Identité : Sod-Oni
Nom : Anciennement Rearing
Prénom : Anciennement Elizabeth
Âge : 66 ans
Sexe : Futanari "mâle" (c'est à dire, un corps de femme avec un sexe d'homme, sans sexe de femme)
Race : Déesse mineure
Sexualité : Sodomite débridée
Physique :
De loin, il est impossible de se tromper : c'est bel et bien une femme à qui on a affaire. Et pourtant... Mais commençons par le commencement : Sod-Oni a l'aspect d'une jeune femme d'un peu plus de la vingtaine, aux traits fins et harmonieux. Sa jolie bouche, souvent souriante, dispose de lèvres minces mais ourlées, pulpeuses, au goût que l'on imagine exquis. Sa mâchoire étroite et ses pommettes saillantes lui donnent un visage allongé, soulignant une féminité délicate que ses yeux légèrement montants ne font que confirmer. Ses iris sont d'un turquoise étrange, presque liquide, semblant continuellement en mouvement. On décèle cependant une certaine angularité dans son nez aquilin et son menton un peu trop pointu, mais rien de bien grave. Un trait boursouflé, légèrement plus pâle que le reste de sa peau, lui barre d'ailleurs la cloison nasale à l'horizontale, preuve que, malgré son statut divin, la belle n'a rien d'invulnérable.
Mais nous nous penchons sur son visage, alors que la belle a des traits non humains évidents : Sa peau est d'un bleu pâle, lunaire, qui devient presque luminescent sous la lumière de l'astre nocturne. Ses oreilles sont plus allongées que celles d'une personne normale, se terminant en pointes, tandis que deux petites cornes noires sortent de son crâne, au dessus du front. Du reste, la donzelle a une silhouette des plus plantureuse : un double bonnet D gonfle sa poitrine d'un surplus de volupté, s'agrémentant de mamelons plus sombres et très facilement érectiles. Ses fesses miment également les seins de par leur rondeur et leur fermeté, encore davantage mis en valeur par sa cambrure naturelle des reins. A vrai dire, Sod-Oni donne l'impression de présenter son postérieur à qui en voudrait... Du reste, son ventre est plat, son dos sensuel et ses cuisses arborent un galbe trop parfait pour être naturel. Ses cheveux noirs cascadent jusqu'entre ses omoplates, mais une moitié de son crâne demeure continuellement rasé, peinant à donner un aspect rude à une apparence si douce.
Ses tenues sont très variées mais, pourtant, similaires : A peine de quoi cacher ses seins des jupes ou des pagnes qui permettent tout juste de dissimuler ce que la belle a entre les jambes. En effet, Sod-Oni possède une belle verge, longue et épaisse, dont l'aspect tranche nettement avec son aspect général. Lorsqu'on la voit nue et en érection, ce service trois pièces fait tâche, mêlant ainsi la délicatesse de sa plastique à quelque chose de brutal...
Caractère :
Sod-Oni était une fille assez gentille, avant d'être changée en déesse. L'être humain est faible face au pouvoir et celui de l'ancienne Elizabeth Rearing lui est clairement monté à la tête. Aussi, elle n'hésite pas à abuser de ses pouvoirs, afin d'assouvir les pulsions qui les accompagnent. Elle est quelque peu obsédée par le sexe et, plus particulièrement, le sexe anal. Elle aurait pu garder la tête sur les épaules, si elle avait voulu, mais son passé de jouisseuse faisant peu de cas des règles établies ne pouvait pas aider à un certain maintient moral. Aussi, bien qu'elle répugne le viol, elle peut y recourir lorsque ses envies charnelles se font trop pressantes. N'allez cependant pas croire que c'est une folle furieuse qui saute tout ce qui bouge, elle sait faire la conversation ou profiter d'un bon moment tout à fait chaste... Cependant, force est de constater que sa perversion sexuelle revient toujours pointer le bout de son nez ici et là, même lorsqu'elle ne la submerge pas.
