Nimelya ressentait cette concentration chez son partenaire, mais était bien trop proche de l’orgasme pour s’en faire, pour penser à la suite, elle n’avait plus que sa propre jouissance en ligne de mire, elle qui devenait si proche, à nouveau, vraiment si proche… encore plus proche. Elle l’allait l’atteindre enfin, avec toutes ces caresses reçues, toutes plus agréables les unes que les autres, elle n’allait plus tarder à enfin atteindre cette félicité, encore, dans sa cascade de jouissance. Elle ne savait plus combien de fois elle avait déjà atteint se paroxysme du plaisir, cette apogée de la détente, et un nouveau cri retentit, son corps se tendant, elle se cambrait sur ce pupitre, tous ses muscles étaient tendus, mêmes ceux de son vagin, et il y avait fort à parier que ne pas jouir serait une épreuve pour Kamui, mais elle s’en foutait totalement, perdue dans son propre plaisir…
Haletante, elle redescendit de son nuage, lentement, respirant fortement, mais elle était comblée, il ne lui restait plus qu’à faire baisser la pression de l’insolent, qui avait dû se dépasser pour la combler, elle, et une seule jouissance ne lui suffirait peut-être pas. Elle l’embrassa, avec douceur, avant de se redresser, puis, de se relever, repoussant l’élève avec une certaine difficulté, sans ses propres muscles étaient presque douloureux de ses crispations répétées, et elle le poussa avec cette peine, jusqu’à le faire s’assoir sur le pupitre voisin, le regardant avec une once de lubricité encore, puis elle brisa le silence, de sa voix sensuelle mais saccadée par sa respiration rapide.
- Tu m’as comblée jusqu’à maintenant… tu as rattrapé tes erreurs en tenant la distance… je vais te récompenser et enfin te laisser jouir…
Dès que se fut dit, la brune s’agenouilla, et approcha ses lèvres de ce pénis tressautant, tendu à l’extrême, si dur… non sans regarder Kamui dans les yeux. Petit baiser déposé sur le gland, léchouille à ce même endroit, puis se doutant qu’il ne tiendrait pas bien longtemps, ses lèvres s’écartèrent, alors qu’elle sentait sa propre mouille s’écouler le long de ses cuisses, et elles avalèrent lentement le gland de l’insolent. Une main alla se déposer au niveau de ses bourses, et se mit à les caresser lentement, alors que la seconde main revenait sur la hampe du gamin. Et comme l’on aurait pu s’y attendre, cette verge reçut soudainement de nombreuses sensations, de part la main sur la hampe, restant sur la cette partie, faisait aller et venir la peau protectrice, lentement, alors que la langue tournoyait autour du gland, puis la hampe fut délaissée, et le phallus se fit avaler entièrement, et les va-et-vient débutèrent, lents, alors que les testicules étaient toujours en proie à de lentes caresses. La seconde main, pour me pas rester inactive, alla jouer sur le pubis du lycéen…