Une esclave à vendre, pour du lait à revendre... [PV : Les soeurs Lilianstar]

Pleione se sentit bien triste quand Cassandre lui répondit que les formes de son corps étaient naturelles, et aussi qu’elle mangeait beaucoup de légumes. Hélas, ce régime alimentaire n’allait pas aider la neko à prendre des rondeurs.

« Nyyaann... dommage, j’aurais tellement voulu devenir aussi ronde que toi. »

Beaucoup de gens pensaient que l’idéal de beauté chez les femmes, c’était des seins énormes et la taille fine, mais la cadette Lilianstar avait un tout autre point de vue sur la question. Pour elle, une belle femme doit avoir des formes bien rondes, aussi bien au niveau de la poitrine que du postérieur. Physiquement, Cassandre était son idéal féminin.

Quant à Antares, elle sourit en entendant l’ushi la complimenter sur sa culotte. Elle n’avait pas de goûts précis en matière de vêtements, n’ayant eu que peu d’occasions d’en porter, mais au moins elle avait déjà donné une indication. L’aînée la câlina en serrant son visage dans sa poitrine.

« Je vois. Dans ce cas, je pourrais peut-être te la donner. »

La neko avait tellement de culottes chez elle, se séparer d’une ne lui poserait aucun problème. Sans compter que Cassandre ne pouvait pas rester indéfiniment avec la même paire de sous-vêtements sur le dos, il fallait qu’elle en ait d’autres pour se changer.

Antares, qui avait demandé l’arrêt de la soirée charnelle, eut tout à coup l’envie de la relancer, et retira sa culotte avant de l’agiter sous les yeux de la vachette.

« Tu aimerais l’essayer, juste pour voir comment tu te sens dedans ? Ou alors... je pourrais aussi te la remettre dans la bouche. »

La neko avait bien remarqué que, lorsque la terranide avait la culotte de sa sœur dans la bouche, elle mouillait beaucoup plus. Était-ce un de ses fantasmes ?

« Je suis désolée, j’avais promis qu’on arrêtait pour ce soir mais... c’est plus fort que moi. »

Pleione suivit rapidement le mouvement, et retira sa culotte pour la faire balancer à côté de celle de sa sœur.

« Moi aussi je veux jouer avec toi Cassandre. Tu veux que je te remplisse encore la bouche ? »

« Oh, j’ai une idée : et si on la remplissait à deux ? »

Elles regardèrent l’ushi droit dans les yeux.

« Ça te plairait, vilaine petite coquine ? »

« Si oui, alors ouvre grand. Aaahhh... »

Bien sûr elles ne la forçaient pas. Si elle voulait arrêter, il suffisait qu’elle le dise. Peut-être en avait-elle assez eu pour ce soir.

Bien installée, notre vachette expliquait un peu ses préférences niveau des vêtements, histoire qu'elle puisse avoir ses premiers vêtements. Etant donné qu'elle donnait très peu de renseignement, elle se demandait ce qu'elle aurait. Sans doute quelque chose de simple ? De toute façon, elle n'était quand même qu'une… Qu'une simple vachette ! Donc, elle n'avait pas besoin de quelque chose de si complexe… Non ? Elle espérait ! Elle avouait qu'elle n'était pas très très douée, donc, elle avait un peur de se perdre, dans quelque chose de trop complexe… M'enfin bon, elle écouta alors les déclarations de l'une de ses deux maîtresses.

« Nyyaann... dommage, j’aurais tellement voulu devenir aussi ronde que toi. »

Elle baissa les oreilles… Malheureusement… Une servante devait tenter tout pour satisfaire ses maîtres ou ses maîtresses… Mais là, c'était véritablement mission impossible. Heureusement pour elles, les vachettes étaient naturellement très rondes… C'est pour cela qu'à moins d'être véritablement maltraitée, les vachettes étaient très rarement maigre… Et c'était un mauvais signe de voir des vachettes maigres. Ne parle-t-on pas de temps « des Ushis maigres » ? Bref, elle aimerait vraiment faire en sorte que Plélone puisse avoir un peu de sa belle chair, mais elle pouvait pas faire cela… A la place, elle écouta :

« Je vois. Dans ce cas, je pourrais peut-être te la donner. »

« Oh ! Cela serait si gentil !! »

DOBBY EST UN ELFE LIBRE !!! Désolée, il fallait que je la fasse, en temps que Potterhead. Bref, qu'est-ce que je voulais dire déjà ? Ah oui ! Donc, notre fameuse vachette était honorée… Recevoir sa première culotte rien qu'à elle… Et que cela soit celle… Celle de sa maîtresse… C'était vraiment un honneur… Mais il y avait encore mieux :

« Tu aimerais l’essayer, juste pour voir comment tu te sens dedans ? Ou alors... je pourrais aussi te la remettre dans la bouche. Je suis désolée, j’avais promis qu’on arrêtait pour ce soir mais... c’est plus fort que moi. »

« Oh oui ! »

Qu'importe ! Qu'importe ! Elle avait super envie ! Après tout, elle n'était pas fatiguée… Et elle avait eu tant de plaisir, depuis qu'elle s'était faite acheter, qu'elle n'était pas contre du tout que cela recommence… Après tout, pourquoi dirait-elle non à plus de plaisir ? Surtout avec sa bouche… Tant que c'était énorme que cela remplissait bien sa bouche… Et là, tout d'un coup, le bonheur se multiplia par deux !

