Empress Florenza [Part 1] ''Spider crush'' [PV Silk] - TERMINE

Silk savait que l’acte qu’elle venait de commettre signifiait la mort de son personnage ; la mort de Silk. Cindy n’était plus une super-héroïne après cela, même si elle avait tué madame Holson dans le but de lui épargner une vie pire qu’un enfer. Etait-ce réellement un point de non-retour ? Etait-ce réellement la pire solution ? Cindy ne le pensait pas, mais elle savait que Silk ne pourrait jamais tuer une femme comme elle … Et cela était sa punition. Sa sentence pour s’être laissée embarquée dans toutes ces histoires, et pour avoir laissé Rachele, la prunelle de ses yeux, payer le prix fort. Quelle était la suite ? Eh bien, Cindy venait de le dire elle-même ; elle deviendrait l’esclave de cette folle se faisant appeler le Boss. A genoux devant elle, les yeux complètement gonflés et larmoyants, Cindy était livrée en pâture. Elle pensait alors que son calvaire était finit, et que la femme allait simplement lui donner des ordres à compter de maintenant. Quelle grave erreur …

Quand elle entendit la femme appeler son agent et lui dire d’aller chercher le colis, Cindy sentit quelque chose de terrible. Surtout après quand on lui confirma qu’à nouveau, elle allait payer pour ses actes. « Je … Cela n’a plus d’importance … » Dit-elle, comme vidée de toute émotion, de toute âme. Elle ne fit strictement rien quand elle se fit prendre par les épaules et attacher, telle une poupée inanimée. Bien que la position qu’on lui fit prendre était extrêmement inconfortable et douloureuse. Elle serra des dents et gémit de douleur, son visage se crispant face à celle-ci. La phase finale allait commencer aux dires qu’elle entendit, et cela commença alors à la faire stresser. Son cœur se mit à battre fort, et ses yeux tentèrent de voir ce qui se tramait. La pauvre Cindy était attachée tel un vulgaire morceau de viande, incapable de se défaire de ses liens. Et … Le voulait-elle ? Tant qu’elle obéirait, Rachele serait sauve. C’était tout ce qui comptait … Rachele … Rachele et encore Rachele. C’était la seule chose qui habitait l’esprit de Silk depuis des mois, et maintenant, cela prenait tout son sens.

Elle ne réagit guère non plus quand elle sentit qu’on lui passa un produit sur la tête, qui eut pour effet de colorer ses cheveux. Cindy comprit que c’était la marque de fabrique du Boss envers ses esclaves. La femme araignée adressa un regard noir envers la femme, mais ne fit rien. Ses bras s’agitèrent un peu, mais la position était si douloureuse et contorsionnant qu’elle arrêta bien vite tout mouvement. Les yeux complètement embués et noyés de larmes, Cindy sentit ensuite une tondeuse passer sur le côté de son crâne, lui arrachant une part de sa propre identité … C’était malgré tout un choc, aussi minime que ça soit. Ses cheveux tombaient au sol en même temps que ses larmes ; Cindy était brisée. Elle n’était plus Silk et plus ça allait, plus c’était désormais irrévocable. Ses beaux cheveux tombèrent en partie, et quand elle regarda le résultat au travers le miroir qu’on lui présenta, elle détourna vite et brusquement du regard. Elle avait une tête de truande, une coupe de criminelle ou de dégénérée … A l’image de sa nouvelle maitresse autoproclamée. Aucun mot ne sortait de ses lèvres mais pourtant, on sentait son désarroi et désaccord.

La souffrance n’allait pas s’arrêter là. Cindy sentit des ventouses qu’on posa sur son front et sa tempe et comprit que la suite allait être … Douloureuse. Des larmes continuaient à maculer ses joues malgré son silence, trahissant l’état mental de Cindy. Quand ses tétons furent emprisonnés, la pauvre femme ne put retenir un couinement de douleur et de plaisir, malgré elle. Le plaisir … Cette chose que lui avait fait découvrir Rachele. Cette chose qu’elle désirait profondément envers son amie, mais qu’elle n’a jamais eu le temps de le lui avouer. Et à présent, c’était le Boss, son pire ennemi, qui prenait les devants et lui offrait ce plaisir tant attendu de la part de Rachele. Quand elle entendit qu’elle allait avoir son numéro de série, la femme araignée releva péniblement le regard, tentant de trouver sa voix au milieu de ses gémissements. « Va en enfer … » Répondit faiblement Cindy avant de se faire bloquer les lèvres par un more. Et … Le plus humiliant arriva. Cindy sentit et vit deux godes abjectes s’orienter et se mettre en place en face de ses ouvertures, provoquant alors des cris et gémissements étouffés par le more de sa part.

Elle se mit à gesticuler mais, en vain, elle ne parvint à rien faire. Se faire violer serait la pire chose pouvant lui arriver, même si c’était par une machine ! Le peu de dignité qui lui restait allait être arraché de la pire des façons, achevant toute trace de dignité en Cindy, qui se dégouterait et se détesterait encore plus que maintenant ! Le pire restait à venir … Le Boss se tourna vers Cindy après un coup de fil puis lui tendit son téléphone, qui retranscrivait des images. Des images qui glacèrent le sang de Cindy, qui se mit alors à … Péter les câbles, hurlant et criant derrière son more, gesticulant de toute part, quand elle vit sa sœur en train de se faire embarquée par un gros dégelasse homme d’affaire. Mais pouvait-elle faire ? Silk, la superhéroïne, était morte et enterrée. Cindy n’était rien … Et elle ne pouvait rien faire.

Les larmes jaillirent complètement, Cindy s’effondra et hurla de désespoir, de douleur, derrière son bâillon. Il ne restait plus qu’à achever sa destruction mentale, et c’est ce qui arriva quand les machines s’activèrent, et se mirent à envoyer de violentes décharges sur les électrodes à sa tête et à ses seins. Douleur et plaisir se mélangèrent vicieusement pour attiser le désir, le sexe, la luxure et toutes ces basses choses dans la tête de Cindy. Tête qui fut complètement secouée par les électrochocs qui stimulèrent le plaisir dans son cerveau … Le plaisir, et encore le plaisir. Tout explose, tout vole en éclat. Cindy se met à mouiller copieusement au bout de quelques temps, sa mouille maculant le sol alors qu’elle commence à prendre grand plaisir à toute cette sordide torture. Son cerveau lâche, et ne désire plus qu’une chose ; du sexe, encore et encore. Cindy était … Comme en transe, la colère et le dégout de l’affaire avec sa sœur ayant détruit toute trace de raison dans son esprit.

Le Boss finit alors par s’approcher alors que les machines s’arrêtèrent. La femme lui prit son visage, et insinua quelque chose qui, aussi surprenant que ça l’était, donna de l’espoir dans les yeux de Cindy. Rachele … Sauvée ? Cindy venait-elle réellement de sauver quelqu’un ? Rachele de surcroit ? L’espoir et la joie – alors que la situation était désastreuse – s’imprimèrent sur son faciès. Quand le Boss retira son masque … Cindy éclata en sanglots, mais pas de douleur ; de joie. Rachele était sauve. Rachele était vivante. Et Rachele … Serait pour toujours en sécurité, désormais. Cindy était devenu complètement folle et détruite mentalement, au point qu’elle éclata de joie au lieu de sombrer face à cette terrible révélation. Le Boss n’était autre que Rachele ! Quelle importance, tant que Rachele était en sécurité ? C’était ça, qui était dans sa tête à ce moment-là. Après cela, Cindy arrêta de se débattre et sembla accepter pleinement et avec joie le sort qui lui fut réservé. Elle continua de se faire violer tous les orifices, mais elle ne résista plus du tout. Voire même, elle prit plaisir entièrement, mouillant et jouissant copieusement sans aucune honte, comme … Libérée de toute considérations morales.

Elle allait pouvoir veiller sur Rachele pour le restant de sa vie ! Qu’est-ce qui pouvait arriver de mieux ? Aucune raison de continuer à se battre, à résister, à faire les vierges effarouchées maintenant que Rachele était là. Sa seule et unique amie, celle qui l’aimait sincèrement, celle qui ne voulait que son bien ! Des heures et des heures s’écoulèrent pendant que Cindy continua de se faire prendre et électrocutée, ne faisant pas alors que détruire sa personnalité, mais en construisant une autre … Infiniment plus axée sur le sexe et le plaisir, sur la servitude, sur l’adoration de Rachele ! Quand elle sentit le more se faire retirer, Cindy reprit son souffle, puis remonta son visage. Son regard n’était plus le même … Il transpirait à présent de vice, de perversion, et de soumission envers Rachele. « Je l’ai toujours été, Rachele … Mais à présent je le suis pleinement. Tu m’as débarrassée de cette grosse pute de Silk, tu m’as permit de devenir bien plus que ce j’étais avant … De devenir ta salope, à toi et uniquement à toi … » Déclara-t-elle en finissant par un rictus diabolique, témoins de sa folie. « Je suis tout ce que tu veux que je sois Rachele … Je t’appartiens. Fait de moi ta plus grosse chienne ou la sœur que tu n’as jamais eu, je serai toujours la plus heureuse des salopes ! » Déclara-t-elle fièrement. Silk était définitivement morte … Au profit d’une dangereuse psychopathe nymphomane et super-vilaine qu’était devenue Cindy Moon !

- Bien... Très bien...

Murmure Rachele en lui carressant les cheveux de manière glaciale, comme si elle époussetait un bibelot de grande valeur. Curie se rapproche et retire les élèctrodes du crâne de Cindy qui arbore désormais les même délicates petites cicatrices que l'esclave 425, symbole évident du ravage mentale qu'elle vient de subir.

Dona Florenza sait que le métabolisme extraordinaire de la super héroïne les feras disparaitre en quelques jours, mais elle les trouve si excitantes qu'elle prend note dans un coin de son esprit malade de la soumètre à nouveau à ce traitement pour qu'elles réapparaissent...

- Maintenant je vais te faire sombrer dans mon univers. Je vais faire de toi ma chose et tes désirs ne seront plus guidé que par mes fantaisies.

Curie se retourne vers la table d'ustenciles et s'empare d'un flacon contenant une substance rose et visqueuse ainsi que d'une seringue armée d'une longue aiguille.

- Je sais ce que tu te dit... que ça ne te fera rien... que ton métabolisme de mutante assimilera la substance et t'en prémunira...

Ajoute la nouvelle maitresse de Silk pendant que sa sbire se rapproche en crevant l'oppercule du flacon avec l'aiguille et en absorbe tout le contenu.

- Détrompe toi, les meilleurs chimistes et généticiens de Tekhos, de la Terre et de Terra se sont penché sur les échantillons de ton sang que j'ai glanné pendant que je t'aidait à combattre le crime en ville.

Curie lui passe derrière et commence à masser le petit mont de chaire qui trône sur ses lèvres pubiennes, encore gonflé et tuméfié par le viol et les orgasmes forcés qu'elle vient de subir. A cet endroit, sa peau n'est pas plus résistante que celle de n'importe quelle femme...

