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Il y a plus d’une vingtaine d’années, le nord de Tekhos était une zone reculée, paisible, verdoyante, constituée de plaines, de forêts, de rivières... Une végétation paisible composée de multiples forêts, dans une zone isolée, bien éloignée du centre du continent principal où la guerre entre Nexus et l’Empire d’Ashnard faisait rage. C’était une région sans histoire, éloignée de l’armée tekhane, qui avait renforcé ses frontières limitrophes avec l’Empire d’Ashnard, en s’attendant à une invasion... Ou peut-être que Tekhos, cet État futuriste disposant d’une technologie très avancée par rapport au reste du monde, se préparait justement à envahir Ashnard, afin de protéger son partenaire économique, Nexus. L’Histoire, sur ce point, est restée floue. Ce dont nous pouvons être sûrs, c’est que les plans de l’état-major tekhan changèrent totalement quand, jaillissant des profondeurs du cosmos, un astéroïde s’écrasa sur cette zone au nord. Un immense cratère se dessina autour de l’astéroïde, et, loin d’être vide, l’astéroïde ouvrit le passage à une armée de monstres.
Terra faisait pour la première fois la connaissance avec les Formiens, une race insectoïde fonctionnant avec un esprit de ruche, et qui, dans le reste de l’Univers, est une menace prioritaire pour quantité de puissances galactiques, au premier rang desquels on trouve, par exemple, l’Empire de Gordan. La Fourmilière fut le nom donné à cet astéroïde, dont le but était d’infester le reste de Terra. Les Formiens déferlèrent, et commencèrent à envahir les métropoles et les campagnes au nord, formant une terrifiante force d’invasion, une force qui redéfinissait le concept de « guerre totale ». L’armée tekhane dut se déplacer intégralement, mais, pour ralentir la marche des Formiens, l’état-major n’eut pas d’autres options que de recourir à l’arme atomique, balançant sur les villes tekhanes et les régions infestées des bombes nucléaires. Les décimations permirent à l’armée d’arriver, et de repousser les Formiens jusqu’à la Fourmilière.
Pendant des mois, les Tekhanes tentèrent d’envahir la Fourmilière, mais chacune des forces militaires envoyées dans ce corps stellaire échouait. On choisit alors de bombarder massivement la Fourmilière, tout en construisant, autour de cette dernière, bunkers et campements militaires. La Fourmilière était comme un gros caillou planté au milieu d’un désert aride, cerclé par des falaises, et c’est sur ces falaises qu’on installa des canons, et qu’on bombarda férocement la Fourmilière. Hélas, les plus puissants tirs tekhans ne parvinrent jamais à percer les multiples couches protectrices de la Fourmilière, qui se reconstruisit, se régénérant, tout en plantant ses racines dans le sol, absorbant les ressources minérales pour s’implanter.
Vingt ans plus tard, la Fourmilière était toujours là, et les environs avaient bien changé... C’était maintenant l’une des zones les plus militarisées au monde, connue sous le nom de « Containment Point ». Ne pouvant détruire les Formiens, les Tekhanes avaient construit une immense base, tout le long de la falaise, se composant de nombreux bunkers, de super-tranchées, de casernes. Elles avaient taillé dans la falaise pour planter leurs bâtiments, et avaient construit dans le sol pour faire des bunkers, des patrouilles, afin de retenir, autant que possible, les Formiens, qui tentaient régulièrement de passer, à la fois sous terre, et sur terre.
Tout autour du Containment Point, la Nature avait repris ses droits, et, près des falaises, outre des routes, on avait construit des aérodromes, des bases secondaires, des miradors, des barbelés, des champs de mines... La zone était devenue une zone interdite aux civils, même s’il arrivait encore parfois que des touristes s’y perdent. En effet, la zone environnante s’étalait sur de nombreux hectares, avec des forêts, des marécages, et il était très difficile, pour l’armée, de surveiller tout ça. De plus, régulièrement, les Formiens contournaient leurs lignes de défense pour venir s’installer à l’extérieur.
C’était le cas dans l’une des forêts entourant le Containment Point, où un Formien (http://img110.xooimage.com/files/e/5/c/formien-4d952e5.jpg) s’avançait lentement. Une créature massive, mais très discrète, qui pouvait, grâce à des gènes de caméléon, se dissimuler dans le paysage. C’était une grosse créature, furtive, conçue pour capturer des proies et pour le repérage. Ainsi, quand le Formien repérait une proie féminine, il s’approchait d’elle, et sa gueule massive s’ouvrait sur un énorme tentacule rose (http://img110.xooimage.com/files/a/7/9/formien_bouche-4d952f0.jpg) que le Formien utilisait pour « avaler » ses proies, et, ainsi, les transporter en lieu sûr...
...Et le Formien venait justement de percevoir une présence féminine, et s’en rapprochait lentement...
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Le Formien s’avança lentement, pour ne pas faire fuir sa proie, attirée par cette créature à l’odeur de femme... Et, quand il la sentit, et quand il fut suffisamment proche, il bondit sur elle... La jeune femme ne put rien faire, manquant de vigilance, et vit un immense dôme de chair rose fondre sur elle, l’avalant progressivement (http://img110.xooimage.com/files/6/2/1/formien-4d95a35.png). Le Formien se redressa, se hissant sur ses pattes arrière, tandis que, dans sa bouche, des tentacules jaillissaient pour tracter la femme, les parois gluantes et mouillées du monstre se refermant sur leur proie, l’étouffant à moitié, tout en l’avalant. Elle finit par glisser, et le Formien soupira lentement, avant de refermer son long tentacule, retrouvant sa bouche normale, tandis que la femme disparut dans son ventre, des sucs venant se répandre sur son corps. Ils n’avaient pas pour objectif de la faire fondre, simplement de la préparer...
Une fois la cible avalée, le Formien retourna sur ses pattes, puis commença à creuser un trou, et s’enfonça profondément sous terre, emmenant avec lui son butin, filmant près des bunkers et des patrouilles des Tekhanes, pour rejoindre son antre, la Fourmilière...
Sa marche prit bien plusieurs heures, jusqu’à rejoindre les zones sécurisées, où il rejoignit une zone près d’un nid... Où il put balancer sa pensionnaire, la recrachant, avant de rester en retrait.
Cette dernière atterrit sur un sol organique, dans une sorte de grotte organique, où les parois semblaient vivantes... Et où un étrange mobilier se trouvait devant elle.
Il y avait, devant elle, une succession d’œufs (http://img110.xooimage.com/files/a/e/0/eggs-4d95ad3.png) suffisamment gros pour abriter un être humain, et, outre ça, on pouvait voir, le long des murs, de curieuses choses... À savoir des femmes encastrées (http://img110.xooimage.com/files/c/a/5/woman_trapped-4d95b03.png) dans les murs organiques, avec d’énormes tentacules phalliques labourant leur anus et leur vagin, leurs jambes se déplaçant légèrement, comme pour attester qu’elles étaient encore en vie. Une épaisse odeur de profonde luxure se dégageait de cet endroit, tandis que els cocons remuaient parfois, vibrant en émettant de la chaleur.
Alors que ce spectacle s’imposait aux yeux de la jeune femme, des bruits de pas se firent entendre dans son dos...
« Tiens, tiens, une nouvelle arrivante... »
Un sourire moqueur (http://img110.xooimage.com/files/f/1/1/sans-titre-2--4d95ab0.png) apparut alors sur le visage d’une femme portant une combinaison noire moulante, qui n’était rien de plus qu’une autre esclave de la Fourmilière (http://img110.xooimage.com/files/d/7/c/servante-4d95b29.png), avec une peau sombre, et une combinaison noire moulante, qui l’accueillit avec un grand sourire, tandis que quatre tentacules semblaient partir de ses fesses, tournant autour d’elle comme des espèces de pattes d’araignées gluantes.
« Je te souhaite la bienvenue dans l’antre de Sarah Kerrigan, sœur-esclave ! »
Quel était le nom de cette femme ? Quelle importance ? Elle était ici depuis tellement longtemps qu’elle avait oublié son ancienne existence. Sarah Kerrigan lui avait offert une nouvelle existence, et, même si elle était, comme toutes les autres, une esclave, son ancienneté faisait qu’elle avait un statut particulier... Celui de former les jeunes esclaves et les jeunes incubatrices, comme cette femme.
« Toutefois, ta tenue n’est pas adaptée... »
Elle lui sourit alors, et balança sur le sol, devant la jeune femme, une tenue moulante... Une tentacle suit (http://img110.xooimage.com/files/e/e/d/tentacle_suit-4d95b4a.png) !
« Tu peux choisir de l’enfiler toute seule, ou de résister... En sachant que j’adore mater les petites putes qui font de la résistance ! »
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La plupart des autres Annexiens ne s’embêtaient guère à accueillir leurs nouvelles incubatrices... Ils se contentaient de les balancer dans les nids, mais la Reine avait opté pour une approche différente, car elle avait noté que les incubatrices de ce style étaient moins productives que des femmes qui apprenaient où elles étaient. Cependant, compte tenu du grand nombre d’incubatrices, Kerrigan ne pouvait pas les accueillir à chaque fois en personne. Elle avait donc chargé cela à des esclaves totalement pervertis et corrompus par la Luxure, à tel point qu’elles en avaient oublié ce qu’elles étaient jadis. Cette femme à la peau basanée avait, pour elle, toujours grandi ici, à tel point que des tentacules phalliques sortaient de ses fesses sans trop la gêner. Un petit Formien (http://img110.xooimage.com/files/b/0/3/formien-4d96853.png) était niché dans son cul, et les tentacules dans le dos de la femme étaient ses « pattes », des excroissances de son propre corps. Il se nourrissait des fluides sexuels de la femme.
Cette dernière vit alors la femme en face faire disparaître ses vêtements...
*De la magie... Il va falloir être prudente...*
Les magiciennes pouvaient toujours poser problème, même si la magie ne fonctionnait pas très bien ici... Quand on avait un tentacule dans le cul, on était moins apte à se servir de la magie. Docilement, la femme enfila néanmoins la combinaison, une autre innovation de Kerrigan, probablement une résurgence de sa psychologie humaine. Si la jeune magicienne espérait sortir d’ici rapidement, elle se trompait... Mais ça, la femme en face d’elle évita bien de lui dire pour le moment. Un séjour au sein de la Fourmilière était un voyage à sens unique. La preuve, elle-même n’en était jamais sortie, et n’avait guère envie de le faire... Aucune envie, en fait ! Outre le sexe, chaque nuit, les esclaves endormis subissaient un lavage de cerveaux, afin de les amener à comprendre que leur nouvelle vie était ici, à servir Sarah Kerrigan, à servir la Cause, et à produire des bébés.
En ce moment, la femme à la peau noire était d’ailleurs enceinte. Sarah l’appelait parfois « Alisha », mais la femme avait du mal à se dire que c’était son prénom. Kerrigan aurait pu l’appeler « Tisha » ou « Balai-à-chiottes » que ça aurait été pareil pour elle... Elle n’existait que pour servir la Reine. Elle vit donc la femme enfiler la combinaison, ainsi que les collants noirs.
« Parfait ! Tu es bien docile, c’est bien... Nous allons pouvoir commencer sans plus attendre ! Il faut faire des bébés, beaucoup de bébés ! »
On put entendre de drôles de bruits... Puis, jaillissant du plafond et du sol, plusieurs tentacules roses jaillirent. Ils s’enroulèrent autour des poignets de la femme, de ses chevilles, et entreprirent de la soulever. En souriant, Alisha se rapprocha, et caressa les hanches de la femme, ses mains glissant sur sa peau.
« Ton rôle est simple, ma chérie... Offrir des bébés pour notre Reine... Oublie ton ancienne existence, tes anciens soucis, amours, familles, ou que sais-je d’autre... Désormais, tu appartiens à une cause qui dépasse les simples individualités égoïstes. Tu appartiens à un Tout immense et collectif ! Tu appartiens à l’Essaim ! »
Des tentacules se rapprochèrent alors... Dont un tentacule phallique, qui alla se glisser sous la combinaison, et pénétra la femme, sans guère attendre plus longtemps.
Il fallait faire des bébés !
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« Tu parles trop... Laisse-moi t’aider... »
La patience n’avait jamais été le fort des Formiens. Ils étaient des violeurs brutaux et rapides, rapides en ce qu’ils ne s’embarrassaient guère d’ennuyeux préliminaires, et filaient directement à l’essentiel : la procréation. Baiser, quoi. Un tentacule phallique avait ainsi rapidement commencé à prendre la femme, la magie crépitant autour d’elle... Et, tandis qu’elle exigeait de rencontrer la Reine, un autre se rapprocha, et profita du fait qu’elle parlait pour se nicher dans sa bouche, tandis que son corps se tendait vers l’arrière, ondulant sur place. Les tentacules à hauteur des poignets tiraient le corps d’Édéline vers l’arrière, ce qui fit que, concrètement, elle passa d’une position debout à une position presque couchée, avec le buste légèrement relevé, et les jambes heurtant le sol. Les deux tentacules remuaient en elle, et le tentacule à hauteur de son vagin sécrétait autour de lui une bave liquide, dont le but était de lubrifier les parois internes de la proie, afin de faciliter la pénétration.
Cependant, Alisha ne comptait prendre aucun risque, et, tandis que la femme se débattait entre les deux tentacules, d’autres approchèrent... Dont un doté d’une seringue. Alisha, elle, s’était mise sur le côté, et caressait tendrement le ventre de la femme. Elle entendait sa combinaison crisser. C’était une texture très particulière, similaire à du latex, mais sans en être vraiment. Une combinaison qui n’avait à vrai dire pas de nom sur Tekhos, car elle venait de l’espace, d’une autre civilisation, asservie par la Fourmilière. Une combinaison très agréable, en réalité, et c’était pour ça que Sarah l’utilisait pour ses esclaves... Pour qu’ils conservent un semblant de dignité, mais aussi parce qu’ils étaient plus... Excitants.
Les doigts d’Alisha caressaient donc son ventre, tandis que la seringue se plantait dans son cou, répandant un puissant aphrodisiaque.
« Tu es au Paradis, et tu veux déjà en partie... La Reine ne se rencontre pas si facilement, ma chérie... Mais tu ne passeras pas des mois à attendre tes premiers bébés. Chez les Formiens, la période d’incubation maternelle est extrêmement rapide. »
Quelques jours, si ce n’est quelques heures... Une fois le Formien né, il était ensuite envoyé dans les bassins génétiques de la Fourmilière, où il était imprégné du code génétique des Formiens, et rentrait en phase de chrysalide, dans un cocon, d’où ils ressortaient ensuite, pleinement accompli et mué.
« Maintenant, laisse-toi aller... Jouis, et offre de beaux bébés... »
Les tentacules enserraient ses jambes et ses poignets, chauds, gluants, et tendres, répandant sur sa peau leur liquide, un liquide qui empêchait l’irritation de la peau, et le corps d’Édéline se mit à remuer dans tous les sens. Une toute nouvelle vie s’offrait maintenant pour la jeune femme, et le fait qu’elle soit une sorcière ne pourrait que l’aider à accoucher encore plus vite... C’était une magnifique recrue ! Alisha était contente !
