Le temps était venu de continuer à former la belle Hana, de l’entraîner, et de la préparer, sexuellement parlant. Myumi avait déjà bien commencé, et il fallait donc poursuivre sur cette voie. Après avoir bu la propre cyprine de son élève, Myu’ avait, bien évidemment, vu le regard plein d’envie d’Hana, ce mélange de stupéfaction et d’envie. Comme en pilotage automatique, elle se déplaça, et s’assit sur les cuisses de sa Maîtresse, un corps chaud et tendu, qui respirait lentement, qui transpirait et suintait de tous ses orifices le désir et l’envie. Myumi ne put que sourire quand, après sa proposition, elle vit Hana se décomposer sur place, indiquant que c’était tout de même, « un peu embarrassant ».
Myumi se contenta d’un léger sourire amusé, en posant l’une de ses mains sur les hanches de la femme.
« Vraiment ? C’est avant tout un ordre, ma chère Hana… »
Et Hana, malgré sa gêne, obéit. On aurait pu penser qu’elle le faisait par nécessité d’obéir à sa Maîtresse, mais Myu’ n’était pas dupe. Les contacts linguaux d’Hana furent assez timides au début, avant de progressivement gagner en intensité. Elle léchait sa joue, remontant dessus, et la main de Myu’ se crispa un peu sur la hanche d’Hana, tandis que son autre main, pour l’heure, ne tenait pas le corps de sa belle soumise. Yeux clos, Myu’ savourait ce contact, cette délicieuse langue d’amour qui filait sur sa peau. Elle sentit ensuite Hana déplacer l’une de ses mèches de cheveux, et Myumi tourna la tête, accompagnant la joueuse langue de la femme, qui lécha désormais sa seconde joue, avec plus d’entrain, plus d’ardeur, plus d’efficacité. Myumi le ressentait aussi dans la manière dont ses cuisses se déplaçaient, dont son corps semblait se réveiller, ce qui amena ainsi ses deux mains à se poser sur ses côtes.
Pendant qu’Hana la léchait, frottant son visage contre le sien, Myumi soupirait de plaisir, s’étalant tranquillement dans son fauteuil.
« Hmmm… Oui, ma chérie, haaaa… Encore, ma puce, ma toute belle… »
Elle cessa de parler, se contentant de soupirer, quand la langue de la belle Hana s’approcha de son menton, et, en même temps, les mains de la professeur descendirent… Ce qui fit que, quand Hana l’embrassa, Myumi posa ses deux mains sur ses fesses, les massant, avant de rapidement en remonter une, la posant sur la nuque de la femme. Assises là, l’une contre l’autre, elles se roulèrent un magnifique baiser, sensuel et plein d’amour, la langue de Myumi s’enfonçant dans la bouche de la femme, ses mains se crispant contre son corps, contre ce corps magnifique, magnifié par sa sueur.
Myumi salivait contre elle, sa langue jouant avec celle de la femme. Elle remua un peu sur son fauteuil, faisant doucement craquer ce dernier, avant de rester plaquée contre ce dernier. Sur ses cuisses, elle sentait la mouille de son amante, et Myu’ laissa tout simplement le temps défiler, sans chercher à l’interrompre, sans chercher à mettre fin à ce baiser.
« Hmmmmmm… !! »
On pouvait même l’entendre soupirer et gémir pendant toute la durée du baiser. Leurs nez se frottaient l’un contre l’autre, et, au bout d’un long moment, leur baiser finit par se rompre, ce qui amena Myu’ à lui sourire, tout en continuant à la caresser.
« Alors ? Tu es toujours aussi embarrassée, ma chérie ? C’est agréable d’embrasser sa Maîtresse, non ? »
Qui oserait, en ce moment, prétendre le contraire ?