Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Tsukuda Kanjo

Créature

Mardi, 06:23

Ouch… Quel mal de crâne…

Je secoue doucement la tête, mais celle-ci proteste vigoureusement en me donnant des vertiges absolument immondes. Je m'immobilise dans mon lit en respirant par la bouche, attendant que ça se calme. Mon radioréveil sonne une nouvelle fois à la demie, me faisant grogner à cause de la sonnerie trop forte qui vrille mes tympans comme une perceuse. Je tâtonne à le recher du bouton arrête et finit par me glisser hors de mon lit pour me traîner difficilement à ma minuscule salle de bain. Je me retiens à l'évier pour me regarder dans le miroire de ma pharmacie.

La vache… Tsukuda, tu as ta tête des grands jours…

Je remets mes cheveux bruns décoiffés par ma nuit de sommeil derrière mon visage, regardant mes yeux verts qui sont à l'heure actuelle un peu rouge et les poches noires de mes cernes sous mes yeux qui elles, sont toutes nouvelles. Mois qui d'habitude ai un joli visage en forme de cœur, j'ai l'impression d'être un vieux vêtement froissé. J'ai les traces des replis de mon oreiller sur la joue droite et un peu de peine à faire le point avec mes grands yeux verts. Mais ce qui me dérange le plus, c'est que je ne me souviens pas du tout de ce que j'ai fait pour me retrouver dans cet état.

J'attrape mes affaires pour chercher ma carte d'étudiante, histoire de m'assurer que tout est en place pour la mémoire à long terme.

Bon, nom et prénom… Kanjo Tsukuda. Âge : seize ans. Ok, ça, ça me dit quelque chose. J'ai grandi dans la campagne d'Hiroshima avant de venir à Tokyo avec mes parents il y a deux ans…

Je me souviens aussi que mon père et ma mère ne sont pas très familiaux, qu'ils ont tous les deux leur carrière à la bouche avant autre chose et que je suis un accident qui n'a abouti que parce que ma mère a fait un déni de grossesse jusqu'à son huitième mois. Mon père est haut-fonctionnaire dans le domaine de la santé publique, ma mère une docteur en neurochirurgie qui donne aussi des cours à l'université de Tokyo dans sa spécialité.

Bon, jusque-là, ça a l'air de coller… Plus immédiat… Je suis dans mon propre appart à… Comment s'appelle ce bled déjà ? Ha oui, Seikusu…

J'y suis arrivée un an après notre arrivée à Tokyo. Pourquoi j'ai demandé à aller étudier ici moi ? Parce que j'en avais marre d'habiter un appart dans un quartier huppé de la capitale où je ne connaissais personne et habité uniquement par des vieux retraités de hauts postes qui n'ont que leur ancienne carrière à la bouche pour baver sur leurs vieux jours, quand ils ne vont pas faire des tours en bateau ou se promener à toutes les réunions mondaines du gouvernement. Mince quoi, j'étais la seule fille de moins de vingt-neuf ans de l'immeuble ! Pour trouver une autre fille de mon âge, je devais faire deux pâtés de maison et comme c'était la fille d'un concierge, elle allait à l'école publique alors que moi j'étais en école privée. Bref, je n'avais aucun atome crochu avec elle. Quant aux filles de mon établissement, comme je n'avais pas toujours vécu à Tokyo, elles se sont foutue de mon accent avant de même me demander mon prénom, ce qui a jeté un froid. Et aussi, elles avaient une mentalité trop différente de la mienne. Toutes ces gourdes parlaient uniquement de décrocher l'un ou l'autre diplôme pour trouver un mari prestigieux ! Même pas pour s'en servir, non ! Juste pour se trouver un mec et se faire entretenir pour le reste de leur vie. Ça sert à quoi de faire des études à ce niveau-là ?

Je crois que je me suis prise le bec avec deux ou trois de ces filles et qu'ensuite j'ai commencé à avoir droit à un harcèlement en règle. Je ne suis pas une fille qui se mette beaucoup en avant en règle générale, mais j'ai hérité de mes parents d'avoir des ambitions dans la vie, comme celle de faire carrière, même si c'est probablement la raison qui a fait que je me suis sentie souvent seule et délaissée à la maison. J'ai toujours été discrète sur mes rêves et mes envies en règle générale. Il faut dire que ça n'a jamais été le sujet de conversation principale autour de la table au souper. Beaucoup de gens m'on souvent crue mélancoliques, mais c'est juste que je ne parlais pas souvent. J'ai un peu changé en mieux depuis que j'ai changé de lycée. Je suis plus ouverte et souriante et je ris plus souvent. Du moins, si me souvenirs sont bons… Ce dont je doute un peu vu comme mon cerveau cogne contre mon crâne.

Concentre-toi Tsukuda… Qu'est-ce qu'il s'est passé ensuite ?

