Ce que j'aime mes doigts qui pianotent sur ce corps gracieux et tout en courbes. La pulpe de mes dextres s'échauffe sous les passages, ici et là, sur la peau de ma compagne de soirée. Ce voile de nacre, orné de ses oreille pointues, sa chevelure libre et sa queue lupine aux poils bleutés...Tout me donne envie de tellement...MAIS TELLEMENT PLUS ! Mais je suis un gentleman, je vais y aller doucement. Je compte bien la torturer le plus longtemps possible, jusqu'à ce qu'elle craque, la coquine. À tatillons et avec une lenteur calculée, je descends mes doigts jusqu'à atteindre son entrejambe, ses lèvres gonflées déjà d'envie. Un effleurement par ci, un effleurement par là...
Mais ma belle ne se laisse pas faire. Shad me taquine, la coquine ! Et je crois qu'elle sait que je suis fragile, trèèèèèèèès sensible face à ses charmes. D'un mouvement sensuel, ma lupine se retourne, faisant face à mon manioc, mon baobab fièrement dressé, LE SOLDAT AUX AGUETS ! Si je pouvais rougir, je le ferai, mais avec ma peau d'ébène, je ne suis pas certain que ça puisse se voir...Et puis, si j'avais à rougir, ça serait seulement d'excitation, comme mon torse qui se bombe doucement sous ma respiration lourde et brûlante. Bordel de merde. Shad, tu m'fais un de ces effets ! Pfiou !
Cette gazelle...Que dis-je ! Cette tigresse ne trouve rien de mieux à faire que de me tripoter. BON, je ne vais pas m'en plaindre. Ca fait déjà de longues minutes que j'attends ça, pour ne pas dire des heures depuis que l'on s'est retrouvés. Ah bah, les souvenirs de notre première rencontre m'étaient revenues en mémoire et du coup, beeeen...
- Ouuuuh...Mmmh...
J'inspire profondément, puis expire tout aussi bruyamment. Mes yeux émeraudes plongent dans ses beaux yeux bleus...De là-haut, j'ai une vue des plus magnifiques : celle de cette femme-louve, les poils un peu dressés d'excitation, les joues rougies d'envie, cet éclat aussi plein de malice dans son regard. Instinctivement, l'une de mes grandes paluches vient se poser sur sa joue un peu déformée par mon membre sombre. Un sourire aux lèvres, dans un petit coin, j'peux pas m'empêcher de lui lâcher.
- Tu es sublime...
Surtout avec ma quuuuuueeeeuuuuuue dans ta gorge ! Bon sang...Bon sang ! Souffle, souffle, respire, Rafiki ! T'es un bonhomme ! Tu vas pas lui refaire le coup de jouir trop vite sur sa trombine ou dans sa gorge ! Oh...Ca serait tellement bien pourtant ! Je m'y vois déjà ! Je...NON ! Raf', reprends tes esprits illico presto ! La diablesse...Elle te fait perdre tous tes moyens...Faudrait pas qu'elle te prenne pour un précoce quand même ! Ce serait la pire des humiliations...
Mes doigts remontent dans sa chevelure bleutée, si douce, la peignant pendant qu'elle me gâte comme jamais. Mon torse d'éphèbe de jade se soulève lourdement à chaque mouvement de cette louve. Elle me fait languir, me frustre comme pas possible. Elle me donnerait presque envie d'être plus...brute avec elle. Je la fixe, et j'aimerais que tu me répondes, ma petite Shad...
- Je....GNN ! Mmh...Bordel...
Y'a pas à dire : elle sait vraiment y faire ! Mon popotin se contracte sous ses doigts et sous les assauts de sa bouche, de sa langue, de la découverte humide de sa gorge. GRRRR ! T'as de la chance que je n'sois pas un lion, gazelle ! Sinon, je t'aurais bouffé toute crue...
Je me lèche les lèvres et...BON DIEU, STOP ! J'vais d'jà venir ! Naaaan ! Mes orteils grattent la terre, ou peu importe ce qu'il se trouve sous mes pieds. Je tiens, je tiens ! Arrête, Shad ! J'ai pas envie de redevenir tout mou maintenant et...Je papillonne des yeux quelques instants, un peu comme quand je redescends après un gros trip dans la figure. Ma gazelle s'est reculée...J'aurais réellement crier ce que je viens de penser, tout haut ? J'espère pas, sinon...Encore la honte, quoi ! Cette lupine...Ma louve se dandine devant moi et m'appelle...Voilà, c'est mort.
- J'adore jouer pourtant...
Mais là, je ne peux plus. Je ne veux plus. C'est elle que je veux ! Tu me rends fou, je ne peux plus penser correctement ! Je me jette littéralement sur elle, mes grandes mains agrippant ses fesses, les malaxant, tâtant leur chair délicate, puis les écartant. Ooh, la belle petite rondelle...Sans crier gare, je me penche et ma langue vient dessiner les contours de son petit trou, s'insérer un peu en elle, mais juste un peu, avant que mes mains ne relèvent un peu plus sa croupe pour que je goûte à l'eau de sa fontaine. Bordel...Bordel ! Ca m'avait manqué !
- J'ai terriblement faim...
Ma voix s'est faite plus rauque sans que je ne puisse vraiment la contrôler. Puis merde, j'ai pas envie de me contrôler justement ! Je la dévore, écartant ses lèvres intimes pour laper tout ce qu'elle a voulu me montrer, me donner. Je veux l'entendre gémir, et surtout grogner de frustration.
Je me redresse un peu pour la regarder de haut. Un petit sourire en coin et je me rapproche d'elle pour caler mon manioc tendu entre ses belles fesses rondes et musclées. C'est limite s'il rebondit dessus. Il coulisse bien le coquin, mais pas assez pour moi, alors j'le fais passer devant, pour que je lime sa fontaine de l'extérieur, que j'humidifie ma grosse banane. Alors, de mes mains, je viens lui prendre la poitrine, tout en me penchant contre elle, mes pectoraux frôlant son dos et sa chevelure couleur océan.
- Très, très faim...
Je dégage alors ses cheveux sur le côté, mes dents venant grignoter la peau de sa nuque...Alors que je remonte mon mandrin jusqu'à son fessier, appuie un peu...beaucoup...Et...PAF ! D'un coup en elle, je m'insère au plus profond de son petit cul. ET BORDEL DE MERDE, C'EST GRAVE BON ! J'suis pas très doux mais j'étais trop pressé. Ma bouche envieuse dérape vers ses oreilles, chaudement.
- Désolé...Mais tu m'as donné trop envie.
Plus doucement, et toujours agrippé à ses seins, je remue des hanches encore bien enfoncé en elle. Grrr, bordel ! Je danse, comme nous avons dansé un peu plus tôt. Lascivement...Puis un peu plus rythmé quand je la sens qu'elle s'est faite à ma queue dans ses entrailles. Mon bassin bouge tout seul, comme si j'étais possédé. Je lui pince les tétons entre mes index et mes pouces, les sentant chauffer et rougir ainsi. Bordel, bordel...
- Souhaites-tu que j'arrête ?
Et j'y vais decrescendo, pour rallier mes gestes à ma parole, et la faire languir...