Irina aimait vraiment beaucoup le sexe. Elle ne pensait pas qu’il soit possible d’être aussi perverse. Après tout, elle avait pensé, jadis, qu’une telle dose de sexe finirait vite par la lasser, que le côté répétitif de la chose l’emporterait sur le côté plaisant et exquis... Mais, en réalité, il n’en était absolument rien. Bien au contraire, Irina jouissait à chaque fois, et, plus elle faisait l’amour, plus elle avait envie de faire l’amour, comme une sorte de leitmotiv qui revenait sans arrêt, inlassablement. Irina enfonçait sa queue dans la bouche d’Édéline, et cette dernière la suçait en retour, filant d’avant en arrière. Dire que, il y a encore quelques jours, la sorcière avait été très rebelle... Mais, maintenant, oui, maintenant, elle s’avouait vaincue. Plus aucune once de rébellion, plus de protestation, plus de combat, elle goûtait à ce plaisir infini, et, entre deux mouvements de succion, elle avoua alors à Irina qu’elle avait envie d’avoir de nouveaux bébés, ce qui ne manqua pas de faire sourire la Cérébrate.
Oui, des bébés... Avant d’être Formienne, Irina n’avait jamais vraiment eu la fibre maternelle. Elle était une scientifique menant un travail très chronophage, et, dans une telle perspective, avoir une vie de famille n’était pas possible, et ce d’autant plus qu’elle travaillait essentiellement au Containment Point. Mais là, ici, tout était différent. En tant que Formienne, il ne se passait pas une journée sans qu’elle n’enfante des pondeuses. La vie, au sein de la Fourmilière, était pleine et vibrante, omniprésente. Elle battait le long des murs, du sol, du plafond, car tout était organique, ici.
« Hmmm... !! Oui, ma chérie, haaa... Des bébés... De beaux bébés !! »
Elle continuait à onduler d’avant en arrière, crispant ses mains sur les cheveux de la femme, et, en soupirant encore, la Cérébrate se mit à jouir. Elle se déversa dans la bouche de la femme, lui offrant son sperme. Un magnifique orgasme, mais qui n’était que le premier d’une série. Il fallait battre le fer tant qu’il était encore chaud, et, suite à cela, elle souleva Édéline, et la plaqua contre le mur, puis écarta un peu les rebords de sa combinaison, afin d’enfoncer sa verge, encore dure, dans son intimité.
« Oooohhh... !! »
Irina serra les dents, en soupirant profondément, et commença à remuer dans le corps de la femme, multipliant les coups de reins en elle.
« Laisse-moi t’engrosser, Édéline, aaaah... Et que tu nous offres... De beaux bébés !! »