Le Grand Jeu
Plan de Terra => Ville-Etat de Nexus => Place publique => Discussion démarrée par: Cassandre Harmington le jeudi 17 novembre 2016, 13:48:22
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Nexus... Une cité état puissante. Ce n'était pas l'armée qui était si puissante, mais surtout, l'économie. En effet, la plus puissante des forces étaient celle qui dirigeaient Nexus depuis toujours. Vous vouliez quelque chose ? Vous allez Nexus. Que cela soit des artefacts magiques, des objets physiques, des plaisirs matériels, ou même des êtres humaisns. On trouvait tout sur les marchés de Nexus, et ainsi, les gens en profitaient. Ville de passage, plus que d'habitations, il n'était pas rare de croiser des gens venant des quatre coins du monde pour venir acheter ou vendre une denrée rares, qu'on ne trouverait sans doute nulle part ailleurs que dans cette magnifique ville de Nexus. Paradis sur Terra ? Peut-être qui sait... Après tout, sans doute que certaines personnes pensaient que les gens étaient mieux dans cette ville, que dans d'autres parties du monde...
Nexus avait fait en grande partie sa richesse sur le marché des esclaves... Alors, en croyez pas que nous allons nous ballader parmi les très belles demeures qui pouvaient s'entrapercevoir de là où nous sommes. Très belles demeures, on pouvaient sentir qu'une fois la fortune établie, pour mieux contrôler son commerce, il valait mieux s'installer une bonne fois pour toute dans une belle demeure, et ainsi, mieux contrôler son commerce. Véritable empereurs du commerce, il faut bien comprendre que ses personnes, possédant les plus belles demeures de la ville, était bien souvent capable de tout décider dans la ville. Après tout, l'argent est roi, dans ce bas monde. Il ne faut pas croire que la politique se délaissait de ce précieux argent. Mais comme dit précédemment, nous n'allons pas nous aventurer dans cela...
Nous sommes sur les lieux de commerce. Ici, il fallait crier pour se faire comprendre, et se faire reamrquer. Tous tentaient de se faire remarquer dans un énorme brouhaha qui étaient difficilement supportable. Les habitués du marché ne s'en souciait guère, mais il n'était pas rare de trouver quelques personnes se plaignant régulièrement du brouhaha ambiant. Vendre des oeufs, des épices, des bijoux, ou des humains... Ce n'était guère différents il faut bien l'avouer ! Ainsi, sur une place, loué à fort grand prix, mais très bien placée pour toucher le plus de public possible, Harmington, vendeur de Terranide vache depuis 10 générations se vantait-il, comme on pouvait voir inscrit sur sa pancarte, était aux anges. Aujourd'hui, il vendait le joyau de sa collection, sans doute l'une des plus belle vachette qu'il avait éduqué.
« Venez, mesdames et messieurs ! Aujourd'hui, uniquement, pour le ou la plus rapide, une terranide vache exceptionnelle ! Un lait sucrée en continu, des seins magnifiques... Et comme mon arrière, arrière arrière arrière arrière arrière... Bref, vous comprenez, mon ancêtre déclarait... Vierge ! Rien que pour vous messieurs-dames ! »
Cassandre, enchainée à un poteau, ne comprenait pas vraiment, mais rougissait de plaisir devant les compliments. Elle n'était pas très satisfaite des chaînes, néanmoins... Elle ne savait pas ce qui se passait vraiment, mais les chaines, c'était vraiment pas sympa. Elle n'aimait pas ça, et n'avait qu'une envie, les retirer. Sinon, elle avait aussi un peu froid. Après tout, ses seins, ses fesses et ses jambes étaient les seuls parties de son corps qui étaient couvertes. Et encore, très légèrement. Mais bon, elle était contente qu'elle allait bientôt rencontrer son maître ou sa maîtresse. Elle ne savait pas encore comment cela allait se passer, mais elle avait bien compris que c'était le jour le plus importante de sa vie.
Ainsi, plusieurs curieux passaient, mais déchantaient quand ils voyaient le prix. Bien sur, Harmington ne voulait pas se séparer de Cassandre sans y mettre le prix. En vrai.. Harmington n'était pas dans une très bonne santé financière... Ses dernières vachettes n'avaient pas été très bien vendus, et il avait même connu les risques d'un procès, quand l'un de ses acheteurs, avaient découvert que l'une des vachettes n'étaient pas vierge, comme promettait Harmington. Pour lui, Cassandre était le moment de rebondir financièrement. Ainsi, la femme-vache était bien attachée, et il avait prit toutes les précautions pour qu'elle ne s'enfuit pas. Maintenant, il ne restait plus qu'à attendre... Et c'est ce que faisait notre vachette. Elle attendait, regardant la foule. Elle était heureuse. C'est la première fois qu'elle voyait autant de gens !
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Les Lilianstar n'avaient pas pour habitude de fréquenter les marchés aux esclaves, étant opposés à ce concept sauf quand le maître ou la maîtresse était bienveillant comme l'étaient les Karistal. En général, elles y allaient pour acheter des esclaves âgés ou malades et leur rendre leur liberté, mais pas cette fois. Là, elles se rendaient au marché de Nexus pour le plaisir. Du moins, c'était le cas de Pleione. Son mariage approchant à grand pas, elle avait décidé d'offrir à Yuko une nouvelle esclave pour le harem qu'elle dirigeait. De son côté, Antares était surtout là pour chaperonner sa petite sœur, et veiller à ce qu'elle ne perde pas complètement le sens des réalités, comme ça lui arrivait souvent quand il s'agissait de son amoureuse. Les filles étaient également accompagnées d'Andreas (http://s789.photobucket.com/user/XxpandakittyxX/media/Anime%20Boys/ReadingAnimeGirl.jpg.html), leur garde du corps.
« Bon, tu vas te décider oui ou non ? Ça fait une heure qu'on cherche. »
« Il faut que je trouve la personne parfaite. Et si tu n'es pas contente, tu peux t'en aller, je ne t'ai pas obligée à venir. »
« Mademoiselle Antares a raison, nous ne devons pas nous attarder. Les rues de Nexus ne sont pas sûres pour des terranides. »
« Du calme Andreas. Je vous promets que je fais aussi vite que je peux mais... »
Et tout à coup, la neko aperçut, sur un stand au loin, une magnifique terranide vache, reconnaissable à ses vêtements blancs à tâches noires, ses petites cornes sur la tête et son énorme poitrine. Son aînée la vit en pleine extase, elle tourna donc la tête dans la même direction, et vit la terranide à son tour, puis soupira.
« Oh non... »
Les ushis... L'ultime faiblesse de Pleione. Dès qu'elle en voit une, elle ressent l'irrépressible envie de s'accrocher à ses mamelles et de la téter jusqu'à avoir l'estomac rempli de son délicieux lait. La neko courut donc vers l'échoppe, rapidement suivie par Antares et Andreas, mais déchanta très vite quand elle vit le prix de l'esclave. Sous prétexte qu'elle était une terranide de choix, qu'elle venait d'une famille d'éleveurs spécialisés, et qu'elle était encore vierge, le vendeur se permettait de mettre une somme excessive pour son produit. Outre le fait que la Lilianstar était révoltée par le fait qu'on traite cette superbe créature comme une vulgaire marchandise, elle se demandait si elle valait bien le prix indiqué. La grande sœur, pour sa part, avait un avis bien tranché.
« Je sais que tu es accroc aux ushis, mais tu ne vas quand même pas dépenser autant d'un seul coup. »
« Oohh, mais elle est tellement belle. »
« C'est du délire. En plus, il y a déjà plein d'ushis au harem de Yuka et Yuko. »
« Pas tant que ça. Et puis, aucune ushi n'est semblable à une autre. »
« Enfin quand même... Pense à tout ce que tu pourrais acheter de plus utile avec cet argent. »
« De toute façon je n'ai pas besoin de ton accord. Il me reste assez d'argent de la cagnotte de mon mariage pour la prendre. »
« Bon, tant pis, fais ce que tu veux, c'est ton argent de toute façon. »
« Merci. »
Pleione était bien décidée à avoir cette Ushi, mais elle voulait tout de même tenter de marchander. Elle alla donc directement à la rencontre du vendeur pour avoir des détails sur la terranide. Elle s'appelait Cassandre, âgée de 18 ans, et était l'une des plus belles ushis de l'élevage Harmington, d'abord pour ses traits physiques et ensuite pour la particularité qu'elle produisait un lait très sucré.
« Oui, je comprends bien mais... vous ne pourriez pas faire un tout petit effort ? Disons... 20 pour cent de moins ? »
Ils restèrent pendant plusieurs longues minutes à argumenter et à négocier, mais la neko avait bien vu que le marchand semblait avoir des difficultés financières, et peu à peu elle parvint à le convaincre. Ainsi, elle devint la nouvelle propriétaire de Cassandre, le vendeur avait fait un joli bénéfice et la neko était aux anges.
« Bonjour ma chérie. Je m'appelle Pleione Lilianstar, et à partir d'aujourd'hui je suis ta nouvelle maîtresse. Tu peux m'appeler ''maîtresse'' ou ''madame'', c'est comme tu veux. Je te présente ma grande sœur Antares et notre garde du corps Andreas.
Viens, nous avons pris une chambre à l'auberge. C'est là que nous parlerons de ton futur travail. »
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Elle attendait. Bientôt allait arriver les premiers intéressés... Quel excitation ! Elle avait toujours attendue ce jour-ci. Bientôt, elle allait avoir sa nouvelle maison, et ses nouvelles fonctions. Elle serait traite, et beaucoup de gens s'abreuveraient de son délicieux lait. Car elle savait bien que son lait était connue pour être extrêmement goûteux... Et elle en était fière ! Après tout, ce n'était pas tout le monde qui avait l'un des meilleurs lait de tout Terra. Alors, sans doute qu'il y avait de l'exagération, mais c'est vrai que quand on avait une tendance à apprécié le sucré, les gâteaux, etc... Et bien, son lait était donc délicieux. Mais passons ! Cassandre regardait, encore et toujours, tandis qu'Harmington s'impatientait. Toujours aucune proposition sérieuse... Il était pourtant sûre que la fameuse Cassandre méritait d'être achetée ! Elle pouvait servir à tout ! Pour son lait, ses services, la reproduction, etc...
Finalement, Harmington fut abordé par deux jeunes demoiselles; Le monde est fou, pensa-t-il au début, en voyant que des Terranides voulaient acheter d'autres terranides. Mais franchement, il en avait rien à faire. Tout ce qui l'intéressait, c'était l'argent. Bien sur, la fameuse Terranide, dont il ne connaissait le nom, tentait de négocier le prix. Ne soyez pas étonné, et encore moins du fait que notre marchand en était nullement choqué : Le marchandage faisait partie du jeu, et donc, cela ne posait à ses yeux aucuns problèmes. D'ailleurs, le prix était aussi élevé, pour pouvoir être descendu au cours d'un marchandage. De l'autre côté, il n'aurait pas dit non à un achat direct. Finalement, après un marchandage pas spécialement long, Harmington retourna vers le stand, et tapota la tête de Cassandre. La libérant de ses chaînes, Cassandre se dirigea vers celle qui venait de l'acheter, qui était entrain de lui déclarer :
« Bonjour ma chérie. Je m'appelle Pleione Lilianstar, et à partir d'aujourd'hui je suis ta nouvelle maîtresse. Tu peux m'appeler ''maîtresse'' ou ''madame'', c'est comme tu veux. Je te présente ma grande sœur Antares et notre garde du corps Andreas.
Viens, nous avons pris une chambre à l'auberge. C'est là que nous parlerons de ton futur travail. »
« Bonjour Maîtresse ! Je suis honorée de vous servir ! »
Donc, sa maîtresse était cette jeune demoiselle. Cassandre ne savait pas trop si elle était plus vieille ou plus jeune que Madame Lilianstar... Mais cela n'avait aucune importance ! Après tout, elle était une servante pour obéir, et nullement pour tenter de faire plus ! Elle se demandait bien ce qu'elle allait devoir faire au service de sa nouvelle maîtresse. Faisant légèrement sonner sa cloche, elle remit bien son soutien gorge, pour mieux couvrir ses têtons, et s'installa aux côté de ses deux nouvelles maîtresses, et de leur garde du corps. C'était donc sa nouvelle vie qui commençait. Elle devait absolument faire bonne impression, se disait-elle. Après tout, son éducateur lui avait toujours expliquée qu'une mauvaise vache était abandonnée, si elle ne satisfaisait par ses nouveux maîtres... Donc, elle commença à déclarer,
« Je suis très contente d'être votre servante ! Vous ne me regretterez pas. Je sais faire le ménage, la cuisine, le rangement, et surtout, mon lait est délicieux. Vous ne regretterez pas d'avoir fait confiance aux Harmington ! »
Ainsi, Cassandre vendait un peu, comme on dit, son poisson ! Enfin son lait... Vous aurez compris. Bref, notre fameuse Cassandre tentait de bien faire comprendre qu'elle allait être une très bonne servante, et surtout, montrer qu'elle pouvait être une demoiselle de compagnie extrêmement agréable ! Ainsi, elle marchait tranquillement... Mmh... Elle avouait qu'elle aimait pas trop la ville. C'était peu agréable par rapport à la campagne pour marcher. Et oui, il fallait bien se rappeler que notre demoiselle était quand même pied nue ! Bref, en tout cas, elle marchait aux côtés de sa fameuse nouvelle maîtresse, et bien... Elle se rendait compte que le sol pavé des rues n'était pas franchement des plus agréables à la marche... Mais bref, vivements qu'elles arrivent dans cette fameuse chambre d'hôtel, qu'elle découvre ses nouvelles fonctions ! Elle était bientôt prête, et elle allait devenir une excellente servante ! Et distribuer plein de bon lait à ses nouveaux maîtres et maîtresses ! C'était son but !
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Pleione était sur un petit nuage, marchant en se collant contre Cassandre, louchant sur sa superbe poitrine juste cachée par son soutien-gorge blanc et noir. Tandis que le petit groupe se rendait à l'auberge, l'ushi parla à ses nouvelles maîtresses de ses compétences : elle savait faire la cuisine, le ménage, et elle se vantait d'avoir un lait délicieux. Ce dernier point fit saliver la jeune Lilianstar d'envie.
« Et c'est bien pour ça que je t'ai prise avec moi. Dès que nous serons dans notre chambre, je te trairai pour voir si ce lait est vraiment aussi bon. »
Alors que Pleione était hypnotisée par ces deux grosses mamelles probablement pleines à ras bord de lait, Antares était plus soucieuse de la tenue dans laquelle se baladait Cassandre : pas de chaussures, juste des collants et des sous-vêtements. Elle devait sûrement avoir froid et du mal à marcher, encore heureux que les rues de Nexus étaient pavées, au moins elle ne se ferait pas de plaies ouvertes.
« Quand nous serons arrivés, nous te donnerons des vêtements et des chaussures pour que tu ne restes pas dans cette tenue. »
La cadette réalisa alors que, obnubilée par la poitrine de la vachette, elle en avait oublié les choses les plus élémentaires.
« Mince ! Désolée ma belle, je n'y avais pas pensé. Ne t'inquiète pas, je suis sûre qu'on aura de jolies choses pour toi. »
Arrivés à l'auberge, les sœurs partirent directement vers leur chambre, Andreas gardant un œil attentif aux alentours, surtout sur les personnes qui louchaient sur les demoiselles. Une fois dans leur chambre, avec leur garde du corps resté à la porte, chacune s'assit sur son lit, et Pleione tapota l'espace à côté d'elle.
« Allez Cassandre, viens t'asseoir. »
L'ushi s'assit à côté de sa nouvelle maîtresse.
« Parlons un peu de ton avenir. Il faut que tu saches que je t'ai prise avec moi pour t'offrir en cadeau à ma future femme, Yuko Karistal. C'est une femme gentille et douce, qui voue un véritable culte aux nekos, mais je suis sûre qu'elle t'adorera. Le jour de notre mariage, tu viendras vivre avec nous et tu seras à notre service. En attendant, tu habiteras avec Antares et moi dans la maison de nos parents. Je ne sais pas encore quel travail tu feras, mais on verra ça sur le moment. »
« Vu tes compétences, tu seras sûrement amenée à passer d'un poste à l'autre. »
La plupart des domestiques du manoir n'étaient aptes qu'à une seule tâche, cette ushi allait être très utile si elle était aussi douée qu'elle le disait. L'aînée gardait encore en mémoire la mauvaise expérience avec Marguerite, une autre ushi achetée à Nexus qui disait être bonne dans des tas de domaines, mais qui s'était avérée extrêmement maladroite.
« Mais bon, la priorité pour l'instant, c'est de s'occuper de toi… et de ta poitrine. »
Pleione releva le soutien-gorge de Cassandre pour mettre sa délicieuse poitrine à nu.
« Bien, il est temps de te traire. Antares, tu viens m'aider ? »
« Non merci, je préfère te regarder faire. »
« Ah bon ? »
« Oui. Vas y, amuse toi, moi je regarde. »
« Comme tu veux. »
Mais contrairement à ce que la vachette aurait pu croire, la neko n'y alla pas avec les mains, elle posa sa bouche contre son téton droit et se mit à téter.
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Ce n’était pas inhabituelle de voir des esclaves quasiment nus se promener sur la place... Bien sur, il fallait que le plus élémentaire soit couvert, pour ne pas choquer les enfants ou les puritains, mais on pouvait voir souvent des beaux mâles esclaves avec le torse dénudé, et même certains marchands d’esclaves, assez aventureux, parfois osaient même montrer les seins de leurs magnifiques créatures, au risque de se prendre une amande salé... Ainsi, Cassandre n’attirait que quelques regards lubriques, assez discret... Mais bien présent. Regard que notre chère Ushi n’avait pas tendance à remarquer, ne connaissant strictement rien de ses choses là. Elle était plutôt concentrer sur ses nouvelles maîtresse, et écoutait bien leur déclarations :
« Et c'est bien pour ça que je t'ai prise avec moi. Dès que nous serons dans notre chambre, je te trairai pour voir si ce lait est vraiment aussi bon. »
« Pas d’inquiétude maîtresse ! »
Ah, ça, on pouvait presque sentir la pointe d’orgueil, de « superbia » comme dirait Saint-Augustin (Ouah, j’aurais jamais pensé citer un auteur chrétien, un père de l’Eglise, sur ce genre de forum ! Comme quoi, on peux toujours être surprise!) Elle était très fière de son lait, et elle espérait vraiment que la fameuse maîtresse allait apprécié son lait délicieux. Il fallait aimer le sucré, bien sur, ce qui faisait que certains n’aimaient pas... Quoiqu’il en soit, elle remarqua que l’une de ses deux maîtresses remarqua son inconfort, par rapport à marcher sur des pavés, contrairement aux herbes douces de son ranch...
« Quand nous serons arrivés, nous te donnerons des vêtements et des chaussures pour que tu ne restes pas dans cette tenue. »
« Mince ! Désolée ma belle, je n'y avais pas pensé. Ne t'inquiète pas, je suis sûre qu'on aura de jolies choses pour toi. »
« Oh vraiment ? J’en ai jamais eu ! Mon éducateur disait toujours qu’on vivait pour être nue et servir, nous, les Ushis ! »
Cela était totalement vrai. En effet, mis à part ce qu’elle portait là, notre fameuse Ushi n’avait presque jamais portée de vêtement. Dans son ranch, elle avait vêcue nue. Oui, c’était quand même plus pratiques, quand on voulait aller se faire traire rapidement. Bien sur, c’était peu socialement acceptable, et encore, étant donné que la terranide n’était rien de plus qu’une esclave. Ainsi, si elle ne savait pas trop si elle voulait vraiment des vêtements... Elle était pas contre des chaussures, qui pourraient bien lui être utile, si elle devait remarcher dans la rue. Quoiqu’il en soit, une fois installée à l’auberge, elle fut invitée à s’assoir au côté de sa maîtresse, et le fit immédiatement.
« Parlons un peu de ton avenir. Il faut que tu saches que je t'ai prise avec moi pour t'offrir en cadeau à ma future femme, Yuko Karistal. C'est une femme gentille et douce, qui voue un véritable culte aux nekos, mais je suis sûre qu'elle t'adorera. Le jour de notre mariage, tu viendras vivre avec nous et tu seras à notre service. En attendant, tu habiteras avec Antares et moi dans la maison de nos parents. Je ne sais pas encore quel travail tu feras, mais on verra ça sur le moment. »
« Vu tes compétences, tu seras sûrement amenée à passer d'un poste à l'autre. »
« Hâte de la rencontrer ! Je ferais tout pour être la plus efficace possible. »
Donc, elle était un cadeau ? Quel honneur ! Elle avait appris qu’il était classique d’offrir des terranides en cadeaux, c’était un cadeau extrêmement prisé dans l’aristocratie, la bourgeoisie, etc... Apprendre qu’elle était considérée comme suffisamment attirante pour servir de cadeau, était à ses yeux un honneur immense... Et elle comptait bien rendre cette immense honneur ! Elle allait être la meilleure Ushi possible ! Et faire honneur à son ranch ! Après tout, c’était la moindre des choses, pour cette personne qui allait la recevoir. Pour le travail, elle savait qu’elle allait sans doute servir de vache laitière, comme toujours, mais elle comptait bien aider sur d’autres point. Ne pensez pas que c’était complètement désintéressée... Elle savait bien que si elle était douce, gentille et serviable, ses maîtres et maîtresses allaient faire en sorte de bien l’aider...
« Bien, il est temps de te traire. Antares, tu viens m'aider ? »
« Non merci, je préfère te regarder faire. »
« Ah bon ? »
« Oui. Vas y, amuse toi, moi je regarde. »
« Comme tu veux. »
Son soutien gorge ne fit pas long feu. Très rapidement, celui-ci fut retirée, pour révéler les beaux seins de la Ushi. Elle en était assez fière... Mais une chose l’étonnait. Elle avait l’habitude d’être traite, mais elle ne voyait ni sceau, ni machine à traire... Hors, il fallait bien les deux, en général, pour pouvoir récupéré le plus efficacement son lait. Elle avait bien l’habitude des machines à traire, et il fallait bien comprendre que pour une personne occupée, cela pouvait être très utile, plutôt que se faire embêter par une vachette dont les seins étaient gorgés de laits, et dont la fameuse vachette commençait à gémir d’inconfort à cause de cela... Quoiqu’il arrive, la réponse fut finalement donné quand sa nouvelle maîtresse abandonna la traite traditionnelle, et préféra aller directement se nourrir à la source...
« N’hésitez pas à vous servir tous... Mon lait sert à nourrir mes maîtres. Et j’en produis beaucoup, donc, il ne faut pas craindre que je sois à cours... »
Le lait ainsi coula rapidement dans la bouche de celle qui était entrain d’en profiter... Le lait était toujours aussi sucrée, et surtout, était assez important, étant donné que son éducateur avait fait exprès de ne pas la traire depuis une bonne journée, pour qu’elle puisse donner le plus de lait possible, et impressionner celle ou celui qui l’achèterai. En temps que bonne vachette, son rôle était avant tout de donner du lait, et elle savait bien, on l’avait mit en garde, qu’il aurait été très bien possible, si son lait et ses compétences autres avaient été moins bonnes, qu’elle ne serve que de distributeur de lait. On racontait même que certaines Ushi étaient encastrée dans des murs, seulement nourries à ‘laide de tuyaux, et ainsi, servaient juste pour que leurs deux grosses mamelles pleines de lait se fasse têter le plus rapidement, et le plus efficacement possible... Savoir qu’elle allait être chez des maîtresses agréables la remplissait de joie.
« Si je... mmh... je peux faire quoique ce soit d’autres... »
Evidemment, se faire traire pour les Ushi étaient quelque chose de normal... Mais quand même, étant une zone érogène importante... la fameuse Cassandre avait toujours tendance à gémir un petit peu quand on commençait à la traire... Surtout quand c’était directement à la bouche... Elle espérait sincèrement que sa fameuse Maîtresse appréciait particulièrement son lait. Inoccupé, son sein gauche commença aussi à voir un peu de lait couler, sur le jolie ventre de la vachette. Assise, le lait coulait et venait perler sur ses bas blancs et noirs. Elle était contente, et elle appréciait sentir son lait se faire aspirer par une bouche gourmande... Elle continuait de pousser des petits gemissements, mais elle tentait quand même d’être pas trop trop bruyante. Cela pourrait être dérangeant pour les voisins...
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Accrochée aux mamelles de Cassandre comme une puce sur le dos d'un chien, Pleioen constatait avec plaisir que l'ushi n'avait pas mentie sur la qualité de son lait : il coulait tout seul dans sa gorge, et était très sucré, un vrai délice. Chaque gorgée qu'elle avalait lui donnait envie d'en avaler une autre, un cercle de gourmandise dans lequel elle se plongeait à corps perdu. La neko se délectait également des petits gémissements de plaisir que poussaient la vachete, et de l'expression de joie sur son visage. Même en pleine traite, elle disait qu'elle voulait se rendre utile, et sa nouvelle maîtresse lui répondit avec un petit bisou sur le bout du nez, délaissant pendant quelques secondes sa grosse poitrine.
« Ne t'inquiète pas, tu te rendras utile bien assez tôt. Pour l'instant... reste assise et profite de ta traite. »
Pleione lécha le lait qui perlait sur son sein gauche, puis retourna téter son sein droit. Tant qu'elle n'avait pas l'estomac rempli, la neko ne comptait pas se décoller de sa nouvelle petite chérie. De son côté, Antares restait assise sur son lit, incapable de détourner le regard de ce spectacle à la fois excitant et touchant. Elle commençait à avoir chaud.
Gorgée après gorgée, et au bout de presque cinq minutes, la cadette Lilianstar vint à bout de la première mamelle. Plus une goutte de lait. Elle se redressa, les joues empourprées et la respiration flucutuante.
« C'était... tellement bon... »
Elle se caressa le ventre.