Comme dit précédemment, Sod-Oni était une gentille fille. Elle n'avait jamais eu d'affinité particulière avec la loi et les règles et, d'ailleurs, se retrouvait souvent en marge de la société. Dans ses jeunes années, elle usait de drogues récréatives diverses, de l'alcool au cannabis, en passant par les champignons magiques, même si elle répugnait à utiliser les saloperies chimiques. Voler les plus riches ne lui posait d'ailleurs pas beaucoup de problèmes, préférant de loin l'excitation de l'interdit à la difficulté ennuyeuse d'un vrai travail. Cela ne la poussait pas pour autant à cracher sur les travailleurs assidus, elle ne se considérait pas supérieure, mais ce n'était pas son truc. Aujourd'hui, elle n'a plus les mêmes moyens de subsistance et n'est plus une survivante isolée comme autrefois. Son non respect des règles établies demeure, mais son respect indifférent des gens "normaux" ne la pousse pas vers une cruauté inutile. Et malgré tout, quelques notions lui restent de sa culture : elle répugne l'esclavage, préfère l'égalité des races et des sexes et tout le tralala... Cela dit, si quelqu'un veut se soumettre à elle, de sa propre volonté, la déesse n'ira pas lui refuser cet "honneur. De cette culture, la jeune divinité a acquis une certaine générosité, amplifiée par ses besoins différents : n'ayant plus besoin de se nourrir comme la plupart des mortels, pouvant obtenir ce qu'elle veut sans gros compte en banque, le matérialisme lui passe au dessus de la tête et, de ce fait, elle finit souvent par donner ce qu'elle possède à des nécessiteux.
Par contre, outre une sexualité quelque peu déviante, le pouvoirs acquis lui fait tourner la tête. Elle accepte d'autant moins l'autorité et cherche à accroitre son pouvoir. Pour une déesse, cela passe par les fidèles et son "domaine divin" étant très étroit - jeu de mots intentionnel - l'acquisition de ces fidèles s'avère compliquée. Aussi, Sod-Oni pourra se montrer étonnement avide si elle peut mettre la main sur un objet de pouvoir ou si l'acquisition d'adorateurs est en jeu. Elle préfère éviter la confrontation avec d'autres dieux - se sachant inférieure à la plupart - mais n'hésitera pas si elle voit là une chance de grimper les échelons.
Histoire :
Elizabeth Rearing, fille de Samantha Rearing et Jaen-François Ducasse. L'union de ce couple est un des rares exemples où l'homme prend le nom de la femme au mariage. La raison est simple, ce fut un mariage amoureux et Samantha possédait un nom issu de la noblesse anglaise, avec la richesse qui l'accompagne, tandis que Jaen-François n'était qu'un entrepreneur de moins grande richesse - quoique déjà très bourgeois - au nom aussi inconnu qu'ennuyeux... ou, du moins, d'après lui. Ils s'installèrent en France, firent prospérer leurs affaires et eurent une fille, Elizabeth. On pourrait croire que la fille aurait la meilleure éducation, avec un avenir pavé d'or et de rubis. Pourtant, l'enfant ne supportait pas sa condition. D'une part, l'éducation humaniste de ses parents en était la cause : ils étaient bons, généreux, mais ils instillaient dans l'esprit de leur enfant des valeurs qui la faisaient culpabiliser de posséder autant de chose, sans les avoir acquises, sans les avoir méritées. A cela s'ajoutait à sentiment d'enfermement dans les conventions et l'étiquette due à son rang. Arrivée à l'adolescence, la jeune fille se rebella contre ses parents, mettant continuellement leurs nerfs à bout en fréquentant de mauvais garçons, en fumant et en commençant même à boire. Au fil des années, son comportement ne s'améliorait pas et la crise d'adolescence se mua en véritable rejet systématique de tout ce qui venait de ses parents. Ces derniers n'arrivaient à rien : la menace n'avait pas prise sur elle, l'enfermement et l'interdiction non plus, Elizabeth faisant le mur ou désobéissant purement et simplement. Même l'internat ne fit que ralentir d'un an ses élans de rébellion. Au final, alors qu'elle fut majeure, son père lui posa un ultimatum : Elizabeth se comportait mieux, ou elle serait déshéritée. La réponse de la jeune fille fut simple :
Fuck you.
Elle alla même plus loin, faisant une fugue le soir même. Paradoxalement, elle se sentait libérée, maintenant que son héritage ne pesait plus sur ses épaules. Elle ne partit pas sans voler quelques babioles et liasses de billets du coffre parental, afin d'assurer un semblant de subsistance. Sa vie de vagabonde hippie débuta : elle voyagea beaucoup, fit beaucoup de connaissances. Son passe temps favoris était de profiter de sa connaissance - malgré elle - de l'étiquette de la haute société, afin de s'introduire dans les clubs huppés pour faire les poches des bourgeois et voler les caisses des établissements. Tout cela aurait pu continuer longtemps, si elle n'avait pas rencontré ce culte étrange...