Ensuite… Ha oui, j'ai fini par demander à mes parents de changer d'établissement. Ils ont un peu haussé les sourcils, mais l'avantage d'avoir des parents qui ne s'intéressent pas trop à moi c'est qu'ils n'ont pas été trop durs à convaincre. Si je venais avec un projet correctement ficelé et un budget, j'étais presque sûre qu'ils ne poseraient pas de problèmes. J'ai pris quelques renseignements et je suis tombée sur de très nombreuses pubs pour le lycée d'une ville voisine, pas trop loin de Tokyo, un endroit appelé Seikusu. Le lycée s'appelait Mishima et mes premiers contacts téléphoniques avec le secrétariat ont été plutôt prometteurs. Ils avaient une formule pour se loger en dortoir, mais j'avais envie d'avoir un peu d'autonomie alors j'ai fait des recherches, pris quelques jours de congé pour mon ancienne école privée et visité des petits studios dans la région. Pour finir, j'ai eu les yeux un peu plus gros que ce que je pensais et ai arrêté mon choix sur un petit appartement deux-pièces et demi à quarante minutes à pieds du lycée et tout juste dix minutes avec ma moto.

Ma moto… Ha oui, voilà mon permis. J'ai le droit de conduire ma cent-vingt-cinq centimètres cubes depuis que je suis arrivée ici.

Mon petit appartement était un peu loin de mon lieu de cours. J'avais pensé au vélo dans un premier temps, mais il y avait un argument contre : Une côte en bas de chez moi dans le prolongement de la colline où se trouve un manoir Victoriens qui est super casse-gueule à la descente et surtout ultra dure à remonter ensuite. J'ai donc fait le nécessaire dans le milieu d'année que j'ai passé ici à m'installer et à attendre la prochaine rentrée parce que je voulais prendre un peu de temps pour moi aussi faire un peu le point sur ma vie après mes quelques mois de harcèlement. J'ai donc intégré le lycée avec un an de retard par rapport aux autres, ce qui fait de moi une des plus vieilles filles de ma classe. Et je suis l'une des rare qui soit motorisée, ça m'a fait craindre un moment de me faire cataloguer comme une de ces rebelles à moto violente et anarchiste, mais au final, j'ai été plutôt bien acceptée. On ne m'a pas jugée sur des préjugés, contrairement à ce que je craignais. Je me suis fais des amies assez facilement et j'ai bien été intégrée à ma classe, faisant un peu baver les garçons parce que je faisais de la moto et rêver un peu les filles parce que j'étais assez indépendante pour mon âge, même si je vis toujours sur les sous de papa et maman.

Bon, ça a l'air en place… Bon sang, mais pourquoi c'est si dur de réfléchir ce matin ? J'ai fait quoi hier pour me retrouver dans cet état ?

Je me souviens être allée ne cours normalement. Kiriyama m'a fait remarquer que mon pantalon de moto avait encore froissé ma jupe d'uniforme… Katagawa m'a fait un pelotage-surprise de ma poitrine par-derrière pour me foutre la honte et réclamer à voix haute mon tour de poitrine devant tous les mecs de la classe et surtout devant la déléguée qui est lesbienne comme pas deux. En plus, elle a révélé la taille de mon bonnet si j'ai bonne mémoire… Maintenant tout le monde sait que je fais du quatre-vingt-dix D et j'ai dû me fâcher pour que les garçons arrêtent de baver en reluquant mon uniforme. Déjà qu'ils mataient mes jambes sans vergogne dans ce lycée de dépravés.

Ha oui, je me suis faite un peu avoir par les pubs à ce niveau-là…

Le lycée semblait très bien sous tous rapports. Propre, bien entretenus, avec des équipements modernes. Bref, un bâtiment très bien financé de ce que j'ai pu en juger. Mais c'est à la rentrée que je me suis rendue compte de ce qui clochait. Cet établissement est un baisodrome ! Dans la première semaine que j'ai passée ici, j'ai surpris trois couples en train de se faire plaisir dans des salles de classe après les cours. Et il y a des rumeurs comme quoi l'infirmière se fait ses patientes et que certaines profs font aussi dans l'éducation sexuelle particulière des élèves. C'est un lycée de fous ma parole !

Mais à toute chose malheur est bon. Ici j'ai rencontré mes meilleurs amies depuis que j'ai quitté ma campagne d'Hiroshima natale et comme ce sont des filles très libre sexuellement, j'ai appris vraiment un tas de choses qu'on osait à peine évoquer à mots couverts dans mes anciens établissements. Et c'est le seul endroit où je n'ai jamais vu une fille se retourner à la pause pour demander à un autre mec à voix haute ce qui le dérangeait quand une fille lui faisait une gâterie et le mec répondre honnêtement ! Donc même si ça me gêne un peu, une fois que j'ai eu appris à faire l'impasse sur les tendances bizarres des élèves et des profs, au final, ce lycée est plus chaleureux que tous les établissements que j'ai fréquentés et mine de rien, les profs sont compétents même si ce sont des pervers. Personne ne m'a violé ni harcelée même si beaucoup de fois on m'a dit sous les douches que je devrais me trouver un copain ou une copine pour prendre soins de mon corps. Même si j'y pense parfois, je ne suis malgré tout pas pressée. Il se passe suffisamment de trucs dans ma vie pour que je sois heureuse dans l'ensemble. Je ne cherche pas particulièrement à courir après les garçons parce que je suis aussi troublée par certaines filles de la classe parfois et, aussi honteux cela puisse-t-il paraître, certain profs aussi sont assez sexy. Et certaines enseignantes sont carrément canon même ! Mais bon, ça reste souvent des fantasmes de sous la couette et des délires de sous la douche.