« Moi aussi je veux jouer avec toi Cassandre. Tu veux que je te remplisse encore la bouche ? »

« Oh, j’ai une idée : et si on la remplissait à deux ? »

Deux… Rien… Que pour elle… ? Oh lala… Là, on pouvait dire une chose, c'est que Cassandre se sentait comme la servante la plus heureuse de l'univers ! Et visiblement, les deux nekos pouvaient être contente de découvrir que leur achat… Etait sans doute une belle perverse, au fond d'elle, en plus de donner énormément de lait. On povuait dire que c'était un achat qui valait le coup… Sans aucun doute que cela allait être un cadeau qui allait bien fatiguer celle qui allait le recevoir… N'était-ce pas une bonne chose, sur ce point… En tout cas, les deux nekos continuaient d'exciter la fameuse Ushi...

« Ça te plairait, vilaine petite coquine ? »

« Si oui, alors ouvre grand. Aaahhh... »

« Remplissez ma bouche, j'aime, controlez-la... »

Elle ouvra grand la bouche… Elle avait hâte qu'on la remplisse, qu'on la soumette… Elle était une soumise… Et elle aimait ça… Sans aucun doute qu'elle aurait affaire à des hommes, qu'elle apprécierait avant tout les prendre en bouche… Bref, nous avions affaire à une vachette qui pensait avant tout à profiter avec sa bouche… Il était temps ! Elle voulait profiter de ses culottes, qui devaient encore avoir de ce merveilleux liquide, de cette merveilleuse cyprine… Bref, le plus grand de tout les bonheurs… Ainsi, elle déclara :

« Aaah... »

Elle attendait avec impatience.

En voyant à quel point Cassandre avait envie de se faire remplir la bouche par ces deux culottes, les nekos se mirent à sourire. Si elle aimait à ce point faire des cochonneries et jouer les soumises, alors Yuko allait en tomber raide dingue. Antares bougea la première, et enfonça sa culotte en la poussant le plus possible dans la joue gauche de l'ushi pour laisser de la place à sa petite sœur. Puis Pleione fit de même en mettant sa culotte du côté droit. Les filles avaient pris soin de faire en sorte que la partie couverte de leur cyprine soit sur la langue de la vachette.

« Oh quel pied ! »

« On dirait que tu aimes ça encore plus que Cassandre. »

« J'en doute, regarde un peu comme elle se tortille. »

En effet, le corps de l'ushi était rouge, transpirant et parcouru de spasmes. Visiblement, elle n'avait pas exagéré son fantasme de se faire remplir la bouche. Les sœurs se collèrent ensuite de chaque côté de son corps, la prenant en sandwich pour de tendres câlins.

« Mmhh, belle Cassandre... si je m'écoutais, je te sauterais dessus pour te baiser jusqu'à demain matin. »

« Il faut qu'on s'économise, le trajet du retour va être fatigant. Tu pourras toujours jouer avec elle à la maison. »

« Et encore plus quand je l'offrirai à ma merveilleuse femme. »

Les nekos passèrent quelques minutes à caresser la belle peau de l'ushi, puis Pleione tourna son attention vers ses seins, d'où le lait se mettait à perler.

« On dirait qu'elle a besoin d'être traite. Tu es avec moi ? »

« Volontiers. En plus ça nous aidera à dormir. »

Mais avant de se mettre à pomper la poitrine appétissante de son esclave, la sœur cadette retira les culottes qui remplissaient sa bouche.

« Désolée de t'ôter ce plaisir, mais je veux t'entendre meugler. »

Les filles collèrent chacune leur bouche contre l'un des tétons de Cassandre et se mirent à aspirer, savourant le lait délicieux qui en sortait.

Cassandre était une Ushi… Les Ushi étaient faîtes pour être traite, traite, et encore traite… Ainsi, il était classique que celle-ci développent soit une dépendance à ses situations de contrôle totale, où elles ne peuvent rien faire à part être utilisée, soit l’inverse, une haine de ses situation… Je vous laisse deviner deux choses : Premièrement, dans quel situation était Cassandre, et surtout, deuxièmement, dans quels situations les Ushi vivaient le mieux. En théorie, cela ne devrait pas être trop trop difficile à deviner. Bref, notre Ushi, notre vachette préférée, Cassandre, était là pour se faire dominée, utilisée, et appréciée cela… Et elle comptait bien le faire, longuement et avec énormément de plaisir… Quel bonheur.

« Oh quel pied ! »

« On dirait que tu aimes ça encore plus que Cassandre. »

« J'en doute, regarde un peu comme elle se tortille. »

Tout à fait ! Elle se tortillait de plaisir… Mmh… Que de plaisirs… Elle rêvait ainsi de cela. Bon sang, qu’elle était heureuse d’être la nouvelle esclave des sœurs… Ses Nekos étaient des déesses du plaisirs, il n’y avait pas d’autres choses à dire...

« Mmhh, belle Cassandre... si je m'écoutais, je te sauterais dessus pour te baiser jusqu'à demain matin. »

« Il faut qu'on s'économise, le trajet du retour va être fatigant. Tu pourras toujours jouer avec elle à la maison. »

« Et encore plus quand je l'offrirai à ma merveilleuse femme. »

Trajet du retour ? Ah oui c’est vrai ! Quel était bête parfois ! Ne disant rien, elle venait tout juste de se rappeler qu’elle allait être un cadeau, et que les Lillianstar n’étaient pas tout à fait ses vraies maîtresses… Bon, c’était du pareil au même, bien entendue ! Elle ne connaissait pas encore comment étaient ses autres maîtresses… Mais il n’y avait pas de doute sur le fait qu’elles étaient très certainement des femmes merveilleuses… Elle veux dire : si elle pouvait ainsi épouser des Nekos aussi parfaites… Elles étaient sans doute tout autant parfaite… Que de plaisir en perspective. Elle ne savait pas combien de temps rentrer allait mettre, mais sans aucun doute que le temps en vaudrait la chandelle !

