*Je n'ai jamais connus un lieu aussi étrange. Tortueux, labyrinthique. Plus j'avançais, et plus il me semblait me perdre dans des méandres sans fin, dont la seule sortie possible était la mort. Je ne sais pas vraiment comment j'ai sut m'en échapper... Je ne sais pas non plus comment j'ai put vaincre les bêtes qui s'y trouvaient, ainsi que leurs gardiennes. Tout ce que je sais, c'est qu'une fois au dehors, j'étais le plus soulagé des hommes, et que je le dirais à quiconque voudra s'y aventurer : Ahn Ak'Thar est un lieu dangereux, périlleux, et quelque soit le chemin que vous empruntez, ne vous avisez jamais, JA-MAIS, d'en défier la maîtresse. Je ne l'ai pas fait, et c'est surement à cela que je dois mon salut* ~ Un aventurier se jugeant bien chanceux.
Prénom : Sulfure
Nom : "imprononcable"
Surnom : Maîtresse du Donjon, la Dame d'Ahn Ak'Thar, Vieille peau (pour les intimes)
Âge : information inconnue
Sexe : Féminin
Race : Ancêtre Aetheryque (Créature)
Orientation : Pansexuelle
Expérience : Infiniment nombreuses.
Description physique :
Sulfure est une femme dont l'âge millénaire ne peut se voir que dans son regard. D'apparence, elle oscille entre la vingtaine et la trentaine, de l'avis de chacun, sa peau relativement juvénile présentant un léger hâle qui s'observe sans équivoque, contrastant tout particulièrement avec ses pupilles légèrement scintillantes, à la couleur de l'aether pur, ou plus simplement pour les néophytes en magie, un pourpre soutenu, capable de briller même dans les ténèbres les plus tenaces. Pour souligner même un peu plus l'étrangeté de son apparence, s'ajoute à son teint et son regard de courts cheveux d'un vert émeraude, qui ont tendances à encadrer son visages en de multiples mèches qui oscillent légèrement sous un vent absent, et dont certaines pointes vont parfois pour se décolorer en un léger turquoise, avant de retrouver leur couleur naturel. L'accumulation de tout ces éléments est généralement ce qui offre cette première impression si particulière à sa rencontre, comme si la femme était tout autant présente physiquement qu'en partie hors de ce monde, et plus d'un jeune aventurier l'ayant croisé pour la première fois ont tendances à rester un temps muet face à cette si étrange apparition.
Puis vient la lucidité, et les détails de l'apparence de la maîtresse du donjon. Tout d'abord, de ce regard envoûtant, il devient soudainement évident que celui-ci se tiens pour être perçant, acéré, comme si le moindre objet dans son champ de vision subissait naturellement une analyse poussée et sans pitié de la part de cette étrange personne. Ensuite, quand le regard devient bien trop gênant à soutenir, ce qui arrive bien souvent au bout de quelques secondes d'une bataille morale vigoureuse pour ne pas baisser les yeux face à un potentiel ennemi, il est possible de remarquer que le corps de l'être étrange qu'est Sulfure est parcouru de longues lignes et arabesques scintillantes, des formes dont la nature magique semblent souligner les courbes de sa personne, tout en faisant véhiculer une puissance magique bien étrangement visible par n'importe qui, du plus grand mage au premier des paysans. La course de cette énergie est remarquable d'ailleurs par sa fluidité, sa lenteur, comme si les symboles marqués sur son être s'illuminent de plus en plus au passage du flux puissant avant de lentement s'éteindre pour n'apparaître dés lors que légèrement éclairé, comme la flamme mourante d'un feu de bois. Certains décriraient d'ailleurs ce rythme comme celui d'une respiration calme, ce qui n'est sans doute pas faux, et ce qui souligne encore un peu cette impression étrange que dégage la femme, entourée autant de ce calme olympien, que de ce froid jugement qui transperce ceux qui viennent la rencontrer.
Puis ce sont les derniers détails qui apparaissent, comme sa tenue, ou sa posture. Elle est toujours droite, toujours dans une position qui laisse transparaître son importance, sa grandeur, qui fait comprendre à qui la croise qu'elle est ici chez elle, qu'elle est la maîtresse des lieux, et que tous sont ici pour subir son jugement. Ses mouvements sont mesurés, aussi calmes que le scintillement de son corps, ce qui laisse se dégager d'elle une certaine harmonie, et sont peu nombreux, la femme restant généralement la plus immobile possible, ne laissant que son regard se déplacer sur les êtres qu'elle aperçoit rentrer dans son repaire. Quand à sa tenue, si elle peut paraître simple au premier abords, les plus vigilant remarqueront que les bandes qui couvrent certaines parties de son corps ne sont nouées en aucuns endroits, ni ne sont bloquées par quelques moyens que ce soit. Quelques-uns se demanderaient si les différents bijoux d'or qu'elle porte ne ferait pas pression sur les bandes, mais ils semblent eux aussi posés su les bandes sans y être attaché, le tout n'étant finalement maintenu que par une fine couche d'énergie aetheryque, qui a même le don de teindre légèrement certaines bandes lâches de sa tenue, celle ci virant elles aussi au doré pour aller de pair avec les ornements qui les jouxtent.
Et tout ceci mêlé, découvert lors des premières secondes de sa rencontre, rendent la femme aussi étrange que fascinante, si bien que quand ses mots suaves, au ton modulé par un timbre de magie savamment dosé pour captiver ceux qui l'écoutent, se font entendre, il est quasiment impossible de ne pas l'écouter.
Description Mentale :
Sulfure est une personne ancienne, et avec cela vient une certaine sagesse, teinté de plusieurs mauvais points qui suivent. Elle est la gardienne suprême d'un donjon actif depuis maintenant plusieurs centenaires, et ainsi, elle a apprit que son univers était autant dépendant de celles et ceux qu'elle y employait que de celles et ceux qui osaient s'y aventurer, faisant d'elle une femme particulièrement vigilante sur le bon déroulement des événements internes de sa propriété. Ne laissant rien au hasard, elle cherche à exercer un contrôle particulièrement important sur ce qui se déroule dans son entourage, et ne supporte pas les imprévus qui viendraient créer un enchaînement des plus fâcheux sur ce qui saurait suivre dans le futur, à tel point qu'elle n'hésites pas à agir personnellement si elle voit que son beau scénario se déroule maladroitement. Bien sur, cela s'applique autant pour ses "employés" que ses visiteurs, à tel point que plus d'une personne au courant de son comportement aurait tendance à la voir comme un tyran qui n'accepte rien en dehors de ses directives, ni prise d'initiative, ni relâchement...
