Entre Kitsunes [PV Tek-Kitsune]

Je sens le corps de Kanna blottie contre mon dos, sa poitrine s'écrasant sur ma peau nue tandis que son sexe me laboure l'intérieur, allant toujours plus loin et plus profondément. J'ai bien envie de hurler mon plaisir à la lune, mais je ne veux pas réveiller ceux qui dorment. Je trouve déjà cela miraculeux de n'avoir réveillé personne jusqu'à maintenant. La renarde me lèche le cou en disant qu'elle pourrait me baiser toute la nuit.

« Aahh... je n'en doute pas mais... oouuhh... il faut quand même... que tu te reposes un peu. »

A force d'appuyer contre mon dos, Kanna rapproche mon corps de celui de Nozomi. La petite sœur dort tranquillement, son visage est apaisé, sans sourcil froncé et sans grognement, ce qui la change agréablement. J'ai très envie d'embrasser son joli visage, mais si jamais elle se réveille en panique, elle risquerait de me mordre et je tiens à éviter ça. Sa grande sœur pleine de fougue me baise délicieusement en disant qu'il faudra changer les draps demain à cause de nous.

« Hhhmmm... alors vas-y... prends-moi... bien fort ! »

Je sens son souffle chaud contre mon oreille entre deux coups de reins, et je mouille en entendant ses jappements de plaisir tandis qu'elle me fait l'amour. Cette renarde est décidément une formidable amante. J'ai beaucoup de chance de l'avoir rencontrée.

« Aaahhh... ooouuuiii... ta trique... est si bonne... »

Je sens tout mon corps parcouru de frissons et d'ondes de plaisir à chaque fois qu'elle fait bouger son bassin. Coincée entre les fourrures des deux sœurs, je me sens comme dans un cocon de douceur pimenté d'une bonne dose de sexe. J'aurais voulu rester ainsi pendant des heures, mais c'est impossible malheureusement.

« Hhhmmm... GGAAHH ! »

Dans un ultime couinement, j'atteins l'orgasme et ma mouille gicle contre le bassin et la queue de Kanna. Peu de temps après, je sens sa semence jaillir et me remplir l'intérieur. Si elle et moi étions fertiles, je suis sûre qu'une éjaculation aussi importante aurait pu me mettre enceinte. La kitsune se retire une fois qu'elle a tout juté et elle revient se frotter contre moi.

« Aaahhh... Kanna... »

Je tourne la tête vers mon amante pour pouvoir l'embrasser, nos langues se caressant l'une l'autre hors de nos bouches. J'ai adoré la sentir me sauter, mais je sens que la fatigue est en train d'arriver. Je ne vais pas pouvoir tenir comme ça encore des heures.

« Ma chérie... hhhmmm... où tu veux me la mettre maintenant ? »

Ma bouche ? Mon cul ? Retourner dans Ma chatte ? Elle a le choix, mon corps lui est totalement offert.

Il ne faut pas s'en faire pour les kitsunes, ce sont après tout des animaux nocturnes. Bon, certes, sa mère et sa plus jeune sœur dormaient, mais l'une était jeune et la seconde épuisée de sa journée. Ce n'était pas ça qui allait les tirer de leur sommeil. Kanna savait profiter de tout cela, elle continuait de la prendre, sa queue lui remplissant l'entrejambe, se serrant contre elle, qui elle-même se serrait contre Nozomi, un vrai régal. Elle pouvait l'embrasser, ce n'était pas un petit bisou qui pourrait la réveiller, bien sûr, si elle cherche à faire un vrai baiser, là oui, ça pourrait la réveiller. Mais un bisou sur le visage, il en faudrait plus pour la réveiller. Continuant de lui faire l'amour, sa partenaire se sentait pousser des ailes, si légère, si entièrement dedans, c'était agréable que ce plaisir soit partagé comme ça. Kanna se blottissait contre elle, léchant sa peau imberbe, parfois sa langue, c'était si agréable.

« Mmmmmhhh rrrrrhaaaaaa... Tu adooooole ça... »

Kanna parvenait à glisser une de ses mains sous son corps pour la maintenir contre elle, ses deux pattes avant se joignaient sur son ventre alors qu'elle donnait des coups de reins plus fort, mais toujours plus agréable pour elles. Elle serrait les dents, sa respiration chaude passait sur la peau d'Amata pendant que sa queue tapait au fond, se cognant contre son col de l'utérus. Que c'était bon, que c'était chaud.

« Nnnnnnnhhaaaaaa... Amata... »

Sa langue glissait sur sa joue, en quête de ses lèvres ou de sa langue avant de continuer à la prendre, et ce, jusqu'à sentir sa queue cracher sa semence en elle. Elle la serrait contre elle, jusqu'à ce que sa queue se soit calmer et cesse d'expulser sa crème.

« Nyyyaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaooouuuuuuuuuuuuuuuuuuu !!!!! »

Kanna se laissait aller, sa voix se fit plus forte que d'habitude, mais rien, Nozomi dormait toujours, Kozué n'avait rien entendue, bien posé sur la poitrine de sa mère, qui soupirait à peine. Oui, elles ont le sommeil lourd. Kanna reprenait son souffle, mais Amata était déjà prête pour la suite, elle en redemandait.

« Humhum... Petite goulmande ! Te voil me sucer selait compliqué avec Nozomi... Ton joli petit cul est tentant... Mais... te lemplil encore ton petit minou me tente aussi beaucoup... Je vais donc voil ce qui te lend plus euhm... feblile, comme vous dites. »

Sa queue de nouveau tendue, elle la frottait entre ses fesses pour reprendre un peu de vigeur, puis elle en fit caresser le bout sur ses lèvres vaginales, puis son petit trou, alternant jusqu'à voir ce qui plaira à Amata et là, elle la prendra...

« Une chose ma chélie... Cette fois... je veux t'entendle clier ! »

Et sans plus de précautions, elle s'enfonçait là où Amata semblait le plus apprécier. Elle lui avait montré que sa famille dormait lourdement, alors elle voulait la voir crier de plaisir, au moins une fois, avant de s'endormir... Même s'il y a des chances que Kanna se fasse plaisir une dernière fois quand sa chérie aurait plongé dans le monde des rêves.

La sucer serait compliqué avec Nozomi collée à moi, donc Kanna laisse cette idée de côté. Elle m'avoue qu'elle est tentée par l'idée de revenir se loger soit dans mon cul soit dans ma chatte, mais qu'elle n'arrive pas à se décider. Elle vient donc frotter son chibre contre mes orifices pour voir lequel me rend plus fébrile que l'autre.