Peut-être bien qu’elle rencontrerait la Reine plus rapidement que prévue, car Alisha comptait bien parler d’elle à l’une des Cérébrates de Sarah, quand elle viendrait faire son inspection, et chercher de nouvelles pondeuses pour ses Xénomorphes...
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Alisha avait un sourire ravi sur le coin des lèvres en regardant son invitée se tortiller dans tous les sens. Quand elle ne se plaignait plus, elle était bien plus préférable ! Avec son sourire ravi, la femme caressait son ventre, tout en sentant les tentacules remuer près d’elle. La Fourmilière était un immense organisme vivant, ce qui signifiait que le sol ou les murs ne constituaient pas un simple décor, mais des constructions organiques, vivantes. Il fallait se méfier de tout ici, et Édéline était en train d’en prendre conscience, visiblement, alors qu’elle se faisait joyeusement prendre. Son corps se redressa rapidement, tandis qu’Alisha lui tournait autour, en souriant.
Les tentacules immobilisant ses poignets et ses chevilles libéraient une sorte de substance baveuse qui avait pour but de lubrifier le corps humain. Moins d’irritation... Et, pendant ce temps, le corps de la jeune femme continuait à se crisper, le costume crissant lentement, sous le regard fiévreux et plein de désir de la jeune femme. L’esclave de Kerrigan se rinçait l’œil, et gémit en sentant les tentacules s’exciter dans son fondement. Elle caressa l’un des tentacules qui pénétraient la magicienne, à savoir celui planté dans son intimité, et fléchit même les genoux. Tandis que le corps de sa prisonnière remuait et se tortillait, et que le plaisir se répandait en elle, Alisha, elle, caressait et embrassait ce tentacule.
« Hmm... Il est si beau... »
Comment ne pas être frappée et heurtée par la singulière beauté se dégageant de cet appendice ? Elle l’embrassa tendrement, goûtant à ce tentacule baveux et gluant, le mordillant même, tout en commençant à mouiller, ce qui amena l’un des tentacules pointant hors de son cul à se déplacer, et à la pénétrer, la faisant soupirer. Les drogues et les injections formiennes faisaient que les sujets n’arrivaient jamais à se lasser du sexe. Si on avait demandé à Alisha ce à quoi le Paradis pourrait correspondre, elle aurait répondu, sans aucune hésitation : « Ici ».
« Haaaa... Oh ouii... »
Elle se pinça donc les lèvres, dans une délicieuse expression de plaisir en se redressant, et marcha un peu. Un autre tentacule jaillit alors du mur, et s’approcha du fondement de la magicienne, laissée en retrait et en paix pour le moment. Ce membre heurta ses fesses, et de petites langues jaillirent de l’extrémité de ce membre, écartant la combinaison, avant de se poser sur sa peau. Ces langues étaient collantes, comme des ventouses, et écartèrent ainsi ses parois, permettant au tentacule de se rapprocher de son petit fondement, ce délicat trou étroit... Qu’il aspergea de son liquide lubrifiant, avant de s’y rapprocher.
Une scène à laquelle Alisha n’échappa nullement, même si elle soupirait et gémissait, en mouillant abondamment, le tentacule grossissant dans son vagin pour foncer le plus profondément possible dans son corps, dont la morphologie avait été légèrement modifiée par le traitement des Formiens.
« Navrée, nous avions oublié ton petit cul, ma chérie... Il faut bien que ton traitement soit complet pour que tes premiers bébés soient les plus beaux possibles... »
Elle lui fit un nouveau sourire, avant d’aller chaudement l’embrasser sur la joue... Puis de gémir contre l’une de ses oreilles quand le tentacule se mit à vibrer en elle.
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La belle Alisha se régalait de ce moment. Son invitée se tortillait le long des multiples tentacules la prenant dans tous les sens, et elle-même appréciait énormément de sentir, encore une fois, un tentacule dans ses entrailles. La jeune femme à la peau noire goûtait décidément ici à une vie merveilleuse, et elle pouvait sentir ce tentacule remuant encore en elle, la faisant soupirer. Oui, Alisha mouillait. Elle se dandinait contre ce tentacule, et déplaçait ses mains, alternant entre caresser le corps de sa captive, ou des tentacules. Une nouvelle pensionnaire ! Une nouvelle femme pour remplir le ventre de la Nuée ! Et ce sous la garde d’Alisha ! Oh, c’était sûr, Irina serait contente ! Quand la Fille de la Reine, la Cérébrate, arriverait, elle la récompenserait certainement ! Mine de rien, cet endroit était un véritable nid de femmes. Il y en avait bien plus qu’on ne le croyait, et il y avait bien une cinquantaine de jeunes femmes, ici, coincées dans les nids, dans les murs... Au sein de la Fourmilière, les apparences étaient trompeuses, car, étant purement organique, la structure interne de la Fourmilière changeait et évoluait continuellement.
La belle esclave aux cheveux roux gémissait en remuant, et Alisha, au bout de plusieurs minutes, esquissa un léger sourire. Les tentacules pénétrant Édéline continuaient à la remplir, et, en caressant son ventre, Alisha pouvait voir le tentacule pénétrant son cul répandre en elle une série d’œufs (http://img110.xooimage.com/files/1/3/5/egg_enceinte-4dc67f7.png). Ils s’enfonçaient dans son corps, et venaient ainsi la remplir, continuant à la rendre enceinte.
« Oh oui, tu as un corps très fertile, ma chérie... Laisse les jolis œufs se répandre dans ton corps... »
De toute façon, ce n’était pas comme si elle pouvait y faire grand-chose ! Les œufs continuaient à venir, puis Alisha se redressa, et les tentacules se redressèrent aussi, plaquant la belle Édéline contre un mur... Un mur organique, qui se mit à remuer, un mur violet qui commençait à la recouvrir progressivement.
« Regarde, ma belle, fit Alisha en désignant un mur. Regarde tes autres pensionnaires... »
Un mur était en train de remuer (http://img110.xooimage.com/files/e/3/7/mur-4dc67a3.png), s’ouvrant progressivement en deux, pour révéler la présence, en son sein, d’une femme prisonnière (http://img110.xooimage.com/files/4/4/6/femme-4dc67a8.png), cloisonnée dans le mur, bras et jambes entourés par des tentacules, ses mains et ses pieds disparaissant dans le mur. Alisha sourit en la regardant, puis observa encore sa nouvelle captive. La première était coincée dans le mur depuis... En fait, Alisha ne le savait même pas !
« Maintenant, à ton tour de te reposer, ma belle... Ne t’inquiète pas, je suis sûre que notre Cérébrate aimera ta présence... Et peut-être même te conduira-t-elle auprès de notre Reine ! »
Alisha lui fit un nouveau sourire, puis, lentement, le mur vint la recouvrir, la faisant disparaître à l’intérieur...
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La période d’incubation humaine se composait en une seule phase de neuf mois, ce qui, somme toute, était relativement long. La période d’incubation formienne était, elle, bien plus courte, et le temps variait entre les individus, selon toute une série de critères. Chez Édéline, le fait qu’elle soit une magicienne accélérait le processus, ce qui fit que, au bout de quelques heures, elle était prête à accoucher. Ce fait n’échappa pas à Alisha, et encore moins à sa supérieure naturelle, la tendre, belle, et sensuelle Cérébrate Irina (http://orig10.deviantart.net/2af8/f/2012/277/f/e/fe7e573c521e0a7dc64322a7560ff4f1-d2dyiej.jpg). La superbe femme à la peau bleue était la plus jeune Fille de Sarah Kerrigan, et était, à ce titre, sa Cérébrate. Autrement dit, une sorte de lieutenante ayant pour tâche de diriger une partie de la Horde sa Mère. Irina, concrètement, avait en charge la gestion de la Horde, des couveuses et des reproductrices, des nids, et, surtout, des Chasseurs xénos. Elle avait été choisie par Sarah pour ses talents et pour sa passion envers ces créatures noirâtres à la longue queue. Irina, en effet, n’était pas une télépathe, mais, avant d’être une Formienne, elle avait été une scientifique tekhane talentueuse, spécialisée dans la xénobiologie, et qui avait été mutée au Containment Point.
Ici, elle avait étudié au plus près des Chasseurs xénos, ces longs Xénomorphes à la peau noire, et ses fantasmes n’avaient pas échappé à Sarah, qui avait lentement réussi à la corrompre, à tel point qu’Irina avait profité d’une mission dans l’un des bunkers de l’armée pour s’enfuir dans une galerie. Les Formiens l’avaient violé sur place, puis l’avaient amené auprès de Sarah, qui avait choisi de la transformer, afin qu’elle utilise son savoir pour parvenir à mieux contrôler les Xénomorphes. Naturellement, se faire transformer en Formienne avait aussi considérablement accru la perversion d’Irina.
« La voici, Maîtresse... »
D’une voix chargée d’excitation, Alisha lui présenta une portion de mur, qui ne tarda pas à s’ouvrir en deux, révélant, sous le mur, le corps grossi d’Édéline. Son ventre avait bien grossi, prenant la forme d’une femme enceinte de neuf mois, et sa tête disparaissait dans un tentacule, tout comme ses jambes, ses bras, son bassin. Seul son torse apparaissait, son ventre agrandi et grossi par les multiples œufs à l’intérieur. Irina esquissa un léger sourire en caressant le ventre de la femme.
« Oui... Je sens la magie en elle... Elle l’aide... »
Alisha esquissa un sourire. Elle aussi était actuellement enceinte, mais elle, elle n’avait aucun pouvoir magique. Cependant, elle n’était pas jalouse de la nouvelle pensionnaire, mais ravie de pouvoir en offrir cadeau à Irina. La Cérébrate, en réalité, avait continuellement besoin de pondeuses fortes, suffisamment solides pour pouvoir copuler avec les Xénomorphes, et, surtout, donner naissance à de beaux bébés xénos. Se mordillant les lèvres, Irina continua à caresser la femme, qui, elle, était en train de se faire prendre par toute une série de tentacules...
« Oui, elle sera parfaite... »
Les tentacules se retirèrent alors, et Édéline put retrouver la vue, avant de sortir légèrement du mur, retenue néanmoins par les bras et par les jambes, en position de croix. Elle était suspendue au-dessus du sol, et Irina ne tarda pas à caresser son visage, avec ses magnifiques doigts griffus.
« Salut, ma chérie... Je m’appelle Irina, et je suis ravie de te compter parmi nous... Donne naissance à tes premiers bébés, ma chérie... Il te suffit juste de pousser, mais, pour t’aider un peu... »
C’était comme quand on accouchait, il suffisait de pousser. Et, pour l’aider à forcer, un tentacule retourna se planter dans ses fesses, afin de la sodomiser.
Ses premiers bébés présenteraient la forme de petits œufs qui allaient tomber sur le sol, où ils pourraient ensuite être fertilisés.
Une scène qu’Irina avait toujours adoré observer.
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Ravie, Irina vit la magicienne donner naissance à toute une série de nouveaux Formiens. Les œufs tombèrent sur le sol, sur cette étrange matière violette qui recouvrait l’intégralité de la Fourmilière, et, pendant plusieurs minutes, Irina ne dit rien, se contentant juste de regarder la femme donner naissance à des Formiens, tandis que le tentacule planté dans ses fesses remuait légèrement, afin de l’aider. Une fois qu’Édéline eût mis au monde les petits Formiens, il y avait plusieurs oeufs ensemble. Certains étaient déjà craquelés. Le miracle de la Vie... Mais, alors que la femme implorait qu’on la libère, le tentacule anal remua encore, et répandit dans le corps de la femme une substance destinée à l’exciter.
En tant que scientifique, Irina savait que les zones érogènes se décomposaient en deux groupes : les zones érogènes dites primaires, qui pouvaient provoquer un orgasme, et les zones érogènes dites secondaires, favorisant l’excitation sexuelle, mais insusceptibles, ou presque, de déclencher un orgasme. Les Tekhanes avaient fait des études très sérieuses sur ces notions, notamment à des fins commerciales, que ce soit pour vendre des sex toys, ou pour réaliser des opérations chirurgicales. Irina savait donc que l’anus était plutôt une zone érogène secondaire, mais, grâce aux produits naturels des Formiens, il était possible d’accroître la sensibilité d’une partie du corps. De manière générale, la manière dont le corps réagissait à la sexualité était encore un grand mystère pour la science humaine, et ce malgré toutes les innovations en ce sens. Déterminer ce qu’était une zone érogène, par exemple, n’était pas très simple. Les scientifiques déterminaient qu’une zone érogène était une zone spéciale du corps, constituée par une peau particulière, à mi-chemin entre la peau externe et les muqueuses, une autre « couche » constituant la peau du corps humain. Même pour Irina, tout cela était compliqué, mais, pour les Formiens, c’était quelque chose d’instinctif, et les substances formiennes pouvaient ainsi jouer avec les zones érogènes.
En clair, Irina agit pour qu’Édéline ait un orgasme suite à cette sodomie, et sa mouille se déversa sur les œufs.
« Parfait ! Une naissance parfaite !! »
Toute excitée, et se moquant alors comme d’une guigne des souhaits de la magicienne, Irina fléchit les genoux, et regarda les œufs légèrement remuer, avant de tous se craqueler et se fissurer. De minuscules larves jaillirent. Des créatures ressemblant à des sortes de vers, qui se mirent à flotter dans la cyprine de leur génitrice... Puis le sol les absorba alors.
« Tes bébés vont aller dans le bassin génétique, où ils seront imprégnés par notre ADN commun. Ensuite, ils évolueront et deviendront les Formiens dont la Horde a besoin. »
C’était le processus de formation classique, tout simplement. Irina se redressa donc, mais constata vite qu’Édéline était fatiguée. Elle laissa donc plusieurs tentacules venir la piquer, répandant en elle de la vitamine.
« Le temps que la vitamine fasse effet, je vais aller offrir de nouveaux bébés à la Horde... »
Alisha se rapprocha alors, et se glissa dans le dos d’Édéline, venant tendrement la câliner, embrassant le creux de son cou.
« C’est très bien, Édéline... Rends-toi compte, tu vas être transférée du réservoir commun vers les nids personnels de la Cérébrate Irina ! Bientôt, tu pourras coucher avec notre Reine ! »
Alisha était toute excitée en disant ça...
...Et, pendant ce temps, Irina se rapprocha d’une sorte de monticule organique, qui s’écarta légèrement, révélant un petit cul avec des jambes. Il s’agissait de ces femmes encastrées (http://img110.xooimage.com/files/c/a/5/woman_trapped-4d95b03.png) qu’Édéline avait pu apercevoir tantôt. Irina posa ses mains sur leur croupe, puis s’empressa d’en pénétrer, poussant léger soupir, avant de remuer d’avant en arrière.
