Négociation de retour [Theorem & Ishtar]

Par une nuit sombre et sans nuages, comme il y en avait tant à Seikusu, Helena patrouillait dans le quartier de la Toussaint pour tenter de prendre des criminels sur le fait, et ensuite leur flanquer une belle raclée. Car dans ce quartier, il y avait toujours un bandit quelconque à corriger. Que ce soit un simple détrousseur ou bien un chef de clan yakuza, tous les individus louches de la ville se regroupaient ici, et les nuits d'un super-héros étaient toujours très chargées. Huntress ne faisait pas exception à la règle : sautant de toit en toit, elle apparaissait au milieu du danger, se battait comme une lionne et repartait aussi vite qu'elle était apparue. Tout comme son père avant elle, elle insufflait la peur dans le cœur des criminels et dissuadait bon nombre de ces méprisables individus de mener leurs actions permissives. Et pour ceux qui ne voulaient pas comprendre le message, il fallait leur faire rentrer dans le crâne à grands coups de poing.

Après avoir empêché un couple d'ados de se faire dépouiller par un type avec un couteau, Helena continuait à patrouiller dans les rues en espérant pouvoir arrêter de plus gros poissons. Beaucoup de rumeurs circulaient comme quoi une grande ponte d'une famille mafieuse japonaise avait une maîtresse qui vivait dans ce quartier. Si seulement elle pouvait l'attraper, lui ou cette femme, ce serait une précieuse source d'informations pour coincer toute la famille. Perdue dans ses pensées, il lui fallut quelques secondes avant de réaliser que son oreillette sonnait pour signaler un appel entrant. Etant donné qu'il n'y avait qu'une seule personne qui avait le numéro de cette ligne, ce n'était pas compliqué de savoir qui l'appelait.

« Karen ? »

« Coucou Helena. Où est-ce que tu es ? »

« En patrouille. Et toi, tu ne devrais pas dormir à cette heure-ci ? »

« Tu es sérieuse ? »

« La vie d'une femme d'affaires comme toi est compliquée, tu devrais t'accorder un peu de repos de temps en temps. »

« Possible. En attendant, j'ai une furieuse envie de baiser. Si tu venais me rejoindre ? »

« Il faut que je finisse ma patrouille. »

« Comme tu voudras. Mais sache que, au moment où je te parle, je porte une jolie combinaison en cuir rouge extra moulant et je tiens un fouet dans ma main. Et j'ai un joli masque pour toi... »

En entendant ces mots, Huntress devint toute chaude et remuante, comme une goutte d'eau sur une plaque de cuisson. Faire l'amour avec Power-Girl, ça voulait dire se soumettre, mais l'humaine aimait se soumettre à son amie kryptonienne. Alors forcément, s'imaginer se faire fouetter tout en portant un masque de soumission... Elle se frottait instinctivement les fesses en l'imaginant.

« Dépêche toi de rentrer si tu veux en profiter. »

Karen raccrocha, laissant Helena désireuse et pleine de pensées perverses. En vivant avec cette femme, elle comprenait chaque jour un peu plus pourquoi son père avait tant rechigné à se mettre en couple. Être un héros et un amant, ce n'est pas facile à concilier.

Huntress resta encore une heure dans le quartier de la Toussaint, empêchant encore plusieurs actes criminels, mais avait du mal à se concentrer, car Power-Girl occupait ses pensées. Finalement, elle se résigna à admettre qu'elle mourrait d'envie d'aller rejoindre son amie, d'enfiler ce masque et de se faire fouetter jusqu'à avoir les fesses en feu. Quand elle pensait à la kryptonienne, elle devenait maso comme jamais.

Bien engagée sur le chemin du retour, l'humaine fut prise par surprise quand un portail s'ouvrit soudain sur son chemin et la happa sans autre forme de cérémonie. Plus habituée aux voyages entre deux dimensions, l'héroïne perdit connaissance. La dernière chose qu'elle vit avant de fermer les yeux, ce fut un océan... et un bateau.

Helena resta endormie pendant plusieurs minutes. Quand elle reprit ses esprits, elle était allongée sur le sol, et plusieurs individus étaient debout autour d'elle. Quand ses réflexes lui revinrent, elle sauta comme un criquet pour se remettre sur ses jambes. Autour d'elle s'attroupait des individus en tenue de marin, et il ne lui fallut pas longtemps pour réaliser qu'elle avait atterri sur un navire. Sachant déjà que les dimensions parallèles existaient, ce fut facile pour elle de comprendre ce qui c'était passé. Maintenant, une question se posait : comment allait-elle s'en sortir ? Et quel était les intentions des marins envers elle ? Allait-elle se faire enchaîner ou escorter ? Elle prit l'initiative.

« Je ne suis pas votre ennemie. S'il vous plaît, laissez moi parler à votre chef. »

Le Czarina Tiamat fendait les flots en pleine nuit afin de rejoindre Nachtheim au plus vite, les cales pleines de différents éléments nécessaires à la colonie. Mais l'équipage s'agita quand, en plein milieu du pont promenade, un portail avait rejeté une magnifique jeune femme en tenue de latex. Normalement les marins, pour la plupart kobolds ou dragons, une fille dans ce genre de vêtement était monnaie assez courante à Inferis. Eux-même portaient des vestes en latex noir. Mais c'est surtout qu'elle sortait d'un portail qui avait alerté les équipes. Finalement, une fois vite réveillée, elle demanda à parler au chef. Ca tombait bien, Ishtar était au poste de commande et eut vent rapidement de cette histoire. Sortant de la pièce de navigation, elle se dirigea directement vers la jeune femme alerte qui essayait de s'expliquer. La dragonne était plus grande que l'humaine mais elle resta un moment à la regarder avant d'ajuster sa casquette militaire, son regard mauve brillant un peu dans la faible luminosité sur son visage causé par la visière.

"Tient tient... Une habitante de la Terre dans un accoutrement pareil... Soit tu es une professionnelle soit tu es de ce groupe de justiciers... Tes armes et accessoires m'informent rapidement de qui tu peux bien être."

Elle posa finalement ses mains sur ses hanches, l'observant silencieusement avant de rabattre ses ailes d'un coup. Elle tendit simplement sa main vers une des écoutilles pour accéder à l'intérieur du navire. La coque en acier riveté laissa place à de la boiserie à mi-hauteur, de la tapisserie, des tableaux... Un véritable manoir flottant. Ishtar conduisit l'humaine dans un des salons de ce navire, se posant dans un grand canapé au milieu de plusieurs rangements de bibliothèques. Ishtar croisa les jambes sensuellement, laissant ses bottes métalliques charmer le regard de la jeune fille sous ses reflets, ainsi que son latex rutilant.