« Aaahhh... j'aime autant... l'un que l'autre. Je n'ai pas... oouuhh ! »

Et pourtant, quand son sexe caresses mes lèvres vaginales, je pousse un couinement plus fort. On dirait que mon corps sait ce qui lui fait envie. La renarde se met donc à frotter vigoureusement sa verge contre mon entrée humide et visiblement impatiente de se faire remplir, mais elle ajoute que cette fois, je dois crier mon plaisir.

« Quoi ? Mais... »

Je n'ai pas le temps de dire quoi que ce soit qu'elle vient s'enfoncer dans mon vagin, m'arrachant un gémissement de délice tandis qu'elle commence à me sauter. Elle veut que je crie ? Mais ça va réveiller sa famille. Même si elles ont eu le sommeil lourd jusqu'ici, si je me mets à crier, ça va forcément les faire réagir. Mais d'un autre côté, Kanna sait sûrement mieux que moi jusqu'à quel point sa famille peut être profondément endormie. Et de toute façon, elle me baise si bien que je ne peux pas faire taire ma voix bien longtemps.

« Aaahhh... Kanna... c'est le pied... »

Mais quand elle voit que j'ai du mal à me mettre à crier, elle se met à me baiser plus fort, plus vite, plus énergiquement. Elle fait même bouger le futon avec ses coups de butoir. Et au final, je me dis que je peux lui faire confiance et je me mets enfin à crier mon plaisir.

« OOOUUUIII ! Kanna... j'adore ta grosse bite... dans ma petite chatte trempée. Gggaaahhh... baise moi comme si j'étais... une femelle en chaleur ! J'ai besoin de ma dose de sexe... alors saute-moi ! Défonce-moi ! Remplis-moi ! Fais moi crier... comme une chienne. GGGAAAHHH ! »

Je me rends compte que crier quand elle me fait l'amour rend les choses plus excitantes. Je ne sais pas si c'est le fait d'extérioriser le plaisir que je ressens pu parce que j'obéis à la kitsune, mais ça me plaît. Et effectivement, le reste de la famille n'a pas l'air de se réveiller, alors je continue à crier tandis que ma partenaire me culbute avec son sexe bien érigé.

Quand elle finit par jouir en moi, le plaisir que je ressens est si grand que j'en jouis à mon tour.

« GGGRRRAAAHHH ! »

Je pousse un cri bestial, et un mélange de mouille et de sperme est expulsée de ma chatte. Après ça, je sens mon corps se ramollir et mes yeux se fermer tout seuls. Je crois que la fatigue a fini par me rattraper. En même temps, vu comment j'ai crié, j'ai dû dépenser beaucoup d'énergie.

« Aaahhh... Kanna... désolée mais... je commence à fatiguer. Tu veux bien... qu'on arrête là... pour ce soir ? »

Prenant plaisir, sûrement une dernière fois ce soir pour Amata, Kanna s'y donnait à fond, prenant sa belle renarde en s'y enfonçant dans sa chatte. Bien entendue, elle voulait l'entendre crier ! Qu'elle ne prenne pas peur pour ses sœurs et sa mère, sauf si son cri était de détresse, cela n'irait pas réveiller tout ce beau monde. Sans ménagement, elle la prenait comme si cela serait leur dernière fois, laissant sa queue s'enfoncer en elle, remuant en plus en se régalant de ses cris ! Elle lui aurait bien mordu la peau pour plus de plaisir, mais elle se contentait de cela pour le moment, son plaisir oral était déjà bien assez délicieux comme ça.

« Clie plus folt ! »

Elle l'aurait presque fessé pour ça, mais elle se contentait de taper plus fort pour la pénétrer encore et encore, aucune chance pour elle d'échapper à ce qui allait suivre, sauf si elle devient vraiment violente pour se tirer de ses griffes. Kanna la butine encore et encore, se délectant de ses paroles quand elle se libérait. Ça oui, elle la baisait comme en période de chaleur et elle aurait pu continuer encore et ça aurait été vraiment le cas. Pour le grand final, elle allait la prendre en la serrant contre elle, venant hurler avec elle pour le grand final.

« HAAAAAAAAAAAAUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU !!!!!!!!! »

Sa queue se déversait en elle, rependant sa semence alors que la belle agitait le drapeau blanc, se laissant tomber dans les bras de Morphée et indirectement, ceux de Nozomi qui était toujours agrippée à elle. Comme prévue, personne n'était réveillée, sauf sa mère qui jetait un œil vers elles, souriant avant de reprendre son sommeil. Kozué était toujours allongée, la tête sur la poitrine de sa mère, à dormir comme si rien ne s'était passé pour elle. Et Nozomi, elle était toujours au pays des rêves.

« Bien sûl ma belle... Lepose-toi bien... Je vais veiller sul toi, le temps que tu t'endolme. »

Douce, généreuse, elle la gardait contre elle, lui léchant la joue et l'épaule alors que sa queue se retirait doucement. Même si Kanna veillait sur elle, elle attendait que le sommeil soit vraiment de la partie pour Amata pour profiter un peu de la situation. Cette après-midi, elle l'avait baisé dans son sommeil – c'était son petit péché mignon – là, elle allait recommencer, de façon plus subtile. Une fois assurée qu'elle dormais, elle laissait l'excitation la gagner et venait glisser sa queue entre ses cuisses, la faisant juste glisser contre son intimité qui s'humidifiait à nouveau, doucement. Elle se faisait plaisir, jusqu'à jouir en silence, sa semence allant se coller dans les poils de sa sœur. Là, elle pouvait vraiment s'endormir à son tour, dans le silence de la nuit.

Au petit matin, ce fut une routine pour la famille, Miyubi fut la première levée avec Kozué dans ses bras, elle prit place dans leur salon, encore nues, laissant la petite la tétée afin qu'elle puisse se réveiller en douceur. Ses deux grandes sœurs se réveilleront tour à tour, l'ordre dépendait des nuits, sachant qu'il y avait eut une invitée spéciale pour la nuit.

Après que Kanna m'ait faite jouir pour la énième fois, je sens que j'ai besoin de repos. La kitsune me dit qu'elle va veiller sur moi le temps que je m'endorme, et je me laisse donc sombrer tranquillement dans les bras de Morphée, et aussi dans ceux de Nozomi puisqu'elle me garde toujours contre elle. Avec la fatigue et les léchouilles de mon amante, je m'endors très vite. Je ne la sens même pas quand elle vient frotter son sexe contre mes lèvres intimes, me faisant doucement mouiller jusqu'à ce qu'elle jouisse en silence, répandant sa semence contre les poils de sa sœur.

