Plusieurs jours après...«
Franchement, Maria, vous devriez faire attention... -
Comment ça, Jerry ? -
Ce premier chapitre que vous m’avez envoyé, là... Vous voulez vraiment lancer une nouvelle série ? Parce que Béatrice Harper & Nina Troy, ça marche du tonnerre, et je... -
Vous n’avez pas aimé ce premier jet ?! »
Pointe d’angoisse subite. Ses doigts se crispèrent sur son iPhone. En quelques jours, elle avait écrit un premier chapitre d’une toute nouvelle histoire, et l’avait envoyé par mail à son éditeur, la seule personne au monde à savoir que Maria Dawson, son pseudonyme, était en réalité Anna Loveclair.
«
Hein ? Vous rigolez ? C’était... Waaw, je dois vous admettre que je me suis masturbé comme un gros porc en le lisant, j’ai même dû m’y reprendre à plusieurs reprises ! Franchement, Maria, vous avez un talent fou, et cette histoire, là... Ça peut aller très loin ! -
Oh... -
C’est le genre de trucs qui font toujours un scandale dans notre bonne société puritaine... L’inceste, c’est du sérieux, mais votre histoire... Elle est vraiment excellente. »
Maria se pinça les lèvres en souriant, rougissant légèrement. Raconter les aventures de Béatrice et de Nina, ça ne la tentait plus. En revanche, elle avait envie de coucher par écrit une version romancée (ou presque pas) de ce qu’elle vivait avec son fils, couchant ainsi par écrit tous les sentiments contradictoires qu’elle ressentait, puisqu’elle était à la fois horrifiée par cette relation très incestueuse... Et en même temps très excitée. Dans son histoire, elle pouvait exprimer les sentiments contradictoires que ça lui inspirait. Et Jerry aimait ça, car, à sa manière, Maria justifiait la relation incestueuse. De quoi créer des scandales à répétition, ce que les éditeurs adoraient, car on parlait de leurs livres.
En l’occurrence, Maria avait avec son fils une relation intense et fusionnelle. Sa technique de «
Maîtresse » Maria avait fonctionné à la perfection, parvenant à calmer les ardeurs d’Andy... Sans pour autant que leur vie sexuelle ne diminue. Ils n’arrêtaient pas de baiser, copieusement, et diversifiaient maintenant leurs expériences avec du sadomasochisme. Le fait est que son fils s’avérait, malgré ses beaux muscles, être un bon masochiste... Et, elle, Maria, prenait de plus en plus goût au fait d’être une «
Maîtresse »...
Ashley allait donc être leur proie. Pendant que Maria était sous sa forme dominatrice, et qu’elle masturbait son fils, il lui avait parlé de cette fille. Une bourgeoise, belle, mais cassante, et qui, cependant, était assez attirée par Andy. Elle s’était déjà moquée de lui, cherchant à faire l’intéressante, et Ashley y avait vu l’occasion d’agir sérieusement contre elle. Elle avait longuement pesé le pour et le contre, avant de finir par ordonner ce plan.
La soirée allait être très spéciale, et, après sa conversation avec Jerry, Maria vérifia une ultime fois toutes les étapes de leur plan, puis entreprit de se changer. Elle alla ensuite voir son fils...
Dans une magnifique robe noire en cuir, qui lui allait à la perfection, et l’observa dans son costume. Elle l’aida à finir son nœud de cravate, avant de l’embrasser.
«
Ne t’inquiète pas, mon chéri, tout va très bien se passer ce soir... »
Ce dernier baiser, juste avant qu’Ashley ne sonne à la porte, lui permit néanmoins de constater que son fils avait
déjà une érection. Elle alla ouvrir à Ashley la porte de l’immeuble en appuyant sur le bouton de l’interphone, puis s’agenouilla, et ouvrit son pantalon, faisant sortir son gros membre.
«
Là, voilà... »
Elle le suça donc, pompant son dard, sa grosse queue qui lui faisait tant envie. Il se débattit un peu, pendant que, dehors, Ashley avait rejoint leur palier, et sonnait à la porte... Mais rien n’arrêterait Maria tant que son fils ne jouisse pas, ce que ce dernier finit heureusement par faire. Maria se releva alors, en souriant.
«
Voilà pour calmer ta grosse soif, ma chérie... Ne t’inquiète pas, tu auras l’occasion de me baiser dans ma robe. »
C’était la première fois qu’elle l’enfilait, après tout, et elle était flattée de voir que, non seulement elle lui allait bien, mais elle excitait aussi sensiblement son fils ! Elle ouvrit ensuite la porte, et fit un ravissant sourire à Ashley.
«
Bonsoir, Ashley ! Je t’en prie, entre ! »
Elle lui fit un grand sourire, pendant qu’Ashley louchait très furtivement sur son décolleté, avant de sourire en retour, sans se douter du geste qui avait eu lieu il y a à peine quelques secondess.
«
Merci pour cette soirée, Madame Dawson... Et salut, Andy ! Tu t’es mis sur ton trente-et-un, ce costume te va très bien ! »
Ashley avait, pour sa part, enfilé
une élégante robe noire, et très moulante aussi...
De quoi offrir à Andy une longue soirée en perspective !