« Mon estomac est rempli... de ton merveilleux lait... »
Emballée, elle l'embrassa à plusieurs reprises sur les joues, frôla ses lèvres mais sans jamais les toucher. Si elle était encore vierge, il ne fallait pas se jeter sur elle comme ça, et attendre qu'elle vienne d'elle-même.
Pleione était ravie, et voulut le partager avec sa sœur.
« Antares, il faut que tu goûtes à son lait, c'est un pur régal. »
« Non merci, je n'ai pas très envie. Mais fais toi plaisir toi. »
« Oh allez, ne fais pas ta timide. Tu vois bien que Cassandre a mal à ses petits bouts. »
La cadette pressa le téton gauche de l'ushi entre ses doigts, faisant jaillir des gouttes de lait.
« Il faut qu'elle soit traite, et j'ai déjà l'estomac plein. Tu ne vas pas la laisser comme ça ? »
En voyant l'adorable visage de la vachette, son regard plein de joie et de désir, et le lait qui coulait de son téton, Antares se sentit de plus en plus chaude. Elle décida finalement d'écouter sa sœur et de profiter du plaisir qui s'offrait à elle. Elle s'assit à côté de Cassandre et posa sa bouche contre son téton, l'aspirant fort pour pouvoir en faire jaillir le précieux liquide.
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La fameuse Plelone savait s'y faire avec sa bouche ! C'était tellement agréable… Elle sentait son lait se faire aspirer, têter, récupéré cette bouche gourmande, qui semblait toujours en vouloir plus… Elle était attachée à son sein, comme un pou était attachée à un cuir chevelu… C'était agréable… C'était la première fois qu'on se servait ainsi de son lait… Mais c'était tellement bon… Elle avait presque chaud, à force comme ça qu'on se serve d'elle, et elle appréciait. En même temps, comme toujours… Elle était faîtes pour qu'on se serve d'elle ! Elle n'était qu'une Ushi ! Bref, en tout cas, la fameuse Plelone continua ainsi pendant un long moment, sous le regard attendri et protecteur de l'autre maîtresse, qui semblait, pensait Cassandre, apprécier le spectacle… Tant mieux ! Elle devait satisfaire ses deux maîtresses !
« C'était... tellement bon... Mon estomac est rempli... de ton merveilleux lait... »
« N'hésitez pas à venir en prendre autant que possible <3 ! Je suis faîtes pour cela ! »
Tout à fait ! Et c'était tellement agréable ! Elle se disait que son lait était tellement bon, qu'on pourrait s'en faire éclater le ventre, tellement on en buvait… Faire gonfler son ventre… La fameuse Ushi trouvait l'idée rigolote, et se demanderait si on pourrait pas lui faire ça ! Gonfler son ventre jusqu'à ce qu'il soit énorme ! Eheh ! Bien sur, elle plaisantait dans sa tête… Ou peut-être pas. Passons sur ce point. Bref, en tout cas, finalement, la fameuse Plelone avait fini par crier grâce, et arrêter de têter, ce qui était logique… Même quelque chose de délicieux, au bout d'un moment, et bien, on finit par arrêter d'avoir faim… Et alors commença une discussion entre les deux sœurs, pour que celle qui était encore sobre de lait, finissent pas rejoindre sa sœur dans la délectation de ce nectare…
« Antares, il faut que tu goûtes à son lait, c'est un pur régal. »
« Non merci, je n'ai pas très envie. Mais fais toi plaisir toi. »
« Oh allez, ne fais pas ta timide. Tu vois bien que Cassandre a mal à ses petits bouts. »
Ce n'était pas vrai. Quoi ? Et bien, tout simplement, la fameuse Cassandre, cette fois, avait été suffisamment traite pour la journée, pour que son lait ne soit plus désagréable à supporter, pour que ses seins soient plus léger, et qu'elle soit plus tranquille pour le reste de la journée… Après, il y avait encore du lait. La traite n'avait pas été ce qu'on appelle « à sec », ce qu'avait eu parfois Cassandre, et qui était tout aussi désagréable, vu qu'elle consistait à traire le plus possible, à vider littéralement ses deux énormes mamelles de tout leur lait, pour en récupérer le plus possible. Bref, vous voyez un peu le concept. Mais quoi qu’il en soit, de toute façon, la fameuse Cassandre ne put rien dire, ni rien faire, car pour illustrer son propos, la fameuse Plelone attrapa son sein, et le pinça pour faire sortir le lait.
« Il faut qu'elle soit traite, et j'ai déjà l'estomac plein. Tu ne vas pas la laisser comme ça ? »
« Hawn <3 »
Le gémissement sortit du fond du cœur de la fameuse Ushi… Après tout, elle appréciait bien quand on la traitait ainsi ! Et encore plus satisfant… Finalement, après une pas si longue hésitation, la fameuse Antarès vint à son tour profiter du sein de la vachette… Une nouvelle fois, les frissons de plaisirs recommencèrent, devant cette agréable bouche qui venait se délecter de son lait… C'était tellement agréable ! La vachette poussait des gémissements de plaisir, tandis que sa culotte mouillait un tout petit peu, mais ce dont la Vachette ne savait pas pourquoi, ne connaissant absolument rien des choses de la vie, je vous rappelle. Bref, finalement, elle déclara, très satisfaite de son traitement, à sa seconde maîtresse :
« Je suis heureuse que vous venez goutez aussi, Maîtresse Antares… Oh… C'est tellement plus agréable que la machine à traire… »
Elle laissa échapper cette ancienne condition de vie, celle de la ferme, ainsi, sans trop se retenir… Et c'était vrai : elle n'avait jamais trop apprécié la machine à traire, qu'elle trouvait trop brutale, bien qu'efficace pour récupéré son lait… Mais quand même ! C'était pas spécialement agréable, il faut bien le dire… Elle préférait largement les mains… Ou encore mieux, quand on venait directement boire à la source, après tout, c'était à ce moment là que le lait était le meilleur. Mieux vallait le moins d'intermédiaire possible ! Sauf quand on voulait utiliser son lait pour des gâteaux, et autres… Oui, bon, ça, ça ne compte pas. C'est une situation particulière, comme on dit dans notre jargon ! Bref, tout d'un coup, la fameuse Cassandre remarqua que ce qu'elle disait pouvait ressembler à une plainte, donc, maladroitement et un peu effrayée d'une éventuelle punition, la fameuse vachette déclara, confuse :
« Mais vous pourrez m'y mettre si vous n'avez pas le temps de me traire ! Je ne veux pas me plaindre !!! »
Sur… Elle doutait très fort que les deux sœurs aient le temps de s'occuper de ses seins tout les jours… Car après tout, cela pouvait devenir très contraignant ! N'est-ce pas ? Une vachette produisait beaucoup de lait, donc, il fallait parfois savoir la traire d'une autre manière, pour pouvoir se débarasser de cette tache qui pouvait être saoulante… Surtout qu'il était très très bien possible que ses deux fameuses maîtresses se désintéressent au bout d'un moment de cette fameuse vachette… Dans ce genre de cas, il serait plus que probable, qu'elle finirait à la machine. Elle savait d'ailleurs que certaines de ses camarades Ushi finissaient, dès leur achat, attachée à une machine, et rester alors traite 24h/24, car c'était ça qui était le plus efficace… Et son éducateur lui avait dit qu'elle aurait très bien pu finir ainsi… Après tout, c'était son lait qui était excellent. Et c'était ça le principale...
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Antares se laissait aller au plaisir, goûtant au bon lait de Cassandre. Ce dernier était sucré et onctueux, se buvait presque tout seul, un vrai régal. Ses instincts de chat et ses anciens réflexes de bébé se réveillaient doucement, portée par la douceur de ce liquide qui filait dans sa gorge, et elle se blottit tout contre la poitrine volumineuse de l'ushi. Cette dernière était heureuse de se faire traire à la main plutôt qu'à la machine, mais précisa bien qu'elle était prête à se faire mettre dessus quand ses maîtresses n'auraient pas le temps de s'en occuper. Pleione embrassa sa joue avant de lui parler sur un ton mielleux.
« Désolée ma puce mais nous n'avons pas de machine à traire chez nous. Alors quand nous serons occupées, tu iras voir les cuisiniers ou notre gouvernante ushi, et quelqu'un s'occupera de récupérer ton lait. »
C'était plus personnel et moins dégradant pour elle. Et de toute façon, Pleione saurait s'arranger pour trouver quelques minutes afin de la débarrasser de son excédent de liquide.
Antares, agrippée aux mamelles de Cassandre, sentait sa chaleur intime s'étoffer encore plus, à tel point qu'elle aurait pu rester collée à ses seins jusqu'à demain matin pour pouvoir déguster son lait. Hélas pour elle, au bout de quelques minutes, l'impressionnant sein de la vachette se retrouva vide, et la neko se sépara d'elle avec tristesse.
« Hhmm... c'était très bon. Merci Cassandre. »
Elle l'embrassa sur la joue.
« Dis moi, combien de temps te faut-il pour que tes seins soient à nouveau pleins ? »
L'aînée Lilianstar espérait bien pouvoir encore goûter à son lait dans les plus brefs délais, et la cadette pensait de la même façon. Mais sur l'instant présent, elle voyait surtout qu'une petite tâche sombre était apparu sur la culotte noire et blanche de l'ushi. Oui, elle mouillait, et ça excitait grandement la neko.
« Dis moi ma petite chérie... »
Elle caressa sa culotte au niveau de la marque.
« … tu as peut-être senti que ta culotte est mouillée. Sais tu d'où ça vient ? Est ce que ton maître t'a déjà parlé d'excitation, de désir ? »
Elle savait que Cassandre était vierge, mais peut-être qu'on lui avait déjà expliqué ce qu'était le sexe. Sinon, Pleione se ferait un plaisir de le lui expliquer, aussi bien avec des mots qu'avec des actes.
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Cassandre était heureuse... En effet, Antarès semblait tout autant aimer le lait qu'elle produisait, que Plelone avait aimé... Et cela, c'était très gratifiant à ses yeux. La fameuse Antares semblait presque encore plus aimée ce lait que Plelone... Enfin, non. Si ? Je sais pas. C'était différant. Autant Plelone avait été très active dans le suçotage des seins... Autant Antares elle prenait son plaisir, et buvait tranquillement, mais appréciait peut-être encore plus... En même temps, il était vrai que le Lait de notre fameuse Cassandre était très très bon... Bref, elle buvait sans discontinuité, et ainsi, profitait de ses deux grandes mamelles, jusqu'à l'épuisement de ce lait... Et elle avait bien raison, après tout ! Il fallait en profiter. Elle était là pour ça.
« Désolée ma puce mais nous n'avons pas de machine à traire chez nous. Alors quand nous serons occupées, tu iras voir les cuisiniers ou notre gouvernante ushi, et quelqu'un s'occupera de récupérer ton lait. »
YES ! Pensait-elle. Pas de machine ! Ouhouh ! Là, c'était la fête... Elle ne le montra pas bien sur... Sauf que si enfaite. Ne controlant pas ses mécanismes inconscient... On put remarquer que ses deux oreilles se dressèrent d'un seul coup, et ainsi, montrant bien ses émotions... On pouvait bien voir qu'elle était très contente de découvrir qu'elle n'allait ainsi pas être traite à la machine, tant qu'elle vivait chez les soeurs... Peut-être après avoir été offerte en cadeau, la machine serait de nouveau là... Mais pour le moment, ce n'était point le cas.
« Hhmm... c'était très bon. Merci Cassandre. Dis moi, combien de temps te faut-il pour que tes seins soient à nouveau pleins ? »
« Mmmh... C'est assez rapide, en général, une dizaine ou une vingtaine de minutes après, je produis de nouveau du lait, mais pour que je sois de nouveau vraiment pleine, il me faut deux bonnes heures. Je produis beaucoup disais mon éducateur ! Il fallait me traire activement toutes les demi-journées ! »
En effet ! Cassandre était une grosse productrice ! Grosse productrice, et avec un très bon lait... Où était le piège ? Et bien, pour la santé, Cassandre n'était pas forcément très bonne... En effet, le lait sucrée n'était pas la meilleure alimentation qui existait, et il était très riche. L'autre revers de la médaille... C'est qu'elle pouvait devenir très casse-pied ! En effet, plus ses seins se remplissaient vite, plus il fallait la traire régulièrement... Et quand tout le monde est occupé, et bien, avoir une vachette qui meugle de plaisir en marchant, qui voit du lait couler de ses seins, pouvant tacher ainsi le sol... Ce n'est pas très pratique. Mais bon... Pour les gros consommateurs, et bien, Cassandre était la vachette parfaite. Cela expliquait pourquoi elle avait été vendue chère, et pourquoi elle pouvait devenir vite très populaire. Après tout, on avait affaire à une vachette grosse productrice...
« Dis moi ma petite chérie... … tu as peut-être senti que ta culotte est mouillée. Sais tu d'où ça vient ? Est ce que ton maître t'a déjà parlé d'excitation, de désir ? »
« Awh <3 »
Quel adorable petit couinement de plaisir... Ce n'était pas mignon ? On sentait que notre fameuse vachette n'y connaissait rien... Mais qu'elle était très très contente que comme ça, on venait s'occuper de son intimité... Elle n' avait aucune idée de ce qu'on lui faisait... Mais peut-être était-ce une forme de récompense ? Et oui, rappelez-vous... Notre chère vachette avait tendance à croire qu'elle était constamment au centre des attentions... Et bien, comme les coups de fouets étaient des punitions... Et bien, ses caresses, à ce niveau, était peut-être une récompense pour elle ? Et le pire, c'est que pour une fois, elle n'avait pas tord... Mais quoiqu'il arrive, elle ne connaissait pas tout ses domaines proches de la sexualité et de l'excitation... Vous voulez la preuve ? Et bien, écoutez avec moi les paroles qui suivent. Je vous assure, foi de narratrice, que vous allez comprendre !
« Je... connais ses sentiments, mais je ne pense pas dans le sens où vous voulez en entendre parler Maîtresse... J'étais très excitée à l'idée d'avoir mon maître... Et j'ai toujours désirée être une servante idéale... Mais je doute que cela mouille... Enfin, ma culotte... »
Qu'est-ce que je vous disais ? Elle connaissait les concepts d'excitation et de désir, en temps normal... Et ne semblait pas prendre en compte les moments où on a de l'excitation « sexuel ». Alors, bien sur, elle avait 18 ans, pas 10. Elle avait vécu des moments d'excitation sexuels... Qui sait, peut-être même s'était-elle masturber sans le savoir ? Enfin, sans savoir que c'était de la masturbation ? Mais jamais on ne lui avait appris ce concept... Et surtout, jamais avait-elle put apprendre cela d'elle-même. Elle ne savait même pas lire ! Donc, exit la possibilité d'un savoir livresque. Au yeux de son éducateur, cela serait à l'acheteur d'apprendre cela, de gré ou de force, à la fameuse vachette... Après tout, cela réduisait les chances qu'elles se retrouvent non vierge, voir pire, enceinte, avant qu'elle soit vendue ! N'est-ce pas ?
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Cassandre connaissait l'excitation et le désir, mais pas dans le sens où Pleione l'entendait. La neko se demanda comment une fille ayant deux ans de plus qu'elle soit totalement ignorante du sexe, jusqu'au mot lui-même. Elle ne s'était probablement jamais touchée, ou bien elle l'avait fait sans comprendre son geste. Bien qu'interrogative, la Lilianstar se réjouissait de la situation, et continua à frotter ses doigts contre l'entrejambe de l'ushi.
« Alors je pense que je vais te donner quelques leçons, ça te sera utile à l'avenir. »
Ses doigts pressaient un peu plus fort, faisant couiner la vachette, dont les joues rougissaient.
« Tu sens cette chaleur qui s'empare de toi ? Ce sentiment de bonheur ? Je parie que tu as envie que je continue, n'est ce pas ? »
Et bien sûr, elle allait le faire avec joie. En même temps qu'elle jouait avec sa culotte, elle lui embrassait la joue, et son autre main alla se poser sur sa tête pour caresser son cuir chevelu.
« Ce que tu ressens, c'est le désir physique, une envie aussi primaire que délicieuse. Quand tu vivras avec moi et Yuko, tu seras peut-être sollicitée de temps en temps pour nous faire ressentir ce plaisir. Et bien sûr, nous t'en donnerons à toi aussi. »
Une aussi belle vachette dans un harem, comment ne pas en profiter ? Elle ne sera pas engagée comme concubine, mais pourra toujours régaler les filles, aussi bien les esclaves que les maîtresses.
De son côté, Antares restait concentrée sur les seins de Cassandre. Elle avait du mal à croire que, dans à peine deux heures, ces deux grosses mamelles seraient à nouveau pleines de lait. Si c'était vraiment le cas, et elle n'avait aucune raison d'en douter, les sœurs auraient donc droit à une nouvelle ration de lait avant d'aller se coucher, rien de tel pour bien dormir. La neko prit délicatement l'un des seins de l'ushi entre ses doigts.
« Tu sens cette raideur dans ta poitrine, malgré le fait que tes seins aient été vidés ? C'est aussi un effet de l'excitation. »
« Si tu veux, on peut te montrer ce qu'il y a de bon dans l'accomplissement du désir, mais on ne t'oblige pas. On en te touchera que si tu en as envie. »
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Deux petites heures... On pouvait dire que Cassandre était vraiment une vachette productive... Et que les deux nekos, visiblement, en étaient très contente... Mais chose amusante, si c’était la cadette qui au départ semblait le plus apprécié l’idée d’avoir sa Ushi personnelle... Et bien, finalement, c’était visiblement Antarès qui semblait le plus apprécié de boire ce délicieux lait... Tant mieux dans un sens ! Plelone n’avait pas été à convaincre de l’intérêt de notre Cassandre... Mais Antarès si. Alors, là, le fait qu’elle appréciait beaucoup le lait, faisait que l’on pouvait être rassurée pour l’avenir de notre vachette chez les deux nekos. Avec le chomage, tout ça, on pouvait être contents que la sécurité de l’emploi soit au moins là pour notre adorable vachette ! J’aimerai avoir sa chance...
« Alors je pense que je vais te donner quelques leçons, ça te sera utile à l'avenir. »
Et là, elle commença, comme pour illustrer ses propos, à faire des attouchement à notre chère vachette... Celle-ci, se faisant véritablement toucher pour la première fois, était particulièrement bruyante dans ses gemissements... Et elle appréciait particulièrement. En même temps... Qui n’apprécierait pas ? C’était du bonheur à l’état pur... Et franchement, elle avait envie de plus... Mais elle n’osait pas dire quoique ce soit, et continuait d’écouter, comme une sage élève, les explications sur la sexualité.
« Tu sens cette chaleur qui s'empare de toi ? Ce sentiment de bonheur ? Je parie que tu as envie que je continue, n'est ce pas ? Ce que tu ressens, c'est le désir physique, une envie aussi primaire que délicieuse. Quand tu vivras avec moi et Yuko, tu seras peut-être sollicitée de temps en temps pour nous faire ressentir ce plaisir. Et bien sûr, nous t'en donnerons à toi aussi. »
« Vous êtes trop gentille... »
En effet... Elle s’attendait vraiment pas qu’elle reçoit... Quelque chose d’aussi satisfaisant de la part de ses maîtresses... Qu’elle doive donner ce plaisir, cela lui aurait semlber logique.. Mais qu’elle puisse en recevoir.. Il n’y avait pas de doute, elle était tombée sur les deux meilleures maîtresse de l’Univers ! Elle était sure qu’elle serait régulièrement traite à la main, ou mieux, à la bouche, qu’elle serait bien traitée par ses maîtresse, pas frappée pour rien, et qu’elle pourrait même avoir ce plaisir ! Ce... C’était exceptionnel ! Elle se disait que cela était sans doute grâce à son lait délicieux. Soudainement, Antarès déclara à son tour.
« Tu sens cette raideur dans ta poitrine, malgré le fait que tes seins aient été vidés ? C'est aussi un effet de l'excitation. »
« Si tu veux, on peut te montrer ce qu'il y a de bon dans l'accomplissement du désir, mais on ne t'oblige pas. On en te touchera que si tu en as envie. »
« Voyons, maîtresses, je suis votre servante, touchez moi quand vous le voulez, je suis là pour obéir à tout vos désirs... »
Et oui ! Elle était une grosse soumise ! Oui, c’est à peu près comment on peux traduire les déclarations de notre fameuse vachette ! N’est-ce pas ? Oui, je suis assez crue, mais c’est ce qu’on aime ! Bref, en effet, elle avait vraiment plutôt l’habitude de servir, de faire les choses pour les autres, ou de subir pour les autres, plutôt que de faire faire les choses pour elle, ou faire subir aux autres... Je ne sais pas si je suis très claire... Enfin, vu ma couleur de peau, je le suis, mais passons. Bref, ainsi, Cassandre était une soumise, destinée à se faire pénétrer, par les maîtres et maîtresses futa ou à satisfaire les maîtresses et les maîtres avec sa bouche. Ainsi, elle expliquait très clairement que son avis ne compterait pas.
« Et... J’ai très envie que vous me fassiez découvrir cela... »
Elle rougissait comme une lycéenne pris sur le fait. Elle n’osait pas trop demander... Mais d’un autre côté, il fallait bien avouer la vérité ! Elle ne souhaitait qu’une seule et unique chose... Découvrir ce qui lui donnait tant de chaleur... Et surtout, aller plus loin. Sans aucun doute, elle allait découvrir beaucoup sur tout ses domaines, chez les deux soeurs Neko, mais aussi chez sa propriétaire définitive, vu qu’elle n’était qu’un cadeau, je rappelle ! Maintenant, il fallait bien voir... Peut-être que Plelone et Antarès aurait le sadisme de ne pas exaucer la requête de notre vachette, pour voir comment elle réagirait vis à vis de la frustration... Une curiosité, qui pouvait très bien exister chez nos deux nekos... Mais cela c’est une autre histoire.
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Cassandre, comme beaucoup d'esclaves, pensait que son avis n'avait pas d'importance, mais Antares et Pleione avaient un tout autre point de vue.
« Ma chérie, sache que quand on te demande ton avis, on attend de toi que tu nous le donnes. Car pour nous, ton opinion est importante. »
Et de toute façon, elle ajouta par la suite qu'elle avait très envie de découvrir le sexe. Un sourire ravi sur le visage, la cadette tourna la tête de l'ushi et déposa finement un baiser sur ses lèvres. Elle attendit un peu, puis sentit la bouche de Cassandre s'ouvrir toute seule, et glissa sa langue à l'intérieur. La vachette était un petit peu maladroite pour son premier ballet buccal, mais c'était quand même plaisant, et la neko ne se sépara d'elle qu'après de longues secondes, un mince filet de salive liant encore leurs bouches.
« Ça, c'est le genre de baisers qu'on partage entre adultes. »
De son côté, Antares s'amusait à peloter les gros seins de Cassandre, appréciant leur rondeur et leur fermeté. Ils avaient beau se remplir et se vider de lait en permanence, ils restaient magnifiques et très agréables à toucher.
« Ça te plaît ? »
Elle restait assez modérée, craignant qu'un geste trop précipité ne fasse peur à l'ushi, mais sa sœur était bien moins mesurée. Ses doigts cessèrent de frotter l'entrejambe de la vachette, et elle changea de position pour aller mettre sa tête à la même place.
« Antares, tu veux bien aller te mettre dans son dos pour qu'on la prenne ensemble ? »
« Avec joie. »
L'aînée se mit dans le dos de l'ushi, et commença à jouer avec sa poitrine, tandis que sa cadette baissa la culotte de leur amante pour dévoiler sa belle intimité, totalement imberbe et bien mouillée.
« Hhmm ! Je vais me régaler. »
Pleione entama un cunni comme elle savait si bien les faire, prenant le temps de faire savourer les sensations à Cassandre. Prise entre elle et Antares, l'ushi allait recevoir une bonne leçon de sexe.
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Avec les soeurs Lilianstar, sans doute que notre fameuse Ushi allait découvrir de façon différente le fameux monde de la servitude... Alors qu’elle pensait tout connaître, elle devait comprendre que chaque maître avait sa propre version de l’esclavage. Ainsi, peut-être qu’un maitre aurait enfermée dans une stalle la pauvre vachette, et l’aurait condamnée à la traite 24h/24. Peut-être qu’un autre n’aurait rien eu à faire de son lait -ce qui aurait été un gachi, disons le- et aurait préféré se contenter de profiter du sexe... Et bien, les soeurs Lilianstar avaient leur propres méthodes et ainsi, expliquèrent à notre Vachette :
« Ma chérie, sache que quand on te demande ton avis, on attend de toi que tu nous le donnes. Car pour nous, ton opinion est importante. »
C’est... C’était surprenant ! Et totalement en contradiction avec tout ce qu’on lui avait appris... Mais de l’autre côté... Et bien, l’ordre de base d’une esclave, elle le savait bien, c’était d’obéir à tout les ordres. Hors, il n’y a pas d’hésitation... Si les fameuses soeurs estimaient qu’elle devait donner son avis, elle donnerait son avis ! Bien sur, elle tenterait d’être pas trop trop du genre à être gênante, car elle voulait pas se faire chasser ou punir pour manque de respect ! Elle était quand même une vachette obéissante et digne d’être une bonne servante ! Mais assez de blabla, reprenons un peu ce qui était entrain de se passez... Le voulez-vous ?
« Ça, c'est le genre de baisers qu'on partage entre adultes. »
« Ça te plaît ? »
« Oh... Oui ! J’adore ! »
Son... Son premier baiser... Bien sur, cela n’avait pas vraiment d’importance, quand on ne savait pas vraiment ce qu’était un « baiser », ce qui était le cas de Cassandre... Mais quand même ! On pouvait quand même faire remarquer que notre chère Cassandre avait ainsi découvert les joies de son premier baiser... Et cela, c’était beau. Bien sur, on pouvait voir toutes les réactions sur le visage de la vachette. Ses oreilles étaient maintenant totalement dressées, elle avait extrêmement chaud... Bref, tout ce qu’elle voulait, maintenant, c’était aller plus loin... Découvrir donc ce qu’elle allait pouvoir recevoir de la part des deux nekos... Et c’était pas que égoïste ! Elle voulait aussi apprendre... Pour pouvoir le rendre à ses maîtresses...
