Il avait presque perdu tout contrôle, par un simple geste bénin, elle avait même pensé qu’il essayerai de la toucher, mais cette fois-ci, ainsi « emballé » par ses désirs pervers, il avait tout « déballé ». N’était-elle pas son enseignante ce soir-là ? N’était-elle pas une nymphomane ? Les deux pouvaient bien évidement donner une suite favorable à la « requête » de l’étudiant.
- Je pourrais éventuellement, moui, mais je ne suis qu’une enseignante tu sais, et je n’ai pas été engagée pour cela. Après tout, je ne suis qu’en surveillance en plus, pas en plein cours…
Elle fuyait à nouveau, simplement par ses mots, des mots bien véridiques si on y pensait… mais c’était amusant de temps en temps d’apprendre à la relève, et puis un dépucelage, ça avait ses inconvénients… et ses avantages. Puis soudainement ses yeux scintillaient, elle avait trouvé sa réponse.
- Si c’est moi que tu désires, mon petit puceau, c’est moi qui tu combleras… si tu en es capable, après tout, tu devrais jouir bien rapidement et risque de me laisser sur ma faim, et de ce fait de ne pas me combler… sauf si tu rebandes bien vite, voir ne débande pas…
Ca faisait longtemps qu’elle n’avait pas été recouverte de sperme chaud et épais, ce soir allait-elle peut-être combler ce désir ? Après, sa nymphomanie pourrait donner un mauvais exemple à ce jeune homme, mais peut importe pour le moment, ça n’arrivera peut-être pas s’il est à la hauteur…
Nimelya se baissa, et, l’air de rien, approcha une main sûre de la verge du puceau. Elle décalotta le membre et entrepris un lent va-et-vient, uniquement sur la hampe du phallus, avant de relever son regard et de le plonger dans les yeux de son élève…