« On dirait qu'elle a besoin d'être traite. Tu es avec moi ? »

« Volontiers. En plus ça nous aidera à dormir. »

« Désolée de t'ôter ce plaisir, mais je veux t'entendre meugler. »

« Pas de soucis, Maîtresses… ! »

Bien sur, on ne pouvait pas nier une certaine… Comment dire… Déception dans sa libération. Mais cependant, elle n’allait pas non plus être trop capricieuse. On lui avait donné se plaisir, gratuitement… Et puis, c’était les culottes de ses maîtresses qui étaient venues lui remplir sa bouche… Ce n’était pas n’importe quoi ! Elle devait donc, accepter quand le plaisir n’était plus présent… C’était comme ça que cela marchait, une vie d’esclave ! Elle était bien contente, d’ailleurs, de faire sa vie d’esclave avec deux maîtresses aussi… Aussi… Elle n’avait même pas de mots pour décrire son bonheur, celui-ci étant… Beaucoup, beaucoup, beaucoup trop important…

Donc, abandonnons les mots ! La vachette, traite de nouveau, meuglait de plaisir. C’était tellement agréable d’être traite à la bouche… Les deux sœurs Lilianstar pouvaient ainsi grandement apprécier ce merveilleux lait… Il était peut-être un tout petit poil moins bon que tout à l’heure, il faut bien avouer que quand on consomme rapidement de nouveau le lait de la vachette, et bien, il y avait une légère perte de qualitée, d’où le fait qu’il ne fallait pas abuser des bonnes choses. Après, le lait restait excellent. Pour ce qui est du plaisir… Et bien, là, il n’y avait aucun changement : Cassandre prenait toujours autant son pied, et était extrêmement heureuse que son lait soit, continuellement ainsi, aspirée.

Agrippées aux seins de Cassandre, Antares et Pleione aspiraient le délicieux lait de l'ushi comme de grosses gourmandes. Ce liquide était tellement bon que la cadette aurait pu rester collée à cette appétissante poitrine pendant des heures, l'aînée le savourait aussi mais était moins accroc que sa sœur. En revanche, ce lait lui donnait envie d'être encore coquine, et elle glissa un de ses mains le long du ventre de la vachette, pelota un peu ses petits bourrelets, puis alla jusqu'à son sexe humide. Elle était tellement mouillée que la neko put glisser directement trois doigts en elle, ajoutant le plaisir de la pénétration à celui de la tétée. Pleione resta concentrée sur la poitrine de Cassandre, se remplissant l'estomac de son lait.

Quand elles eurent terminées de vider la poitrine de l'ushi, les nekos étaient toutes chaudes et ronronnantes comme des moteurs. Sans dire un mot, Antares alla mettre sa frimousse entre les cuisses de l'esclave tandis que Pleione joua de ses lèvres et de sa langue sur son visage et dans son cou. Elles purent encore profiter un peu de ses meuglements puis, quand elle finit par jouir, l'aînée eut droit à une belle traînée de mouille directement dans sa bouche, et un peu sur son visage. Elle retourna ensuite auprès de sa sœur, qui lui nettoya le visage avec plaisir, puis elles partagèrent un baiser torride avant de s'allonger de chaque côté de leur amante.

« Mmmrrraaawww… j'ai l'impression d'être sur un petite nuage rose. J'ai sommeil… mais j'ai tellement envie de faire encore l'amour. »

« Demain Pleione… demain. Pour l'instant… nyaaa… il faut dormir. »

Antares enleva les derniers vêtements qui traînaient encore sur le lit, puis retira sa robe et ses sous-vêtements pour se retrouver dans le plus simple appareil. Pleione resta un moment immobile, à observer la beauté du corps de sa sœur, une beauté dont elle ne se laissait jamais.

« Myyyuuu… j'ai envie de dormir nue. Ça ne vous dérange pas ? »

« Nyyyaaannn… Non, pas du tout. D'ailleurs… »

Pleione en fit de même, attirant le regard de sa sœur, puis les deux se couchèrent de part et d'autre de Cassandre, nue également. L'aînée releva la couette sur leurs corps.

« Bonne nuit mes amours. »

« Bonne nuit grande sœur. Et bonne nuit à toi aussi Cassandre. »

Il était encore tôt, bien qu'il fasse déjà nuit, mais les nekos avaient vraiment sommeil. Au moins, elle ne se lèveront pas trop tard le lendemain.