"Les portails soudains sont traîtres... Tu aurais put finir en pleine mer... Mais je suppose également que tu n'as aucune moyen de revenir comme ça chez toi... Tu auras besoin d'une magicienne pour percer les limites de ce monde vers le tient... Cela tombe bien, je le suis... Cependant, tu t'imagines bien que je ne le ferais pas par charité donc... Qu'as-tu à me vendre en échange ?..."

La dragonne resta silencieuse, toisant la belle Huntress du regard. Elle aussi aimait le latex noir...

Sur ses gardes, Helena était prête à se défendre au premier signe d'hostilité. Heureusement, le capitaine du navire arriva avant qu'un incident n'ait lieu. L'humaine s'entreprit de lui expliquer au mieux sa situation.

« Je suis désolée de débarquer ainsi à l'improviste, mais ça n'avait rien de prémédité. J'étais tranquillement en train de me balader quand j'ai soudain été prise en traître par un portail qui m'a envoyée ici. Je ne veux pas vous importuner, dites moi juste comment je peux rentrer chez moi. »

Le capitaine du navire, une grande femme dragonne à la peau noire et aux yeux mauves, vêtue d'une tenue de latex noir et d'une casquette de marin, détailla Helena du regard et comprit vite qu'elle était une justicière de la terre.

« Si vous savez autant de choses sur ma planète, vous comprenez pourquoi je dois y retourner au plus vite. »

Elle n'était pas pressée que par son rôle de protectrice, mais aussi par ses hormones en ébullition en imaginant Karen l'attendre dans sa chambre, avec l'attirail de la parfaite dominatrice. La capitaine rabattit soudainement ses ailes et ouvrit une des écoutilles du navire, invitant sa nouvelle passagère à la suivre. L'héroïne découvrit, avec une pointe de surprise, que ce navire n'avait plus du tout la même allure une fois cette écoutille franchie : l'acier laissa place au bois, aux tapisseries et aux tableaux, faisant presque oublier qu'il s'agissait d'un bateau. Elle fut conduite par la dragonne jusqu'à un salon, cette dernière s'assit dans un canapé, l'humaine décida de rester debout pour le moment, laissant son regard se perdre dans la pièce.

La capitaine lui fit une offre très intéressante : étant magicienne, elle pouvait renvoyer Helena chez elle, mais elle ne comptait pas le faire gratuitement. Le problème était maintenant de savoir ce que l'humaine pouvait bien avoir à lui offrir. La première idée qui lui vint en tête, en bonne habitante de la Terre, fut l'argent.

« Si l'argent humain a une quelconque valeur ici, je connais quelqu'un qui sera prêt à payer très cher pour me retrouver. »

Mais il fallait d'autres idées, au cas où. Et son esprit de déduction affûté comme un rasoir allait lui être très utile.

« A en juger par la taille de ce bateau et sa vitesse de déplacement, vous devez sûrement transporter des ressources et des matières premières. Si une de ses ressources peut se trouver sur Terre, je vous en ramènerai. »

Elle vendait les richesses de sa planète, mais elle ne devait pas oublier de vendre aussi sa personne.

« S'il vous faut quelqu'un pour accomplir une mission dangereuse, je pourrais m'en charger. Je ne suis peut-être qu'une humaine, mais je suis plus forte que j'en ai l'air. »

Et au-delà de ses compétences, il y avait une dernière chose qu'elle pouvait tenter de proposer, mais si c'était un peu désagréable.

« Et enfin, en dernier recours... je pourrais offrir à vous ou à vos marins un coup rapide, histoire de se détendre. »

Pour Helena, qui avait toujours milité pour les droits et les libertés des femmes, pour qu'elles ne soient plus vues que comme des objets sexuels, faire ce genre d'offre était dur, mais s'il fallait en passer par là pour retourner sur Terre, alors elle le ferait. Ce ne serait pas la première fois qu'elle coucherait juste pour coucher, elle n'avait fait l'amour par sentiment qu'avec Karen.

« Alors, qu'en dites vous capitaine ? »

Avec tout ça, elle ne lui avait même pas donné son nom.

« Au fait, je m'appelle Helena. Et vous, c'est comment ? »

Ishtar écouta tranquillement que que Helena avait à vendre pour se sortir d'ici. Ca se résumait à faire la mercenaire ou faire la pute. Tout en fumant, son sourire devint de plus en plus large et garnis de dents. C'est vrai qu'une belle plante en latex comme elle... Ce serait juste formidable de l'avoir entre ses pattes. Mais très honnêtement, Ishtar pouvait en avoir des comme elle assez régulièrement. Du coup, Helena allait devoir offrir le meilleur de son corps, mais ça il était impoli qu'elle ne lui annonce la chose comme ça. Fumant tout en laissant un silence s'installer volontairement, elle déposa sa cigarette sur son cendrier avant de croiser les jambes dans l'autre sens.

"Votre offre me plait, Héléna... Je me nomme Ishtar Sakipat Tebisha Naviento, Amirale Suprême de la Marine d'Inferis. Et ceci est mon bateau, le Czarina Tiamat."

Dit-elle en écartant les bras, montrant le lieu avec une fierté non feinte. Doucement, elle se redressa pour réajuster sa veste militaire sur son dos. D'un pas sûr et agréable, elle vint vers son invitée, caressant du bout des doigts le latex de sa tenue. Elle inspira même doucement son odeur corporelle avant de se glisser dans son dos. Ishtar posa délicatement ses mains sur les épaules d'Héléna en la caressant avec ses pouces.

"Vous avez une superbe combinaison... J'adore le latex noir également. Peut être que je pourrais vous donner une belle combinaison similaire à la votre, mais faite du meilleur latex de mon peuple... En échange, votre compagnie pour au moins... trois mois. Beaucoup de sexe, vous aurez accès à tout ce que vous voulez en nourriture... Vous serez bien traitée. De toutes façons on ne peut pas ouvrir un portail comme ça."

Doucement elle posa sa main sur un des seins, lâchant un rire calme et mine de rien assez doux. Ishtar ne montrerait rien de très méchant en réalité.