Après une journée comme celle-ci, je ne suis pas étonnée de dormir comme une pierre jusqu'au petit matin. Mais à mon réveil, voilà que j'ai une drôle de surprise. Toute la famille kitsune est rassemblée autour de Miyubi, et ils sourient tous en me voyant me réveiller.

« Tu te léveilles enfin ma belle. On attendait plus que toi. »

« Vous m'attendiez ? Pour quoi ? »

« Poul tétée. »

« Hein ? »

J'ai l'impression d'avoir mal compris à cause de l'accent de Kozué, mais non, elle me parle bien de tétée.

« Maman veut fêter ta venue en t'offlant une tétée. »

Tout s'embrouille dans ma tête. D'un côté, j'ai le sentiment qu'il n'est pas normal qu'une femme adulte comme moi, qui en plus ne fait même pas partie de cette famille, vienne boire le lait maternel de Miyubi. Mais d'un autre côté... j'en ai une furieuse envie. Et puis c'est elle qui propose, ce serait de mauvais ton de refuser. Je viens donc rejoindre le reste de la famille sans dire un mot, le visage un peu rougi.

« Ouais ! Tu vas voil, le lait de maman est tlop bon. »

Miyubi retire le haut de sa tenue de miko pour se mettre seins nus, puis fait signe à Kozué de venir. C'est quand même sa fille qui doit avoir la première tétée vu qu'elle c'est pour se nourrir. Je regarde donc cette petite boule de poils coller sa bouche contre le sein de sa mère et aspirer son téton, buvant tranquillement tout le bon lait qui en coulait. Je sais que pour elles, c'est quelque chose de naturel, mais pour moi, ce spectacle est vraiment émouvant à regarder. Et avant même que je m'en rende compte, Kozué a fini de boire. C'est donc à mon tour.

« Vas-y Amata. Va téter le bon lait. »

Je me laisse guider par Miyubi pour m'installer, et elle guide son téton vers ma bouche. Je suis toujours un peu gênée, mais quand je vois cette belle pointe de chair rose de laquelle perle une goutte de lait blanc, je sens mon entrejambe chauffer. J'attrape ce téton entre mes lèvres et je commence à l'aspirer. Le lait coule dans ma bouche. Il est tiède, sucré, délicieux. Je tète encore et encore tandis que la maman renarde me caresse les cheveux et le ventre. Elle ne peut pas me parler, mais Kanna ne s'en prive pas elle.

« C'est bon hein ? Le bon lait de ma maman... qui lemplit ton petit bedon. Ça te plaît hein ? »

Elle a raison, j'adore téter Miyubi. En un éclair, dix longues minutes s'écoulent, et je fins par arrêter de téter. J'ai le ventre plein, je me sens fébrile, mais je suis aussi très heureuse, je ne peux plus m'arrêter de sourire. La maman renarde m'allonge alors sur un futon et se couche sur moi avant de m'embrasser. Je sens son corps chaud et velu se frotter contre le mien, et en un éclair, je jouis.

« Hhhmmm ! »

Non... non... mais qu'est-ce qui m'arrive ?

Après mon orgasme, je sens mon corps s'enfoncer dans un cocon sombre et chaud. Je perds peu à peu connaissance... et je finis par ouvrir les yeux pour voir Nozomi en-dessous de moi et Kanna couchée à côté de moi.

Oh... c'était juste un rêve.

Je dois dire que je suis plutôt rassurée, même si je regrette un peu de ne pas avoir tété Miyubi finalement. Après un tel rêve, je sens que je ne vais plus pouvoir me rendormir, mais je ne veux pas réveiller les sœurs renardes, alors je me sors discrètement de leur câlin et je fais revenir mes vêtements sur mon corps grâce à mes nanites.

Je sors de la chambre en faisant le moins de bruit possible, mais alors que je pensais passer par le salon pour sortir du temple et aller prendre un peu l'air, je tombe sur Miyubi, nue de la tête aux pieds, en train de donner le sein à Kozué.

« Oh, pardon Miyubi, je ne savais pas que vous étiez là. »

Je détourne le regard, mais mon cœur bat la chamade. La voir comme ça me rappelle mon rêve, et forcément je commence à cogiter. J'ai clairement envie d'essayer de téter Miyubi, juste pour voir quelles sensations cela procure, et je me souviens de ce que Kanna m'avait dit un peu plus tôt dans la soirée, comme quoi sa mère serait contente de me laisser boire son lait après qu'elle ait nourri Kozué. Je suis clairement embarrassée à l'idée de faire une telle chose, mais entre mon envie, ma curiosité, et les circonstances idéales, je n'hésite plus. Il faut que j'essaie.

J'attends que Miyubi ait fini d'allaiter Kozué puis je viens vers elle. Je sais qu'elle est muette, mais elle doit quand même me comprendre.

« Miyubi, je... ça va peut-être paraître bizarre mais... est-ce que je peux vous téter ? »

Après une délicieuse nuit de sommeil réparateur, les deux grandes filles dormaient à point fermé, rechargeant leur batterie après cette petite nuit pleine de folie. Comme toujours, Miyubi fut la première à se réveiller et emporta Kozué avec elle. Même en la laissant au lit, il fallait qu'elle soit vraiment épuisée pour continuer à dormir, sinon, elle l'aurait rejoint dans moins de cinq minutes. Mais c'est ainsi, depuis qu'elle était bébé, elle dormait avec sa mère, sans elle, difficile de la faire dormir. Installée dans le salon, elle prit un coussin et laissa sa fille sur une de ses cuisses, encore embrumée, elle tétait machinalement, reprenant petit à petit conscience qu'il fallait se réveiller. Veillant sur elle, elle caressa ses cheveux quelque peu ébouriffée, la laissant boire calmement. Peu de temps après, Amata arriva, interrompant la séance matinale, mais il n'y avait pas de mal. Kozué ne bougeait pas, toujours assise sur sa mère, elle-même souriait tendrement à son invitée. Elle comprenait qu'en société, il fallait se couvrir pour sortir, mais là, elle était chez elle, et c'était le matin, peu importe qu'elle la voit nue.