En parlant de douche, il est quelle heure…

Je consulte mon téléphone qui indique six heures trente-sept au compteur. J'ai passé presque dix minutes à me remémorer qui je suis. Il y a un truc qui cloche…

J'ai fait quoi ensuite…

Rien de particulier, les cours se sont finis par une fille qui a été gardée par la prof de Math pour "parler en privé" et je suis sortie avec mes copines pour aller boire un verre dans un tea-room et m'acheter une part de parfait aux fraises. Ensuite on est allée dans un Karaoké… Et ensuite…

Et ensuite… Heu… Puis après quoi ? J'ai quand même pas bu de l'alcool ou quoi ?

Je me souviens avoir commandé un cola parce qu'il était tard et que je voulais avoir un peu de caféine dans le sang pour reprendre ma moto et rentrer chez moi… Mais ensuite rien… Le vide total…

Je soupire et regarde un peu autour de moi. Je suis bien chez moi, il n'y a personne d'autre dans le lit, mes fringues de motos sont éparpillées entre ma porte d'entrée et mon lit, mon casque et mes clés sont bien à l'entrée et mon sac est abandonné au milieu de la pièce de séjour. Mais je suis bien chez moi.

Je crois qu'on peut exclure que j'aie été droguée et violée… Sinon je me serais sûrement réveillée dans une chambre d'hôtel et à poil… Ou aux urgences de l'hôpital… Là je porte encore ma chemise d'hier et mes sous-vêtements. Et aucune trace de sang dans le lit, donc mon hymen doit toujours être là…

Je soupire longuement. Bien que je n'y attache pas beaucoup d'importance vu tout ce que j'ai vu depuis que je suis arrivée dans ce lycée, je préférerais quand même donner ma virginité à quelqu'un que j'aimerais plutôt que de me la faire arracher de force par un inconnu. Ce qui ne m'empêche pas de me faire plaisir de temps à autre, avec des copines comme les miennes, il aurait été impossible que je ne me dote pas de quelques petits outils pour aider mes plaisirs solitaires. Surtout qu'elles m'en ont offert quelques-uns pour mon anniversaire. Je ne me considérais pas coincée au niveau du sexe avant d'arriver à Mishima, mais maintenant, je songe que je l'étais en fait pas mal et que parler de sexualité avec mes amies m'a beaucoup aidée à ce niveau.

Je finis par me glisser dans la douche. Le meilleur moyen de découvrir ce que j'ai bien pu faire hier pour me trouver dans cet état, c'est encore d'aller le demander à mes amies. Me passer de l'eau chaude sur le corps m'aide énormément à finir de me réveiller et chasser un peu le début de nausée que j'ai eue en me levant.  Je commence doucement à me convaincre que j'ai dû piquer quelques gorgées dans le verre de l'une ou l'autre de mes amies et qu'elle avait commandé un cocktail ou un truc alcoolisé et que je me suis faite attraper. Je ne vois pas d'autres explications.

J'examine un peu mon corps sous la douche, à la recherche d'un éventuel signe que j'ai pu déconner hier soir, mais je ne trouve rien. Mes jambes sont toujours aussi longues et aussi fuselées, mes fesses sont toujours aussi bien galbées et ne présentent pas de marques. De même sur mon ventre plat ou mes beaux seins ronds. Je tire le rideau pour regarder mon dos, mais là encore, rien de particulier. Même mon cou est nickel.

Bon j'ai rien, juste une gueule de bois…

En sortant de la douche, je suis accostée par Luffy, mon chat. Enfin, c'est plus un chaton parce qu'il a moins d'un an. Mais cette petite boule de poil est tellement fofolle que je l'ai appelé ainsi en référence au capitaine pirate du même nom de la série One Piece. Ce petit intriguant à fourrure tricolore noir, orange et blanc vient se frotter contre mes jambes en miaulant. De là, ce n'est pas difficile à deviner qu'il a fini sa gamelle et qu'il a faim.

Je passe quelques minutes à lui gratter derrière les oreilles avant de lui donner ses croquettes. J'ai longuement hésité avant de prendre un animal chez moi. Et puis la chatte de Kiriyama a eu plein de chatons et je me suis laissée séduire par la petite bouille de celui-là.