"Je suis adepte du SM... Et je vois à votre posture et à votre aura... que vous aimez la soumission... Votre odeur est emprunte de sexe... Vous avez fantasmé dernièrement. Attendiez-vous que votre maître ou maîtresse vous inflige vos sévices favorites ?... Je vais m'occuper de vous..."

Dit-elle en lui mordillant le lobe d'oreille, de façons très sexy.

"Votre offre me plait, Héléna... Je me nomme Ishtar Sakipat Tebisha Naviento, Amirale Suprême de la Marine d'Inferis. Et ceci est mon bateau, le Czarina Tiamat."

Helena se rassurait de voir qu'elle avait réussi à attirer l'intérêt de l'amiral, mais quelle partie l'avait intéressée ? La partie mercenaire ou la partie pute ? Elle regarda la dragonne se lever de son siège et venir vers elle d'un pas léger, jusqu'à pouvoir poser ses doigts sur sa combinaison de super-héroïne, allant même renifler l'odeur qui se dégageait du latex moulant. Elle finit sa marche derrière son invitée, les mains posées sur ses épaules, qu'elle caressait avec ses pouces. L'humaine ne put que reconnaître que ce contact était relaxant, c'était comme si on la massait. Et après tout ce qui lui était arrivé, elle en avait bien besoin.

"Vous avez une superbe combinaison... J'adore le latex noir également. Peut être que je pourrais vous donner une belle combinaison similaire à la votre, mais faite du meilleur latex de mon peuple... En échange, votre compagnie pour au moins... trois mois. Beaucoup de sexe, vous aurez accès à tout ce que vous voulez en nourriture... Vous serez bien traitée. De toutes façons on ne peut pas ouvrir un portail comme ça."

TROIS MOIS ? Impossible, Helena ne pouvait pas rester loin de chez elle si longtemps. La dernière fois qu'elle avait pris un jour de congé, c'était après un accident lors d'une intervention contre des bandits armés. Résultat : six impacts de chevrotine dans le torse, des points de suture et un repos forcé le temps que sa blessure guérisse. Il fallait qu'elle passe près de la mort pour mettre un frein à ses activités de super-héros, elle n'allait pas s'en débarrasser sous prétexte qu'elle était coincée dans une autre dimension. Malheureusement pour elle, ce n'était pas le seul problème qu'elle allait devoir gérer. D'un seul coup, Ishtar posa une main sur un de ses seins en riant.

"Je suis adepte du SM... Et je vois à votre posture et à votre aura... que vous aimez la soumission... Votre odeur est emprunte de sexe... Vous avez fantasmé dernièrement. Attendiez-vous que votre maître ou maîtresse vous inflige vos sévices favorites ?... Je vais m'occuper de vous..."

En temps normal, l'humaine aurait brisé les côtes d'une personne la touchant ainsi sans avoir son accord, mais la situation était bien trop compliquée pour qu'elle se le permette. En plus, la dragonne avait totalement raison : moins d'une heure avant, elle se voyait attachée au lit de Karen, avec son masque de soumission sur le visage, à se faire fouetter les fesses jusqu'à ce qu'elles soient lézardées de traces rouges. Mais comment pouvait-elle savoir ce qu'elle avait en tête ? En tout cas, le plus urgent était de se sortir de là.

« Aahh... Amiral Naviento... votre offre est... très généreuse mais... han... je dois rentrer au plus vite... ou ma maîtresse va s'inquiéter. »

Et telle qu'elle connaissait Karen, elle était capable de retourner la planète entière pour la retrouver. Autant éviter un drame. Mais Ishtar insista sur le fait qu'un portail ne pouvait pas être crée sans un minimum de préparation, et qu'elles avaient donc tout leur temps. Néanmoins, Helena n'était pas prête à renoncer, et surtout pas à se laisser tripoter.

« En plus... nnaahh... je n'aime la domination... que quand je suis... oohh... entre les mains... de ma maîtresse... »

L'humaine ne s'imaginait pas pouvoir prendre du plaisir dans le SM si elle n'était pas avec Karen. Mais qui sait, cette dragonne pourrait peut-être la surprendre.

Vu les gémissements que poussaient Huntress désormais sous sa main experte, Ishtar voyait très bien qu'elle avait désormais jeté le grappin sur sa victime. Elle pouvait lui dire ce qu'elle voulait et l'amener à aimer n'importe quoi. L'humaine avait révélé tous ses points faibles ! Il allait être aisé de jouer avec elle maintenant. Voila pourquoi le plaisir est aussi la pire des tortures... On ne peut plus se défaire de lui une fois qu'on est tombé dedans, comme une drogue, une douce addiction. Ishtar ria doucement en intensifiant ses caresses, remuant ses gros melons recouverts de latex dans ses mains avant de plaquer sa verge chaude contre la raie des fesses d'Helena. Elle put juger sans mal de la longueur et de la dureté du sexe de cette amante de feu.

"Relax ma chérie... Je vais faire en sorte que ton portail te ramène seulement deux minutes entre ton départ et ton retour... Mais ici il se sera passé un trimestre..."

Ishtar amena son autre main entre les cuisses de l'humaine et commença à titiller son clito, à le pincer un peu, à donner des tappes sur sa chatte en feu, provoquant un petit bruit humide révélateur sous les cris peu intenses de Huntress. La dragonne mordilla son cou, son lobe d'oreille avant susurrer à l'oreille d'Helena des mots de plaisir, des mots de soumissions... Des paroles humiliantes, juste pour elle, lui révélant qu'elle ressentait sans mal la soumission ou la domination de certains. Mais Helena était clairement une soumise, bien qu'elle pouvait tirer grand plaisir d'humilier les hommes... Tout simplement parce qu'elle était une broute-gazon, une lesbienne, une gouine, une mange-chatte, une goudou.

"Et tu aimes ça... Tu adores que je te dévalue de la sorte... Tu m'as l'air née d'une famille riche et bourgeoise... Et être ramenée ainsi aussi bas t'excite. Je vois clair en toi comme dans un livre ouvert... Je vais dominer ton corps et ton esprit. Bienvenue en esclavage temporaire, ma belle !"

Elle tapa un peu plus fort sa chatte avant de la laisser retomber à genoux et pantelante. Ishtar alla au bureau le plus proche et sortit une feuille de papier contenant des informations spécifiques. Ishtar combla les trou avec un stylo, remplissant le formulaire avant de le mettre sous le nez d'Huntress.