La mère de famille caressait sa fille, contrairement à d'habitude – gaie, joyeuse et débordant d'énergie – au réveil, c'était une véritable bête sauvage qu'il ne fallait pas déranger. Seule sa mère pouvait la contrôler, un détail qui changeait du songe de la jeune femme. Elle caressait ses cheveux, venant lécher quelques mèches rebelles qu'elle pouvait atteindre. Une fois terminé, Kozué restait assise sur sa mère, bien repu, elle lui caressa le ventre, bien remplit, la tenant dans son bras alors qu'elle sombrait encore à moitié dans le coma du réveil. Amata en profita pour se rapprocher et faire une demande, qui pour elle, n'était pas gênante. Elle voulait de son lait ? Kozué avait finie donc elle pouvait prendre sa place, d'autant plus qu'elle avait deux seins. De sa main de libre, elle caressa son visage avec un sourire maternel, faisant un petit signe positif avec son visage. Sa patte se glissa derrière sa tête, la rapprochant de son sein intact. Kozué avait beau être à côté, elle oscillait entre un bidon bien remplit et le réveil difficile. Avec douceur, elle la laissait la tête, lui caressant la tête avec tendresse. Ses filles avaient beau être grande, ils leur arrivaient encore de venir la téter donc, pourquoi pas elle ? Même la reine d'Edoras aimait la téter parfois, même si elle préférait assister à Miyubi qui donnait le sein à sa fille.

Elle pouvait téter autant qu'elle le souhaitait, elle ne risquait pas d'en manquer puis ça lui faisait plaisir. Au bout d'un temps, Kanna fut réveillée, rejoignant le salon à pas de loup en se blottissant dans le dos de la kitsune à plusieurs queues.

« Mmmmmh, je t'avais menti ? Maman à du bon lait bien délicieux. »

Elle jetait un œil à sa mère, comprenant plus ou moins la suite, elle libéra donc Amata pour venir chercher sa petite sœur qui grogna un peu, mais se laissait faire.

« Allez, faut se léveillez. Tu vas m'aider à plépaler à manger poul maman. »

Maintenant libérer, elle caressa d'abord Amata de sa main libre, avant de la glisser plus bas pour se caresser entre les cuisses. Elle n'était pas forcément excitée quand on la tétait, mais là, il ne s'agissait pas de ses filles. De plus, bien que discrète, elle a plus ou moins entendue ce qui se passait cette nuit. À la différence des deux grandes filles, la mère avait de l'âge, de l'expérience, et même nue, en dehors de ses tétons, le bas était plutôt masqué naturellement. Là où une humaine aurait une touffe, Miyubi en avait une aussi, mais qui se fondait avec sa fourrure naturelle. Si bien qu'en se caressant, ses doigts étaient masqués sous ses poils, mais le plaisir était là. Pas de ronronnement ou de gémissements, mais un plaisir muet. Qu'Amata veuille en profiter ou juste la laisser se faire plaisir seule, ça la regardait, elle, elle profitait simplement de cela. Son rêve devenait en partie réalité.

Je dois reconnaître que je suis un peu surprise de voir Miyubi accepter aussi vite de me laisser la téter. Même si c'est quelque chose de normal dans sa culture, c'est quelque chose qu'elle fait surtout avec ses filles, peut-être qu'elle aurait hésité à le faire avec une inconnue. Mais non. Aussitôt que Kozué a fini de boire son lait matinal, la mère renarde pose sa main derrière ma tête et me fait approcher doucement de son sein encore libre. J'ouvre la bouche et j'accueille son téton entre mes lèvres avant de commencer à l'aspirer, et le lait se met à jaillir.

Je dois avouer que c'est plutôt agréable. Le lait est tiède, sucré, il passe tout seul dans ma bouche. C'est presque comme dans mon rêve, sauf que Miyubi ne me tient pas dans ses bras comme elle tiendrait un bébé. Mais ça reste agréable. Après quelques minutes de tétée, je sens une douce fourrure se coller dans mon dos. Kanna vient de se réveiller, et elle me demande ce que je pense du lait de sa mère.

« Hhmm... tu avais raison. Le lait de ta mère est délicieux. »

Kanna prendre Kozué avec elle et me laisse seule avec Miyubi. Je continue à boire son lait tranquillement, puis je remarque que la renarde a mis sa main libre entre ses cuisses pour se caresser. Est-ce que ça veut dire que ça l'excite de me donner la tétée ? Ça commence de plus en plus à ressembler à mon rêve. Et vu que je suis déjà en train de la téter, je me sens assez en confiance pour oser aller plus loin. Mais pour l'instant, je reste juste accroché à son sein et je bois mon lait, doucement, tranquillement, savourant chaque gorgée.

C'est vraiment agréable.

C'est même tellement agréable que je commence doucement à m'endormir. Mais je parviens à rester éveillée jusqu'au bout, quand le sein de Miyubi finit par être à court de lait. J'ai du mal à croire que j'ai bu boire autant. Quand je me décroche de la poitrine de la renarde, je sens que mon ventre est plein. Si je ne venais pas de me lever, je serais allée faire une petite sieste. Miyubi me sourit, visiblement heureuse de m'avoir donné la tétée, et en la voyant ainsi à moitié nue, je ne peux m'empêcher de tenter ma chance pour aller plus loin.

« Miyubi, je... je vous ai vu vous caresser entre les jambes... pendant que je vous tétais. Est-ce que... ça vous a excité ? »

Elle hoche la tête pour me confirmer qu'elle a aimé ça sexuellement parlant. Galvanisée par ma précédente réussite, je prends mon courage à deux mains et je me lance.

« Miyubi... est-ce que vous voulez bien... qu'on couche ensemble ? »

Amata avait là une belle opportunité de se régaler en lui tétant le sein afin de goûter à son délicieux lait maternel. Miyubi n'avait pas vraiment de problème à donner le sein à une autre kitsune de sa famille, pour elle, si elle voulait, elle pouvait se servir, du moment qu'elle avait déjà nourri sa fille. Surtout que là, c'était une kitsune à plusieurs queues, le prestige était là. Pendant qu'elle la tétait, elle se caressait en profitant de ce petit plaisir de si bon matin. Pourquoi devrait-elle se sentir gêner ou autre ? Elle profitait, le bout de sa langue sortait de sa bouche, profitant de ce petit plaisir coupable. Une fois son petit ventre bien remplit par son bon lait, Amata se posa des questions sur la mère renarde, et elle remuait doucement la tête, ne se cachant pas de cela. Miyubi étirait son sourire face à sa question, car elle n'avait rien contre le fait de coucher avec elle.

