Les besoin que Kriviel ressentait était terrible, impérieux, et d'autant plus douloureux que ça faisait quelques jours qu'elle le ressentait. Là, maintenant, c'était comme si l'on présentait à un affamé une magnifique pièce de viande, mais qu'il n'aurait pas les connaissances et réflexes pour la manger, et que seule la délicieuse odeur lui parvenait. C'était ici pareil, même si elle ne s'en rendait pas pleinement compte, ses sens de Slime étaient parfaitement au fait de la présence d'une source de jus intime toute proche, cette mouille dont elle avait tant besoin pour en tirer son énergie. D'une nature timide et prude, Kriviel n'avait bien entendu pas pu deviner par elle même qu'elle devait faire ça, d'autant qu'elle ne connaissait que très peu de choses sur les Slimes.
Mais Kriviel commença à comprendre quand Mélinda pointa du doigt son intimité, et qu'elle sentit comme une urgence, une envie, de s'y fourrer. C'était comme si on mettait face à elle un délicieux plat, instinctivement, elle commençait à se douter que sa nourriture se trouvait là, et maîtresse le lui confirma. La jeune Slime rougit alors de plus belle, d'autant que la femme continuait de la frotter avec son pied, envoyant chez elle de terribles mais délicieuses sensations. L'expression qui se dessina alors sur son visage devait être jolie à voir, un mélange de surprise et d'envie, car elle ne pouvait aller à l'encontre de son instinct le plus basique, qui lui dictait d'y aller, de fourrer son visage entre ces cuisses ouvertes, et de s'abreuver.
J'ai tellement soif...
Kriviel avait l'impression de se sentir sèche de l'intérieur, ce qui n'était pas le cas, mais c'était une sensation similaire à la soif pour l'inciter à aller boire, comme n'importe quel réflexe de survie. Il atteint son paroxysme lorsque, sous ses yeux ébahis, Maîtresse Warren glissa deux doigts dans son intimité pour écarter ses lèvres, lui montrer plus en détail son antre chaude. Et c'est là qu'elle perçu quelques petites gouttes perlant à l'intérieur, quelques traces de cyprine, qui achevèrent de la convaincre. Kriviel avait trop soif, aussi quand Mélinda la pressa d'aller se satisfaire, la jeune Slime ne parvint pas à résister. Elle était bien sûr gênée de faire une telle chose, mais la gêne n'était plus assez pour la retenir désormais. Avec un soupir, Kriviel se leva de son fauteuil, laissant un contour humide dessus là où son corps avait été en contact, et elle se plaça à genoux entre les jambes écartées de Maîtresse. Plus son visage s'approchait des lèvres intimes de Mélinda, et plus Kriviel sentait ce doux, délicieux parfum s'en échapper, aiguisant ses sens et sa faim, et elle fourra alors son visage tout contre, en sortant sa langue.
Hmmmmm !!!
La transformation ne l'avait pas privée de ses papilles gustatives, mais elles avaient été altérées, et si certaines personnes pouvaient trouver le goût ou l'odeur de la cyprine repoussantes, il n'en était rien pour les Slimes. La nature avait fait bien les choses, car pour ces créatures, la cyprine comme le sperme avaient un goût délicieux, le meilleur goût du monde, plus doux que n'importe quel met, plus exquis que n'importe quelle drogue. La Slime posa alors ses mains sur les cuisses de sa Maîtresse, afin de bien les conserver écartées, et fourra profondément sa langue dans son inimité. Elle léchait, suçait, mais se rendait compte que pour le moment la cyprine ne venait qu'en quantités limitées. Vierge mais pas pour autant ignorante, Kriviel se dit alors que sa Maîtresse avait sans doute besoin d'être un peu plus excitée. Elle se retira alors un peu, n'oubliant pas le lécher le pourtour de ses lèvres, puis décida alors de se concentrer sur le clitoris de Mélinda.
Ses lèvres à la texture si particulières se lovèrent contre ce bouton si sensible, et surtout la langue aqueuse, gélatineuse, et chaude de la Slime le titilla. Elle avait les yeux fermés, mais des fois regardait sa maîtresse droit dans les yeux, tandis qu'elle était en train de la sucer, bien fourrée entre ses cuisses. Elle léchait, encore et encore, comme une affamée.