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Je jouais avec cette pierre noire, cette pierre qui avait été forgé par mon âme, une pierre en apparence sublime et simple, mais qui retenait un vœu très cher, un vœu pour lequel j’avais passé un serment avec ma divinité, ma déesse, ma maîtresse. Tout était normal, jusqu’à ce que deux personnes entrent dans la pièce et menace tout le monde. Le paranormal vint à se présenter sous mes yeux, les portes furent verrouillé et les rideaux tirés, devenant aussi dure que de l’acier. L’un des agresseurs vint à faire apparaitre des flammes en disant que le premier qui bougerait cramerait. Je sentis à ce moment mon corps trembler, de peur et de rage. C’était pour moi l’opportunité de changer, pourtant mon âme désirait vivre, satanée peur humaine, je n’ai pas besoin de vivre dans un monde que je déteste, que je haïs et qui ne n’offre que deux choix de vie, la souffrance du malheur ou la mort. Je serais la pierre si fort qu’elle me coupait la paume de la main. Mon esprit criait de réagir, de ne pas rester immobile, de ne pas me comporter comme ses humains qui tournent le dos aux difficultés, d’assumer qu’une fois ce pas fait, il n’y aurait plus de marche en arrière possible.
Je vins à adresser une dernière pensée à ma maîtresse et prit une profonde inspiration, jetant la pierre en l’air. Tant pis mon âme si tu souffres.
- First.La pierre vint à se briser libérant une nuée de vapeur noir, qui vint à s’incruster dans ma peau, formant des tatouages, qui était d’une grande douleur, ne pouvant retenir mes gémissements. Le contrôleur de flamme voulu réagir en lançant une colonne de flamme et je tendis ma main vers cette flamme, désirant qu’elle ne touche personne. Un glyphe apparu sur le toit et une lame d’acier vint à en jaillir, faisant rempart et empêchant que les flammes ne touchent quelqu’un. Le lanceur de flamme parut décontenancé, je ne comprenais pas ce qui venait de se passer, mais je ne devais pas montrer ma surprise. Je vins à me relever, prenant une profonde inspiration, venant à les regarder avec la haine que j’avais en moi.
- Vous avez cinq secondes pour partir, sans quoi …Je ne terminais pas ma phrase, tendant ma main vers les deux intrus, d’innombrables glyphes apparurent, des pointes de lame sortant légèrement, comme une cavalerie attendant l’ordre de charger. Ma déesse se mit à me murmurer de rester calme, de rester debout et fier. Je sentais la puissance déferler en moi, me dévorer, calciner la moindre cellule de chair. Je ne paniquais pas, de toute manière j’avais parié ma vie dès l’instant où la pierre avait été lancée. Le second agresseur vint à saisir le professeur, venant à dévoiler son pouvoir, venant faire flotter une dague sous sa gorge. Ma maîtresse se mit à me murmurer que le décompte était fini.
- SecundoMon corps vint à s’échanger avec le professeur, venant à observer mes glyphes et soupirer avec un grand sourire.
- Dritte.Je sentis les lames me transpercer, me déchirer, il en était de même pour les agresseurs qui n’eurent aucun salut. Les lames jaillirent telle une vague, tant que mon souffle ne m’avait pas quitté, me consumant intégralement, ne laissant qu’un corps calciné à la place de mon corps, dévastant la pièce comme si une bombe avait explosée, un bruit similaire étant entendu et ressenti à ma mort. Le dernier sort lancé fut un sort d’altération de mémoire.
Ce que je ne savais pas à l’époque, c’est que ce sort n’avait affecté que les humains.
Ce que les humains avaient retenus de cette scène ? Deux hommes avec une ceinture explosive étaient entrés, avec un otage, qui était inconnue de tout le monde. Un parfait inconnu qui avait subi les effets d’un dysfonctionnement des ceintures. Ma famille, mes rares amis, tout ceux qui me connaissaient ne se rappelaient plus de moi, le sort altérant les biens de chacun afin que ma présence ne soient plus visible, sauf dans le cas où ils étaient dans un autre plan parallèle que l’on me dira être Terra.
