Comme à son habitude, Andy était... Brutal, intense, passionné. La présence d’Ashley devait peut-être l’exciter inconsciemment, mais, même sans ça, elle savait que son fils, quand il s’agissait de la sodomiser, laissait toujours parler une sorte de virilité machiste profonde, qui l’incitait à insulter sa mère, à la prendre de haut, et à l’insulter. Ce n’était pas quelque chose qui déplaisait à Maria, dès lors qu’elle avait pu insuffler à Andy les nécessaires limites de leur relation. Et puis, dans cette robe, elle était effectivement très belle. En les voyant faire, Ashley avait les yeux écarquillés, l’esprit insondable.
« Haaaaa... Hnnnn... An-Andy, haaaaa... !! »
Elle gémit encore, avant de se pincer les lèvres en sentant sa virilité s’enfoncer dans le creux de ses fesses, tapant contre ses parois internes, avant de s’y enfoncer progressivement. Maria gémit encore, et entendit son fils l’insulter, tout en tirant encore sur sa robe, délivrant ses seins, la traitant de « pute ». Elle gémit donc, essayant de lui répondre, mais se contenta d’hurler, entrecoupant sa réponse de couinements et de gémissements :
« Haaaaa... O-Ouiiii, An-Haaaaaa... Andy !! Je... Hmmmm... OUIII !! J-Je... Je suis ta... Haaaaaa... Ta puuuteeuuuh ! »
Maria soupira encore, de la sueur coulant le long de son visage, et hurla encore, une délicieuse onde de douleur la transperçant. Elle aurait pu croire que son corps s’adapterait, à force de sentir l’homme la labourer comme ça, mais... Sa queue était tout simplement trop grosse, et lui trop hâtif. De fait, Maria aurait pu craindre que, à force, Andy ne se lasse de son corps, mais c’était toujours avec plaisir qu’elle le voyait revenir vers elle, afin qu’il recommence à la bourrer, toujours avec la même incroyable énergie, et la même envie.
La jeune mère de famille se dandinait donc sur place, en sentant l’homme continuer à la bourrer, encore et encore, sans relâche, faisant défiler les minutes à toute allure. Peu à peu, la pièce s’emplit des hurlements et des profonds soupirs de Maria, qui se laissait faire, se dandinant sur place, gémissant encore. La grosse queue de son amant continuait à la labourer, son fils continuait à la baiser avec fureur et énergie, jusqu’à finir par atteindre le point névralgique.
Maria le sentit alors se vider en elle, dans un profond râle, un grognement caverneux tandis que sa queue tressautait dans son cul, expulsant d’épaisses quantités de foutre dans son corps. La jeune femme gémit encore, en se sentant remplie, et laissa ensuite son fils se rapprocher d’Ashley. Comme toujours, Maria devait reprendre un peu son souffle.
*Il est toujours aussi passionnel...*
La jeune femme se releva finalement, et remit sa robe en place, pour rejoindre Ashley.
« Bon... Effectivement, Ashley, Andy a raison, on ne veut pas te séquestrer, ni te découper en rondelles, te droguer, ou quoi que ce soit. On t’a choisi parce que... Hm... Eh bien, Andy a toujours eu un crush sur toi, et... J’ai cru comprendre que toi aussi. Mais... Comme tu le vois, mon fils et moi avons une relation très particulière, alors, si tu veux sortir avec lui, il fallait que tu comprennes deux choses... »
Elle respira lentement, reprenant son souffle, et poursuivit :
« Premièrement, Andy est très pervers. Tu l’as vu, et c’est comme ça. Deuxièmement, si tu veux sortir avec lui, je serais aussi de la partie. Autant te dire que nous avons longuement hésité avant de te faire cette proposition, mais... Je me suis dit qu’on pouvait te faire confiance. »
Maria hésita encore. C’était l’épreuve du feu. Si Ashley refusait, alors les choses deviendraient compliquées... Mais elle ne pouvait pas aller autrement. Elle fit signe à Andy, et, ensemble, ils détachèrent les poignets et les chevilles de la femme, puis Maria lui ôta son gag-ball. Ashley huma l’air frais, avant de les regarder tous les deux, sans rien dire pendant plusieurs longues secondes.
« C’est... C’est dingue, votre truc ! » s’exclama-t-elle alors.
Maria sourit en retour.
« Mais est-ce que ça te choque ?
- Ben... C’est flippant, quoi... Ça dure depuis combien de temps, votre histoire ? »