"Ceci est un contrat de soumission. Je m'engage à te ramener dans ton monde, seulement deux minutes après ton départ... Mais en échange tu me dois trois mois de servitude à bord de mon navire. Je suis une dragonne, ma parole est d'or. Et une fois que tu auras signé ce contrat, une force magique t'obligera à y obéir. Certaines clauses te protègent d'abus, comme te faire faire du mal à des innocents ou aller contre ton intégrité physique. Alors soit une bonne gouine soumise et signe ce papier. Tout de suite."

Helena ne voulait pas inquiéter Karen, il fallait donc qu'elle rentre au plus vite sur Terre. Mais Ishtar lui assura qu'elle pouvait faire en sorte que le portail la renvoie à sa position d'origine, seulement deux minutes après son départ. Et l'humaine avait envie de la croire. Einstein avait démontré que le temps était relatif à l'espace dans lequel il s'écoulait, donc il était tout à fait possible qu'un portail inter-dimensionnel fasse aussi voyager à travers le temps. Et surtout, le plaisir charnel qui commençait à l'envahir lui brouillait l'esprit, et bloquait son esprit critique.

Helena sentait les mains de la dragonne tripoter ses seins couverts de latex, et elle sentait aussi une forme phallique longue et dure plaquée contre la raie de ses fesses. Pas difficile de deviner ce que c'était.

Alors c'est une hermaphrodite ? Intéressant...

Mais ce qui l'intéressait encore plus, c'était la main qui descendait entre ses cuisses pour tapoter contre son sexe et pincer son clitoris, la faisant mouiller et gémir. En même temps, Ishtar murmurait à son oreille des mots de soumission qui excitaient grandement l'humaine. Cette dragonne avait réussi à la percer complètement à jour : son goût pour la soumission, sa naissance dans une famille aisée, son combat contre l'exploitation des femmes par les hommes. Il y avait juste un point où elle n'avait pas vu totalement juste : Huntress n'était pas lesbienne, elle prenait le dessus sur les hommes quand elle couchait avec eux pour affirmer son statut de femme forte et indépendante.

Ishtar donna un dernier coup sur la chatte d'Helena avant de la laisser retomber à genoux sur le sol. L'humaine tremblait de partout, n'arrivant pas à se débarrasser de ce plaisir qui l'envahissait. Soudain, la dragonne lui colla sous le nez un papier et un stylo.

"Ceci est un contrat de soumission. Je m'engage à te ramener dans ton monde, seulement deux minutes après ton départ... Mais en échange tu me dois trois mois de servitude à bord de mon navire. Je suis une dragonne, ma parole est d'or. Et une fois que tu auras signé ce contrat, une force magique t'obligera à y obéir. Certaines clauses te protègent d'abus, comme te faire faire du mal à des innocents ou aller contre ton intégrité physique. Alors soit une bonne gouine soumise et signe ce papier. Tout de suite."

L'humaine aurait préféré refuser cette offre, ne serait-ce que pour montrer à cet amiral autoritaire qu'elle pouvait lui résister. Mais elle ignorait tout du monde dans lequel elle avait atterri, elle ne pourrait peut-être jamais trouver une meilleure offre dehors. En plus, si elle faisait de l’esbroufe sur ce navire, elle risquait d'être faite prisonnière avant d'arriver sur la terre ferme. Et qui sait quel sort lui serait réservée ensuite... Elle était perdue en terre inconnue et sans ressource. Sa seule ouverture, au final, était de suivre la dragonne. Elle prit le papier et le stylo.

« Puis-je au moins le lire avant de signer ? »

Helena parcourut le contrat attentivement. Son père lui avait toujours répété de bien lire un papier avant de le signer, de prendre garde à la moindre clause, de chercher la plus petite entourloupe possible. Mais tout ce qu'il y avait dans ce contrat était conforme à ce qu'Ishtar avait dit : en échange de trois mois à son service en tant que soumise, la dragonne lui ouvrirait un portail pour la renvoyer chez elle, à la position exacte où elle avait été happé, deux minutes après l'heure. Les clauses de sécurité empêchaient tout abus ou utilisation malveillante de ce papier. C'était un marché honnête. L'héroïne décida donc de prendre sur elle, pour son propre bien. Trois mois, ça passe vite. Elle signa le contrat, un peu à contrecœur.

Dès qu'Ishtar lui reprit le papier, l'humaine commença à entendre une voix dans sa tête, qui lui répétait sans cesse d'obéir aux ordres de la dragonne, qu'elle y était obligée, que c'était pour dans son propre intérêt de se soumettre. Cette voix était autoritaire mais apaisante et, très vite, l'héroïne se mit à l'écouter et à suivre ses directives. Elle se releva et fit face à sa nouvelle maîtresse.

« Et maintenant, maîtresse Ishtar ? Qu'attendez vous de moi ? »

Ishtar souriait de toutes ses dents avant de voir le contrat signé. Et un contrat fait avec une plume démoniaque rend obligatoire d'y obéir. Doucement, elle reprit la feuille de papier et la replia soigneusement. Ce papier se consumerait dans trois mois, et Helena sera alors libérée de cette obligation sexuelle. La dragonne lui caressa doucement les cheveux avant de prendre une nouvelle inspiration du parfum de la jeune femme. Une fois son odeur savourée, la maîtresse poussa très légèrement la jeune femme, juste pour lui indiquer la direction à prendre sans parler, pas pour la mettre par terre. Ishtar garda le contact physique avec son esclave avant de plaquer ses mains sur son postérieur arrondi pendant qu'elle marchait, l'amenant vers une grande chambre. Malgré les fenêtres en hublots sur le côté qui désignait qu'on était sur un navire, la déco intérieure avait tout du manoir, avec un lit luxueux à baldaquin. Mais les draps et les rideaux de ce derniers semblaient être dans un latex noir très noble et brillant. Ishtar ne déshabilla pas son esclave, au contraire... Elle caressait son corps moulé par le latex, frottant avec insistance sa verge contre son postérieur et empoignant ses seins avec générosité, léchant son cou avec sensualité.

"Tu dois faire bander tous ceux que tu cognes dans la rue, ma belle... Je te laisserait quitter ce monde avec un latex de si grande qualité qu'un katana n'en viendrait pas à bout. Mais avant ça, laisse-moi faire briller ta carrosserie !"