- Ne t'inquiête pas... tu seras toujours parfaitement consciente... Cela boustera juste un peu ton moral et tes envies de salope. En revenche... C'est extrêmement... additif... Tu seras très vite accro... Et je me délècterai de te voir remper à mes pieds et me les sucer pour me supplier de t'en donner encore et encore...

Une douleur fulgurante éclate entre les cuisses de Cindy. Elle sent le froid glacial de l'acier pénétrer sa peau et les plis nervurés de son clitoris jusqu'à ce la pointe perce la veine qui l'irrigue. Un flot épais et visqueue se mêle à son sang et se fait lentement pomper par le coeur vers tout son corps. Cindy le sent monter en elle, elle sent une chaleur étrange et un fourmillement intollerable envahir son corps partout ou il passe.

- Ne te vexe pas... toutes mes putes sont accro... je m'en assure personnellement. Et comme tu es la plus misérable d'entre elle, normal que tu soit aussi la plus sale et la plus dépravée.

D'abord elle sent ses organes génitaux se gorger de sang et palpiter alors qu'elle se met à ovuler comme une jumen fertile. Puis ses cuisses et son ventre perdent leur vigueur surnaturelle et adopte une langueur sensuelle. Puis ses seins se mettent à enfler et ses tétons pointer comme jamais au part avant. Enfin la substance se répend et innonde son cerveau, Cindy ressent alors un bien être incroyable, son attention se focalise sur l'instant présent et sur ses sensations exacerbées pendant que son champ de vision rétrécie en un couloir étroit et étriqué. Mais plus violent que tout, elle ressent à nouveau un désir irrépressible de se faire baiser, de se faire prendre violemment et salement malgré ce qu'elle vient à peine de subir.

- Tu etait la plus valeureuse et la plus orgueilleuse de toutes mes précédantes conquêtes, celle qui à le plus de valeur à mes yeux désormais dans mon écurie privée... alors je te traiterais comme la plus pitoyable d'en elles. Désormais tu sera l'esclave 0, car tu n'es plus rien, plus personne, tu n'a même pas le droit à un vrai numéro.

Cindy entend le bruit d'une machine à tatouage s'activer et des picotements sur sa nuque, elle devine que celle-ci est en train de lui tatouer son propre code barre. Puis elle vient se placer devant elle et lui empoigne le seins gauche.

- Tut tut tut... on reste bien sage et on obeit à sa maitresse adorée.

Et Curie abat à nouveau son jouet sur Cindy, mais cette fois ci, elle ressent chaque perforation de la machine comme jamais elle n'aurait crue que ce soit possible. Le mélange de drogue et d'hormones qu'elle lui a injecté l'a rendue si sensible que son 6eme sens arachnéen se retourne contre elle et lui fait ressentir chaque seconde de torture comme si elle durait des heures. Et la voie de Rachele continue de se déverser dans ses oreilles, lui enfonçant ses nouvelles règles de vie et sa nouvelle identité dans la tête comme des coups de marteau.

- A partir de maintenant il n'y a plus de "je" ou de "moi", tu n'es plus personne, tu n'es plus que l'esclave 0 et tu n'existe qu'au travers de ta Maitresse. Pour parler de toi désormais tu diras "Elle", ou "votre esclave" , mais plus jamais tu ne sera toi.

La machine arrête de scarifier la chaire délicate de son sein, en baissant les yeux, Cindy peut désormais voir un petit 000 rouge sombre tatoué sur sa peau. Un cliqueti résone et le monde de l'ancienne heroïne bascule vers l'avant alors que son corps chute lourdement sur le sol. Rachele lui rattache la laisse et commence à quitter la salle en donnant de petit coups sur le manche.

-Halé... hop hop petite chienne, on me suit, et à quatre pattes comme une bonne petite salope, on va t'enmener à la niche pour te reposer le temps que je prévienne mes copines qu'il y a un poker ce soir, avec un gros lot à la clef...

Les promesses de Rachele de la faire sombrer dans son univers de débauche et de crime furent comme du poison se distillant dans les veines de Cindy. Plus Rachele lui promettait de faire d’elle une criminelle, une folle, une perverse et plus Silk se sentait vivre et sentait qu’elle avait envie d’embrasser corps et âme cette chienne qu’elle était en train de devenir. La criminelle lui intima qu’elle allait la faire sombrer dans son univers, ce qui décrocha un rictus maléfique aux lèvres de la femme araignée, qui la regarda droit dans les yeux. « Mes désirs sont déjà tous orientés vers toi, Rachele. Tu m’excites, tu m’as frustré pendant des mois, tu es devenue l’objet de mes convoitises … Objet que tu m’as refusé jusqu’à maintenant … » Déclara Cindy. En réalité, concernant les piqures et les autres traitements que la femme allait lui faire, la femme araignée s’en moquait. Elle ne voulait plus savoir si elle tiendrait la route, ou si elle allait carrément muter en un monstre à force.

Tout ce qui important, c’était de pouvoir enfin servir et être proche de Rachele. Cindy observe le liquide et la seringue, qui se rapprocha alors dangereusement de sa féminité. La cheffe lui expliqua que son sang avait été analysé et que le produit allait donc outrepasser ses défenses augmentées. De ça, Cindy n’en n’avait plus rien à faire … Elle était déjà détruite mentalement, alors détruire son corps ne serait, au final, rien. « Et je te les lécherai encore et encore pour avoir ma dose quotidienne, comme une bonne petite chienne … Tu ne te débarrasseras plus de moi aussi facilement. » Répondit-elle à Rachele, face à ce qu’elle venait de dire.  La piqure finit par percer sa peau au niveau de l’endroit le plus délicat de son corps, et dès lors, une douleur acide éclata entre ses cuisses, lui arrachant un subit râle de douleur. Tous ses muscles se crispèrent et Cindy sentait alors le liquide se mélanger à son sang au fur et à mesure qu’il se propageait dans son corps.

Cela finit par atteindre son cerveau et à ce moment, une étrange sensation s’empara d’elle. Comme si elle était droguée. Un bien fou s’empare d’elle, un plaisir et une sensation de bonheur infinie, en total paradoxe avec la douleur immense et les fourmillements qui parcouraient son corps. Les changements physiques commencèrent à se voir quand sa poitrine augmenta sensiblement de volume, devenant plus voluptueuses et provocantes, répondant désormais aux standards de Rachele. Ses formes prirent en sensualité, bien que ses lignes musculaires perdirent de leur superbe. Cela ne diminuerait en rien sa force surhumaine, mais au lieu de lui donner une apparence plutôt en forme et guerrière, elle aura désormais une apparence aguicheuse et provocante. Le clou du spectacle fut quand une envie immense et persistante s’éprit d’elle ; une envie de baiser comme une affamée. Son corps hurlait de se faire tringler ou quoique ce soit d’autre. Cindy sentait une envie persistante de coucher, de se faire prendre, par n’importe quoi !

Elle était devenue un pur produit de l’esprit de Rachele. Et étant désormais l’une de ses esclaves, elle devait recevoir un numéro de série. Cindy fut un peu déçue de n’être que le numéro 0. Cependant quand la machine se mit à graver dans sa chair son numéro, la douleur fut si intense qu’elle en râla, en serrant des dents et des poings. Pendant tout ce temps, Rachele lui imprima à l’encre indélébile ses ordres, dans son esprit. Plus de première personne, plus de ça, car Cindy n’était plus une personne ; elle était la chienne de Rachele, ni plus ni moins et elle en était foutrement fière et heureuse ! A la fin de la séance de torture, Cindy aperçut son numéro sur son sein, en rouge, indiquant 000. Finalement la machine libère Cindy qui tombe mollement au sol, ayant tout de même la vision brouillée et les sens complètement perturbée. Affalée au sol elle sent une laisse se faire passer autour de son cou, avant qu’on ne la tire.

Rachele déclara alors la suite des évènements, et un large sourire carnassier s’imprima alors sur les lèvres de la femme araignée. Son corps brûlait tout entier ; il brûlait de désir et de soif de sexe. Cindy devait baiser ou faire quelque chose, sinon elle sentait qu’elle allait exploser sur place. En bonne petite chienne, elle suivit sa maitresse mais finit par se blottir contre sa jambe quand elle s’immobilisa, se mettant même à doucement lécher sa peau au travers l’ouverture de sa robe. « Je veux que tu me baise Rachele … Je veux que tu me prennes contre un mur, comme si t’allais violer une vulgaire putain ! » Déclara-t-elle fièrement, se frottant toujours contre sa jambe.

Rachele regarde sa chose avec sévérité en l'entendant encore parler d'elle même avec des "je"; elle venait même d'oser exiger quelque chose. Dona Florenza soupire à la fois d'exaspération et d'exitation en réalisant que même si son esclave lui est totalement acquise, elle va devoir continuer à la briser pour qu'elle se comporte comme une parfaite petite esclave...

- Tu n'exige rien du tout petite salope dévergondée...

Dit elle d'une voix séduisante mais ferme, cruelle même. Elle dégage sa jambe et tire sur la laisse avec brutalité pour que le visage de Silk revienne vers le sol. Rachele retire alors ses pieds délicats de ses talons hauts et pose l'un d'eux sur la tête de son esclave, elle appui dessus lentement pour forcer sa "chose" à venir lui baiser l'autre pied.

- Il n'y a pas de "je" quand tu parle de toi ! Il n'y a pas de "tu" quand tu parle de moi. Le seul nom par lequel tu peu m'appeller désormais c'est Maitresse, ou Madame, en rien d'autre.

Parfaitement consciente du feu insupportable et de l'état de nervosité dans lequel se trouve Silk à cause de la drogue, Rachele joue sur ses désirs et ses fantasmes en écartant les ortueil pour que l'autre puisse les lécher.

- Silk, Cindy, ton identité de super héroïne, ces femmes n'existent plus. Tu n'es plus personne, tu n'es que l'esclave zero, une moins que rien, la pire et la moins bien élevée de mes putes et tu n'existe plus en temps qu'être humain.

Elle lui enfonce maintenant le bout de son pied dans la bouche pour l'obliger à le sucer comme s'il s'agissait d'un pénis de grande taille.

- Tu n'as plus le droit de dire "je" ou "moi" ou quoi que ce soit qui se rapporte à toi. Maintenant tu parleras de toi en disant "votre esclave", "votre pute", "votre chienne" ou tout autre therme dégradant qui sié à ta condition de jouet sexuel.

Elle extirpe finalement son pied de sa bouche et s'éloigne de reprend lentement sa route en tirant sur la laisse.

- A quatre pattes et en dandinant bien du cul devant mes invités esclave, tu n'auras le droit de te faire baiser que si tu ne me fait pas honte.

Elle l'entraine dans un long corridor qui débouche finalement sur une salle secrête qui surplombe le casino du Rachele's. C'est une pièce relativement petite avec une seule table de jeu, muni d'une croupière entièrement nue, les tétons percés d'anneaux d'argent, les yeux et la bouche bandés, réduite à sa plus simple fonction d'objet, comme Silk à ce moment.

- Entre ma salope mal élevée, je vais te présenter à mes amies, même si tu dois déjà les connaitre j'imagine...