« Elle va en féconder une petite dizaine, puis elle reviendra s’occuper de toi et de ton ventre, ma chérie... Tu ne peux pas rester comme ça trop longtemps, il faut toujours être fertile ici ! »
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« Haaa... »
Les femmes à l’intérieur de ces cocons étaient de vraies femmes, des créatures comme Alisha ou comme Édéline, et qui avaient donc une conscience et une existence. Ici, au sein de la Fourmilière, elles étaient réduites à leur plus simple appareil. Une telle chose n’avait en soi rien d’impossible, car elles étaient nourries par intraveineuses, et vivaient dans un état curieux, qui ne connaissait pas vraiment de mot dans la langue pour le définir. Une sorte d’état végétatif, semi-conscient, onirique. Elles avaient perdu la conscience du temps et de l’espace, et Irina alla joyeusement les pénétrer, sous le regard effrayé d’Édéline. Le tentacule anal se retira, lui, de ses fesses, laissant ainsi à Alisha le soin de se lover contre elle, massant son corps, caressant sa combinaison. La jeune sorcière rousse implorait ses geôlières de ne pas la transformer ainsi, en une espèce de pondeuse vivante. Ses femmes n’avaient plus aucune autre fonction que d’offrir des bébés, et, l’une après l’autre, Irina les pénétrait joyeusement, giflant parfois leurs fesses, se faisant plaisir à défoncer tous ces culs. Elle en sodomisait, parfois, ce qui n’avait pas trop d’importance, car son sperme se déplaçait ensuite au bon endroit.
Irina les prenait donc, pendant qu’Alisha, elle, continuait à masser le corps de la femme... Et Irina finit par revenir, tandis que les cocons recouvraient les corps des femmes, après les avoir pénétrée. Irina sourit à la magicienne, son membre toujours dressé, et caressa le visage de la femme, sa main bleuâtre retournant caresser sa joue, puis ses lèvres.
« Pourquoi tant d’empressement à vouloir nous quitter ? Tu ne te sens pas bien avec nous ? Mais soit... Je comprends que tu ne veuilles pas être un objet. Sache que toutes ces femmes sont ainsi parce qu’elles ont refusé l’opportunité que nous leur offrions. Si tu respectes ce que la Reine souhaite, elle pourra t’autoriser à sortir. Nous avons plusieurs pondeuses qui sortent régulièrement. »
Un choix qui pouvait surprendre, mais qui, en réalité, s’expliquait facilement. Les pondeuses n’avaient aucun gène formien dans le sang, et pouvaient donc servir d’agentes infiltrées, afin de ramener des pondeuses supplémentaires.
« Pour le reste, la Horde nécessite une très grosse production, et nous avons donc besoin de beaucoup de pondeuses... mais la qualité des Formiens varie selon tout un tas de critères, et, pour simplifier, plus une pondeuse est déterminée et consentante, et plus les bébés qu’elle produit sont forts. Tu veux servir volontairement ? Très bien, donc... »
Les tentacules retenant Édéline se desserrèrent, et la femme tomba sur le sol, face à Irina, et face à sa verge, et face au sourire amusé et excité de la femme.
« Viens sucer ma queue, ma chérie, montre-moi ta dévotion... »
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Les différentes expériences et études menées par Sarah Kerrigan avaient déterminé une corrélation entre l’efficacité des Formiens, leur croissance, et le moral de leur pondeuse. Plus la pondeuse était apathique et déprimée, et plus la croissance était ralentie. C’était pour ça que Sarah essayait d’avoir des pondeuses comme Alisha, mais il fallait bien reconnaître que c’était difficile. Ses principales victimes étaient des Tekhanes, et, pour les soumettre comme Alisha, il fallait des semaines et des semaines de dressage. Ces femmes dans les cocons étaient là depuis parfois des mois, avant d’être libérées. L’idée était de les briser, de détruire leur identité. Le cerveau humain, en effet, était comme un muscle qui avait besoin d’agir pour ne pas dépérir. En les enfermant ainsi, Sarah faisait progressivement perdre à ses femmes toute notion de temps, de durée... Tous leurs sens étaient bloqués, et il ne restait plus qu’une seule sensation : le sexe. Quand ces femmes ressortaient des cocons, elles étaient de nouveaux êtres, les cocons remplissant ainsi leurs fonctions premières : celle d’être une chrysalide, dont le but était donc, en conséquence, de transformer les gens. Et, une fois les gens transformés, ils ressortaient... Différents. On pouvait alors remodeler leurs esprits, et ainsi en faire de magnifiques esclaves. C’est ce qui était arrivé à Alisha, une forte tête, avant d’être brisée.
Irina, elle, ne voyait pas trop de problèmes à ce genre de choses. Elle était une Formienne, maintenant, et elle aimait donc le sexe. Engrosser des pondeuses ne la gênait pas, et, au contraire, cette idée l’excitait férocement... Mais il y avait aussi quelque chose de délicieux à voir les esclaves agir par eux-mêmes, comme le fit Édéline en venant sucer sa queue. Progressivement, elle se laissait aller, sans aucun doute en comprenant que se soumettre était la meilleure chose qu’elle pouvait faire. Mais, si la belle pensait en avoir fini avec les monstres et les tentacules, elle se trompait lourdement. Irina était juste en train de se faire un extra, par pure gourmandise.
« Haaaa... Ouuui, humm... »
Fermant les yeux, Irina soupirait de plaisir, massant les beaux cheveux roux d’Édéline. Cette dernière était vraiment douée, et suçait sa queue avec passion.
« Là, oui... Enfonce-toi, ma chérie, hmmm... »
Il fallait bien avouer que c’était agréable. Une fellation était toujours aussi bonne, et Irina massait les cheveux de la femme, s’appuyant sur ces derniers. La tête d’Édéline remuait d’avant en arrière, et la Cérébrate soupirait de plaisir, sous le regard ravi d’Alisha... Et aussi excité. Pour la jeune femme, c’était un spectacle des plus excitants à voir. Elle avait sucé un grand nombre de fois la belle queue d’Irina, sa Maîtresse, et elle était ravie de voir qu’Édéline y avait droit si vite. Bientôt, très bientôt, elle verrait la Reine, leur belle et forte Reine... Mais, pour l’heure, Édéline continuait à sucer la belle queue d’Irina, un membre qui vint à grossir et durcir dans la bouche de la femme.
Puis, peu à peu, Irina se mettait à remuer, d’avant en arrière, en soupirant et en gémissant, multipliant ses fellations, enchaînant progressivement les gorges profondes, sa queue allant taper contre la gorge de la femme, filant ensuite en arrière, avant de repartir en avant, encore et encore.
« Hmmmm... Mmhmmmm... ! »
Au bout de plusieurs minutes de ce jouissif traitement, dans un énième soupir, Irina alla se vider dans la bouche d’Édéline, lui offrant sa délicieuse crème, son sexe masculin expulsant tout ce foutre.
Voilà ce qu’on pouvait appeler un magnifique moment !
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Il était inévitable qu’Irina jouirait dans sa bouche, et son orgasme vint donc. Humaine, elle avait toujours été sexuellement frustrée, une faiblesse que Sarah avait utilisé au mieux pour la soumettre. Irina n’avait pas pu lui résister longtemps, et, maintenant, elle vivait une vie magnifique. Elle jouit ainsi dans la belle bouche d’Édéline, vidant ses testicules dans son corps, en soupirant longuement, joyeusement. De jolis soupirs qui s’échappèrent de ses lèvres, et elle reprit ensuite ses forces, en retirant sa belle queue. Elle vit alors Édéline, qui, plutôt qu’avaler directement son sperme, le montra à Irina, faisant sourire cette dernière. Et c’était elle qui disait vouloir partir ? Sa perversion ne pourrait véritablement s’accomplir et se multiplier qu’ici, au sein de la Nuée ! Elle avala ensuite tout le délicieux sperme d’Irina, avant de lui demander si elle avait aimé ça. La Cérébrate fléchit les genoux en souriant, et caressa les cheveux d’Édéline.
« Bien sûr que j’ai aimé ! Tu es très douée, ma petite ! »
Elle l’embrassa sur le front, puis se redressa ensuite, en maintenant les mains de la magicienne dans les siennes, l’aidant aussi à se relever.
« Maintenant, avant de voir ma Reine, tu dois encore rendre un service à la Nuée... Un service qui montrera ton engagement et ta dévotion. Après... Après, nous laisserons à notre Reine le soin de savoir si elle peut te libérer ou non. »
Irina lui sourit, puis tendit la main vers le mur, qui s’ouvrit alors, révélant un couloir circulaire... Ou, plutôt, le couloir venait de se former. La Fourmilière continuait à prouver sa grande complexité. Impossible d’en faire un plan fixe, car son architecture interne changeait tout le temps. Il n’y avait que quelques points fixes, et les Cérébrates de Kerrigan pouvaient manipuler cette architecture comme elles l’entendaient, preuve ultime que tout, ici, était vivant. C’était la vie qui suintait ici, dans ce macrocosme, une vie sous sa forme la plus pure, la plus primitive qui soit, une vie sexuelle.
Avant de partir, néanmoins, Alysha posa une main sur l’épaule d’Édéline, et, quand la sorcière se retourna, la femme se mit à lui sourire, et l’embrassa sur les lèvres, en la serrant contre elle :
« J’espère bien pouvoir de nouveau jouer avec toi sous peu, ma belle... »
Ce ne serait peut-être pas forcément réciproque pour Édéline, mais, au sein de la Fourmilière, nul n’avait le droit de refuser de faire l’amour, et ce parce que le viol, tout simplement, n’existait pas. Irina marcha ensuite avec Édéline dans le couloir, un couloir rose, avec des tentacules qui trônaient ici et là, comme des espèces de veines, de nervures saillantes.
« Je vais te présenter à mes bébés... Ta magie te sera utile pour t’accoupler avec eux. »
Derrière les deux femmes, le mur se refermait progressivement, tout en s’ouvrant devant. Impossible de se repérer ici, la Fourmilière était une prison parfaite, car c’était un labyrinthe en construction, avec une carte qui évoluait et changeait continuellement. Irina marchait donc, jusqu’à se retourner devant Édéline.
« C’est là... Ne t’inquiète pas, tu t’en sortiras très bien... »
Le sol s’ouvrit alors sous les pieds de la magicienne, qui tomba dans une sorte de toboggan étroit, rebondissant ici et là, pendant de nombreuses secondes, jusqu’à tomber sur le sol, roulant par terre sur plusieurs mètres.
Elle était dans une espèce de grotte noirâtre avec des œufs chauds et visqueux (http://img110.xooimage.com/files/1/2/2/ripley_and_newt_in_hive-4dfb915.png) dans les coins... Et, alors que la femme reprenait des forces, des bruits de claquements se firent entendre... Puis trois créatures immenses et massives tombèrent du plafond devant elle. Ses futurs amants.
Des Xénos (http://img110.xooimage.com/files/1/1/6/xenomorph_alien_a...r-862277-4dfb8af.jpg) !
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Édéline avait débarqué dans l’une des tanières d’Irina, l’un des endroits où la Cérébrate adorait s’envoyer en l’air avec ceux qu’elle considérait comme étant « ses bébés », et ce même s’ils faisaient une taille particulièrement impressionnante. Massifs et voluptueux, les Xénomorphes se rapprochaient de la femme. Oh, comment ne pas tomber sous leur charme ? Ils avaient des corps puissants, esthétiques, anguleux, pleins d’une sorte de grâce bestiale et sauvage. Aux yeux d’Irina, ils avaient toujours été la perfection. Une perfection génétique, d’abord, car, quand elle était une généticienne tekhane, elle avait longuement étudié les gènes de ces monstres. Ils étaient conçus par la Nature pour être des prédateurs parfaits. Que ce soit sous des températures hivernales ou très chaudes, ou même dans l’espace, les Xénomorphes restaient des chasseurs meurtriers, capables de se fondre dans leur environnement, et de se rendre indétectables auprès de n’importe quel détecteur de chaleur, en retenant leur chaleur… Ou alors, en se sevrant de leur épaisse peau, qui pouvait retenir la chaleur que leur corps émettait. Le Xénomorphe, tout simplement, était une perfection, une force brute et pure de la Nature, que rien ne pouvait arrêter.
Et, même au-delà de ce critère génétique, ils formaient, sociétalement, une société qui, aux yeux d’une Tekhane, était un paradigme : une société primitive, matriarcale, où la femelle était une Reine ayant droit de vie et de mort sur les mâles. Aucun Xénomorphe ne se révoltait contre sa Reine. Ils avaient en eux un esprit formien profondément ancré, ce qui était aussi une certaine difficulté, car même les Xénomorphes issus des bassins génétiques formiens ressentaient une attirance profonde envers la Reine xéno… Plus qu’envers leur Annexien. C’est pour cela que les Formiens n’utilisaient pas autant que ça les Xénomorphes, car ils étaient difficiles à contrôler, et, si on tentait de les brimer de trop, ils perdaient de leur agressivité naturelle. Pour Kerrigan, c’était un vrai dilemme, dilemme qui expliquait en grande partie l’existence d’Irina. La spécialiste des Xénomorphes avait pour but, au sein de la Horde, de les contrôler, de les diriger, et de les aiguiller.
Même en tant qu’humaine, elle aimait cette race plus que sa propre espèce, et, là, en voyant les trois Xénomorphes se rapprocher d’Édéline, la reniflant et l’humant, elle sourit, jalouse de cette sorcière. Irina, elle, se débrouillait pour toujours avoir, dans le ventre, un bébé xénomorphe prêt à naître et à se développer. Voilà pourquoi elle n’assistait pas la belle sorcière en ce moment… Mais ça ne l’empêchait pas de l’observer, et de se rincer proprement l’œil.
*Oh ça oui… Elle va nous faire un beau petit bébé…*
Les trois créatures noirâtres s’approchèrent, et finirent par agir, l’une d’elle soulevant la sorcière, comme si elle n’avait été qu’une simple poupée de chiffon entre leurs solides mains. C’était une créature massive et puissante, et, entre ses cuisses, une grosse verge noirâtre ne tarda pas à pousser, se redressant, bien dure, et bien tendue. Quelle queue ! Une grosse queue impatiente, qui s’approcha lentement du corps de la femme, tandis que les mains épaisses du Xéno’ formèrent comme des étaux, s’appuyant sur sa chair, la comprimant et la marquant….
…Puis sa queue rentra en elle, sans ménagement, et une autre queue s’enfonça dans la bouche de la sorcière, son corps suspendu en l’air, maintenu entre les corps solides deux créatures par leurs bras et par leurs verges.
« Kssssss… !!
- Hhhhooouuiiiiiiinnnnnnn… !! »
Pour exprimer leur plaisir, les Xénomorphes grognaient et gémissaient, tout en continuant à prendre la femme, remuant voracement et férocement en elle. La pauvre sorcière était ainsi sévèrement tringlée entre les corps massifs des deux monstres noirs, qui la défonçaient joyeusement. Les griffes meurtrissaient sa chair, ou se posaient sur sa combinaison, ce qui était moins douloureux pour elle… Mais, en toute honnêteté, la douleur émanant des griffures devait être bien faible, en comparaison de tout ce que la femme ressentait en ce moment. Elle devait surtout penser aux deux queues qui étaient en train de la broyer de l’intérieur, en s’enfonçant lourdement et profondément en elle, sans chercher aucunement à la ménager.