Sortant une bouteille de shiner de la table de cheveux la plus proche, elle sortit une masse généreuse de gel lustrant dans sa main. Puis, une fois débarrassée du flacon, elle frotta ses mains gantées ensembles et commença à pétrir de nouveau les seins de Huntress. Le gel faisait briller d'avantage son latex, le faisant luire à la lumière comme s'il sortait de l'usine. Puis ses hanches, son entre-jambes... Bien vite, Huntress était rutilante. Une beauté incroyable. On pouvait aussi noter que l'endroit semblait plus chaud et l'humaine ne tarda pas à en sentir les effets par une légère transpiration, dût aussi à l'excitation. La dragonne regarda Huntress avant de doucement lui murmurer des mots à l'oreilles... Des consignes à respecter pour une récompense sexuelle méritée... Puis la dragonne se posa dans un fauteuil dans le coin et sortit son téléphone portable pour filmer ce qui allait suivre. Il fut ordonné par SMS à Theorem de se présenter immédiatement dans la chambre de l'Amirale. Le jeune trap ne tarda pas à arriver, cherchant rapidement du regard Ishtar... Mais il fut captivé par la belle Huntress devant lui. Doucement, il ravala sa salive.

"Je... heu... Bonjour... Ce sont les quartiers de l'Amirale, vous savez ?... Je peux vous aider ?"

Tremblant et visiblement impressionné par une femme aussi belle, il en perdait son latin... Une ouverture de faiblesse que la jeune femme allait pouvoir exploiter pour satisfaire les attentes d'Ishtar, silencieuse et voyeuse, caressant juste sa verge tout en filmant. C'était à Huntress de jouer !

Helena se fit encore un peu caresser et renifler par Ishtar avant que cette dernière ne se décide à passer dans son dos et à la pousser dans la direction souhaitée. Ses mains restèrent le plus souvent sur ses épaules, mais l'humaine put quand même les sentir sur ses fesses, et ce fut plaisant. Les deux femmes arrivèrent dans une grande chambre qui, bien qu'elle soit installée sur un bateau, donnait vraiment l'impression d'être une chambre de manoir, le latex rutilant en plus. L'esclave fut encore palpée par les mains de la dragonne, qui savourait le latex de son costume de super-héroïne, puis fut relâchée un bref instant, le temps que sa maîtresse aille chercher de quoi faire ''briller sa carrosserie'' : du gel lubrifiant. L'esclave fut tripotée de partout, et sa tenue se retrouva couverte de gel, devenant ainsi brillante et rutilante, comme si elle était neuve. Une fois le processus terminée, l'humaine ressentit une forte chaleur s'emparer d'elle, sans doute parce qu'elle s'était faite palper dans tous les coins de son costume, de quoi réveiller ses pulsions fétichistes du latex. La dragonne la regarda et lui murmura ses ordres pour la suite... La voix dans la tête d'Huntress lui répéta encore et encore d'obéir au doigt et à l’œil à sa maîtresse, sous peine de souffrir. Elle regarda ensuite cette même maîtresse s'asseoir sur un fauteuil dans le coin de la pièce et sortir son téléphone. Quant à elle, elle se posta près de la porte et attendit.

Une personne finit par entrer. Theorem, vice-amiral de la marine d'Infernis, et petit chouchou d'Ishtar. Helena avait reçu des instructions très claires de la part de sa maîtresse sur ce qu'elle devait faire. Du coup, dès qu'elle vit que le jeune homme laissait une ouverture, elle s'empressa de la saisir.

« Vous non... mais moi je peux. »

Elle approcha lentement, balançant son divin postérieur moulé dans le latex brillant, hypnotisant le rouquin par ses mouvements de bassin, et se plaça dans son dos pour aller empoigner une de ses fesses et coller sa poitrine contre son dos. C'est là qu'elle sentit quelque chose entourant son bassin. Sa main se balada selon les contours de cet objet étrange, et elle finit par comprendre de quoi il s'agissait : une cage de chasteté.

Hum... voilà un détail dont ma maîtresse ne m'avait pas parlé. Mais pue importe.

Helena se colla toujours plus contre le dos de Theorem, sa poitrine se compressant toujours plus, tandis qu'elle lui massait les fesses et lui mordillait le cou et le lobe de l'oreille. Le pauvre jeune homme devait être particulièrement contrarié que son engin soit mis sous clé, vu ce qu'il subissait. L'humaine se pencha près de son oreille pour lui donner des explications, sans jamais arrêter de le frustrer.

« L'amiral a demandé à ce que je m'occupe bien de toi... mais vu que tu as cette cage autour de ta verge, je suppose que son but était avant tout de te frustrer. »

L'esclave de la dragonne poursuivit son œuvre sur le corps du jeune soumis, qui couinait et gémissait autant de plaisir que de douleur. Helena était une femme très douée quand il s'agissait d'imposer sa volonté aux hommes, et Theorem allait l'apprendre à ses dépends. Pendant ce temps, Ishtar était toujours en train de filmer le spectacle, sans doute pour se le repasser pendant les longues soirées d'hiver.

« D'après ce que l'amiral m'a dit, tu es un grand soumis. Si je te demandais de me lécher les aisselles, tu le ferais ? »

Theorem avait sa petite cage dragon entre les cuisses qui devenait de plus en plus étroite... Une telle beauté à portée de flair et il ne pouvait rien lui faire... Une bombe sexuelle comme elle se faisait rare même à Terra. Le pauvre twink sentait les mains fermes et gantées de latex caresser son corps imberbe et gracile avant qu'elle ne sente enfin sa cage entre ses cuisses. Ce magnifique objet fait dans le métal le plus précieux d'Inferis, l'Orichalque, préserverait la relative pureté de Theorem. Car même si son pénis était en cage, il n'en demeurait pas moins que son cul avait été utilisé de très nombreuses fois. Sa cage avait donc esthétiquement la forme d'un petit dragon, avec un anneau à pics décoratifs faisant le tour complet de sa verge et de ses testicules, et une partie pénienne sous forme de dragon enserrant sa verge. Le tout était fermé par un cadenas en forme de coeur, dont Ishtar avait la clé accrochée à son nombril. Ainsi, Theorem avait toujours l'objet de sa libération devant les yeux quand il faisait une fellation à sa maîtresse. Un moteur de motivation très efficace...

"Hmmm... Hah... Vous êtes sublime..."

