre main le sexe de sa mère, tirant dessus. La queue de sa mère se retrouva ainsi contre le ventre d’Aemiliane, qui dut encore courber son dos, tandis que Peach tirait encore sur le sexe de sa mère, l’abaissant finalement presque à la verticale, jusqu’à ce que son membre se retrouve sous le corps de la belle chatte. De fait, Peach sentit contre ses doigts des filaments de mouille qui s’échappaient des cuisses de la jeune femme. Leur esclave était vraiment une exceptionnelle perverse, et, après avoir tiré sur la queue de sa mère, Peach la releva doucement.

Et, comme à son habitude, il chantonnait doucement, comme si tout cela était innocent et enfantin pour lui. La verge de Meryl heurta l’intimité d’Aemi’, puis s’enfonça encore, venant ainsi la pénétrer.

« Là, voilà... Profite, ma chérie. Je suis un peu comme ton mari, maintenant, il est normal que je prenne soin de ma femme et de son bonheur... »

Meryl sourit malicieusement, et releva le visage d’Aemiliane, venant l’embrasser alors que sa bouche était pleine de lait, tout en déplaçant son autre main, la posant sur son cul. Elle malaxa ses fesses fortement, et la gifla ensuite sèchement, faisant claquer les fesses de l’ingénieure dans l’habitacle de la voiture. Elles s’embrassèrent longuement, la puissante femme sentant avec une délectation immense son érection se répandre dans le corps de sa partenaire.

Il était indéniable qu’Aemiliane était devenue une petite accroc au sexe de Meryl. Comment faire autrement ? Une queue si grosse et si rigide, impossible de ne pas la vouloir en elle. Ainsi donc pendant qu’elle continuait de boire le lait de sa bien belle maitresse, le sexe de celle-ci frotta sa hanche et cela excita grandement la jeune esclave. Cependant impossible pour elle de faire quoique ce soit puisque la ferme et forte poigne de Meryl maintenait son visage contre son opulente poitrine. De ce fait, Aemiliane était pour le moment condamnée à sentir cette verge la caresser sans pouvoir pour autant l’absorber en elle.

Mais c’était avant que Peach, son curieux crush, décide de lui venir en aide. Elle se laissa faire quand il la souleva légèrement pour permettre à la queue de sa mère de se faufiler au bon endroit. Tout son petit corps frémit rien qu’à ce contact entre cette verge et sa féminité. Puis le moment tant désiré survint ; Peach relâcha tout et permit donc à Aemiliane de s’assoir sur la juteuse trique de Meryl, l’enfonçant tendrement en elle. « Haaa ! » Couina-t-elle fortement en rougissant comme une tomate. Peach était serviable et aimable, même dans ce moment pervers. Un véritable mari comme il se définit lui-même ... Même si, cela demeurait très étrange et inhabituel.

En tout cas la jeune femme pu enfin se trémousser contre le sexe de sa maitresse adorée ! L’ingénieure commença à danser sur place, se hissant d’elle-même sur cette queue massive, l’enfonçant en elle à allure régulière. Quand Meryl se mit à malaxer ses fesses, elle se mordit la lèvre. Mais quand elle se reçut la claque dessus, elle couina subitement, de telle sorte qu’elle faisait comprendre qu’elle en redemandait. Ce genre de petites choses, de petites attentions, elle en raffolait après tout ! Mais elle ne résista guère au baiser. En effet, elle se courba en avant et vint embrasser Meryl de toutes ses forces, savourant encore une fois l’exquise saveur de ses lèvres mauves.

Douces et délicieuses, contrastant avec l’aspect féroce et brutal du corps de Meryl. Sa bouche avait un goût de paradis ... Aemiliane pouvait s’y perdre pendant des heures ! Sa langue plongeait encore et encore dedans, se tordant et dansant avec celle de sa maitresse tout en gobant et dévorant les succulentes lèvres de la F-Girl. Un baiser long, langoureux et enflammé que les deux femmes partagèrent tandis qu’elles se faisaient l’amour. Aemiliane se faisait à nouveau sauter par Meryl, à son plus grand bonheur et extase. « Maitresse ! Oui, Maitresse ! Encore !!! » Gémit tendrement Aemiliane, en transe, enivrée par tout ce que pouvait dégageait Meryl ... Elle était sa maitresse, et plus rien ne pouvait changer cela à présent.

De ce fait, tout – absolument tout – ce qui provenait de Meryl était bon et à prendre. Tout ce qu’elle pouvait lui faire était également, extase et plaisir ...

Meryl esquissa un léger sourire devant l’appétit manifeste d’Aemiliane. Maintenant que la petite chatte avait sa verge dans son corps, elle ne cherchait plus à lutter, elle s’abandonnait totalement. Son corps ondulait sur place, se dandinant le long de sa verge. Dans son dos, Peach souriait, et Meryl laissa la femme l’embrasser, répondant volontiers à son baiser, ses solides mains se posant sur ses hanches. Elle appuya dessus, serrant sa peau, et répondit longuement à son baiser, avant de sourire encore. Les gestes de Meryl étaient plutôt lents, elle ne cherchait pas à forcer le passage, et laissait plutôt à Aemiliane le soin de savourer sa belle queue. Son membre dressé se perdait en elle, et elle hocha doucement la tête.

« Encore, hein ? Qu’est-ce que tu es gourmande, ma chérie...
 -  Elle tient bien l’allure, hein ? Je suis sûr que c’est déjà une grosse cochonne avant qu’on n’en fasse notre petite chatte, Mère ! »

La F-Girl sourit doucement, et remonta sa main, caressant le visage d’Aemiliane. Peach ne resta pas en reste de son côté, car il se frottait contre Aemiliane, son membre tendu remontant depuis ses vêtements pour caresser les fesses de la jeune femme. Il déboutonna son pantalon, libérant sa queue, et caressa avec le joli petit cul d’Aemiliane. Prise entre eux deux, la jeune femme  ne pouvait que subir leurs assauts, et Peach posa sa main sur son sexe, avant de l’approcher de son fondement.

Elle esquissa un léger sourire, et embrassa Aemiliane dans le creux du cou, puis approcha sa verge de son cul. Pour l’aider, Merul posa ses mains sur les fesses d’Aemi’, les écartant bien fort l’une de l’autre, ce qui permit à Peach de se glisser en elle. Autant dire que la banquette devenait bien remplie, et le fourgon devait désormais rouler lentement pour maintenir le trio en place.

« Hmmm, Aemi’... Ton cul est encore bien élargi, hihi... »

Indéniablement, Aemiliane allait être bien au sein de la Fut-Room. Elle serait la petite chatte de femmes musclées et puissantes, et la femme de Peach. Il posa d’ailleurs ses mains sur ses seins, en appui, et commença à la prendre, donnant des coups de reins, pendant qu’Aemiliane commençait à couiner sur place, les deux membres remuant en elle, s’enfonçant profondément. Ils optaient davantage pour la lenteur et pour la profondeur de leurs coups de reins, plutôt que pour la rapidité.

Peach se mit à gémir encore, couinant délicieusement dans les oreilles de la femme, et continua donc à remuer en elle, déflorant son délicieux petit cul...