Mais dans le fond, c'est plus compliqué que cela. Si elle est certes exigeante, elle ne manque pas d'attention envers ceux et celle qui sauront lui rendre la confiance qu'elle leur offre, et ainsi, elle apparaît bien plus comme une dirigeante un peu rigide que comme la pire des dictatrices. Récompenses pour un dur labeur est son mot d'ordre, et elle n'a aucun mal à reconnaître sa tendance malheureuse à la rigueur absolue, si bien qu'elle aura généralement tendance à mettre un peu d'eau dans son vin si, un jour, l'une de ses représentantes principales vient à faillir à son devoir, et n'offre pas l'expérience exacte qu'elle souhaiterait faire vivre à ceux qui rentrent dans son domaine. Toutefois, elle ne possède généralement pas la même capacité à la modération dés qu'il s'agit d'un ou d'une des visiteurs, et peut devenir particulièrement intraitable sur les embûches qui se mettent sur la route du pauvre aventurier perdu dans les méandres de son domaine si celui-ci ne lui convient pas. Non pas que ce soit de la cruauté, mais un donjon ne peut se permettre d'être une partie de plaisir : les talentueux, les forcenés, les courageux et les valeureux sauront attirés son regard, et connaître un minimum de succès, tandis que ceux présentant quelques viles tares, ou quelques peu appréciables défauts auront vite tendance à rencontrer leur mort prématurée. Point de merci pour quiconque s'avance avec idiotie, ou tromperie.
Hors de son rôle de maîtresse de donjon, qu'elle prend particulièrement à coeur, c'est un fait, elle reste quelqu'un de relativement orgueilleux, suffisant, quelqu'un qui a une confiance particulière en son importance, et le besoin absolu de sa présence dans le donjon pour que celui-ci fonctionne. Une rencontre avec elle est généralement vexante, troublante, car elle ne laisse pas la moindre ouverture à ceux qui la croisent pour protester face à son jugement, et à sa longue observation, à un point où plus d'une personne saurait la trouver hautaine. Ce n'est sûrement pas faux, mais l'expérience de vie de la femme ne l'aide clairement pas à calmer ces défauts, encore moins quand on sait qu'une grande majorité de ses jugements ont tendances à être particulièrement claires et véridiques. Pour autant, il en est certes bien difficile de lui plaire à cause de cela, mais qui sauras gagner son attention à toute les chances de connaître ses faveurs, que celles-ci soient une partie des richesses du donjon, comme une intimité plus claire à ses cotés, et elle ne s'en cachera pas, assumant autant ses désirs que son appréciation envers quelqu'un. Comme quoi, même les gens avec un sentiment éminent de supériorité savent se mettre au niveau d'autrui par honnêteté, et avec une certaine clarté d'esprit.
Dernier détail, mais il existe quelques éléments que la femme aiment plus que tout, et haï sans limite. Ainsi, elle considère bien souvent les trahisons comme la forme la plus vil de comportement, et un tel agissement au sain de ses murs aura le don de créer chez elle un besoin impérieux de vengeance immédiate. Son sentiment de vindicte se tiens aussi envers tout être à la nature trompeuse, et quiconque auras l'audace de rentrer dans son donjon drapé de sortilèges de dissimulation ou autre métamorphose à la volonté discrète aura droit à quelques annulations de son choix, puis d'une vengeance aussi froide que les banquises du grand Nord. En revanche, elle apprécie énormément certaines choses, comme les valeurs, l'honneur, mais aussi d'autres plus futiles, comme le fait de se sentir valorisée, adorée comme une supérieur, voir un être d'une valeur inégalée. Elle est incapable de résister à la flatterie, ce qui est bien là le seul réel point faible de la maîtresse de donjon, et parfois le pire étant donné qu'il s'agit là du meilleur moyen de lui faire baisser sa garde.
Le donjon d'Ahn Ak'Thar :
(Note : Il s'agit ici du descriptif du donjon, et non son histoire. Celle-ci accompagneras l'histoire générale de la fiche, plus bas)
La demeure de Sulfure, si on peut l'appeler ainsi, est un donjon qui se veut un peu libre au niveau de l'avancement qui peut s'y faire... Ou tout du moins semble-t'il l'être si l'on considère que la maîtresse de donjon est capable de laisser le choix à ses visiteurs de passer par le chemin qui leur plait. La zone centrale du donjon est en tant que tel relativement classique, un enchaînement de salles diverses, piégées pour certaines, gardées par des bêtes et autre monstruosités pour les autres, et beaucoup sauront s'y retrouver rien que par le simple fait de l'expérience et de la connaissance. En revanche, ce qui différencie le lieu de ses habituels confrères, est la possibilité qu'ont les potentiels aventuriers à pouvoir prendre plusieurs chemins pour atteindre cette partie centrale, et ainsi, y découvrir un déroulement unique d’événements et de particularités durant leur exploration, tout en leur offrant toujours une difficulté à l'aune de leurs attentes les plus exigeantes. Ce sont en tout quatre chemins qui permettent de rejoindre les zones les plus profondes d'Ahn Ak'Thar, chacun avec ses diversités et ses embûches, mais surtout son apparence propre, et ainsi son lot d'étonnement pour qui ne serait pas prévenu de cette qualité du donjon.
Mais commençons par le commencement, et parlons de la situation géographique du lieu avant de s'engager sur ses spécificités. Le donjon d'Ahn Ak'Thar se trouvent en plein désert, à l'extrême Sud-Est d'Ashnard, encastré dans un haut et large pic solitaire au beau milieu du sable et des dunes, dans une région connue par les autochtones comme "la mer du Soleil". Cette région est considérable comme l'une des plus chaudes aux environs de la capitale Ashnardienne, et normalement peu de voyageurs la traversent pour rejoindre les côtes ou les montagnes lointaines, si bien que le domaine ne connait comme activité que celle des scorpions, et autres petites bêtes résistantes qui sauraient survivre à l'incroyable chaleur des environs. Pourtant, la position de cette incroyable forme rocheuse n'est pas perdue pour autant, car visible à de nombreux kilomètres de distances grâce à la faible ondulation des dunes environnantes, et beaucoup de ceux qui traversent cette partie du désert ont tendances à se repérer grâce à ce sombre élément du décor, sans jamais trop s'en approcher, par crainte d'y rencontrer quelques-uns des habitants du donjon qui seraient sortit se faire une courte balade. Il est reconnu pourtant qu'Ahn Ak'Thar ne vient pas agresser les visiteurs impromptus, et ceux qui ont perdus leur chemin, mais pour autant, le danger relatif à la proximité d'un donjon fait que seuls ceux qui choisissent de défier les lieux se dirigent finalement devant l'entrée du domaine, et les autres passent leurs chemins.
Le donjon est donc un endroit un peu solitaire, peu fréquenté, et pourtant il continue d'en attirer plus d'un encore à ce jour, grâce au travail de Sulfure en terme de régularité des récompenses, et des réussites de chacun lors de leurs passages à l'intérieur de sa propriété. En effet, nombreux sont les trésors inestimables, les artefacts de grandes qualités, mais aussi les ouvrages et les oeuvres d'arts se trouvant entre ces murs, et parfois le plus appauvri des fils peut ressortir du domaine avec assez de butin pour vivre la vie d'un roi durant l'intégralité des longues années de sa vie, si bien que malgré son éloignement, et la dangerosité de la région dans laquelle il se trouve, Ahn Ak'Thar a toujours été connu du grand public, et il est bien soufflé qu'un voyage là-bas peut changer la vie d'un être à tout jamais. Certains guides même en font un commerce, acceptant contre quelques pièces de monnaies de montrer le chemin vers le haut rocher, et il est donc tout à fait possible d'assumer que le lieu se tient clairement pour être une référence en terme d'aventure et de qualité, en faisant ainsi une cible privilégiée pour tout les écumeurs de donjons, et autres guerriers perdus en active recherche d'un peu d'animation. Et bien sur, une fois devant le lieu, il ne leur reste plus que l'embarras du choix...