Et Theorem ne mâchait pas ses mots. Les femmes étaient des déesses à servir... Son latex rutilant, sa présence surnaturelle... Une splendeur... Quand enfin elle lui ordonna de faire quelque chose, il était totalement sous son charme et ne répondit que par un acquiescement presque désespéré. Doucement, il aida la jeune femme à prendre la pose qui aiderait le mieux. A savoir les bras levés, mains derrière la tête en fléchissant les coudes. Ainsi, on exposait ses aisselles et celles d'Huntress étaient superbes, imberbes et perlant de sueur après tout le sport qu'elle avait dût faire...

"Han... Votre musc... est si puissant... Vous n'avez pas prit de douche depuis un moment..."

Theorem commença à lécher les magnifiques aisselles imberbes de cette maîtresse. Son muscle rose plus long que la normal caressa cet endroit sensible franchement pour éviter les chatouilles. Il caressa avec insistance, avalant ce précieux nectar d'effort et salé, le faisant gémir de plaisir. Pendant ce temps, il ne put s'empêcher de frotter sa verge en cage sur la cuisse gainée de latex de l'humaine. Elle restait plus grande que lui, il avait la possibilité de la faire et visiblement ça l'excitait diablement...

Theorem acquiesça pathétiquement à la question d'Helena, puis l'aida à se mettre dans une position confortable pour pouvoir lui lécher les dessous de bras. Ses mots étaient tellement emplis de soumission que l'humaine n'arrivait même pas à y croire. Ce garçon avait du subir une formation intense pour en arriver là. Le genre d'homme qu'elle appréciait tout particulièrement.

« En effet mon beau. Et j'ai fait beaucoup de sport avant d'atterrir ici. J'espère que cette odeur ne te dérangera pas. »

Honnêtement, elle s'en fichait bien, c'était juste pour faire la conversation.

Les aisselles sont une zone du corps humain assez sensible aux chatouilles, et pourtant le rouquin léchait assez fort pour ne pas chatouiller la femme du tout. Au moins, il savait s'y prendre. En même temps qu'elle sentait son organe lingual passer sur sa peau, l'héroïne sentait sa verge en cage frotter contre sa cuisse gainée de latex. Une petite liberté qu'il s'autorisait, mais elle n'y voyait pas d'inconvénient tant qu'il ne faisait rien de plus, surtout que, vu la situation de son entrejambe, ces gestes allaient sûrement le frustrer plus qu'autre chose.

Au bout de quelque minutes à se faire nettoyer les aisselles, Helena en voulut plus. Sa langue agile allait s'attaquer à une zone bien plus sensible. L'humaine prit la tête de Theorem entre ses mains, l'obligeant ainsi à la fixer droit dans les yeux.

« Tu as une belle petite langue... maintenant je veux la sentir sur mon sexe. »

L'héroïne s'allongea sur le lit à baldaquin et dirigea le visage du rouquin entre ses cuisses.

« Lèche moi mon grand. Mais ne touche pas à ma culotte, ou sinon tu vas souffrir. »

Pour un soumis comme lui, les ordres faisaient force de loi. Peut-être pas autant quand ils venaient d'une étrangère que de l'amiral Ishtar, mais ils en tenaient quand même compte.

Helena sentit le plaisir l'envahir dès que la langue rose de Theorem se posa sur la zone de sa combinaison qui cachait sa fente baveuse. Gémissant avec force, l'héroïne gardait les mains fixées sur le crâne du jeune homme, appuyant sa tête de toutes ses forces entre ses jambes.

« Aahh... Oh ouiii... oh ce que c'est bon... quel talent... aahh... »

On en pouvait pas enlever ça à ce garçon privé de virilité : sa langue était très agile. Le cunni' qu'il offrait à l'humaine était encore meilleur parce qu'il le faisait sur sa culotte de latex. Malheureusement pour lui, aussi bon que ce soit, la femme avait reçu des ordres très clairs, et la voix dans sa tête la forçait à obéir. Du coup, quand elle se sentit approcher de l'orgasme, elle éloigna la tête du rouquin de son intimité ruisselante, et évidemment il ne comprit pas pourquoi.

« Désolé pour toi mon beau... mais j'ai des ordres à respecter. »

Helena plaça un coup de genou dans les parties de Theorem, et ce dernier se retrouva au sol, à couiner de douleur. L'humaine, loin d'éprouver de la compassion pour lui, se dirigea vers la cachette d'Ishtar.

« Alors maîtresse ? Êtes vous satisfait de ma performance ? »

Theorem caressa les cuisses d'Helena gainées de latex avant de commencer à lécher cette culotte de latex. Elle était très odorante, dût à l'excitation de celle qu'il léchait mais aussi de tout le sport qu'elle avait pratiqué avant. Si ses aisselles avaient connu une odeur assez puissante, elles n'avaient rien à envier à son entre-jambes. La langue de Theorem passa et repassa plusieurs fois sur ce triangle blanc, voyant comment Helena se tortillait sous sa langue. C'était tellement frustrant de ne pas avoir son jus intime en prime... La belle héroïne sembla au bord de jouir mais resta à son niveau d'excitation maximal... Juste pour venir lui expédier un coup de genou dans les testicules. La puissance souleva même Theo du sol un instant avant de le faire s'écrouler au sol et serrant les dents. Il roula plusieurs fois pendant que la douleur le tourmentait mais elle alla de suite vers Ishtar qui arrêta de filmer en la voyant approcher. Sa récompense fut qu'Ishtar lui roule une belle pelle, serrant la poitrine d'Helena dans ses mains.

"C'était super... Tu vas devenir très heureuse ici..."

Doucement elle lui donna une paire de menottes.

"Tient, tu vas attacher Theo assis par terre, les bras derrière un des piliers du baldaquin. Et tu lui mettra ça dans la bouche et ça sur le front."

Ishtar venait de lui donner en prime une gag-ball, ces balles trouées avec une sangle permettant de bâillonner quelqu'un, mais aussi un bandeau pour les yeux, mais qui serait placé pour le moment sur son front. Une fois Theorem équipé pendant que la douleur lui serrait le bas-ventre, Ishtar se glissa derrière Helena, la caressant perversement et léchant son lobe d'oreille. Vu comment la cage de chasteté de Theo tressauta, il était terriblement frustré. Du pré-sperme s'écoula du trou au bout, signe de sa haute excitation. Ishtar glissa des mots dans l'oreilles de Huntress.

"Met ta main à plat au niveau de ta chatte. Je ne veux pas qu'il puisse voir..."