« Antares, tu veux bien aller te mettre dans son dos pour qu'on la prenne ensemble ? »
« Avec joie. »
« Hhmm ! Je vais me régaler. »
Et alors, les festivités commencèrent, d’un seul coup... Ainsi, Antarès laissa la place à sa cadette, et vint titiller les grosses mamelles de notre vachette. Ceux-ci avaient déjà commencé à de nouveau avoir un peu de lait... Pas beaucoup, bien sur, il était trop tôt pour que notre Ushi soit véritablement de nouvelle pleine... Mais suffisamment, pour commencer à voir perler un peu de lait. Evidemment, zone la plus érogène de notre vachette, étant donné que depuis le temps, c’était la zone qui avait été le plus stimulé avec le temps, cela la faisait gémir de plaisir...
« C’est si bon... Maîtresses... »
Mais ce n’était pas ça le plus... Jouissant, dans son traitement ! Loin de là ! En effet, la culotte de notre Ushi vint finalement rejoindre le soutien gorge, et disparu de la circulation un moment, rendant presque nue ainsi notre vachette... Libérant son sexe, la fameuse Plelone se fit une joie d’en faire alors son quatre heures, à la petite vachette, et cette dernière commença à en profiter amplement. Faut dire... C’était la première fois. Alors, si la zone la plus érogène de notre Ushi restait bien ses seins... Et bien, une première fois faisait que notre fameuse Cassandre était extrêmement sensible aussi en bas ! Et donc, devant tant de plaisir...
« Meuh <3... »
Tient ! Une particularité des Ushi, ou du moins, de notre Terranide précisément... Bien souvent, quand son plaisir était grand, elle ne controlait plus son langage, et laissait échapper des « meuh » qui montrait bien son contentement... On voyait ainsi que l’instinct animale était bien présent chez les terranides, ou en tout cas, chez notre fameuse Cassandre. Bien qu’elle ressemblait quand même beaucoup à une humaine, et bien, elle avait quand même de nombreux comportement qui faisait qu’elle restait, et qu’elle serait toujours rien de plus qu’une Ushi. Donc, il ne fallait pas trop lui en demander... Mais pour le moment, elle recevait... Recevait beaucoup, et elle aimait ça... Faut dire, c’était si bon...
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Antares et Pleione étaient totalement concentrées sur la tâche en cours, aider Cassandre à découvrir le plaisir que pouvait lui procurer son corps. L'aînée jouait avec son imposante poitrine, tandis que la cadette léchait son intimité, qui laissait couler de plus en plus de mouille. Difficile de dire qui des sœurs s'amusait le plus, mais entre les trois filles, il ne faisait aucun doute que c'était Cassandre qui prenait le plus de plaisir. D'ailleurs, elle le montra bien en laissant sortir un meuglement très mignon. Chez les terranides, les cris d'animaux pouvaient aussi bien signifier la joie que la douleur, mais celui-là était sans aucun doute un signe de plaisir. Pleione en fut enchantée.
« Oh oui... meugle encore ma jolie... tes bruits sont merveilleux à entendre... »
La neko s'activa entre ses cuisses, la léchant fougueusement, sa langue filant dans tous les recoins de sa vulve, sans rentrer à l'intérieur de son vagin pour le moment. Elle tenait à faire les choses progressivement, et s'introduire en elle serait un grand pas, autant le garder pour la fin.
De son côté, Antares jouait plaisamment avec la poitrine de l'ushi. Elle pressait, serrait, écartait, soupesait ses deux grosses mamelles, harcelait ses tétons de petits pincements, les faisait rouler entre ses doigts, tirant doucement dessus. Très vite, elle sentit de petites gouttes glisser le long de ses doigts, et lécha ces derniers, confirmant ce qu'elle savait déjà. Suite à cela, elle glissa quelques mots à l'oreille de la vachette.
« Tu te remets déjà à faire du lait ? Tu es incroyable. »
Sa cadette le remarqua aussi.
« Oh oui... je sens que je ne vais plus pouvoir me passer de toi Cassandre. »
Les deux nekos gardèrent la vachette en sandwich pendant plusieurs minutes, s'appliquant à ce que leurs gestes ne soient pas trop brutaux et que le plaisir puisse être savouré par Cassandre. Pleione fut la première à sentir que l'orgasme approchait.
« Oui... vas y ma belle... ne te retiens pas... laisse le plaisir t'envahir... hhmm... »
Elle mit les bouchées doubles, dévorant le minou imberbe de la demoiselle, jusqu'à la faire exploser. Elle eut droit à une belle éclaboussure de mouille en plein visage, tandis que sa sœur se retrouva avec deux petits jets laiteux au niveau des tétons de l'ushi, laissant à nouveau ses doigts couverts de ce délicieux liquide blanc. Elle se lécha les doigts de la main gauche, puis présenta sa main droite à Cassandre.
« Tiens ma chérie, nettoie mes doigts s'il te plaît. »
Pleione se releva et fit face à l'ushi.
« Ensuite, tu me nettoieras le visage. N'hésite pas à bien lécher partout. Ensuite, tu nous diras si tu as aimé ce que tu as ressenti... »
« … et si tu veux recommencer. »
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Quel bonheur... Littéralement prise en sandwich, il n’y avait aucun échappatoire pour notre fameuse vachette... Mais dans ce genre de situation... Qui aurait envie de s’échapper ? C’était un moment de pure bonheur que connaissait notre vachette... Entre la langue aventureuse de sa maîtresse cadette... Et de l’autre côté, les mains habiles de l’ainée... On pouvait dire qu’elle était bien entourée, et que cela était pour elle un pure plaisir. Bien sur, notre fameuse vachette n’en démordait pas, et continuait de gémir comme une pucelle a qui on faisait sa première... Oh attendez... C’est exactement ça ! Donc, ma comparaison tombe à peu à l’eau... Ce qui est un comble pour une vachette qui produit autant de lait... D’aileurs, c’est ce qui fit remarquer notre fameuse Antarès, à propos du liquide qui coulait sur les doigts de l’ainée :
« Tu te remets déjà à faire du lait ? Tu es incroyable. »
« Oh oui... je sens que je ne vais plus pouvoir me passer de toi Cassandre. »
« Ou... Oui <3 Mmh... »
Elle était... Elle n’avait qu’à peine entendu les déclarations des deux nekos... Non pas qu’elle s’en fichait... Loin elle serait de se ficher de ce que penserait ou déclarerait ses deux maîtresses... Mais, il faut bien le dire, elle était pas en état de pouvoir bien se concentrer sur les déclarations... En effet, elle était proche de la jouissance ! En même temps... Il n’y avait pas de doute. Les fameuses soeurs Lilianstar étaient extrêmement doués, comme dit en introduction. Ainsi, il ne fallu pas si longtemps pour que finalement, la vachette laisse échapper son nectar de jouissance, dans un profond gémissement, qui, il faut dire, voulait tout dire...
« Tiens ma chérie, nettoie mes doigts s'il te plaît. »
« Ensuite, tu me nettoieras le visage. N'hésite pas à bien lécher partout. Ensuite, tu nous diras si tu as aimé ce que tu as ressenti... »
« Bien maîtresses ! »
Elle commença à lécher, avec amour les doigts de l’ainée des deux nekos, et commença à sucer... Elle ne remarqua même pas que s’était son lait... Etant donné qu’elle n’avait jamais bu son propre lait... Donc, elle appréciait relativement... Mais plus important... Ce fut quand elle commença à lécher le visage de la cadette qu’elle prit le plus son pied... les jus de son propre amour... C’était... Un véritable plaisir... Franchement, C’était extrêmement plaisant. Et elle savait pas comment elle pouvait remercier ses deux maîtresses... Surtout qu’elles voulaient visiblement lui offrir un second tour... là, c’était trop ! Elle ne voulait pas qu’on lui ote ce merveilleux goût... Léchant attentivement, elle eut soudainement une idée dans sa petite tête d’Ushi, et elle déclara :
« Je ne veux pas recommencer... Je veux maintenant vous offrir ce bonheur, maîtresse... »
Donc, bon... Qu’allait-elle faire ? Et bien, tout simplement, elle allait faire aux deux sœurs ce qu’elle venait de lui faire... Bien sur, le problème, il faut bien le dire... C’est qu’elle n’avait jamais fais ça, dans sa vie... Mais bon, il y avait une première fois pour tout, n’est-ce pas ? Et elle serait honorée de goûter la cyprine de l’une de ses deux maîtresse. Elle comptait bien rendre au centuple ce qu’on lui avait offert, et surtout, montrer qu’elle était prête à être une vachette docile, agréable, et capable de donner énormément de plaisir à ses maîtresse... C’était le destin d’un vachette comme elle ! Mais elle donnerait son avis ! Pour que ni Plélone ni Antarès ne se sente laisé dans ce qu’elles ont demandé tout à l’heure.
« Je suis prête, maîtresses... »
Elle attendait, comme une jeune fille gourmande, soucieuse d’avoir sa récompense... Mais peut-être n’était-elle pas entrain de réclamer de pouvoir découvrir le goût de la jouissance ? On pouvait bien se demander... Mais la réponse finale, la clef de cette attente... Et bien, finalement c’étaient nos deux soeurs qui l’avaient encore sur le bout de la langue... Et est-ce qu’elle offrir ce plaisir à notre vachette ? Notre vachette, qui était tranquillement à genoux, à hauteur de vagin d’une ou l’autre des soeurs, et la langue prête à l’action ? Tout cela était une bonne question... Mais dont je n’ai point les réponses... Donc à vous les studios !
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Cassandre nettoya bien ses maîtresses, mais étrangement ne demanda pas à avoir encore du plaisir, elle voulait en donner. Antares et Pleione lui sourirent, ravies de la tournure que prenait les événements.
« Si tu y tiens, ce n'est pas nous qui allons te dire non. »
La cadette se préparait déjà à recevoir l'ushi lorsque l'aînée l'arrêta pour lui murmurer quelques mots. Elle avait une idée pour rendre les choses plus amusantes, et sa petite sœur se mit à sourire en l'entendant expliquer.
« Oh oui, c'est une très bonne idée. »
Les deux nekos se mirent ensuite sur les genoux, face à la vachette, et relevèrent chacune le bas de leur robe. Antares portait une culotte bleue ciel, sans fioritures (http://www.hostingpics.net/viewer.php?id=211797V473726OFF.jpg), alors que Pleione en portait une plus tape-à-l’œil, de couleur rouge, avec des motifs multicolores (http://www.hostingpics.net/viewer.php?id=224845V477069OFF.jpg).
« Regarde bien nos culottes Cassandre, et viens lécher l'intimité de celle qui te plaît le plus. Tu peux nous les enlever ou nous lécher à travers le tissu, t'y prendre calmement ou nous dévorer le minou, le choix t'appartient. De toute façon, je suis sûre que tu te débrouilleras très bien. »
« Pendant ce temps, celle que tu ne lécheras pas ira caresser tes belles fesses bien dodues. Ensuite on inversera les rôles. »
Le jeu permettait de rendre le sexe plus divertissant, et Antares était curieuse de voir si Cassandre avait des goûts particuliers en matière de sous-vêtements. Pleione, elle, se moquait de savoir si elle serait la première ou la deuxième, la langue de l'ushi sur son entrejambe lui faisait autant envie que de peloter son derrière rebondi.
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Reprenons-là où nous nous étions arrêtées. Vous le voulez bien ? Ainsi, notre vachette, toujours aussi motivée, était bien satisfaite du cadeau qu’elle venait d’avoir... Dire que son éducateur n’avait rien prévenu a propos de tout cela ! Sur le coup, il fallait bien le dire, elle lui en voulait un peu... Je veux dire, cela avait été tellement chouette ! Franchement, elle lui en voulait totalement ! Elle espérait qu’il y avait d’autres surprises comme ça, qu’elle ne connaissait pas... Car franchement, cela serait génial ! Mais bon, en tout cas, notre fameuse jeune Ushi, finalement, eut enfin la réponse à sa proposition, étant donné que la fameuse Plelone déclara, tranquillement, à propos de ses propositions.
« Si tu y tiens, ce n'est pas nous qui allons te dire non. »
Elles avaient acceptés ! Youpi ! La fameuse vachette en était très contente... Elle avait hâte de découvrir les joies de directement s’occuper des intimités de ses maîtresses. Sauf que ce n’était pas encore le temps de commencer... Etant donné que les deux soeurs, les deux maîtresses avaient décidés de discuter de quelques choses...
« Regarde bien nos culottes Cassandre, et viens lécher l'intimité de celle qui te plaît le plus. Tu peux nous les enlever ou nous lécher à travers le tissu, t'y prendre calmement ou nous dévorer le minou, le choix t'appartient. De toute façon, je suis sûre que tu te débrouilleras très bien. »
« Pendant ce temps, celle que tu ne lécheras pas ira caresser tes belles fesses bien dodues. Ensuite on inversera les rôles. »
« Mmmh... »
Quel choix cornélien, tout d’un coup, elle était confronté ! Mmh... Les deux étaient si... Tentant ? Elle ne savait vraiment pas lequel choisir... D’un côté, il y avait Plélone, qui avait une très belle culotte rouge et décoré, tandis que de l’autre côté, Antarès avait une belle culotte bleu et sobre... Donc, notre fameuse Vachette hésitait... De l’autre côté, elle savait que ce n’était pas gênant... Vu qu’elle ferait l’autre après. Et pour elle, elle allait avoir ses fesses qui sont occupé pendant le moment. Notre fameuse Ushi était gagnante... La vachette fit meuh, et finalement, déclara en pointant Antarès.
« Ca sera... Toi ! »
Finalement, cela sera Antarès... C’était relativement logique... Notre vachette avait toujours eu auparavant une vie simple, loin des fioritudes... Et ainsi, elle commença à utiliser sa langue. Elle ne savait pas trop comment faire, donc, il fallait bien se douter que le résultat était extrêmement maladroit. Pour tout dire, elle n’avait pas décidé de retirer la culotte pour le moment. Donc, ainsi, elle prenait attention à ne pas trop faire mauvais... Et dieu que c’était agréable... Elle continuait avec plaisir...
« Mmh... C’est bon... »
De l’autre côté, son postérieur n’attendait que de se faire malaxer à son tour... Comme beaucoup de partie de notre vachette, il y avait pas mal de graisse dans ce beau postérieur, ce qui était conforme au fait qu’en général, notre vachette était assez rondouilette. Sans être grosse, il était vrai qu’on pouvait difficilement sentir les os dans son joli corps... Tant mieux, pour ceux qui aimaient ! En effet, c’était un concentré d’amour. Et donc, même si pour le moment, qu’une seule recevait la douce langue de notre vachette, qui n’avait pas encore commencé donc à retirer le léger tissu que représentait la culotte d’Antarès... Il fallait se dire que l’autre allait bien vite recevoir à son tour la récompense, et que pour le moment, elle avait un chouette prix de consolation.
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Cassandre eut un long moment de réflexion, alternant son regard entre la culotte d'Antares et celle de Pleione. Puis finalement, elle poussa un meuglement et se dirigea vers l'aînée Lilianstar.
Alors elle préfère les culottes simples, sans chichis… ou il y a une autre raison ?
Elle s'interrogeait sur les goûts vestimentaires de l'ushi car, une fois rentrée chez elle, elle comptait bien l'habiller de la tête aux pieds. Mais pour l'instant, elle savourait juste sa petite langue entre ses jambes. C'était sa première fois, ses gestes manquaient d'expertise et elle avait laissé la culotte de sa maîtresse en place, mais c'était quand même plaisant.
A côté, Pleione passa dans le dos de Cassandre et se mit sur les genoux pour pouvoir caresser sa belle croupe bien ronde. Elle serra les deux bosses entre ses doigts, les massa et les écarta, encore et encore, déposant parfois des baisers dessus.
« Ouah… c'est la première fois que je vois des fesses aussi dodues. J'ai bien envie de les manger. »
Joignant le geste à la parole, elle commença par embrasser son popotin, de petits baisers tous doux et gentillets, puis sans prévenir attrapa un peu de sa chair entre ses dents et la mordit. Elle prit bien garde de ne pas forcer pour ne pas lui faire mal, ses dents ne laissèrent même pas de marque, et elle lécha l'emplacement de la morsure après coup.
« Alors, est ce que tu aimes quand je mords tes petites fesses ? »
Pleione était curieuse de voir ce que Cassandre aimait dans le sexe. Était-elle une petite prude se contentant des baisers et des caresses, ou avait-elle des fantasmes plus osés ? Si elle se découvrait un goût pour le SM, ce serait un bon point de plus à son actif. Antares restait assez passive tandis que l'ushi la léchait, elle lui caressait juste les cheveux et ses oreilles de terranide de temps en temps, entre deux gémissements.
« Ah… hhmm… c'est bien… Cassandre… continue… comme ça… »
D'une certaine façon, sa maladresse rendait la chose encore meilleure, car le plaisir se diffusait lentement dans le corps de la neko, le rendant plus savoureux. Son corps plongeait dedans peu à peu au lieu d'être immédiatement submergée. Mais très vite, cela ne suffit plus à combler la Lilianstar.
« Han… va plus vite… ma puce… sans ça… je ne pourrais… pas jouir… »
La cadence monta peu à peu, Cassandre faisait des efforts mais manquait encore de techniques. Malgré ça, Antares prenait du plaisir dans ses léchouilles, et Pleione s'amusait bien avec son arrière-train bien en chair. Elle s'imaginait toutes les choses qui pourraient être faites avec ces deux fesses dodues, du plus soft au plus hard. Pour l'heure, elle s'en tenait au soft, ne voulant pas bloquer l'ushi dans sa découverte du sexe.
« Hhmm… ça vient… ça vient… Nyaaa ! »
L'aînée se pinça les lèvres au moment de l'orgasme, et un filet de mouille alla tâcher sa culotte. Quelques gouttes passèrent par les côtés, que l'esclave pouvait lécher si le cœur lui en disait. La neko passa une main sous le menton de la vachette et lui fit lever les yeux pour pouvoir l'embrasser.
« Tu t'en es bien sortie pour une première fois. J'ai hâte de recommencer. »
« Maintenant c'est à mon tour d'en profiter. »
Les sœurs changèrent de place, Pleione se mit à genoux devant Cassandre et lui montra à nouveau sa culotte, Antares passa dans son dos pour aller jouer avec son derrière. Et elle comptait bien expérimenter des choses moins douces que ce que sa sœur avait fait.
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« Ouah… c'est la première fois que je vois des fesses aussi dodues. J'ai bien envie de les manger. »
N'est-ce pas ? Il est vrai que notre vachette était apétissante… D'ailleurs, l'était-elle vraiment ? Serait-elle délicieuse en steak ? Mmh… Mettons de côté cette encart cannibalisme, et reprenons notre RP. Prise en sandwich, étant littéralement la belle viande de deux tranches de pains appétissante -damn, j'ai vraiment faim…-, notre Vachette prenait d'un côté, mais à son plus grand plaisir, même quand elle menait la danse, l'une des deux nekos venaient dirigeaient un peu ce qu'elle pouvait faire… Et c'était assez agréable...
« Alors, est ce que tu aimes quand je mords tes petites fesses ? »
Oui. Oui, elle aimait. Elle n'aurait jamais cru dire ça un jour… Mais oui, elle devait bien l'avouer : elle aimait quand elle venait de se faire mordre les fesses. Elle appréciait le fait que les dents de notre fameuse Plélone avait décidé d'attaquer sa jolie et tendre chair… Elle voulait que les deux Nekos lui fasse cela… Après tout, elle avait bien l'habitude des bouches et des dents… Il le fallait, étant donné qu'elle était quand même une vachette, et que l'une de ses seules utilités, c'était qu'on utilise ses seins, et qu'on tête ! Mais assez parlez de derrière… Passons à l'avant, pour voir comment cela se passait.
« Ah… hhmm… c'est bien… Cassandre… continue… comme ça… Han… va plus vite… ma puce… sans ça… je ne pourrais… pas jouir… »
Bien ! Elle accéléra un peu le rythme, et se rendit compte qu'en effet, elle avait eu une pas super idée de laisser la fameuse culotte en place… Celle-ci était… Comment dire… Ce n'était pas très pratique de pouvoir faire son affaire, avec cette fameuse culotte qui venait plus gêner qu'autre choses… Mais bon ! Ce n'était pas une raison… Loin de là même ! Notre fameuse vachette se disait qu'elle devait faire de son mieux, pour satisfaire la fameuse Antarès… Donc, elle accéléra brusquement le rythme, après avoir été juste un tout petit peu plus rapide sur le début… Chose qui fut visiblement plutôt bien reçu de celle qui subissait cette agréable traitement, étant donné qu'elle déclara :
« Hhmm… ça vient… ça vient… Nyaaa ! »
Et voilà ! Après un peu d'attente, et surtout, du travail bien fait, voilà la récompense ! Notre vachette ainsi reçu donc son premier orgasme féminin au visage, premier, de, on espère, une longue lignée d'autres orgasmes, pour ses deux maîtresses, mais aussi pour celle qui allaient devenir aussi ses maîtresses, étant donné que je rappelle que notre vachette était quand même destinée à devenir un cadeau. Bien sur, notre fameuse Vachette ne resta pas immobile, et vint tout récupéré, toujours aussi gourmande… Elle avait récupérée le plus qu'elle pouvait, et notre vachette, ainsi, une fois ayant terminée sa mission, reçu des compliments très très gentil de la part de notre fameuse Antarès, qui en effet, déclara :
« Tu t'en es bien sortie pour une première fois. J'ai hâte de recommencer. »
« Maintenant c'est à mon tour d'en profiter. »
« Je… Je voulais vous dire que j'ai adoré quand vous m'avez mordu les fesses… Et c'était très agréable de vous faire cela, Maîtresse Antarès. »
Tient, tient… Donc, elle avouait… Visiblement, nous avions affaire à peut-être une vachette, qui n'y connaissait pas encore beaucoup… Mais qui visiblement était très motivée pour découvrir, et qui allait sans doute savoir beaucoup à la fin. Tant mieux ! Il fallait être curieuse dans la vie, c'est toujours ce que je dis ! Ainsi, elle déclara à Plélone.
« A vous, Maîtresse... »
Et c'était autour de Plélone maintenant ! Mais cette fois, elle décida d'en faire autrement… Elle avait appris de sa « première fois », et décida de faire baisser la fameuse culotte de notre Neko, et décida ainsi de commencer à faire de nouveau le même boulot… Peut-être avec plus de dynamisme dès le début… Ainsi, dès le début, elle se montra plus active, pour montrer qu'elle ne comptait pas rester là où elle était… Elle espérait qu'Antarès n'allait pas regretter d'être passée en première… Mais si c'était le cas, et bien, ce n'était pas trop grave ! Elle ferait un nouveau passage pour Antarès… Oui, mais Plelone risquait d'être jalouse à son tour ? Donc, elle ferait un nouveau passage pour elle… Ouah. Elle avait un peu d'entrer dans un cercle vicieux à ce stade…
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Pleione regarda Cassandre lui retirer sa culotte, laissant la voie vers son sexe complètement libre. Apparemment, elle apprenait de son expérience avec Antares, ce qui démontrait qu'elle faisait des progrès. Très vite, la neko sentit la langue de l'ushi sur sa vulve et se mit à miauler.
« Nyaaa... hhmm... »
Derrière, Antares pelotait le fessier bien rebondi de l'esclave. Si elle avait aimé se faire mordiller, les actes de l'aînée Lilianstar allaient peut-être lui procurer encore du plaisir, mais il fallait quand même rester modéré pour ne pas tout gâcher. Elle commença par quelques caresses, puis appuya un peu plus ses doigts sur sa croupe, la griffant parfois, jusqu'à lui mettre une petite tape sur la fesses droite.
« Ça te plaît ? »
Antares poursuivit en alternant les passages doux et les claques sur son cul, tandis que Pleione gémissait et était parcourue de spasmes à chaque seconde que Cassandre passait entre ses jambes, caressant sa tête blonde et jouant avec ses oreilles.
« Myuuu... très bien Cassandre... n'oublie pas... mon petit bouton... en haut de mes lèvres... »
L'ushi progressait vite. A ce rythme, et avec quelques leçons de plus, elle deviendrait une amante de rêve, encore un bon point pour quand elle rencontrerait Yuko. Car même si la cadette Lilianstar savait que cette esclave était un très beau présent pour sa fiancée, ça ne coûtait rien de vouloir la rendre encore meilleure. En plus de son lait, en faire une fille douée au lit serait la cerise sur le gâteau, et les deux sœurs étaient de très bons professeurs pour ça.
Tout comme sa sœur avant elle, Pleione finit par jouir et répandit sa mouille dans la bouche de son amante. Cette dernière la nettoya bien, puis la neko passa une main sous son menton pour lui faire lever les yeux, et l'embrassa.
« Bravo à toi... j'ai adoré. »
Les deux nekos encerclèrent l'ushi pour un câlin collectif, mais furent interrompues quand Andreas tapa à leur porte.
« Euh... mesdemoiselles, désolé de vous... interrompre, mais c'est l'heure d'aller dîner. »
« Merci Andreas. »
Les deux nekos se relevèrent avec leur petite chérie, remirent leurs robes, puis Antares prit une robe blanche dans sa valise et la tendit à Cassandre.
« Tiens, enfile ça. Je ne suis pas sûre qu'elle t'ira parfaitement, mais ça devrait faire l'affaire pour le moment. »
L'ushi enfila la robe, avec un peu d'aide des Lilianstar, et elles prirent une petite seconde pour l'admirer.