Car plus d'un chemin se présentent à eux pour se mettre à l'épreuve (notez ici la qualité éminente de cette transition), et il ne tient qu'à eux de faire leurs choix en terme de progression, en espérant que tous se passe comme prévu, bien entendu. Tel que sus-mentionné, les différents chemins se comptent au nombre de quatre, chacun ayant pour eux une certaine thématique, propre aux quatre gardiennes qui y habitent, et y appliquent la domination de Sulfure. Aucun ne semble plus dangereux ou plus périlleux, mais tous possèdent une entrée net, visible généralement au loin, hormis l'un qui trouve sa finalité au sommet du pic rocheux, et qui a donc tendance à disparaître de plus en plus à mesure que les aventuriers s'en approchent, voilé par la pierre brute qui monte droit vers le ciel. Pour le coup, Sulfure n'y a rien changée, jugeant que la satisfaction qu'éprouveraient quelques candidats aux richesses de son domaine en découvrant un passage "annexe", dont la cachotterie devrait être à l'aune de son efficacité pour entrer plus aisément dans le domaine, serait largement suffisante pour rendre ce cheminement aussi viable qu'un autre, et jusqu'ici, elle ne s'est pas encore trompée sur ce point. Chaque chemins étant en lui même méritant d'une description, voici les détails de chacun d'entre eux, accompagné d'un léger à-propos sur celles qui s'y trouvent afin de valider l'évolution des "intrus".
Le premier passage est, avec un certain cliché, rapidement surnommé les "Profondeurs d'Ahn Ak'Thar", et trouve son entrée à une bonne centaine de mètres de la naissance du pic rocheux, à la manière d'une grande ouverture rectangulaire dans la dune sablonneuse, où se trouve un large escalier parcouru d'écriture symboles, s'enfonçant loin sous terre. Y pénétrer reviens à descendre pendant un long moment avant d'atteindre un enchaînement complexe de grottes humides, où semblent se concentrer l'intégralité de l'eau de ce désert, tout en offrant une fraîcheur généralement très appréciable pour ceux qui viennent de faire une longue traversée sous un soleil de plomb. Les murs de roches moites couvertes de mousses et de plantes grimpantes, ainsi que le sol parcouru par endroit d'une épaisse couche d'un tapis de verdure gavée d'une eau pure, rendent la progression un peu hasardeuse par moment, et la faune environnante se concentre autour de bêtes aquatiques, crustacés géants et autres poissons piégeurs, qui ont une vilaine tendance à venir agripper ceux dont le pas maladroit viendrait faire choir au coeur des eaux profondes du lieu. Le chemin de la sortie se concentre autour d'un enchaînements d'îlots au coeur des grottes les plus larges et hautes, offrant une vue généralement peu commune, un brin spectaculaire, autre simple piège qui viendrait distraire les moins vigilants durant leur progression. D'autant plus que la première des gardiennes, Yesarath, voyage avec grâce au coeur de ces derniers bassins, et n'hésiteras pas à faire son apparition au moindre ordre de sa maîtresse, prête à transpercer d'une flèche l'inconscient ou l'orgueilleux.
Le deuxième passage est, quand à lui, appelé le "Chemin de cristal", et se trouve sûrement pour être le passage le plus déroutant de ce lieu, tant il semble faire tâche avec le décor environnant le domaine. Son accès n'est pas bien compliqué, car arrivé à l'amas rocheux qui sert d'écrin au donjon, il suffit de suivre le chemin qui y semble sculpté pour ensuite se diriger à droite lors de l'unique embranchement, afin de finalement se retrouver devant la haute et somptueuse ouverture menant au coeur de cette traversée à couper le souffle. S'y avancer revient tout d'abord à connaître une baisse soudaine de la température, les chaleurs torrides du désert laissant place à une claire fraîcheur, jusqu'à ce que celle-ci devienne un froid glacial, à mesure que la roche des lieux se met à scintiller de givre. Dés lors, il suffira de quelques minutes pour pénétrer dans un bien étrange tombeau de glace, aux murs couverts d'une épaisse couche miroitante, aux chemins de pierres perclus de tranchants de givres pointés vers le ciel, et aux arcs nivéens réfléchissant la lumière en une pluie d'étincelles multicolores. Les lieux sont terriblement difficiles à pratiquer, et c'est bien là la grande difficulté de ce domaine, hormis sa bien difficilement supportable température au vu des conditions d'approches du donjon, et les quelques êtres qui y vivent son bien souvent des élémentaires, ou quelques bêtes apprivoisées qui ne répondant qu'aux ordres de la gardienne des lieux. En cela d'ailleurs, Amalia est une savante tacticienne parmi ses pairs, et elle éviteras avant tout d'affronter de face les visiteurs tant qu'elle le peux, y préférant quelques chausses-trappes et surprises inconvenantes pour pimenter la progression des intrus en son aile du donjon.
Le troisième passage, quand à lui, est appelé le "Surplomb solaire", et ce n'est bien sur pas une simple appellation. Celui-ci est clairement moins visible que ses compères, mais quelques personnes vigilantes sauraient le remarquer en approchant de l'entrée principale du domaine, observant sur la droite un menu passage qui grimpe sèchement pour finalement atteindre un chemin en hauteur, menant droit vers les zones les plus hautes de la formation rocheuse naturelle. Bien plus praticable d'ailleurs que les deux autres précédents passages, hors considération du moyen d'atteinte qui reste relativement complexe à gravir, les différentes bifurcations, et la diversités des possibilités de progressions sont les éléments qui rendent la montée plus longue et complexe. D'ailleurs, il est à noter que la faune locale est aussi plus conséquente, nombreux étant les oiseaux de proies, les grandes bêtes aériennes, ainsi que les drakes à dos plats, et autres êtres liés à l'aspect terrestre de l'aether, qui se trouvent sur les flancs escarpés de ce chemin. Mais rien n'équivaut toutefois à la satisfaction d'atteindre dés lors le sommet de cette formation solitaire au milieu du désert, les quelques visiteurs impromptues débouchant dés lors immédiatement devant un large champs fleuri, invisible autrement qu'en grimpant, et dont les innombrables couleurs sont l'un des plus beau spectacle que la nature peut offrir. Et au coeur de ce champ se trouve le profond puits permettant de rejoindre les salles principales du donjon, puits protégé par la gardienne des lieux, Haziëlle, qui aura généralement tendance à se faire peu commode pour qui osera la défier, engageant bien rapidement l'assaut de manière frontale.