Les deux Xénomorphes grognaient et soupiraient, et le troisième, de son côté, se promenait autour, attendant son tour… Mais il tint tout de même à se rappeler à ce trio, et alla lécher le corps de la femme, sa longue langue visqueuse glissant sur ses seins. Édéline, de son côté, voyait ses articulations tenir et fléchir, au fur et à mesure que ses puissants amants continuaient à jouer avec son corps. Il se redressait en s’inclinant vers le haut, avant de se relâcher, et de se tendre à nouveau, comme une espèce d’arc-de-cercle, au fur et à mesure que le Xénomorphe devant elle continuait à la bourrer.
Et, pour ne rien arranger, cet amant s’avérait insatiable, et inépuisable, rallongeant le supplice que la brave sorcière était en train de subir.
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Il existait certaines catégories d’insectes qui pouvaient se faire l’amour pendant plusieurs jours d’affilée. Ces espèces insectoïdes étaient d’autant plus terribles que la verge venait à gonfler dans le corps de la femme, et ne pouvait tout simplement plus se retirer avant que le partenaire ne soit totalement rassasié. Fascinant, de voir comment la Nature réagissait et pouvait surprendre et dépasser l’imagination de tout ce qu’on pouvait, scientifiquement, envisager. C’était ici le cas, où les verges des Xénos grossissaient dans le corps d’Édéline, ce qui expliquait aussi pourquoi les femmes avaient bien du mal à les supporter. Il fallait vraiment être très endurant pour coucher avec eux, et, instinctivement, la sorcière utilisait sa magie blanche pour se protéger contre les terribles assauts de ces Xénomorphes. Ils grognaient et soupiraient, et Irina, elle, continuait à les observer, en se mordillant le bout de son pouce.
*Quel spectacle…*
Et, tandis qu’elle les observait, Irina était en train de mouiller sur place, en sentant sa gourmandise croître et exploser. La Cérébrate se mordilla les lèvres, et gémit quand elle vit l’un des Xénomorphes jouir abondamment en elle. Il se vida les bourses dans la bouche de la femme, balançant ses chapelets de foutre, remplissant la gorge de la femme. La bête grogna et siffla, faisant claquer sa langue, tout en continuant à éjaculer, balançant des litres et des litres de foutre. Il y en avait tellement que du sperme remonta par les narines de la femme, l’étouffant à moitié, puis le Xénomorphe se retira, la queue toujours tendue, en grognant… Et un autre vint vite le remplacer, en s’enfonçant dans le cul de la femme, la coinçant entre les corps des monstres.
Leurs griffes labouraient sa chair, et, pendant ce temps, l’autre Xénomorphe posa sa main griffue sur son sexe, et jouit encore, balançant son foutre sur le corps de la femme.
« Ils sont gourmands, hein ? »
Irina venait de débarquer, et caressa, avec sa main, le flanc de la femme, recouvert de sperme, et le lécha entre ses doigts. La belle Édéline ne pouvait même plus répondre, tant les deux verges noires s’enfonçaient rudement en elle. Irina n’avait pas menti en lui disant que le sexe avec ces monstres était intense. Comment ne pas être excitée par un tel spectacle ? Se mordillant les lèvres, Irina les regardait, avec un léger sourire sur le coin des lèvres.
« Je vais vous rejoindre… Ce spectacle est trop excitant pour que je reste simple spectatrice… Mes tétons en sont tout durs ! »
Un autre Xénomorphe se rapprocha dans le dos d’Irina, reniflant ses fesses, et la main d’Irina alla lui caresser la tête, tandis que son autre main caressa celle du Xénomorphe occupé à bourrer la chatte d’Édéline… Et cette créature alla soudain enfoncer sa langue dans la bouche de la femme, partageant avec elle un baiser très humide, enfonçant ses griffes dans sa chair, tandis que les deux femmes devenaient les victimes sexuelles de ce nid de terribles prédateurs sexuels…
Un aller-simple en ligne directe tout droit vers le Paradis !
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Les Xénomorphes figuraient parmi les plus rudes amants disponibles au sein de la Nuée de Sarah Kerrigan. Épais, forts, et très pervers, ils étaient des amants terribles, et la sorcière, en ce moment, en faisait l’expérience. Elle se retrouva prise contre un œuf, le Xéno donnant de multiples coups de reins, enfonçant sa longue, grosse, et dure queue, en elle, la perforant par l’arrière, la faisant hurler… Des hurlements qui se turent bien vite quand une nouvelle queue rentra en elle, violant sa bouche sauvagement, faisant couler son sang. La situation était lentement en train de déparer, le tempérament violent des Xénomorphes refaisant surface. C’était aussi l’une des raisons pour laquelle il était très difficile de trouver des amantes, car elles avaient souvent à mourir sous les puissantes bourrades de ces monstres. La magie blanche d’Édéline devenait dès lors indispensable pour permettre à cette dernière de survivre, et ce d’autant plus qu’elle ne pouvait pas compter sur l’aide d’Irina, car elle-même était en train de se faire prendre par deux Xénomorphes… Qui n’étaient pas plus tendres avec elle qu’ils ne l’étaient avec Édéline. La différence entre les deux, toutefois, était qu’Irina, étant une Formienne, était, par défaut, plus résistante que la jeune femme.
Ainsi, Irina endurait les multiples assauts voraces et les coups de reins des deux Xzénomorphes, couinant et gémissant, mais sans perdre le fil. Elle adorait tout simplement ça… Sentir ces corps spongieux et durs se frotter contre elle, leurs mains grosses et douloureuses martelant sa chair, leurs muscles se comprimant contre son corps… C’était une sensation exquise et magnifique, une expérience profonde et jouissive de la douleur. Rien d’autre à faire que de se laisser porter, et Irina, entre plusieurs baisers, hurlait.
« HAAAAAAAAAAAAAA… HAAAAAAAAAAAAAAAANNNN.. !! »
Ses mains caressaient la tête gélatineuse du monstre devant elle, et elle continuait à se faire prendre, encore et encore, dans une danse frénétique du cul et de la joie sexuelle. Impatient, le monstre s’avérait entreprenant, lourd, costaud, une vraie brute… De quoi exciter n’importe qui ! Irina se laissait donc joyeusement prendre, et les minutes s’écoulèrent ainsi, jusqu’à ce que ses deux bébés ne jouissent en elle, avec la force qui les caractérisait. Ils s’abandonnèrent joyeusement en elle, et la laissèrent ensuite tomber sur le sol, le foutre et la mouille s’échappant de ses cuisses pour inonder et recouvrir le sol.
« Haaaaa… »
Couchée sur le ventre, Irina voyait Édéline, à côté d’elle, brisé sur le sol. L’un des Xénos l’avait fouetté avec sa queue, ce qui n’était jamais totalement indolore. La belle sorcière implorait la clémence d’Irina, qui entreprit de se redresser lentement. Son ventre s’était bien arrondi, et elle tituba un peu, avant de finir à genoux à côté d’Édéline. Sa main se posa sur son ventre, le caressant, et un fin sourire vint étirer les lèvres d’Irina.
« Ce n’est pas… Ce n’est pas ce que ton corps me dit, Édéline. Ton corps me dit que tu es très excitée par ce qu’on t’a fait, et que tu n’as aucune envie que cela s’arrête maintenant… Et je te comprends… »
Elle pouvait sentir, dans le ventre d’Édéline, un bébé xéno en train de se former. Une larve était en train de pousser en elle, mais il ne serait pas dit qu’Irina serait cruelle. De plus, elle voulait s’assurer que la grossesse se passe bien, ce qui amena sa main à caresser doucement la joue de la sorcière, ses doigts venant tripoter ses lèvres. Plusieurs tentacules saisirent alors Édéline par les poignets et par les chevilles, et entreprirent de la soulever, la déplaçant, de manière à positionner son visage devant le sommet de l’œuf.
« Tu es prête à être incubée… Je ne veux prendre aucun risque pour le petit bébé qui sommeille en toi… »
Aucun risque, n’était-ce pas là le signe qu’elle était une mère attentionnée et aimante ? Elle caressa donc le ventre d’Édéline en souriant, pendant que le sommet de l’œuf se mit à remuer, avant de fondre, de se craqueler, libérant de la vapeur, une vapeur puante, mais étrangement excitante aussi, par le biais de phéromones formiennes. Et la main d’Irina, elle, continuait à caresser le ventre d’Édéline, jusqu’à l’amener à recracher le surplus de foutre… En pissant. Elle se pissa sur elle-même, sans pouvoir se retenir, balançant sur le sol une flaque de foutre et d’urine, pendant que la créature à l’intérieur de l’œuf était en train de présenter de petites pattes jaunâtres.
« Tu vas pouvoir te reposer un peu, Édéline… »
Juste un peu… Car le Facehugger venait d’apparaître, et bondit ensuite sur le visage de la femme. Il était comme une espèce d’araignée sans poils, avec six pattes et une peau spongieuse, visqueuse, gluante, qui alla s’aplatir sur le visage de la femme, obstruant sa vue, ses pattes venant ensuite s’enrouler autour de sa nuque. Depuis la bouche du monstre, un tentacule jaillit, et s’enfonça dans la bouche d’Édéline. Ce Facehugger était la première véritable étape dans la création d’un Xénomorphe. Il allait balancer dans le ventre d’Édéline une larve, ce qui prendrait quelques heures, avant que, ensuite, el Facehugger, mort, ne se rétracte, et ne tombe sur le sol.
La séance de sexe d’avant avait eu pour effet de préparer le ventre d’Édéline, et le sperme qui était en elle allait permettre d’ensemencer la larve, lui permettant d’éclore plus vite.
« Repose-toi bien, ma chérie… »
En réalité, Édéline n’allait pas beaucoup se reposer, car Irina posa ses mains sur elle, et fit pointer sa propre verge… Puis la pénétra par l’arrière, s’enfonçant dans son vagin, et entreprit de la prendre ainsi, en soupirant et en gémissant de plaisir.
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Évidemment, le « repos », au sens formien, n’avait pas le sens qu’on lui donnait traditionnellement. Attachée devant l’œuf, Édéline était enfantée par le Facehugger, qui remuait sa queue en elle. Parfois, la queue grossissait et enflait, quand elle libérait des minuscules œufs dans la gorge de la femme. Les pattes du Facehugger se crispaient également parfois un peu, et, sur tout le visage de la sorcière, un liquide jaillissait de la peau gélatineuse de la créature... Et, pendant ce temps, Irina la pénétrait donc. Cette fois, c’était juste pour le plaisir. Il n’y avait aucune volonté de procréation, car le Facehugger s’en occupait déjà... Nin, la Cérébrate utilisait juste Édéline comme vide-couilles, car, comme souvent, coucher avec ses bébés l’avait furieusement excité, et il fallait bien qu’elle se décharge de ce trop-plein de désir et d’envie qui brûlait en elle.
« Hmmm... »
La belle Cérébrate à la peau bleue continua à la prendre pendant de longues minutes, avant de s’abandonner, une fois n’est pas coutume, en elle. Dans un énième soupir, Irina se redressa, et libéra le cul de la femme. Quand son sexe se retira, le foutre dégoulina des fesses de la femme, venant tomber sur le sol.
« Haaaa... Voilà qui soulage ! »
Irina entreprit ensuite de soulager encore Édéline, et caressa son ventre, bien rebondi, et appuya un peu dessus, ce qui eut pour effet d’encourager sa vessie... Et, achevant son humiliation, la Cérébrate amena la belle sorcière rousse à se pisser dessus, en vidant sa vessie sur le sol, et le long de ses jambes.
« Voilà... On se sent mieux après ça, non ? »
Bien sûr, Édéline ne pouvait pas lui répondre, mais ce n’était pas bien grave.
Irina s’écarta ensuite, et laissa la femme seule, pendant plusieurs heures. Pendant toute cette durée, le Facehugger continua à la prendre et à la féconder, remuant joyeusement en elle, encore et encore, jusqu’à finir par se calmer. Sa peau devenait de plus en plus sèche, et ses pattes finirent par se relâcher... Puis le monstre finit par se retirer, et tomba mollement sur le sol, ses pattes se contractant dans un ultime spasme musculaire... Avant de mourir.
Et les tentacules retenant Édéline la relâchèrent, mais, au lieu de tomber sur l’œuf, elle tomba sur une surface violette, signe qu’elle s’était déplacée... Et, devant elle, elle put entendre des bruits de pas. Une femme à l’apparence violette se planta devant elle, une main sur la hanche :
« Alors, voilà donc la femme qui fait fantasmer ma fille... »
Édéline avait enfin rencontré la femme qu’elle voulait voir...
Sarah Kerrigan !
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Rien de ce qui se passait au sein de la Fourmilière n’échappait à la sagacité de Sarah Kerrigan. Elle était l’Annexienne, la Reine des Lames, et voyait donc tout ce qui se passait. Elle savait donc qu’une nouvelle esclave était arrivée, une magicienne, et qu’elle avait rapidement attiré l’attention d’Irina. Cette dernière l’avait donc amené dans les nids de ses Xénomorphes, et, maintenant, elle était devant Sarah, dans son trône. C’était une immense salle, avec de multiples Formiens, qui grouillaient le long des murs, ou marchaient sur le sol. Il y avait essentiellement des Zerglings (http://img110.xooimage.com/files/f/2/7/zergling-4e30251.jpg) et des Hydralisks (http://orig09.deviantart.net/37fd/f/2012/306/9/a/hydralisk_by_therisingsoul-d5jnrq0.jpg), mais le nid se composait aussi de plusieurs bassins génétiques, avec un liquide verdâtre translucide, dans lequel des femmes baignaient… Ainsi que des gros œufs plantés ici et là, similaires à ceux qu’Édéline avait pu apercevoir en contrebas, avec des corps féminins coincés dedans. Et il y avait également, le long du mur, de multiples femmes attachées, se faisant prendre par des tentacules.
Deux Zerglings caressaient les jambes de Sarah Kerrigan, et elle posa sa main sur l’un d’entre eux, tandis qu’Édéline la suppliait de partir. Un soupir s’échappa des lèvres de la Reine des Lames.
« C’est à croire que tu ne sais dire que ça… Partir, partir, partir… C’est d’un ennui ! Tu viens à peine d’arriver ici ! Je n’ai pas la patience de ma fille ! »
Kerrigan grogna, et soupira profondément.
« Tu es devant moi, la Reine des Lames, et tu oses me donner des ordres ?! »
Sarah soupira encore, puis s’écarta… Et, malheureusement pour Édéline, elle ne put pas se relever, car des tentacules jaillirent du sol, et s’enroulèrent autour de ses poignets, les entravant. Impossible de se libérer de là, et, dans son dos, un Zergling se rapprocha, en grognant et en soupirant. Une bête massive, qui, tel un chien, alla ensuite se mettre sur le corps de la sorcière, ses pattes avant se glissant sur ses épaules… Puis une grosse verge jaillit alors, et il pénétra la femme.