Ah, le lait… Heureusement que Cassandre en donnait beaucoup, pensa-t-elle. Enfin, non, elle pense pas cela comme ça, car sinon, et bien, elle aurait pas dit « Cassandre ». Elle ne parlait pas d’elle à la troisième personne. Enfin, vous m’aurez compris. Bref, son lait continuait à se déverser dans les bouches des agréables maîtresses de l’Ushi, et celle-ci ne pouvaient qu’être heureuse de son bonheur… Elle aimait être traite, il fallait bien le dire. Et elle aimait encore plus quand c’était des personnes comme Antarès et Plélone qui venait se faire plaisir en buvant son lait…

Mais le plaisir ne venait pas que du lait… En effet, alors que les deux chattes étaient entrain de tranquillement boire, l’une d’entre elle, la plus vielle, visiblement moins accro au lait, mais appréciant bien d’autres choses que proposaient la vachette, fit passer sa main discrètement, et délicatement vers le vagin de la vachette. Très rapidement, l’Ushi se fit pénétrée par trois doigts, faisant gémir grandement la vachette de plaisir… Une fois que les deux avaient fini de boire, ses deux maîtresses décidèrent de, encore une fois, donner un peu de plaisir à la vachette, qui appréciait particulièrement cela… Antarès avait déjà son nez et sa bouche sur l’intimité de l’Ushi, tandis que de l’autre côté, Plélone était entrain de lui offrir des baisers tout partout, baiser qui étaient rendu par la vachette, qui ne voulait pas être égoïste et accaparé tout l’amour. Bien sur, les meuglements continuèrent, jusqu’à culminer...

« Mmmrrraaawww… j'ai l'impression d'être sur un petite nuage rose. J'ai sommeil… mais j'ai tellement envie de faire encore l'amour. »

« Demain Pleione… demain. Pour l'instant… nyaaa… il faut dormir. »

Ce n’était pas une mauvaise idée… Là, après avoir été vidée et avoir jouie, la vachette avait vraiment besoin de repos. Elle était allongée sur le lit, lit qui d’ailleurs étaient maintenant bien arrosé de cyprine, que cela soit celle de la vachette ou celle des Nekos. On pouvaient même deviner que du lait avait couler dessus, c’est pour dire. Alors qu’Antarès descendit du lit, elle commença à entièrement se déshabiller.

« Myyyuuu… j'ai envie de dormir nue. Ça ne vous dérange pas ? »

« Nyyyaaannn… Non, pas du tout. D'ailleurs… »

« Moi, c’est déjà le cas, meuh ! »

Elle fit un peu d’humour, mais il faut bien comprendre qu’elle profitait surtout de la beauté de ses deux maîtresses. Bien qu’elle adorait son corps, elle trouvait le corps des deux Nekos sublimes. Magnifiques et bien soignées… Loin de son corps, qui était certes beau, mais qui n’avaient pas brillé particulièrement par son soin, avec le temps. Je vous rappelle en plus qu’elle venait d’être achetée, hors, avant, elle vivait dans son étable, c’est pour dire. Mais bref, en tout cas, il n’était plus le temps de réfléchir… Il était temps de dormir, pour les trois. Aussi bien l’Ushi que les deux Nekos… La vachette écouta alors les derniers mots de cette merveilleuses soirée, soirée qui allait très certainement la marquer.

« Bonne nuit mes amours. »

« Bonne nuit grande sœur. Et bonne nuit à toi aussi Cassandre. »

« Bonne nuit maîtresses ! »

Et les voilà toutes trois dans les bras de Morphée… On pouvait dire que… Comment dire… Disons que la première vraie journée de Cassandre avait été mouvementée ! Pourquoi « première journée » ? Et bien, on disait souvent, et avec raison dans le cas des esclaves, qu’un esclave… N’avait sa première journée que quand il était vendu. C’était le début de son existence. Chose logique, étant donné que l’esclave n’existait qu’à partir de son rapport avec son maître. Donc, ainsi, la première journée de notre chère Cassandre avait été active, pleine d’amour, et pleine de découverte… Elle avait déjà hâte de sa prochaine journée… Et de la suivante… Et celle encore près… Bref, alors qu’elle dormait, elle fit bien en sorte, d’un geste presque maternel, de protéger les deux nekos, leur offrant son corps et ses seins… L’instinct était fort en elle… Bonne nuit, vous trois !

Les trois filles s'endormirent ensemble, Antares et Pleione se collèrent contre le corps moelleux de Cassandre, leurs visages contre sa délicieuse poitrine. C'était encore meilleur qu'un oreiller.

Antares rêva de son futur en tant que femme mariée et maman, au milieu de sa tendre épouse et de tous ses beaux bébés. Et parmi ces bébés, il y avait une mini-Cassandre, âgée de quelques mois, qu'elle pouvait dorloter et choyer. Ce petit ange adorait téter les seins pleins de lait de sa maman neko, et était toujours à réclamer plus de câlins. Une vraie peluche.

Pleione rêva qu'elle était redevenue une petite fille, mais au lieu d'être surveillée par Effie, la gouvernante de son enfance, c'était Cassandre qui s'occupait d'elle. Et comme elle était beaucoup plus gentille qu'Effie, elle la laissait téter sa poitrine plusieurs fois par jour, le seul problème étant que, plus elle tétait, plus elle se sentait immature et dépendante de l'ushi. Pourtant, ça ne l'empêchait pas de continuer.

Environ neuf heures après s'être couchées, les filles furent réveillées par Andreas, qui entra dans leur chambre sans trop savoir où poser les yeux. Entre les filles nues dans le lit et leurs sous-vêtements qui traînaient sur le sol, il avait l'impression de ne pas être à sa place, mais il était bien obligé d'entrer pour les réveiller.

« Mesdemoiselles... désolée d'avoir du entrer mais... il faut vraiment que vous vous leviez. »

Il en vint même à les secouer un peu, jusqu'à ce qu'Antares ouvre finalement les yeux.

« Mmhh... aaahhh... bonjour Andreas. »

Puis, quand elle réalisa qu'elle était nue alors qu'il y avait un homme dans sa chambre, elle se rabattit en panique sous sa couverture.

« Ah ! Sortez d'ici tout de suite ! »

« Oui mademoiselle. Encore désolé. »

Le garde du corps s'en alla, et l'aînée Lilianstar réveilla ensuite les autres filles.

