Compte tenu de la position dans laquelle était Asuka, une situation que j’avais moi-même élaboré, force était de constater que la mortelle ne s’en sortait pas si mal. La petite vierge avait déjà supporté un
plug dans son beau derrière, et l’
œuf vibrant devait désormais être à peine supportable, aggravant très certainement son excitation. Mais cela faisait intégralement parti du jeu, et un échec de sa part ne me fournirait qu’un prétexte supplémentaire pour la punir sexuellement, et c’était justement cela que j’attendais.
En attendant, ce mignon petit visage était entre mes cuisses, mon esclave tentant tant bien que mal de s’appliquer à me lécher pendant que les jouets restaient obstinément plantés en elle. Je pouvais entendre la mortelle soupirer, couiner et la voir se dandiner témoignait du plaisir qu’elle prenait à se faire diriger de la sorte par une femme forte. Sa petite main s’accrochait à l’une de mes fesses, comme une tentative désespérée de se raccrocher à la réalité pour retarder la jouissance.
« Hmmm… Tu es vraiment d’une nullité affligeante, incapable de lécher correctement ta maitresse. Je dois déjà supporter cette incompétence, alors ne t’avise pas de jouir sinon tu ne peux même pas imaginer ce que je vais te faire… »Mon ton était nettement menaçant mais cela ne changeait guère des habitudes que nous avions prises auparavant dans cette soirée. Je commençai à nettement mouiller à mon tour, car les tâtonnements d’Asuka étaient somme toute, plutôt excitant, presque touchant. Un instant de plénitude qui ne dura guère puisqu’un brusque soupir de ma jeune esclave m’indiqua clairement qu’elle avait dépassé ses limites, enfreints mes règles… En d’autres termes, elle venait de jouir.
« Espèce de petite pute ! Comment oses-tu jouir sans MON autorisation ?! Cette fois, tu as délibérément ignoré mes ordres, et tu sais ce que cela implique… » Déclarai-je en lui arrachant le bandeau masquant ses yeux.
D’ailleurs, je me rendis compte à quel point Asuka avait réellement aimé la sensualité et la domination de la scène que j’avais élaboré. Ses cuisses étaient littéralement trempées, et mon odorat supérieur pouvait aisément sentir ce délicieux parfum, cette suave odeur de cyprine… Vierge. Je me passais la langue sur les lèvres, impatiente de passer à la suite en punissant une soumise des plus dociles et visiblement désireuse de recevoir mon châtiment.
Sans attendre plus que nécessaire, Asuka fut saisi par les épaules, l’obligeant à se relever avant que je ne l’attrape par la taille et la soulève comme un vulgaire sac de patates. Je la posai sur mon épaule sans difficulté, aussi légère d’une plume à mes yeux, et la déposai sans cérémonie sur le lit. Là, à plein ventre, sa croupe était parfaitement à ma disposition, et j’en profitai pour non seulement récupérer l’œuf vibrant, mais aussi pour lui asséner une vigoureuse claque sur chaque fesse.
« Tu n’es même pas digne que je te prenne ta virginité. Tout ce que tu veux, c’est de faire punir comme une vulgaire esclave de bas étage… Regarde-toi, une véritable chienne qui mouille dès que je la violente ! Regarde comme tu t'es souillée ! »Et il ne fallait pas être une experte en domination pour s’en apercevoir. Cette fois, je récupérai une longue corde noire, parfaitement entretenue dans le coffre à jouet ainsi qu’un magazine de
kinbaku afin de m’en servir de modèle. Certes, j’étais habituée à la domination, mais avec des siècles d’absence et une expérience quasi nulle en bondage japonais, la triche était de mise.
Tout en plaquant Asuka dans les draps, je saisis ses bras, les rejoignant dans son dos. Dans cette posture, il ne restait qu’à ouvrir le magazine, utiliser un peu de magie pour faire serpenter la corde sur son corps, imitant le dessin pour lier ses membres dans son dos comme une experte. Un
bel exemple de triche magique, et je n’avais aucun scrupule à le faire.
« Il ne te manque qu’une chose désormais… » Je claquai des doigts, et une gag ball rose vint aussi rejoindre ma main.
« Ceci, ce sera parfait. »Entourant désormais la bouche d’Asuka de son nouvel accessoire pour la priver de la parole, je la retournai à nouveau sur le ventre.
Les bras liés dans le dos, bâillonnée, et les jambes que je maintenais écartées de force, il ne restait plus qu’à en disposer à ma guise. J’allumai à nouveau l’œuf vibrant mis de côté, avant de commencer à le coller sur son clitoris déjà très sensible après l’orgasme précédent. Une délicieuse torture.
« Si tu parviens à me supplier, de manière compréhensible, peut-être que je daignerai te baiser. En attendant tu vas subir, et me remercier de ne pas te dévorer littéralement ! Fais un effort petite chienne, crie et gémie pour ta magnifique maitresse ! »Naturellement, avec une balle dans la bouche, il lui était difficile de me répondre clairement. Tout était une affaire de prétexte. Je lui offrais déjà mon corps splendide à sa vue, cela me semblait déjà une faveur de trop. Quant à moi, cette situation me faisait atrocement mouiller, l'excitation me gagnant malgré mon sang froid. M’amusant donc avec son clitoris, je ne cessai de passer le jouet vibrant sur cette perle sensible jusqu’à ce qu’elle me supplie suffisamment… Ou bien qu’elle jouisse à nouveau, peut-être.