En alchimie. C’était le mot que Mia emprunterait tout autant pour définir sa relation avec Carol. Du moins d’un point de vue sexuel. Les deux femmes étaient deux belles et terribles amantes qui adoraient se faire l’amour, dans tous les sens, dans toutes les positions, etc. On le voyait bien à leur façon se s’embrasser, de s’entortiller l’une contre l’autre avec cette fougueuse et ardente passion. Une passion brûlante, sulfureuse, qui faisait que Mia embrassait encore et encore sa belle, ne cessant pour rien au monde d’adorer le gout de ses lèvres, même pendant une douloureuse sodomie. Karla était une véritable succube au lit, c’était à se demander pour quelqu’un comme Mia, qui n’était pas d’origine humaine à la base, si cette femme n’avait pas quelque part un gène mutant succubique ou autre chose dans le genre. Car pour aimer autant le sexe, et le pratiquer d’une façon aussi experte, il en fallait !
Mais cela n’était pas pour déplaire à la belle patronne d’entreprise qui sentait la queue artificielle de son amante lui saccager les entrailles. Encore et encore, inlassablement, elle sentait le puissant bassin de son amante s’abattre de toutes ses forces contre elle, rentrant et sortant son gode avec une force et une poigne démentielle. Une force qui faisait hurler Mia de plaisir, qui la faisait tellement crier et jouir, qu’elle était sur le point de s’en briser les cordes vocales. Elle savait que ça n’était pas forcément agréable pour les oreilles mais, elle ne pouvait rien n’y faire ! Opale lui faisait tant bien ! Elle la sodomisait si puissamment, si hargneusement qu’elle n’avait aucun moyen de retenir son extase. Posée sur ses genoux, elle continua de contorsionner sa tête pour embrasser goulument son amante, tout en l’incitant toujours à venir la doigter.
Opale finit par faire couler la mouille de Mia, qui se faisait à la fois prendre par derrière, et la fois doigter. Cette rude et douloureuse pénétration était tout ce dont rêvait Mia dans ce genre de séance. De la douleur, de la sodomie brutale, des claques sur ses fesses, etc. Car toute cette douleur, amenait un énorme plaisir sexuel ! Du moins, pour elle. Elle suait, elle serrait des dents, à mesure qu’elle sentait la trique artificielle lui rentrer dedans de plus en plus rapidement, et de plus en plus profondément. Se faire autant détruire l’anus, c’était tout simplement l’apothéose sexuel pour Mia. « HAAAAAAA !!! » Hurlait-elle, à bout de force, à bout de souffle, sentant Karla ne pas démordre face à sa hargne. Mais, tout ceci finit par payer, quand non seulement sa mouille coula méchamment le long de ses cuisses, mais aussi quand … Elle eut un orgasme.
Mia sentit son corps se contracter de l’intérieur. Chacun de ses muscles se bandèrent, se crispèrent face à la vague immense qui était sur le point de s’emparer d’elle. « Karlaaa je … Je … HAAAAA !!! » Cria-t-elle une dernière fois, face à un énième et ultime coup de trique. Ses fesses tremblèrent face à ce terrible coup, qui fut celui qui l’acheva. Sa mouille déferla entre ses cuisses, sa voix implosa et un violent orgasme s’éprit de tout son être, contractant tous ses muscles d’un seul coup. Ses entrailles se contractèrent tout aussi brutalement autour du gode niché dans ses fesses. En somme, Mia venait de réellement éprouver l’un de ses meilleurs orgasmes. Elle savait Karla très performante mais, à ce point-là … Jamais Mia n’avait eu un pareil final qu’avec elle. Ce n’était pas pour rien qu’elle l’adorait, et qu’elle adorait coucher avec elle. Sa force surhumaine jouait pour beaucoup dans ses performances, et cela se sentait …
« Haann … Tu m’as détruit l’arrière-train … » Lui susurra-t-elle, essoufflée, et ayant fortement mal aux fesses. Mais ce mal, c’était tout ce qu’elle cherchait, après tout. Elle se lova contre elle, ou plutôt se lova par derrière puisqu’elle était de dos. Elle cherchait à faire crisser sa combinaison contre sa peau, car elle adorait tout simplement le touché et le contact de cette matière … Alors que pendant ce temps, elle refusa de lâcher sa main, qui était toujours plongée vers sa féminité. « Doigtes-moi encore, ma chérie … » Lui dit-elle alors, encore toute désireuse …