« Allez les marmottes, debout. »

Une fois la joyeuse bande réveillée, Antares alla ramasser ses vêtements, et se souvint qu'elle avait promis quelque chose à Cassandre la veille.

« On va aller prendre le petit-déjeuner, mais d'abord... »

Elle tendit sa petite culotte bleue ciel, encore marquée par toute la mouille qui avait coulée dedans.

« Tu veux bien essayer ma culotte ? J'ai envie de voir ce qu'elle donne sur toi. »

Bien dans les bras de Morphée, notre vachette était extrêmement heureuse… Après tout, n’était-elle pas dans une position confortable ? Pour une vachette qui avait dormi toute sa vie dans une étable, et bien… On pouvait dire que cela était bien mieux de dormir dans des lits. Surtout aux côté de deux nekos exceptionnels, qui lui avait tant de plaisir. Cassandre profitait du lit, et maintenant dans les bras de Morphée, elle pouvait rêver...

Que rêvait-elle ? Est-ce qu’elle avait une vision plus proche de celle d’ANtarès, une vision maternel, ou bien une vision proche de celle de Plélone, plus enfantine, plus libérée ? Et bien… Regardons son rêve… Alors elle rêvait qu’elle était dans un champ… Quand une carotte tout d’un coup commença à bouger. Bien sur, elle poursuivi la carotte, alors qu’elle remarqua qu’elle était maintenant dans une ferme, et qu’il y avait des patates qui dansaient… Finalement, elle rattrapa un criminel qui s’était enfui, et elle décida de chanter avec lui… Mmh… Visiblement son rêve n’avait pas beaucoup de sens… Et oui ! Que voulez-vous… Bien souvent, les rêves, s’étaient des fatras d’images, sans véritablement de sens...

« Ah ! Sortez d'ici tout de suite ! »

« Oui mademoiselle. Encore désolé. »

Ce fut la première chose que notre vachette écouta, une fois libérée du dieu du sommeil. (qui est un super adversaire dans Saint Seiya The Lost Canvas, si vous voulez mon avis.) Elle ne savait même plus à qui appartenait l’autre voix, mais elle reconnaissait la voix d’Antarès, qui semblait assez active, mais elle ne savait pas trop pourquoi… Mmh… Il s’était passé quelque chose de grave… ? Quoiqu’il en soit, elle n’avait pas encore le courage de bien se lever… Ainsi, bien que réveiller, elle restait pour le moment dans son lit, en attendant que quelque chose la confirme de véritablement se lever… Quelque chose qui arriva :

« Allez les marmottes, debout. On va aller prendre le petit-déjeuner, mais d'abord... »

« Mmh ? »

Après le réveil, il y a le lever… Et une fois que « l’ordre », que je met entre guillemet, car on ne peux pas véritablement appelé ça un ordre, c’était plutôt une demande sans autre choix, un peu comme celui d’une mère… Oui, bon d’accord, cela à tout d’un ordre. Bref, en tout cas, une fois que l’ordre fut donné, la vachette se leva, présentant son imposante poitrine. Alors qu’elle s’apprêtait à bien s’habiller du peu qu’elle avait, elle remarqua que la fameuse Antarès voulait dire quelque chose… Alors, elle reçu la « récompense ».

« Tu veux bien essayer ma culotte ? J'ai envie de voir ce qu'elle donne sur toi. »

« Oh ! Merci !!! »

Quel honneur ! Pour une esclave, pouvoir porter les habits de son maître, était sans aucun doute le signe d’une très grande reconnaissance. Cela voulait dire que le maître acceptait et estimait que niveau vestimentaire, son esclave pouvait porter la même chose que lui. Cela voulait dire une grande reconnaissance, et surtout, un grand respect de la part du maître, de son esclave. Bien sur, alors, l’esclave devait être honoré d’un telle traitement. Notre chère vachette n’avait pas le comportement parfait dans ce genre de situation… Mais disons qu’elle se débrouillait pas trop trop mal, si vous voulez mon avis. Après l’avoir mise, la vachette se tourna vers Antarès, et déclara avec un très grand sourire :

« C’est un peu serré, mais j’aime beaucoup ! Je mets le reste, et je suis prête ! »

En effet ! Le postérieur de la vachette étant supérieur à celle des Nekos, la culotte était assez étirée, mais heureusement, elle n’avait pas cédée, et elle arrivait à faire le tour des hanches volumineuses de la vachette, sans casser, bien qu’on sentait qu’elle avait du mal… Bref, en tout cas, la vachette remit ses bas à taches noir et blanches, et remit son soutien gorge. Elle réinstalla même le collier avec la cloche autour de son cou… Après tout, elle était une vachette, et fallait bien le montrer. Les vachettes étaient sans aucun doute parmi les esclaves qu’on pouvait voir se promener avec le moins de tissu, étant donné que les vachettes étaient considérés comme avant tout des machines à lait… Donc, en toute logique…

« Voilà ! On peux aller manger !! Mmh… J’ai faim ! »

Ahlala… Notre vachette aimait manger, cela, il n’y avait aucun doute. Elle avait très l’habitude de manger avec appetit ! Puis, elle se disait qu’elle devait bien manger, étant donné… Que bien, ils allaient très certainement partir pour pouvoir arriver donc au lieu de vie des deux Nekos… Elle se demandait où les deux Nekos vivaient ! Sans doute dans une très grande maison. Peut-être qu’elle pourrait rencontrer d’autres Ushi ? Cela serait merveilleux ! Elle pourrait rencontrer de ses sembables ! Ou peut-être… Ah mais non ! Elle se disait qu’elle était véritable bête aujourd’hui… Elle n’allait pas aller voir la maison des Nekos, vu qu’elle était destinée à être un cadeau ! Oui, mais un cadeau pour les femmes des deux Nekos… Mmh… C’était compliqué tout cela. Boah ! Elle allait bien voir ! Elle avait hâte !