Mon mal de crâne semble vouloir se clamer un peu, alors je m'enfile un verre de jus de fruit et un toast beurré en guise de petit-déjeuner et enfile mon uniforme sous ma tenue de moto pour aller à l'école. J'embarque quand même un flacon d'aspirine pour le cas où mes douleurs à la tête reprendraient, mais j'espère ne pas en avoir besoin.

Le voyage se passe bien pour finir et les cours de la matinée sont juste un peu plus pénibles. Mais les filles sont catégoriques, je suis bien rentrée seule chez moi, mais je leur avais déjà dit que j'avais un peu mal à la tête. Je fais surtout rire pour ma gueule de bois inexplicable parce que personne n'avait commandé quoi que ce soit avec de l'alcool.

Mercredi, 06:23

Mon mal de crâne semble vouloir s'éterniser. Et j'ai eu soif toute la nuit. Mais j'ai eu beau me relever pour boire des verres d'eau, la seule chose que ça a fait c'est me donner en plus envie d'aller aux toilettes. Dire que je n'ai pas bien dormi n'est que le prénom. Cette fois, je n'y tiens plus et m'enfile une aspirine avant de passer sous la douche. L'eau chaude m'aide à aller un peu mieux, mais je sens que je vais tomber dans mon lit tôt ce soir. Je donne ses croquettes à mon chat avant de repartir à l'école, mais une mauvaise surprise m'attend au garage de l'immeuble. Quand je démarre ma moto, elle fait un tel boucan que j'ai l'impression d'avoir essayé de le faire partir dans une église. Toute ma tête résonne comme une cloche me donnant un vertige à me retourner l'estomac et je suis forcée de couper le moteur pour que ça se calme.

Ouaïïïeuh ! Bon ben pas de moto aujourd'hui, je vais prendre le bus…

Je remonte me débarrasser de ma tenue de moto et titube un peu pour aller chercher le bus à l'arrêt. Comme de raison, je manque le bon et me retrouve dans celui qui ne me permet pas d'arriver à l'heure. Le seul avantage c'est qu'il est presque vide. Mais pour une raison qui m'échappe, outre le bruit du moteur, j'ai l'impression qu'il y a comme une sorte de bourdonnement sourd à l'intérieur du bus et il semble varier s'il y a plus ou moins de monde à l'intérieur. Ça n'est heureusement pas trop dérangeant. Mais même une fois sortie du bus à l'arrêt du lycée, ce son à la con semble ne pas vouloir cesser.

Je me dépêche aussi vite que je peux d'arriver au lycée, change mes chaussures au vestiaire et me précipite en classe. La prof est heureusement conciliante quand je lui explique que ça fait deux jours que j'ai mal à la tête et comme le cours n'a pas commencé depuis dix minutes, elle ne me note pas mon arrivée tardive vu que c'est ma première fois depuis le début de l'année.

Mais dans la classe, cet espèce de bourdonnement me harcèle encore plus fort que dans le bus où il n'y avait presque personne. À croire qu'il augmente en fonction de la densité des personnes autour de moi.

Comme il n'est pas trop fort, en me concentrant sur les cours et sur mes maux de tête, je parviens à l'oublier la majeure partie de la journée. Mais là encore, j'ai soif à toutes les pauses et les litres d'eau que je bois ne changent rien à la donne. Je passe juste toutes mes pauses aux toilettes. Mais au moins, le bourdonnement y est beaucoup moins présent, voir presque inaudible.

Katagawa finit par me demander si j'ai des nausées matinales et lance même l'hypothèse que je sois enceinte.

Moi, vierge et enceinte ? Et puis quoi encore, je m'appelle pas Marie, moi !

À la fin de la journée, comme je le soupçonnais, je suis lessivée. Normalement je devrais faire mes devoirs et aller à mon club de badminton, mais je plaque tout pour rentrer chez moi, nourrir et câliner mon chat et sombrer dans mon lit. Heureusement, le bourdonnement a disparu sitôt que je suis rentrée chez moi. Home sweet home, comme disent les anglais.

Jeudi, 06:23

J'ai mal au crâneeeeuuuh !

Constat répétitif que je suis bien forcée de faire. Ça plus l'impression d'être complètement déshydratée. J'ai à peine mangé hier soir et ce matin, mes nausées me donnent l'impression que si je tente d'avaler un truc, je vais le recracher illico. Et j'ai super mal dormi de nouveau. Cette fois, je sors mon thermomètre de ma pharmacie et essaie de voir si j'ai truc qui ne vas pas, mais l'impitoyable mercure semble juste indiquer que j'ai froid parce que je suis bien trois degrés sous ma moyenne normale. Je frisonne d'ailleurs pas mal. Depuis quand il y a autant de courants d'air dans mon appart ? Luffy a cassé une vitre en jouant ?