Le dernier des chemin envisageable est le plus frontal, le plus "direct", même si celui-ci ne l'est pas tant que ça, et il est nommé la "Voie du sacrifice" pour de simples raisons : Ce lieu est truffé de pièges, et bien malin est celui qui parvient à traverser ses corridors et ses passages sans y perdre une partie de ses affaires, ou de son honneur, en de situation qui vont être rapidement détaillée dans les lignes qui suivent. Avant tout, l'entrée est plutôt aisée à trouver : une fois la base de la forme rocheuse atteinte, il suffit de suivre le chemin et de prendre l'embranchement gauche pour arriver devant un large arc de roches sculptées, ouvrant sur de longs et non moins larges couloirs de pierres taillées, et d'architecture ancienne. Les lieux semblent délabrées par endroit, le temps ayant fait son office, mais aucuns des passages ne se sont effondrés avec le temps, laissant au lieu une certaine beauté, remarquable pour qui en traverse les hautes voûtes. Peu d'ennemis s'y trouvent à cause des risques relatifs à la traversée des lieux, mais quelques bêtes y sont gardées, notamment certains canidés modifiés par la magie et le temps, ainsi que d'autres formes de vies moins appétissantes, tels que d'épais slimes au couleur de miel, ou d'étranges formes de vies tentaculaires qui trouvent refuges dans les fissures de ce lieu millénaire. Nonobstant cela, les pièges sont toujours nombreux et actifs, les fléchettes empoisonnées, les gaz paralysant, ou encore les lames de voûtes capable d'agir comme de parfaites guillotines, rendent la progression d'autant plus dangereuse, obligeant quiconque passant par ce chemin à agir avec la plus extrême prudence... Jusqu'à atteindre la merveilleuse salle d'apparat, tapissée en tout endroit, aux colonnes plaquées d'ors et d'argents gravés, aux larges amas de cristaux ocres et mauves vibrants de magie, afin de produire une lumière aux teintes époustouflantes. C'est dans cette dernière salle que se trouve les portes vers les salles principales d'Ahn Ak'Thar, et c'est ici qu'attends la plus vieille alliée de Sulfure, Mor'Medras, une succube aux pouvoirs savamment maîtrisés, et qui saura jouer de son habileté et de ses talents pour s'assurer que personnes ne puissent faire le moindre pas au delà de cette dernière pièce.
Ces défis passés, il ne restera que le coeur des lieux à conquérir, en un ultime défi représentés par un domaine labyrinthique, aux salles multiples et parfois semblables, dont les murs sont gravés de messages si vieux que même les plus talentueux traducteurs s'arracheraient les cheveux à en comprendre le sens. Le lieu est recouverts de pierre blanchâtre, calcaire, mais semblent être hors du moindre dommage, aussi neuf qu'au premier jour de son inauguration, alors que les différentes pièces rituelles laisseront à comprendre que si ce domaine est aujourd'hui connu comme étant un donjon, il fut autrefois une tombe, conservant la mémoire de tout un peuple dont certains représentant gisent désormais dans des cercueils muraux, ou sous la pierre sur laquelle marche les diverses courageux qui ont eut la chance d'atteindre le coeur de la bâtisse. L'ambiance y est lourde, et la présence d'anciens cadavres réanimés par une puissante énergie, ainsi que l'apparition fugace de puissants échos du passé rendent le voyage en ces murs particulièrement troublant, pesant même pour qui n'a pas l'habitude de faire face à pareil challenge. S'y perdre est monnaie courante, mais une fois le profondeurs les plus éloignées atteintes, le tout ce simplifie relativement, permettant à ceux qui n'en auront pas démordu d'atteindre enfin le dernier défi de son avancée... en la présence des trois pièces maîtresses de Sulfure, ainsi que de la rencontre avec l'évidente maîtresse de donjon.
Et tel un pied de nez à tout ceux qui ont tant peiné à avancer en ces murs ... La sortie se fait par un simple portail d'énergie aetheryque... Mais ça, c'est pour une question de budget.
Les quatre Gardiennes :
Prénom : Yesarath
Nom : Aucun
Surnom : Poisson, Gardienne des profondeurs.
Âge : 237 années
Sexe : Féminin
Race : Sirénéen (Créature)
Orientation : Pansexuelle
Expérience : Très peu nombreuses
Description physique :
Si d'aperçu la femme ressemble à une sirène, je vous en prie, ne le lui dites jamais, ou elle risquerais de prendre sévèrement la mouche. Yesarath fait partie d'une race aquatique cousine des demoiselles des mers, mais là où celle-ci possède une similitude avec les poissons et autres mammifères marins, la première gardienne du donjon tient ses particularités des serpents de mers, chose dont elle retire une certaine fierté. Élancée, dépourvue de toute forme de nageoires au profit d'un corps longiligne et vif, celui-ci se décompose de la même manière que celui de ses cousines, la partie basse du corps étant en tout point animal, pourvu d'une couverture d'écailles dont la couleur marine vire parfois vers le turquoise, tandis que le haut de son corps possède les attributs les plus humains qui soient, ceux-ci portant avec clarté le charme de cette subordonnée de Sulfure.
En revanche, contrairement à ses homologues, la femme possède sur sa partie humaine une légère couche d'huile isotherme, qui lui permet non seulement de se soustraire au maximum des effets de frottement quand elle nage, mais surtout, lui offre une énième protection sur ses parties corporelles les plus tendres, tout en les recouvrant d'une blancheur immaculée qui saurait la faire passer pour une pure demoiselle en attente d'un quelconque sauvetage. Cette huile toutefois ne produit une couche uni que quand elle se retrouve sous l'eau, et sèches à une vitesse presque improbable sitôt qu'elle se trouve à l'air libre, s'écaillant légèrement au bout de deux ou trois minutes passés sans contact aquatique, pour enfin se détacher de la peau de la jeune femme en moins de cinq minutes, révélant alors une chair douce, moelleuse, d'un frais rosé, et généralement terriblement sensible, étant donné que la gardienne a tendance à ne jamais laissé son corps supporter le contact direct de l'air, ou d'un toucher amical.
Parlons de son visage maintenant. A l'instar des autres éléments de chair de son corps, celui-ci possède aussi cette fine couche d'huile protectrice, lui offrant un teint d'une pâleur presque sacrée, soulignant la finesse de ses traits d'une manière charmante, assez pour convaincre les plus empotés qu'elle ne saurait leur faire de mal. Contrastant avec le couleur de son visage, ses yeux sont brillants, dorés comme le plus beau des trésors, scintillants généralement sous les flots, indicateur fréquemment très utile pour l'aventurier qui chercherait à savoir si il est observé depuis un quelconque point d'eau qu'il traverserait avec prudence. Enfin, autre élément contrastant nettement avec sa fraîche pâleur, sa bouche est généralement étirée en un sourire plein de confiance et de charme, la teinte cerise de ses lèvres étant généralement un franc appel à ce qu'un inconscient vienne en quérir le baiser, généralement fatal dans les secondes qui viendraient à suivre. Ses expressions sont généralement rieuses, joyeuses, la femme présentant un comportement des plus rafraîchissant, et il est à noter que de tout les membres du donjon apprécient sa présence, autant pour sa délicate beauté que pour son perpétuel air plein de joie de vivre. Quel dommage qu'elle ne sorte jamais de son bassin...
Toutefois, terminons cette rapide description en extrapolant sur deux éléments. Tout d'abord, sa tenue, qui est relativement réduite étant donnés que cela généralement se résume à quelques parures et bijoux produit sur mesure, ceux ci soulignant certaines formes de son corps, ou arrangeant sa chevelure cobalt pour la mettre un peu plus en valeur. Considérable comme étant de ses atours vestimentaires, étant donné qu'elle ne s'en sépare jamais, Yesarath garde toujours en main un arc très finement ouvragé, mêlant la souplesse et la force d'un bois ancien, avec la puissance et le poids de métaux travaillés avec finesse pour accompagner le courbe de l'arme, non sans compter les quelques runes inscrites tout du long, légèrement allumées par les pouvoirs qui ont été investis dans ce belle ouvrage. Ensuite, le deuxième détail tient du domaine sexuel, car d'aucun dirait qu'il est impossible d'avoir un rapport intime avec les sirènes, ou tout autre cousine de cette espèce, à cause du manque évident d'un sexe humain. Si Yesarath ne saurait s'exprimer sur le cas de ses homologues, il est toutefois vain d'imaginer qu'elle ne puisse s'accoupler. En vérité, elle cache une partie de son bassin humain par le biais d'une jupe d'écailles très rapprochée du corps, afin de faire trompe-l'oeil, mais hors de l'eau encore une fois, la supercherie est visible, et les possibilités clairement présentes sous la forme d'une belle fente bien peu souvent utilisée.