Le Culte de Sodome qu'il s'appelait. Il se cachait derrière un club très fermé en Allemagne... Pour Elizabeth, il s'agissait là d'un coup comme les autres mais, une fois à l'intérieur, la vérité se révéla à elle... et elle fut révélée. Sa connaissance de l'étiquette mondaine ne suffit pas à garantir son camouflage et la jeune femme fut rapidement découverte et "punie". Elle fut la témoin privilégiée des activités du culte, qui vénéraient un énorme plug anal fait d'or et de pierreries comme on vénérait une idole religieuse. Au début, la voleuse trouva ça très amusant, jusqu'à ce qu'on se saisisse d'elle, la déshabille et l'attache sur un autel. Elle put voir l'objet de très près, un truc qui devait pouvoir se vendre cher, jusqu'à ce qu'elle ne le voit plus : on l'introduisit entre ses fesses, au cours d'un long rituel qui s'acheva en véritable orgie sodomite. La jeune femme accumula les orgasmes qui déferlaient par vagues dans son arrière train, sans que qui que ce soit la touche. Au terme de la soirée, tout le monde était épuisé et dormait, dans un amoncellement de corps en sueur et parfois même encore emboîtés les uns dans les autres. Mais Elizabeth, elle, se sentait une énergie nouvelle... le plug était magique et lui prodiguait sa puissance. Tirant parti de cette force nouvelle, la voleuse se sauva avec son trophée encore calé bien au fond de son cul. Suite à cet épisode, elle aurait pu le vendre, mais la jouissance régulière qu'il lui fournissait allait de pair avec une désir tenace de conserver l'instrument. Le culte, lui, ne laissa pas la chose passer et poursuivit la jeune femme dans tous le pays et même par delà les frontières. En désespoir de cause, Elizabeth décida de se réfugier très loin et prit un avion pour le japon.
Là, elle refit sa vie. Une vie modifiée par sa nouvelle acquisition : l'Artefact de Sodome. Peu à peu, l'objet altérait sa psyché, son désir et opéra plusieurs mutations sur son corps... Ainsi, sa peau bleuit, des cornes poussèrent et, plus important, son sexe féminin se changea en une verge massive et prête à remplir les culs qu'elle croisait. Des pouvoirs se révélèrent à Elizabeth et, avec le temps, la demoiselle parvenait de mieux en mieux à comprendre sa situation. Elle absorbait l'énergie de l'artefact, une énergie née de plusieurs milliers d'années de culte... et à mesure que la jeune femme absorbait cette énergie, l'objet rapetissait, l'or et le rubis qui le constituait disparaissait, pour se changer en argent et en saphir, puis en plomb et en quartz, pour n'être finalement plus que bois. A la fin, le plug disparut totalement, Elizabeth elle même étant devenue l'idole du Culte de Sodome. Comprenant que la sodomie était probablement sa source de pouvoir principale, la donzelle changea de nom, se faisant appeler Sod-Oni, en référence à son aspect démoniaque et se lança dans la construction de plusieurs sites pornographiques basés sur cet acte sexuel déviant. Elle reprit contact avec le culte et, après les avoir forcé à la reconnaître comme déesse, organisa avec eux la subtile instillation de leurs dogmes dans les divers sites pour adultes. Les années s'écoulèrent, le culte grandit, certains de ses adorateurs ne savaient même pas qu'ils alimentaient Sod-Oni par leur seul fétichisme...
Sod-Oni commençait tout juste son ascension...
L'Artefact de Sodom :
Le fameux plug qui tomba entre les mains (ou les fesses) d'Elizabeth n'était pas un vulgaire bijoux sexuel. Dès que l'être humain fut apte à comprendre les plaisirs sexuels à but non procréatifs, il vit le jours. En réalité, il s'agit là du tout premier plug anal jamais crée... Au début en bois, il visita de nombreux cul, provoqua de nombreux orgasmes aux hommes comme aux femmes. Avec le temps et le développement des moeurs, il trouva une place parmi les panthéons. Les quelques dieux qui englobaient les plaisirs charnels dans leur agenda divin s'en servirent sur eux même, puis comme artefact symbolique de leur pouvoir - parmi d'autres. Le fait qu'il passa entre de nombreuses mains influença son pouvoir et permit de ne l'associer à aucun dieu précis... Aphrodite elle même eut l'usage de cet objet intriguée et amusée par la puissance qu'un si petit et si dérisoire objet pouvait renfermer. Bien sûr, en se l'appropriant, elle y insuffla une partie de son pouvoir, augmentant encore davantage sa puissance.
Avec le temps, il fut refaçonné, passant d'un objet de bois à un objet de métal de plus en plus précieux. Sa puissance croissante lui donnant un magnétisme particulier qui finit par attirer des hommes et des femmes, ceux là même qui créèrent son culte. Pendant l'antiquité, la pratique libérale de la sodomie, associée à l'influence majeure d'aphrodite dessus, lui donna une très grande puissance. Plus tard, le christianisme l'empêcha de se développer convenablement, corrompant son pouvoir d'une marque démoniaque, associée à la luxure et à la perversion. On raconte même que la chute de Sodome et Gomorrhe est due, en premier lieu, à l'influence de ce petit objet. Aujourd'hui, l'artefact n'existe plus, Sod-Oni ayant intégralement absorbé son pouvoir, se divinisant au passage.