Je passe l'entièreté de mes fenêtres au contrôle, mais tout ce que je trouve c'est une légère disjointure qui laisse bien filer un léger courant d'air que je n'avais jamais remarqué jusqu'ici. Et même les miaulements de mon chaton me font mal au crâne. Heureusement que les croquettes sont un remède miracle contre ça.

Je ne peux pas aller à l'école dans mon état. Alors je téléphone au secrétariat pour m'excuser. Mais même mon téléphone grésille comme c'est pas permis, et appeler devient une torture. Je décline aussi vite que je peux mon identité et mon numéro d'étudiante avant de m'excuser et de promettre d'aller chercher un papier médical pour mon absence de ce matin.

Je me douche en ayant l'impression de me brûler avec mon réglage d'eau habituel. Je suis obligée de descendre la concentration en eau chaude de moitié pour supporter la chaleur de ma douche.

Je suis devenue hyper-sensible ou quoi ? Et cette impression de soif, putain ça me rends folle !

À tel point que je fini par me coller le pommeau de douche sur la bouche et me forcer à boire jusqu'à ce que j'arrive plus à retenir ma respiration. Je me sens pas mieux du tout après, mais me convainc d'une chose : prochain arrêt, le médecin.

Je m'habille péniblement et sors avec mon sac et mes papiers d'assurance-maladie. Le bourdonnement reprend de plus belle dès que je suis dans le bus et ne me quitte plus jusqu'à l'hôpital où il empire. Je suis prise en charge par les urgences une bonne heure après m'être présentée, une heure à souffrir en silence sur un banc avec l'impression d'avoir la tête qui se porterait mieux si elle voulait bien éclater une bonne fois pour toute.

Le médecin qui m'examine est du type jovial et confiant, ce qui me met presque en rogne parce que j'ai l'impression qu'il ne m'écoute pas. Il prend ma température, fait quelques commentaires sur ma mauvaise mine, écoute mon cœur, mes poumons, palpe mes ganglions et me renvoie chez moi avec une ordonnance pour du sommeil, de l'eau, et un médicament pour clamer les vertiges et les maux de tête.

Merci connard… Ne puis-je m'empêcher de penser en regardant son papier à la con. La seule chose qui me retient de le jeter c'est que j'en ai besoin pour justifier mon absence en cours.

Je passe par une pharmacie, et la pharmacienne bien plus compatissante que le médecin arrive à m'arracher un sourire avec une petite plaisanterie sur son embonpoint. Arrivée chez moi, mon seul soulagement c'est que le bourdonnement s'arrête. Je prends mes pilules, pose trois bouteilles d'un litre et demi d'eau à côté de mon lit et m'y allonge pour essayer de dormir, ou au minimum d'y comater un peu. Je bois comme une assoiffée et réussi vaguement à faire quelques cycles de sommeil épars qui me permettent de me requinquer un tout petit peu. Mais pour les effets sur ma tête, nada ! J'ai toujours aussi mal au crâne dès que je rouvre les yeux. Heureusement qu'il y a mon petit chaton pour me réconforter, sinon j'aurais bien envie de pleurer.

En début de soirée, on toque à ma porte. Maugréant contre les colporteurs et les témoins de je-ne-sais-pas-quoi qui mériteraient juste d'être lapidés en place publique, je vais ouvrir pour découvrir que ce sont mes deux meilleures copines qui sont venues me voir. Et avec elles, le bourdonnement qui a même pris des allures de tambourinement à ce niveau-là, gagnant en volume et en rythme.

Je leur souris malgré tout. Les voir me fait quand même plaisir, même si je ne comprends pas ce que je peux bien entendre quand il y a des personnes autour de moi qui soit aussi désagréable. Kanagawa m'a même ramené un test de grossesse, parce qu'elle est persuadée que mes symptômes ressemblent à ceux de sa mère quand elle est tombée enceinte.

Pour lui faire plaisir, je m'isole un moment aux toilettes pour lui coller ensuite le résultat négatif sous le nez. Non je ne suis pas enceinte ! Et quelque part ça me soulage quand même de le savoir. Ce qui ne suffit pas à faire abandonner Kanagawa. Elle me rappelle que ces trucs ne sont pas fiables à 100% et que comme ma mère a elle-même fait un déni de grossesse dans mon cas, ce ne serait pas surprenant que j'en fasse un aussi puisqu'il y a des antécédents dans ma famille.

Je suis obligée de lui lancer mon coussin à la figure pour finalement lui faire changer de sujet. Elle a l'air toute surprise d'ailleurs et me dit que je lance drôlement fort pour quelqu'un qui a l'air aussi crevée. Je réplique en disant que c'est parce qu'elle m'énerve à sous-entendre que j'aie un copain dont je ne voudrais pas leur parler. Ce qui les fait bientôt supposer à voix haute que je couche avec un prof.

Non mais, ho ! Faut arrêter de rêver debout ! Allez fantasmer sur moi et le prof d'histoire ailleurs, bande de perverses !