Je n’eus aucune sépulture, on vint à me conserver dans la morgue, essayant de trouver des traces de mon existence, mais les machines ne purent trouver qu’une correspondance vers un fichier vide, aucune date de naissance, aucune date de mort, aucune affiliation, rien de rien. Je subis l’état de fantôme pendant près de deux ans, la solitude n’était pas déplaisante, je pouvais passer des heures et des heures à réfléchir sur mon statut. Je n’avais pas mal agis, je n’avais fait qu’agir selon mes convictions, pourtant je ne cessais de serrer des dents quand les scientifiques étudiait mon corps calciné et disait que j’étais une pauvre victime.
Je ne pouvais à ce moment laisser le souvenir de capacité surnaturelle, cela aurait incité d’autres à chercher à les posséder et engendrer un cycle néfaste pour l’Homme. Chercher le pouvoir n’est jamais facile, sans quoi tout le monde aurait des pouvoir, tout le monde serait riche et tout le monde pourrait être heureux perpétuellement, mais cela finirait aussi par un déchirement dans le monde, la naissance de l’esclavage de ceux n’ayant aucun pouvoir, de ceux préférant rester humain.
Je me souviens encore de comme j’avais obtenu cette pierre. J’avais créé mon monde, un monde paisible où je pouvais souffler, un monde où je pouvais déchaîner mes sentiments pour préserver celui matériel, un endroit où je pouvais céder aux larmes et aux hurlements sans avoir quelqu’un qui s’inquiète, ce qui ne faisait que davantage m’énerver. J4avais apprit à vivre seul, sans soutient autour, à vivre avec ma propre douleur, à vivre tout en mentant sur mon état. Dans ce monde que j’avais imaginé dans ma tête, vivait une femme âgée, une femme très belle et d’une grande sagesse. Il ne me semblait pas l’avoir créé et j’ai fini par accepter totalement sa présence dans mon monde imaginaire. Elle ne m’a jamais dit son nom, tout comme pour elle j’étais « petite hermine », me disant que j’avais des traits de cet animal, que je devais certainement en être une dans une vie antérieur. J’aimais bien sa présence, elle était rassurante revigorante, elle m’enlaçait quand je n’allais pas bien et ne disait rien, me laissant me bercer aux battements de son cœur. Elle vint à m’initier à une autre forme de visualisation, penser la douleur, les sentiments en des nuages de couleur sortant de mon corps. Elle m’apprit par la suite en la condenser en une flèche, formant un arc et venant à tirer ses sentiments loin de moi, m’avertissant que ses flèches finirons par revenir se planter en moi un jour. Quelques années plus tard, elle vint à me demander de concentrer ses sentiments en une boule.
Il s’agissait de la base qui allait devenir cette pierre noire. Cette femme me fit une confidence, « cette pierre sera ton pouvoir, mais aussi ta tombe et ton berceau. » Je n’ai pas compris les sens de cette phrases en entière. Sous mon état de fantôme je n’étais qu’à une phase intermédiaire entre la tombe et le berceau.
Ce ne fut qu’à ma troisième année qu’une onde magique se mit à traverser toute la ville de Seikusu. Je ne pouvais imaginer ce qui avait engendré ce phénomène, sentant mon corps spectral se mettre à s’éloigner de mon corps, tout en souffrant beaucoup. J'eus tellement mal que des larmes coulèrent sur mes joues, ma voix peinait à suivre, ma vue s’embrumait. Cela me parut une éternité, mais en vérité, cela n’avait fait que cinq minutes, cinq minutes où mon corps avait changé.
Quand je pus recouvrir la vue, mon corps frissonnait sous la nuit hivernale, j’étais dans le parc de seikusu, près d’un distributeur. Je pus voir mon corps, qui était vêtu de façon moulante, au moins n’étais-je pas nu. Je pus voir un corps androgyne, au vue du service trois pièces qui moulait sous le mini-short. J’étais vraiment habillé de façon vulgaire. Je ne donnais pas plus de seize ans à cette apparence. D’autres choses me chiffonnaient.
J’avais une longue chevelure bleue, avec une frange pour laisser voir mon visage et constaté des sourcils de la même couleur. Mes yeux étaient rouges. Pour avoir lu trop de manga, je pensais tout de suite à Alucard d’Hellsing. Je vins à pincer cette peau, qui semblait pâle et fine, ressentant la douleur et voyant l’épiderme rougir.