Description mentale :
Yesarath est sûrement, et sans le moindre conteste, la personne la plus douce et la plus appréciable du donjon, une femme aimante qui apprécie le contact de ses camarades en tout temps, et qui ne tariras jamais de sujets de discussions quand elle peut se trouver en plaisante compagnie. Comme sa manière de nager, vive et gracile, elle présente en tout temps de la journée, en toute période de l'année, une façon d'agir qui mêle bonne volonté et élégance, si bien que certaines de ses alliées de tout les jours ont parfois eut l'indélicate pensée qu'elle n'était surement pas à sa place dans un tel domaine, et qu'elle serait bien plus heureuse à vivre dans un milieu qui saurait apprécier toutes ses qualités. Mais c'est bien parce qu'elle vit en donjon que la dame aquatique est aussi positive, aussi pleine de vie, et si les raisons précises sont parfois un peu moins simple que le fait qu'elle considère les gardiennes et Sulfure comme une sorte de famille, elle s'en tient bien souvent à cette version des faits, gardant toujours pour elle quelques doux secrets. Ainsi, il fait bon vivre auprès d'elle, mais cela, bien peu de personnes auront l'occasion de le remarquer, car pour beaucoup, leur rencontre avec la femme se dérouleras surement de manière bien moins polie et joyeuse, mais plutôt avec tromperie et déchéance...
Car si elle a le don d'être la plus grande source de joie de vivre auprès des membres du donjon, elle est aussi la gardienne de son entrée, et elle prend particulièrement à coeur cet aspect de son travail, souhaitant n'avoir jamais à décevoir la maîtresse des lieux. Archère précise, et cousine des sirènes, elle a bien souvent tendance à jouer un minimum avec celles et ceux qui traversent sa partie du domaine, les menant lentement vers les pierres les plus glissantes, faisant bien précisément siffler une flèche juste à leur oreille, afin qu'ils s'enorgueillissent de leur chance avant de tomber en disgrâce, cherchant toujours à ce que la progression soit aussi grisante que la chute terrible. Toutefois, contrairement aux autres dames qui constituent les paliers de difficulté à l'intérieur de ce domaine isolé, Yesarath manque parfois de sang-froid, de fermeté, la bonté qui la caractérise ayant bien souvent tendance à l'empêcher de provoquer la mort chez qui traverse ses bassins, et ce défaut là lui provoque parfois quelques désagréments, notamment quand un forban acculé l'attendri, et que celui-ci en profite pour renverser la situation à son avantage. Pour autant, Sulfure n'a jamais eut l'occasion de la rabrouer à ce propos, si bien qu'il est envisageable que la maîtresse de donjon apprécie ce penchant de sa personnalité, et ne lui en tient pas rigueur, même si cela à tendance à rendre la première gardienne parfois bien dure dans son jugement envers elle-même.
Car, finalement, si douce et joyeuse qu'elle est, Yesarath est relativement complexé à propos de deux choses particulières. Tout d'abord, elle a ce problème de se comparer aux autres, principalement ses camarades de "travail", et bien malheureusement incapable de considérer sa propre joie de vivre et gentillesse, elle a tendance à se sentir bien inférieur à ses consoeurs, en tout point, voyant de la bonté de leurs comportements plutôt que dans le sien. Et pour finir, la femme est complètement incapable d'assumer ses attirances et ses désirs, bloquée par une peur tenace des sensations décuplées qu'elle ressent à force de s'être protégée des dizaines d'années durant, par le biais de son huile, et sous les eaux. Presque ironiquement, cette peur et cette abstinence ne font que décupler les sensations quand il lui arrive malheur, l'entraînant dans un long cercle vicieux des plus retords.
Prénom : Amalia
Nom : Vensland
Surnom : La petite, psycho-poupée, Gardienne du chemin de cristal
Âge : 25 ans
Sexe : Féminin
Race : Humaine
Orientation : Inconnue
Expérience : Vierge
Description physique :
Amalia est une jeune femme, très jeune femme même au considérant que celle qui l'entourent en tout temps ont généralement plus d'un centenaire de vécu, et si elle est souvent vue par ses consoeurs comme une enfant, il n'en reste pas moins que sa rafraîchissante présence fait parfois un peu de bien aux autres membres du donjon. Assez petite, d'une taille approchant timidement le mètre soixante, elle apparaît au premier abord comme une femme fine, voir fragile, ses membres semblants manquer d'épaisseur pour être un tant soit peu solide, et seule son opulente poitrine prouvant que finalement, elle n'est pas si mal avec son état de santé. Pourtant, cela n'empêche en rien qu'en effet, la femme n'a pas les qualités d'une guerrière, sa condition physique approchant du misérable, et la pauvre s'épuisant bien souvent à arpenter les multiples couloirs et corridors qui constituent la grande propriété d'Ahn Ak'Thar, au grand damne de ses alliés, généralement inquiète pour leur cadette. Cette apparente fragilité souligne toutefois la beauté en pleine grâce d'Amalia, cette forme fluette attisant les sentiments de pitié, ou parfois de manière plus vil, le sentiment qu'elle n'est pas bien dangereuse pour qui serait préparé et entraîné... Mais cela sera détaillé un peu après.
Amalia est donc une personne de particulièrement fine, mais pour autant, cela ne fait que mettre plus en valeur sa féminité, ses courbes les plus remarquable s'en tenant à sa poitrine et son fessier, sans parler de l'étroitesse de sa taille, lui donnant une apparence pleine d'un charme certains. Cela serait d'ailleurs parfait si, en tombant sur son visage, le contraste entre l'élégance de son corps et l'expression de son faciès n'était pas aussi tranché, car Amalia ne fait ni dans la bonne humeur, ni dans l'amabilité. Son regard bleuté est froid, hautain, supérieur, quelque chose qu'elle a très bien récupérée de Sulfure, tandis que ses lèvres semblent perpétuellement mut par une moue de rejet, voir de dégoût envers ceux qu'elle rencontre, si encore elle est dans ses bons jours. Autour de ce visage à l'expression fermé donc, se trouve une coupe de cheveux mi-longs d'un blond tellement déteint qu'il en devient presque entièrement blanchâtre, le tout souligné par une peau légèrement rosée, rajoutant encore une fois à la fragilité de la demoiselle en lui donnant cet aspect de poupée de porcelaine.