Je suis vengée par mon cher Luffy qui a trop vu les mèches de cheveux de Kanagawa s'agiter sous son nez et décide de les attraper. Ça fait un sacré remue-ménage et je parviens à oublier un peu mes maux de crâne et le reste en essayant de décoller mon chaton des cheveux de mon amie. Ça c'est un bon chat qui défend sa maîtresse ça ! Il lui manque que le fruit du démon pour aller avec.

Pour finir mes amies prennent congé après avoir cuisiné pour moi de la bouillie de riz et m'avoir regardé bien manger tout mon bol comme si j'avais quatre ans.

Je retourne dans mon lit, heureuse que leur tintamarre de tambours soit parti avec elles et retourne à mes maux de tête.

Vendredi, 06:23

Pitié, achevez-moi…

Comment on peut être complètement crevée en se couchant et faire quand même une nuit blanche ? Ça me dépasse… Et j'ai bu… J'ai tellement bu… Pourtant j'ai toujours soif ! Ça me rends dingue ! Et pour couronner le tout, le bourdonnement est arrivé jusque chez moi sans qu'il ne s'y trouve personne en dehors de mon chat ! Je jette à peine un regard dans mon miroir que déjà je le regrette.

Envolée la belle jeune fille que j'étais. Je suis pâle à faire peur, mes yeux sont rouges et injectés de sang, j'ai de vilaines grosses cernes sous les yeux.

Mais qu'est-ce qu'il m'arrive ?

J'appelle de nouveau l'école et les parasites sont de pire en pire, de même que j'ai l'impression d'avoir réglé le volume de mon téléphone trop fort. J'explique en vitesse et d'une voix rauque que je ne suis toujours pas mieux et que je ne peux toujours pas venir, raccrochant presque au nez de la secrétaire. Je retourne me couche avec de l'eau, mes médocs et mon chaton. Mais très vite il me casse les oreilles parce qu'il a faim, me forçant à me relever pour le nourrir. Je retourne m'allonger et me force à fermer les yeux. Je finis par sommeiller un peu, pas beaucoup, mais c'est mieux que rien.

Vers le début d'après-midi mon téléphone m'agresse avec sa sonnerie et je décroche surtout pour ne plus l'entendre. Ce sont Kanagawa et Kiriyama qui me disent qu'elles pensaient sortir ce soir et qui me demandent si je ne vais pas mieux. Comme je leur réponds par la négative, elles finissent par décider de laisser le trio de mecs qu'elles ont levé avant de m'appeler et de venir me voir.

Je me lèvre pour faire un peu d'ordre, mais au final, je n'en ai pas le courage. Et mon chaton est une véritable tornade quand je suis à la maison mais que je ne joue pas un minimum avec lui.

Quand je leur ouvre, je suis accueille par un battement de tambour digne d'un métronome, mais ce n'est pas ça qui me surprend le plus. J'ouvre de grands yeux en constatant que j'ai l'impression de sentir ce qu'il se passe dans mes copines. Je sens comme une sorte de flux en elles, comme un courant, difficile à décrire autrement que comme ça. Je reste tellement surprise que je mets plusieurs secondes à les inviter à entrer. Elles sont très surprises du désordre et le premier mouvement est de m'aider à ranger un peu. Mais je suis obligée de m'assoir en moins de cinq minutes. Au contrario, mon chaton est tout fou et court partout pour sauter toutes griffes dehors sur tout ce que mes copines déplacent. Les attaques de Luffy sur tout ce qui bouge nous font toutes au final bien rire. Même si pour moi ce simple rire est d'un volume sonore extrêmement pénible.

Kiriyama finit par me demander si j'ai mangé aujourd'hui et je suis bien forcée d'admettre que non. Elle disparaît donc dans ma cuisine, me laissant seule avec Kanagawa qui joue encore un peu avec Luffy. Je regarde la scène depuis mon lit, souriant doucement. Mais pour finir Kanagawa vient sur le lit avec mon chaton pour que puisse lui faire un câlin. Et elle ne profite pour poser son front contre le mien et me faire signaler que je suis glacée de son avis.

Moi par contre je suis obnubilée par la chaleur qui se dégage d'elle. Je vois le grain de sa peau. Et surtout, j'entends ce tambour battre plus fort encore. Et je vois son cou pulser en rythme…

Boum… Boum… Boum… Boum… Boum… Boum… Boum… Boum…

J'ai une illumination. Ce n'est pas un tambour que j'entends battre, c'est son cœur ! Et ce flux que je sens en elle… C'est…

Je la repousse soudainement, paniquée. Elle retombe hors du lit en criant de surprise et de douleur, tombant sur ses fesses l'air incrédule. Kiriyama arrive en courant de la cuisine et regard la scène d'un air surprise elle aussi. Entre moi qui me plaque contre le mur derrière mon lit, l'air apeurée tirant mes couvertures contre moi et Kanagawa qui est sur le derrière à un petit mètre du lit l'air surprise, elle tire la mauvaise conclusion.