Libérant son visage, elle formait avec ses mains un corps féminin, une silhouette, pour affirmer qu'elle était belle, à voir si elle comprendra ce qu'elle lui disait sans la possibilité de parler. Elle reprenait son visage entre ses mains, écartant mieux ses cuisses pour lui faire mettre son visage entre ses cuisses. Comparé à sa fille, ses cuisses étaient un peu plus large, sa zone intime plus velue, mais elle ne se posait pas de question sur son apparence. Elle la laissait glisser sa langue en elle, sur elle, alors que la mère de famille ouvrait sa petite bouche. Même sans le moindre son, à voir les très légers mouvements de ses lèvres, on sentait que le plaisir sortait par sa bouche, avec ou sans son. Elle caressait ses cheveux, ainsi que ses oreilles. Son corps vibrait silencieusement de plaisir, laissant la belle faire ce qu'elle voulait pour lui faire plaisir. Certes, après elles feront bien plus que ça, mais pour le moment, la mère de famille en profitait, quelque peu égoïste pour le moment, mais voilà.

Ses pattes caressaient la belle Amata, ses pattes arrières caressaient son corps, doucement, qui sait ce qui se passera ensuite, ça, c'était un grand mystère. Bien qu'elle la caressait, elle maintenait une certaine pression pour la laisser contre elle afin qu'elle puisse quand même faire son travail.

Le fait que Miyubi ne puisse pas parler risque de poser problème. Je la vois dessiner la silhouette d'un corps féminin. Est-ce qu'elle fait ça pour parler de moi ? Mais ensuite, elle me donne un message beaucoup plus clair en prenant ma tête entre ses mains pour la mettre entre ses cuisses. Toute excitée de voir mon rêve devenir réalité, je me laisse gentiment faire, et une fois que je me retrouve face à sa zone intime, je me rends compte qu'elle est beaucoup plus touffue que celle de ses filles. Je me mets à lécher les poils en surface, et je creuse peu à peu en dessous avec ma langue jusqu'à trouver son entrée intime. Je caresse ses lèvres intimes avec

« Hhhmmm... sslluurrpp... »

Je sens son corps vibrer doucement, mais ça me fait vraiment bizarre de coucher avec une femme muette. Elle ne couine pas, ne gémit pas, je me fie juste à la façon dont son corps frémit et à comment elle me caresse pour savoir si je m'y prends bien avec elle. Je sens ses pattes sur mes cheveux et mes oreilles, et ses jambes se frottent contre le bas de mon corps. Je sens des fourmillements de plaisir partout dans mon corps, la fourrure de mon amante me chatouille le visage, c'est très agréable.

« Hhhmmm... »

Dire que c'était juste un rêve... et maintenant, je me demande comment j'ai pu me passer de cette expérience. Boire le lait de Miyubi a été très agréable, lui lécher la vulve l'est tout autant. J'espère juste que Nozomi ne prendra pas trop mal le fait que je fasse l'amour avec sa mère après avoir séduit sa sœur aînée. Mais pour l'instant, je suis juste contente de coucher avec la mère kitsune, dont je ressens le plaisir à travers les frémissements de son corps. De temps en temps, j'arrête de la lécher pour pouvoir lever un peu la tête et regarder son beau visage.

« Aaahhh... tu aimes Miyubi ? »

Elle me répond en hochant la tête, et je retourner aussitôt lécher sa vulve. Au bout de quelques minutes, je sens le corps de Miyubi se mettre à trembler intensément, et un jet de mouille vient éclabousser mon visage. Je crois qu'elle vient de jouir. Encore une fois, ça fait bizarre de coucher avec une femme qui ne peut ni gémir ni crier son plaisir, mais le résultat est là. La renarde me fait me redresser pour venir m'embrasser. Je savoure le contact de sa bouche contre la mienne, ma langue s'agite avec la sienne, et toute cette excitation me rend bien humide entre les jambes. Et justement, puisque j'ai fait jouir mon amante, je me dis que ce n'est que justice qu'elle me rende la pareille.

« Oohh... Miyubi... je veux sentir ta langue... sur mon corps. »

Je suis complètement nue sous mon kimono, et je suis curieuse de voir comment la renarde va s'y prendre.

Le rêve d'Amata prenait vie et la mère renarde se laissait lécher l'intimité par son invitée. Cette petite jeune s'en tirait bien, elle savourait le contact de sa douce langue entre ses jambes. Se faisant un petit chemin entre ses poils, son corps vibrait de plaisir sous ce contact des plus agréable. Ça variait un peu, ce n'était plus toujours ses filles ou les reines. Depuis leur rencontre, elles avaient tendance à passer très souvent ici, et pas seulement pour savoir comment se portait leur bébé selon l'expérience de la renarde. Mère de trois beaux bébés, on pouvait dire sans mal que Miyubi était ce que l'on appelle plus communément une Milf. Bien qu'elle ne vise pas spécialement les jeunes gens, elle aimait le sexe et Amata allait comprendre que ses filles ont de qui tenir ! Ouvrant sa bouche, elle laissait sa langue sortir pour expier plus facilement alors que son invitée continuait de lui lécher tendrement la vulve. Elle répondait par signe de la tête, la caressant pendant qu'elle continuait de lui lécher le minou, et ce, jusqu'à en sentir un orgasme. Son visage se crispait de plaisir, sans que le moindre son ne sorte mais on pouvait le lire sur son visage. Après quelques remous, elle redressa la demoiselle, la gardant contre elle en la léchant alors qu'elle voulait qu'on lui rende la pareille.

Ce n'était que bénéfique d'en faire autant. Miyubi se redressait pour laisser Amata s'allonger. Il n'y avait pas de futon ici, mais les quelques coussins pouvaient servir de matelas ou simplement d'oreiller pour sa tête. Une fois étendue sur le sol, elle se redressait avant de s'abaisser, ses belles fesses bien rondes venaient écraser le visage de son amante. Là où Kanna et Nozomi avaient des petites fesses bien ferme, celles de la matriarche étaient plus molle, ronde mais toute aussi douce et agréable. Sa longue queue touffue se redressait avant qu'elle ne s'allonge sur son corps. Son entrejambe était tout à elle et Miyubi ne tardait pas à faire coulisser sa longue langue entre ses jambes, léchant d'abord sa vulve, son petit clitoris avant que sa langue ne se force un petit passage entre ses lèvres intimes. Miyubi savourait le fluide sexuelle de la jeunesse, elle se fichait que sa fille couche avec simplement ou qu'il y ai plus. Les mœurs n'étaient pas la même à Edoras et dans leur meute, comme elle avait grandis. Elle remuait doucement ses hanches, ses fesses s'agitaient sous le nez d'Amata qui avait une vue des plus agréable ! Libre à elle de juste la contempler, la peloter ou y plonger la tête, elle la laissait faire comme bon lui semble.