Je ne pus retenir des larmes et des rires en sentant cette douleur, en sentant cette peau ressentir la moindre bourrasque fraiche. Qu’el idiot j’avais été de penser que la mort ne m’importait pas. J’étais heureux, heureux de pouvoir respirer à nouveau, ressentir cette faim qui tiraillait mon estomac. J’étais en vie et cela me faisait rire et pleurer de joie. Une fois l’euphorie passée, je me mis en quête du sac non loin. Il y avait une clé avec un téléphone et des papiers.
Akemi Chou, 16 ans. Habitant au Japon dans l’extrême nord. Nul doute que cela devait faire une trotte d’ici. Je ne vis aucun ticket de transport et d’autres éléments montrant un déplacement jusqu’à ici, croyant difficilement à un trajet à pied. Une lettre d’inscription en date de demain au lycée de Seikusu, une clé d’un hôtel non loin avec une annotation que demain je devrais la rendre. Il y avait une carte de crédit et un relevé de compte, montrant qu’il y avait 50 000 yens dessus, une sacrée fortune. Je vins à me poser des questions avec cette tenue. J’avais bien sentis mon corps fantomatique se faire transformer, pourtant je ne pouvais garder en tête le cliché de la possession d’un corps.
Je vins à me mettre en route vers l’hôtel. La personne à l’accueil ne vint pas à me faire un commentaire, me saluant, rendant le salut. Je fus rapidement dans la chambre, ouvrant la penderie, fouillant l’ordinateur portable où un message inquiétant était ouvert.
« Profite de ta nouvelle vie Yuko. » Je ne pus dégager mon regard du message, Yuko était mon prénom avant ma mort.
J’inspecte chaque recoin, découvrant des tenues simples, comme très osé. Je pus constater sur l’ordinateur une page web, avec des photos sexy, des propos qui pouvaient très bien être de moi. Sur le site web il était marqué que j’agissais comme je le désirais, sans pour autant faire du mal à autrui et que les personnes incapables de comprendre cela n’avaient qu’à simplement ne pas poster et ne plus revenir sur la page. Bien évidement des crétins avaient répondue et je ne pus m’empêcher de locker les réponses, les bannissant de la page web. J’avais toujours agit ainsi et cela ne changerait pas. Je pris le temps de regarder la page web, les photos n’étaient pas mauvaises, j’avais toujours rêvé de faire ça et je ne pouvais qu’être émerveillé par le fait que ce corps était très photogénique. Je regardais les courriers, voyant de nombreuses annonces de mannequin souhaitant avoir un entretien avec moi. Ma nouvelle vie semblait débuter assez bien.
J’étais très dynamique, ayant une chaine de gaming, avec des vidéos toutes les semaines. Le plus déstabilisant était que les anciennes vidéos étaient sur des jeux que j’aime, avec une mise en scène que j’avais souhaitée et aussi une façon de parler qui était typiquement la mienne. La trace la plus vieille de mon activité semblait débutée le lendemain de ma mort. J’étais de plus en plus inquiet, ma pensée s’embrouillait.
Avais-je rêvé ma vie passée, étais-je en train de rêver actuellement. Pourtant j’avais eu mal en me pinçant dans le parc. Je n’arrivais pas à comprendre ce qui se passait, retournant sur ce message et rajoutant « Qui suis-je ? ».
J’eus un sursaut, tombant à la renverse quand du texte vint à se rajouter.
« Tu m’as nourrit à chaque fois que tu es venu. Tu m’as offert une douce compagnie que je n’aurais souhaitée. Les puissants, les puissants, t’ont offerts une renaissance. Je ne pourrais te revoir. Adieu petite hermine. » L’ordinateur vint à s’éteindre et se rallumer. Je ne pus retrouver le message, c’était comme s’il n’avait jamais existé. Je voulu graver la phrase sur un bout de papier, comprenant la fin de l’histoire. Cette explosion magique était une accumulation de l’énergie des puissants et cela avait conçu une nouvelle existence, celle que j’avais actuellement. Même si le raisonnement était logique et la conclusion clair, mon esprit avait du mal à accepter cette vérité, avoir un pouvoir à usage unique était plus digeste que celui de pouvoir concevoir une vie.