En relevant la tête pour voir l'assistance, "l'ancienne Silk" reconnait instantannement ces visages qui la regarde avec un mélange de satisfaction et d'inquiétude. Outre cette Curie qui l'a torturée pendant des heures, elle reconnait aussi deux autres baronnes des differentes famille du pays ainsi que deux cheftaines de gangs violents de la ville. Ces femmes, l'héroïne les avait toutes combattus, voir même vaincues, emprisonnées, livrées à la justice. Et maintenant, elles étaient là autour de cette table, et elle, rempait aux pieds de leur hôtesse...

- Mes amies, je vous présente celle qui se faisait appeller Spider-girl, ma nouvelle esclave. Ce soir, elle aura pour tache de prouver sa dévotion en s'offrant à celle d'entre vous qui gagnera notre partie de black jack.

C'était fait, les plus puissantes truandes connaissaient maintenant l'identité secrête de la jeune femme, qui découvre alors qu'il ne lui suffira pas de se prosterner devant la femme qu'elle aime pour obtenir son attention... Elle devra aussi se soumètres à tous ses caprices et jeu de pouvoirs...

La maitresse des lieux s'installe autour de la table et fait passer son esclave sous celle-ci. Silk entend le bruit d'une clochette et les cartes qui commencent à être battues et distribuées. Au début, Rachele la tient entre ses deux cuisses ouvertes pour que l'esclave puisse la satisfaire en même temps qu'elle lui carresse délicatement la vulve du bout des ortueils pour la rendre folle de désir.

Mais soudain, l'esclave sent que sa maitresse à passé la laisse à quelqu'un d'autre qui la tire vers elle. Silk se retrouve à devoir remper sous la table pour aller entre les cuisses d'une autre jeune femme qui lui empoigne vigoureusement les cheveux pour l'obliger à la lécher.

Elle comprend alors en les écoutant que l'honneur de l'avoir à ses pieds pendant quelques instants revient à celle qui à la main sur la partie. Et elle passe alors de femme en femme, obligée de gouter leur saveur, d'endurer leurs désirs.

Il était vrai que Silk allait mettre un petit temps d’adaptation en ce qui concernait les appellations. Ne plus se nommer à la première personne allait être un exercice difficile au début mais nul doute qu’elle allait finir par s’y faire. Si telle était la volonté de sa maitresse, alors elle devait le faire. Il n’y avait pas d’autres options … C’était ça, d’être devenue la propriété d’une mafieuse. Néanmoins Rachele décida de la rappeler à l’ordre et lui dit, d’une voix ferme mais sans être sensuelle. Il n’y avait donc pas de ‘je’ ou de ‘tu’ mais uniquement des appellations bien spéciales. Cindy allait devoir se l’imprimer dans l’esprit, et quoique l’on pouvait en penser, c’était un peu dur même pour elle. Même après cette séance de torture qu’elle venait de subir. En tout cas Rachele la rappela à l’ordre et d’une manière très spéciale, puisqu’elle se déchaussa de ses hauts talons, avant de poser un de ses délicats pieds sur le crâne de Cindy, appuyant dessus pour la forcer à poser ses lèvres sur son autre pied.

La petite araignée s’exécuta immédiatement et se mit à lécher – avec envie – les petits doigts de sa maitresse, nichant sa langue bien dessus. Elle léchouilla chacun d’entre eux, exactement comme Rachele semblait en avoir envie, vu la manière dont elle les écartait. L’ancienne superhéroïne lécha copieusement et onctueusement, ses lèvres s’amusant même à venir embrasser cette douce peau qui lui était offert. Cindy était totalement soumise à Rachele et la voir en train de la vénérer ainsi, en lui baisant les pieds, témoignait de sa transformation. Toutefois ce petit plaisir finit par cesser, même si Cindy aurait bien aimé continuer pendant un long moment. Rachele l’incita même à sucer plus copieusement le bout de son pied, à la manière d’une verge bien vigoureuse, et l’araignée s’exécuta avec le plus grand des plaisirs. Rachele lui rappela quelques dernières consignes, puis décida de retirer son pied, mettant un terme à cette séance de rattrapage.

« Bien, Maitresse … » Répliqua l’araignée, toute soumise et humble. Rachele venait peut-être de lui dire qu’elle n’était qu’un jouet sexuel mais, Cindy savait que c’était faux. La mafieuse n’allait pas gâcher les pouvoirs de Silk en la réduisant à un simple jouet sexuel. Elle était plus que ça … Elle était, dorénavant, une super-vilaine, comme on disait. Parmi ses nouvelles fonctions il y avait bien sur celle d’être le petit jouet de Rachele mais aussi être sa nouvelle arme ! Ceci étant dit, les deux femmes continuèrent leur route et elles finirent par entrer dans une salle secrète, où apparemment, des jeux secrets se déroulaient. Il y avait là d’autres membres du gratin criminels de la ville. Silk reconnut certaines femmes ici présentes, à qui elle avait déjà eu affaire du temps où elle était une justicière. Mais désormais son seul amour propre résidait en Rachele, et elle ne ressentait donc plus rien en s’affichant comme un jouet devant ses anciennes ennemies.

Les règles du jeu semblaient simples ; Cindy allait devoir se mettre sous la table et faire plaisir à chaque gagnante d’une manche. Cela commença par Rachele, bien entendu. L’araignée se mit sous la table, entre les puissantes cuisses de la mafieuse qui les ouvrit pour elle, et commença dès lors à faire son œuvre. Cindy approcha son visage et commença à honorer l’intimité de sa Maitresse adorée, sortant vivement sa langue pour l’apposer contre ses douces chairs intimes. Mais non contente d’avoir une Silk en train de la satisfaire, Rachele se mit à caresser la féminité de son esclave du bout de son délicat pied, afin de la rendre encore plus folle. Et cela fonctionnait à merveille puisque Cindy commença à couiner et se tordre sous le plaisir qui inonda sa féminité. Instinctivement elle remua du bassin pour mieux se frotter contre le pied de sa Maitresse, tout en continuant de la lécher et flatter son sexe. La langue de Cindy était experte et remuait tendrement contre ses chairs, s’attaquant tantôt à son petit bouton, tantôt à ses fines lèvres suaves et sucrées. « Hmmm … » Couinait-elle onctueusement, se délectant de ce plaisir sans fin …

Cindy avait tout lâché. Afin de ne plus souffrir, de ne plus se heurter à quelconque barrière et se faire mal d’avantage, la femme avait tout simplement tout abandonné niveau morale. Silk se lâchait, et obéissait aveuglément à Rachele qui était sa seule garante, sa seule lumière au sein d’un vaste brouillard épais. Après l’avoir donc copieusement léché et s’être frottée contre son doucereux pied, elle sentit que sa laisse changea de main. L’araignée changea donc de position et se retrouva bien vite la tête entre les cuisses d’une autre femme, qui prit les devants en forçant avec poigne la tête de Cindy, entre ses cuisses. Cette femme allait cependant être très surprise puisque l’esclave appuya ses mains contre ses jambes puis, d’elle-même, se mit à lécher avec avidité et vice, enfonçant au maximum son visage pour lécher, encore et encore.

Cindy passa de main en main et à chaque fois, telle une traînée sans morale, elle satisfit chacune de ses amantes avec une énergie et un appétit débordant. Plus les secondes passaient, plus Cindy devenait une autre femme, une autre personne … Elle se transformait en une super-vilaine en bonne et due forme. Le pire fut sans doute qu’elle prit plaisir à lécher et doigter chacune de ces femmes. Elle prit plaisir à se faire agripper la chevelure et se faire forcer, elle prit plaisir à lécher et à doigter, elle prit plaisir à se faire traiter comme une réelle traînée … Car cela plaisait à sa Maitresse, et satisfaire Rachele, était absolument tout ce qui comptait le plus au monde …

Quand elle couine de plaisir, Rachele la rappel à l'ordre en tirant vigoureusement sur sa laisse pour l'amener près d'elle.

- Tu prend un petit peu trop tes aises ma petite salope, c'est à moi de décider quand tu prend du plaisir ou pas... il va peut être faloir faire un petit cadeau à ton clito rebelle pour te libérer de tes envies... ça dépendra de ton comportement de ce soir...

Puis elle continue de jouer comme si de rien n'était. La partie s'éternise et l'esclave à le temps de passer entre toutes les cuisses et toutes les mains. A un moment, elle découvre avec stupéfaction que l'une des femmes est en fait une futanari. Mais celle-ci lui aggripe la chevelure sans vergogne pour lui faire avaler sa queue chevaline jusqu'au fond de la gorge avant qu'elle ne puisse dire quoi que ce soit.

Pendant les nombreuses minutes qui suivent, la futa peuple sa bouche et sa gorge de sa queue, l'etouffant parfois totalement pendant de longues secondes alors qu'elle la fait monter et descendre lentement le long de sa hampe énorme qui lui fait mal à la machoire.

Finalement, elle la sent venir, et avant qu'elle ne puisse faire quoi que ce soit, la futa lui retient la tête bien enfoncée sur sa hampe pour l'obliger à pomper sa semence rasades après rasades.

Puis elle la relache et la chasse du pied comme on se débarasse d'un mouchoir ou d'une capote usagée.
La partie continue encore un peu jusqu'à ce qu'une vainqueuse reporte la mise. Sans lui laisser le temps de savoir de qui il s'agit, Rachele tire sur la laisse et ramène son esclave près d'elle. Une des femmes s'agenouille derrière Silk, un bandeau dans la main.

La dernière chose que voit la nouvelle super-vilaine avant que les ténèbres du tissu ne tombent sur ses yeux est le corps et le visage parfait de Rachele qui se penche vers elle pour lui passer un baillon entre les dents.

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On lui atatche à nouveau les mains dans le dos à l'aide des menottes d'adamentium et on tire sur sa laisse. Cindy est obligée de suivre sa maitresse à genou, mobilisant toute son agilité pour ne pas remper par terre comme un animal.

Elle sent qu'on l'entraine à nouveau quelque part en bas, toujours plus bas, vers les dongeons SM. Le son des talons haut de sa maitresse rithme sa marche et à quelque chose de sensuel et d'érotique.
Elle entend le bruit d'une lourde porte qui s'ouvre, on lui retire le baillon et pendant quelques instants elle peut parler.

Puis le collier se resserre aui point qu'elle ai du mal à respirer. Une femme s'installe devant elle, Silk sent l'odeur de sa sueur, de ses cuisses, de son sexe, cette odeur elle la connait, mais ce n'est pas celle de Rachele.

On lui enlève finalement le bandeau. Curie se trouve devant elle, tirant sur sa laisse comme si c'était celle d'une chienne en chaleur, brandissant un pied sous le nez de Silk.

- Ce soir c'est moi qui t'ai achetée à Rachele. Elle veux que je te teste pour voir si tu es une bonne petite esclave obeissante ou si je vais devoir te faire passer sur ma table d'opération... Elle m'a dit que tu était une sale petite pute dévergondée qui adore ça alors va y...

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- Lèche...