Miyubi continua de doucement la lécher, venant titiller son petit clitoris avec ses dents, la pinçant juste, sans forcer, car elle ne voulait pas lui faire mal. Elle continua, son corps doux et chaud se frottant Contre son corps imberbe jusqu'à voir ce petit jet fuir d'entre ses jambes ! Miyubi la nettoyait quand même avant De s'écarter et se rapprocher doucement d'elle. Sa patte caressa doucement son ventre, qu'elle observa quelques instants avant de lever son regard vers elle. Un visage doux, un sourire maternel, elle mima le fait de porter un bébé dans ses bras, observant Amata en penchant sa tête sur le côté. Peut-être Kanna et elles voulaient avoir un bébé, elle n'en savait rien, elle ne savait que peu de chose de leur « relation » pour le moment. Placée entre ses jambes, elle lui caressait les cuisses, là, elle pouvait idéalement lui faire l'amour. Pas en futa, bien qu'elle aimait bien, mais elle n'avait rien ici pour se transformer alors si ça se faisait, ça ne sera que pour faire semblant ou bien de façon à juste se frotter la vulve ensemble. Miyubi s'allongeait contre son corps, sa chaleur, sa douce fourrure, son poids, la milf se frottait contre elle, lui léchant doucement les lèvres en commençant par remuer doucement sur elle. Les yeux dans les yeux, elle prit une de ses mains, puis deux, les plaçant sur son cul si agréable. Libre à elle de les peloter, les pincer ou les fesser, après tout, ce n'était pas elle qui allait crier. Elle lui fit juste un petit oui de la tête, elle était libre d'interpréter cela à sa façon ! Amata voulait jouer avec la mère de famille, elle n'était pas au bout de ses surprises ! Et tant mieux !

En suivant les mouvements de Miyubi, je m'allonge sur le sol, posant ma tête sur un coussin, et la renarde vient ensuite coller ses belles fesses rondes contre mon visage. Contrairement à Kanna et Nozomi, la mère renarde a le cul plus mou, mais aussi plus dodu et rebondi, ce qui est bien aussi. C'est déjà excitant d'avoir son derrière contre mon visage, mais ce n'est qu'un préliminaire avant qu'elle ne commence à me lécher le clitoris et l'intérieur des lèvres intimes.

« Aaahhh... ooouuuiii... »

Après les filles, je me tape la mère. J'ai bien compris que les mœurs de la famille ne sont pas les mêmes que pour le commun de la société, mais je ne peux pas m'empêcher de cogiter dans un coin de ma tête. Heureusement, c'est un coin vraiment minime face au plaisir d'avoir ces deux belles fesses moelleuses qui se pressent sur mon visage tandis que je me fais lécher la chatte. Je sens même le bout des dents de Miyubi sur mon clitoris. C'est vraiment le pied.


« Mmmhhh... ooohhh... Miyubi... »

Excitée par la vue de son cul qui gigote devant moi, j'enfouis mon visage entre ces deux bosses et je me mets à gigoter pour sentir sa chair molle s'agiter contre ma peau. Je joue à ce petit jeu jusqu'à ce que je sente l'orgasme arriver et qu'un jet de mouille jaillisse entre mes jambes. Après qu'elle m'ait nettoyée, Miyubi s'écarte et vient caresser mon ventre avant de mimer le fait de porter un bébé dans ses bras, la tête penchée en signe d'interrogation.

« Vous voulez savoir si je... oh non, non ! Je ne suis pas enceinte. »

Très vite, je me rends compte qu'elle m'interroge plutôt sur l'avenir, savoir si je compte avoir un enfant un jour.

« Je... je n'en sais rien. »

Avoir un enfant avec Kanna... je n'y ai songé qu'au moment où j'ai fait ce drôle de rêve où j'étais enceinte. Malheureusement, les nanites m'ont rendu complètement stérile, donc je ne peux pas porter de bébé. Mais Kanna, elle, elle pourrait. Mais comment on le concevrait ? Est-ce que je serais seulement capable d'être une bonne mère ? Et surtout, pourquoi est-ce que je me mets à me poser ce genre de questions ? Heureusement, Miyubi vient étouffer ma réflexion en s'allongeant sur moi, sa douce fourrure contre ma peau nue, me léchant les lèvres en remuant doucement contre moi.

« Ooohhh... ce que c'est agréable... »

Elle va même plus loin en prenant mes mains et en les posant sur son cul avant de hocher la tête.

« Ça veut dire que je peux faire ce que je veux, c'est ça ? »

Encore un hochement de tête. Du coup, tandis que Miyubi continue à se frotter contre mon corps, je joue des mains sur son joli cul. Je le malaxe, le pince, le fesse, et même si la renarde ne couine pas, je vois le plaisir sur son visage. Plus elle se frotte à moi, plus je sens la chaleur monter en moi et plus je me sens coquine. Je me mets à bouger en rythme avec elle, qu'elle sente aussi le plaisir sur son corps. Mes petites tapes se changent en fessées, et je frémis en sentant la chair molle de son cul onduler sous mes claques.

« Aaahhh... plus vite... Miyubi... plus vite ! »

Et tandis que nous nous frottons frénétiquement l'une contre l'autre, je m'imagine comment ce serait si l'une de nous deux avait un chibre entre les jambes. J'adorerais la prendre en levrette pour voir ses fesses gigoter tandis que je la sauterais bien fort. Après la nuit que j'ai passé avec Kanna, je suis un peu curieuse de savoir ce que ça fait que de faire l'amour avec ce genre d'engin.