« Nyaaa. Tu es très jolie. »
« Quand on sera chez nous, on te fera faire une tenue sur-mesure. »
Les trois filles sortirent de la chambre et suivirent Andreas jusqu'à la salle à manger. Au menu : poisson et pommes de terre.
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S'améliorer… Devenir meilleure pour mieux rendre le plaisir à ses maîtresses… C'était quelques chose de tout à fait essentielle aux yeux de notre fameuse vachette… Après tout, une bonne servante, était une servante motivée qui faisait de nombreux efforts pour sa maîtresse ! Non une servante soumise qui obéissait aveuglement, et qui croyait que tout était déjà fait, dans son éducation, et qu'il fallait se contenter de faire ce que les maîtres demandaient… Non. Il fallait faire plus ! Beaucoup plus ! C'était ça, le bon chemin, pour une esclave… Enfin, cela, aux yeux de notre fameuse vachette… Vachette qui de nouveau était entrain de se faire prendre en sandwich… Antarès qui était maintenant derrière, s'occupant de son joli fessier
« Ça te plaît ? »
Elle fit oui de la tête. Et bien… On pouvait voir qu'on avait affaire à une belle soumise… Ou tout du moins, une future soumise. Peut-être n'allait pas le devenir finalement… Mais quoiqu'il en soit, elle était dans de belles circonstances pour le devenir… N'est-ce pas ? Bref, en tout cas, ses fesses étaient bien occupés.. Qu'en était-il de devant ? A l'endroit le plus intéressant, si vous voulez mon avis ?
« Myuuu... très bien Cassandre... n'oublie pas... mon petit bouton... en haut de mes lèvres... »
Elle continua, tentant ainsi de s'aventurer sur ce fameux bouton, qu'elle ne connaissait pas, étant donné que bah… Notre vachette ne connaissait rien de l'anatomie masculine, comme de l'anatomie féminine. Mais, toujours, certes de façon maladroite, elle continuait de prendre soin de sa fameuse maîtresse… Elle s'améliorait petit à petit, car elle savait qu'elle n'était pas encore bonne… Et donc, qu'elle avait beaucoup à apprendre. Tentant de varier le rythme, de s'attaquer à différente partie de l'intimitée de Plélone, ses efforts furent finalement récompensé, étant donné que sous la langue active de la vachette, notre Neko ainsi, arriva à jouir à son tour sur Cassandre, qui continua à bien nettoyer.
« Bravo à toi... j'ai adoré. »
« J'en suis très heureuse ! »
Et comment ! Elle avait réussi à se faire récompenser par ses deux maîtresses… Et en plus, voilà qu'elles venaient toutes deux pour lui donner un câlin ! Alors, ça, pas d'inquiétude, notre fameuse vachette… Savait ce qu'était un calin ! Entre elles, les Ushis avaient souvent fait au ranch des grands calins collectifs, quand elles jouaient dans l'herbe, quand elles étaient ensemble, etc, etc. Donc, elle avait l'habitude… Et adorait véritablement cela ! Sauf que malheureusement, le calin ne dura pas trop longtemps, car en effet, il fut déclaré :
« Euh... mesdemoiselles, désolé de vous... interrompre, mais c'est l'heure d'aller dîner. »
« Merci Andreas. »
Dîner ? Oh, elle n'aimait pas trop ça… Le diner, c'était toujours le signe qu'il allait falloir rejoindre la box, et dormir… elle préférait rester éveillée, et s'amuser, ou s’entraîner à faire les taches ménagères… Après, il fallait qu'elle se souvienne ! Elle n'était plus à son éducation… Maintenant, elle n'aurait plus de « box », ni même d'horraire aussi systématique que les horaires qu'elle avait, quand elle était dans sa fameuse vie de vachette… Maintenant, elle aurait une vie très différente… Et pour le moment, tout semblait qu'elle serait pour le mieux… Soudainement, alors qu'elle se dirigeaient, elle fut interpellée
« Tiens, enfile ça. Je ne suis pas sûre qu'elle t'ira parfaitement, mais ça devrait faire l'affaire pour le moment. Nyaaa. Tu es très jolie. »
« Quand on sera chez nous, on te fera faire une tenue sur-mesure. »
« Merci beaucoup ! »
Ainsi, elle fut habillée d'une simple robe blanche… Elle n'était pas tout à fait adaptée, et on sentait que la robe souffrait un peu à cause de la taille assez importante des seins de Cassandre… Mais il était vraie que notre vachette était quand même assez charmante, avec cette tenue… Bien sur, elle ne pouvait pas se voir, mais elle était très heureuse d'avoir des compliments… Et puis, l'autre point qui la rendait très contente, était le fait qu'elle allait avoir une vraie tenue rien que pour elle ! Comme dit précédemment dans ce RP… Les tenues, elle avait toujours cru que ce n'était que pour les maîtres. Alors que non ! Elle allait avoir une renue rien que pour elle ! Hihi ! Elle avait trop hâte !
« Oh, c'est ça que vous mangez ? Ouaaaaaah ! C'est formidable ! »
Et oui ! Notre fameuse vachette n'avait jamais mangé de « vrai » repas… Faut pas croire qu'Harmington avait le temps de s'occuper de fournir des repas à ses vachettes… Bien souvent, elles s'étaient contenté de granulés, de pâtés qui se contentaient d'être des nutriments… Ou bien, dans le meilleure des cas, c'était ce qu'elle préférait : des légumes. Ainsi, elle s'installa… Par terre, assise tranquillement en tailleur, pas loin de la table. Evidemment, il fallait tout lui désapprendre… On avait véritablement fait son éducation comme celle d'un animal… Donc, en toute logique, à table, elle ne venait pas à table… Cela allait être la même chose pour la nuit. Elle avait toujours dormi dans de la paille. Mais chut ! C'est une autre histoire tout cela.
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Arrivées dans la salle à manger, les sœurs s'assirent à table, mais Cassandre n'en fit pas autant. Elle s'extasia sur le repas, puis s'assit en tailleur sur le sol. Son maître n'avait pas du prendre le temps de lui donner une éducation humaine, ce serait donc aux Lilianstar de tout lui apprendre.
« Allons Cassandre, viens t'asseoir à côté de nous. On t'a gardé une chaise. »
Pleione vit bien que sa demande avait perturbé l'ushi, son éducation étant en contradiction avec ce que lui disait sa maîtresse.
« Maintenant que tu es avec nous, il faudra que l'on t'apprenne quelques règles de savoir-vivre et de politesse, mais je ne pense pas que ce sera très dur. »
Le plus difficile dans l'histoire allait être de lui faire oublier ses anciennes habitudes. En tout cas, une fois assises, les trois filles purent manger tranquillement leur repas... sauf que Cassandre n'avait jamais tenu de couverts de sa vie. Une autre chose à lui inculquer. En attendant, Antares allait se faire un plaisir de la nourrir.
« Bon, à moi de jouer. »
La neko prit les couverts et coupa le poisson et les pommes de terre en petits morceaux, puis elle les donna un par un à l'ushi comme une maman le ferait avec sa petite fille.
« Allez, ouvre la bouche. »
Même si la situation n'était pas pratique, Antares la trouvait très plaisante car elle adorait jouer les mamans. La vachette se laissait docilement faire, elle n'avait même pas besoin de jouer un rôle, elle était naturellement innocente et naïve. La neko était si joyeuse qu'elle aurait voulu la couvrir de baisers, mais il fallait observer un minimum de pudeur à table.
Le trio fut parmi les derniers à quitter la table, Antares devant nourrir Cassandre elle-même, mais une fois dans leur chambre, l'aînée des Lilianstar se jeta sur l'ushi pour lui faire un gros câlin et embrasser ses joues à maintes reprises.
« Ma petite Cassandre... mon ushi adorée... si je m'écoutais, je te laisserais tel que tu es pour pouvoir continuer à jouer les mamans avec toi. »
« Mais tu sais que ce n'est pas possible, pas vrai ? »
« Oui, malheureusement. »
Il faudrait bien qu'elle apprenne à se débrouiller seule, ses maîtresses ne seront pas toujours là pour s'en occuper.
« Au moins, il y a une chose qui ne changera jamais... »
Pleione prit aussi la vachette dans ses bras.
« …on aura toujours envie de te faire des câlins. »
Mais si la cadette jouait la carte de la douceur, l'aînée avait plutôt envie de s'aventurer dans des chemins plus tortueux.
« Dis moi Cassandre... tout à l'heure, tu as aimé quand je t'ai mis des claques sur les fesses. Est ce que tu as déjà reçu une fessée ? »
-
L’éducation... S’il y avait bien une chose contre laquel il était extrêmement dur de lutter... C’était bien cela. Non seulement notre vachette manquait d’éducation, comme pouvait remarquer nos deux nekos... Mais en plus, elle avait été éduqué CONTRE ses règles, rendant l’apprentissage d’autant plus difficile, vu qu’il se couplait à un désapprentissage, ce qui était toujours extrêmement problématique, pour pas dire, extrêmement chiant. Cassandre avait eu presque l’éducation d’un animal, ce qui la rendait bien, bien, bien souvent totalement inapte à la vie quotidienne, civile... Elle faisait de son mieux, mais bon... En tout cas, Plélone l’interpella alors :
« Allons Cassandre, viens t'asseoir à côté de nous. On t'a gardé une chaise. »
« Euh... »
Elle hésitait... Mais encore une fois, il ne fallait pas contrarier ses maîtresses... Cela, son éducateur aussi l’avait dit : il fallait bien sur obéir à ce qu’elle croyait savoir de la vie d’une esclave... Mais ce n’était pas tout ! Au contraire ! Elle devait aussi se concentrer sur quelque chose de tout autant important : le fait d’obéir aux demandes particulières de ses maîtres. Là, elle pouvait être contente, les ordres étaient dans l’ordre qui l’arrangeait elle... Mais certains maîtres, sans doute, n’aurait pas hésitée à la transformer en vulgaire objet, un distributeur de lait qui doit être avant tout fonctionnelle. Après tout, c’est ce qu’elle était à la base.
« Maintenant que tu es avec nous, il faudra que l'on t'apprenne quelques règles de savoir-vivre et de politesse, mais je ne pense pas que ce sera très dur. »
« Bien ! »
De nouveaux défis ! Elle allait devenir la meilleure pour qu’elle puisse être véritablement une servante d’exception ! Et ainsi, elle serait apprécié, et aurait des bons repas... Oui, je vous rappelle que la nourriture restait toujours aux yeux et aux oreilles de notre Ushi, la principale motivation... Et cette nourriture semblait très bonne. Sauf que nouveau problème, après celui de la table et des chaises... Et bien, les couverts. Elle savait ce que c’était... Vu qu’elle avait plusieurs fois du mettre la table. Mais elle n’avait aucune idée de comment bien s’en servir... Elle regarda, d’un air un peu pathétique ses maîtresses... Et celle-ci, compréhensive...
« Bon, à moi de jouer. Allez, ouvre la bouche. »
Antarès était tellement gentille ! Notre fameuse vachette ouvrit grand la bouche, et commença à se faire nourrir... Mmmmh... Cela, il n’y avait aucun, strictement, aucun doute... C’était bien, bien, bien meilleur que ce qu’elle avait mangé auparavant... C’est à dire, les granulés, la paté, etc... Et puis, elle appréciait particulièrement le fait d’être nourrie comme ça ! En tout cas, le repas fini, ayant duré assez longtemps, les trois demoiselles rentrèrent alors dans la chambre, et notre chère Cassandre eut de nouveau le droit à une bonne séance de bisous, séance dont elle ne disait pas non à un renouvellement !
« Ma petite Cassandre... mon ushi adorée... si je m'écoutais, je te laisserais tel que tu es pour pouvoir continuer à jouer les mamans avec toi. »
« Mais tu sais que ce n'est pas possible, pas vrai ? »
« Oui, malheureusement. »
Pas possible ? Zut ! Elle voulait vraiment faire en sorte que tout soit possible, et qu’elle fasse de son mieux... Mais malheureusement, elle savait sans doute que ses maîtresses avaient raison... mmh... Elle caressa ses seins, et se rendit compte qu’ils étaient de nouveaux bien remplis... Tant mieux ! Cela voulait dire qu’elle pouvait toujours leur donner du lait pour tenter de remonter le moral ! Heureusement, il y avait aussi autre chose d’universel contre la déprime, que Plélone et Antarès connaissait bien : le calin. Ainsi, un calin collectif eut lieu, au grand plaisir de Cassandre :
« Au moins, il y a une chose qui ne changera jamais... …on aura toujours envie de te faire des câlins. »
« Dis moi Cassandre... tout à l'heure, tu as aimé quand je t'ai mis des claques sur les fesses. Est ce que tu as déjà reçu une fessée ? »
« Oui ! Ca je connais… C'est un moyen de punition, mon éducateur disait toujours. Sauf qu'il ne voulait pas se fatiguer avec ça, et préférait le fouet… Ca faisait mal… J'ai fais quelque chose de mal ? »
Aie... Encore un apprentissage qui était gênant... En effet, notre Ushi savait bien certaines choses... Les calins, les caresses, etc... Tout cela, c’était synonyme qu’elle avait fait un bon travail, et qu’elle était recompensée... L’inverse, cela était synonyme qu’elle avait mal fait. Malheureusement, son éducateur lui avait fait comprendre que la fessée était un moyen de punition. Elle n’en n’avait jamais eu, mais inconsciemment, elle le rattachait à l’acte d’autant plus brutal et méchant des coups de fouëts... Sauf qu’elle n’y était pas du tout ! Ce n’était sans doute pas dans ce sens que la fameuse Antarès lui avait dis cela...
« Vous êtes si gentille… Je veux pas faire mal ce que je dois faire ! »
Mais Cassandre, tu ne comprends pas ! Elle avait pourtant aimée le traitement qu’avait fait la fameuse Antarès au niveau de ses fesses... Sauf qu’elle n’avait pas attachée cela avec le principe de la fessée, qui était à ses yeux de la punition, et seulement cela... Bon, tu sais quoi, ma chère Antarès ? Conseil de narratrice, tu devrais lui montrer directement... Oui, franchement, histoire que la fameuse vachette se rende compte qu’elle était une masochiste. Oui, car elle était complètement une masochiste ! Juste qu’elle l’ignorait... Bref, en tout cas, maintenant, on pouvait se demander ce qu’allait faire nos deux nekos... La vachette, elle, attendait.
-
Comme Antares s'y attendait, Cassandre prenait la fessée pour une punition, et directement elle en conclut qu'elle avait fait quelque chose de mal.
« Non non ma puce, tu n'as rien fait de mal. Mais pour les adultes, la fessée peut avoir une autre utilité. »
Pleione serra fort l'ushi dans ses bras pour la rassurer.
« Nous n'avons aucune raison de te punir, tu es une ushi parfaite. La fessée qu'Antares veut te donner est une récompense. »
Plutôt que d'en parler, il valait mieux lui montrer. L'aînée Lilianstar prit la vachette par la main et la conduisit jusqu'à son lit. Elle la fit s'allonger sur ses genoux, le fessier relevé, caressa ses belles fesses dodues avec sa main, puis lui donna une première claque qui la fit couiner.
« Tu vois ? C'est agréable. »
Puisque la demoiselle ne montrait pas de réticence, Antares continua, encore et encore, donnant de petites claques sur son derrière charnu histoire de l'habituer au plaisir d'être punie. Rien qu'en la regardant, Pleione comprit que l'ushi était une masochiste, ça se voyait au plaisir sur son visage.
La neko poursuivit la punition pendant de longues minutes, mais s'arrêta avant que son amante n'ait joui. Elle la fit se relever et s'asseoir à côté d'elle.
« Maintenant, si tu veux que je continue, il va falloir que tu joues à un petit jeu : tu dois faire semblant de dire que tu veux être punie. »
Mais Cassandre ne comprit pas ce qu'on attendait d'elle.
« Pleione, montre lui. »
La cadette acquiesça, puis son visage changea d'expression, affichant un air plus aguicheur.
« Nyyuu… maîtresse Antares… je n'ai pas été sage… je mérite d'être punie… très très fort… »
La neko avait un vrai talent pour jouer les vilaines filles depuis qu'elle était en couple avec Yuko. Sa sœur était très contente d'elle.
« Alors, tu penses pouvoir refaire pareil ? »
-
Elle voulait pas être punie... Elle n’avait rien fait. Mais de l’autre côté, elle savait bien qu’elle ne connaissait pas encore tout... Donc, il était très bien possible qu’elle se rende compte qu’elle avait fait une bêtise, et juste qu’elle ne s’en était pas rendu compte... Bien sur, cela la gênerait beaucoup, mais bon... Elle était une servante, elle savait bien qu’il fallait accepter tout ce que demanderait les maîtresses... même si cela signifiait parfois se faire punir... Et se faire punir, en ayant l’impression qu’on avait rien fait... Cependant, elle fut bien surprise, en écoutant les déclarations d’Antarès et Plélone...
« Non non ma puce, tu n'as rien fait de mal. Mais pour les adultes, la fessée peut avoir une autre utilité. »
« Nous n'avons aucune raison de te punir, tu es une ushi parfaite. La fessée qu'Antares veut te donner est une récompense. »
« D’a... D’accord ! »
Elle fut guidée alors sur le lit, toujours aussi moelleux. Elle s’allongea alors sur les genoux de l’ainée des deux nekos, et montra bien son postérieur dodu... Vous imaginez un peu ce qui alors allait suivre, dans cette situation... La première claque fit alors un joli rebondissement sur ce fameux joli petit cul, qui devint un petit peu rouge, sous l’effet de la tape. Ce ne fut pas la seule remarque que fit la fameuse Ushi, étant donné qu’elle laissa échapper un petit couinement. Antarès alors lui déclara :
« Tu vois ? C'est agréable. »
Elle confirma. Elle ne se serait pas attendue... Mais si, cela avait été agréable... Et elle appréciait. Ainsi, elle continua à recevoir des tapes sur les fesses, tapes qui faisaient qu notre vachette se tortillait sur les genoux d’Antarès, tentant de faire en sorte que les tapes arrivent sur des endroits que le fessier n’avait pas encore connu... Un peu comme si elle voulait que les tapes arrivent de façon homogène sur son beau petit cul. Le plaisir commençait littéralement à l’inonder... Elle avait envie de jouir... Elle sentait que... Ah non. Au moment le plus frustrant, elle ne put recevoir la récompense, et Antarès déclara :
« Maintenant, si tu veux que je continue, il va falloir que tu joues à un petit jeu : tu dois faire semblant de dire que tu veux être punie. »
« Comment ça ? »
Elle ne comprenait pas véritablement. Faire semblant de vouloir se faire punir ? Heureusement, la fameuse Antarès avait un exemple vivant sous la main...
.« Pleione, montre lui. »
« Nyyuu… maîtresse Antares… je n'ai pas été sage… je mérite d'être punie… très très fort… »
« Alors, tu penses pouvoir refaire pareil ? »
« Oh d’accord ! »
D’accord ! Merci Plélone pour cette magnifique intervention. Franchement, Cassandre ne connaitrait la Néko, et le fait qu’elle était aussi sa maîtresse... Notre vachette aurait cru avoir une collègue avec elle, une demoiselle qui elle aussi était une esclave au service d’Antarès... Bref, en tout cas, maintenant, elle comprenait mieux ce qu’elle avait à faire... Parfait ! Ce n’était pas trop dur, et elle savait exactement quoi dire, et quoi faire. Elle se mit à genoux devant la fameuse Antarès, libérant son imposante poitrine de la robe blanche, et déclara d’un air désolé...
« Maîtresse... je suis désolé... J’ai cassé toute la vaisselle... »
Ah... Le coup classique de la vaisselle ! Notre fameuse Ushi décidait de jouer dans la valeur sûre, le genre d’incident qui arrivent très souvent aux esclaves... Et oui ! Cette fine vaisselle de porcelaine bien souvent, ou de faïence, tout dépends de la période, de la région, etc... Etait très précieuse, mais contrairement aux couverts d’argents, étaient de la vaisselle d’usage... Donc manipulable. La vaisselle d’argent est une vaisselle d’apparat, elle n’est jamais utilisé... Et la porcelaine, malgré son incroyable résistance, avait comme ennemi juré la gravité... Et dieu sait le nombre de fois où une servante, un esclave, un domestique ou une Ushi avait fait tomber de la porcelaine...
« Je pensais bien la ranger, mais j’ai été maladroite, et j’ai tout fait tomber... Je suis très vilaine... De plus, j’ai taché de lait le sol, en tentant de nettoyer... J’ai peur que je vais devoir être punie maîtresse... »
Il fallait quand même rajouter les particularités des Ushi, dans sa déclaration, pensait notre fameuse Cassandre... Ainsi, elle rajoutait les coupables de ses incidents : ses deux seins... Bref, donc, une jolie punition en approche... Surtout que maligne, elle rajoutait ses yeux doux dans l’équation... En regardant la fameuse Antarès avec des véritables yeux de chiens battus, elle espérait rajouter de la douceur et de l’intérêt dans tout ce qui se passait... Maintenant, comment allait réagir nos deux maîtresses nekos... ? C’était ce qu’il restait à voir... D’ailleurs, elle se demandait si la fameuse Plélone allait faire partie de ce jeu de rôle, et dans quel sens jouerait-elle... Serait-elle aussi une esclave fautive ?
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Il avait suffi que Cassandre regarde Pleione une fois pour comprendre ce qu'il fallait faire. Elle se mit à genoux devant Antares, sortit sa belle poitrine bien ronde de sa rob blanche, et s'excusa envers sa maîtresse d'avoir brisé la vaisselle.
Classique, mais efficace.
Pour un premier essai, l'ushi jouait très bien son rôle, elle agrémenta même ses suppliques de particularités telles que le lait coulant de ses seins, et regarda la neko avec ses grands yeux tristes, mimant à la perfection la peur d'être réprimandée. Son jeu était même tellement convaincant qu'il ôta un peu à l'aînée Lilianstar l'envie de lui donner la fessée. Au lieu de ça, à la fin du discours de la vachette, elle prit cette dernière dans ses bras pour lui faire un gros câlin.
« Oh, ma petite Cassandre... même quand tu fais des bêtises, tu trouves le moyen d'être adorable. Mais comme tu as été vilaine, il faut quand même que tu sois punie. »
Il ne fallait pas oublier quel était le but du jeu. La neko retourna s'asseoir sur son lit et tapota ses cuisses.
« Allez, viens ici, que ta maîtresse puisse te donner la fessée... vilaine fille. »
Et Antares s'en donna à nouveau à cœur joie avec le postérieur rebondi de l'ushi. Chacune de ses claques faisait vibrer la chair de son amante, elle alternait entre les fessées douces et fortes, s'arrêtait parfois pour caresser et pincer les chairs à vif de la vachette tout en faisant un ou deux commentaires excitants, et poussa la punition jusqu'à la faire jouir. Après ça, elle la redressa pour la faire s'asseoir à côté d'elle.
« Alors, tu comprends maintenant ? Parfois, les punitions peuvent être agréables. »
Pleione vint se joindre à la fête.
« Et il va falloir que tu t'y habitues, Yuko est une grande amatrice de punitions. Heureusement tu vas avoir le temps de t'y faire avec nous. »
La fin de la punition marqua le début d'un moment de douceur, très vite interrompu par une lubie de Pleione, qui voulait profiter de cette séance découverte du SM pour voir si, en plus d'être masochiste, Cassandre avait aussi un côté sadique. Elle lui tourna le dos et se mit à quatre pattes, bombant les fesses vers sa sœur et l'ushi.
« Alors Cassandre, tu aimerais me donner une fessée ? Après tout, même les maîtresses peuvent être vilaines. »
« Ou sinon, tu peux me réclamer une autre fessée, mais cette fois je veux que tu fasses comme si j'étais ma maman, et que je t'avais prise en train de faire une bêtise. »
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Avait-elle bien jouée le jeu ? Pour sa première fois, la fameuse Cassandre n'était pas mécontente d'elle. Elle avait vraiment l'impression d'avoir assurée. Elle était peut-être pas très intelligente, elle restait une fille très douée pour la comédie, et pour jouer des rôles... Souvent, pour tenter de se faire traire plus rapidement, ou avoir plus à manger, sans forcément de grands succès avec son éducateur... Visiblement, sur les deux nekos, cela allait mieux marcher... En effet, Antarès semblait sous le charme de la fameuse vachette... Celle-ci commença même à déclarer :
« Oh, ma petite Cassandre... même quand tu fais des bêtises, tu trouves le moyen d'être adorable. Mais comme tu as été vilaine, il faut quand même que tu sois punie. Allez, viens ici, que ta maîtresse puisse te donner la fessée... vilaine fille. »
Et ainsi le bonheur reprit ! Sauf que ce n'était pas qu'une fessée... En effet, les fesses de notre vachette furent frappées plusieurs du plat de la main d'Antarès... Mais cette dernière ne faisait pas que ça. Pincement, caresse, étirement... La peau du fessier connu toutes les joies et les tourments, au grand plaisir de notre Ushi, qui en meuglait de plaisir. Elle était sur les genoux, et se tortillaient de plaisir, tentant de frotter son intimité... Bref, ainsi, au bout d'un bon moment de punition, souvent ponctué de quelques remarques érotiques, renforçant tout cela, Antarès arriva à faire jouir la vachette, qui en gémissa de plaisir, et haletant, elle écoutait les déclarations de sa fameuse nouvelle maîtresse :
« Alors, tu comprends maintenant ? Parfois, les punitions peuvent être agréables. »
« Oui ! J'ai tellement hâte d'en découvrir de nouvelles...! »
Sauf le fouet. Cela, elle aimerait jamais. Mais vraiment jamais. Elle avait beaucoup trop de mauvais souvenir avec cette instrument du diable ! Mais sans doute que d'autres punitions, de même type que la fessée, pourrait agrémenter les soirées ? C'était bien plus cool qu'aller se coucher ! Elle préférait ça, cela, cela ne faisait aucun doute...