L’araignée passait de femme en femme sans jamais s’arrêter. Elle ne se rebellait pas et n’émettais pas une once de rejet. C’était comme si Cindy avait mis en suspens son cerveau afin de faciliter la situation, de faciliter son dressage qui semblait être au point. La jeune femme passait donc de main en main, se voyant à chaque fois forcée de s’occuper du sexe de son occupante. Néanmoins elle semblait prendre beaucoup plaisir … C’était la manifestation d’une Silk plus sombre et perverse, d’une super-vilaine cassant rapidement toute ses précédentes limites. Le sexe allait à tous les coups occuper une place centrale dans sa nouvelle personnalité et ce grâce à Rachele. Cindy faisait donc son travail mais vint un moment où elle vit quelque chose de très, très bizarre et curieux à la fois. L’une des femmes auquel elle eut affaire ne possédait pas de sexe féminin, comme toutes les autres.

Là-dessus, Cindy sentit à nouveau une main agripper ses cheveux pour la forcer à prendre en bouche ce gros morceau épais, qui était une queue équine ! En matière d’étrangeté elle en aura vu, ce soir. Mais Cindy avait faim, très faim … Et elle dévora donc cette verge avec un féroce appétit, pompant, aspirant, creusant ses joues pour lui prodiguer une savoureuse fellation. Mais la femme à qui appartenait ce membre ne se laissa pas faire et enfonça de force son membre jusqu’au fond de sa gorge, manquant de faire s’étouffer Cindy qui couina. Mais elle goba ce délicieux membre et le pompa allègrement, jusqu’au bout, jusqu’à ce qu’elle sente la femme arriver à sa première jouissance. La dame crispa son emprise sur Cindy et se mit à juter dans sa gorge, déversant une énorme et généreuse cartouche en elle, que la victime avala toute entière, gorgée par gorgée, toujours avec cette férocité et cette dévotion criante.

Mais les choses se précipitèrent, ensuite. Cindy sentit se faire repousser subitement, avant qu’elle ne sente sa laisse se faire tirer vers Rachele. Son regard se leva, pour ne voir que le corps et visage sublime de sa maitresse se pencher, pour lui mettre un gag-ball entre les dents, avant que sa vision ne sombre à cause d’un bandeau. Silencieuse, muette, la nouvelle super-vilaine obtempéra avec une soumission exemplaire, pensant dès lors que c’était sa maitresse en personne qui allait s’occuper d’elle. Mais après avoir encore descendu d’un étage, à sombrer dans la folie et sentir de puissantes pulsions sexuelles l’envahir à chaque fois qu’elle entendait les talons de Rachele claquer au sol, Cindy était donc à destination. Excitée et vivifiée, on lui retira son bandeau et là … Elle déchanta. Ce n’était pas Rachele mais Curie, une de ses subordonnées. Son regard se fronça un peu mais, Curie attaqua avec le plus gros point faible de Cindy …

Elle la traina vers elle, tirant sur sa laisse, affirmant qu’elle l’avait acheté pour la soirée. Cindy pencha sa tête sur le côté, toujours sans rien dire ni faire, finalement comme hypnotisée par le pied qui lui fut tendu. Rachele avait décidément voulu insister sur ce détail, ayant perçu un des fétiches en sa nouvelle esclave. Le sexe était une force très puissante, et les fétiches de ce genre étaient d’excellents moyens d’attiser le feu. Cindy déglutit puis avança son visage, effleurant doucement la plante du pied de Curie, avant de déposer un premier baiser dessus. Elle comptait d’abord profiter du moment avant de faire savoir qu’elle n’était pas exactement ce à quoi on pouvait penser. L’araignée couina de bonheur et de plaisir, alors qu’elle se mit à lécher docilement et nerveusement ce pied. Sa langue pressait contre la chair de Curie, léchant et embrassant la moindre parcelle de peau. Elle nicha quelque peu son visage contre, finissant par s’occuper de chaque petit doigt, un à un. Sa langue passait sur eux et entre eux, avant que ses lèvres ne les capturent pour les suçoter allègrement, insistant particulièrement sur le plus gros d’entre eux.

Cindy revint après sur la plante, qu’elle lécha et embrassa en continue, comme totalement hypnotisée et happée par cette partie. Néanmoins un sourire malin se dessina sur ses lèvres, au bout d’un moment. « Maitresse aurait dû te préciser que cette sale pute était sa pute, et non une pute … Et que personne à part Maitresse n’est digne de moi. » Dit-elle, écartant lentement son visage, rouvrant ses yeux pour révéler un air carnassier. Elle avait suffisamment profité du moment, en assouvissant ses précédentes pulsions fétichistes sur le pied de Curie. Mais maintenant, il était temps de montrer des crocs … Car Cindy savait que Rachele ne se contenterait pas d’une stupide esclave se pliant à tout et rien. Ainsi, même avec les mains liées, Cindy se releva subitement puis donna un violent coup de pied sur la table où était assise Curie.

Profitant du grabuge, la femme araignée fit un saut acrobatique pour se scotcher au plafond, puis sauta sur Curie, l’immobilisant au sol, entre ses cuisses. Chacun de ses bras était bloqué par une cuisse de la femme araignée. « Je ne suis une esclave aseptisée et sans cervelle … Le numéro 000 est le bras armé de Maitresse, son arme, sa meilleure agente et esclave, son outil pour assoir son pouvoir … Pas juste un jouet sexuel, comme toi, ou toutes les autres salopes qui l’accompagnent. » Déclara-t-elle, sur un ton acide et incisif. Elle ne comptait pas en rester là, et avait dans l’idée de s’amuser avec Curie. Toujours en bloquant ses mouvements – même si elle avait les mains toujours menottées – Cindy s’avança et orienta son intimité vers son visage. « Lèches, vieille pute ! » Lui ordonna-t-elle, ne lui laissant guère le choix quand elle prit une certaine assise sur son visage.

La porte s'ouvre à la volée et claque contre le mur. Rachele, qui regardait discrêtement la scène par le judas, entre furibonde dans la pièce et donne une gifle d'une violence inouie à Silk qui, en équilibre sur ses pieds et une tête entre les cuisses, en tombe à la renverse.

- Sale petite pute impertinante ! A genou ! A genou maintenant salope !

Lui hurle t'elle en lui posant une botine à talon aiguille sur le sein droit, titillant douloureusement son téton du bout de la pointe du talon.

- Que vais je bien pouvoir faire de toi !? A quoi me serviras tu si je suis obligée d'être là à chaque fois que je te vend à une cliente ? Te rend tu compte du manque à gagner auquel je concent déjà en ne te loue pas à la gente masculine ? A tu idée du fric que tu me fais perdre en jouant les petite favorite ?!

Curie se remet de son étranglement en se raclant la gorge.

- De toute évidence tu n'es pas encore prête pour que je te relache dans la nature, il va faloir que je te transforme plus pour que tu oubli ton petit orgueil et que tu te considère comme ce que tu es ? Une pute, un pute que je loue à qui je veux, et que je regarde ce faire baiser pour mon plus grand plaisir en attendant le jour ou je l'estimerais digne de partager mon lit.

Elle se délècte de la lueur d'espoir que cette perspective fait sans doute naitre dans le regard de son esclave, avant d'ajouter.

- Tu commence à comprendre ? Tu ne peux pas me prouver ta dévotion en cherchant à assouvir TES fantasmes avec moi, ça ce sera ta ré - con - pense... pas ta tache. Tu me prouvera ta dévotion en accomplissant les taches les plus dégradantes et les plus humilliantes qui soient, et surtout celle-ci qui te dégoutent toi...

Rachele soupire puis rapproche la table d'ustenciles de son esclave à genou.

- Tu rend les choses bien difficiles ma belle petite pute, et ce soir je t'ai louée très chère, plus encore que tu ne peu l'imaginer (Cindy sent Curie tressaillir derrière elle). Et je ne peu pas me permettre de cracher sur ce que j'ai gagné. Alors... je vais t'aider un peu... Curie ?

Les mains de Curie se referment sur les épaules de Silk et l'oblige à se tenir bien droite devant sa Maitresse. Calmement, Rachele s'empare d'une seringue déjà usagée et que Cindy reconnait bien. Elle la plante dans un flacon de la substance conçu juste pour la mutante et en aspire une grande quantité, une énorme quantite même... même pour l'ancienne super-heroïne...

Et sans écouter les paroles ou les récriminations de l'esclave zero, elle retire sa botte de son sein et fait lentement pénétrer l'aiguille à l'endroit même ou était posé son talon.

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La douleur explose dans la chaire de Silk qui sent une tiédeur liquide remonter en elle et la détendre. Quand enfin la substance atteint ses cellules grises, une sensation de bien être l'inonde toute entière malgré la douleur et sa libido explose et devient totalement irrepressible.

Rachele attend de voir son esclave perdre la bataille en lui tenant le visage entre les mains, ses lèvres à quelques millimètres de celle de Silk. Quand c'est chose faite, elle l'embrasse l'engoureusement et dit simplement:

- Bien... ma belle petite pute, satisfait ta cliente maintenant...

Puis elle la retourne vers Curie qui s'est déjà confortablement installée sur le fauteuil de la pièce, les jambes écartés et prête à continuer. Pour mieux se venger de la mutante, elle à remise ses bottes montantes pour pouvoir lui darder la croupe avec ses talons.

Elle lui pose une main sur la tête en empoigne sa chevelure pour la ramener vers sa chatte et passe une jambe sur son épaule pour la plaquer contre elle. Laisse en main elle la fait tourner autour de sa main pour mieux étrangler Cindy quand elle le désir.

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Cette fois-ci Rachele, reste derrière elle et la regarde faire, prenant au passage une badine de cuir pour fesser son esclave à chaque fois qu'elle estime cela necessaire, ou simplement excitant, zébrant progressivement son dos, ses seins et ses cuisses de longues traces rose sombre.

La descente aux enfers continuait pour Cindy, qui n’en n’avait décidément pas finit en découvrir. Assise sur le visage de Curie, elle se sentait en position de force ; après tout, personne n’allait voler au secours de cette femme, n’est-ce pas ? Cindy était censée être vendue pour la soirée, donc techniquement il n’y avait qu’elle et Curie. Elle comptait jouer avec elle, lui montrer qu’elle n’était pas une simple et vulgaire prostituée comme toutes les autres esclaves. Qu’elle était unique, supérieures aux autres esclaves de Rachele. Car elle n’était pas n’importe qui, malgré tout ce que l’on voulait lui faire avaler ; elle était une méta-humaine, et Rachele avait déployé quantité d’efforts rien que pour la faire basculer pendant tous ces mois. Tous ces efforts n’étaient certainement pas faits pour faire d’elle une simple pute écervelée … Cindy n’y croyait pas un seul instant. Même si Rachele continuait de la torturer, de la faire dégringoler dans la folie et la débauche, le résultat n’allait jamais être celui qu’on pense.