Une fois qu'Helena ait exécuté ses ordres, et donc que sa main fut droite et masquant son entre-jambes au mieux, Ishtar poussa sa verge épaisse sous l'élastique de la culotte, la poussant sur le côté. Puis enfin, ce fut la pénétration ! Mais pauvre Theo... Il ne put voir ce coït qui pourtant laissant échapper des gouttes de cyprine au sol. Elles baisaient debout, habillée, là, juste devant lui... Ishtar soupira d'aise avant de dire à Huntress de tout commenter à Theorem ce qu'il ratait... Et qu'il aimait ça, être une tapette frustrée... Vu comment il tremblait d'excitation... Ca devait être vrai !

Helena s'attendait à ce que sa performance soit récompensée, mais pas aussi intensément. Ishtar se jeta sur elle pour l'embrasser à pleine bouche et masser sa poitrine à pleines mains. L'humaine couina de bon cœur sous cet assaut, puis sa maîtresse lui donna de nouvelles directives, ainsi que le matériel nécessaire.

« Tout de suite maîtresse. »

L'héroïne attrapa Theorem par les aisselles, pendant qu'il se tordait toujours de douleur sur le sol, le traîna jusqu'au pied du lit, et lui attacha les mains dans le dos, derrière l'un des piliers du baldaquin. Après ça, elle lui plaça la gag-ball dans la bouche et le bâillon sur le front. Une fois sa tâche accomplie, elle n'eut pas le temps de se retourner que la dragonne vint se mettre dans son dos pour la caresser et lui mordiller le lobe de l'oreille. Il lui fut ensuite ordonnée par cette même dragonne de mettre une de ses mains à plat devant son intimité, pour que le rouquin ne puisse pas voir la suite du spectacle. Elle s'exécuta immédiatement, puis sentit ensuite le bas de sa combinaison et sa culotte se faire écarter, ainsi qu'une verge imposante glisser sur ses lèvres intimes.

Cela faisait moins d'une heure qu'elle avait signé son contrat de soumission, et Helena goûtait déjà à sa première pénétration vaginale. Et c'était encore meilleur parce qu'elle sentait bien qu'il s'agissait d'un véritable membre organique, pas d'un vulgaire jouet en plastique. Et pendant qu'elle se faisait prendre, Ishtar lui murmurait à l'oreille de frustrer Theorem en lui parlant de ce qu'il ratait, et de s'en prendre à sa virilité d'homme.

Bon sang, cette dragonne est vraiment méchante... mais je dois lui obéir.

La voix dans sa tête n'allait pas la laisser tranquille tant qu'elle ne l'aurait pas fait. Elle fit donc de son mieux pour parler au milieu de ses gémissements de plaisir et des ondulations de son bassin, qui ne pouvait pas rester en place avec une amante aussi vigoureuse que sa maîtresse.

« Alors... aahh... Theorem... comment trouves tu... le spectacle... tu voudrais en voir plus... kyyaahh... voir comment l'amiral... me pilonne la chatte... oohh... voir sa grosse verge... aller et venir... dans mon sexe mouillé... aahh... mais tu ne peux pas... parce que tu n'es... oohh ouiii... qu'une petite lopette... frustrée et faible... kyyaahh... qui aime être tenue en laisse... avec sa virilité mise en cage... aahh... hein que tu aimes ça... ma jolie rouquine... »

Le besoin de suivre les ordres de l'amiral faisaient faire à l'héroïne des choses dont elle se serait cru incapable par le passé. Même si elle aimait se sentir supérieur aux hommes, jamais elle n'en aurait rabaissé un à ce point juste pour jouer, peu importe qu'il aime ça ou non. En plus, certaines de ses paroles la faisaient se sentir comme une homophobe. Mais c'était plus fort qu'elle : si elle n'obéissait pas, elle se sentait mal. De plus, le plaisir physique effaçait facilement son début de mal-être émotionnel. La dragonne la pilonnait sans interruption, la faisant hurler de plaisir et d'envie, en réclamant toujours plus.

« Oh oui... maîtresse Ishtar... oh bon sang... encore... prenez moi... ENCORE... PLUS FORT... AAAAAHHHHH ! »

L'assaut d'Ishtar eut finalement raison de la résistance d'Helena, qui se lâcha avec plaisir, expulsant sa mouille comme un geyser avant de sentir son corps se ramollir. Mais grâce à sa condition physique supérieure à la moyenne, elle resta debout et bien droite, prête à se faire prendre une nouvelle fois.

« Alors... est ce que ma maîtresse est satisfaite de moi ? »

Ishtar baisa avec envie avec force cette belle humaine qui mine de rien arriva à encaisser sa verge sans faillir. Pour être honnête, jamais la dragonne n'avait rencontré d'humaine aussi forte qu'Huntress, capable de jouir mais de rester quand même debout.En plus elle lui avait offert un très beau orgasme fontaine, éclaboussant ses bas et ses bottes de super héroïne, mais aussi un peu le corps pitoyable de Theorem qui regardait le spectacle, encore tremblotant de douleur de ce coup dans ses bonbons, mais aussi les joues toutes rouges de ce spectacle. Une superbe femme baisait là, juste devant lui... Le latex brillant et moulant son corps divin, grinçant à chacun de ses mouvements, ses magnifiques seins montant et descendant au rythme du coït d'Ishtar... Quelle perfection... Une perfection inaccessible pour Theorem qui resta en place, les mains menottées dans le dos et le poteau du lit à baldaquin entre son dos et ses poignets. Cette veste ouverte et trop courte sur son corps nu, ce physique androgyne et fin... S'il n'avait pas eut cette cage entre les cuisses, franchement Helena aurait put s'imaginer une fille plate à la place de Theorem.

"Oh oui, ma belle Huntress... Tu es parfaite... J'espère qu'après ce trimestre, tu reviendras quand même me voir."

Doucement elle retira sa verge d'elle, replaçant sa culotte et le bas de sa combinaison en place avant que la jeune fille n'enlève ses mains. Il ne resta à scruter pour Theorem que des cuisses humides et une chatte moulée par du latex qu'il avait léché au préalable. Ishtar replaça son pénis dans sa culotte et vint au contact de Theorem pour le caresser, le frustrer. Elle se tenait jambes écartées et accroupis derrière (quoiqu'un peu sur le côté à cause du lit) son soumis. Tout en regardant Helena, elle vint caresser les tétons de Theorem, traversés par des anneaux d'or. Le soumis couina sous ces caresses intensives. La dragonne invita Huntress à s'approcher alors qu'Ishtar retira la clé accrochée à son piercing au nombril. Maintenant elle se mit à caresser Theorem plus intimement encore, avec la clé à la main que le travelo suivait des yeux. Doucement, elle jouait à le caresser avec la clé, longeant sa cage de chasteté avant de doucement caresser le cadenas en forme de coeur qui en verrouillait l'accès.