« Et il va falloir que tu t'y habitues, Yuko est une grande amatrice de punitions. Heureusement tu vas avoir le temps de t'y faire avec nous. »
« Bien ! Je recevrai toute les punitions que vous voulez... »
Elle comptait bien apprendre ! Donc, elle allait avoir beaucoup de punition ? Et bien, c'était charmant ! Maintenant qu'elle se rendait compte que c'était cool les punitions ! Après, elle se demandait alors ce qui allait lui arriver si elle faisait mal les choses... Peut-être n'aurait-elle pas de punitions ? Ou bien, on ne lui permettrait pas de manger ! Ouh ! Cela, ça serait horrible... Elle ne devait pas pensé à cela ! Elle devait plutôt se concentrer sur le postérieur d'une neko, qui venait de se présenter à la fameuse vachette, demandant quelques choses visiblement :
« Alors Cassandre, tu aimerais me donner une fessée ? Après tout, même les maîtresses peuvent être vilaines. »
« Ou sinon, tu peux me réclamer une autre fessée, mais cette fois je veux que tu fasses comme si j'étais ma maman, et que je t'avais prise en train de faire une bêtise. »
« ... »
Elle hésitait... D'un côté, elle avait de la peine pour la fameuse Plélone, qui était un peu oubliée... alors que si elle se trouvait ici, c'était quand même grâce à Plélone... Donc, elle voulait vraiment accorder sa demande... Mais de l'autre côté, elle préférait largement recevoir... Vite ! Elle devait trouver une solution, une chose qui pourrait marcher... Quand soudainement, telle un éclair de génie bovin, la fameuse Vachette sut quoi faire... Ou du moins, quoi tenter, étant donné qu'elle déclara, en se tournant vers Antarès, tout en mettant son bras par dessus l'épaule de Plélone :
« Maman... Je sais qu'on a fait une bêtise... Mais c'est pas notre faute, on t'assure... »
Oh ! Oh ! Elle tentait un truc... un truc qui était vachement risqué, mais c'était bien tenté, il faut quand même bien l'admettre... Ainsi, pour faire en sorte que les deux filles reçoivent chacune un peu d'intérêt... Et bien, c'était de tenter de concilier les deux possibilités... Bien sur, c'était risqué, et elle risquait une punition, bien plus sérieuse, pour ce qu'elle osait faire... Mais si cela marchait, c'était parfait. Eh, c'était littéralement ce qu'on appelle du « quitte ou double », dans le jargon, vous ne trouvez pas ? Bref, en tout cas, consciente qu'il fallait qu'elle rajoute des poids à sa balance si elle voulait qu'elle penche en sa faveur, elle continua ainsi :
« On tentait juste de jouer, Maitre... Plelone et moi, et le vase s'est cassé tout seul. On y est pour rien. Pas besoin de nous punir... Je t'assure ! »
Bien sur que si, il fallait les punir, pensait-elle au fond, et sans aucun doute que la fameuse Antarès allait comprendre... Maintenant, la question était : Allait-elle accepter ce petit jeu de la part de la vachette ? Allait-elle faire vraiment punir notre vachette, qui s'était permit beaucoup là ? Ou bien, est-ce Plélone, dans le fait qu'elle était une maîtresse, et nullement la soeur d'une esclave, qui allait s'énerver, et punir notre vachette pour le manque de respect auxquels elle avait eu le droit ? Tout cela était possible, mais il y avait aussi la possibilité parfaite, dorée, la route Révélation dans Fire Emblem ! (Désolée, j'ai trop joué à ce jeu...) Bref, celui que les deux soeurs acceptent de se prêter au jeu... Bref, nous allons bien voir ce qui va se passer.
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Du point de vue des sœurs, Cassandre avait deux possibilités : expérimenter l'autre moitié du SM en donnant une fessée à la vilaine Pleione, ou jouer la petite fille prise en faute et punie par maman Antares. Qui eut cru qu'elle trouverait une troisième solution ? Elle passa son bras par-dessus l'épaule de la cadette Lilianstar, et se tourna ensuite vers l'aînée, jouant la petite fille en peine qui s'excusait auprès de sa maman qu'elle et Pleione aient cassé un vase en jouant. L'idée ne manquait pas de charme, surtout parce qu'elle conciliait la punition d'Antares et l'envie de fessée de Pleione, mais il y avait quand même quelque chose qui n'allait pas.
« Bon, je crois que c'est le moment parfait pour parler de l'une des règles à suivre avec nous : tu ne dois jamais entraîner tes maîtresses dans un jeu sans leur avoir demandé avant. Si tu as une idée, tu nous en parles, et on voit si on est d'accord pour jouer. »
« On laisse passer pour cette fois, mais fais attention à l'avenir. »
« En tout cas, je trouve que tu as eu une bonne idée. Qu'en dis tu Pleione ? »
« J'en dis que j'adhère. »
« Alors dans ce cas... »
La neko changea d'expression faciale, elle faisait maintenant les gros yeux à ses ''enfants''.
« Je vous ai déjà dit cent fois de ne pas courir dans la maison, mais vous n'écoutez jamais. Alors maintenant, vous allez être punies. Allez, tournez vous et mettez vous à quatre pattes, vilaines filles. »
Elles ne se firent pas prier, et présentèrent leurs croupes à Antares. Cette dernière approcha et baissa sèchement la culotte de sa petite sœur pour mettre ses fesses à nu.
« Ouh... maman... comme tu es vive. »
« Garde plutôt ta voix pour les cris. »
Chaque fille se reçut une claque sur le derrière en même temps. Leur maman avait deux mains, elle pouvait donc les contenter en même temps. Elle enchaîna ainsi les fessées avec insistance pendant de longues minutes, variant la force qu'elle mettait dans ses mains, tantôt douce, tantôt féroce. Elle appréciait les façons très différentes dont chaque fessier réagissait à son traitement : la graisse du popotin de l'ushi remuait sous chaque claque, tandis que c'était tout le bassin de la neko qui bougeait quand il recevait un coup.
« Vous êtes des vilaines filles... et j'attends vos excuses. »
Encore un moyen de rendre le jeu plus amusant. La cadette Lilianstar donna l'exemple, habituée à jouer les masochistes mal élevées avec sa petite amie.
« Haann... pardon... maman Antares... d'avoir été une méchante petite chatte... nyyaa... j'ai compris la leçon... promis juré... »
« Menteuse. Tu es une petite fille mal élevée, et pour t'apprendre la politesse, il n'y a que les fessées, encore et encore. »
Antares avait hâte de voir comment Cassandre allait formuler ses excuses. De toute façon, elle la fesserait jusqu'à la faire jouir, aussi bien pour son plaisir que pour le sien.
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Son pari avait été très risquée... Il fallait bien l’avouer. Après tout, elle n’était qu’une esclave ! Rien de plus. Plélone et Antarès l’avait quand même pas adoptée : elles l’avaient acheté, avec de l’argent, de la vraie argent, sonnante et trébuchante, comme on dit ! Donc, notre vachette n’avait pas tout les droits avec ce qu’elle faisait. A l’inverse, les deux nekos pouvaient faire ce qu’elles voulaient de notre chère Cassandre... Mais de l’autre côté, comme on dit : Qui ne tente rien, n’a rien... Et bien, on pouvait dire que le résultat fut une réussite ! Pas totale... Mais une réussite... Inutile que je m’explique, lisez plutôt ce qui va suivre...
« Bon, je crois que c'est le moment parfait pour parler de l'une des règles à suivre avec nous : tu ne dois jamais entraîner tes maîtresses dans un jeu sans leur avoir demandé avant. Si tu as une idée, tu nous en parles, et on voit si on est d'accord pour jouer. »
« On laisse passer pour cette fois, mais fais attention à l'avenir. »
« En tout cas, je trouve que tu as eu une bonne idée. Qu'en dis tu Pleione ? »
« J'en dis que j'adhère. »
« Alors dans ce cas... »
« Bien... Désolé... »
En effet, elle n’aurait pas du... Mais cela passait pour cette fois ! En effet, c’était logique : une esclave pouvait bien proposer des choses, mais elle ne devait pas imposer ses idées... Même si les deux soeurs Nekos étaient extrêmement gentille et du genre à être beaucoup plus permisive avec la jeune vachette... Elle restait les maîtres de notre vachette ! Donc, celle-ci devait respecter les règnes....
« Je vous ai déjà dit cent fois de ne pas courir dans la maison, mais vous n'écoutez jamais. Alors maintenant, vous allez être punies. Allez, tournez vous et mettez vous à quatre pattes, vilaines filles. »
Elle fit de le suite l’ordre, s’installant contre Plélone, se collant presque à sa « soeur »... Elle montrait ses deux fesses bien rebondies... Après tout, elle était là pour se faire punir, elle et sa vilaine soeur... Les deux méritaient en effet une bonne punition... Je veux dire... Tu ne cours pas dans une maison, en effet ! Donc, les deux demoiselles avaient fait de graves bêtises, et là, elle méritaient une bonne punition...
« Ouh... maman... comme tu es vive. »
« Garde plutôt ta voix pour les cris. »
« Aah ! <3 ! »
Tu vois Plélone ? Comme ça ! Comme fait notre chère Cassandre ! Il faut bien gémir, et pousser des petits cri mignons. Et comme notre Cassandre était très très vocale... Et bien, cela marchait bien ! En tout cas, la première tape était si agréable... Mais elle avait tant hâte des autres... De l’autre côté, son joli postérieur était déjà bien rouge, bien cramoisi après toute les magnifiques petites baffes qu’elle s’était prise. Sur sa peau de lait, cela ressortait d’autant plus, donnant un air érotique d’autant plus important à la situation.
« Vous êtes des vilaines filles... et j'attends vos excuses. »
« Haann... pardon... maman Antares... d'avoir été une méchante petite chatte... nyyaa... j'ai compris la leçon... promis juré... »
« Menteuse. Tu es une petite fille mal élevée, et pour t'apprendre la politesse, il n'y a que les fessées, encore et encore. »
« Meuh... J’ai été très vilaine, maman... Je suis désolée... Je voulais pas... »
Elle fit de nouveau les yeux doux à sa maman... Aux côté de Plélone, elle tentait d’être la plus mignonne possible. Evidemment, pas pour éviter la fessée : elle la voulait, car elle avait très hâte qu’on joue avec elle... Mais car elle voulait jouer le jeu à 100 %, car elle adorait ce petit jeu... Elle était très contente. Franchement, elle sentait qu’elle allait bien s’amuser, aussi bien cette nuit, que le reste de sa vie, maintenant aux services des deux soeurs nekos... Elle allait leur donner énormément de lait, et ainsi, être bien traitée... Enfin, « mal » traitée ainsi ! D’ailleurs, ses seins s’étaient à nouveau alourdie... Elle sentait que si l’une ou l’autre voulait boire, elles n’avaient pas à hésiter... Montrant bien ses fesses, elle attendait d’être violentée... Ou mieux...
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« Meuh... J’ai été très vilaine, maman... Je suis désolée... Je voulais pas... »[/b]
Cassandre jouait très bien la comédie : le ton de sa voix, son petit regard mignon.. A côté d'elle, les excuses de Pleione sonnaient encore plus fauw que d'habitude. Mais Antares était une maman intransigeante et sévère.
« Tu crois qu'il suffit de me faire les yeux doux pour m'amadouer ? »
Elle lui asséna une claque qui résonna dans toute la pièce et arracha un long gémissement à l'ushi.
« Tu est une fille turbulente et mal élevée, encore plus que ta sœur. A chaque fois que je te punis, tu essaies de me faire croire que tu as compris la leçon, mais immédiatement après tu refais des bêtises. Je croirai à tes excuses quand je verrai que ton comportement s'améliore. En attendant... »
Elle lui remit une grosse claque sur le cul.
« … tu seras punie jusqu'à ce que tes fesses dodues soient aussi rouges que des tomates, et que tu ne puisses plus t'asseoir. »
Puis elle attira l'attention de sa petite sœur avec une bonne claque sur le cul.
« Et ça vaut aussi pour toi. Même si Cassandre est la plus vilaine, tu seras autant punie qu'elle. »
« Hhmm. »
La neko et l'ushi avaient du mal à contenir leur joie même si elles devaient feindre la tristesse pour bien coller à leur rôle de petites filles pas sages qui se font douloureusement punir par leur maman. Cette dernière, très impliquée dans son rôle, continua à les fesser, tantôt gentiment tantôt avec violence, les faisant couiner, glapir et trembler, jusqu'à ce que leurs corps en finissent par lâcher.
« Nyyyaaannn !!! »
L'orgasme terrassa Pleione, qui retomba d'un seul coup sur le lit. Elle était tellement heureuse de voir que sa sœur, après seulement quelques jours de contact avec les Karistal, s'était transformée en dominante prenant plaisir à lui donner la fessée. Quand Cassandre céda à son tour, il s'écoula une ou deux minutes pendant lesquelles les deux filles purent reprendre des forces, puis la neko remarqua que le lait perlait sur les tétons de la vachette.
« Oh... tu es à nouveau pleine... tant mieux parce que j'ai très faim. »
La cadette Lilianstar s'approcha de la vachette avec la ferme intention de pomper ses seins, mais l'aînée l'arrêta avec une fessée.
« Qui t'a permis de prendre le bon lait de ta sœur ? J'ai l'impression d'avoir élevé une obsédée. Tiens, pour la peine, je vais encore te fesser. »
Contrairement à Cassandre, Pleione n'avait eu qu'une fessée, et ce n'était pas suffisant pour la calmer. Antares attrapa la culotte de sa sœur et lui envoya.
« Et mets ta culotte dans ta bouche, je ne veux plus t'entendre gémir, ça me donne l'impression que tu aimes être punie. »
Si l'ushi essayait de s'en mêler, elle était sûre de subir le même sort que sa maîtresse. Mais peut-être qu'elle le voulait.
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Que s'était amusant ! Elle adorait l'idée ainsi de ses petits jeux sexuels… Ses petits jeux de rôle, où elle pouvait être autre chose, que la simple vachette esclave qu'elle était toujours… Là, elle se retrouvait quand même sœur de l'une de ses maîtresses ! C'était quand même, il faut bien le dire… Quelques chose d'exceptionnel ! Et bien, on pouvait dire une chose… Notre vachette adorait. Elle adorait l'idée, elle adorait le fait qu'elle pouvait ainsi jouer d'autres rôles… Mais retournons un peu à ce qui se passe.
« Tu crois qu'il suffit de me faire les yeux doux pour m'amadouer ? »
« … Oui… ? »
Eh ! Qui ne tente rien n'a rien, ne dit-on pas ? Et elle avait raison ! Elle allait avoir ce qu'elle voulait… C'était l'inverse de ce qu'elle avait demandée, donc, cela était un peu compliqué à comprendre… Mais quoiqu'il arrive, notre fameuse vachette était avant tout là pour pouvoir passer un très bon moment. Même si le très bon moment demandait de la violence… Bref, vous avez très bien compris où je veux en venir ! Ainsi, Antarès commença une longue tirade, pour bien faire comprendre pourquoi notre Cassandre n'avait pas réussi à se faire pardonner, malgré toute ses tentatives…
« Tu est une fille turbulente et mal élevée, encore plus que ta sœur. A chaque fois que je te punis, tu essaies de me faire croire que tu as compris la leçon, mais immédiatement après tu refais des bêtises. Je croirai à tes excuses quand je verrai que ton comportement s'améliore. En attendant... tu seras punie jusqu'à ce que tes fesses dodues soient aussi rouges que des tomates, et que tu ne puisses plus t'asseoir. »
« Oh oui ! »
Le fond de sa pensée venait de se libérer. On pouvait dire que ça arrivait, quand on était entrain d'avoir la joie… De bonnes claques sur ses grosses fesses… Elle n'allait plus pouvoir s’asseoir… Cela voulait dire qu'elle allait se retrouver à dormir sur le ventre ! Cela allait presser ses seins, cela allait être rigolo comme soirée… A ses côté, ce fut à son tour Plélone qui reçu une tape au niveau de ses fesses :
« Et ça vaut aussi pour toi. Même si Cassandre est la plus vilaine, tu seras autant punie qu'elle. »
« Hhmm. »
Là, commença la fessée… Enfin, commença… Disons que ce fut littéralement le paroxysme. Ayant déjà subie une fessée plus tôt, la vachette poussait des gémissements de douleurs qui venaient littéralement se méler à des gémissements de plaisirs… Le tout était si érotique, ses petites attentes avant que la main vienne refrapper, car c'était au tour de Plélone de recevoir la main au niveau de ses fesses… Tout cela, cela poussait notre vachette dans un état de frustration s'échangeant avec un état de plaisir. Mais heureusement pour notre fameuse vachette… Ce fut finalement le plaisir qui l'emporta… Les deux demoiselles tombant, après un puissant orgasme, toute deux sur le lit… Un petit moment, bien le bienvenu, permit alors aux deux filles de reprendre leur souffle, après tant d'excitations. Les seins de la vachette disponible, Plelone cru visiblement bon d'aller tenter de prendre le fameux têton en bouche… Mais...
« Oh... tu es à nouveau pleine... tant mieux parce que j'ai très faim. »
« Qui t'a permis de prendre le bon lait de ta sœur ? J'ai l'impression d'avoir élevé une obsédée. Tiens, pour la peine, je vais encore te fesser. Et mets ta culotte dans ta bouche, je ne veux plus t'entendre gémir, ça me donne l'impression que tu aimes être punie. »
« Maman… ? »
Elle avait bien retenue la leçon ! Elle ne devait pas proposer de chose, sans en demander d'abord l'autorisation… Donc, elle s'était approchée de sa maman, avec beaucoup d'excitation… Elle espérait vraiment qu'elle allait avoir son vœux accepté ! Car si c'était le cas… Et bien, elle serait extrêmement contente ! Bref, elle demanda alors, un peu timidement, tout en continuant de jouer son rôle :
« Puis-je lui mettre sa culotte dans sa bouche… Cela m'excite... »
Elle s'approcha ainsi de la fameuse Antarès, sa maman en ce moment, mais avant tout, sa maîtresse, et la regarda de ses deux yeux doux. Oh oh ! Cela méritait sans doute une punition… Et cela montrait que peut-être qu'elle avait quand même, malgré une énorme couche de masochisme, un petit côté sadique au fond d'elle… Bref, notre fameuse vachette espérait vraiment que sa demande allait être exaucée… Elle avait très envie d'enfoncer cette petit culotte dans la bouche de sa maîtresse… Oh, qui sait… Peut-être qu'elle aurait le droit d'avoir sa culotte dans sa bouche aussi ? Être attachée, même, plus tard ? Tant de possibilité...
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Comme Antares l'avait supposé, Cassandre intervint, mais pas pour prendre la défense de sa sœur, elle demanda si elle pouvait lui mettre sa culotte dans la bouche. Une demande parfaite pour justifier une autre punition.
« Quoi ? Mais qu'est ce qui te prend de me demander ça ? Et en me faisant les yeux doux en plus. Tu es encore plus dévergondée que ta sœur. On dirait qu'il faut que je continue à te punir. »
Elle prit alors la culotte blanche et noire de l'ushi et lui mit entre les mains.
« Tiens, mets ça dans la bouche de ta sœur. Et toi Pleione, tu mettras ta culotte dans sa bouche. Comme ça, je ne vous entendrai plus. »
La cadette neko, toute émoustillée par la tournure des événements, se tourna vers sa nouvelle sœur, sa culotte en main, et ouvrit la bouche pour être la première à recevoir son bâillon.
« Mets la partie qui a reçue ta mouille sur ma langue… que je puisse la savourer. »
La vachette enfonça sa petite culotte dans la bouche de sa maîtresse en y mettant un peu de force, puis la petite chatte en fit de même avec elle.
« Bien ! Maintenant que je n'aurai plus à entendre vos gémissements de perverses… »
Elle se mit à genoux et tapota ses cuisses.
« Pleione, viens ici ! »
Cette fois, elle allait les punir chacune leur tour. Pleione fut la première. Elle s'allongea sur les cuisses de sa sœur, bombant son petit cul déjà marqué, et trembla dès que les mains de son aînée caressèrent sa croupe, alors qu'elle ne la fessait même pas.
« Regardez moi ces fesses de vilaine fille. »
Et paf, la première claque tomba.
« Mmhh ! »
Le gémissement de la neko fut étouffé par le bout de tissu dans sa bouche. Plusieurs autres claques arrivèrent sur son cul, toujours avec la même maîtrise de la part de sa ''maman'', et elle couina, gémit, se tortilla sur ses genoux, jusqu'à ce que l'orgasme ne la libère de cette tension.
« HHHNNN !!! »
Pleione jouit abondamment, sa mouille tâcha le lit et les cuisses d'Antares, puis elle se relâcha et son corps se ramollit. L'aînée Lilianstar la fit se lever.
« Allez, à ton tour Cassandre. »
L'ushi avait pu regarder sa ''sœur'' se faire punir, maintenant c'était la neko qui allait se délecter du spectacle de voir l'ushi recevoir sa fessée, et son cul dodu virer au rouge sous ses mains.
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Elle avait envie de tenter cela… L'idée d'enfoncer comme ça une culotte dans la bouche… Enfaite, c'était plutôt elle qui avait envie d'en avoir une. D'avoir ainsi sa bouche totalement occupée, et d'être totalement soumise… La bouche était l'endroit avec le plus de nerf du corps, donc, un endroit extrêmement sensible. Vous voulez contrôler quelqu'un ? Contrôler lui sa bouche. Empêcher leur de la fermer, mettez leur quelque chose forçant à avoir la bouche ouverte. Ainsi, ils ne peuvent plus parler… Mettez leur un tuyau dans la bouche… Et ça y est, vous avez le contrôle totale. Quoi ? C'est un peu glauque dis comme ça ? Mais c'est la vérité !
« Quoi ? Mais qu'est ce qui te prend de me demander ça ? Et en me faisant les yeux doux en plus. Tu es encore plus dévergondée que ta sœur. On dirait qu'il faut que je continue à te punir. »
Oh oui ! Elle allait être punie en plus ! Bon, elle ne savait pas du tout si elle pourrait quand même faire ce qu'elle voulait… Mais elle n'était pas contre une nouvelle punition ! Après tout, elle avait bien compris qu'elle adorait cela… Bon sang, quel plaisir… C'était bien le plaisir parfait. Bref, elle resta bien attentive aux déclarations de la fameuse Antarès, qui expliqua alors aux deux filles, à ses deux filles :
« Tiens, mets ça dans la bouche de ta sœur. Et toi Pleione, tu mettras ta culotte dans sa bouche. Comme ça, je ne vous entendrai plus. »
« Mets la partie qui a reçue ta mouille sur ma langue… que je puisse la savourer. »
Elle accepta alors avec plaisir la demande particulière de notre chère sœur, enfin, maîtresse-sœur, et enfonça bien dans la bouche de la neko, sa culotte noir et blanche… Elle fit en sorte que notre fameuse neko ne puisse pas tenter cracher sa culotte… Elle n'avait plus le droit de fermer sa bouche, ni de parler maintenant… C'était si excitant… ! Quand cela fut son tour, elle ouvrit grand la bouche, et pris un grand plaisir quand sa bouche fut à son tour pleine… mmh… Elle avait qu'une envie, c'est qu'encore plus gros puisse aller dans sa bouche…
« Pleione, viens ici ! Regardez moi ces fesses de vilaine fille. »
« Mmhh ! HHHNNN !!! »
Alors, commença une véritable fessée pour la fameuse Plélone… Celle-ci recevait les tapes, sous le regard envieux de la vachette… Quel… plaisir ! Elle regardait cela, et n'avait qu'une envie, que cela soit son tour… Alors que sa bouche était pleine, elle se sentait extrêmement chaude… Elle n'avait qu'une envie… Que plus gros soit dans sa bouche… Et surtout, que son excitation reçoit quelque chose la calmant…
Alors, elle tenta quelques chose… Elle passa sa main au niveau de son intimité, et commença à se toucher… A caresser cette partie érogène. Elle se faisait du plaisir, en imaginant à son tour recevoir cette divine punition… Mmh… Avec la bouche bloquée ouverte comme cela, cela ne lui faisait que plus de plaisir… Elle découvrait toutes ses joies, elle commençait même à apprécier très fortement cela… Comment avait-elle vécu sans, auparavant ? Elle avait presque l'impression qu'elle n'aurait jamais pu vivre sans… Elle était entrain de se toucher, presque entrain de faire pénétrer ses doigts, quand soudainement :
« Allez, à ton tour Cassandre. »
« Mmh ?! »
SURPRISE ! Alors qu'elle était presque au point de l'orgasme, elle fut ramenée à la réalité, par le fait que la fameuse Antarès était entrain de lui parler. Rapidement, espérant ne pas avoir été surprise, elle remit ses bras normalement, et se mit de nouveau bien à quatre pattes, comme si de rien n'était...
« Mmmh <3 »
Et elle montra bien son fessier… Quel plaisir ! Et ouais, visiblement, elle faisait comme si de rien ne s'était passé… Sauf que notre vachette… Et bien, elle était visiblement ayant fait une belle faute. Après tout, elle n'avait pas à faire cela, dans cette situation… Mais elle l'avait quand même fait. Comment allait réagir notre fameuse Antarès ? Allait-elle punir encore plus notre vachette ? C'était de bonnes questions, qui allait sans doute avoir une réponse plus tard… Mais pour le moment… Chut ! A vous les studios !
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Entra Antares qui la fessait et Pleione qui matait sans vergogne, on pouvait dire que Cassandre était bien tombée. L'aînée neko s'amusait beaucoup à faire vibrer les chairs bien fournies de l'ushi sous ses mains, lui assénant claque sur claque, s'arrêtant parfois pour palper ce fessier rondouillard et sortir une ou deux phrases excitantes.