Par chance, ses gestes et ses goûts vestimentaires éliminent un peu de cette impression générale qui l'entoure, car si elle semble clairement menue, elle a trouvée la parade à ce trop peu de forces par le biais d'une gestuelle grandiose, magnificente, la femme ne se tarissant pas quand il s'agit d'accompagné ses mots par de grands mouvements démonstratifs, parfois même un peu surfait. Tout est bon pour être remarquée, pour être vue, admirée, et si son comportement physique y aide, ce ne serait surement pas aussi spectaculaire sans ses choix vestimentaires, généralement constitués de robes riches en détails et en futiles ajouts, de chapeaux lourds dont les bords couvrent quasiment la largeur de ses épaules, sans parler de divers bâtons et autres ustensiles ésotériques dont elle se fait la collection, le tout dans une gamme de coloris à friser le tape-à-l'oeil. Un mouvement, c'est plusieurs kilos de tissus qui se mettent en branle pour offrir à la jeune femme un aspect à nul autre pareil, et par chance, l'aisance magique avec laquelle elle est née lui permet de supporter sans trop de peine cette accumulation grotesque de couches de vêtements, à défaut de lui permettre de marcher plus de 500 mètres sans s'essouffler.
Description mentale :
Empiétons un brin sur l'histoire pour faciliter cette description, en une ligne simple de résumé : La mère d'Amalia, ancienne gardienne du chemin de cristal, est morte il y a peu, et il est revenue à sa fille de protéger cette entrée du donjon. Cette information en tête, commençons. Amalia est une jeune femme qui a vécu en permanence dans Ahn Ak'Thar, même si dans les moments où le lieu de danger était visité par quelques terribles aventuriers, elle avait tendance à se retrouvée en sûreté, aux cotés de Sulfure, en profitant d'ailleurs pour parfaire ses dons magiques, si bien qu'elle obtint autant des qualités et défauts de sa mère, que ceux de la maîtresse de donjon. Amalia est hautaine, particulièrement certaine de sa supériorité envers les faibles êtres qui osent mettre les pieds dans le domaine de l'ancêtre aetheryque, et elle aime à le faire sentir à quiconque ose se promener dans sa partie des lieux, autant par la parole que par son comportement. Elle hait touts ces abrutis, ces idiots bouffis d'espoirs de gloires et de richesses, et se montre tout bonnement impitoyable avec ceux qui croisent son chemin, à tel point que les quelques-uns qui parviennent à ressortir en vie du chemin de cristal ont tendance à en compter le voyage comme cauchemardesque.
Usant avec une vive intelligence de ses divers talents, la femme se fait de plus en plus remarquée par ses talents de tacticienne, plutôt que de combattante, épuisant ses ennemis à tel point qu'ils ne peuvent plus rien faire une fois à sa portée, et pour cause : la jeune demoiselle ne supporte pas l'adversité, les gens se doivent de ployer devant elle quand il la rencontre, car ils ne sont pas dignes de sa présence, ni de ses efforts. Par chance, sa proximité avec Sulfure la rend relativement obéissante aux désirs et choix de sa supérieur, mais elle est connue de ses comparses pour être irascible au moindre conseil qu'on lui prodigue, si bien que pus personne n'ose s'empêcher auprès d'elle à ce sujet, se contentant de profiter du vif intellect dont elle fait preuve sur de biens nombreux sujets. Orgueilleuse, imbue de sa personne, haineuse et violente dans ses accès de vindicte, que de biens belles qualités pour la personne la plus jeune en ces lieux, mais le fait est que de biens nombreux éléments permettent aux autres femmes d'Ahn Ak'Thar de l'apprécier, et de passer du temps avec elle pour d'autre raisons qu'un simple règlement de compte suite à un propos mal placé.
Car quel autre explication à un tel comportement que la mort de celle qui l'a élevée ? Au plus profond d'elle, Amalia n'arrive pas à se détacher de l'image de sa mère, véritable gardienne aux maintes qualités, personne d'exception qui reste à ce jour la seule qui mériterait de garder cette entrée, là où elle même ne fait office que de remplaçante en cette période de trouble. Souffrant d'un grave manque de confiance, la femme s'en protège avec un comportement des plus véhéments, et cela ne manque pas d'être remarquer par ses camarades, qui acceptent dés lors de lui pardonner ses écarts. Car hormis cette floppée de défaut plus gênants les uns que les autres, la nouvelle gardienne n'en est pas moins une personne de confiance, droite, honorable, et franche, quelqu'un qui possède en effet une valeur claire dés qu'il s'agit d'exprimer avec sa pleine liberté ce que certaines autres personnes ne voudrait proférer de peur de créer une quelconque zizanie. Et enfin, qualité certaine de cette demoiselle, mais elle témoigne encore à ce jour, malgré sa période de crise, un profond respect envers ses aînées, quelque chose qui ne saurait disparaître par ses récentes colères. Si sa mère est morte, et qu'elle se trouve désormais bien moins présente auprès de sa tutrice, elle n'en reste pas moins la jeune fille de ce donjon, et toutes ici ont passées une vingtaine d'années de leurs vie à prendre soin d'elle, et pour cela, elle leur est pleinement reconnaissante.
Petite note sexualité, mais la demoiselle n'y a pour l'instant jamais réfléchis, trop éprise qu'elle était des enseignements de Sulfure, et de la compagnie des autres membres du donjon qui officient telles des grandes soeurs à ses yeux. La seule chose claire et nette, c'est qu'elle ne laisseras jamais aucun étranger l'approcher, ce qui risque de rendre le tout bien compliqué.
Prenom : Haziëlle
Nom : Ombréclat
Surnom : La Fleuriste, Gardienne du Surplomb Solaire
Âge : 114 années
Sexe : Féminin
Race : inconnue (Créature)
Orientation : Tout ce qui possède un membre masculin.
Expérience : Profuse
Description physique :
Haziëlle est la plus ... bestiale de ce quatuor si particulier, et il n'est pas sans être remarquable que cette femme ne tiens pas à faire valeur de sa féminité dans ses gestes et ses comportements, se contentant d'agir avec le plus direct des instincts en toute circonstance, ce qui lui offre bien souvent une sorte de beauté sauvage. De loin, elle a bien souvent tendance à être confondue avec un oiseau, de part la forme de ses atours, qui en grandissant se sont lentement modelés pour qu'un casque d'exosquelette en forme de tête d'aigle se forme au dessus de sa tête, ainsi que d'étranges ailes de la même conception viennent couvrir le haut de son corps, non sans parler des quelques autres attributs la dissimulant au regard imprécis des êtres humains. D'une apparence cristalline, il ne faut pas s'y tromper : ces excroissances sont incroyablement résistantes, servant d'armure naturelle à la femme, et la protégeant des moindres assauts pouvant provenir d'angles de vue réduit, ce qui oblige quiconque à l'affronter de face, malgré les nombreux risque que cela encourt étant donner les capacités martiales de la créature. Et bien sur, pour cela, il faut savoir s'approcher, si bien que la découverte de la femme se fait une fois le combat engagé, laissant celle-ci troubler son adversaire par l'apparition de sa nature plus humaine.