Je ne pouvais rejeter cette nouvelle vie, d’autant qu’elle était bien plus amusante et plaisante que celle que j’avais avant. J’avais entre les mains une vie où tout montrait que je pouvais agir à ma convenance, sans me plier au regard des autres, à leurs jugements. J’avais trois année où je montrais que j’étais un oiseau aimant le ciel et non un pigeon préférant le sol des villes.
Dossier :
Nom : Chou
Prénom : Akemi
Âge : 16 ans (18 en ce qui concerne l'âme)
Sexe : Masculin
Statut : Etudiant
Travail non déclaré : Créateur de contenue video sur le gaming, créateur de contenue photo érotique. Caissier à Mc Cronald.
Revenu mensuel : 50 000 yens. (30 000 par le job de caissier et 20 000 pour la vente de photo dédicacé et des vidéos sponsorisées.)
Expérience sexuelle : Néant
Orientation sexuelle : Les femmes ... les hommes peut-être. Il ne sait pas trop.
Dossier ESP.er
Niveau de pouvoir : Mythique (S)
Type de pouvoir : Altération
Type de pouvoir ... Bzzzz ... Double type détecté ... Création d'un nouveau type ... Altération Savante
Type de déclenchement : Active.
Description du déclenchement : Un contact suffit, accède au plein potentiel une fois les lèvres touchées, sinon semi-actif.
Nom de la capacité : Overdrive Soul Contribution (OSC)
Description : La capacité d'Akemi est de pouvoir modeler les choses selon les convenances d'autrui. Cela inclut son corps, celui des partenaires, des choses autours, des dimensions elle-même. Quand le contact se fait, la personne qui touche cède inévitablement une infime partie de son âme, n'engendrant rien pour le donneur et offrant à Akemi de nombreuses informations (âge, sexe, race et pouvoirs [Je prendrais ses informations sur les fiches, sauf information supplémentaire par mp]).
/!\ Vous pouvez aussi affecté le psyché d'Akemi, en faire un dominant par exemple ou au contraire un véritable mouton qui se fera dévoré par des loups en rûte. /!\
Restrictions : - En semi-actif, le pouvoir ne permet que de modeler des objets. Akemis et les partenaires ne pouvant qu'avoir des apparences humanoïdes.
- Son pouvoir aspire constamment de l'énergie autour de lui, étant proportionnel à l'énergie de départ de la chose. Les entités sensibles auront de léger vertiges, mais rien de plus. Le pouvoir ne consomme que 5% de l''énergie maximum que l'entité peut absorber et pas en dessous des 95 % de l'énergie disponible.
- Tout savoir acquit par son pouvoir en pourra être divulgué, étant soumis à un contrat de silence. Que cela se fasse par l'oral, l'écrit ou tout autre moyen de communication, il sera impossible à Akemi de dire quoi que ce soit sur une personne ayant eu un contact avec lui. Sauf autorisation formulée.
- Akemi peut utiliser les pouvoirs des personnes ayant eu un contact avec lui une fois par jour, pas plus, sauf si la personne est présente à côté et donne l'autorisation de l'employer plusieurs fois. Toute rétractation sur l’autorisation bloque à une utilisation par jour.
- Akemi peut se voir interdire d'utiliser des pouvoirs d'une personnes.
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Pouvoirs utilisables :
- Glyphe de Durendal : Fait sortir une épée qui peut trancher l'acier le plus résistant et résister aux flammes les plus chaudes.
- Pelage de Geri : Fait apparaître des tatouages sur le corps, offrant protections aux flammes.
- Pelage de Freki : Fait apparaître les même tatouage que Pelage de Geri, offrant la capacité d'intervertir le corps du porteur avec un autre.
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Effet secondaires :- Il ne peut mourir pendant que son pouvoir est activé (même semi-actif).
- Attise les pensées obscènes
- En cas de mort ressuscite au bout de 24 heures
- Possède un corps intemporel. (immunité aux effets du temps et aux sorts temporels)
- Hypersensibilité aux phéromones
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PS : Si je dois faire impérativement une section physique et caractère, je la ferais, même si je trouve peu pertinent de le faire vu que le personnage va avoir 36 000 formes et caractère au fil des rencontres.