Oh, Dieu, que j’avais mal au cul ! Ma Maîtresse se lâchait vraiment, et je n’étais plus qu’une petite poupée entre ces deux femmes. Difficile de dire, en toute objectivité, laquelle était la plus terrible des deux. Je ne connaissais jusqu’à présent Mélinda que de réputation. Elle était une femme arrogante, une lycéenne absentéiste qui se moquait de l’autorité des enseignants, mais qui avait toujours, avec elle, quantité d’amis, ou de larbins. Les gens se méfiaient d’elle, et moi, tout ce que je savais sur elle avant ce moment, c’est qu’elle était une fille redoutablement belle, avec un visage poupon, une tête d’ange, mais avec des yeux verts acérés, très intelligents, qui trahissaient une femme à l’esprit profondément affuté. Et, maintenant, je pouvais dire que mes intuitions avaient été très bonnes ! Cette femme était une redoutable perverse, et elle me pénétrait avec talent. Tout en y allant franchement, elle était aussi suffisamment calme pour parler avec ma Maîtresse... Ma Maîtresse, qui rappela qu’elle pouvait lire dans mon esprit, ce qui me fit rougir. Honnêtement, si on m’avait dit, il y a quelques jours, que je me ferai prendre dans les toilettes du lycée par une démone et une vampire hermaphrodites, je n’y aurai jamais cru ! C’était pourtant là tout ce qui me tombait dessus.
Oui, en ce moment, je rêvai d’être encore la soumise de ma Maîtresse... Mais je n’étais pas en état de réfléchir ! Là, seul le désir parlait pour moi. Toute mon intelligence avait été remise au placard, et je me faisais délicieusement prendre en sandwich. La vampire me labourait, et chacun de ses baisers était un délice. J’y répondais avec appétit, me blottissant contre elle, sentant sa langue s’enfoncer dans ma bouche. Elle mordilla même ma lèvre inférieure avec ses dents, m’arrachant un couinement, ainsi qu’un long frisson. J’étais dans un état tel qu’il m’était impossible de dire combien de fois j’avais joui. J’enchaînai les orgasmes, tandis que ma Maîtresse continuait à m’éclater le cul.
« Haaaaaaa... Hmmmmmmmmmm... HAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNN... !! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNN... !!
- Là, oui, hurle, salope, HURLE BIEN FORT !! »
Il était impossible de lutter contre de telles femmes, tout simplement. Je n’étais qu’une humaine, une simple petite humaine. Je ne pouvais pas les combattre, et je laissai donc ces deux terreurs faire de moi ce que bon leur semblait... Car ce que je vivais en ce moment était phénoménal. Je n’avais jamais ressenti jusqu’à présent un tel pied ! Elles me défonçaient bien, et c’était... C’était si bon ! Douloureux, certes, mais j’étais arrivée à une espèce de stade supérieure à la douleur et au plaisir, comme si ces deux sensations se mélangeaient. Et ma Maîtresse me pilonna encore, accélérant le rythme, m’envoyant régulièrement m’aplatir contre le corps de Mélinda, me faisant encore hurler.
En ce moment, j’hurlai comme une folle, et il suffisait que quelqu’un passe dans le couloir pour entendre mes cris. Mais impossible de me retenir ! Ma Maîtresse y allait trop fort. Yeux clos, je me laissai submerger, comme une digue qui viendrait de sombrer une marée insurmontable. Encore, encore, encore ! Elle y allait sans relâche, sa grosse verge m’éclatant l’arrière-train. Je mouillai furieusement, les minutes défilant à toute allure, fondant comme des secondes tandis que la femme continuait à me prendre. Mes cris moururent finalement dans un ultime orgasme, et ma Maîtresse s’abandonna en moi. C’est d’ailleurs là que j’eus mond ernier orgasme, en la sentant se vider en moi. Cette idée me remplissait de joie, j’irradiai alors d’un tel bonheur que... Que tout mon corps se relâcha brusquement.
Je venais de jouir encore, et sentis le corps de ma Maîtresse évoluer. Ses mains sur mes seins devinrent plus fortes, et je frémis en sentant ses griffes, et en voyant sa peau rougir. Elle venait de reprendre son apparence normale, grandissant sur place, et libéra mon cul de sa présence. Son sperme se mit alors à couler dans le trou béant qui était mon anus, m’arrachant des soupirs. Je pouvais sentir les caresses de l’air sur mes parois déchirées, et la sensation de sentir son foutre dégouliner de mon corps m’excitait fortement. Mélinda n’en avait toutefois pas encore fini avec moi, et se servit du corps de ma Maîtresse comme support, continuant à me baiser.
« Haaaaa... !! »
Ceci dit, avec mon cul désormais libre, j’allais mieux... Mieux, dans le sens où mon esprit n’était plus autant fracturé. Ma tête était nichée contre les seins de ma Maîtresse, et je soupirai doucement, J’étais là, contre elle, et j’étais bien, si bien... Puis Mélinda gémit alors, et se pinça les lèvres. Je l’observai alors, la trouvant... Très belle. Elle était là contre moi, yeux clos, contractant ses muscles, et me remplit à son tour. Avec sa peau mate, ses rougeurs ressortaient à merveille, et la jeune femme aux cheveux bouclés s’abandonna en moi, crachant sa semence.
Quand elle se retira, je m’effondrai sur le sol, baignant dans une flaque de sueur, de mouille, et de sperme, contre les jambes de ma Maîtresse. Celle-ci n’eut pas besoin de dire quoi que ce soit que je me penchai déjà vers ses jambes, et les embrassai, les léchant spontanément, en signe de ma profonde servitude, de ma soumission totale à celle-ci. Elle me donna alors un ordre, et je regardai Mélinda, avant de m’exécuter :
« Merci, Mélinda, merci de m’avoir... De m’avoir baisé si fort... »
Celle-ci sourit malicieusement en retour.
« Tu es une bonne salope, Asuka. Je suis toujours un peu frustrée de ne pas t’avoir comme esclave, mais... Desmina s’occupera très bien de toi, j’en suis convaincue. »
Elle me tapota affectueusement la tête, comme une petite chienne.
« Pourquoi te déguiser en lycéenne, Desmina ? Je croyais que les démons n’aimaient pas recevoir des ordres des humains. Tu serais bien mieux en professeur, surtout pour tourmenter Asuka... »
Mélinda se rapprocha alors de Desmina, et caressa son corps.
« En tout cas, tu es magnifique... Je connais une démone qui adorerait en savoir plus sur toi. Tu lui ressembles un peu, d’ailleurs... »
Je soupirai encore, pendant que mes pensées me trahissaient en imaginant Desmina en professeur sévère, dans un costume sombre et serré... J’avais encore du boulot à faire pour protéger mes fantasmes de la curiosité de ma Maîtresse, moi !