Une fois au contact, les gens remarqueront bien vite que l'armure naturelle se tiens pour être un simple trompe l'oeil, et que l'être qu'ils se préparent à affronter s'en tiens pour bien plus charmante qu'elle n'y apparaissait, même si toujours dans une sorte de froide beauté qui n'est pas au goût de tous. Un regard acéré, d'un jaune d'or, empli d'une envie de tuer certaine, entouré d'une chevelure de feu qui traîne parfois au sol tant sa longueur est importante, voilà ce qui saute au yeux des éventuels imprudents, le tout finalement englobé dans un visage aux traits tranchés, aigus, dont le sourire absent laisse généralement place à une moue dédaigneuse. Le reste de son corps, légèrement vêtu, est finement musclé, lui offrant ainsi une force et une agilité proprement surhumaine, dont elle fait usage sans se limiter, à tel point que bon nombre de ses déplacements ont tendance à être à couper le souffle, surtout que beaucoup ne s'attendent plus à une telle prestance dans l'accomplissement de ses vives actions quand ils remarquent à quel point son corps semblent encombrer par l'accumulation de protection naturelle. Chose aussi remarquable, mais étant perpétuellement voûtée, le corps en tension, quand elle affronte un inconnu, il parait bien difficile de juger de sa taille, mais les membres du donjons la connaisse pour être une femme d'une taille impressionnante une fois droite, celle ci atteignant sans soucis le mètre 90, en faisant une grande et fine perche, qui a ainsi le droit à toutes les taquineries de la part de ses camarades.
Mais bien sur tout ces détails ne suffisent pas seulement à la définir, car si nous parlions de la rencontre avec quelques malchanceux visiteurs, ce n'est pas le principal de sa vie. Si elle parait abrupte dans son comportement, sauvage de nature, elle n'en est pas moins un être qui semble avoir une certaine affiliation avec la nature, et si ses diverses appendices (ailes, crane, long appendice caudale, et protections diverses sur son corps) lui offre un air des plus agressifs, elle reste un être dont les mouvements restent très mesurés dans la vie de tout les jours, tout particulièrement envers les fleurs de son domaines. Maîtrisant sa force, sa rapidité, elle agit au plus comme un être humain dans les moments où elle n'est pas forcée au combat, essayant de mimer la délicatesse de certaine de ses camarades avec parfois un peu de maladresse, mais beaucoup d'application, et cela se tient aussi sur son langage, qu'elle essaye de maintenir aussi riche que possible, même si le parlé humain n'est pas vraiment ce vers quoi elle a le plus de facilité. Elle bute sur les mots et les expressions, mais elle s'évertue à en faire usage, là où elle ne produirait naturellement que quelques grondements bestiaux, généralement audible dans ses phases de colères ou de contraintes. Voici donc ce qu'est Haziëlle, un être sauvage, puissant, mais qui s'évertue à combler cet aspect de sa personne par des actions plus douces et calmes, à l'instar de ce que produirait un simple être humain dans la vie de tout les jours, et qui ne se décourage pas malgré ses menus échecs.
Description mentale :
Plus que tout autres à l'intérieur du donjon, elle est la personne qui se fit le plus à son instinct, à sa manière de voir les choses, à ce qu'elle aime ou n'aime pas, et dont le raisonnement est généralement voilé par ses humeurs et impressions. Alors qu'est-ce qui peut l'affecter ? Eh bien la femme fait partie de ces êtres qui ont bien du mal à apprécier l'adversité, à apprécier les potentiels embûches sur son chemin, car il s'agit d'un être avec un fort instinct de dominance. Le lieu où elle se trouve lui appartient, et quiconque oserait venir sur son territoire aurait bien sur le malheur de provoquer le courroux de la jeune femme, encore plus quand elle a le don de remarquer un manque clair de respect des lieux de la part de l'intrus. Sur ce point, certaines règles muettes ont été mises en place par la femme, et notamment sur le comportement de ceux qui viennent traverser l'endroit : Elle ne veut pas que ceux-ci tentent de se simplifier la vie en cherchant les passages les plus simples à gravir, elle ne veux pas non plus que ceux ci campent sur sa propriété, même si la nuit vient à approcher. Pire encore, et fatale erreur, mais quiconque traverse son champ de fleurs avec négligence et outrages envers les quelques plantes qui s'y trouvent auront le don de la mettre dans une colère noire, un ire divin dont la seule sortie potentielle est l'annihilation du vil humain qui ose fouler ses terres avec autant d'audace.
Sensible à ce qui l'entoure, elle aura aussi le don de deviner la présence de quelqu'un au moindre changement de comportement des bêtes se trouvant sur les flancs de l'à-pic rocheux, les cris, les croassements, et autres bruits de mouvements étant autant d'informations qu'elle saura traduire pour comprendre la nature de ceux qui l'approchent. De la même manière, elle peut aisément comprendre ce qui se déroule aux alentours de sa propriété, et l'être bon qui saura prendre soin des créatures environnantes, ou qui ne viendra pas à les éliminer purement et simplement aura le don d'intéresser la créature, qui se permettra dés lors le droit à la curiosité, chose qu'elle n'offre qu'à ceux qui lui semblent digne d'un tel relâchement. Incapable d'user de tromperie, elle ira toujours face à ses adversaires aussi, n'allant en aucuns cas se dissimuler pour s'assurer la victoire, étant la maîtresse de ce lieu elle ne peut se permettre d'agir indirectement, par une certaine forme d'honneur animal qui l'oblige à prouver qu'elle est la plus forte en ces lieux. Cela bien sur peut provoquer autant de mésaventures que de bonnes choses pour elle, et même si elle viendrais à être vaincues, elle sait que les bêtes des environs ne sauront se retourner contre elle, tous présentant un respect bien trop important de leur chef pour oser revendiquer la place d'alpha à la gardienne de ce chemin.
Toutefois, si elle paraît être ainsi la chef de guerre la plus importante et honorable du clan animal qu'elle dirige, elle possède un sérieux défaut qui aura bien souvent le malheur de la pousser un peu plus rapidement à la faute : son besoin de sexualité. Comme déjà dit, elle tient plus de l'animal dans son comportement que de l'humaine, et cela implique qu'elle est sujette à de bien difficile phase de chaleurs, où elle n'arrive pas à bien se contrôler, et où le besoin d'un mâle reproducteur se fait sentir. Parfois ce sont de bien longs moments à subir, car elle ne trouve rien à son goût et entre dans de légers instants de dépressions, mais pire encre, il lui arrive dés lors de subir la visite d'un humain ou autre être bipède ou quadrupède à son goût, et elle aura tout le mal du monde à lutter contre sa nature pour ne pas sauter sur l'être en question afin de le maîtriser, voir dans les passages les plus intenses, à simplement se laisser faire pour nourrir son appétit sexuel dément. Cela à tendance à la rendre peu fiable dans ces moments si complexe de retenue morale, et Sulfure a beau avoir tentée de lui trouver tout les contre au monde pour qu'elle se retienne, rien n'y fit, le penchant animal est plus fort que toutes les drogues que la maîtresse de donjon à put lui faire ingérer, et pire encore, certaine ne faisait qu'accélérer le processus, si bien qu'elle arrêta assez rapidement ses tentatives.
En sommes, voici une gardienne aussi déstabilisante que puissante, et la rencontrer revient à jouer à la roulette russe avec cinq balles dans un chargeur de six : généralement les choses se déroulent dans le sang, mais venez au bon moment, et l'une des plus grandes difficulté de ce donjon s'évanouit comme neige au soleil.
Prénom : Mor'Medras
Nom : Seir-Ys'nather
Surnom : Chaudasse, Medras, Mo', gardienne de la voie du Sacrifice
Âge : De source sûre, plus de 300 ans.
