Loin de ces considérations ? Argos de son coté avait préparé l'arrivée de sa femme. La maison avait été remise à l'état neuf. Le personnel d'entretien avait du se résoudre à faire des efforts surhumains en une journée seulement. Mais Argos voulait que tout soit parfait.. il ne voulait pas laisser une chance à Saori de trouver quelque chose à redire.Car il savait qu'elle ne lui ferait aucun cadeau.
Argos s'était plus à imaginer les adieux déchirants avec son époux. Cette situation ils l'avait tous deux provoquer par leur comportement.Il fallait toujours payer le prix de ses erreurs. Argos n'avait pas vraiment de pitié. Pourquoi en avoir ?Athéna avait renié son statut de déesse pour vivre en tant que simple humaine. Elle savait que ce n'était pas possible à long terme. Quant à Seiya il avait tué bon nombre de Dieux. Là aussi la sentence devait survenir. Non, même en y repensant, il ne comprenait pas comment ils avaient pu penser que tout se calmerait comme cela. Ils avaient été stupides et naifs.
Attendant le retour de xon chauffeur, Argos avait enfilé une tunique blanche semblable à celle que les gens portaient dans la grèce antique. Ne portant rien en dessous, il avait aux pieds des sandales ouvertes. Portant toujours les boucles d'oreilles et le pendentif symbole de son rang, il avait dans son «écrin les deux alliances. Il les avait laissé pour le moment dans le tiroir . Inutile de forcer les choses, de toute façon, la bataille était gagnée maintenant. Il pouvait savourer et disposer du butin à sa guise.
Lorsqu'enfin il entendit la voiture, il sortit sur le pas de la porte. Ce qui était frappant avec ce jeune homme de 20 ans, c'était la froideur de sa beauté. Ses cheveux blonds toujours coiffés en catogan, il avait les traits juvéniles et le regard bleu azur. Le coprs bien bati, il était beau mais il lui manquait quelque chose qui le rendait finalement vide et froid.
« Ma chère fiancée »
S'avançant vers elle, il posa un genou pour lui baiser la main. Ce geste était empreint d'un respect qui ne collait pas avec le personnage. Mais il n'en avait pas vraiment cure en ce moment
« Vous etes superbe »
Alors que le personnel de la maison emportait les bagages pour les emmenais dans la chambre du couple, il la prit par la main et remarqua les papiers du divorce dans l'autre. Il ne dit rien, se contentant de sourire. Inutile d'en remettre une couche finalement, il n'avait plus aucun intéret de remuer le couteau dans la plaie. Elle allait devenir sa femme .
« Laissez moi vous montrer votre chez vous »
la faisant pénétrer dans le hall, il y avait à la gacuhe un immense salon avec toutes les commodités d'usage. Juste à coté, il y avait la salle à manger avec une vue imprenable sur l'horizon de la mer et une magnifique terrasse accompagnée d'une piscine.
« Voici les deux plus belles pièces de la maison »
La tenant toujours par la main, il la guida de l'autre coté du couloir à présent
« C'est ici que sont les cuisines. Mais en principe le personnel se chargera de tout et vous n'aurez qu'à y aller que pour des demandes spécifiques.Il y a aussi un peu plus loin la buanderie et surtout une salle de jeu immense pour les enfants »
Difficile de savoir s'il parlait de ceux qu'elle avait déjà ou de ceuc qu'il désirait avoir. L'attirant maintenant vers l'étage, il arrivèrent sur un palier avec trois portes à gauche et deux à droites.
« La première à gauche donne sur les toilettes. Il y en aussi en bas près de la buanderie. La deuxième à gauche donne sur une chambre plutot confortable et la dernière sur la salle de bain. »
Il marqua une pause, il la tenait toujours par la main. Sa tête se tourna vers la droite à présent
« la première sur la droite donne sur une autre chambre. Plus grande que l'autre. Il y aussi deux chambres dans le grenier amménagé. Mais surtout, la deuxième porte donne sur notre chambre ma chère et tendre »
L'amenant devant, il ouvrit la porte et la laissa passer devant lui.La chambre était magnifique avec un grand lit et là aussi une terrasse splendide qui donnait sur la mer.
« Il y a une salle de bain intégrée derrière cette porte »
Il l'avait indiqué du regard. Il y avait aussi un magnifique coin salon avec une table en verre entre les divans. Se dirigeant vers la terrasse, il déboucha une bouteille de champagne gardée au frais sur une autre table ? Servant une coupe, puis deux, il revint vers Saori qui sans doute l'avait rejoint sur sa terrasse. Lui tendant son verra il lui sourit
« je sais que vous me méprisez Athéna.mais je me fais fort d'être un mari exemplaire pour vous et de vous traiter avec tout le respect qu'impose votre fonction. Votre père et vos smblables étaient ravis d'apprendre que vous aviez consenti à être plus malléable avec leurs attentes. Ils vous en remercient. Je sais que la séparation sera dure pour vous et c'est pour cela que j'ai obtenu que nous attentions un peu avant le mariage. Vous aurez le temps de digérer. De même vous aurez le droit de voir vos enfants à votre guise, même ici s'il le faut,tant que votre ex mari n'est pas là bien sûr »
l'invitant à trinquer, il but une gorgée avant de se retourner et de saisir sur la table une petite boite contenant une bague. Saisaissant la main droit de Saori, il glissa le magnifique bijou au doigt prévu à cet effet.
« Vous voila ma fiancée. Et bientot ma femme »
Buvant une autre coupe, il lui prit les deux mains et plongea ses yeux bleus glacial dans ceux de Saori
« Il va sans dire que j'attends de vous que vous acceptiez mes caresses et mes avances. Vous êtes ma future femme et moi votre futur mari. Nous sommes également fiancés. Etant donné que vous avez déjà été marié, nous pouvons sans crainte déjà partager le même lit. Je vous ho,orerais comme vous le méritez Athéna. Et je ne doute pas que nous aurons rapidement une magnifique descendance. Vous êtes une mère pârfaite. »
Déposant les deux coupes sur la table, il l'amena contre lui, d'un mouvement brusque et net. Lui caressant les cheveux d'une main, il vint déposer un baiser sur ses lèvres, venant chercher la langue de sa fiancée pour la mêler à la sienne et jouer avec elle. Tout contre lui, Saori aurait pu sentir le debut d'une bosse sur l'entrejambe.