Cassandre sautilla de joie quand Antares lui demanda de mettre sa culotte. Pour la neko, c'était autant un moyen fiable de juger les mensurations de l'ushi qu'un fantasme réalisé. Après tout, c'est très excitant de voir une autre fille porter ses sous-vêtements. La vachette enfila la culotte, et sa maîtresse fut quand même un peu surprise de voir que le tissu était étiré.

« Hhmm, ça c'est bizarre. »

Elle s'approcha du postérieur rebondi de son esclave pour pouvoir voir en détail à quel point sa culotte était déformée. Le tissu rentrait dans la raie des fesses de Cassandre pour donner un effet ''string'' assez particulier.

« Je savais que tu avais les fesses plus... rondes que les miennes, mais là... »

Bien sûr ça la gênait de la laisser avec une culotte qui pourrait craquer d'un moment à l'autre, mais allait-elle lui demander de la lui rendre après lui avoir dit qu'elle pourrait la garder ?

« Bon écoute, voilà ce qu'on va faire : tu la gardes pendant le petit-déjeuner, et si tu es mal à l'aise ou si tu sens qu'elle va craquer, surtout dis le moi d'accord ? »

Derrière Antares, Pleione regardait avec amusement et envie le corps de Cassandre, à peine couvert par cette culotte transformée en string par ses hanches voluptueuses.

« Allez on se dépêche. »

Les trois filles s'habillèrent rapidement puis descendirent au rez-de-chaussée, toujours escortées par Andreas. L'auberge offrait un large choix de plats, depuis la viande pour les carnivores qui aimaient en manger dès le matin jusqu'aux choses plus habituelles comme le lait. Les nekos se servirent puis allèrent à table avec l'ushi, qui pouvait encore compter sur Antares si jamais il fallait se servir des couverts.

Elles finirent au bout de vingt minutes et remontèrent directement dans leur chambre pour préparer leurs affaires.

« La diligence arrive dans une heure, soyez prêtes d'ici là. »

« Comptez sur nous Andreas. »

Le garde du corps laissa les demoiselles dans leur intimité, et les nekos firent un bref point avec Cassandre sur le voyage.

« Bon, nous allons partir pour rentrer à Zon'da, dans la maison de nos parents. Le trajet sera assez long, et on ne pourra sans doute s'arrêter qu'une fois, donc si jamais tu as besoin d'être traite... »

Pleione se colla contre l'ushi et pressa un de ses seins à travers sa robe.

« …fais le nous savoir, on devra peut-être faire ça dans la diligence. D'ailleurs, tu n'en as pas besoin maintenant ? Après toute une nuit, tu dois être à nouveau pleine. »

« Et sinon, pas de problèmes avec la culotte ? Parce qu'une fois parties, tu ne pourras pas en changer avant qu'on arrive. »

L’histoire de la culotte prit un peu plus de temps que prévu… En effet, il fallait quand même pour Antarès, en temps que bonne inspecteur du travail, qu’elle regarde un peu tout cela… Pour la vachette, il n’y avait pas de problème ! Après tout, Antarès était sa maîtresse, elle pouvait la toucher de partout, sans que cela ne la gène pas moins du monde… Elle était une esclave, elle était faîtes pour cela ! Puis, en plus, elle avait particulièrement apprécié quand elle avait été touchée par cette fameuse Antarès… La dernière fois, cela avait fini par de nombreuses fessées, qui avaient été extrêmement agréable. D’ailleurs, pour les curieux… Oui, si vous regardiez les fesses de notre chère Ushi… On pouvait voir encore des marques rouges… N’est-ce pas intéressant ?

« Hhmm, ça c'est bizarre. »

Bizarre… Vous avez dis bizarre… ? Comme c’est étrange !

« Je savais que tu avais les fesses plus... rondes que les miennes, mais là... Bon écoute, voilà ce qu'on va faire : tu la gardes pendant le petit-déjeuner, et si tu es mal à l'aise ou si tu sens qu'elle va craquer, surtout dis le moi d'accord ? »

« Promis ! »

Et c’était l’heure du petit déjeuner donc ! Mmh ! Elles allaient bien manger ! Il y avait tout plein de choses, dont de la viande, et autres… Bien entendue, la vachette ne prit pas de viande, étant exclusivement pescetarienne. C’est un peu comme les végétariens, les pescetariens, sauf que comme le mot l’indique, les pescatariens ont le droit aux poissons et autres fruits de mer. Bref, après ce petit déjeuner copieux, l’homme dont elle se souvenait la voix arriva, et déclara, calmement, mais clairement pour que tout soit compris :

« La diligence arrive dans une heure, soyez prêtes d'ici là. »

« Comptez sur nous Andreas. »