Elle commence à gronder Kanagawa en lui disant qu'elle ne devrait pas profiter que je suis faible pour essayer de me faire des trucs. Moi je suis tellement horrifiée par ce que je crois comprendre que je n'ose pas rétorquer pendant que mon amie se défend et essaie de me faire réagir. Je fini par balbutier que c'est ma faute et que j'ai sursauté après avoir été dans les nuages. Mais après, je trouve tous les prétextes pour chasser mes amies de chez moi et ferme la porte derrière elles.

J'ai eu envie de mordre mon amie ! J'ai eu envie de boire… Son sang !

L'idée même me soulève le cœur et je fini aux toilettes par vomir toute l'eau que j'ai bu ces dix dernières minutes. Ça vraiment un sale goût. Mais je réfléchis aussi beaucoup. Ce n'est pas possible. Je dois être en train de délirer. Je ne peux pas vraiment entendre le cœur des gens et deviner les flux de sang dans leur organisme, ça n'existe pas ! Quand à cette envie de boire du sang… Restons logique, je dois plutôt avoir eu une envie subite de faire un bisou dans le cou à Kanagawa. Bon ce ne serait pas non plus une très bonne nouvelle parce que ça voudrait dire que je suis attirée par Kanagawa… Mais c'est toujours préférable à cette idée débile.

Je finis par retourner me coucher, emportant avec moi une autre bouteille d'eau et mon petit chat qui ronronne.

Oui, il ronronne ! Il ne bourdonne pas !

Samedi, 10:42

Je regarde Luffy qui me regarde aussi agitant sa petite queue. Cette fois je suis en train de pleurer pour de bon.

Boum… Boum… Boum… Boum… Boum… Boum… Boum… Boum…

Ce n'est plus un bourdonnement… C'est un vrai tambourinement. Et j'en distingue chaque battement… Ainsi que des petits flux dans son petit corps…

Pas lui… Tout mais pas ça… Pas lui maintenant…

Je l'ai jeté hors du lit ce matin après ma nuit de cauchemar en réalisant ce qui m'arrivait. J'enfoui ma tête dans mon oreiller mais ça atténue à peine le battement. Et ma soif qui me tord le ventre au point de me donner envie de hurler…

Non, pas mon chat ! Pas Luffy !

J'ai mal, j'ai terriblement mal et je sens mon corps trembler pendant que je continue à pleurer dans mes couvertures sous le regard interrogatif de mon chat. Je fini par sortir de mon lit et aller m'enfermer dans la salle de bain. Au moins ici, il ne peut pas traîner dans mes pattes avec son petit tambour dans sa poitrine.

Je me regarde dans mon miroir et je ne reconnais plus du tout la fille que j'y vois. Ce n'est pas moi. Je ne peux pas avoir cet air affamé. Je ne peux pas avoir la peau si pâle. Je ne peux pas ! Je ne peux pas ! JE NE PEUX PAS !

Je sens la douleur et ensuite je réaliser que j'ai hurlé et enfoncé mon poignée à travers le miroir de ma pharmacie pour fracasser le contenu derrière et casser la seule lumière de la salle de bain.

Mais malgré le noir. Malgré qu'il n'y ait plus de lumière, je vois des yeux. Des yeux rouges dans mon visage. Et je les vois pour la première fois. Blanc et immaculé, acérés comme des couteaux. Je vois l'ivoire de mes crocs dépasser de ma bouche entrouverte.

AU SECOURS ! QUELQU'UN ! N'IMPORTE QUI !
« Modifié: lundi 14 septembre 2015, 15:13:54 par Stephen Connor »
Tous les gagnants ont commencé par jouer avant. Pourquoi est-ce que j'ai perdu sans même m'inscrire ?

Cassidy Green

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Re : À l'aide ! Je ne sais plus ce que je suis !

Réponse 1 mardi 08 septembre 2015, 16:59:10

Bienvenue ;D
Voici mon topic pour découvrir mes autres comptes. Veuillez aussi me contacter sous ce compte pour mes autres personnages, vu que je suis plus souvent connecter avec Cassidy Green qu'avec les autre ;D

Tinuviel Lastrim

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Re : À l'aide ! Je ne sais plus ce que je suis !

Réponse 2 mardi 08 septembre 2015, 17:03:57

Bienvenue pauvre petite.
Rassure toi, ce que tu as n'est pas grave, enfin pas trop mais il te faudra apprendre à gérer tes pulsions.

Amuse toi bien petite vampire

Rin Shibuya

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Re : À l'aide ! Je ne sais plus ce que je suis !

Réponse 3 mardi 08 septembre 2015, 17:17:07

Bienvenue, sosie de moi avec les cheveux longs :3

Akio: [SaddleBrown] Pouvoirs & Chambre
Rin: [MediumOrchid] Pouvoirs & Chambre
Miko: [SeaGreen] Pouvoirs & Chambre

Darthestar

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    Description
    Darthestar est un être d'un bon mètre 95, et il s'agit surement de l'exemple typique de l'homme torturé par sa nature.
    