Néanmoins, Cindy se sentait en position de force mais ne s’attendait guère à la suite. Soudainement une porte s’ouvrit et une Rachele furax entra, se précipitant vers la femme araignée. Sans qu’elle puisse réagir elle se reçut une gifle monumentale, d’une violence inouïe, qui la fit basculer hors de Curie. Les insultes fusèrent, la patronne ne semblait pas vraiment ravie … Ce qui étonna Cindy était qu’elle était là, en train de l’observer pendant qu’elle était censée être entre les mains de Curie. Cela voulait-il dire que tout ceci n’était encore qu’un test ? Une vulgaire épreuve parmi tant d’autres ? Rachele n’avait visiblement pas confiance en Cindy et elle expliqua même ses raisons. Si Cindy ne se soumettait pas aux clientes, si elle n’obéissait pas au doigt et à l’œil, ça n’allait pas coller. Cette déclaration aurait dû la mettre en colère car Cindy n’obéissait à Rachele que parceque c’était Rachele … Et non une cliente. Cindy n’était pas une prostituée et ne le sera jamais ; elle était une méta-humaine, avec des superpouvoirs.

Cela n’allait cependant pas convaincre Rachele. Cette dernière continua à s’exclamer contre Cindy, finissant par lui déclarer que le seul moyen pour elle de survivre, c’était d’obéir pleinement. De ne plus penser qu’à ses seuls fantasmes et désirs, mais de penser à ceux de Rachele, qui eux, n’avaient que pour but de la briser davantage. Elle joignit le geste à la parole et lui refit une belle pique de cette substance étrange, qui eut pour effet de provoquer une violente douleur dans le corps de Cindy, avant de lui faire sentir un bien-être fou. « Haaaa ! » Couina-t-elle malgré elle, se tortillant sur place, peinant à contenir son excitation. La chaleur s’éprit de nouveau de son corps, en particulier au niveau de son entrejambe. Cindy sentait son corps réclamer hargneusement du plaisir, du sexe, et ne parvenait pas à lutter contre. Complètement excitée et stimulée, le simple baiser de sa maitresse faillit presque la faire jouir tellement elle y prit de plaisir à fourrer sa langue dans sa bouche. « Hmmmm ! » Ronronna-t-elle de bonheur, face au baiser qui malheureusement ne dura guère.

Rachele lui ordonna maintenant d’aller satisfaire Curie et … Etant désormais en manque, Cindy s’exécuta d’office. Mains liées dans le dos, accroupie devant Curie, Cindy sentit sa laisse se faire serrer et tirer, forçant sa tête à se plaquer contre l’intimité de la femme. Cette dernière, sans doute pour se venger, avait mis ses bottes à talons et usa de sa main pour plaquer encore la tête de l’araignée contre elle. La jeune femme, complètement aliénée par la substance dans ses veines, fourra délibérant son visage au chaud et se mit à lécher copieusement et nerveusement. Sa langue partit à l’assaut de cette fleur féminine, raclant et embrassant la moindre parcelle de peau, avant de venir se loger au sein même de cette fine fente. Les coups de badine dans son dos ne firent que l’exciter et la faire râler davantage alors qu’elle prodiguait un puissant cunnilingus à Curie.

En voyant l'esclave se consumer de désir et se remettre docilement au travail, Rachele et Curie échangent un sourire complice et pervers. La doctoresse lui empoigne les cheveux et commence à guider la tête de la petite chienne entre ses cuisses en lui susurrant des compliments dégradant et salaces pour l'humilier d'avantage.

Pour intensifier encore le jeu et la perte de repaire de l'esclave, Rachele se laisse glisser derrière elle et plaque son corps contre le sien. Silk peut soudain sentir glisser contre son dos l'intimité chaude et humide de sa Maitresse qui vient se lover au creux de ses fesses. Elle sent le poids de ses seins se poser contre ses omoplates et l'écraser de leur majesté plantureuse. Elle perçoit le cercle creux et délicat de son nombril effleurer la peau de son dos et elle comprend alors que la femme de ses rêves se tient nue contre son corps... sans qu'elle puisse le toucher ou jouir de sa vue...

Les bras de Rachele passent alors de chaque coté de ses bras liés pour venir emprisonner sa poitrine. Elle termine son terrible balai d'araignée en refermant ses ongles fins et aiguisés sur la chaire délicate et surchauffée de l'esclave. Alors que Silk continue de satisfaire Curie qui gémit de plus en plus et rafermit son emprise sur la chevelure, Rachele commence à frotter son intimité contre le galbe du cul de la prisonnière en même temps qu'elle fait rouler ses tétons entre ses ongles acérés.

Profitant pleinement de l'état de souffrance et de plaisir dans lequel elle fait sombrer son esclave, Rachele se prend à espérer intérieurement qu'elle ne comprendra pas trop vite qu’obéir n'est pas un signe de décérébration. Elle espère qu'elle se rebellera encore pour qu'elle puisse continuer de la chatier ainsi, il lui restait tans de supplices et de délices à lui faire endurer avant qu'elle ne la lâche dans la nuit pour traquer ses ennemis...

Les rêveries de Rachele sont soudainement interrompues par le râle de plaisir de Curie qui jouit sans la moindre décence, inondant de sa cyprine le visage et la poitrine de Silk qui la suit rapidement et se met elle aussi à salir le sol de la pièce de son jus orgasmique. Elle n'avait pas attendue que Rachele lui donne la permission, et même si elle n'était pas en état de se contrôler, cela compterai tout de même pour une faute et la conséquence directe de sa rébellion. La mafieuse se rassure, il lui restait encore du temps...

Au moment où Silk essai de reprendre son souffle après tans d'efforts et de sensation, Rachele lui plaque une chiffon contre la bouche et le nez.

- Il est temps de mater ton petit clitoris rebelle esclave, je vais t'apprendre à jouir sans en avoir l'autorisation...



L'odeur est horrible et lui fait tourner la tête encore et encore, inspiration après inspiration les yeux de Silk roulent lentement dans ses orbite. Même si elle se débat, ses liens et sa position entre les deux femme ne lui permettent pas de se libérer. Sa constitution lui permet de luter longtemps, mais la prise de Rachele est ferme et elle finit inexorablement par perdre connaissance.

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Une odeur accre et puissante agresse soudain les narines de l'esclave zero qui sort rapidement d'un sommeil peu récupérateur. Désorienté, elle ne sait pas combien de temps s'est écoulé mais la cyprine encore liquide sur son visage et ses seins lui révèle qu'elle n'as pas eu la chance de dormir plus de quelques minutes. Rachele ne comptais lui offrir ce besoin physiologique, sachant pertinemment qu'un esprit épuisé est plus facile à déformer...

Silk à mal au tétons, elle se sent oppressée, ligotée et liée de toute pare, semi-assise à une matière dur et froide. Ses bras, attachés par une solide camisole sous ses seins, les font remonter et les mettent en valeur. Si elle essai de parler, elle se rend compte que sa bouche est obstruée par un énorme baillon boule. Elle sent que d'épaisses sangles de maintien lui enserrent les cuisses et les chevilles et si elle essai de bouger ne serais ce qu'un orteil, la douleur explose dans ses tétons sans qu'elle comprenne la raison de cause à effet.

La vue lui revient petit à petit, elle réalise qu'elle est sanglée à une sorte de siège d'accouchement et que les deux jambes maintenues bien écartés  et en hauteur de part et d'autre de son champ de vision sont les siennes. Des files de nilons ont été attaché à chacun de ses gros orteils à une extrémité et à de petite pinces de l'autre qui lui mordent profondément les tétons. Elle comprend pourquoi le moindre mouvement des pieds lui provoque une telle douleur.

A sa gauche, Rachele la regarde, tenant une sorte de petite télécommande dans la main.

- Détend toi petite chienne, on va t'aider à maitriser tes pulsions de petite pute...

Lui dit elle en tournant son regard vers Curie.

Sur sa droite Curie sort d'un haricot en acier un petit bijou que Silk se rappel d'avoir vue sur certaines actrice porno. C'est un piercing de clitoris sauf que les deux petites boules, de chaque coté de la tige, semblent être respectivement une petite électrode et un puce électronique.

Face à la réaction que ne manque surement pas de provoquer la vue de cet objet ches la nouvelle esclave, Curie se contente de répondre.

- Tss tss... calme... calme... le docteur sait ce qui est le mieux pour toi.

Rachele ignore les récriminations et les éventuels grognements de refus de son esclave et lui écarte délicatement les lèvres pour faire sortir le petit mont de chaire de son clitoris. Elle le masse délicatement entre la pulpe de ses doigts pour le faire gonfler mais il ne grandit pas beaucoup. Rachele enlève alors son grand chapeau et à la surprise générale, pose ses lèvres sur le clitoris de son esclave. Silk sent alors sa maitresse le lui sucer avec tans de force et d'acharnement qu'elle à l'impression qu'elle va lui tirer du sang.

Mais juste avant qu'elle ne parvienne à jouir, Rachele se retire, l’empêchant d'attendre l'orgasme. Elle révèle alors à la jeune captive une vue de son propre clitoris tel qu'elle ne l'a jamais vue. Sous les lèvres expertes de la mafieuse, celui-ci à triplé de volume, il est long et gonflé au point qu'on peut le tenir aisément entre le pouce et l'index.

- Il est à toi Curie...

Dit Rachele en laissant sa lieutenant prendre le bout de chaire entre ses doigts. Elle positionne la tige à mis hauteur, afin que le petit organe du plaisir ne puisse plus se cacher entre les plis réconfortants de ses lèvres. Avec une lenteur abominable, elle presse la pointe du piercing contre la chaire ultra sensible de son mont de venus et commence à l'enfoncer.

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De droite à gauche: Rachele, Silk, Curie

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La douleur explose dans le clito de Silk et se repend jusque dans son nombril et dans ses lèvres petites et grandes. La souffrance augmente encore à mesure que l'acier pénètre ses nerfs. Jusqu'au moment elle devienne si intense qu'elle à l'impression que son coeur va s'arreter. Et soudain plus rien...

Silk ne sent plus rien, ni douleur ni quoi que ce soit dans son clitoris si bien qu'elle pourrait croire que Curie vient de le lui exciser mais non, il est bel et bien la. Toujours gonflé et dressé entre ses lèvres, sauf que maintenant deux petites boules l'ornent de part et d'autre et elle ne sent absolument rien. Même alors que son facteur régénérant de mutante referme sa plaie autour du piercing, la sensation ne revient pas elle réalise alors avec horreur qu'elle ne peut plus ressentir de plaisir.

Rachele se redresse, elle est nue, elle passe entre les jambes de sa captive et viens passer ses doigts sur la fente de la jeune femme, et même si ce contact lui procure du plaisir, celui est très époussé, comme si elle tenter de percevoir le gout d'un  aliment avec le nez bouché.

Rachele se penche sur elle et efleur maitenant ses tétons meurtrie, avec un de ses doigts elle donne de petites pichnettes sur le clitoris de Silk qui reste toujours aussi gonflé et insensible. Elle rigole doucement et lui enleve son baillon.

- Tu te sens mieux maintenant que tu n'es plus soumise à ce vilain vilain clitoris ? A partir de maintenant c'est moi qui décide quand tu ne mérite pas de jouir et...

Elle brandit la télécommande et fait grimper le curseur et les sensations reviennent progressivement.

- Quaaaaand...

Les sensations grimpent de plus et dépassent même l'état qu'elle peut connaitre quand elle est très excité.

- Tu merite une recompense...