Une diligence ? Ouaaaaaaaaaah ! La classe ! Elle n’était jamais allé en diligence de sa vie ! Elle savait que les diligences, parfois, étaient trainés par leur « formes animales », les bœufs, qui sont les hommes des vaches, donc, pas loin d’elle, pensait-elle avec amusement ! Son éducateur lui avait dit une fois qu’il serait très bien possible qu’elles soient acheté par un maître avec des idées pervers, et que ce dernier prenne un grand plaisir a l’idée qu’un de ses chars soit traîné par des Ushi. C’était peu commun, mais cela pouvait arriver. Notre chère Cassandre ne pensait pas que cela pourrait arriver avec des maîtresses aussi gentilles et agréables que les sœurs Lilianstar, mais on sait jamais ! Quoiqu’il en soit, elle écouta les explications de Plélone :

« Bon, nous allons partir pour rentrer à Zon'da, dans la maison de nos parents. Le trajet sera assez long, et on ne pourra sans doute s'arrêter qu'une fois, donc si jamais tu as besoin d'être traite... …fais le nous savoir, on devra peut-être faire ça dans la diligence. D'ailleurs, tu n'en as pas besoin maintenant ? Après toute une nuit, tu dois être à nouveau pleine. »

« Et sinon, pas de problèmes avec la culotte ? Parce qu'une fois parties, tu ne pourras pas en changer avant qu'on arrive. »

« Non ! J’ai l’impression que ça c’est habitué, ça tient mieux ! Meuh ! »

En effet, la culotte semblait s’être habituée aux tours de hanche de la vachette… C’était classique chez certains tissus -ou la tentative desespéré de ne pas exagéré sur le fait que la vachette n’avait pas non plus des hanches colossales destructeurs de culotte-. Mais quoiqu’il en soit, la vachette avait conscience qu’il ne serait pas possible de changer de culotte, alors qu’elle serait en voyage. Tant pis ! Elle prenait le risque ! Après tout, de toute façon, elle serait avec ses deux maîtresses, donc, elle ne risquerait rien ! Elle était là pour leur donner du lait, et maintenant, elle avait compris, aussi leur donner du plaisir… Bientôt, elle allait arriver sans sa nouvelle maison, là où elle serait donc servante avant d’être offerte comme cadeau… Zon’da… Elle ne connaissait pas. Sans doute qu’elle n’était jamais allé aussi loin dans sa vie !

« Sinon, je n’ai pas… Besoin d’être traite… Mais j’ai bien envie, maîtresses… Si vous avez encore fin, après ce petit déjeuner… »

Ah ! On pouvait voir que notre Ushi avait prit plaisir à la traite… Et elle tenait à bien répondre à Plélone. Après, elle était prête une fois arrivée, à montrer qu’elle ne faisait pas que de la traite, et qu’elle était capable de faire d’autres taches domestiques. Comme la cuisine, le ménage, etc. Cependant, dans cette situation, c’était… Comment dire… Difficile. Elle n’avait pas de quoi faire tout cela. Donc, au moins, elle montrait qu’elle était toujours là, si on voulait son lait. Ses seins étaient toujours présents pour deux Nekos gourmandes. Ahlala… Elle sentait qu’elle allait apprécié son voyage ! Mais bon, pour le moment, elle devait se préparer… Ah non. Elle était prête. Bref, elle était prête à aider les Nekos pour quelques ordres qu’il soit… Ou tout simplement, si celle-ci avaient soif. Comme dit précédemment… Elle n’avait pas BESOIN d’être traite… Mais bon… Elle ne serait pas contre…

« Non ! J’ai l’impression que ça c’est habitué, ça tient mieux ! Meuh !
Sinon, je n’ai pas… Besoin d’être traite… Mais j’ai bien envie, maîtresses… Si vous avez encore fin, après ce petit déjeuner… »

En somme, que des bonnes nouvelles. Antares, qui portait maintenant une culotte propre, continua d'emballer les affaires des sœurs, compensant le manque d'activité de Pleione, qui portait toujours sa culotte de la veille, et qui reluquait par à coups la poitrine rebondie de Cassandre.

« Allez Pleione, concentre toi. Tiens, Cassandre, tu peux l'aider à emballer ses affaires s'il te plaît ? »

Même si elles n'avaient pas beaucoup d'affaires, leurs robes prenaient beaucoup de place, et il fallait s'appliquer pour bien les plier. Quand leurs valises furent enfin fermées, l'aînée Lilianstar s'assit sur son lit en soupirant tandis que la cadette alla faire un câlin à Cassandre.

« Et maintenant... je vais finir mon petite-déjeuner. »

Elle fit s'allonger l'ushi sur le lit, fit glisser les bretelles de sa robe sur ses épaules jusqu'à dévoiler son soutien-gorge, et releva ce dernier pour avoir accès à ses petits tétons.

« Hhmm... miam miam. »

La neko posa sa bouche sur un téton et se mit à le mordiller. Quand le lait commença à jaillir, elle aspira de toutes ses forces. Sa sœur était nettement moins enthousiaste qu'elle.

« Oh Pleione, c'est pas sérieux. On a pas le temps là. »

Mais elle ne se détacha même pas pour lui répondre, la joie d'avoir ce bon lait dépassait le reste. Antares poussa un soupir, puis alla voir son garde du corps.

« Andreas, dans combien de temps partons-nous ? »

« Environ vingt minutes je dirais. »

Elle retourna dans la chambre et dirigea son regard vers Pleione et Cassandre. Sa sœur ronronnait et l'ushi avait l'air tellement heureuse… Elle haussa les épaules et alla se mettre à côté de sa cadette, prenant le téton encore libre entre ses lèvres. Pleione sourit en la voyant enfin se relâcher un peu.

Au bout de quelques minutes, elles eurent vidé entièrement les deux grosses mamelles de l'ushi. Les sœurs se relevèrent et regardèrent Cassandre se rhabiller.