« Tu es tellement vilaine Cassandre... à tel point que tu te tortilles de plaisir quand ta maman te met une fessée... combien de fois faudra-t-il que je te punisse pour que tu comprennes que tu dois changer ton caractère ? »
Mais la vachette donnait bien trop l'impression de prendre son pied pour arrêter de mal se conduire. Il y allait sûrement avoir beaucoup d'autres fessées sur son cul dodu dans l'avenir, surtout avec des maîtresses comme Pleione et Yuko, un duo soumise-maîtresse, aussi obsédée l'une que l'autre.
L'aînée Lilianstar punit Cassandre jusqu'à l'en faire jouir et, tout comme sa sœur avant elle, sa mouille se retrouva sur les draps et sur les cuisses de sa maman. Cette dernière lui laissa un peu de temps pour reprendre des forces, puis la leva de ses jambes.
« Non mais regardez moi ça... je vous punis, et vous vous tâchez les draps avec votre mouille. Vous n'êtes vraiment... que des traînées. »
La neko hésitait encore à savoir si elle devait pousser son langage au-delà des insultes gentillettes, mais dans le doute autant garder un certain palier de sobriété.
« Puisque c'est comme ça, je vais pousser votre vice encore plus loin. Allongez vous devant moi ! »
Les deux filles s'exécutèrent sans broncher, puis Antares les força à écarter les jambes, dévoilant leurs intimités trempées, dans lesquelles elle glissa deux doigts de chaque main.
« Ca vous excite pas vrai ? Sentir mes doigts remuer dans vos vagins humides, entendre les petits bruits qu'elles font... Vous aimez ça parce que vous êtes d'horribles perverses, qui se fichent bien que ce soit les doigts de leur maman qui leur donnent autant de plaisir, vous voulez juste prendre votre pied. Traînées ! »
Elle titilla ses deux ''filles'' pendant de longues minutes, se délectant de la mouille dégoulinant sur ses doigts, de leurs expressions de plaisir, de leurs convulsions nerveuses, et même de leurs gémissements étouffés. Pourtant, aussi plaisant que ce soit, elle s'arrêta avant de les faire jouir, ayant une bien meilleure idée.
« Puisque vous êtes bien chaudes... montre moi donc à quel point vous vous aimez. Faites vous l'amour sous mes yeux... tout de suite. »
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Alors, alors alors... Qu'avons-nous ? Visiblement, un cas de demoiselle qui était visiblement bien bien bien trop excitée... Mais était-ce sa faute ? Après tout, elle était quand même en ce moment dans un contexte, qui faisait d'elle une bonne petite servante ! Enfin, non, étant donné qu'elle avait été très vilaine, et donc, elle méritait une punition... Bon sang, elle n'avait pas imaginé auparavant à quel point cela était agréable d'être comme ça, soumise et punie. Bref, plus le temps passait plus elle prenait du plaisir dans cette situation, et était contente d'être fessée. D'ailleurs, notre chère Antarès le fit remarquer :
« Tu es tellement vilaine Cassandre... à tel point que tu te tortilles de plaisir quand ta maman te met une fessée... combien de fois faudra-t-il que je te punisse pour que tu comprennes que tu dois changer ton caractère ? »
Encore plein ! Enormément ! Beaucoup ! Synonyme marquant la quantité ! Enfin... Disons que ce n'était pas vraiment une réponse qu'on pouvait donner : en effet, la fameuse vachette, plus elle était punie, plus elle appréciait... La preuve :
« Non mais regardez moi ça... je vous punis, et vous vous tâchez les draps avec votre mouille. Vous n'êtes vraiment... que des traînées. Puisque c'est comme ça, je vais pousser votre vice encore plus loin. Allongez vous devant moi ! »
Elle n'avait pas remarquée qu'elle avait tant... Jouit... En même temps, ce qu'elle avait subit était quand même tellement agréable... Bref, notre fameuse vachette était... Comment dire... Disons, elle appréciait extrêmement subir ce genre de sort. Bref, du plaisir, et encore plus de plaisir... Notre fameuse vachette s'installa aux côté de sa « soeur », et ainsi, les deux demoiselles se retrouvèrent ainsi allongée sur le lit... Et ainsi, la fameuse Antarès commença à titiller leur deux intimités, tout en racontant des phrases, qui excitaient sans doute encore plus nos deux soumises, sur le lit. Ainsi, elles écoutèrent...
« Ca vous excite pas vrai ? Sentir mes doigts remuer dans vos vagins humides, entendre les petits bruits qu'elles font... Vous aimez ça parce que vous êtes d'horribles perverses, qui se fichent bien que ce soit les doigts de leur maman qui leur donnent autant de plaisir, vous voulez juste prendre votre pied. Traînées ! »
« Mmmh <3 ! »
Oui ! Elles étaient comme ça ! Elles n'étaient que ça ! Enfin, en tout cas, notre chère vachette n'avait qu'une envie... N'être que ça ! Une horrible perverse ! Elle avait presque l'impression de perdre la raison, et voulait qu'on lui fasse de plaisir. Ses seins, sa tête, son intimité... Tout était tellement chaud... et elle aimait ça. Dire qu'elle avait pas connu tout cela... Sur le coup, elle en voulait beaucoup au fameux Harmington... Il aurait quand même pu lui apprendre tout cela ! Bref, notre vachette avait hâte de nouveau connaître ce sentiment de jouissance... Mais... Mais niet. En effet, Antarès arrêta au meilleur moment. Frustrée, notre Ushi écouta alors les déclaration de cette dernière :
« Puisque vous êtes bien chaudes... montre moi donc à quel point vous vous aimez. Faites vous l'amour sous mes yeux... tout de suite. »
« Mmh ! »
Après la courte frustration, elle comprit qu'il était temps pour elle de passer à l'action... Sauf que problème : elle « savait », enfin, avait appris à faire des choses avec sa langue... Mais elle ne pouvait pas, étant donné qu'elle avait sa culotte, enfin, la culotte de Plélone dans sa bouche... Tant pis ! Après tout, elle avait tentée de se faire du plaisir avec les doigts... Donc, elle pouvait recommencer... S'installant au dessus de la fameuse Plélone, en position du 69, elle commença à caresser l'intimité de Plélone... D'abord doucement, puis plus énergiquement, tentant de lui faire ressentir du plaisir...
« Mmmmh <3 ! »
Mmmh... Maintenant, elle aussi était caressée... Bien sur, notre vachette ne connaissait pas la méthode classique pour faire l'amour, quand on était deux femmes, dont elle se contentait des doigts... Mais c'était déjà pas mal ! Après tout, elle ne connaissait pas comemnt faire l'amour véritablement... Bref, si elle laissa échapper ce gémissement de plaisir, c'est qu'à son tour, son intimité commençait à recevoir de l'amour à son tour. Donnant et recevant de l'amour, l'Ushi était au bord de la jouissance... Le plaisir montait...
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Antares laissait les filles totalement libres de la façon dont elles voulaient procéder, le seul ordre était qu'elles se fassent l'amour. Pleione étant la plus expérimentée, elle prit la direction et guida Cassandre pour qu'elle se mette en position de 69 avec elle. La neko s'installa en dessous, l'ushi au dessus, et elles commencèrent à se caresser respectivement. Les gestes de la vachette manquaient de précision, mais elle avait bien compris comment utiliser ses doigts, et la Lilianstar couinait de plaisir en les sentant passer sur sa vulve et dans son vagin. En réponse, elle la doigta avec intensité, avec la ferme intention de se faire arroser le visage. Devant un si beau spectacle, leur maman se sentit très chaude, et glissa discrètement sa main sous sa robe pour caresser sa culotte, se mordillant la lèvre inférieure pour retenir ses gémissements.
Déjà bien échauffées, les filles ne mirent que quelques minutes à jouir. Pleione se retrouva avec le visage maculé de cyprine, puis Antares leur fit signe de se relever pour lui faire face.
« Vous avez été de bonnes filles… vous êtes toujours des obsédées, mais au moins vous avez été assez punies. Maintenant, votre maman a besoin de vous. D'abord... »
Elle retira les culottes des bouches de ses deux filles, leur rendant ainsi l'usage de leur langue.
« Cassandre, nettoie le visage de ta sœur. »
Après que l'ushi ait effectué cette tâche, l'aînée Lilianstar souleva sa robe, dévoilant sa culotte trempée et les filets de mouille qui coulaient le long de ses jambes.
« Vous avez été tellement excitantes… que j'en ai mouillé ma culotte. Je veux que vous me nettoyiez. L'une de vous léchera mes jambes, l'autre léchera ma culotte. »
« Vas y Cassandre, je te laisse choisir, je prendrai l'autre place. »
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Tant de jouissance... Elle était fatiguée, mais extrêmement heureuse, et avait bien envie de faire plus, même si cela voulait dire le faire jusqu’à qu’elle ne puisse plus bouger exténuée... Bref, un bonheur immense quoi ! Et bien... Si on pouvait dire une chose, c’était qu’elle était bien gourmande, notre chère Cassandre ! Mais bon, pour le moment, concentrons-nous un peu sur ce qui se passait, sur ce que disait notre fameuse Antarès, aux deux filles, ses filles, qui ne pouvaient pas parler, étant donné qu’elles avaient toujours leur baillons.
« Vous avez été de bonnes filles… vous êtes toujours des obsédées, mais au moins vous avez été assez punies. Maintenant, votre maman a besoin de vous. D'abord... »
Antarès libéra alors la bouche de notre chère Neko, et celle de notre chère Ushi. Cassandre était presque déçue que sa bouche soit de nouveau libre. Comme dit dans le poste précédent, elle avait particulièrement appréciée le fait d’avoir comme ça, quelque chose dans la bouche, l’empêchant de la fermer... Mais qu’importe ! Elle devait se concentrer sur sa mère ! Qui d’ailleurs, déclara quelque chose...
« Cassandre, nettoie le visage de ta sœur. »
« Bien Maman <3 ! »
Elle s’approcha alors de Plélone, et commença tranquillement à lui lécher le visage... Evidemment, notre chère Plélone eut le droit à tout. Tout son visage passa sous la langue de notre vachette, qui voulait bien profiter pour tout récupéré... Apprenant vite, d’ailleurs, elle en profita même pour donner un vrai baiser à sa maîtresse, pressant un peu son imposante poitrine sur la jeune neko... Elle continua jusqu’à ce que le visage de Plélone soit propre... Alors, elle écouta les déclarations de sa maman...
« Vous avez été tellement excitantes… que j'en ai mouillé ma culotte. Je veux que vous me nettoyiez. L'une de vous léchera mes jambes, l'autre léchera ma culotte. »
« Vas y Cassandre, je te laisse choisir, je prendrai l'autre place. »
« Mmh... Soeurette, je te laisse l’honneur, je vais tenter ce que je n’ai jamais fais... »
Et oui ! Elle avait déjà eu l’honneur de plusieurs fois pouvoir nettoyée l’intimitée de sa maîtresse... Donc, elle commença à prendre son pied, en prenant la jambe de sa maîtresse... mmh... Cette phrase est un peu étrange, mais vous comprenez ! Enfin, j’espère que vous comprenez, sinon, je suis bien embêtée. Bref ! Ainsi, elle commença à lécher... C’était agréable, et elle appréciait la mouille qui étaient sur les jambes... Mais c’était moins chouette que l’intimité... Heureusement, elle pouvait faire autre chose...
« Mmh... Tu aimes soeurette... ? »
Elle commença alors de nouveau à doigter sa soeur, enfin, plutôt sa maîtresse... Disons, elle se permettait beaucoup d’iniative notre chère Cassandre ! Faut dire, elle avait été pas mal excitée, avec tout cela, et même si elle avait pas mal jouie, l’excitation de la première fois était visiblement très forte... Elle avait mal au fesse, elle était excitée, et surtout... Elle était heureuse. C’était donc ça, sa future vie ? Elle était merveilleuse. Sans aucun doute, elle n’aurait pas put mieux tomber, pour son achat...
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Cassandre ayant déjà léché l'intimité d'Antares, elle préféra s'attaquer à ses jambes. Pleione se débrouilla pour qu'elles aient toutes les deux la place de faire ce que leur maman avait demandé. Pendant que l'ushi nettoyait ses jambes, la neko écarta les pans de sa culotte pour pouvoir lécher sa petite fleur mouillée. L'aînée Lilianstar couinait de plaisir tout en caressant les têtes de ses filles, frémissant en sentant leurs oreilles remuer sous ses doigts.
« Hhmm... c'est bien... mes chéries... continuez... comme ça... haann... »
Quelle joie c'était d'avoir deux belles demoiselles à genoux devant elle, qui accomplissait ses moindres volontés sans être contraintes, juste parce qu'elles en avaient envie. Ses pulsions de maîtresse s'étaient éveillées depuis sa rencontre avec Yuka, et le plaisir de dominer était maintenant un élément majeur de ses rapports intimes, au même titre que les gros câlins. Et ces deux beautés allaient être les réceptacles de ces deux pulsions.
Les léchouilles durèrent pendant de longues minutes, la chambre se remplit de ronrons et de meuglements, puis tout à coup, Pleione eut la surprise de sentir deux doigts se glisser dans sa chatte mouillée, les doigts de Cassandre. L'ushi se permettait une liberté non autorisée, mais puisque c'était agréable et que ça collait à l'ambiance de la chambre, sa maîtresse ne la rectifia pas et se contenta d'apprécier ses gestes. En à peine deux heures, elle avait beaucoup appris, et ça se voyait dans ce qu'elle faisait.
Après encore quelques minutes de léchouille, la cadette Lilianstar arriva à faire jouir sa grande sœur, qui envoya sa délicieuse mouille directement dans sa bouche, puis elle redirigea son attention vers sa nouvelle esclave.
« Nyyaa... oui, vas y... comme ça... MMIIAAOOUU !!! »
Pleione envoya son jus d'amour sur les doigts de l'ushi, puis son corps se relâcha contre celui de sa sœur. Cette dernière la prit dans ses bras pour lui faire un gros câlin et laissa assez de place pour pouvoir aussi accueillir Cassandre. Quand il s'agissait de faire dans la douceur, Antares était une experte.
« Là là mes puces... vous avez été bien sages... et nous nous sommes bien amusées... »
Pour leur part, les Lilianstar avaient eu leur compte, mais il restait à savoir ce qu'en pensait leur nouvelle amante.
« Alors Cassandre chérie, tu veux continuer ? Être encore fessée ? Avoir des câlins ? Te faire pomper les seins ? »
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Mmmh… Quel bonheur. Elle était heureuse. Vous n'imaginez pas à quel point ! Elle avait vraiment l'impression de vivre, après avoir été tant d'année à sa formation… Maintenant, elle pouvait enfin s'amuser… Elle n'était donc pas que destinée à être un distributeur de lait, ce qui aurait été totalement possible… Mais non, elle était une servante qui était visiblement aimée, et qui avait le droit à un traitement au petit soin… Quel bonheur ! Bref, elle continuait, ce qui rendait extrêmement heureuse sa maîtresse, qui déclarait alors, au bord de la jouissance :
« Hhmm... c'est bien... mes chéries... continuez... comme ça... haann... »
Visiblement, Antarès prenait son pied… Elle espérait que Plélone faisait bien son travail, mais tout portait à croire que sur ce point, il n'y avait pas à s'inquiéter… Tant mieux ! Après tout, sa « soeur » était toute autant qu'elle, si elle avait bien compris, une cochonne… Et visiblement, elle pensait avoir compris qu'elle était aussi une masochiste, comme elle ! Alors, oui, notre fameuse Ushi n'était pas trop au courant de ses termes (Masochisme, sadisme etc.)… Et bien, elle comprenait bien le principe de ses termes… Et elle avait bien compris qu'elle l'était complètement… Elle aimait la douleur pour le plaisir… Et elle aimait particulièrement donné du plaisir… Comme ce qui était entrain de se passer…
« Nyyaa... oui, vas y... comme ça... MMIIAAOOUU !!! »
Et après l'une, l'autre des sœurs avaient le droit à la jouissance ! Tant mieux, il ne fallait pas de jalouses, comme on dit, n'est-ce pas ? Bref, Cassandre eu le droit à avoir ses doits recouvert de la merveilleuse cyprine de la neko… Bien sur, notre fameuse Neko ne fut pas bête : elle récupéra cette cyprine, et ainsi, elle profita de ce divin nectar, se léchant bien les doigts… Que c'était bon…
« Là là mes puces... vous avez été bien sages... et nous nous sommes bien amusées... »
« Alors Cassandre chérie, tu veux continuer ? Être encore fessée ? Avoir des câlins ? Te faire pomper les seins ? »
« Voyons maîtresse, n'hésitez pas à venir vous resservir ! »
Elle s'allongea alors sur le lit, s'installant bien, et présenta ses deux seins… Elle était surtout là pour donner du lait, et elle avait beaucoup jouie… Elle avait un peu mal, à s'allonger comme ça sur ses fesses… Mais la douleur n'était pas non plus trop forte, donc elle restait relativement agréable… Enfin, elle trouvait. Sans doute que beaucoup ne seraient pas d'accord… Mais elle, elle appréciait ! Donc, rien de mieux… Maintenant, elle devait faire ce à quoi elle servait !
« Je suis toute à vous… Merci de m'avoir achetée, je ferai tout pour vous satisfaire <3. »
Ses seins étaient offert, encore bien plein de lait… Bien sur, ils n'étaient pas aussi plein qu'ils pourraient l'être… Mais c'était déjà pas mal, si vous voulez mon avis ! Bref, elle tenait à remercier ses deux maîtresses… C'était la moindre des choses, après tout ce qu'elles avaient fait. Maintenant, c'était à elle de réussir à rendre heureuses ses maîtresses ! Elle comptait bien les rendre heureuse, et montrer qu'elle est une bonne servante, une bonne ushi… Et qui sait, peut-être que cela serait important : une bonne amante.
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Les sœurs regardèrent Cassandre se coucher sur le lit, faisant fi de la douleur de ses fesses bien rouges pour leur offrir ses seins à nouveau remplis de lait. Devant une telle gourmandise, Pleione était tentée de se laisser aller, mais Antares la retint.
« Ce sera plus agréable de le boire avant d'aller dormir. Comme ça, on dormira comme des bébés. »
« Oui, c'est une bonne idée. Mais qu'est ce qu'on va faire en attendant ? »
« Tu sais, il y a encore bien des choses excitantes qu'on a pas montré à Cassandre... par exemple, comment deux femmes se donnent du plaisir avec leurs sexes respectifs. »
« Oh oui ! Je peux le faire en première ? »
« Oui, vas y. »
Toute contente, la neko quitta les bras de sa sœur pour s'allonger sur le corps de l'ushi, l'embrassa tendrement, faisant danser sa langue avec la sienne, puis se détacha pour lécher son visage et lui murmurer des paroles excitantes.
« Ma petite Cassandre... ce que je vais te faire maintenant... tu n'es pas prête de l'oublier. »
Pleione colla ses lèvres intimes contre celles de Cassandre, les jambes entrecroisées, et les voilà dans la position des ciseaux, un des plus grands délices des plaisirs saphiques. La neko commença doucement à frotter sa vulve mouillée contre celle de l'ushi, c'était une simple mise en bouche mais c'était quand même très plaisant.
« Mrraaww... c'est bon hein... nyuuu... »
Le plaisir envahissait peu à peu le corps de la Lilianstar, qui accélérait ses mouvements de bassin seconde après seconde, couinant et miaulant au milieu des bruits humides que produisaient les deux zones intimes.
De son côté, Antares voulait vraiment se tenir au calme et profiter du spectacle, mais les choses devinrent vite trop excitantes, et elle alla se coller dans le dos de sa sœur, empoignant sa petite poitrine à pleines mains et léchant le lobe de son oreille.
« Hhmm... vas y ma petite chérie... remue bien... pendant que je m'occupe de toi. »
« Haaannn ! »
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Notre chère Cassandre était prête à la traite. Elle s’attendait à que cela arrive bientôt... Mais peut-être n’était-il pas encore l’heure ? Et oui, ne soit pas trop impatiente, ma chère Cassandre ! Surtout que tu ne sais pas tout, et que donc, il peux encore se passer plein de chose... N’est-ce pas ? Bref, notre fameuse Ushi était ainsi entrain de se demander ce qu’allaient décider ses deux maîtresses. Elle savait bien que quoiqu’il arrive, elle allait prendre une excellente décision. Car c’était ça les maîtres et maîtresses : cela prenait toujours la bonne décision.
« Ce sera plus agréable de le boire avant d'aller dormir. Comme ça, on dormira comme des bébés. »
« Oui, c'est une bonne idée. Mais qu'est ce qu'on va faire en attendant ? »
« Tu sais, il y a encore bien des choses excitantes qu'on a pas montré à Cassandre... par exemple, comment deux femmes se donnent du plaisir avec leurs sexes respectifs. »
« Oh oui ! Je peux le faire en première ? »
« Oui, vas y. »
« … ? »
Les deux maîtresses de notre vachette commencèrent à discuter un petit moment entre elles, pour parler de quelques chose que bien entendu, et bien, notre vachette ne comprenait pas encore. Rappelez-vous, tout à l’heure, j’ai bien dis que notre vachette ne savait pas comment faire les plaisirs sapphiques... Et bien, visiblement, il était l’heure d’une petite leçon... Leçon qui allait visiblement être donnée par Plélone, sans doute la plus enthousiaste en général, pour faire ce genre d’activité, si notre chère Cassandre avait bien compris.
« Ma petite Cassandre... ce que je vais te faire maintenant... tu n'es pas prête de l'oublier. »
« Oh oui ! »
Encore du plaisir ! Elle avait hâte d’essayer, quoiqu’essaye notre chère Plelone. Je veux dire, elle n’avait jamais été déçue pour le moment... Pourquoi cela commencerait maintenant hein ? Et bien, je vais vous répondre : cela ne comemncera pas. Ainsi, s’installant aussi sur le lit, ignorant ou profitant très certainement de la douleur quand même cuisante qu’elle devait sans doute aussi connaître au niveau des fesses, la maîtresse et l’esclave croisèrent les jambes, pour découvrir la position des ciseaux...
« Mrraaww... c'est bon hein... nyuuu... »
« Oh... Quel plaisir... ! Me... Meuh... »
Elle découvrait ainsi une nouvelle façon d’avoir se plaisir. L’accélération des mouvements du bassin était extrêmement satisfait... Les bruits humides ainsi se mélangeait, non seulement énoncé précédemment avec les miaulement de la Lilianstar cadette, mais aussi avec les meuglement de leur servante, qui prenait son pied à recevoir ce traitement. Le tout donnait un résultat extrêmement érotique et sympathique...
« C’est si bon... Maîtresse... Je sens... »
Elle était au bord de la jouissance, tandis qu’Antarès venait de rejoindre la fête, en s’amusant avec les petits seins de sa soeur... La jouissance venait de plus en plus rapidement...
« Aaah ! Meuuuuuuuuuuh ! »
Une nouvelle jouissance... Notre vachette commençait à être épuisée... Un peu comme si tout tombait d’un coup, elle commençait à sentir l’épuisement après avoir autant jouie... Mais il faut bien le dire... Cette épuisement : elle était extrêmement heureuse de le connaître... Elle n’allait pas se plaindre de tout ce qu’elle avait reçu... C’était tellement agréable... Haletant, elle regardait avec des yeux extatiques de bonheurs, ses deux maîtresses... Presque comme si la raison semblait s’éteindre, pour laisser l’entièreté du cerveau de la vachette, à ce plaisir... Elle était si heureuse... Cela était si agréable...
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Portée par l'excitation, Pleione et Cassandre jouirent ensemble, dans un long gémissement de plaisir partagé.
« NNNYYYUUU !!! »
Leurs fluides intimes se mélangèrent, formant une petite flaque sur le lit, puis elles retombèrent d'un seul coup. La neko avait Antares pour la retenir, l'ushi avait le matelas. La cadette Lilianstar récupéra rapidement ses esprits, contrairement à son esclave, qui la fixait avec un regard à moitié vide.
« Bon... je crois qu'il est temps de s'arrêter pour ce soir. »
L'aînée pensait que, vu la tête que tirait Cassandre, elle avait eu son compte pour aujourd'hui. Si on ne sait pas se fixer de limites, on finit par en faire trop, ce qui oblige à prendre plus de repos avant de pouvoir recommencer.
« On est vraiment obligées ? »
« Tu vois bien qu'elle n'est plus en état. Allez, ne fais pas l'enfant, on pourra toujours recommencer demain. »
« Oui... c'est vrai. »
La nuit était tombée sur Nexus, mais plutôt que d'aller se coucher dès maintenant, les nekos s'allongèrent à côté de Cassandre pour lui caresser le visage.
« Tu as été parfaite ma jolie, mais on va arrêter là pour le moment. »
« Profitons en pour discuter un peu. Si tu as des questions à nous poser, surtout n'hésite pas. »
« Je commence : qu'est ce qui t'a le plus plu dans nos ébats ? »
Pleione aurait parié sur les fessées, mais ce n'était peut-être pas ça.