Le curseur est au plus haut et Silk ressent une nervosité et un besoin abominable de sexe. Elle ressent chaque asperité de la tige fichée dans sa chaire, la temperature de l'air et chaque léger courant d'air dans la pièce, tout ça simplement par son petit bout de chaire torturé.

Lentement Rachele glisse à nouveau entre les cuisses de son esclave, sans la quitter des yeux. Puis elle inspire et souffle sur son clitoris. L'esclave zero ressent alors un orgasme si violent qu'il lui briser l'âme et le corps.


- Alors ? C'était comment  petite chienne ? Prête à bien servir ta maitresse ?

Le plaisir était là, bien qu’il en découlait en ce moment de la substance présente dans la veines de Cindy. D’elle-même elle aurait pu éprouver du plaisir de cette situation, surement … Même si ça aurait été moindre. Lécher et manger la moule de Curie était certes très vivifiant et plaisant mais rien, absolument rien, n’égalait Rachele. Le simple baiser qu’elle venait de partager avec avait suffi à lui redonner espoir, en quelques sortes. L’espoir de pouvoir un jour s’abandonner à elle et enfin, se libérer de toute cette frustration, de tout ce désir qu’elle avait fait naitre en elle à son égard. Rachele était devenue l’objet de toute les convoitises de Cindy, elle était devenue précieuse et importante. Elle était tout ce à quoi Cindy aspirait et désirait … Mais la frustration générée par le refus de Rachele était très dure à supporter et à encaisser.

C’était pour cela qu’elle défoulait donc sur Curie ou plus particulièrement sur son sexe, qu’elle léchait très voracement. Cindy s’abandonnait petit à petit à sa condition d’esclave, embrassant de plus en plus cette vocation. Tout cela finit en une Curie qui jouit sans aucune retenue, aspergeant copieusement le visage et la poitrine de l’araignée. Le plaisir atteignit son paroxysme et Cindy se mit également à jouir malgré que Rachele ne le lui avait pas autorisé. Sa mouille inonda le sol et ses cuisses, et même pendant ce torrent de sensations et d’extase, la jeune femme continuait de lécher encore et toujours. Sa joie fut de courte durée puisque sans qu’elle ne le voie venir, elle sentit un chiffon se plaquer contre son visage puis … Le trou noir. La femme s’évanouit, à cause de la substance présente sur le tissu.

Elle se réveilla ailleurs, et vu qu’elle avait toujours les traces de mouille de Curie sur son corps, elle en déduit qu’elle n’avait pas dû dormir longtemps. Elle était attachée à une sorte de chaise inconfortable, similaire à celles qu’on utilisait avec les femmes enceintes. Jambes écartées et relevées, elle sentait une violente et poignante douleur au niveau de ses tétons dès qu’elle bougeait ses pieds. Elle comprit rapidement qu’une sorte de fil reliait ses petits doigts à ses pointes rosées … Une autre preuve de la créativité débordante de sa Maitresse. Néanmoins ce qui commença à l’inquiéter sérieusement fut les propos de Rachele, quand elle lui assura qu’elle va l’aider à maitriser ses pulsions. Encore une mutilation ? Encore un autre verrou qu’elle désirait lui mettre ? Cindy commença à s’agiter mais la façon dont elle était assise et attachée à la chaise rendait cela très douloureux. A force de lui passer des chaines au cou, elle en sera moins efficace autant en tant qu’esclave, qu’en tant qu’arme.

Mais Rachele allait bien finir par s’en apercevoir, pensait Cindy. Bien que cela n’empêcha pas Curie de mettre en exécution son plan de lui faire un piercing du clitoris. Cependant, elle ne parvint pas à le mettre du premier coup car la jeune mutante n’était pas assez excitée. Son petit bouton rosée n’était pas assez éveillé. Elle ne s’attendit pas alors à la réaction de Rachele qui retira son chapeau, avant de passer entre ses cuisses et … Dès qu’elle posa alors ses lèvres, Cindy sentit un plaisir et une extase infini exploser en elle ! Ah, les délicieuses lèvres de Rachele, sa Rachele, se posant sur son sexe, ENFIN ! Le plaisir explosa complètement et obstrua la panique dont elle faisait l’objet plus tôt. Elle sentait son bouton se faire pomper assez allègrement mais, au moment où elle allait jouir, sa Maitresse se retira brusquement, l’empêchant totalement de connaitre la jouissance. « HNNNNNN-NON ! » Gémit alors fortement Cindy, se crispant complètement. Si elle avait pu bouger à ce moment, elle aurait sans doute forcé la tête de Rachele de revenir entre ses cuisses pour finir son travail, car … Sentir sa Maitresse lui procurer autant de plaisir, c’était tout simplement fantastique.

Mais les choses étaient ce qu’elles étaient. Curie passa son piercing, qui déchira Cindy de douleur. Une grande douleur s’empara d’elle mais, après un certain temps, il n’y avait plus rien. L’araignée cru que cette folle croyant être un docteur venait de … La priver d’un sens. Mais non, l’explication venant après fut autre. La preuve de ceci fut quand Rachele se dénuda devant Cindy et commença à effleurer ses lèvres fines par ses doigts. Le plaisir était bien moindre, au grand choc de Cindy qui ne comprit qu’à cet instant ce qui se passait. Les électrodes … Ils étouffaient son plaisir. Mais la suite vint, et Rachele expliqua, avec preuve à l’appui, que désormais même son plaisir sera régulé par elle. Elle joua sur les électrodes, faisant grimper la sensibilité de son bouton de faible à extrêmement fort, explosant ainsi le seuil. Cindy hurla d’un seul coup, sentant une violente et anormale bouffée de sensation exquise s’emparer d’elle.

Un simple souffle de Rachele sur son bouton et la voilà qu’elle jouit d’un seul coup ! Cindy hurla à nouveau et fut tellement touchée qu’elle fut frappée immédiatement d’un orgasme, rien que par un souffle … Toute en sueur et reprenant son souffle, elle était complètement lessivée et résignée, formatée à jamais à obéir et servir Rachele. Son regard se releva vers elle, alors que ses lèvres, d’une voix exténuée mais ne laissant guère la place au doute, s’éleva. « Elle sera à jamais ton esclave … A jamais. Elle t’obéira et deviendra un vulgaire objet si c’est ce que tu désires … » Déclara alors Cindy, désormais pleinement formatée et esclave de Rachele.

Malgrés la violence apocalyptique de son orgasme et le véritable seisme qu'il a provoqué en elle, Cindy sent instantennement le désir revenir à l'assaut et en réclamer plus. Confuse au début, elle comprend soudain pourquoi quand elle remarque que Rachele tient toujours la télécommande de son piercing en main et qu'elle n'a pas baissé son niveau de sensibilité. Elle est toujours rêglé au plus haut degrès. Et à ce niveau, la simple difference de température  entre son corps brulant et l'air de la pièce stimule son clitoris torturé.

En entendant sa prisonnière lui hurler sa dévotion, Rachele, le corps luisant de sueur , vibrante de chaleur et d'excitation, se redresse entre ses jambes de  toute sa hauteur . Elle la domine tans par sa position que par son sourire triomphateur.

Pourtant l'ancienne héroïne brisée peut remarquer que ce masque de satisfaction semble en cacher un autre. Comme si l'apparente victoire de sa Maitresse ne lui suffisait pas. Ou que sa déclaration de soumission n'était qu'une étape et n'était en fait qu'un piège de plus. Une chausse-trape s'ouvrant sur un abysse toujours plus effreyant de vices et de délires sexuels.

Pourtant, l'instinct arachnéen de la mutante lui souffle qu'un dénouement approche, qu'elle va bientôt connaitre la fin d'un cycle, la mort de quelque chose...

Comme une confirmation à ses craintes, les yeux de Rachele se plissent et son sourire s'efface peu à peu pour ne former qu'une mince plissure en coin, malicieuse et perverse. Ca voix n'est alors plus qu'un murmure inquiétant, prononcée avec la profondeur et la satisfaction d'un juge sadique, se delectant de pronnoncer sa sentence.

- C'est très bien Esclave... je suis satisfaite. Et vue que tu as été très respectueuse et que tu as utilisée les bons mots pour te définir et me parler, je vais t'offrir le plus merveilleux des cadeaux...

Curie détache Silk qui glisse du siège et tombe aux pieds de Rachele. La mafieuse attache une laisse à son collier et tourne les talons pour quitter la pièce sans un mot, ne doutant pas une seule seconde que sa nouvelle esclave va la suivre. Si celle-ci essai de se relever pour marcher, Rachele tire un grand coup sec sur la laisse pour la faire retomber en avant et lui dit.

- A quatre pattes Esclave... comme la bête que tu es, ce sont les êtres humains qui marchent sur deux jambes. Et tu n'es plus une humaine, tu es ma chienne.

Et ainsi elle l'entraine dans le dédal de couloirs, Silk est désormais si sensible que le simple fait de frotter ses cuisses l'une contre l'autre l'excite au plus haut point. Il n'y a plus personne, ce doit être le petit matin et cela doit faire des heures, non des jours que Cindy n'a pas vraiment dormie. Le combat perpétuel contre le Boss des mois passé l'a épuisée, et la fatigue est désormais si forte que même son metabolisme de super-héroïne ne parvient plus à tenir.

- Je sais que tu es épuisée ma petite pute. Mais ne t'en fais pas, tu es enfin prête, je vais t'amener à ta chambre.

Elle lui fait traverser le laboratoire jusqu'à un sas donnant sur une salle plongée dans une semi-obscurité réconfortante et de laquelle émane un étrange bourdonnement. Quand elle entre à la suite de sa maitresse, Silk remarque que la pièce est en fait un long couloir, dont les longs murs sont équipés de grands oeufs percés de petits hublots d'où filtre un lueur jaune pâle.

Rachele avance dans le couloir et à mesure que Cindy se rapproche des oeufs qui forment une sorte de haie d'honneur, elle entend comme des murmures, des chuchotements, des voix de femmes qui semblent parler ou plus simplement prononcer une simple note, comme un instrument de musique.

Au bout d'un moment, Rachele s'arrête devant l'un d'entre eux, dont aucune lumière ne perce du hublot. Elle se retourne vers l' Esclave et remarque son interrogation.

- Ca te surprend ? Tu trouve l'endroit étrange pour une chambre ? Rassure toi, tu ne seras ici que pour te reposer, le reste du temps tu le passera avec moi et avec tes clientes. Mais si tu as un doute je t'en prie, relève toi, je t'en donne l'autorisation. Et regarde par les hublots, tu verras comme tu vas bien dormir ici...

Quand Silk s'exécute et qu'elle regarde par les hublots, l'horrible vérité se présente à elle dans toute son horreur. Les chuchotements et les voix qu'elle entendait sont en fait les hurlements et les monologues fou des femmes qui sont à l'intérieur, étouffés par les paroies des oeufs. Entravées, les seins gonflé et crachant d'épais jet de lait dans des cloches de plastique, les yeux couverts par un casque de réalité virtuel, elle se font aléatoirement baiser par d'énormes gods vibrants et tournant dans leurs orifices. Certaines sont figées dans un cris de jouissance perpétuel, d'autres supplient pour que ça s'arrête. Enfin celles qui ont été détruites hurlent pour en demander toujours plus alors que celles qui sont devenu folle parlent toute seule.