De son côté, Kerrigan était retournée s’asseoir, et croisa les jambes en souriant, Édéline se faisant violer devant elle par le puissant Zergling…
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Les Zerglings, en réalité, étaient bien loin d’être l’unité la plus puissante de la Horde. C’était même plutôt le contraire. Ils étaient comme des meutes de gros chiens, dont leur utilité était une attaque en nombre massive sur les positions ennemies. Rapides à produire, ils étaient parfaits pour des assauts brutaux, ce qui, mine de rien, les avait rendus très utile au début de la guerre. Ils avaient permis de contourner des positions tekhanes, d’attaquer des voies de ravitaillement, des villes de taille moyenne, déstabilisant les premières lignes défensives tekhanes. Sarah leur trouvait un intérêt certain, car ils étaient également très obéissants. D’aucuns affirmaient, comme Abathur, son technogénéticien, que les Zerglings faisaient partie des races les plus anciennes à avoir été assimilées par les Formiens.
Et elle adorait les voir prendre des esclaves, comme cette insolente sorcière. Édéline avait gravi trop rapidement les échelons, c’était le problème... Sarah n’aurait pas dû venir la voir aussi vite. Il fallait au moins attendre des mois pour que les esclaves comprennent que Sarah n’était pas n’importe qui. Assise sur son trône, elle observa donc le spectacle, et, sans surprise, constata que le corps de la sorcière la trahissait. Malgré ses mots, son corps répondait aux coups de reins du monstre par le plaisir, et l’utilité des tentacules apparaissait clairement. Sans eux, Édéline se serait écroulée sur le sol, et aurait pu être asphyxiée sous la masse imposante du Zergling. Au lieu de ça, le monstre la prenait, comme une espèce de chien en train de prendre la femelle par l’arrière.
Sa grosse langue pendouillait le long de sa gueule, sa salive baveuse coulant sur la nuque de la femme, et il continuait à la prendre, grognant contre son oreille, avec sa force redoutable.
« Hm... Quel spectacle vivifiant... Continuez donc, mes amours... »
Et le Zergling se mit à grogner de plaisir...
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Voilà, on y était ! Édéline s’écroulait sur place, et Sarah, en souriant, comprenait que toute sa résistance n’était que le fruit d’un refus conscient, de sa part, d’accepter le plaisir qu’elle ressentait. Étant une ancienne humaine, Sarah savait que l’esprit humain était divisé en deux grandes parties : le « conscient », et l’« inconscient ». Et, si le conscient d’Édéline s’opposait drastiquement à ce qu’elle subissait, l’inconscient ne pouvait que s’en régaler, et ce parce que l’inconscient était, en majeure partie, composée uniquement de plaisir et de satisfaction égocentrique, ce qu’on appelait le « ça ». Il n’y avait, en fait, que le sens du devoir de la sorcière, son « sur-moi », qui agissait pour l’empêcher de véritablement prendre son pied… Mais son corps la trahissait, et Sarah la sentit donc jouir, ayant un orgasme sous les assauts féroces du Zergling.
C’était comme se faire prendre par un gros chien. Rien à voir avec la queue et avec l’ardeur d’un humain, car une bête ne s’arrêtait pas, elle, et elle vous pilonnait jusqu’à en avoir assez, le tout en faisant preuve d’une vigueur exceptionnelle. Le Zergling était ainsi, et son ventre continuait à taper contre le dos de la femme. La créature ne sentait pas particulièrement bon, et l’orgasme d’Édéline n’avait nullement restreint son ardeur.
En souriant, Sarah croisa les jambes, sa main caressant la tête d’un autre Zergling, puis elle lui fit signe de s’approcher.
« Arrêter ? Mais pourquoi donc, ma chérie ? Non, je crois au contraire qu’il faut continuer à te faire plaisir… »
Et, pour ça, le second Zergling s’approchait. Le premier bourrait toujours l’intimité de la brave sorcière, et la gueule béante du second monstre se rapprocha de son visage. Son haleine fétide heurta le visage de la sorcière, s’accompagnant d’une grosse langue baveuse violette parcourue de pustules. Il lécha sa joue, puis ses lèvres, et frotta son visage contre le sien, grognant contre elle, avant d’enfoncer sa langue dans sa bouche.
Une orgie bien naturelle au sein de la Fourmilière, et Sarah, excitée par ce spectacle, claqua dans ses doigts, faisant signe à une esclave de s’approcher. Et ce n’était pas n’importe qui, car il s’agissait d’une vieille connaissance d’Édéline : Alisha (http://img110.xooimage.com/files/d/7/c/servante-4d95b29.png) ! Sarah lui fit donc signe d’approcher, et on pouvait voir qu’une verge pointait hors de son corps, dressée en l’air.
« Viens me sucer, salope…
- Oui, ma Reine… »
Et Alisha s’exécuta, pendant que, silencieuse, Sarah observait le singulier spectacle qui avait lieu sous son nez.
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Assise sur son trône, Sarah souriait lentement, en caressant d’une main la tête d’Alisha, ses doigts glissant le long de ses cheveux. Sa tête remuait d’avant en arrière, et Alisha, en réalité, était toute heureuse de pouvoir lécher et sucer la queue de sa Maîtresse et Reine. Alisha ne pouvait qu’être ravie, mais Édéline, elle, continuait à se faire prendre par les Zerglings, et, au bout de nombreuses minutes, Sarah finit par arrêter cette cérémonie. Après plusieurs orgasmes, les monstres s’écartèrent du corps de la sorcière, qui, épuisée, alla s’écrouler sur le sol, du jus jutant de ses cuisses pour caresser ses jambes et glisser sur le sol.
« Aaaahh... Tu vois, Édéline, ce qui arrive quand on m’embête ? »
Pour elle, il ne faisait aucun doute qu’Édéline était la fautive. C’était elle qui l’avait apostrophé, qui lui avait manqué de respect. En ces lieux, Kerrigan était comme une Déesse omnipotente, et elle ne supportait pas l’impertinence ou l’outrecuidance dont certains pouvaient faire preuve, comme la jeune sorcière.
« Hmmmm...
- Approche donc, Édéline, et viens sucer ma queue... Montre-moi que tu es compatissante, et que tu as envie que notre relation évolue sur des bases plus... Constructives. »
Après s’être faite prendre par des Zerglings, il n’y avait aucun doute que tout cela pouvait continuer si elle s’obstinait. Sarah avait beau lui laisser entendre qu’elle avait le choix, la réalité était bien différente. Ici, la sorcière était une prisonnière, dépendant intégralement du bon vouloir de la Reine des Lames.
« Allez, approche, Édéline... »
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Dommage que Sarah ne puisse pas lui briser l’esprit, comme elle avait si souvent l’habitude de le faire... Enfin, dans l’idéal, Kerrigan préférait conserver intact l’esprit de ses amantes et de ses pondeuses, mais, dans les faits, c’était souvent difficile à faire. Les humains étaient tout simplement trop révulsés par les Formiens, et il fallait donc une longue préparation pour les soumettre. Mais, ici, face à Édéline, Sarah ne voulait pas risquer de ruiner son potentiel magique en jouant avec son esprit. C’était un domaine dans lequel même Abathur ne pouvait garantir le succès de l’opération, et c’était bien pour ça que Sarah devait développer des méthodes alternatives, jouant sur l’épuisement nerveux et moral, mais sans jamais dépasser certaines limites. Elle fut donc ravie de voir Édéline ramper lentement, et misérablement, vers elle. Son dos devait être en charpie après le viol sauvage du Zergling, mais elle ne cherchait plus à se rebeller, ou à contester les décisions de sa Reine.
Alisha s’écarta donc un peu, en sentant la main de sa Reine caresser sa tête, et se mordilla les lèvres. Édéline se rendait-elle seulement compte de l’immense honneur que la Reine lui faisait ? Sa verge était enduite de salive, dressée, raide, bien tendue, et Alisha pouvait même, en penchant légèrement la tête, caresser ses testicules avec son nez. Une sensation très plaisante, et elle sourit doucement quand Édéline s’approcha, et, quand la sorcière vint enfoncer cette queue dans sa bouche, la main d’Alisha caressa tendrement son dos, venant le gratter, glissant ensuite jusqu’à ses fesses, qu’elle gratta également.
Sarah, de son côté, sourit encore un peu plus, et observa la femme. Cet honneur... Oui, c’en était un, à n’en point douter.
« Suce bien, ma petite Édéline... »
Et, pendant qu’elle suçait, Alisha caressait son estomac, sentant la vie battre dans ses entrailles.
« Je sens de beaux bébés qui sont là, dans ton ventre, Édéline... De beaux bébés qui vont venir renforcer notre Horde sacrée... »
Cette idée amena Alisha à s’en mordiller les lèvres, et elle l’embrassa sur la joue. Et, pendant ce temps, un tentacule se mit à jaillir du sol, poussant lentement, et alla s’enfoncer dans le cul généreusement ouvert de la sorcière, un autre filant dans son vagin...
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Il était frustrant de ne pas pouvoir utiliser sa télépathie pour soumettre pour de bon Édéline. La Reine des lames sentait le conflit en elle, un conflit que, généralement, elle effaçait chez ses proies en usant de ses pouvoirs mentaux. Mais, ici, le faire, selon les analyses d’Abathur, auraient pu endommager les capacités magiques de la sorcière, dont elle avait besoin. La magie fonctionnait différemment au sein de la Horde. Elle vous trompait, elle vous trahissait, mais elle était toujours là, et elle était très utile pour féconder les bébés formiens. Édéline était ainsi partagée entre sa soif de liberté, typiquement humaine, et son envie de faire l’amour, ses fantasmes inavoués, mais non moins réels et existants. La sorcière suçait ainsi sa queue, et alla même jusqu’à s’aider ses mains, pendant que les tentacules remuaient encore en elle, de beaux tentacules violacés en forme phalliques, qui s’enfonçaient en elle.
Alisha, de son côté, vint masser les seins de la femme, continuant à l’embrasser, et Sarah soupira lentement, heureuse de sentir cette bouche remuer contre elle, même si, en la masturbant, Édéline en profitait aussi pour enfoncer moins sa queue dans sa bouche. Un tel geste, presque fallacieux, n’échappa pas à la sagacité de Sarah, et en conséquence, sa main se posa sur les cheveux de la femme, et la força à prendre ce sexe en bouche.
« Ne sois pas indisciplinée, ma chérie, multiplie les gorges profondes... Pour moi, pour me faire plaisir... Car c’est ce que tu as envie, n’est-ce pas ? De plaire à ta Reine... »
Et, pendant ce temps, les tentacules continuaient à remuer en elle, et Alisha pinçait ses tétons. C’était toute la stratégie de Sarah Kerrigan qui, en ce moment, était en train de s’affirmer, toute la manière qu’elle utilisait pour séduire Édéline, et la séduction de Sarah passant par une surdose de sexe...
Et, bientôt, elle allait lui offrir sa propre crème...
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Sarah était progressivement en train de prendre son pied. Édéline était, à n’en point douter, une amante douée, une sorcière qui gagnait à être reconnue, et dont le talent buccal était bien loin de laisser Sarah indifférent. Le sexe de Kerrigan enflait et se durcissait dans sa bouche, ce qui amena Édéline à rompre le contact pendant quelques secondes, le temps de lui dire de jouir en elle, ou, plutôt, de se « laisser aller ». Sarah ne put que sourire devant un tel aveu, et caressa les cheveux de la femme, pendant qu’Alisha choisissait, désormais, de l’embrasser dans le creux du cou, mordillant sa tendre peau. Et le phallus de Sarah, lui, se durcissait et enflait, au rythme d’une respiration devenant de plus en plus chevrotante, lente.
« Oui… Ouiii… Hmmm, Édéline… »
Elle était douée, cette petite, oh ça oui ! La manière dont elle s’occupait de sa queue avait quelque chose de divin, et Sarah put la sentir jouir, sous l’effet des tentacules, qui jouirent également en elle, venant maculer l’intérieur de ses cuisses d’une fine texture blanchâtre, liquide et collante… Puis la main de Sarah se crispa un peu plus fermement sur les cheveux de la sorcière, et, dans un immense soupir, la Reine des Lames se vida en elle, sentant tout son corps tressauter sur place.
« Haaa… »
Édéline lui avait dit de se laisser aller… Et c’était bien là tout ce que Sarah était en train de faire, vidant son sperme dans la bouche, puis dans la gorge de la femme, s’avachissant un peu sur son trône, tout en balançant son jus dans sa bouche. Son sperme fusa ainsi en elle, dans de multiples et profonds soupirs de plaisir.
Oh, que ça pouvait être bon !
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Le liquide génital qui s’échappait d’un Formien n’était pas, à proprement parler, du sperme. Sarah l’appelait ainsi par abus de langage, mais c’était un liquide différent, car, chez les Formiens, les différences sexuelles étaient très rares, du fait du fort hermaphrodisme qui régnait. Ce qu’Édéline avait bu ressemblait plus à un improbable et extraterrestre mélange entre le sperme et la cyprine, la laissant pantoise. Sonnée, elle implora la pitié de Sarah, et cette dernière, en souriant, fit claquer ses doigts... Les tentacules se retirèrent alors, et Édéline s’effondra sur le sol, aux pieds de la Reine des Lames, visiblement épuisée.
« Hum... Il est vrai que nous avons un peu abusé de toi, ma chérie... Alisha, ma fille, les Xénomorphes, puis moi... Ma pauvre petite... »
Sarah s’était rapprochée d’elle, fléchissant les genoux, et caressa son ventre, puis son flanc. Édéline était tout simplement épuisée, et Sarah ne voulait pas l’abrutir, ou l’aliéner, sous peine, effectivement, de perdre les pouvoirs magiques de la femme.
« Tu vas te reposer un peu... Le temps de donner naissance à tes nouveaux bébés... Ensuite, je pense que les tentacules retourneront jouer avec toi. »
Sarah aida Édéline à se relever, et, en fait, alla la tenir dans ses bras. La jeune sorcière semblait tellement fatiguée qu’elle n’arrivait même plus à marcher sur ses jambes, puis Sarah se dirigea vers le mur, à côté de son trône, et la posa contre ce dernier, le mur se déplaçant pour venir la recouvrir. Elle se retrouva ainsi engoncée dans le mur, avec seule sa tête qui dépassait, tandis que le mur recouvrait progressivement son visage, l’empêchant totalement de bouger.
« Allez... Dors, ma belle Édéline, dors... »
Puis le mur la recouvrit totalement, la faisant disparaître.
D’ici quelques heures, elle serait relâchée, car, chez les Formiens, le sexe était sans fin, quelque chose de continuel et d’éternel.
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Plusieurs heures passèrent… Édéline avait droit à une « chambre », à savoir un espace dans le cocon, où un tentacule buccal vient, non seulement l’hydrater en oxygène, mais aussi la nourrir. Pendant ce temps, elle était lavée et nettoyée, les murs spongieux autour d’elle libérant un liquide semblable à l’eau, mélange d’eau et de savon. On nettoya également ses cheveux, la faisan tflotter dans le mur, dans un espace creux et indéfinissable, pendant que ses bébés grossissaient et enflaient. Les Formiens pouvaient naître sous des façons différentes. Mais là, elle avait en elle, outre des larves classiques, qui allaient pondre sous la forme d’œufs, un bébé Xénomorphe, semblable à une sorte de longue anguille noirâtre, qui se mit à pousser dans son ventre. Son ventre grossit donc, enflant joyeusement, et, quand elle ouvrit les yeux, Édéline était fin prêtre pour la première portée.