« Allez, en avant toute, la diligence nous attend. »

Les Lilianstar prirent la tête de la marche, Cassandre et Andreas les suivirent de près. Dehors, une diligence conduite par un terranide furry chien et tirée par deux grands chevaux noirs les attendait. Pendant que le garde du corps chargeait les bagages à l'arrière, les filles montèrent à bord. Pleione prit la place à côté de l'ushi et Antares se retrouva en face d'elles.

« Soyez sages pendant le trajet d'accord ? »

« Voyons Antares, tu me connais. »

« Oui, justement. »

La neko savait que la vachette allait se tenir à carreaux, mais sa petite sœur... ça c'était moins sûre. Andreas monta à son tour, s'assit à côté de la sœur aînée, et la calèche partit. Bientôt, le petit groupe serait de retour à la maison, et Cassandre allait découvrir ce qui deviendrait sa maison pendant quelques mois.

Visiblement, s’il y en avait une qui était intéressée par la proposition de la vachette, c’était bel et bien Plélone. Cela, il n’y avait aucun doute… Alors, était-ce une bonne idée de l’avoir conseillée ? Mmh… Pas sur, en effet, la fameuse cadette des deux nekos semblaient… Un peu tir au flanc, par rapport à l’aidée de commencer à aider sa fameuse sœur à ranger, elle semblait beaucoup plus intéressée par les seins de l’Ushi…

« Allez Pleione, concentre toi. Tiens, Cassandre, tu peux l'aider à emballer ses affaires s'il te plaît ? »

« Bien sur ! »

Elle ne se fit pas attendre ! Pour la première fois, elle pouvait prouver qu’elle n’était pas qu’une vache à lait, mais aussi une très bonne servante ! Donc, elle fit de son mieux, et rangea les affaires de la meilleure manière qu’elle pouvait, le tout très organisé. Elle était relativement douée en la matière, étant donné qu’elle fit bien en sorte que tout rentre parfaitement. Elle plia même le linge qu’elle trouvait, pour faire en sorte que tout cela le plus nickel possible. Ainsi, elle pouvait bien motnrer qu’elle savait se débrouiller avec toutes les taches domestiques… Une fois cela fait, elle était relativement fière de son travail, elle voulu aller le montrer à Antarès, dans le but non avoué vocalement, mais totalement assumée de recevoir des compliments sur son travail… Cependant, une Neko avait autre chose en tête...

« Et maintenant... je vais finir mon petite-déjeuner. Hhmm... miam miam. »

« Oh Pleione, c'est pas sérieux. On a pas le temps là. »

« Dé… Désolée... »

La, de suite, l’Ushi fut très gênée… En effet, elle comprenait que donc, ce n’était pas le moment pour se faire têter, mais elle ne pouvait rien faire, la petite sœur Neko avait déjà pris sa place, et commençait déjà à aspirer le lait que proposait la vachette… Et cela, avec grand plaisir, évidemment. Et c’était bien entendue impossible aux yeux de la vachette, de pousser la neko ou de l’empêcher de boire… Elle était une maîtresse après tout ! Donc, dans ce genre de situation, et bien… Elle ne savait pas trop quoi faire...

Heureusement pour elle, une rapide question au garde du corps, permit à Antarès de voir qu’il y avait encore un peu de temps. Alors cette dernière vint rejoindre sa sœur pour venir boire au sein de Cassandre… Tant mieux ! Cela était mieux quand les conflits se réglaient tout seuls comme cela. Les deux nekos, sans doute pressée par le temps, commencèrent à boire activement, pour tenter de vider la vachette le plus rapidement possible… Ce fut chose accomplie, étant donné que bien rapidement, la vachette fut à sec pour un moment, et celle-ci put se rhabiller, devant les deux nekos satisfaite...

« Allez, en avant toute, la diligence nous attend. »

En avant mauvaise troupe ! Cassandre suivit tranquillement et docilement les deux nekos, tentant de porter quelques affaires, mais le garde du corps faisait un excellent travail, et montrait globalement à Cassandre qu’il n’avait pas besoin d’aide, dans cette situation, et que celle-ci pouvait être tranquille. Une fois arrivée, et les affaires chargés dans la diligence, l’ainée des Nekos rappela aux deux autres personnes montant dans la diligences...

« Soyez sages pendant le trajet d'accord ? »

« Voyons Antares, tu me connais. »

« Oui, justement. »

« Ouaaaaaaaah ! Promis !  »

Elle déclara rapidement un « promis », une fois son émerveillement marqué. Comme dit dans les posts précédents, cela allait être la première fois qu’elle allait voyager en diligence ! Elle était toute excitée.

« Oh ! C’est génial ! C’est la première fois que je voyage en calèche ! Au revoir ranch ! Au revoir monsieur Harmington ! »

Ainsi, elle leur disait au revoir… Symboliquement, c’était très fort, car effectivement, c’était un « au revoir ». Un adieu, même, quand on y réfléchissait un peu. Elle n’allait très certainement jamais les revoir, étant donné qu’elle venait d’être achetée… C’était ça, le destin des esclaves… Mais inutile, bien entendue, de sortir vos mouchoirs. Elle allait aller à la place, dans un lieu où elle avait très très envie d’y aller ! Après tout, cela allait très certainement être une maison formidable, où elle allait pouvoir être très très heureuse ! Elle allait être la meilleure de toute les servantes, et ainsi, montrer aux deux Nekos qu’elle ne regretterait pas leur choix ! Après tout, n’était-elle pas une magnifique et adorable Ushi ?