Délicieux baisers que ceux qu’elle recevait sur sa cuisse, il y était presque, il aurait pu en quelques baisers atteindre son intimité qui s’humidifiait lentement, mais sûrement, toujours un petit peu plus. Partage d’un regard, très bref, et il revint à sa première occupation, nouveau frissons, envie toujours plus présente…
Il la complimenta, et la nymphe prit les mots qui lui furent destinés dans leurs deux sens, et en sourit un peu plus, durant un court instant. En effet, un court instant car à nouveau leurs lèvres se rejoignirent, et elle aussi remonta une main contre sa nuque, partageant avec une douce fougue ce baiser. Frissons, encore… et toujours… alors que Meisa laissait glisser une main le long de la peau veloutée de Nimelya, sur sa cuisse…
Léger cri, alors qu’on lui mordît le lobe de l’oreille, ils étaient ensuite enlacés, alors qu’allongés, l’une sous l’un, et la belle brune était tout aussi chaude que son puceau du moment, qui ne le serai probablement plus pour très longtemps, par ailleurs. La fesse, ses seins étaient à nouveau devenus une attraction sur laquelle on se déposait avec envie, mais comme si l’on pouvait savoir la chance que l’on avait d’y être, on en profitait, sans en abuser, puis une fois son sommet atteint, un gémissement, encore un, et l’on savait que la descente, tout comme le final, allaient bientôt arriver…
Question on ne peut plus simple, mais la maîtresse ne l’était plus vraiment, plus encline à recevoir du plaisir qu’à autre chose en ce moment même, et sa seule réponse fut…
- Goute-moi, tu en as tellement envie… goute à ce fruit que tu désires tant, mais garde ton attitude, elle est très plaisante…
De son côté, la nympho-nymphe continuaient de caresser les flancs, les fesses, les cheveux, de son amant, dans des gestes gracieux, légers, lents, parfois du bout des ongles, parfois bien plus fermement de sa main, et elle allait bientôt ne plus rien pouvoir lui offrir… mais c’est ce qu’il voulait, alors pour s’emplir de remords inutiles ?...