Pendant son sommeil, elle avait joui à plusieurs reprises, et elle put alors sentir le tentacule planté dans l’un de ses trous se mettre à s’enfoncer un peu plus profondément… Puis la femme dut se mettre à pousser, et expulsa de son corps tous les œufs, l’un après l’autre, les faisant disparaître dans le tentacule, les œufs allant ensuite dans d’autres parties de la Fourmilière, afin de se fertiliser, et de donner naissance à de beaux Formiens en devenir. Les tentacules avalèrent donc les œufs, mais la larve xéno’, elle, était trop grosse pour ça… Il fallait la faire sortir par la voie normale, mais elle n’était pas encore prête à sortir.
Les tentacules se retirèrent ainsi de son corps, et un autre vint asperger un liquide sur son bassin et ses cuisses, la nettoyant… Puis le mur derrière elle vint s’avancer, et la plaqua contre le mur de devant, comme si on cherchait à l’écraser… Mais, au lieu de ça, le mur de devant s’ouvrit soudain en deux, et la lumière éclata aux yeux d’Édéline, qui tomba ensuite sur le sol.
« Mets-toi à quatre pattes, Édéline, inutile de te mettre debout… »
La voix venait dans son dos, et était aisément reconnaissable… Sarah Kerrigan.
Du reste, la sorcière n’était plus dans le nid, mais avait été déplacée ailleurs, près d’une couveuse. Il y avait des œufs partout, ainsi que de multiples femmes endormies, et d’autres qui, soit se faisaient baiser, soit baisaient d’autres femmes. Une véritable orgie dans une grande pièce violette recouverte de Creep, avec des tentacules un peu partout.
« Tu sais, ça fait environ vingt ans que la Fourmilière est là… Et la Ruche a toujours, en vie, les femmes qui ont été capturées à cette période. Elles ont donné naissance à de vraies filles, tu sais… Des filles qui n’ont connu que la Fourmilière, grandissant dans des cocons jusqu’à être en âge de donner des bébés. Elles ne pensent qu’au sexe, et ne vivent que pour le sexe. Et elles n’ont aucun doute, elles ne souffrent jamais… Une joie éternelle… N’est-ce pas ça, le Paradis ? »
Sarah sourit, tout en marchant autour d’Édéline.
« Ton bébé va bientôt venir au monde… Mais je vais t’y aider… »
La Reine des Lames se glissa dans le dos de la femme, et posa ses mains sur sa croupe, puis entreprit alors, comme pour l’aider à se réveiller, de la sodomiser un bon coup. Sa queue se mit à remuer en elle, et Sarah en soupira de plaisir.
« Tu es… Si lourde… Baiser des petites salopes enceinte, ça… Haaaa… C’est vraiment bon ! »
Et ça n’avait pas de prix…
Et *TCHAC !*, elle alla lui frapper le cul, tout continuant ses mouvements.
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Sarah sentait le conflit en elle, dans le corps de la sorcière. Elle était effrayée par ce qu’elle voyait, mais aussi... Étrangement et inexplicablement attirée. C’était une sensation bizarre pour elle, et Kerrigan, elle, en souriait, amusée avant toute autre chose. Ses mains caressaient ses fesses, et elle la prenait donc par l’arrière, avec plaisir, soupirant et gémissant. En matière de sexe, Sarah était, pour ainsi dire, inépuisable, infatigable, car elle revenait toujours à la charge, et, là, en ce moment, les deux femmes étaient entourées par le sexe et la luxure. D’anciennes esclaves, comme Édéline, avaient fini par devenir, à leur tour, des violeuses, et couchaient joyeusement avec d’autres femmes. C’était le sort d’Alisha, qui avait été une rebelle pendant un certain temps, avant de finir par embrasser définitivement et pleinement sa nouvelle vie. Édéline ne serait pas différente, et, déjà, elle commençait à succomber.
En effet, quand la main de Sarah vint la gifler, instinctivement, Édéline se mit à compter, faisant sourire Sarah.
« Oui, tu aimes ça, hum, ma petite chérie ? Te faire battre... Tout en te faisant enculer, haaa... Compte, ma puce, oui, compte... »
La main décrivit un nouveau mouvement, et frappa encore les fesses de la femme, la faisant sursauter, puis Sarah continua à faire preuve de passion et de violence. Comme Sarah l’avait pensé, Édéline se laissait peu à peu aller, tandis que son gros ventre remuait d’avant en arrière. Toute cette énergie était très positive pour le bébé. Si elle avait pu donner naissance aux œufs, la larve, elle, n’était pas encore prête à sortir, mais elle avait déjà bien poussé, ce qui faisait que la sorcière était comme une femme enceinte de plusieurs mois. La Reine des Lames continuait à la prendre, d’avant en arrière, coulissant dans ses parois, ne cherchant guère à la ménager. On pouvait l’entendre grogner et soupirer.
Sarah la prenait donc, encore et encore, jusqu’à finir par jouir en elle, au bout de plusieurs minutes. Dans un long soupir, elle retira alors sa queue du petit cul d’Édéline, non sans caresser un peu sa croupe, pour la flatter.
« Ton cul est toujours bon, Édéline... J’espère que tu t’es bien reposée, car ta journée risque d’être bien remplie... »
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Sarah était joyeusement en train de la prendre, sa queue remuant dans le magnifique petit cul d’Édéline. Indéniablement, la femme était une très bonne amante. La prendre ainsi, à quatre pattes, c’était, pour Sarah, un véritable régal. Oui, elle se régalait, et ce encore plus qu’elle voyait que la volonté de la sorcière avait fondu comme neige au soleil. Édéline était maintenant à elle, intégralement, et sans restriction. Tout son corps était comme vaincu, affaissé devant l’impériale force de caractère de Kerrigan. La Reine des Lames était en train de se régaler, s’amusant follement de ce contrôle total qu’elle avait sur cette femme. Le sexe l’avait perverti, corrompu, et la voir ainsi, c’était vraiment très excitant. Souriant de plaisir, Sarah la prenait donc, encore et encore, jusqu’à jouir en elle, comme une salutation.
Sa queue se retira du cul rempli de la sorcière, mais cette dernière, plutôt que de se laisser aller, choisit, au contraire, d’aller lécher tout ce foutre qui dégoulinait sur le sol. Elle s’y frotta, sans aucune retenue, totalement submergée par l’ivresse du sexe et du désir. Édéline lécha le sol, faisant sourire Sarah, un sourire amusé, goguenard, provocateur. Elle fléchit les genoux, et sa main vint caresser les cheveux de la femme, presque comme on flatterait une chienne dont on était contente de son obéissance.
« C’est bien, Édéline, c’est très bien... Tu vois comme c’est gratifiant, de me servir ? Tu as faim, hein ? C’est normal, tu as passé beaucoup d’heures à dormir, ton corps n’a pas été traité comme il se doit... »
Fort heureusement, Sarah avait des solutions pour ça, et, alors qu’Édéline était sur le sol, des tentacules rosâtres apparurent alors, et vinrent la saisir... Ses jambes et ses bras se retrouvèrent écartées, encerclées dans des tentacules, et son corps fut décollé du sol, puis des tentacules phalliques se rapprochèrent de ses parties intimes, et, sans plus attendre, son vagin, et son anus, se retrouvèrent remplis par les tentacules formiens.
« Voilà, ma chérie... Je le sentais, que ton corps était en manque... Ceci ne pourra que te faire plaisir... »
N’est-ce pas ?
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Sarah s’amusait avec Édéline. La jeune sorcière était désormais totalement subjuguée par la Reine des Lames. De sa hauteur, l’Annexienne la dominait totalement, et assistait à un spectacle des plus encourageants. Elle, la jeune sorcière, rebelle, renégate, avait finalement choisi de succomber aux avances de la Reine des Lames. S’avouant vaincue, elle s’offrait ainsi à elle, sans retenue, ou, plutôt, à ses tentacules, qui la labouraient joyeusement, l’empêchant de bouger, mais pas de parler.
Du moins, pour le moment.
Car Sarah percevait clairement les pensées de la femme, et marchait autour d’elle, attardant sa main sur son corps, la caressant tendrement, tandis que son corps se pliait sous les assauts tentaculaires de la femme.
« Hmmm… Quel spectacle exquis, ma chérie… »
Kerrigan en souriait tout doucement, et un tentacule phallique s’enfonça alors dans la bouche de la femme, violant sa gorge, ledit tentacule s’étant auparavant enroulé, précisément, autour de sa gorge. Ainsi, il se mit à remuer autour d’elle, serrant sa trachée, tout en se tortillant dans sa bouche, remuant joyeusement… Avant de finir par lui balancer sa crème.
« Tiens, ma chérie… Avale donc… Goûte à ce bon lait… »
Kerrigan exultait, tout simplement.
N’était-ce pas jouissif ?
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Sarah ne pouvait s’empêcher de caresser le ventre rond d’Édéline. Il grossissait à vue d’œil, au fur et à mesure que les tentacules la prenaient, la baisaient, et jouissaient en elle. Ils y allaient sans retenue, et, comme Sarah n’essayait pas de briser mentalement sa sorcière, il n’y avait aucun risque que ses précieuses facultés magiques en soient altérées. Ce qu’Édéline subissait était un véritable gang-bang tentaculaire, car les tentacules s’enfonçaient aussi loin que possible en elle, la contorsionnant tout en jouissant abondamment. On pouvait entendre sa combinaison craquer alors que, fréquemment, son corps s’arquait vers le devant, son tronc formant un arc-de-cercle, avant de se relâcher, mettant à l’épreuve ses muscles et ses os3
« C’est intense, hein ? Le corps humain a ses limites, ma chérie, et le sexe a justement pour but d’atteindre cette limite, de la frôler, et de sentir son corps partir, s’abandonner, ne laissant plus que l’exaltation de l’esprit, et le miracle de la vie. C’est ce bonheur qui est en train de t’arriver, ma chérie... »
La Reine des Lames, en réalité, n’était même pas sûre que la femme puisse l’entendre. Chacun des orgasmes qui avait lieu en elle était comme une couche supplémentaire qui venait l’effacer. Elle se tortillait dans tous les sens, et Sarah marchait autour d’elle, la caressant. Édéline, maintenant, n’était plus à proprement parler sur le sol, mais était maintenu en l’air par les tentacules, baisé ainsi, tandis que son corps se recouvrait d’une sorte de liquide blanchâtre, mélange de sueur et de sperme, car les tentacules qui l’immobilisaient suintaient, libérant ce liquide qui s’étalait sur elle.
C’était un spectacle aussi répugnant qu’intense, et dans lequel Édéline n’avait pas d’autres solutions que de laisser les orgasmes se multiplier...
...Jusqu’à arriver à satiété.
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Sarah avait beaucoup d’esclaves sous son commandement. Quand elle avait repris cette ruche entre les mains de Zeratul (un Formien renégat dont elle n’avait plus aucune information), la Ruche était déjà forte, mais, sous son commandement, elle l’avait fait développer encore plus, à tel point que, maintenant, la Horde de Kerrigan était l’une des principales de la Fourmilière, assimilant peu à peu les autres. Les Annexiens devaient tous admettre que Kerrigan était une télépathe exceptionnelle, dotée de pouvoirs très impressionnants, et de beaucoup de pondeuses. En ce moment, toutes ces femmes « travaillaient » d’arrache-pied à renforcer la Horde. Édéline, elle, faisait partie de ces nombreuses esclaves, et, si Sarah veillait en ce moment sur elle, c’est parce qu’elle savait qu’Édéline pourrait, par la suite, lui être d’un grand potentiel. Outre les bébés formiens qu’elle pouvait produire, ses talents magiques seraient d’une grande aide à l’extérieur. La Horde était toujours en quête de pondeuses, et, en la matière, peut-être qu’Édéline pourrait les y aider…
…Mais, alors que Sarah y songeait, elle remarqua que la jeune femme, sous l’assaut d’un nouvel orgasme, était à nouveau tombée dans les pommes. Ceci n’arrêta nullement les tentacules, qui continuaient à remuer en elle. De fait, les tentacules étaient potentiellement inépuisables, et auraient pu continuer à la prendre éternellement, sans relâche, et avec toujours la même intensité. Silencieusement, la Reine des Lames regardait sa proie, caressant doucement ses cheveux.
*Tu es à moi, ma petite…*
Elle caressa encore son ventre en souriant, tout en constatant que sa combinaison commençait à se déchirer.
*Ce n’est pas grave, je vais prendre soin de toi…*
Sarah sourit à nouveau, et déposa un baiser sur le front de la sorcière… Puis les tentacules la relâchèrent, et elle s’écroula mollement sur un sol blanchâtre, constitué d’un mélange de foutre et de mouille.
Avec une nouvelle tentacle suit (http://img110.xooimage.com/files/c/f/3/1-4ea7910.jpg), Édéline ne dut probablement se réveiller que quand un gros tentacule alla s’enfoncer en elle.
Elle avait changé d’endroit, et se trouvait en réalité dans une zone qu’elle avait aperçue auparavant : elle était partiellement enfoncée dans un mur formien (http://img110.xooimage.com/files/a/4/3/3-4ea7913.jpg), tout son buste disparaissant sous la texture gélatineuse et gluante du mur, ses pieds retenus au sol, tandis que, dans son dos, un tentacule la remplissait à hauteur de son cul.
La sorcière, pendant son bref sommeil, avait accouché de larves, mais, qu’elle se rassure, de nouvelles larves allaient très rapidement venir !
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Le sexe, avec les Formiens, était tout simplement sans fin. C’était plus qu’un simple plaisir passager ici, plus même qu’une sorte d’institution, c’était un fondamental. 99% des Formiens n’étaient que des bêtes primitives, fonctionnant par des besoins primaires : manger et baiser. Et, chez les Formiens, baiser était LE besoin central, primordial et fondamental, qui s’imposait en eux, et les dominait totalement. Que ce soit la « faune » locale, ou la « flore » de la Fourmilière, le sexe était omniprésent, comme une sorte de valeur cardinale écrasante et totalitaire.
Édéline s’était donc réveillée coincée partiellement dans un œuf, et son vomissement fut ingéré par le tentacule. Si les humains pouvaient trouver ça dégoûtants, les Formiens, eux, exploitaient très bien ce genre de substances. Le vomi, au-delà de l’aspect repoussant et régurgitant, abritait énormément de protéines et de substances nutritionnelles que les Formiens avalaient pour les diluer et s’en servir. Il en allait de même pour les déjections naturelles et les excréments. L’urine, notamment, était toujours utilisée, mais, en la matière, les humains aussi avaient compris, progressivement, que leur urine abritait des choses très utiles.