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« NNNYYYUUU !!! »
« Bon... je crois qu'il est temps de s'arrêter pour ce soir. »
Après autant de jouissance, peut-être qu'Antarès avait bien raison. Comme dit précédemment, notre fameuse vachette était bien fatiguée, et avait sans doute besoin de repos. Après tout, elle venait de faire sa « première fois » dans le cadre des plaisirs sapphiques… Et donc, elle était très fatiguée… On pouvait voir cela aussi bien à ses yeux, que sa bouche, que le reste de son corps, qui était bien paisiblement sur le lit…
« On est vraiment obligées ? »
« Tu vois bien qu'elle n'est plus en état. Allez, ne fais pas l'enfant, on pourra toujours recommencer demain. »
« Oui... c'est vrai. »
Tout à fait… Après tout, la nuit était tombée maintenant, c'étrait l'heure de se coucher, de profiter des plaisirs de Morphée, après ceux de Sappho. Mais dormir ? Tout de suite ? Peut-être qu'on pouvait parler un peu avant ? Ou profiter du lait de l'Ushi. Après tout, elle était quand même là pour cela… Après, si les Nekos décidaient de ne pas en prendre, elles en auraient énormément le matin… C'était un peu comme ça qu'on pouvait fonctionner, décider de remettre au lendemain ce qu'on pouvait fair ele jour même, pour en avoir plus… Quoiqu'il en soit, de toute fçaon
« Tu as été parfaite ma jolie, mais on va arrêter là pour le moment. »
« Profitons en pour discuter un peu. Si tu as des questions à nous poser, surtout n'hésite pas. »
« Je commence : qu'est ce qui t'a le plus plu dans nos ébats ? »
« Votre gentilesse ! »
Elle n'hésita pas plus… Ce n'était pas quelque chose de précis qu'elle donnait, ce qui était lié à son éducation peut-être parfois trop envahissante, qui la poussait à tenter d'éviter de dire explicitement ce qu'elle voulait, étant donné qu'une esclave n'avait pas le droit en théorie de dire ce qu'il voulait, sauf ordre direct. Donc, elle utilisait un moyen détourné pour faire comprendre qu'elle avait vraiment apprécié tout ce qu'elle avait eu… Et elle donna alors quelques précisions :
« J'ai déjà été puni par mon éducateur… Mais il n'y a que vous qui m'avez donner autant de plaisir... »
En effet ! Là, elle avait le plaisir d'être punie… Après, cela allait peut-être à l'encontre du but des punitions… Mais que voulez-vous… C'était l'avantage des masochistes, mais aussi leur inconvénient ! Sans aucun doute, un ou une masochiste ferait un excellent espion… Je veux dire, tu peux les torturer autant que tu veux, et bien, ils continueront à résister… Car ils en prendront du plaisir… De l'autres côté, s'ils sont trop accro, il peuvent tout dévoiler sous la promesse de punitions… Gênant.
« Meuh… Je suis une Ushi si heureuse <3 ! J'ai été une gentille fille, finalement ? »
Elle se demandait vraiment. Après tout, elle n'avait pas trop conscience de ce qui était mal et ce qui était bien, maintenant, étant donné qu'elle avait vu que dans des jeux, ce qui était parfois considéré comme des bêtises étaient acceptables. Alors, bien sur, elle comprenait qu'elle ne devait pas faire ses bêtises « en vrai », et que celle-ci devaient se contenter de rester dans l'ordre du jeu… Mais quand même ! Bref, quoiqu'il arrive, notre famesue Vachette était très très heureuse. Je l'ai déjà dis plusieurs fois, mais encore une fois : Elle était tombée sur une famille tellement gentille, et qui semblait l'aimer… Elle comptait bien leur faire honneur !
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« Votre gentillesse ! »
La réponse de Cassandre fut aussi rapide qu'une fusée. Apparemment, l'ushi avait aimé que, malgré toutes les punitions que ses maîtresses lui avaient infligées, elles avaient su se montrer gentilles et lui faire prendre son pied dans la souffrance. Pleione se réjouit de cette réponse car, si elle aimait autant les punitions à ce petit niveau, elle allait littéralement devenir accroc une fois qu'elle aurait rencontrée Yuko. Puis elle demanda si, finalement, elle avait été une gentille fille. Antares attrapa la tête de la terranide entre ses mains et serra son visage dans sa poitrine.
« Mais bien sûr que tu as été une bonne ushi. On ne t'a dit que tu étais méchante que pour le jeu.
Mais attention : si jamais tu refais ces bêtises pendant ton travail, là tu seras vraiment punie, et je ne pense pas que ça te plaira. »
L'aînée tenait vraiment à ce que l'ushi assimile bien les différences entre sa vie quotidienne et ses activités charnelles pour ne pas qu'elle se mette à agir bizarrement. Elle avait manqué de fermeté avec Margeurite, et ça ne s'était pas très bien fini... Pas question qu'elle reproduise les même erreurs.
Sur une note plus joyeuse, la cadette vint se blottir contre la vachette, tripotant ses belles rondeurs sans toucher à ses zones les plus sensibles, ne souhaitant lui donner encore envie de faire l'amour.
« Hhmm... j'aimerais tellement avoir un corps aussi dodu que le tien. Dis moi... est ce que tu as suivi un régime spécifique, ou est-ce que c'est naturel ? »
La plupart des ushis qu'elle avait rencontré était des filles bien en chair, mais était-ce parce qu'elles étaient nées ainsi ou bien à cause de leur éducation ? En tout cas, s'il existait un moyen pour qu'elle ait d'aussi gros seins, des fesses rebondies et des poignées d'amour un peu partout, elle n'allait pas s'en priver. Elle s'était toujours trouvée trop menue et maigrichonne, et même maintenant qu'elle était en couple, ses vieux complexes la travaillaient toujours.
De son côté, la grande sœur avait aussi des interrogations.
« Et en terme de vêtements, est-ce que tu as des préférences ? Parce qu'il va falloir qu'on te fasse faire une tenue que tu porteras tous les jours, alors il faut qu'elle te soit le plus agréable possible à porter. Et j'aimerais aussi connaître tes goûts en matière de dessous. »
La deuxième question avait plus un intérêt personnel que technique.
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Maintenant qu'elle était une servante, elle apprenait à bien être suivant sa maîtresse. Son apprentissage avait été… Comment dire… Disons trop, beaucoup trop « théorique ». Maintenant, il était temps qu'elle passe à la pratique, n'est-ce pas ?
« Mais bien sûr que tu as été une bonne ushi. On ne t'a dit que tu étais méchante que pour le jeu.
Mais attention : si jamais tu refais ces bêtises pendant ton travail, là tu seras vraiment punie, et je ne pense pas que ça te plaira. »
« Bien sur ! »
Oui ! Ca, elle avait suffisamment eu de « cours » par son professeur, pour qu'elle puisse bien savoir qu'une mauvaise servante, faisait pas long feu en général ! Elle savait même que les pires servantes, celle qui osait se rebeller, voir fuir… Elle finissait… Couic ! Elle savait pas ce qu'était le couic, mais son éducateur avait toujours dis « Couic » ! Donc, elle supposait que c'était très mal ! Bref, les méchantes servantes étaient punis ! Et là, elle était une gentille servante ! Elle obéissait !
« Hhmm... j'aimerais tellement avoir un corps aussi dodu que le tien. Dis moi... est ce que tu as suivi un régime spécifique, ou est-ce que c'est naturel ? »
« Euh… Naturel ! Je mange des légumes ! Beaucoup de légumes ! »
En effet ! Notre vachette était pescetarienne ! Quoi ? Que cela veut-il dire ? Et bien, elle n'avait jamais mangé de viande… Mais elle mangeait parfois, très rarement, du poisson ! Très rarement, ce qui faisait que quasi toute son alimentation avait été végétarienne ! Elle aimait les légumes, de tout type, et même, elle savait qu'ainsi, elle pouvait manger les légumes de vos enfants, s'ils font des caprices à propos de la nourriture... Ce n'est pas pratique ? Cassandre, Ushi multi-tache !
« Et en terme de vêtements, est-ce que tu as des préférences ? Parce qu'il va falloir qu'on te fasse faire une tenue que tu porteras tous les jours, alors il faut qu'elle te soit le plus agréable possible à porter. Et j'aimerais aussi connaître tes goûts en matière de dessous. »
« Euh… »
Ah ! La fameuse question des vêtements ! Elle se souvenait que ses maîtresses lui avaient promis d'avoir comme ça, des vêtements ! C'était drôlement chouette ! Mais, cependant, elle s'était attendu à que ses maîtresses lui donnent des vêtements… Attention, pas dans le sens, elle estimait que ses maîtresses devaient lui donner des vêtements -elle avait été habituée au fait qu'il serait possible qu'elle doive vivre nue-, mais elle s'attendait pas au fait qu'elle puisse choisir ses vêtements… Et là se poait le problème :
« Je suis désolée maîtresses… Mais je ne m'y connais pas. Je n'ai porté toute ma vie que ce que vous avez vu… »
En effet. Elle ne savait pas ce qui était possible comme tenue. Pull, chemisier, doudoune, pantalon, robe, toutes ses tenues, elle ne savait même pas ce que c'était… C'était… Gênant ! Donc, elle avait peur de ne pas pouvoir dire ce qu'elle voudrait comme tenue… Elle était très gênée… Elle ne voulait pas paraître mauvaise...
« Mais je suis prête à avoir tout ce que vous voulez ! J'adorais votre culotte Maîtresse Antarès ! »
Ah ! Déjà, voilà une première indication… Et oui, car enfaite, au moins, elle avait quelques goûts et c'était des goûts assez simple… Relativement logique pour une servante ! Elle aimait la simplicité, sans aucun doute, elle allait faire en sorte d'avoir une tenue simple… Mais bon, pour le moment, il fallait bien voir comment allait réagir les deux maîtresses… Peut-être avaient-elles déjà des idées pour bien habiller notre fameuse vachette ?
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Pleione se sentit bien triste quand Cassandre lui répondit que les formes de son corps étaient naturelles, et aussi qu’elle mangeait beaucoup de légumes. Hélas, ce régime alimentaire n’allait pas aider la neko à prendre des rondeurs.
« Nyyaann... dommage, j’aurais tellement voulu devenir aussi ronde que toi. »
Beaucoup de gens pensaient que l’idéal de beauté chez les femmes, c’était des seins énormes et la taille fine, mais la cadette Lilianstar avait un tout autre point de vue sur la question. Pour elle, une belle femme doit avoir des formes bien rondes, aussi bien au niveau de la poitrine que du postérieur. Physiquement, Cassandre était son idéal féminin.
Quant à Antares, elle sourit en entendant l’ushi la complimenter sur sa culotte. Elle n’avait pas de goûts précis en matière de vêtements, n’ayant eu que peu d’occasions d’en porter, mais au moins elle avait déjà donné une indication. L’aînée la câlina en serrant son visage dans sa poitrine.
« Je vois. Dans ce cas, je pourrais peut-être te la donner. »
La neko avait tellement de culottes chez elle, se séparer d’une ne lui poserait aucun problème. Sans compter que Cassandre ne pouvait pas rester indéfiniment avec la même paire de sous-vêtements sur le dos, il fallait qu’elle en ait d’autres pour se changer.
Antares, qui avait demandé l’arrêt de la soirée charnelle, eut tout à coup l’envie de la relancer, et retira sa culotte avant de l’agiter sous les yeux de la vachette.
« Tu aimerais l’essayer, juste pour voir comment tu te sens dedans ? Ou alors... je pourrais aussi te la remettre dans la bouche. »
La neko avait bien remarqué que, lorsque la terranide avait la culotte de sa sœur dans la bouche, elle mouillait beaucoup plus. Était-ce un de ses fantasmes ?
« Je suis désolée, j’avais promis qu’on arrêtait pour ce soir mais... c’est plus fort que moi. »
Pleione suivit rapidement le mouvement, et retira sa culotte pour la faire balancer à côté de celle de sa sœur.
« Moi aussi je veux jouer avec toi Cassandre. Tu veux que je te remplisse encore la bouche ? »
« Oh, j’ai une idée : et si on la remplissait à deux ? »
Elles regardèrent l’ushi droit dans les yeux.
« Ça te plairait, vilaine petite coquine ? »
« Si oui, alors ouvre grand. Aaahhh... »
Bien sûr elles ne la forçaient pas. Si elle voulait arrêter, il suffisait qu’elle le dise. Peut-être en avait-elle assez eu pour ce soir.
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Bien installée, notre vachette expliquait un peu ses préférences niveau des vêtements, histoire qu'elle puisse avoir ses premiers vêtements. Etant donné qu'elle donnait très peu de renseignement, elle se demandait ce qu'elle aurait. Sans doute quelque chose de simple ? De toute façon, elle n'était quand même qu'une… Qu'une simple vachette ! Donc, elle n'avait pas besoin de quelque chose de si complexe… Non ? Elle espérait ! Elle avouait qu'elle n'était pas très très douée, donc, elle avait un peur de se perdre, dans quelque chose de trop complexe… M'enfin bon, elle écouta alors les déclarations de l'une de ses deux maîtresses.
« Nyyaann... dommage, j’aurais tellement voulu devenir aussi ronde que toi. »
Elle baissa les oreilles… Malheureusement… Une servante devait tenter tout pour satisfaire ses maîtres ou ses maîtresses… Mais là, c'était véritablement mission impossible. Heureusement pour elles, les vachettes étaient naturellement très rondes… C'est pour cela qu'à moins d'être véritablement maltraitée, les vachettes étaient très rarement maigre… Et c'était un mauvais signe de voir des vachettes maigres. Ne parle-t-on pas de temps « des Ushis maigres » ? Bref, elle aimerait vraiment faire en sorte que Plélone puisse avoir un peu de sa belle chair, mais elle pouvait pas faire cela… A la place, elle écouta :
« Je vois. Dans ce cas, je pourrais peut-être te la donner. »
« Oh ! Cela serait si gentil !! »
DOBBY EST UN ELFE LIBRE !!! Désolée, il fallait que je la fasse, en temps que Potterhead. Bref, qu'est-ce que je voulais dire déjà ? Ah oui ! Donc, notre fameuse vachette était honorée… Recevoir sa première culotte rien qu'à elle… Et que cela soit celle… Celle de sa maîtresse… C'était vraiment un honneur… Mais il y avait encore mieux :
« Tu aimerais l’essayer, juste pour voir comment tu te sens dedans ? Ou alors... je pourrais aussi te la remettre dans la bouche. Je suis désolée, j’avais promis qu’on arrêtait pour ce soir mais... c’est plus fort que moi. »
« Oh oui ! »
Qu'importe ! Qu'importe ! Elle avait super envie ! Après tout, elle n'était pas fatiguée… Et elle avait eu tant de plaisir, depuis qu'elle s'était faite acheter, qu'elle n'était pas contre du tout que cela recommence… Après tout, pourquoi dirait-elle non à plus de plaisir ? Surtout avec sa bouche… Tant que c'était énorme que cela remplissait bien sa bouche… Et là, tout d'un coup, le bonheur se multiplia par deux !
« Moi aussi je veux jouer avec toi Cassandre. Tu veux que je te remplisse encore la bouche ? »
« Oh, j’ai une idée : et si on la remplissait à deux ? »
Deux… Rien… Que pour elle… ? Oh lala… Là, on pouvait dire une chose, c'est que Cassandre se sentait comme la servante la plus heureuse de l'univers ! Et visiblement, les deux nekos pouvaient être contente de découvrir que leur achat… Etait sans doute une belle perverse, au fond d'elle, en plus de donner énormément de lait. On povuait dire que c'était un achat qui valait le coup… Sans aucun doute que cela allait être un cadeau qui allait bien fatiguer celle qui allait le recevoir… N'était-ce pas une bonne chose, sur ce point… En tout cas, les deux nekos continuaient d'exciter la fameuse Ushi...
« Ça te plairait, vilaine petite coquine ? »
« Si oui, alors ouvre grand. Aaahhh... »
« Remplissez ma bouche, j'aime, controlez-la... »
Elle ouvra grand la bouche… Elle avait hâte qu'on la remplisse, qu'on la soumette… Elle était une soumise… Et elle aimait ça… Sans aucun doute qu'elle aurait affaire à des hommes, qu'elle apprécierait avant tout les prendre en bouche… Bref, nous avions affaire à une vachette qui pensait avant tout à profiter avec sa bouche… Il était temps ! Elle voulait profiter de ses culottes, qui devaient encore avoir de ce merveilleux liquide, de cette merveilleuse cyprine… Bref, le plus grand de tout les bonheurs… Ainsi, elle déclara :
« Aaah... »
Elle attendait avec impatience.
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En voyant à quel point Cassandre avait envie de se faire remplir la bouche par ces deux culottes, les nekos se mirent à sourire. Si elle aimait à ce point faire des cochonneries et jouer les soumises, alors Yuko allait en tomber raide dingue. Antares bougea la première, et enfonça sa culotte en la poussant le plus possible dans la joue gauche de l'ushi pour laisser de la place à sa petite sœur. Puis Pleione fit de même en mettant sa culotte du côté droit. Les filles avaient pris soin de faire en sorte que la partie couverte de leur cyprine soit sur la langue de la vachette.
« Oh quel pied ! »
« On dirait que tu aimes ça encore plus que Cassandre. »
« J'en doute, regarde un peu comme elle se tortille. »
En effet, le corps de l'ushi était rouge, transpirant et parcouru de spasmes. Visiblement, elle n'avait pas exagéré son fantasme de se faire remplir la bouche. Les sœurs se collèrent ensuite de chaque côté de son corps, la prenant en sandwich pour de tendres câlins.
« Mmhh, belle Cassandre... si je m'écoutais, je te sauterais dessus pour te baiser jusqu'à demain matin. »
« Il faut qu'on s'économise, le trajet du retour va être fatigant. Tu pourras toujours jouer avec elle à la maison. »
« Et encore plus quand je l'offrirai à ma merveilleuse femme. »
Les nekos passèrent quelques minutes à caresser la belle peau de l'ushi, puis Pleione tourna son attention vers ses seins, d'où le lait se mettait à perler.
« On dirait qu'elle a besoin d'être traite. Tu es avec moi ? »
« Volontiers. En plus ça nous aidera à dormir. »
Mais avant de se mettre à pomper la poitrine appétissante de son esclave, la sœur cadette retira les culottes qui remplissaient sa bouche.
« Désolée de t'ôter ce plaisir, mais je veux t'entendre meugler. »
Les filles collèrent chacune leur bouche contre l'un des tétons de Cassandre et se mirent à aspirer, savourant le lait délicieux qui en sortait.
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Cassandre était une Ushi… Les Ushi étaient faîtes pour être traite, traite, et encore traite… Ainsi, il était classique que celle-ci développent soit une dépendance à ses situations de contrôle totale, où elles ne peuvent rien faire à part être utilisée, soit l’inverse, une haine de ses situation… Je vous laisse deviner deux choses : Premièrement, dans quel situation était Cassandre, et surtout, deuxièmement, dans quels situations les Ushi vivaient le mieux. En théorie, cela ne devrait pas être trop trop difficile à deviner. Bref, notre Ushi, notre vachette préférée, Cassandre, était là pour se faire dominée, utilisée, et appréciée cela… Et elle comptait bien le faire, longuement et avec énormément de plaisir… Quel bonheur.
« Oh quel pied ! »
« On dirait que tu aimes ça encore plus que Cassandre. »
« J'en doute, regarde un peu comme elle se tortille. »
Tout à fait ! Elle se tortillait de plaisir… Mmh… Que de plaisirs… Elle rêvait ainsi de cela. Bon sang, qu’elle était heureuse d’être la nouvelle esclave des sœurs… Ses Nekos étaient des déesses du plaisirs, il n’y avait pas d’autres choses à dire...
« Mmhh, belle Cassandre... si je m'écoutais, je te sauterais dessus pour te baiser jusqu'à demain matin. »
« Il faut qu'on s'économise, le trajet du retour va être fatigant. Tu pourras toujours jouer avec elle à la maison. »
« Et encore plus quand je l'offrirai à ma merveilleuse femme. »
Trajet du retour ? Ah oui c’est vrai ! Quel était bête parfois ! Ne disant rien, elle venait tout juste de se rappeler qu’elle allait être un cadeau, et que les Lillianstar n’étaient pas tout à fait ses vraies maîtresses… Bon, c’était du pareil au même, bien entendue ! Elle ne connaissait pas encore comment étaient ses autres maîtresses… Mais il n’y avait pas de doute sur le fait qu’elles étaient très certainement des femmes merveilleuses… Elle veux dire : si elle pouvait ainsi épouser des Nekos aussi parfaites… Elles étaient sans doute tout autant parfaite… Que de plaisir en perspective. Elle ne savait pas combien de temps rentrer allait mettre, mais sans aucun doute que le temps en vaudrait la chandelle !
« On dirait qu'elle a besoin d'être traite. Tu es avec moi ? »
« Volontiers. En plus ça nous aidera à dormir. »
« Désolée de t'ôter ce plaisir, mais je veux t'entendre meugler. »
« Pas de soucis, Maîtresses… ! »
Bien sur, on ne pouvait pas nier une certaine… Comment dire… Déception dans sa libération. Mais cependant, elle n’allait pas non plus être trop capricieuse. On lui avait donné se plaisir, gratuitement… Et puis, c’était les culottes de ses maîtresses qui étaient venues lui remplir sa bouche… Ce n’était pas n’importe quoi ! Elle devait donc, accepter quand le plaisir n’était plus présent… C’était comme ça que cela marchait, une vie d’esclave ! Elle était bien contente, d’ailleurs, de faire sa vie d’esclave avec deux maîtresses aussi… Aussi… Elle n’avait même pas de mots pour décrire son bonheur, celui-ci étant… Beaucoup, beaucoup, beaucoup trop important…
Donc, abandonnons les mots ! La vachette, traite de nouveau, meuglait de plaisir. C’était tellement agréable d’être traite à la bouche… Les deux sœurs Lilianstar pouvaient ainsi grandement apprécier ce merveilleux lait… Il était peut-être un tout petit poil moins bon que tout à l’heure, il faut bien avouer que quand on consomme rapidement de nouveau le lait de la vachette, et bien, il y avait une légère perte de qualitée, d’où le fait qu’il ne fallait pas abuser des bonnes choses. Après, le lait restait excellent. Pour ce qui est du plaisir… Et bien, là, il n’y avait aucun changement : Cassandre prenait toujours autant son pied, et était extrêmement heureuse que son lait soit, continuellement ainsi, aspirée.
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Agrippées aux seins de Cassandre, Antares et Pleione aspiraient le délicieux lait de l'ushi comme de grosses gourmandes. Ce liquide était tellement bon que la cadette aurait pu rester collée à cette appétissante poitrine pendant des heures, l'aînée le savourait aussi mais était moins accroc que sa sœur. En revanche, ce lait lui donnait envie d'être encore coquine, et elle glissa un de ses mains le long du ventre de la vachette, pelota un peu ses petits bourrelets, puis alla jusqu'à son sexe humide. Elle était tellement mouillée que la neko put glisser directement trois doigts en elle, ajoutant le plaisir de la pénétration à celui de la tétée. Pleione resta concentrée sur la poitrine de Cassandre, se remplissant l'estomac de son lait.
Quand elles eurent terminées de vider la poitrine de l'ushi, les nekos étaient toutes chaudes et ronronnantes comme des moteurs. Sans dire un mot, Antares alla mettre sa frimousse entre les cuisses de l'esclave tandis que Pleione joua de ses lèvres et de sa langue sur son visage et dans son cou. Elles purent encore profiter un peu de ses meuglements puis, quand elle finit par jouir, l'aînée eut droit à une belle traînée de mouille directement dans sa bouche, et un peu sur son visage. Elle retourna ensuite auprès de sa sœur, qui lui nettoya le visage avec plaisir, puis elles partagèrent un baiser torride avant de s'allonger de chaque côté de leur amante.
« Mmmrrraaawww… j'ai l'impression d'être sur un petite nuage rose. J'ai sommeil… mais j'ai tellement envie de faire encore l'amour. »
« Demain Pleione… demain. Pour l'instant… nyaaa… il faut dormir. »
Antares enleva les derniers vêtements qui traînaient encore sur le lit, puis retira sa robe et ses sous-vêtements pour se retrouver dans le plus simple appareil. Pleione resta un moment immobile, à observer la beauté du corps de sa sœur, une beauté dont elle ne se laissait jamais.
« Myyyuuu… j'ai envie de dormir nue. Ça ne vous dérange pas ? »
« Nyyyaaannn… Non, pas du tout. D'ailleurs… »
Pleione en fit de même, attirant le regard de sa sœur, puis les deux se couchèrent de part et d'autre de Cassandre, nue également. L'aînée releva la couette sur leurs corps.
« Bonne nuit mes amours. »
« Bonne nuit grande sœur. Et bonne nuit à toi aussi Cassandre. »
Il était encore tôt, bien qu'il fasse déjà nuit, mais les nekos avaient vraiment sommeil. Au moins, elle ne se lèveront pas trop tard le lendemain.
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Ah, le lait… Heureusement que Cassandre en donnait beaucoup, pensa-t-elle. Enfin, non, elle pense pas cela comme ça, car sinon, et bien, elle aurait pas dit « Cassandre ». Elle ne parlait pas d’elle à la troisième personne. Enfin, vous m’aurez compris. Bref, son lait continuait à se déverser dans les bouches des agréables maîtresses de l’Ushi, et celle-ci ne pouvaient qu’être heureuse de son bonheur… Elle aimait être traite, il fallait bien le dire. Et elle aimait encore plus quand c’était des personnes comme Antarès et Plélone qui venait se faire plaisir en buvant son lait…
Mais le plaisir ne venait pas que du lait… En effet, alors que les deux chattes étaient entrain de tranquillement boire, l’une d’entre elle, la plus vielle, visiblement moins accro au lait, mais appréciant bien d’autres choses que proposaient la vachette, fit passer sa main discrètement, et délicatement vers le vagin de la vachette. Très rapidement, l’Ushi se fit pénétrée par trois doigts, faisant gémir grandement la vachette de plaisir… Une fois que les deux avaient fini de boire, ses deux maîtresses décidèrent de, encore une fois, donner un peu de plaisir à la vachette, qui appréciait particulièrement cela… Antarès avait déjà son nez et sa bouche sur l’intimité de l’Ushi, tandis que de l’autre côté, Plélone était entrain de lui offrir des baisers tout partout, baiser qui étaient rendu par la vachette, qui ne voulait pas être égoïste et accaparé tout l’amour. Bien sur, les meuglements continuèrent, jusqu’à culminer...