Profitant de la confusion et de la fatigue de sa belle esclave, Rachele l'entraine inexorablement vers l'oeuf qu'elle lui a préparé et la jette à l'intérieur avec brutalité. Instantannement les verroux magnétiques et une étrange matière cahoutchouteuse qui forme les liens se referment sur ses bras, ses poignets, et ses jambes pour les immobiliser. Malgré toute sa force de mutante, les matériaux Tekhans tiennent sans aucune difficulté, se positionnant pour lui écarter les cuisses et lui ramener les avant bras contre les bras, de part et d'autre de son visage. Elle sent de petites sensation de picures à l'intérieur de ses cuisses et de ses bras, elle comprend que les verroux sont équipé de cathéters qui se sont enfoncés dans ses veines et son arthère fémorale pour la nourrir ou lui injecter des substances.

Une fois fait, Silk voit Rachele se pencher sur elle, son propre casque de réalité virtuelle entre les mains.

- Un être humain normal peut tenir trois jours sans dormir avant de devenir fou. Au bout de cinq généralement il meur, mais les plus robustes peuvent tenir jusqu'à sept ou huits jours. Ce qu'il y a de merveilleux avec ton metabolisme de mutante, c'est que toi tu ne peut pas mourrir de fatigue comme un humain normal... Tu va avoir l'honneur de connaitre un autre stade, bien au dela de la folie et de la fin. Car si ton corps ne peut pas mourrir... ton esprit lui...

Elle lui pose le casque sur les yeux, la plongeant dans le noir. Seul sa voix continue de lui parvenir.

- C'est mon cadeau, ta rennaissance... Quand tu auras rennait de tes cendre la super-heroïne sera morte et tu seras ma super-vilaine personnelle. Je te dit Adieu Silk, ou Cindy, ou quelque soit le nom qu'on te donnait avant, n'ai pas peur, accepte ton destin, de toute façon, dans quelques jours, tu seras...

Elle lui pose le casque sur les oreilles et referme l'oeuf. La séquence de lavage de cerveau se lance. Instantannement le regard de Silk est bombardé d'images subliminales et hypnotiques. Même avec un grand effort de volonté, elle ne peut détourner les yeux ou fermer son esprit, des images de sexe trash et violent, des scènes de baise où elle apparait et les ordres hypnotiques violent sa psychée et la paralyse pour mieux la remodeler. La seule chose qu'elle remarque avant de ne plus parvenir à réfléchir de manière cohérante, c'est le décompte des jours qu'annonce la machine: HUIT...

La machine commence à saturer son sang d'aphrodisiaque et surtout de stimulant, lui interdisant totalement de dormir. Des hormones font gonfler ses seins et produire tans de lait qu'elle en souffre atrocement, jusqu'à ce que des ventouses viennent lui presser les melons et la délivrer de cette douleur, la plongeant déjà dans un état d'extase. Enfin des gods épais et visqueux viennent lui pilloner le cul et le vagin aléatoirement pour qu'elle ne parvienne jamais à anticiper la douleur et le plaisir, frottant au passage son clitoris toujours ultra-sensible.

Debout devant l'oeuf, Rachele regarde avec satisfaction les larmes de son esclave couler du masque VR et sa bouche s'ouvrir grand pour hurler, ou parler ou quoi que soit d'autre. Mélant ses propres murmures étouffés par l'oeuf au concert des autres.

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Puis, quand elle fatigue à son tour, elle décide de quitter les lieux pour une bonne nuit de sommeil, au bout de quelque pas, il devient impossible de distinguer dans quel oeuf Cindy se trouve...

Pendant les jours l'âme de Cindy lutte contre la folie. Le programme profite de son épuisement pour écraser les defenses de son esprit et en modifier les paramètres.

Il commence par remodeler tout ses souvenirs sexuels ou de désir pour remplacer toutes ses anciennes partenaire par Rachele. Elle transforme toutes les scènes ou elle n'était pas soumise en scène de soumission dégradante et humiliante avec Rachele qui la domine.

Comme si cela ne suffisait pas, il lui imprime des milliers de faux souvenirs de la même nature pour saturer totalement son esprit et écraser les autres, étouffant totalement tout ceux en rapport avec sa famille, ses amis, son enfance. Seul le souvenir de sa soeur, vétue comme une pute et vendue à un roi saoudien est épargné.

Le casque lui imprime avec la subtilité d'un buldozer differents ordres et mots de contrôle pour la maitriser ou la contrôler si besoin. Enfin les hormones et le lavage de cerveau provoquent un sur-devellopement de son centre du plaisir. Cette zone de son cerveau commence à gonfler et se répendre, écrasant d'autres centres et utilisant leurs neurones pour s'agrandir comme un cancer. Malgré tout ses efforts, elle sent qu'elle oublit ou perd certaines capacité pour develloper un gout pour le sexe toujours plus prononcé et complexe, tout son corps, sa bouche et ses seins en particulier, finissent par devenir aussi érogène que son clitoris.



Le neuvième jour, la porte de l'oeuf s'ouvre enfin devant une infirmière au service de Rachele.

- Ta maitresse veux que tu siège au conseil, suit moi.

Elle passe une laisse à son collier et regarde comment la nouvelle super-vilaine se comporte pendant qu'elle l'entraine vers le carré VIP. Quand les portes de l'ascensseur s'ouvrent, elle voit Rachele, en body de cuir noir, installée dans son grand fauteuil en cuir, son chapeau plongeant son visage dans l'obscurité. Les differents clients et chefs mafieux de la ville sont là, tapis dans la pénombre d'une table de pocker.

- Vient vers moi, Esclave, et dit moi comment t'appelleront désormais tes victimes.

Etait-ce donc la fin ? Le terminus ? Cindy n’en savait plus rien et rien ne lui indiquait quoique ce soit. Elle souffrait autant qu’elle ressentait du plaisir malgré l’atrocité de la situation. Son corps était meurtri, complètement ravagé par le traitement absolument horrifique que menait Rachele. Pourtant Cindy tenait et grâce à ses capacités surhumaines, elle ne mourrait pas. Un grand effroi s’empara d’elle quand une sombre idée la traversa ; est-ce qu’avec tout le traitement que lui avait infliger Rachele sa nature de métahumaine allait être altérée ? Est-ce qu’elle allait perdre ses pouvoirs ? Ou allaient-ils changer … Elle espérait que non. S’il ne lui restait même plus cela, alors, que serait-elle, au fond ? Un vulgaire objet, un jouet entre les mains de Rachele, qui s’en débarrasserait le jour où elle en aurait marre. Mais il fallait qu’elle se rassure, ses facultés n’allaient pas être touchées bien heureusement.

Ses sens d’araignées lui donne l’impression que la situation allait se terminer. Surtout quand elle voyait le visage de sa maitresse s’éclaircir de satisfaction, avant de redevenir moins souriant. Rachele déclara alors qu’elle était satisfaite et qu’elle allait lui offrir une récompense. Cindy commençait à connaitre ce que le terme récompense signifiait dans la bouche de sa maitresse, et alors qu’elle devrait avoir peur et s’inquiéter, il n’y avait rien. La résignation, l’obéissance, la docilité … Cindy ne pouvait plus lutter contre sa bourrelle. Rachele avait gagné, et elle allait porter le coup fatal à Cindy. Cette dernière fut libérée de sa chaise et tomba au sol, à quatre pattes. Toute obéissante et muette elle suivit Rachele, qui l’emmena dans un dédale de couloirs, terminant sur une salle où provenait un étrange bourdonnement.

La maitresse des lieux expliqua que Cindy allait enfin pouvoir dormir, et qu’elle la conduisait à sa chambre. Façon de parler, puisque cette chambre n’était autre qu’une sorte de machine lugubre où Cindy allait être placée. Quand elle entra dans la salle et fut autorisée à se mettre debout, elle regarda avec horreur le contenu d’une des machines. C’était le coup fatal de Rachele, sa dernière carte, celle qui allait détruire et éradiquer à jamais la Cindy qu’on connaissait. Ces machines étaient comme des pods de récupération, mais dans lesquels les sujets étaient torturés sexuellement par des machines, tout en étant plongé dans un état second à cause de substances injectés dans le sang. Si Cindy était réellement terrifiée, pour la première fois, elle ne désobéit pas à sa maitresse, incapable de faire une telle chose désormais. Ainsi, elle se fit jeter comme une vulgaire chaussette à l’intérieur d’une machine vide, se laissant malmener comme une poupée par les machines.

Elle sentit des aiguilles s’enfoncer dans sa chair, et si la douleur était là, son visage n’exprima plus rien. Aucune émotion, qu’elle soit bonne ou mauvaise. C’était comme si Cindy n’avait plus d’âme, de ressentait plus rien. Néanmoins, une lueur d’espoir naquit au fond de ses pupilles quand sa maitresse lui promit une renaissance. Allait-elle réellement faire cela ? Allait-elle réellement offrir à Cindy l’occasion d’embrasser sa nouvelle vie, de l’accepter, de mettre un terme à ce cauchemar ? Il n’y avait qu’un seul moyen de le voir. La porte de la machine se referma et quand Rachele posa le casque sur la tête de Cindy, tout s’actionna. Des larmes se mirent à couler sur ses joues, alors que le plaisir la foudroya quand les machines commencèrent à la pénétrer de partout avec de larges et béants godes. La douleur aussi explosa, lui arrachant des cris sordides mêlant plaisir et douleur.

Son sang était constamment alimenté en aphrodisiaque afin de la maintenir dans un certain état. Cindy perdit le sens du temps, et de la réalité, alors que son cerveau était en train de littéralement, se faire manipuler. Peu à peu, ses souvenirs changeaient, sa personnalité … Son existence se voyait modifier lourdement. Toute les fois où elle avait connu de belles choses furent remplacées par la présence de Rachele ; toute les fois où elle avait fait l’amour, c’était en fait avec Max. Ses amis, ses parents, ses proches, la plupart disparurent au profit de cette femme qui, depuis le début, était en fait omniprésente dans sa vie. Sans compter que son cerveau se mit à changer en lui-même, devant plus réceptif au sexe, au plaisir et aux sensations érotiques. Son esprit s’affuta et devint infiniment plus pervers, le sexe se mettant à occuper une place centrale dans son esprit. Tous ses souvenirs de sexe où elle était en position dominante furent inversés, avec une Rachele la dominant et l’humiliant, en lui rappelant qu’au fond Cindy n’était que sa pute, à elle et à elle seule, et ce à vie. Tout son corps devint une énorme zone érogène également ; il ne s’agissait plus seulement de son sexe. La plupart de son corps lui procurait du plaisir, désormais.