La sorcière était donc prisonnière, et, pendant un certain temps, le tentacule remua joyeusement en elle, la remplissant. Elle était prise à la fois par les fesses et par le vagin, incapable de pouvoir se libérer, incapable de pouvoir se défaire de la sensation d’étouffement qui l’envahissait. Ce spectacle se poursuivit ainsi pendant un certain temps, jusqu’à ce que son corps soit relâché.
Édéline fut ainsi relâchée, et s’étala sur le sol, avant d’entendre des bruits de pas.
« Et bien, ma chérie, tu t’es bien reposée ? »
Fléchissant les genoux, Irina venait de la rejoindre, se rapprochant d’elle, et lui caressa tendrement les cheveux.
« Mère t’apprécie beaucoup, tu sais... Tu es une pute très efficace, et très fertile. »
Que de joyeux et doux compliments !
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Irina (http://orig10.deviantart.net/2af8/f/2012/277/f/e/fe7e573c521e0a7dc64322a7560ff4f1-d2dyiej.jpg) était très heureuse du déroulement d’Édéline ici. La petite sorcière avait très bien réussi à s’intégrer dans la société formienne, et à ravir la Reine des Lames. Elle sortit épuisée de l’œuf, mais sans aucune velléité de rébellion, simplement avec le corps fatigué. Caressant tendrement ses cheveux avec ses mains griffues, Irina se mordillait doucement ses belles lèvres rouges. La jeune Cérébrate n’aurait jamais cru pouvoir, un jour, mener une vie si parfaite. Quand elle avait été transformée en Cérébrate, elle n’avait pas oublié ses anciens fantasmes. Elle se sentait maintenant comme une humaine améliorée, et faisait tous les jours l’amour, ayant ainsi comblé une frustration sexuelle longue et douloureuse quand elle était une simple Tekhane.
Maintenant, elle pouvait coucher pendant des journées entières, tant avec des Formiens, qu’avec de belles humaines comme la sorcière, dont elle continuait à caresser les cheveux, glissant lentement le long de ses épaules.
« Tu es vraiment une petite perle, toi, Édéline... On pourrait te laisser dans ce cocon pendant des jours, mais... Notre Reine a d’autres projets pour toi. »
La Cérébrate se redressa lentement, et écarta les jambes. L’excroissance protégeant son intimité se retira alors, et elle se concentra un peu, puis fit sortir une verge, qui pointa au-dessus de la tête d’Édéline. Soupirant de plaisir, la Cérébrate vint se masturber tout doucement, tout en observant sa proie, un sourire sur le coin des lèvres.
« Soit tu viens me sucer pour recueillir mon sperme, ma chérie, soit je t’urine dessus... Le choix t’appartient. »
Un sourire se dessina joyeusement sur les lèvres de la femme.
Quelle perverse !
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Uriner sur ses prisonnières et amantes, cela faisait partie de ces nouveaux plaisirs et fantasmes qu’Irina avait développé en devenant le beau et magnifique monstre bleu qu’elle était actuellement. Elle ne verrait donc aucun problème à pisser sur Édéline, dont le moral faisait des hauts et des bas, au gré de sa fatigue physique. On lui demandait beaucoup, mais c’était ainsi que les choses fonctionnaient au sein de la Horde. Le sexe était omniprésent, et nul ne pouvait espérer s’y soustraire… Et surtout pas Édéline.
Prostrée sur le sol, la sorcière comprit vite qu’Irina ne plaisantait pas, et avait visiblement encore un peu trop d’amour-propre pour accepter ça. Qu’elle se sente flattée ! Généralement, Irina ne demandait pas à ses esclaves leur avis, et sa spécialité était de pénétrer une femme, coincée dans l’un des œufs, et d’uriner en elle. C’était sale, mais, sans trop savoir pourquoi, ça excitait toujours furieusement la belle Irina. La Cérébrate avait, là, son petit penchant mignon, mais Édéline, n’ayant guère envie de le partager, prit son sexe en bouche.
« Hmmmm… Oh, ma petite chérie ! »
La main d’Irina alla se crisper sur les cheveux de la femme, s’y appuyant fermement, et elle accompagna les mouvements buccaux de la femme en déplaçant son basin, d’avant en arrière.
« Hmmm… Oui, vas-y, continue, ma douce… Suce bien, je sais que tu aimes ça… »
Irina, elle, adorait ça, en tout cas. Elle observait le visage d’Édéline, avec ses lèvres ouvertes et recroquevillées sur son sexe, et sa tête qui filait d’avant en arrière pour pouvoir mieux gober ce gros phallus qui remuait en elle. Magnifique sous tous les plans, Irina, en soupirant, offrait un plaisir rare et magnifique ! Ses onctueux soupirs recouvraient toute la pièce, et ses griffes s’enfonçaient dans les cheveux de la femme, appuyant fermement dessus.
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Irina aimait vraiment beaucoup le sexe. Elle ne pensait pas qu’il soit possible d’être aussi perverse. Après tout, elle avait pensé, jadis, qu’une telle dose de sexe finirait vite par la lasser, que le côté répétitif de la chose l’emporterait sur le côté plaisant et exquis... Mais, en réalité, il n’en était absolument rien. Bien au contraire, Irina jouissait à chaque fois, et, plus elle faisait l’amour, plus elle avait envie de faire l’amour, comme une sorte de leitmotiv qui revenait sans arrêt, inlassablement. Irina enfonçait sa queue dans la bouche d’Édéline, et cette dernière la suçait en retour, filant d’avant en arrière. Dire que, il y a encore quelques jours, la sorcière avait été très rebelle... Mais, maintenant, oui, maintenant, elle s’avouait vaincue. Plus aucune once de rébellion, plus de protestation, plus de combat, elle goûtait à ce plaisir infini, et, entre deux mouvements de succion, elle avoua alors à Irina qu’elle avait envie d’avoir de nouveaux bébés, ce qui ne manqua pas de faire sourire la Cérébrate.
Oui, des bébés... Avant d’être Formienne, Irina n’avait jamais vraiment eu la fibre maternelle. Elle était une scientifique menant un travail très chronophage, et, dans une telle perspective, avoir une vie de famille n’était pas possible, et ce d’autant plus qu’elle travaillait essentiellement au Containment Point. Mais là, ici, tout était différent. En tant que Formienne, il ne se passait pas une journée sans qu’elle n’enfante des pondeuses. La vie, au sein de la Fourmilière, était pleine et vibrante, omniprésente. Elle battait le long des murs, du sol, du plafond, car tout était organique, ici.
« Hmmm... !! Oui, ma chérie, haaa... Des bébés... De beaux bébés !! »
Elle continuait à onduler d’avant en arrière, crispant ses mains sur les cheveux de la femme, et, en soupirant encore, la Cérébrate se mit à jouir. Elle se déversa dans la bouche de la femme, lui offrant son sperme. Un magnifique orgasme, mais qui n’était que le premier d’une série. Il fallait battre le fer tant qu’il était encore chaud, et, suite à cela, elle souleva Édéline, et la plaqua contre le mur, puis écarta un peu les rebords de sa combinaison, afin d’enfoncer sa verge, encore dure, dans son intimité.
« Oooohhh... !! »
Irina serra les dents, en soupirant profondément, et commença à remuer dans le corps de la femme, multipliant les coups de reins en elle.
« Laisse-moi t’engrosser, Édéline, aaaah... Et que tu nous offres... De beaux bébés !! »
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Difficile de parler pour Édéline, qui se faisait prendre sans relâche depuis le temps qu’elle était ici. Tout n’était que sexe et orgie, sans qu’elle ne puisse véritablement avoir de temps mort. Certes, on lui laissait le temps de physiquement se reposer, mais, à chaque fois qu’elle se réveillait, le manège sexuel reprenait. Maintenant, Édéline se faisait prendre par Irina, et ne pouvait rien faire pour lutter contre ça. Elle était la proie des assauts tumultueux et énergiques de la Cérébrate, qui la baisait proprement contre le mur, s’enfonçant fougueusement en elle. Du sexe sauvage et dur, sans aucune pitié pour la jeune femme.
« Mmmhmm… Haaa, Édéline, hmmm… !! Ta petite chatte est… Merveilleuse ! »
Une petite chatte pensée pour se faire prendre. La grosse queue de la femme à la peau bleue continuait à remuer en elle, et elle la tenait par les fesses, allant parfois l’embrasser. Entre ses bras, Édéline était comme une grosse poupée de chiffon, incapable de pouvoir la repousser. Elle ne pouvait que suivre, sans avoir la possibilité d’imposer son propre rythme à la femme qui, furieusement, la prenait.
Irina y allait donc joyeusement, sa queue s’enfonçant jusqu’à la garde dans le corps de la sorcière, et, après plusieurs minutes de ce traitement intensif, dans un long soupir, la belle Cérébrate alla se vider, répandant sa semence dans un soupir dans le corps de la femme.
« Oooh… Putain, ouais !! »
Elle relâcha alors le corps de la jeune femme, qui tomba sur le sol, après avoir généreusement joui en elle, balançant la sauce, jouissant pendant une bonne minute. Son foutre avait bien rempli le ventre de la sorcière, qui se retrouva à nouveau sur le sol, visiblement épuisée.
« Tu es toujours un sac à foutre aussi… Exquis, ma chérie. »
Pour conclure cette séance, Irina lui fit un sourire charmant… Avant de caresser tendrement ses cheveux.
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Le sac à foutre qu’était Édéline s’avérait particulièrement agréable. Encore une fois, Irina la prenait avec force et énergie, jusqu’à bien la remplir. La Cérébrate s’était largement amusée à la remplir comme ça, et, quand elle la relâcha, le corps de la sorcière s’effondra mollement sur le sol, son ventre bien arrondi, une fuite entre les cuisses, un nectar blanc venant se répandre sur le sol rosâtre. Irina la regarda, respirant lourdement, sa poitrine se soulevant et s’abaissant, trahissant sa fatigue, ainsi qu’une certaine forme d’excitation latente. Ses jolis seins bleus se dandinaient sous les yeux d’Édéline, remuant de haut en bas.
Elle finit par fléchir les genoux, et sa main griffue vint caresser le ventre d’Édéline.
« Oui, je le sens… La vie bat et pulse dans ton ventre, c’est… C’est très agréable à voir. »
Et à caresser, surtout. Irina se mordilla les lèvres. La vie, le fait de la donner, voilà qui était particulièrement formien. Les Formiens aimaient ça plus que toute autre chose, et Irina souriait ainsi, béatement, en frottant doucement le ventre de la femme. Elle la laissait se reposer contre le mur. Son ventre dégrossissait progressivement. Il se remplirait ensuite à nouveau, au fur et à mesure que les larves en elle grandiraient.
Irina souriait joyeusement, presque tendrement, et se pencha ensuite vers Édéline, l’embrassant sur le front.
« Alors, que veux-tu faire, ma chérie ? M’accompagner pendant que j’engrosse les autres ? Rassure-toi, je te prendrais toujours en levrette si tu le souhaites, il faut bien nourrir tes bébés. »
La Cérébrate lui sourit donc, à nouveau, en continuant à caresser son corps. C’était comme ça, Édéline était enceinte, et, ce faisant, Irina se montrait particulièrement douce et attentionnée.
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Irina devait tempérer ses ardeurs. Si Mère avait choisi de ne pas utiliser ses pouvoirs pour briser l’esprit d’Édéline, ce n’était pas pour rien. Sa magie était une chose précieuse, mais, à force de lui faire l’amour, encore et encore, avec cette force bestiale qui la caractérisait, Irina craignait de finir par endommager ses fonctions cérébrales... Soit, autrement dit, de vexer sa Mère. Elle y pensa après avoir joui en Édéline, en voyant combien la jeune sorcière se sentait fatiguée. Son corps était éprouvé, soumis face à des exercices intenses, dont elle n’avait clairement pas l’habitude.
*Modère tes ardeurs, Irina...*
La sorcière en avait même du mal à parler. La Cérébrate finit donc par hocher la tête.
« Très bien. Allons-y, alors. »
Irina posa une laisse autour du cou d’Édéline, afin de la forcer à la suivre, en marchant à quatre pattes. La laisse était très particulière, car elle était formée à partir du Creep, cette texture formienne qui recouvrait l’intégralité des surfaces. La laisse forma elle-même un collier pour se mettre autour du cou d’Édéline, et c’est ainsi que les deux femmes s’engagèrent dans un couloir, la sorcière avançant à quatre pattes derrière Irina, jusqu’à rejoindre l’un des nids de la Ruche.
Ces nids comprenaient ces fameux œufs avec des femmes plantées dedans, et Irina relâcha la laisse contre un mur, puis s’approcha d’une femme coincée dans le mur.
« Repose-toi, Édéline, j’en ai pour une heure ou deux, il y a beaucoup de femmes à fertiliser... »
Et elle commença sa tournée, posant ses mains sur un bassin, et enfonça sa queue dans le vagin de la femme coincée à l’intérieur. Ses muscles se tendirent brièvement, puis Irina remua d’avant en arrière.
Et ainsi de suite...
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La sorcière avait été bien maîtrisée. Tandis qu’Irina enfonçait sa queue dans un cul, et sentait ce dernier frémir légèrement, elle y songeait, avec ce mélange d’amusement et de perversion qui caractérisait la redoutable Cérébrate. Irina remuait dans ce corps, soupirant de plaisir, sentant sa verge s’engouffrer, glissant contre la mouille, ce qui l’amena à jouir au bout de plusieurs minutes. La Cérébrate relâcha ensuite le corps de la femme, laissant ses jambes remonter à flanc de paroi, puis se déplaça vers une autre personne, également enfoncée dans un cocon.
De la main, Irina vint caresser le beau petit cul de cette femme, qui avait une peau noire. Elle perçut un infime frémissement, et enfonça, cette fois, sa verge, dans le cul de la femme. Pour cela, depuis des heures, un parasite formien s’était niché à hauteur de son bassin, enfonçant ses tentacules dans ses extrémités, afin de la préparer. Le parasite s’écarta donc, et Irina s’enfouit en elle, griffant et frappant son cul.
« Hmmm… Haaaaa… !! »
Ce spectacle avait quelque chose d’effrayant et de terrible, celui d’une femme, une Cérébrate, qui se faisait plaisir à enchaîner ainsi les viols sur des femmes réduites à leur simple expression de corps, et, même plus encore, de sexe. Irina la pénétra joyeusement, grognant et soupirant, griffant ses fesses, puis eut un nouvel orgasme, se vidant dans le cul de la femme. Quand elle se retira, un tentacule vint rapidement la remplacer.
Toutes ces femmes étaient vivantes, il ne fallait pas s’y méprendre. Elles étaient des esclaves serviles, impassibles, soumises à la volonté perverse de leur Maîtresse, mais elles étaient vivantes, et physiquement bien entretenues. Le cocon les nourrissait, mais il était difficile de décrire dans quelles situations mentales elles se trouvaient. Elles subissaient régulièrement des assauts psychiques, sans parler de la dégradation morale et physique dont elles étaient victimes en étant ainsi traitées.
Irina continuait à se faire plaisir avec elles, et les heures passèrent. Elle enchaînait les corps, avant de finir par revenir vers Édéline. La Cérébrate la voyait, complètement à l’ouest, et elle sourit, en se mettant devant elle.