« Mmmrrraaawww… j'ai l'impression d'être sur un petite nuage rose. J'ai sommeil… mais j'ai tellement envie de faire encore l'amour. »
« Demain Pleione… demain. Pour l'instant… nyaaa… il faut dormir. »
Ce n’était pas une mauvaise idée… Là, après avoir été vidée et avoir jouie, la vachette avait vraiment besoin de repos. Elle était allongée sur le lit, lit qui d’ailleurs étaient maintenant bien arrosé de cyprine, que cela soit celle de la vachette ou celle des Nekos. On pouvaient même deviner que du lait avait couler dessus, c’est pour dire. Alors qu’Antarès descendit du lit, elle commença à entièrement se déshabiller.
« Myyyuuu… j'ai envie de dormir nue. Ça ne vous dérange pas ? »
« Nyyyaaannn… Non, pas du tout. D'ailleurs… »
« Moi, c’est déjà le cas, meuh ! »
Elle fit un peu d’humour, mais il faut bien comprendre qu’elle profitait surtout de la beauté de ses deux maîtresses. Bien qu’elle adorait son corps, elle trouvait le corps des deux Nekos sublimes. Magnifiques et bien soignées… Loin de son corps, qui était certes beau, mais qui n’avaient pas brillé particulièrement par son soin, avec le temps. Je vous rappelle en plus qu’elle venait d’être achetée, hors, avant, elle vivait dans son étable, c’est pour dire. Mais bref, en tout cas, il n’était plus le temps de réfléchir… Il était temps de dormir, pour les trois. Aussi bien l’Ushi que les deux Nekos… La vachette écouta alors les derniers mots de cette merveilleuses soirée, soirée qui allait très certainement la marquer.
« Bonne nuit mes amours. »
« Bonne nuit grande sœur. Et bonne nuit à toi aussi Cassandre. »
« Bonne nuit maîtresses ! »
Et les voilà toutes trois dans les bras de Morphée… On pouvait dire que… Comment dire… Disons que la première vraie journée de Cassandre avait été mouvementée ! Pourquoi « première journée » ? Et bien, on disait souvent, et avec raison dans le cas des esclaves, qu’un esclave… N’avait sa première journée que quand il était vendu. C’était le début de son existence. Chose logique, étant donné que l’esclave n’existait qu’à partir de son rapport avec son maître. Donc, ainsi, la première journée de notre chère Cassandre avait été active, pleine d’amour, et pleine de découverte… Elle avait déjà hâte de sa prochaine journée… Et de la suivante… Et celle encore près… Bref, alors qu’elle dormait, elle fit bien en sorte, d’un geste presque maternel, de protéger les deux nekos, leur offrant son corps et ses seins… L’instinct était fort en elle… Bonne nuit, vous trois !
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Les trois filles s'endormirent ensemble, Antares et Pleione se collèrent contre le corps moelleux de Cassandre, leurs visages contre sa délicieuse poitrine. C'était encore meilleur qu'un oreiller.
Antares rêva de son futur en tant que femme mariée et maman, au milieu de sa tendre épouse et de tous ses beaux bébés. Et parmi ces bébés, il y avait une mini-Cassandre, âgée de quelques mois, qu'elle pouvait dorloter et choyer. Ce petit ange adorait téter les seins pleins de lait de sa maman neko, et était toujours à réclamer plus de câlins. Une vraie peluche.
Pleione rêva qu'elle était redevenue une petite fille, mais au lieu d'être surveillée par Effie, la gouvernante de son enfance, c'était Cassandre qui s'occupait d'elle. Et comme elle était beaucoup plus gentille qu'Effie, elle la laissait téter sa poitrine plusieurs fois par jour, le seul problème étant que, plus elle tétait, plus elle se sentait immature et dépendante de l'ushi. Pourtant, ça ne l'empêchait pas de continuer.
Environ neuf heures après s'être couchées, les filles furent réveillées par Andreas, qui entra dans leur chambre sans trop savoir où poser les yeux. Entre les filles nues dans le lit et leurs sous-vêtements qui traînaient sur le sol, il avait l'impression de ne pas être à sa place, mais il était bien obligé d'entrer pour les réveiller.
« Mesdemoiselles... désolée d'avoir du entrer mais... il faut vraiment que vous vous leviez. »
Il en vint même à les secouer un peu, jusqu'à ce qu'Antares ouvre finalement les yeux.
« Mmhh... aaahhh... bonjour Andreas. »
Puis, quand elle réalisa qu'elle était nue alors qu'il y avait un homme dans sa chambre, elle se rabattit en panique sous sa couverture.
« Ah ! Sortez d'ici tout de suite ! »
« Oui mademoiselle. Encore désolé. »
Le garde du corps s'en alla, et l'aînée Lilianstar réveilla ensuite les autres filles.
« Allez les marmottes, debout. »
Une fois la joyeuse bande réveillée, Antares alla ramasser ses vêtements, et se souvint qu'elle avait promis quelque chose à Cassandre la veille.
« On va aller prendre le petit-déjeuner, mais d'abord... »
Elle tendit sa petite culotte bleue ciel, encore marquée par toute la mouille qui avait coulée dedans.
« Tu veux bien essayer ma culotte ? J'ai envie de voir ce qu'elle donne sur toi. »
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Bien dans les bras de Morphée, notre vachette était extrêmement heureuse… Après tout, n’était-elle pas dans une position confortable ? Pour une vachette qui avait dormi toute sa vie dans une étable, et bien… On pouvait dire que cela était bien mieux de dormir dans des lits. Surtout aux côté de deux nekos exceptionnels, qui lui avait tant de plaisir. Cassandre profitait du lit, et maintenant dans les bras de Morphée, elle pouvait rêver...
Que rêvait-elle ? Est-ce qu’elle avait une vision plus proche de celle d’ANtarès, une vision maternel, ou bien une vision proche de celle de Plélone, plus enfantine, plus libérée ? Et bien… Regardons son rêve… Alors elle rêvait qu’elle était dans un champ… Quand une carotte tout d’un coup commença à bouger. Bien sur, elle poursuivi la carotte, alors qu’elle remarqua qu’elle était maintenant dans une ferme, et qu’il y avait des patates qui dansaient… Finalement, elle rattrapa un criminel qui s’était enfui, et elle décida de chanter avec lui… Mmh… Visiblement son rêve n’avait pas beaucoup de sens… Et oui ! Que voulez-vous… Bien souvent, les rêves, s’étaient des fatras d’images, sans véritablement de sens...
« Ah ! Sortez d'ici tout de suite ! »
« Oui mademoiselle. Encore désolé. »
Ce fut la première chose que notre vachette écouta, une fois libérée du dieu du sommeil. (qui est un super adversaire dans Saint Seiya The Lost Canvas, si vous voulez mon avis.) Elle ne savait même plus à qui appartenait l’autre voix, mais elle reconnaissait la voix d’Antarès, qui semblait assez active, mais elle ne savait pas trop pourquoi… Mmh… Il s’était passé quelque chose de grave… ? Quoiqu’il en soit, elle n’avait pas encore le courage de bien se lever… Ainsi, bien que réveiller, elle restait pour le moment dans son lit, en attendant que quelque chose la confirme de véritablement se lever… Quelque chose qui arriva :
« Allez les marmottes, debout. On va aller prendre le petit-déjeuner, mais d'abord... »
« Mmh ? »
Après le réveil, il y a le lever… Et une fois que « l’ordre », que je met entre guillemet, car on ne peux pas véritablement appelé ça un ordre, c’était plutôt une demande sans autre choix, un peu comme celui d’une mère… Oui, bon d’accord, cela à tout d’un ordre. Bref, en tout cas, une fois que l’ordre fut donné, la vachette se leva, présentant son imposante poitrine. Alors qu’elle s’apprêtait à bien s’habiller du peu qu’elle avait, elle remarqua que la fameuse Antarès voulait dire quelque chose… Alors, elle reçu la « récompense ».
« Tu veux bien essayer ma culotte ? J'ai envie de voir ce qu'elle donne sur toi. »
« Oh ! Merci !!! »
Quel honneur ! Pour une esclave, pouvoir porter les habits de son maître, était sans aucun doute le signe d’une très grande reconnaissance. Cela voulait dire que le maître acceptait et estimait que niveau vestimentaire, son esclave pouvait porter la même chose que lui. Cela voulait dire une grande reconnaissance, et surtout, un grand respect de la part du maître, de son esclave. Bien sur, alors, l’esclave devait être honoré d’un telle traitement. Notre chère vachette n’avait pas le comportement parfait dans ce genre de situation… Mais disons qu’elle se débrouillait pas trop trop mal, si vous voulez mon avis. Après l’avoir mise, la vachette se tourna vers Antarès, et déclara avec un très grand sourire :
« C’est un peu serré, mais j’aime beaucoup ! Je mets le reste, et je suis prête ! »
En effet ! Le postérieur de la vachette étant supérieur à celle des Nekos, la culotte était assez étirée, mais heureusement, elle n’avait pas cédée, et elle arrivait à faire le tour des hanches volumineuses de la vachette, sans casser, bien qu’on sentait qu’elle avait du mal… Bref, en tout cas, la vachette remit ses bas à taches noir et blanches, et remit son soutien gorge. Elle réinstalla même le collier avec la cloche autour de son cou… Après tout, elle était une vachette, et fallait bien le montrer. Les vachettes étaient sans aucun doute parmi les esclaves qu’on pouvait voir se promener avec le moins de tissu, étant donné que les vachettes étaient considérés comme avant tout des machines à lait… Donc, en toute logique…
« Voilà ! On peux aller manger !! Mmh… J’ai faim ! »
Ahlala… Notre vachette aimait manger, cela, il n’y avait aucun doute. Elle avait très l’habitude de manger avec appetit ! Puis, elle se disait qu’elle devait bien manger, étant donné… Que bien, ils allaient très certainement partir pour pouvoir arriver donc au lieu de vie des deux Nekos… Elle se demandait où les deux Nekos vivaient ! Sans doute dans une très grande maison. Peut-être qu’elle pourrait rencontrer d’autres Ushi ? Cela serait merveilleux ! Elle pourrait rencontrer de ses sembables ! Ou peut-être… Ah mais non ! Elle se disait qu’elle était véritable bête aujourd’hui… Elle n’allait pas aller voir la maison des Nekos, vu qu’elle était destinée à être un cadeau ! Oui, mais un cadeau pour les femmes des deux Nekos… Mmh… C’était compliqué tout cela. Boah ! Elle allait bien voir ! Elle avait hâte !
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Cassandre sautilla de joie quand Antares lui demanda de mettre sa culotte. Pour la neko, c'était autant un moyen fiable de juger les mensurations de l'ushi qu'un fantasme réalisé. Après tout, c'est très excitant de voir une autre fille porter ses sous-vêtements. La vachette enfila la culotte, et sa maîtresse fut quand même un peu surprise de voir que le tissu était étiré.
« Hhmm, ça c'est bizarre. »
Elle s'approcha du postérieur rebondi de son esclave pour pouvoir voir en détail à quel point sa culotte était déformée. Le tissu rentrait dans la raie des fesses de Cassandre pour donner un effet ''string'' assez particulier.
« Je savais que tu avais les fesses plus... rondes que les miennes, mais là... »
Bien sûr ça la gênait de la laisser avec une culotte qui pourrait craquer d'un moment à l'autre, mais allait-elle lui demander de la lui rendre après lui avoir dit qu'elle pourrait la garder ?
« Bon écoute, voilà ce qu'on va faire : tu la gardes pendant le petit-déjeuner, et si tu es mal à l'aise ou si tu sens qu'elle va craquer, surtout dis le moi d'accord ? »
Derrière Antares, Pleione regardait avec amusement et envie le corps de Cassandre, à peine couvert par cette culotte transformée en string par ses hanches voluptueuses.
« Allez on se dépêche. »
Les trois filles s'habillèrent rapidement puis descendirent au rez-de-chaussée, toujours escortées par Andreas. L'auberge offrait un large choix de plats, depuis la viande pour les carnivores qui aimaient en manger dès le matin jusqu'aux choses plus habituelles comme le lait. Les nekos se servirent puis allèrent à table avec l'ushi, qui pouvait encore compter sur Antares si jamais il fallait se servir des couverts.
Elles finirent au bout de vingt minutes et remontèrent directement dans leur chambre pour préparer leurs affaires.
« La diligence arrive dans une heure, soyez prêtes d'ici là. »
« Comptez sur nous Andreas. »
Le garde du corps laissa les demoiselles dans leur intimité, et les nekos firent un bref point avec Cassandre sur le voyage.
« Bon, nous allons partir pour rentrer à Zon'da, dans la maison de nos parents. Le trajet sera assez long, et on ne pourra sans doute s'arrêter qu'une fois, donc si jamais tu as besoin d'être traite... »
Pleione se colla contre l'ushi et pressa un de ses seins à travers sa robe.
« …fais le nous savoir, on devra peut-être faire ça dans la diligence. D'ailleurs, tu n'en as pas besoin maintenant ? Après toute une nuit, tu dois être à nouveau pleine. »
« Et sinon, pas de problèmes avec la culotte ? Parce qu'une fois parties, tu ne pourras pas en changer avant qu'on arrive. »
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L’histoire de la culotte prit un peu plus de temps que prévu… En effet, il fallait quand même pour Antarès, en temps que bonne inspecteur du travail, qu’elle regarde un peu tout cela… Pour la vachette, il n’y avait pas de problème ! Après tout, Antarès était sa maîtresse, elle pouvait la toucher de partout, sans que cela ne la gène pas moins du monde… Elle était une esclave, elle était faîtes pour cela ! Puis, en plus, elle avait particulièrement apprécié quand elle avait été touchée par cette fameuse Antarès… La dernière fois, cela avait fini par de nombreuses fessées, qui avaient été extrêmement agréable. D’ailleurs, pour les curieux… Oui, si vous regardiez les fesses de notre chère Ushi… On pouvait voir encore des marques rouges… N’est-ce pas intéressant ?
« Hhmm, ça c'est bizarre. »
Bizarre… Vous avez dis bizarre… ? Comme c’est étrange !
« Je savais que tu avais les fesses plus... rondes que les miennes, mais là... Bon écoute, voilà ce qu'on va faire : tu la gardes pendant le petit-déjeuner, et si tu es mal à l'aise ou si tu sens qu'elle va craquer, surtout dis le moi d'accord ? »
« Promis ! »
Et c’était l’heure du petit déjeuner donc ! Mmh ! Elles allaient bien manger ! Il y avait tout plein de choses, dont de la viande, et autres… Bien entendue, la vachette ne prit pas de viande, étant exclusivement pescetarienne. C’est un peu comme les végétariens, les pescetariens, sauf que comme le mot l’indique, les pescatariens ont le droit aux poissons et autres fruits de mer. Bref, après ce petit déjeuner copieux, l’homme dont elle se souvenait la voix arriva, et déclara, calmement, mais clairement pour que tout soit compris :
« La diligence arrive dans une heure, soyez prêtes d'ici là. »
« Comptez sur nous Andreas. »
Une diligence ? Ouaaaaaaaaaah ! La classe ! Elle n’était jamais allé en diligence de sa vie ! Elle savait que les diligences, parfois, étaient trainés par leur « formes animales », les bœufs, qui sont les hommes des vaches, donc, pas loin d’elle, pensait-elle avec amusement ! Son éducateur lui avait dit une fois qu’il serait très bien possible qu’elles soient acheté par un maître avec des idées pervers, et que ce dernier prenne un grand plaisir a l’idée qu’un de ses chars soit traîné par des Ushi. C’était peu commun, mais cela pouvait arriver. Notre chère Cassandre ne pensait pas que cela pourrait arriver avec des maîtresses aussi gentilles et agréables que les sœurs Lilianstar, mais on sait jamais ! Quoiqu’il en soit, elle écouta les explications de Plélone :
« Bon, nous allons partir pour rentrer à Zon'da, dans la maison de nos parents. Le trajet sera assez long, et on ne pourra sans doute s'arrêter qu'une fois, donc si jamais tu as besoin d'être traite... …fais le nous savoir, on devra peut-être faire ça dans la diligence. D'ailleurs, tu n'en as pas besoin maintenant ? Après toute une nuit, tu dois être à nouveau pleine. »
« Et sinon, pas de problèmes avec la culotte ? Parce qu'une fois parties, tu ne pourras pas en changer avant qu'on arrive. »
« Non ! J’ai l’impression que ça c’est habitué, ça tient mieux ! Meuh ! »
En effet, la culotte semblait s’être habituée aux tours de hanche de la vachette… C’était classique chez certains tissus -ou la tentative desespéré de ne pas exagéré sur le fait que la vachette n’avait pas non plus des hanches colossales destructeurs de culotte-. Mais quoiqu’il en soit, la vachette avait conscience qu’il ne serait pas possible de changer de culotte, alors qu’elle serait en voyage. Tant pis ! Elle prenait le risque ! Après tout, de toute façon, elle serait avec ses deux maîtresses, donc, elle ne risquerait rien ! Elle était là pour leur donner du lait, et maintenant, elle avait compris, aussi leur donner du plaisir… Bientôt, elle allait arriver sans sa nouvelle maison, là où elle serait donc servante avant d’être offerte comme cadeau… Zon’da… Elle ne connaissait pas. Sans doute qu’elle n’était jamais allé aussi loin dans sa vie !
« Sinon, je n’ai pas… Besoin d’être traite… Mais j’ai bien envie, maîtresses… Si vous avez encore fin, après ce petit déjeuner… »
Ah ! On pouvait voir que notre Ushi avait prit plaisir à la traite… Et elle tenait à bien répondre à Plélone. Après, elle était prête une fois arrivée, à montrer qu’elle ne faisait pas que de la traite, et qu’elle était capable de faire d’autres taches domestiques. Comme la cuisine, le ménage, etc. Cependant, dans cette situation, c’était… Comment dire… Difficile. Elle n’avait pas de quoi faire tout cela. Donc, au moins, elle montrait qu’elle était toujours là, si on voulait son lait. Ses seins étaient toujours présents pour deux Nekos gourmandes. Ahlala… Elle sentait qu’elle allait apprécié son voyage ! Mais bon, pour le moment, elle devait se préparer… Ah non. Elle était prête. Bref, elle était prête à aider les Nekos pour quelques ordres qu’il soit… Ou tout simplement, si celle-ci avaient soif. Comme dit précédemment… Elle n’avait pas BESOIN d’être traite… Mais bon… Elle ne serait pas contre…
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« Non ! J’ai l’impression que ça c’est habitué, ça tient mieux ! Meuh !
Sinon, je n’ai pas… Besoin d’être traite… Mais j’ai bien envie, maîtresses… Si vous avez encore fin, après ce petit déjeuner… »
En somme, que des bonnes nouvelles. Antares, qui portait maintenant une culotte propre, continua d'emballer les affaires des sœurs, compensant le manque d'activité de Pleione, qui portait toujours sa culotte de la veille, et qui reluquait par à coups la poitrine rebondie de Cassandre.
« Allez Pleione, concentre toi. Tiens, Cassandre, tu peux l'aider à emballer ses affaires s'il te plaît ? »
Même si elles n'avaient pas beaucoup d'affaires, leurs robes prenaient beaucoup de place, et il fallait s'appliquer pour bien les plier. Quand leurs valises furent enfin fermées, l'aînée Lilianstar s'assit sur son lit en soupirant tandis que la cadette alla faire un câlin à Cassandre.
« Et maintenant... je vais finir mon petite-déjeuner. »
Elle fit s'allonger l'ushi sur le lit, fit glisser les bretelles de sa robe sur ses épaules jusqu'à dévoiler son soutien-gorge, et releva ce dernier pour avoir accès à ses petits tétons.
« Hhmm... miam miam. »
La neko posa sa bouche sur un téton et se mit à le mordiller. Quand le lait commença à jaillir, elle aspira de toutes ses forces. Sa sœur était nettement moins enthousiaste qu'elle.
« Oh Pleione, c'est pas sérieux. On a pas le temps là. »
Mais elle ne se détacha même pas pour lui répondre, la joie d'avoir ce bon lait dépassait le reste. Antares poussa un soupir, puis alla voir son garde du corps.
« Andreas, dans combien de temps partons-nous ? »
« Environ vingt minutes je dirais. »
Elle retourna dans la chambre et dirigea son regard vers Pleione et Cassandre. Sa sœur ronronnait et l'ushi avait l'air tellement heureuse… Elle haussa les épaules et alla se mettre à côté de sa cadette, prenant le téton encore libre entre ses lèvres. Pleione sourit en la voyant enfin se relâcher un peu.
Au bout de quelques minutes, elles eurent vidé entièrement les deux grosses mamelles de l'ushi. Les sœurs se relevèrent et regardèrent Cassandre se rhabiller.
« Allez, en avant toute, la diligence nous attend. »
Les Lilianstar prirent la tête de la marche, Cassandre et Andreas les suivirent de près. Dehors, une diligence conduite par un terranide furry chien et tirée par deux grands chevaux noirs les attendait. Pendant que le garde du corps chargeait les bagages à l'arrière, les filles montèrent à bord. Pleione prit la place à côté de l'ushi et Antares se retrouva en face d'elles.
« Soyez sages pendant le trajet d'accord ? »
« Voyons Antares, tu me connais. »
« Oui, justement. »
La neko savait que la vachette allait se tenir à carreaux, mais sa petite sœur... ça c'était moins sûre. Andreas monta à son tour, s'assit à côté de la sœur aînée, et la calèche partit. Bientôt, le petit groupe serait de retour à la maison, et Cassandre allait découvrir ce qui deviendrait sa maison pendant quelques mois.
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Visiblement, s’il y en avait une qui était intéressée par la proposition de la vachette, c’était bel et bien Plélone. Cela, il n’y avait aucun doute… Alors, était-ce une bonne idée de l’avoir conseillée ? Mmh… Pas sur, en effet, la fameuse cadette des deux nekos semblaient… Un peu tir au flanc, par rapport à l’aidée de commencer à aider sa fameuse sœur à ranger, elle semblait beaucoup plus intéressée par les seins de l’Ushi…
« Allez Pleione, concentre toi. Tiens, Cassandre, tu peux l'aider à emballer ses affaires s'il te plaît ? »
« Bien sur ! »
Elle ne se fit pas attendre ! Pour la première fois, elle pouvait prouver qu’elle n’était pas qu’une vache à lait, mais aussi une très bonne servante ! Donc, elle fit de son mieux, et rangea les affaires de la meilleure manière qu’elle pouvait, le tout très organisé. Elle était relativement douée en la matière, étant donné qu’elle fit bien en sorte que tout rentre parfaitement. Elle plia même le linge qu’elle trouvait, pour faire en sorte que tout cela le plus nickel possible. Ainsi, elle pouvait bien motnrer qu’elle savait se débrouiller avec toutes les taches domestiques… Une fois cela fait, elle était relativement fière de son travail, elle voulu aller le montrer à Antarès, dans le but non avoué vocalement, mais totalement assumée de recevoir des compliments sur son travail… Cependant, une Neko avait autre chose en tête...
« Et maintenant... je vais finir mon petite-déjeuner. Hhmm... miam miam. »
« Oh Pleione, c'est pas sérieux. On a pas le temps là. »
« Dé… Désolée... »
La, de suite, l’Ushi fut très gênée… En effet, elle comprenait que donc, ce n’était pas le moment pour se faire têter, mais elle ne pouvait rien faire, la petite sœur Neko avait déjà pris sa place, et commençait déjà à aspirer le lait que proposait la vachette… Et cela, avec grand plaisir, évidemment. Et c’était bien entendue impossible aux yeux de la vachette, de pousser la neko ou de l’empêcher de boire… Elle était une maîtresse après tout ! Donc, dans ce genre de situation, et bien… Elle ne savait pas trop quoi faire...
Heureusement pour elle, une rapide question au garde du corps, permit à Antarès de voir qu’il y avait encore un peu de temps. Alors cette dernière vint rejoindre sa sœur pour venir boire au sein de Cassandre… Tant mieux ! Cela était mieux quand les conflits se réglaient tout seuls comme cela. Les deux nekos, sans doute pressée par le temps, commencèrent à boire activement, pour tenter de vider la vachette le plus rapidement possible… Ce fut chose accomplie, étant donné que bien rapidement, la vachette fut à sec pour un moment, et celle-ci put se rhabiller, devant les deux nekos satisfaite...
« Allez, en avant toute, la diligence nous attend. »
En avant mauvaise troupe ! Cassandre suivit tranquillement et docilement les deux nekos, tentant de porter quelques affaires, mais le garde du corps faisait un excellent travail, et montrait globalement à Cassandre qu’il n’avait pas besoin d’aide, dans cette situation, et que celle-ci pouvait être tranquille. Une fois arrivée, et les affaires chargés dans la diligence, l’ainée des Nekos rappela aux deux autres personnes montant dans la diligences...
« Soyez sages pendant le trajet d'accord ? »
« Voyons Antares, tu me connais. »
« Oui, justement. »
« Ouaaaaaaaah ! Promis ! »
Elle déclara rapidement un « promis », une fois son émerveillement marqué. Comme dit dans les posts précédents, cela allait être la première fois qu’elle allait voyager en diligence ! Elle était toute excitée.
« Oh ! C’est génial ! C’est la première fois que je voyage en calèche ! Au revoir ranch ! Au revoir monsieur Harmington ! »
Ainsi, elle leur disait au revoir… Symboliquement, c’était très fort, car effectivement, c’était un « au revoir ». Un adieu, même, quand on y réfléchissait un peu. Elle n’allait très certainement jamais les revoir, étant donné qu’elle venait d’être achetée… C’était ça, le destin des esclaves… Mais inutile, bien entendue, de sortir vos mouchoirs. Elle allait aller à la place, dans un lieu où elle avait très très envie d’y aller ! Après tout, cela allait très certainement être une maison formidable, où elle allait pouvoir être très très heureuse ! Elle allait être la meilleure de toute les servantes, et ainsi, montrer aux deux Nekos qu’elle ne regretterait pas leur choix ! Après tout, n’était-elle pas une magnifique et adorable Ushi ?