Sexe : Féminin
Race : Succube (Avatar)
Orientation : TOUT
Expérience : Innombrable
Description physique :
Comment décrire Mor'Medras ? Difficile de le faire sans faire mention de sa particularité vestimentaire, son don pour le charme, ou encore cet air permanent de provocation marqué sur son visage. Commençons par le dernier point. Mor'Medras est une femme d'une grande beauté, d'une très grande et très étonnantes beauté, surtout quand l'on considère l'âge qu'elle a passée sous cette forme physique sans jamais revenir dans son univers natal pour se ressourcée. Ses traits sont délicat, anguleux, et soulignent en tout point l'air mystérieux qu'elle arbore en tout temps, comme si elle était autant la gardienne des lieux que celle d'un grand secret qu'elle ne prononcera jamais de son vivant. Ses lèvres fines sont mises en avant par une note rouge à lèvres, son nez aquilin prolonge l'harmonie de son visage, tandis que ses yeux toujours à moitié clos exprime autant le désir que l'observation extrême, comme si elle déshabillait les gens d'un simple regard. Si ce n'était d'ailleurs pas assez, le couvre-chef qu'elle porte en permanence couvre la partie haute de son visage, le plongeant dans une ombre légère, voilant à peine ses traits, tout en leur offrant le doux et beau mystère qui sait faire chavirer plus d'un coeur. En plus de cela, la femme possède une longue chevelure platine, qu'elle vient souvent à triturer de manière à exprimer une certaine féminité vaine, classique, mais qui fait toujours son petit effet auprès de la gente masculine.
Mais soyons honnête, parfois ceux qu'elle rencontre ont plus tendance à d'abord loucher sur son corps et ses "vêtements" que sur son visage, et c'est la forme la plus explicite de son charme qui se révèle sur son corps dont voici l'explication : De courbes généreuses en aspects frêles, la femme possède une chair parfaite, à la coloration délicate, aux plis justement mesurés pour accentuer l'effet attirant de ses atours, non sans oublier des formes qui sauraient faire pâlir les plus belles femmes de Terra. Sa voluptueuse poitrine est fièrement mis en avant, rebondie et ferme, tandis que son fessier en coeur semble n'atteindre que quelques délicats touchers, ou plus érotiques approches, le tout supportée par de longues jambes appelant aux baiser. Le tout de son être est ainsi souligner par un goût prononcé pour les sous-vêtements, et ainsi ne vient-elle couvrir sa peau que de quelques lingerie aux aspects les plus érotiques, ainsi que de légers tons de tissus capable d'évoquer la volupté de sa personne, notamment une large capeline mauve dont elle à tendance à se vêtir, et maintenir par une paire d'épaulières joliment ouvragées. Gants et bas sont souvent utilisés aussi pour venir évoquer un peu plus la sensualité de son être, et si peux lui venir de porter quelque-chose au pied, elle ne manquera pas de venir y placer des cuissardes, même si elle préfère le plus souvent une paire de souliers aux talons relativement élevés.
Et comment pourrait-elle faire encore plus preuve d'un charme des plus soutenus ? Eh bien son comportement laisse tout paraître de son corps, la succube appréciant tout autant de se placer dans des positions extravagantes pour accueillir ses visiteurs, que de se déplacer avec un déhanchés provocateur capable de faire rougir une nonne, et faire gonfler de honte les joues d'une féministe. Ses mouvements sont vifs, évocateurs, ses pauses et ses arrêts sont toujours produit de la manière la plus claire et évidente, afin de montrer les parties de son corps les plus provocantes, tandis que ses mimiques et jeu de doigté vas pour continuer la provocation un peu plus loin, allant d'effleurements légers à de vagues caresses personnelles sur son corps, de moue boudeuse à un sourire des plus provocants, sans parler d'une langue légèrement trop pendue. Et en en parlant d'ailleurs, la femme n'as pas sa langue dans sa poche, ses mots se faisant aussi vexant que provocateur, aussi sirupeux que délicats, tout allant dans le seul et unique sens de pousser autrui à l'abandon de soin, et à la perte de contrôle, soit pour s'abandonner au bras de la maîtresse, soit pour châtier les vilenies de l'insolente. Elle joue, tout le temps, elle joue à un jeu de charme permanent où quiconque vient s'y perdre ne pourra retrouver son chemin. Car si les êtres finissent par perdre la tête, ce n'est que pour lui offrir la possibilité de se nourrir, de se rassasier, de se gaver, de les consommer avec une boulimie sans limite, jusqu'à ne laisser d'eux qu'une carcasse vide de forces.
Elle est un piège vivant, face auquel l'échec est facile, et l'issue fatale.
Description mentale :
Vous connaissez les succubes n'est-ce pas ? Parfois il ne faut pas chercher plus loin, Mor'Medras a le comportement le plus typique de la succube, et elle apprécie autant le fait d'user de ses charmes, que la chasse qui l'accompagne, le fait de se faire proie pour leurrer celui qui saura mordre à l'hameçon. Fière d'elle, de son corps, et de ses moults capacités à offrir à quiconque s'approche une expérience introuvable autre part, elle a la vilaine tendance à en développer un certain orgueil, généralement très mal vu de la part de ses alliées de tout les jours qui ont un peu de mal avec les remarques physique dont la démone saurait faire la preuve. Assurée de ses capacités, et de l'ouvrage qu'elle a put faire dans les lieux où elle se retrouve être la gardienne, elle ne manque pas de toujours croire en sa totale réussite auprès de ceux qui viendraient à la défier en ces murs, évitant le combat à tout prix pour pouvoir s'adonner à ce qu'elle préfère. Et après tout, pourquoi risquer de blesser sa magnifique personne au coeur d'un fastidieux et dangereux affrontement ? Elle est capable de produire quelque chose de bien plus efficace tout en prenant un plaisir sans nom, et plus que tout, elle s'assure ainsi de rester toujours disponible auprès de sa maîtresse, au mieux de sa forme, alors elle ne risque pas de se priver d'un potentiel repas.
Maîtresse de la tromperie et du mensonge (ce qui rend leur relation avec Sulfure particulièrement troublante, quand on connait l'avis de la femme sur les comportements de ce genre) elle use littéralement de tout les stratagèmes en sa possession pour arriver à ses fins, et c'est notamment grâce à ses mauvaises habitudes que le donjon d'Ahn Ak'Thar est rentrée en possession de l'ancienne Aetheryque, chose qui reste bien secret entre la succube et sa vieille alliée. D'ailleurs, Mor'Medras n'hésites en effet pas à mentir pour tronquer la vérité, ou mettre en avant ses voluptueux désirs, mais elle a prouvée mainte fois qu'elle ne le faisait jamais auprès de ses camarades, si bien que plus d'une discussion auprès d'elles s'est terminée par quelques alléchantes avances que plus d'une ont refusée avec vigueur, n'ayant peut-être pas tant confiance en sa capacité à se retenir pour ne pas les vider de leur énergie, qu'elle ne le sont capable envers son honnêteté. De manière un peu surprenante, seul Sulfure répond à celle-ci par la positive, et il est connu de toute que leurs relations ont tendance à aller parfois bien loin, si bien que nulles d'entre elles n'essayent de les chercher quand elles sont bien soudainement disparue, de peur de finir comme repas sexuel malgré elles. Simple moyen de définir la crainte que Mor'Medras peut créer auprès de celle qui la connaisse.