"Mon bien le plus précieux est cet être... Je l'ai acheté une somme folle. C'est donc un esclave, c'est un objet. Ici on peut acheter des êtres vivants mais ne m'en blâme pas. Theorem n'a pas à se plaindre, je m'applique l'utiliser de la plus belle manière possible... Et regarde cette clé. C'est la seule au monde qui peut ouvrir ce cadenas. Theorem ne sait plus c'est quoi la masturbation. Il a été dressé pour l'anal. Regarde."

Ishtar glissa sa main libre sous les testicules de Theorem. Dessous, une chaînette partait de sa cage de chasteté et rejoignait visiblement un gode ancré dans son fondement. Ishtar tira doucement sur cette chaîne et le jouet s'extirpa en un "spouic" sonore, libérant son anus d'un plug pendant encore au bout de la chaînette. La dragonne enfonça deux doigts dans le fondement de Theorem qui écarta les cuisses machinalement. La dragonne s'éloigna un peu.

"Prend le relais. Vient écraser ta grosse poitrine sur lui, vient frotter ta chatte trempée sur sa cage, embrasse sa gag ball avec fougue, fait-lui croire que vous baisez ensemble alors que pas du tout... Mais surtout je veux que tu y prennes goût. Prends ton temps. Ne le vois pas comme un homme. C'est une lopette, un femboy... Quand tu te sentiras méga chaude de tout ça, replace son plug dans son fondement, baisse le cache-yeux sur son visage afin de le rendre aveugle... Puis monte me rejoindre sur le lit. Alors je te baiserai si fort et si intensément que tu connaîtras orgasmes sur orgasmes !"

A ces mots, Ishtar replaça la clé à son nombril et vint s'asseoir sur le lit, regardant Helena faire avec un sourire pervers et frottant sa verge formant une bosse dans sa robe de latex noir. Theorem regarda Helena, les joues toutes rouges, tremblant... si vulnérable et tellement peu masculin...

"Oh oui, ma belle Huntress... Tu es parfaite... J'espère qu'après ce trimestre, tu reviendras quand même me voir."

La voix dans la tête d'Helena ne réagit pas à cette demande. Puisqu'elle considérait une date ultérieure aux trois mois de soumission qu'elle avait accepté, elle n'était absolument pas obligée d'y obéir. Et honnêtement, pour l'instant, elle avait hâte que ce délai soit passé pour pouvoir rentrer chez elle. Ishtar se retira et alla à la rencontre de Theorem, qu'elle présenta plus en détail à sa nouvelle soumise, en insistant sur le fait qu'il était dressé pour le sexe anal. Elle montra le plug qui dilatait son anus, et le retira dans la foulée. Pendant qu'elle doigtait le fondement du rouquin, elle donna ses ordres à l'humaine.

"Prend le relais. Vient écraser ta grosse poitrine sur lui, vient frotter ta chatte trempée sur sa cage, embrasse sa gag ball avec fougue, fait-lui croire que vous baisez ensemble alors que pas du tout... Mais surtout je veux que tu y prennes goût. Prends ton temps. Ne le vois pas comme un homme. C'est une lopette, un femboy... Quand tu te sentiras méga chaude de tout ça, replace son plug dans son fondement, baisse le cache-yeux sur son visage afin de le rendre aveugle... Puis monte me rejoindre sur le lit. Alors je te baiserai si fort et si intensément que tu connaîtras orgasmes sur orgasmes !"

Puis la dragonne alla se mettre sur le lit pour caresser sa verge dressée. Helena, quant à elle, se tourna vers Theorem, qui la regardait avec les joues rouges et en tremblant de tout son corps. L'humaine ne pouvait pas s'empêcher d'avoir de la pitié pour lui. Se faire rabaisser, frustrer et émasculer à ce point... elle aurait pu jubiler s'il l'avait mérité, mais là ce n'était pas le cas. De toute façon, ça n'avait pas d'importance. Ishtar commandait, elle obéissait.

L'humaine alla se mettre à genoux devant le femboy, et décida de faire comme la dragonne lui avait conseillé de faire : oublier que c'était un homme. Du coup, elle se mit à le considérer comme une fille plate. De cette façon, elle arriverait sûrement à faire des choses avec lui en prenant du plaisir. Elle passa ses bras autour de son cou et l'embrassa goulûment, ou plus précisément elle enfonça sa langue dans le trou à l'avant de la gag-ball, elle frotta sa poitrine contre son torse plat et sa chatte humide contre le dragon entre ses jambes. L'intéressé réagissait positivement à ce traitement, il se tortillait sur place comme s'il voulait ressentir encore plus de sensations, mais il n'arriverait à rien tant que ce serait Huntress qui dirigerait les choses. Pour accentuer le plaisir, elle porta une de ses mains jusqu'aux fesses de son ''partenaire''. Le voyant comme une fille, elle trouva un grand plaisir à masser son cul, à le malaxer, à le pincer, comme elle l'aurait fait avec Karen si elle avait pu rentrer sans encombre. Au lieu de ça, elle se retrouvait à frustrer une lopette et, malgré la dimension bizarre de tout ça, à en tirer du plaisir, si bien qu'elle finit par s'emballer complètement dans les mouvements de son corps. Sa langue bougeait dans tous les sens, ses seins voluptueux étaient ballottées comme des ballons de baudruches, sa chatte dégoulinait de cyprine, et ses mains pressaient tellement le fessier du rouquin qu'il crierait s'il n'avait pas cette balle dans la bouche.

Alors qu'elle grimpait dans le plaisir, Helena entendit la voix dans sa tête la sommer d'arrêter et d'aller rejoindre Ishtar, comme elle l'avait demandé un peu plus tôt. Avec un peu de regret, elle baissa le bandeau sur les yeux de Theorem, le rendant complètement aveugle, puis s'éloigna de lui, le laissant avec ses désirs en train de mourir après avoir brûlés comme des torches. Elle alla retrouver la dragonne, qui la plaqua avec force sur le lit, prête à lui faire l'amour avec une puissance qu'elle ne soupçonne même pas, et à faire décoller son corps au-delà des limites connues du plaisir.