Etrangement ou non, la seule personne de son passé à être restée intacte fut Gwen. Gwen … Cette fille qu’avait connu Cindy durant sa guerre contre le Boss. C’était une métahumaine comme elle, voire mieux, c’était elle aussi une Spider-Girl. Cindy et elle se rapprochèrent beaucoup et finirent même par se mettre ensemble. Gwen fut un véritable cadeau du ciel pour Cindy à cette époque-là, et normalement, Rachele aurait dû la supprimer immédiatement de son esprit. Mais elle la laissa, là. Néanmoins cela ne changeait strictement rien au résultat final. Cindy n’éprouvait absolument plus rien envers sa petite-amie, car tout son être, tout son esprit et ses sentiments, étaient pour Rachele désormais. Neuf jours plus tard elle sortit de son cocon, et une infirmière vint la cueillir. Son corps était flasque pendant quelques temps, après tout, elle sortait d’une éprouvante épreuve.

L’infirmière la guida vers un ascenseur, qui s’ouvrit dès lors sur une pièce sombre, où séjournait Rachele dans son langoureux body en cuir, ainsi que les autres têtes de la pègre. Cindy se sentait si complète, si bien, si … Vivante. Jamais elle n’avait ressenti un tel bonheur. Mais une expression irrémédiablement perverse et vicieuse s’était installée sur son visage depuis sa sortie de la machine. Cindy marcha en roulant des hanches, s’avançant vers sa Maitresse. Elle ressentait un certain plaisir à bomber son cul et rouler ses hanches devant tout le monde, mais en ressentait tout un autre quand il s’agissait d’obéir à Rachele. D’une voix extrêmement sensuelle mais teintée de vice, la nouvelle Cindy répondit. « Ils ne m’appelleront pas … Ils seront morts ou inconscients avant. » Déclara-t-elle, avec un sourire carnassier.

En voyant s'approcher d'elle sa nouvelle "chose", son arme ultime, la futur nemesis de ses ennemis, Rachele ressent un formidable sentiment de fierté et de puissance. Elle y est enfin arrivée, une super-héroïne est à son service, elle l'est même tellement qu'elle est désormais prête à obéir à tout ses caprices.

Dona Florenza se redresse sur son siège et gonfle la poitrine pour avoir l'air plus impressionnante, faisant crisser le cuir de son body sous la pression de ses superbes obus qui pointent en direction de l' Esclave 00.

Quand elle répond à sa question, elle savoure enfin sa victoire. Celle qui s'appelait Silk ou Cindy ou quelque autre nom qu'elle ait porté en temps qu'héroïne est morte. Détruire par le manque de sommeil, par les drogues, par la torture et la baise permanente, la jeune femme fraiche et idéaliste a disparue pour laisser place à une nouvelle créature.  Délivrée du doute, de l'orgueil, de toutes ses pensées complexes et compliquées, elle a oubliée son nom, et ne désir plus en porter, elle n'est plus que l'Esclave de Rachele.

Alors qu'elle la regarde fendre la foule de ses gestes langoureux pour s'approcher de son trone, la mafieuse rêve déjà de ce qu'elle va pouvoir faire avec ce corps parfait et robuste. Repousser sans cesse ses limites à force de baise et de torture, la prostituer à ses meilleurs amies et aux femmes les plus riches des Plans d’existence, l'envoyer traquer d'autres héroïnes pour leur faire subir le même sort, tout ces choix s'offrent à elle.

Quand l'esclave arrive enfin aux pieds de sa Maitresse, la servante qui l'a tenue en laisse jusqu'ici tans la bride à Rachele qui prend alors le manche en main. Elle tire d'un coup sec sur le collier de sa chienne pour amener son visage à porté de sa main et carresse la partie rasée de son crâne comme s'il s'agissait d'un animal de compagnie. Pendant ce temps la, la servante lui passe de ravissantes bottines montantes à talons si haut qu'elle doive en marcher sur le bout des orteils. Puis elle lui noue les mains dans le dos avec une longue corde. Enfin, pour l'humilier plus encore devant toutes les femmes présentes dans l'assistance, elle lui passe un anneau entre les dent pour garder la bouche bien ouverte et passe entre ses jambes une ceinture de cuir armée d'un long et gros plug anal.

Rachele appui sur la tête de l'esclave pour la forcer à descendre vers son entre cuisse et ses pieds.

-Comme tu es une bonne chienne je te laisse choisir ce que tu préfère...

Ajoute t'elle, visiblement exciter à l'idée de faire cela devant toute l'assistance féminine qui les regarde avec concupiscence. Et pendant que l'esclave 00 fait son choix et obéit à sa maitresse, la servante derrière elle profite qu'elle bombe le cul pour s'en rapprocher. Elle crache entre ses doigts et les fait tourner contre son petit trou pour lubrifier les plis de son anus encore bien dilaté par le god de sa "chambre". Puis elle remonte le string et enfonce lentement le plug dans le fondement de la super-vilaine.

Rachele la laisse alors faire. Attendant avec impatience que son esclave la satisfasse pour pouvoir lui prendre la tête entre les mains et lui jouir en plein visage. Une fois fait, elle la fait tenir à genou entre ses jambes, caresse son visage du bout de son pistolet et cri à la foule de femmes en chaleurs.

-Mesdames ! Les enchères sont ouvertes !

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Au cours des nuits suivantes. L'esclave 00 perd lentement le décompte du temps et le fil de la vie. Elle oublie le sommeil et le repos, elle oublie la fatigue et découvre sa nouvelle nature d'obet, d'esclave sexuelle prostituée par sa maitresse.

La première nuit, Rachele la partage avec une chef de gang que Silk avait mise en prison et qui a payée prix d'or pour l'avoir en première. Pendant de longues heures, sa maitresse la couvre  de caresses perverses et lui susurre des paroles humiliantes et excitantes à l'oreille pendant que l'autre lui brule les tétons et le clitoris avec ses cigarettes, la baisse sans préliminaires ni lubrification jusqu'à ce qu'elle s'effondre d'épuisement.

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Les jours où elle ne la loue pas, elle ne relâche pas son emprise et alimente sa dépendance, sa folie et sa nymphomanie en la droguant et en la prenant comme une chienne immortelle, se faisant elle-même remplacer par le personnel de l'Asylum quand elle fatigue.

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Les locations s'enchainent et l'argent coule à flot au Rachele's Club. Toujours plus d'hommes et de femmes veulent profiter de la pute chérie de la patronne. Mais Dona Florenza refoule systématiquement les demandes masculines pour ne répondre qu'au plus lucratives, même si celle-ci sont extrêmes.

Le point culminant de ces premières semaine de cette vie de pute est atteins quand une riche et jeune excentrique, dont la passion est de dresser ses esclaves pour en faire des meubles vivants, offre à Rachele de former gratuitement la mutante pour qu'elle puisse elle-même lui servir de trône.

Pendant de longues nuit de débauche et de souffrance. L'ancienne Silk apprend à vivre arnachée à des structures artistiques parfois insérées dans ses orifices, a se contorsionner pour que son corps serve au mieux de fauteuil, à passer des heures voir des journées sans bouger en attendant d'être utilisée. Le châtiment sexuels et le viol viennent punir la moindre défaillance, le moindre tremblement, jusqu'à ce que tout soit parfait.

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Quand elle revient enfin de cet enfer, L'esclave 00 devient un véritable élément de décors de la salle du trône de Rachele. Elle lui sert alors de chienne quand elle se tient à quatre patte à ses pieds pour les lui lécher, ou de trône quand elle se fige en de langoureuses figures sur lesquelles la Baronne s'installe pour tenir séance.

Bien triste allait être la vie de cette jeune femme, désormais. Mais le pire était sans doute qu’elle avait changé, comme si elle s’était transformée en une autre personne. Comme si Cindy avait subi une véritable métamorphose pour devenir un monstre, une personne sans aucune morale ni limite. Sa seule mission, son seul but dans sa vie chienne de vie à présent, était de satisfaire Rachel. Tout devait être fait pour la rendre fière et heureuse, pour lui obéir et accomplir le moindre de ses désirs. Cela commença d’ailleurs très tôt puisqu’à peine Cindy venait d’arriver près d’elle, que sa vénérable Maitresse lui ordonna de se mettre à genoux. Ou plutôt, elle tira sur la corde reliée à son cou pour la forcer à plier genou.

Nichée entre les savoureuses cuisses de Rachel, Cindy ne pipa mot. Elle sentit qu’on lui passa des chaussures dans les pieds, qui s’avéraient des bottes montantes à très hauts talons, de manière à la forcer de plier ses pieds. C’était une des formes de tortures permanentes que lui infligeait Rachel pour la briser encore plus ... Mais à force, cela devenait une source de plaisir viciée pour l’araignée, qui adorait de plus en plus ce genre de chausses. La caresse de cette femme sur son crâne la fit ronronner tel un animal, alors que son regard de braise ne quitte le sien. Cette main était réconfortante d’une certaine façon, et Cindy se sentit toute chose rien qu’en la sentant passer sur le côté rasé de son crâne.

Finalement on lui passe tout un arsenal de corde sur le corps et les poignets, avant de lui faire enfiler un string en cuir muni d’un gros plug anal. Rien qu’à la vue, cela excitait grandement Cindy qui sentit la chaleur monter entre ses cuisses et à sa poitrine. Rachel lui laissa le choix ; soit ses pieds, soit son sexe ... Et vu sa position, Cindy se jeta la deuxième option. L’araignée obéit aveuglément à sa Maitresse, fière, dévouée et très appliquée. Sa tête partit se plaquer contre sa féminité, sa douce et suave antre intime, et elle commença ainsi à la lécher tendrement, avec beaucoup de passion et d’appétit. Cindy lui offrit un magnifique cunnilingus, pendant qu’elle sentait qu’on resserrait son string de manière à lui enfoncer entièrement le plug entre les fesses. Elle couina de bonheur et de plaisir, mais elle continua à presser sa langue contre les lèvres intimes et le petit bouton de Rachel.

L’esclave finit par faire jouir sa Maitresse qui la gratifia dès lors de sa mouille. Un précieux nectar que Cindy s’empressa de lécher en entier, sans en laisser une seule goutte ! Après cela ... Rachel fit glisser son pistolet sur le visage de sa propriété, en attendant que les enchères commencent. Ce fut alors le début d’une énième descente aux enfers, même si cette fois-ci, Cindy prit l’équivalent de son malheur, en pur plaisir et extase à force de servir de jouet pour cette ces baronnes du crime qui la louèrent à tour de rôle. Pendant plusieurs jours elle servit un peu à tout, mais principalement de jouet sexuel pour tous les fantasmes et plaisirs viciés de ces femmes. Au moins, sa Maitresse respectait son désir de ne traiter qu’avec la gente féminine ! Si ça ce n’était pas une marque d’affection et de respect ... Il n’y avait que Rachel qui était aussi bienveillante, aussi soucieuse envers elle, pensait alors Cindy, renforçant sa dévotion envers elle.

L’apothéose fut sans doute quand elle vint auprès d’une jeune riche, dont la passion était de faire de ses esclaves des objets vivants ... Elle tenta alors de dresser Cindy en ce sens, l’obligeant à mimer le comportement d’une chaise pendant des heures et des heures entières. Ceci servit notamment à Rachel, qui dès que Cindy avait fini sa formation, s’en servit largement en tant que trône, posant son précieux et tendre fessier sur elle à longueur de journée. En toute comme, Silk était à jamais morte et enterrée, mais avait donné naissance à un monstre cruel et infiniment pervers ; l’Esclave 00 !