Le cul de Miyubi n'était pas aussi ferme que celui de ses filles, mais que voulez-vous, avec l'âge et trois merveilles mise au monde, la nature ne lui avait pas épargné son devoir et son corps avait doucement subit les affres du temps. La fourrure cachait un peu cela, sachant qu'en plus, elle était plutôt bien conservée pour son âge, mais voilà, la nature, tout simplement. La belle renarde s'interrogeait sur elle et sa fille, savoir si leurs petites séances n'étaient faites que pour s'amuser ou bien si cela avait pour but de la rendre grand-mère tôt ou tard ? Mais apparemment, le sexe n'était qu'un jeu pour le moment, soit, elle ne courait pas derrière le fait d'avoir des petits enfants, sa fille faisait ce que bon lui semble. Mais bon, Amata semblait bien s'entendre avec elle et elle avait plutôt une bonne approche avec ses deux autres filles. Vu le caractère de cochon de Nozomi, on pouvait dire qu'au vue de sa soirée, elle s'en sortait plutôt bien.

Se lovant contre elle, elle savourait le contacte de sa douce peau imberbe contre la sienne, léchant ses lèvres en posant ses mains sur ses fesses, la laissant faire ce que bon lui semble, pourvu que ce soit bon. Caresse, malaxage, pincement, et même fessée, si elle aurait eu encore sa voix, elle aurait jappé de plaisir ! Mais là, le plaisir s'entendait surtout en lisant la joie sur son visage, son long sourire qui s'étirait, sa langue qui pendait, c'était délicieux. Alors qu'Amata en voulait plus, Miyubi en voulait elle aussi plus ! Elle reprit une de ses mains sur ses fesses pour venir enfoncer son index dans sa gueule, le léchant en observant son invitée, le suçant d'une façon qui en disait long avant de garder son poignet dans sa main et le mettre sur sa fesse, près de son petit trou anal. Elle voulait qu'elle lui titille l'anus, là, elle prendra son pied, à un niveau un peu au-dessus.

Quand Amata enfonçait son index en elle, elle frissonnait et ses lèvres tremblaient. C'était si délicieux ! Une belle queue bien tendue pour s'enfoncer en elle serait bien mieux, mais peut-être plus tard dans la journée. Là, elle n'avait rien sous la main pour combler cela, malheureusement. Son corps chaud et velue se frottait au sien, en même temps que son entrejambe qui, bien que velue lui aussi, avait humidifié sa zone intome et son clitoris se faisait bien sentir contre celui d'Amata. Miyubi venait embrasser langoureusement la jeune femme en se frottant plus rapidement à elle, son baiser s'interrompait et elle tremblait en ayant son orgasme, arrosant Amata comme il se doit. Bien que silencieuse, son souffle chaud se faisait sentir contre sa peau et la mère était des plus ravies. Si elle aurait pu, elle aurait gloussé comme une jeune renarde suite à cela, mais elle se contentait de sourire en se lovant plus encore contre Amata. La belle jeune femme l'intriguait beaucoup, il était possible qu'elle fasse partie de la famille tôt ou tard ou alors elle s'imaginait juste des choses ?

Le clichée de la kitsune qui est du genre coquine n'était pas juste une rumeur, car après ce bref moment de repos, elle s'écartait pour se mettre à quatre pattes, le haut du corps bien pressé au sol, elle lui tendait volontiers son joli cul de milf. Sa longue queue touffue relevé, elle ne pouvait rien dire pour exprimer son envie mais elle était aussi curieuse de voir que dont Amata avait envie ? Elle en avait profité avec ses mains, elle l'avait eut en plein visage, mais toujours imposée par Miyubi, maintenant qu'elle avait le choix ? Qu'allait-elle prendre ? La mère observait la jeune demoiselle en souriant, agitant ses belles petites fesses comme pour l'attirer. Peut-être va-t-elle le malaxer ? Le fesser ? Y plonger de nouveau son visage et pourquoi pas lui lubrifier l'anus ? Ou juste profiter de cela pour faire semblant de la prendre par-derrière, bien que sans pénis, ça risquait de devenir frustrant de ne pas pouvoir en profiter comme il se doit...

Je n'aurais jamais cru qu'une de mes journées pourrait commencer comme ça. Après avoir eu le droit de téter Miyubi, voilà que je couche avec elle. La kitsune se frotte joyeusement contre ma peau nue, ça me fait un tas de frissons partout dans le corps, et je sens ses belles fesses dodues sous mes doigts. Quand je lui dis que j'en veux plus, elle attrape une de mes mains et elle prend mon index dans sa gueule, le léchant et le suçant avec appétit. Alors que je m'interroge sur ce qu'elle prépare, elle finit par ramener ma main sur ses fesses, mais en plus elle approche mon doigt de son anus.

« Aaahhh... tu veux que... je rentre mon doigt ici ? »

Elle hoche la tête d'approbation, et je viens tout de suite accéder à sa demande. Je suis tellement excitée que je ne prends même pas la peine de réfléchir, je glisse mon doigt dans sa petite rondelle , et une fois qu'il est bien enfoncé, je le remue doucement pour qu'elle sente bien cette entrée dans son cul. Je la sens frissonner contre moi, ses lèvres tremblent et sa langue pend hors de sa bouche. Elle finit par se jeter à mes lèvres, et nous partageons un délicieux baiser jusqu'à ce qu'elle finisse par jouir. Encore une fois, son orgasme est silencieux, mais je vois le plaisir illuminer son visage, et je sens sa mouille éclabousser mon bassin.

« Hhhmmm... oohh Miyubi... c'était si bon. »

Cependant, la maman renarde ne semble pas en avoir encore fini avec moi. Elle se relève et s'écarte un peu de moi pour pouvoir se mettre à quatre pattes, le haut du corps bien pressé au sol, me tendant son joli cul, sa queue touffue relevée. C'était clairement une invitation à venir la prendre. Je suis comme hypnotisée par ses belles fesses qu'elle agite devant moi, et je viens coller mon bassin contre le sien, comme si je m'apprêtais à la baiser, mais évidemment je ne peux pas vu que je n'ai pas de sexe masculin. En revanche, je ne me prive pas de lui donner une bonne fessée, claquant sa chair rebondie.

« Si j'avais un sexe masculin... aaahhh... je te baiserais le cul avec plaisir. »

Mais pour l'instant, tout ce que je peux faire, c'est utiliser mes doigts et ma langue. Je me mets à genoux derrière Miyubi pour avoir le visage devant ses fesses, et j’écarte ces deux belles bosses pour venir lécher sa rondelle, enfonçant ma langue à l'intérieur pour bien le dilater. Je ne sais pas pourquoi, mais plus je regarde son cul, plus j'ai envie de pratiquer le sexe anal avec elle. Là ou Kanna ou même Nozomi ont plutôt un derrière ferme et bien taillé, celui de leur mère est plus moelleux, plus voluptueux. Et même si j'aime les deux versions, je crois que j'ai quand même une préférence pour le derrière de la mère. Quand j'imagine Kanna avec les mêmes fesses, ça me donne envie d'y enfoncer mon visage.