    Devenu vampire par le biais d'une bien compliquée histoire, il essayes tant bien que mal de dominer son instincts, mais son combat avec lui même le rend parfois instable et maladroit.
    
    Homme contemplatif, il est avant tout un voyageur et n'use de sa puissance que dans les cas les plus extrêmes, y préférant une certaine forme de sagesse.

Re : À l'aide ! Je ne sais plus ce que je suis !

Réponse 4 mardi 08 septembre 2015, 17:51:06

Bienvenue à toi jeune femme...
Et houlà je vois qu'il va surement y avoir besoin d'un peu d'aide en effet !

Darthestar, vampiroïde, serait ravi de vous montrer le droit chemin du vampirisme.
 -  Je vais lui faire peur.
Ta gueule tu m'obéis !


Tsukuda Kanjo

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Re : À l'aide ! Je ne sais plus ce que je suis !

Réponse 5 mardi 08 septembre 2015, 19:18:48

Merci madame Green, merci madame Lastrim, Merci madame Shibuya, merci monsieur... Heu...

Mais je veux pas être un monstre moi ! >_<
Tous les gagnants ont commencé par jouer avant. Pourquoi est-ce que j'ai perdu sans même m'inscrire ?

Akira Warren

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Re : À l'aide ! Je ne sais plus ce que je suis !

Réponse 6 mardi 08 septembre 2015, 19:29:42

Mais je veux pas être un monstre moi ! >_<

Je sais ce que tu ressens, il m'a fallut presque deux ans pour accepter ma nouvelle nature... et accepter que celle qui m'a changée en Vampire était ma nouvelle mère...

Je te donnerais des astuces pour ne pas sauter sur tout ce qui bouge :)

*Lui donne une bouteille de sang*

Tien... Juste le temps que je t'apprenne à ponctionner du sang sans tuer les autres :)

Tsukuda Kanjo

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Re : À l'aide ! Je ne sais plus ce que je suis !

Réponse 7 mardi 08 septembre 2015, 19:31:55

*Regarde la bouteille en pleurant*

Non, c'est pas vrai... Je suis malade c'est tout... Ça passera...
Tous les gagnants ont commencé par jouer avant. Pourquoi est-ce que j'ai perdu sans même m'inscrire ?

Mélinda Warren

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    Petite vampire qui aime mordre des fesses <3

Re : À l'aide ! Je ne sais plus ce que je suis !

Réponse 8 mardi 08 septembre 2015, 19:32:05

Être un vampire n'a rien de monstrueux :o C'est même un très précieux don ^_^

Bienvenue !

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

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Tsukuda Kanjo

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Re : À l'aide ! Je ne sais plus ce que je suis !

Réponse 9 mardi 08 septembre 2015, 19:33:24

Mais j'ai rien demandé moi ! Je sais même pas qui m'a... Rendue malade...

*A peur de retourner dans son salon, ne veut pas faire de mal à son chat.*
Tous les gagnants ont commencé par jouer avant. Pourquoi est-ce que j'ai perdu sans même m'inscrire ?

Akira Warren

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Re : À l'aide ! Je ne sais plus ce que je suis !

Réponse 10 mardi 08 septembre 2015, 19:34:55

M'man, j'crois qu'il faut l'adopter elle aussi... l'inviter à rejoindre le clan, avant qu'elle fasse des bêtise et ne perde le contrôle... =O

Tsukuda Kanjo

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Re : À l'aide ! Je ne sais plus ce que je suis !

Réponse 11 mardi 08 septembre 2015, 19:36:03

Quoi ? Mais j'ai déjà des parents moi !
Tous les gagnants ont commencé par jouer avant. Pourquoi est-ce que j'ai perdu sans même m'inscrire ?

Sya

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Re : À l'aide ! Je ne sais plus ce que je suis !

Réponse 12 mardi 08 septembre 2015, 19:38:17

Sya sera là pour t'aider et jouer avec toi si tu veux :3

Welcome ^^

Mélinda Warren

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    Petite vampire qui aime mordre des fesses <3

Re : À l'aide ! Je ne sais plus ce que je suis !

Réponse 13 mardi 08 septembre 2015, 19:38:59

Tu as des parents, il te faut une Maîtresse, maintenant :P

DC d’Alice Korvander.

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Tsukuda Kanjo

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Re : À l'aide ! Je ne sais plus ce que je suis !

Réponse 14 mardi 08 septembre 2015, 19:39:48

Heu... Merci Sya... Mais je pense que je risque de te faire du mal...

De quoi une maîtresse ? Une prof ?
Tous les gagnants ont commencé par jouer avant. Pourquoi est-ce que j'ai perdu sans même m'inscrire ?


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