Autre :
En tant que déesse, Sod'Oni dispose évidemment de pouvoirs hors de portée du commun des mortels. Elle est plus forte et plus endurante, évidemment, mais n'est pas basée sur la force brute ou la destruction. Elle dispose d'autres capacités exceptionnelles, comme la téléportation longue distance ou la création d'objets à partir de rien (souvent des sex-toys). Sa puissance est construite autour du plaisir charnel et, plus particulièrement, du plaisir sodomite. Ainsi, elle dispose des dons suivants :
Avatars de Sodome : Les membres du cultes sculptent parfois des statues de Sod-Oni, notamment pour recevoir leurs prières dans les endroits où ils se réunissent. C'est statues peuvent prendre vie, au cours de rituels organisés par le culte et agissent tel des automates, possédant les mêmes pouvoirs que la déesse, mais à une puissance moindre. Ils agissent alors comme des automates, comprenant les ordres et les accomplissants, s'ils ont été donnés par des fidèles de la déesse ou par la déesse elle même. Lorsqu'ils prennent vie, ils restent faits de pierre, mais leur contact semble être celui d'un être fait de chair et de sang. En outre, Sod-Oni peut invoquer et renvoyer ces statues à volonté et est même capable de transférer sa conscience dans l'une d'elle afin de communiquer avec ses fidèles. Si elle se concentre, Sod-Oni peut percevoir les discussions et pensées des personnes proches des statues.
Anneau du Plaisir : L'anus de Sod-Oni est magique, divin, comme le reste de sa personne. Il est naturellement lubrifié d'un liquide proche de la cyprine, dont les vertues aphrodisiaques démultiplient l'endurance et les sensations de tout membre qui glisserait dans ce trou accueillant.
Aura de Tentation : La simple présence de Sod-Oni cause la luxure. Les gens présents dans la même pièce ou dans un rayon de cinquante mètre autour de la déesse sont affectés par son pouvoir. Au début, ils commencent à avoir chaud, une sensation d'excitation faisant doucement son chemin au creux de leurs reins. Puis, une fois que le désir est bien là, les victimes de l'aura se sentent l'envie d'enfoncer quelque chose entre leurs fesses... ce peut être n'importe quoi, pourvu que cela va et vient. Cette envie devient si puissante qu'un contact trop prolongé avec Sod-Oni les rend incapable de penser à autre chose et, s'ils n'ont rien sous la main, les victimes de ce pouvoir essaient de satisfaire leur fièvre avec leurs doigts. Cette aura étant divine de nature, seul un pouvoir divin peut permettre de lutter efficacement contre elle. En outre, Sod-Oni peut faire don de cette capacité à un(e) élu(e), sans pour autant la perdre elle même. L'aura d'un élu n'est pas aussi puissante, dans le sens où elle peut être contrée par des pouvoirs non divins.
Semence Corruptrice : le sperme de Sod-Oni, s'il est déposé dans le derrière d'une personne, crée une forme de dépendance au plaisir anal. L'intensité varie en fonction de la volonté de la victime et cela peut nécessiter plusieurs "arrosages", mais, à terme, les victimes d'une telle dépendance ne peuvent plus avoir d'orgasme autre qu'anal, ce dernier se faisant de plus en plus intense, alors que les jouissances plus classiques perdent en intensité. Ce don étant divin de nature, seul un pouvoir divin peut permettre de lutter contre lui. En outre, Sod-Oni peut faire don de ce pouvoir à un ou une élue, sans pour autant le perdre elle même. La semence corruptrice d'un élu n'est pas aussi puissante et ses effets peuvent être contrés par toute technique permettant de lutter contre les drogues (y compris médicales). les personnes en stade de dépendance avancée envers le plaisir anal du fait de ce pouvoir acquièrrent également les mêmes capacités que le pouvoir "Anneau du Plaisir" de la déesse.
Le Culte de Sodome : Un culte qui existe de par le monde, sur Terre, mais n'est pas encore implanté sur Terra. Il s'agit d'hommes et de femmes qui vénéraient autrefois l'Artefact de Sodom et, aujourd'hui, Sod-Oni. Ils partagent le fétichisme de leur divinité et cherchent à convertir un maximum de gens à la pratique par le biais de sites pornographiques et de blogs informatifs sur les plaisirs "arrières", le tout mêlé de quelques dogmes religieux subtilement glissés ici et là...