Après avoir bien léché l'anus de Miyubi, cette dernière est haletante et bien humide entre les cuisses. Je passe donc à l'étape suivante en enfonçant l'index et le majeur de ma main droite entre ses fesses, tandis que l'index et le majeur de ma main gauche se fraye un chemin entre ses jambes pour venir doigter sa chatte.

« Aaahhh... tu aimes ça Miyubi ? »

Miyubi à peut-être jouit, mais Amata devait bien se douter que chez ses kitsunes, un orgasme ne suffit pas à calmer leurs ardeurs, au contraire, ce n'était que l'allumage de la mèche en vérité. Après un orgasme collé à elle, face à face, la mère de famille lui tendait ses fesses avec envie, sa queue bien relevé pour lui laisser le choix, n'attendant plus que la jeune demoiselle et voir sur quoi son envie allait se porter ? L'anus ? Le vagin ? Les deux cas lui plairaient, mais au final, elle commença par la fessée. Si elle aurait encore sa voix, elle aurait couiné de plaisir mais là, le silence régnait pendant la gifle et seul son corps vibrait doucement de plaisir. C'est sûr qu'elle aurait adoré voir Amata avec un pénis pour lui prendre le cul, cela faisait un moment que les reines n'étaient pas passées la voir et donc, n'avaient pas jouer avec elle, donc elle aurait bien voulu sa petite dose, mais qui sait, la journée ne faisait que commencer !

Amata venait lui lécher le cul, la faisant doucement baver de ses deux paires de lèvres avant qu'elle ne passe ensuite par glisser deux doigts dans sa rondelle et aussi entre ses jambes. Audacieuse kitsune que voilà ! Cela ne vaudrait pas une belle longue queue turgescente, mais elle saurait s'en contenter pour le moment, cela faisait bien vibrer son corps qui répondait présent à un tel plaisir ! Si sa voix serait là, elle aurait bien jappé comme il faut mais là, seule sa langue pendait, offrant à son visage une grimace pleine de plaisir qui la rendait malgré tout toujours aussi désirable. Son épaisse queue touffue remuait un peu, caressant parfois le visage d'Amata, un peu de douceur dans tout cela ! Mais après plusieurs minutes de plaisir, l'orgasme arriva et Miyubi inonda une fois de plus sa place, laissant une petite flaque entre ses cuisses. Même si elle avait aspergé sa partenaire, certaines gouttes coulaient encore. Mais que faire à présent ? Amata allait se rendre compte que si les deux grandes filles de Miyubi étaient coquines, elles tenaient de leur mère qui avait un rang au-dessus !

Miyubi se retourna, prenant le visage d'Amata pour l'embrasser un peu, profitant parfois du baiser pour lui lécher le visage. Elle allait lui faire une proposition qui sera sûrement une grande première pour elle, elle ne savait donc pas comment elle allait le prendre, bien ou avec un peu de peur ? Si Amata n'avait pas de queue à lui offrir, il y avait une autre alternative. Après l'avoir embrassé et lécher, elle la relâchait, désignant son intimité avant de tendre son index et majeur qu'elle collait ensemble, les écartant un peu. Elle tentait de désigner son vagin avec ses doigts donc. Elle poursuivait sa « phrase » en approchant son autre main, glissant entre le petit espace de ses doigts, ses autres doigts, puis petit à petit, sa main... Miyubi voulait qu'Amata la fist, donc ? Tout à fait ! Avant même d'avoir sa réponse, elle prit la main droite de la jeune femme, la léchant doucement, ses doigts, sa main, sa paume, elle voulait voir si la demoiselle était capable d'une telle chose à défaut d'avoir une belle bite à lui offrir ? Là, elle allait « crier » de plaisir ! Sur son visage, déjà, se lisait une certaine impatience, une certaine joie, un plaisir à elle... Eh oui, Amata avait mis les pieds dans une belle famille de kitsunes très coquine ! Une chance que Kozué soit encore jeune et écarté de cela, sinon Amata aurait fini par aussi jouer avec la plus jeune du trio.

Mes doigts logés dans sa chatte et dans son cul ne vaudront jamais une belle queue turgescente, mais c'est tout ce que j'ai à lui offrir pour l'instant. Je doigte énergiquement ses deux orifices, gloussant parfois quand sa queue touffue vient me caresser le visage. Cette coquine semble plus que ravie de recevoir cette gâterie, et il ne lui faut que quelques minutes avant de jouir avec délice, répandant sa mouille sur mes doigts et sur le sol. Et elle n'y va pas de main morte.

« Ouah... sacré orgasme Miyubi. »

Et pourtant, la renarde est loin d'être calmée. Après un baiser entrecoupé de léchouilles sur mon visage, elle me présente ce qu'elle veut que je lui fasse : elle écarte ses lèvres intimes avec les doigts d'une main, puis elle vient rentrer progressivement son autre main à l'intérieur, jusqu'à ce qu'elle y soit complètement enfoncée. Je la regarde faire avec de grands yeux.

« Tu... tu veux que je te fasse ça ? Moi je n'ai rien contre mais... t'es sûre que ça va rentrer ? »

Elle hoche la tête pour acquiescer puis prend ma main droite pour la lécher. Je peux déjà lire une certaine impatience sur son visage. Puisqu'elle a tant l'air de le vouloir, je peux bien faire ça pour elle.

Une fois qu'elle a fini de bien lubrifier ma man avec sa salive, je commence à approcher mes doigts de son antre. D'abord un, puis deux, puis trois, jusqu'à ce que je me retrouve avec la main à moitié logée dans son vagin. C'est la première fois que je fais quelque chose de ce genre, alors j'ai besoin que la kitsune me guide un peu pour réussir à la fister comme il faut.

« Ça... ça va comme ça ? »

Au vu de l'expression sur le visage de Miyubi, je pense qu'elle crierait si elle le pouvait encore. Je sens sa mouille couler sur ma main, je vois sa mâchoire s'ouvrir en grand et sa langue pendre au coin de sa gueule, et elle s'agite beaucoup sur place. Pour ma part, je ne sais pas encore si je dois trouver cette situation excitante ou étrange. En tout cas, une fois que la renarde aura eu son orgasme, je compte bien lui demander de me rendre la pareille. Mais sans me fister par contre. Je me contenterai de ses doigts ou de sa langue.