« Tu m’as l’air complètement hagard, ma chérie… Suce-moi donc un coup, ça ira mieux ensuite. J’ai butiné des culs pendant une heure, mais sentir le goût de lèvres sur mon sexe, ça, ça n’a pas de prix ! »
La Cérébrate lui sourit, avant de rajouter :
« Suce-moi bien, et, pour te récompenser, je te baiserai contre le mur, ma chérie. »
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Irina avait hésité, initialement, entre continuer à maltraiter ainsi sa belle Édéline, ou la laisser se reposer… La faire attendre des heures était donc un bon moyen de vérifier ce qui, maintenant, dominait le plus chez elle. En revenant la voir, Irina eut donc sa réponse. Édéline salivait d’envie, terriblement frustrée. C’était un beau tour de force. Le sexe avait totalement perverti la jeune sorcière, il n’y avait nul besoin de la soumettre en utilisant des tours psychiques, seule la soif de cette femme, maintenant, venait la guider. Souriant donc, Irina la vit littéralement se ruer sur sa queue, crispant ses mains sur les fesses de la Cérébrate, en soutien, tout en pompant frénétiquement sa queue.
« Oooohhh… Aaaaaahh, ma petite goinfre !! »
Surprise, la Cérébrate tendit son corps vers l’arrière, puis posa ses deux mains sur la tête de la femme, crispant ses doigts dessus. Elle les enfonçait dans sa chevelure, tout en soupirant longuement de plaisir, contemplant sa délicieuse proie, avec un sourire ravi sur les lèvres.
« Hmmm… Bien, ma puce, haaa… Ooohh, tu as vraiment faim, toi… ! »
Oh oui, quelle affamée ! Hum, c’était… Très bon ! Les griffes d’Irina se crispèrent davantage contre ses cheveux, et elle continua à remuer son corps, d’avant en arrière, soulevant et abaissant ses seins dans de longs soupirs de plaisir. Plusieurs minutes passèrent ainsi, avant qu’Irina ne finisse par s’abandonner dans le corps de son amante, répandant sa crème dans sa bouche, jouissant avec plaisir.
Un orgasme qui ne fut que le début de sa récompense, et, comme Édéline avait une grosse faim, Irina allait lui montrer à quel point le sexe formien pouvait être bon.
« Regarde… Regarde bien, ma chérie… »
Irina ferma les yeux, et serra les dents, en se concentrant. Une bosse sembla alors se former à hauteur de son bassin. Elle gémit à nouveau, couinant encore, et, soudain, une seconde verge vint à pousser, à côté de la première, faisant hurler Irina, qui n’était pas habituée à sortir ainsi la grosse artillerie.
« Oooohhhh… Haaaa… !! »
La Formienne soupira longuement, des gouttes de sueur coulant le long de ses joues, et s’épongea le front.
« Pardonne-moi, j’ai tendance à la sortir pour les grosses gourmandes comme toi… Ce qui est, somme toute, assez rare. Je dois avouer que, quitte à choisir entre ta chatte et ton cul… Je préfère prendre les deux ! »
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L’hermaphrodisme formien permettait bien des choses, comme ce spectacle hors-norme, celui d’une femme dotée, non seulement d’une verge, mais de deux. Irina dut néanmoins reprendre son souffle avant de retourner prendre l’impatiente et l’insatiable Édéline. Depuis que la sorcière était là, tout, pour elle, n’était que stupre, une orgie perpétuelle de luxure et de sexe sauvage et ardent. La sorcière était impatiente, et, en soupirant une dernière fois, Irina se rapprocha.
« Me voilà, ma beauté... Désolée de t’avoir fait attendre, ça ne se reproduira plus. »
Et hop, sans plus attendre, Irina s’enfonça en elle, agrippant la femme par les hanches. Un premier sexe fila dans ses fesses, et un autre dans son vagin. Les deux trous d’Édéline furent comblés en même temps, provoquant des sensations absolument fameuses pour la Cérébrate à la peau bleue, qui soupira, poussant ensuite de longs cris de plaisir, tout en commençant à remuer dans la chair de la sorcière.
« Hmmmm... Haaaaaa, Édéline... !! »
Oui, ce que ça pouvait être bon ! Irina se lançait, y allant de plus en plus fort, déplaçant ses deux queues en même temps, donnant ainsi de grands et de puissants coups de reins à destination du brave corps d’Édéline. La sorcière se faisait lourdement prendre, le mur remuant d’avant en arrière, épousant la forme du corps de la sorcière quand Irina la plaquait contre ce dernier, avant de repartir en arrière, et de recommencer, encore et encore.
C’était tout simplement magnifique !
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Pour Irina, c’était vraiment le pied. Elle qui n’avait pas l’habitude de déployer deux verges en même temps se faisait donc joyeusement plaisir. La Cérébrate imposait peut-être à la sorcière, simple humaine, un rythme trop dur, trop gourmand, mais, après tout, il fallait se rappeler où elles étaient. La Fourmilière n’était pas un endroit où on pouvait se relaxer sereinement et s’ennuyer. Ici, le sexe était, par définition, sauvage, bestial, intense, et, surtout, particulièrement long. Derrière leur apparence, si repoussante aux yeux des humains, les Formiens étaient, aux yeux d’Irina, une sorte de perfection génétique, et assurément sexuelle. Il existait quantité d’insectes, dans la Création, qui faisaient l’amour longuement. Irina, au cours de ses études, avait par exemple appris qu’il existait une race d’insectes très particulière, les Neotroglia, dont la particularité notable était que la femme avait un pénis, et l’homme un vagin. Quand ces insectes faisaient l’amour, la femelle gonflait son pénis dans le corps du mâle, de telle sorte qu’il était impossible de la retirer sans tuer le mâle, et ils faisaient l’amour, ensuite, pendant une durée variable, entre quarante et soixante heures.
La Nature n’était-elle pas magnifique ? Tout ce que les Formiens faisaient, c’était la magnifier, et, à voir la manière dont Édéline se dandinait, ce n’était sûrement pas elle qui viendrait s’en plaindre.
« Hmmmmm... !! »
La petite sorcière se cambrait contre elle, et Irina, toujours aussi énergique, devenait de plus en plus violente, dans le sens où elle giflait son petit cul, ou tirait sur ses cheveux. Elle finit ainsi par relever le corps de la sorcière, la cambrant davantage, tout en la maintenant dans le creux de sa main, en tirant ses beaux cheveux roux vers l’arrière. Dans cette position, la Cérébrate continuait à la prendre, violemment, enfonçant ses verges le plus loin possible.
« Hoooo, ma petite chérie, hmmm... C’est... C’est si bon de te baiser, haaaa... !! »
Irina était, de plus, en pleine période d’incubation, vu qu’elle avait passé deux bonnes heures à pénétrer des femmes pour les engrosser. Il ne fallait pas pour autant mal interpréter ; si ces femmes étaient dans des œufs, ce n’était pas définitif. Elles finissaient par en ressortir, mais il fallait bien varier les plaisirs de temps en temps.
En attendant, Irina semblait avoir oublié de jouir, et finit même par redresser Édéline, en tirant sur ses cheveux, posant son autre main sur l’un de ses seins. Elle la souleva de cette manière, et le dos de la sorcière se retrouva à taper contre ses seins, amenant un sourire ravi à venir se dessiner sur les lèvres de la femme.
« Ouuu-ouuiiii... Haaa... Co... Comme ça, ma... Ma petite sa-salope ! »
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Encore une fois, la belle Édéline n’arrivait plus à suivre la cadence. Irina sentait son corps réagir, mais son esprit était ailleurs... Encore0 Il était dommage que Mère ne veuille pas la former à l’aide de substances. Elle avait peur d’endommager son esprit en altérant ses facultés mentales, mais, en faisant ça, Édéline serait une pondeuse plus résistante. Là, elle arrivait à peine à satisfaire l’appétit insatiable de la Cérébrate. On avait dit à Irina de veiller sur elle, de s’occuper de cette belle sorcière, et c’était tout ce que la Cérébrate à la peau bleue faisait en ce moment.
« Hnnnn... Hhmmmm... !! »
D’une main, elle pétrissait le sein de la femme, et, de l’autre, elle la masturbait, sentant sa mouille filer le long de ses doigts. Profondément enfoncée dans son cul, sa queue était en train de grossir et d’enfler, grossissant tant et si bien qu’il était impossible de la retirer avant que la femme ne jouisse... Comme ces insectes dont le sexe gonflait quand ils étaient en train de faire l’amour. La Cérébrate grogna, encore et encore. Ah, tant pis si Édéline ne réagissait plus ! Au moins, elle hurlait quand la queue d’Irina remontait dans les tréfonds de son corps, filant le long de son colon.
La main d’Irina s’écarta de son vagin, et laissa la place à un tentacule, qui s’enfonça alors dans son vagin, remplissant ainsi ses trous. Rapidement, Irina déplaça ses doigts humides, et posa sa seconde main sur l’autre sein de la sorcière, pétrissant ainsi sa poitrine, la malaxant amoureusement.
Ainsi prise dans tous les sens, Édéline n’était rien de plus qu’une proie entre les mains expertes de la Formienne. Ce traitement dura encore de nombreuses minutes, Irina accélérant de plus en plus.
« Hmmm... Hmmmm... Haaaaa... !! C’est... Haaaaannn... T’es si bonne, ma salope... !! »
Irina alla mordre son cou, puis finit par avoir un orgasme. Tout son corps se tendit, et elle expulsa dans le corps de la femme d’épaisses quantités de foutre, tout comme le tentacule entre ses cuisses. Irina jouit pendant de nombreuses secondes, et soupira, arquant son corps vers l’arrière en expulsant sa chaude semence dans le corps de la femme, puis relâcha Édéline, qui s’effondra mollement sur le sol, tel un pantin désarticulé.
« Haaaa... Voilà qui fait du bien ! » claironna Irina, terriblement heureuse.
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Quand Édéline se réveilla, ce fut pour constater qu’elle était couchée sur une sorte de lit. Un lit curieux, ovale, chaud et mouvant, qui ressemblait un peu à une sorte de grosse langue. Elle était sur une sorte de piédestal, dans une pièce rosâtre, avec des murs gélatineux. Il n’y avait, pour l’heure, personne d’autre qu’elle. Toute la fatigue qu’elle avait ressentie semblait avoir disparu, et elle portait une nouvelle tenue en latex (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=580776), intégrale.
« Tu es réveillée ? » demanda soudain une voix.
Une portion de mur s’ouvrit alors, et Sarah Kerrigan entra, toujours aussi belle, et toujours aussi impressionnante.
« Tu avais l’air très fatiguée, je t’ai laissé dormir plusieurs jours... C’est bien la preuve que je tiens beaucoup à toi, non ? »
Amusée, Sarah se rapprocha d’elle, et caressa ses cheveux.
« Alors, comment te sens-tu ? »
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C’était bien sa nature magique qui avait expliqué ce traitement de faveur. Normalement, la fatigue physique n’avait que très peu d’influence sur le traitement réservé aux pondeuses de Sarah. Elles étaient baisé&es continuellement, et, quand elles tombaient dans les pommes, on utilisait des drogues pour les réveiller. Sur le long terme, ces drogues avaient néanmoins pour conséquence d’altérer les capacités mentales et psychiques du sujet. C’était une chose que Sarah pouvait tolérer sur de simples femmes, mais pas sur des mages, car les altérations psychiques avaient forcément des liens sur leurs capacités magiques. En étant pleinement réveillée, Édéline pouvait recourir de nouveau à sa magie, ce qu’elle fit en invoquant son grimoire.
Sarah, elle, sourit, puis s’assit à côté d’elle. Elle caressa les longs cheveux roux de la femme, et l’embrassa sur la tête.
« Tu ne te sens pas bien ici ? lui répondit-elle. Tout ce que je fais, c’est veiller sur toi, Édéline... »
Ce qu’il lui arrivait n’était pas si horrible que ça, selon Sarah. Les êtres humains avaient une propension naturelle à apprécier le sexe, car le sexe était un moyen de reproduction. Il se devait donc d’être délicieux, et, en ce sens, ce que Sarah proposait n’était que du délice.
« Tu sais, régulièrement, il y a des femmes qui viennent volontairement à la Fourmilière, Édéline. Elles ne sont pas prisonnières ni droguées, et se rendent, pour satisfaire leurs fantasmes. Je crois que tu ne te rends pas compte de la chance que tu as. Et ce d’autant plus que je n’ai pas usé de mes pouvoirs psychiques pour toi. Tu conserves ton libre-arbitre. »
Sarah laissa passer quelques secondes, avant de reprendre :
« Si tu pars... Es-tu sûre de ne pas le regretter ensuite ? Qui te baisera aussi fort et aussi bien que nous ? Ton corps a été imprégné par ça. Si tu pars, tu seras en manque. »
Pour elle, c’était, bien entendu, inévitable.
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Édéline s’avéra toujours aussi réticente, mais sa résistance arracha sur les lèvres de Sarah un léger sourire amusé. Croyaitr-elle vraiment que sa magie pouvait la protéger ici ? C’était mignon. Elle semblait oublier que, ici, dans la Fourmilière, le fonctionnement de la magie était perturbé, et que, au surplus, Sarah maîtrisait elle-même des sorts psioniques redoutables.
« Tu ne conserves ton libre-arbitre que parce que je l’ai décidé, Édéline... Ne t’avise pas te croire le contraire... »
Autour d’Édéline le sol, le plafond, les murs se mirent à remuer dangereusement. Ici et là, des petits tentacules en sortaient, comme autant de preuves que tout, ici, n’était qu’une expansion de la volonté omnisciente, en ces lieux, de Kerrigan. La Reine des Lames était ici comme une Déesse absolue. Elle se releva donc, et s’étira lentement.
« Mais je pense que tu as mérité de sortir, oui... Je pourrais user de ma magie psionique pour briser ton esprit, et faire de toi une esclave décérébrée, mais... Je n’ai pas spécialement envie de me fatiguer. Tu veux être libre ? Parfait. Retrouve donc ta liberté, et raconte à tous ce que tu as vécu ici. »
Elle ferait sa propagande, et, en ce sens, serait également d’une utilité indirecte. En effet, la Reine ne mentait pas en disant que beaucoup de pondeuses étaient des volontaires. Bien sûr, il n’y en avait pas autant que ça, car les militaires tekhanes entretenaient un blocus militaire particulièrement épais autour de la Fourmilière, mais, même malgré ça, Sarah se débrouillait toujours pour récupérer ses fidèles.
Un couloir s’ouvrit alors dans un coin, un couloir qui semblait sans fin, que Sarah désigna de la main.
« Remonte le long de ce couloir, et disparais, Édéline. Peut-être nous reverrons-nous... Dans tes rêves. Mais, dans tous les cas, sache que j’ai adoré te baiser. Tu es une magnifique pute. »
Sarah claqua alors des doigts, et une poche s’ouvrit au-dessus d’Édéline, faisant tomber sa robe de sorcière.
« Voilà tes effets personnels... Au plaisir de te revoir... Un jour. »