Si un jour Aemiliane savait que le plus grand secret de son héroïne allait lui être révélé … Elle ne l’aurait jamais cru. L’identité de Spider-Woman, la femme qui se cachait derrière le masque. C’était d’ailleurs un excellent sujet de dissertation … Est-ce qu’en fin de compte, Aemiliane aimait simplement le costume, le personnage que représentait Spider-Woman … Ou bien aimait-elle, au fond, la femme derrière ? Si d’emblée on pouvait penser qu’il était logique de croire que la scientifique aimait cette femme, la réalité n’était pas aussi simple que cela. Pourquoi Aemiliane aimait tant cette héroïne ? Car elle était … Un modèle à ses yeux. Et parcequ’elle avait vu en elle bien des choses, tel que la bravoure, le courage, etc. C’était grâce à elle qu’elle n’était pas tombée dans la dépression, ou dans une autre spiral psychologique infernale. Quand elle affirmait que Spider-Woman lui avait sauvé la vie, c’était donc au sens propre du terme.
Mais était-ce le personnage, ou la femme se cachant derrière ce masque ? Jusqu’à présent, Aemiliane ne s’était jamais posée la question. Car elle ne dissociait pas les deux. Pour elle, naturellement, Spider-Woman et cette femme était juste la même personne. Mais elle se rendait petit à petit compte qu’il fallait dissocier les deux. Spider-Woman était une superhéroïne, pas une étudiante. En revanche, la jeune femme portant ce costume était une étudiante … Mais à présent, c’était aussi une héroïne. Ce soir avait appris des choses à Aemiliane, notamment sur cette femme qui était unique. Ainsi, lorsqu’elle l’embrassa à nouveau, son cœur s’était mis à battre tellement fort que sa poitrine oscillait. Elle aimait à la folie Spider-Woman, et maintenant, elle aimait aussi fort la porteuse du costume … Qui révéla alors son secret. Le plus beau et le plus précieux des cadeaux que l’on pouvait faire à une fan comme Aemiliane. Sans voix, elle s’écarta quand son idole la repoussa un peu, puis resta sans voix alors qu’elle retira son masque.
Muette, complètement tétanisée face à cette révélation, son regard contempla son visage, son vrai visage pour la première fois. C’était un peu le choc émotionnel, mais elle finit par revenir à la réalité, quand elle lui révéla aussi son prénom. Ce qu’elle dit par la suite plu encore plus à Aemiliane, qui commença à sentir une certaine chaleur se déclarer entre ses cuisses. L’ingénieure s’approcha à nouveau de son idole, qui était toute nue à présent. Son regard, grand ouvert et présentant une lueur d’émerveillement, la fixait sans en démordre. Finalement, la jeune femme glissa lentement ses mains sur ses épaules, puis les fit dériver sur son cou pour finalement caresser des plus doucement ses joues. Elle pouffa un rire cristallin, avant de prendre la parole. « Tu es … Tu es … Tu es mille fois plus belle que ce que je pensais Jessica ! » Dit-elle de sa voix très enthousiaste, avant de déposer un furtif baiser sur ses lèvres. « Et si tu savais … Moi aussi j’ai vraiment envie de te faire l’amour … Plus que tout au monde. » Lui susurra-t-elle alors que son visage était collé au sien.
Ses mains continuèrent à cajoler ses joues toute chaudes, alors qu’elle partit l’embrasser à nouveau. Cependant, elle ne fit pas durer le baiser, car comme elle venait de le dire, elle avait furieusement envie de lui faire l’amour désormais. Les bisous c’était certes très agréable et bons, mais ça ne faisait pas tout. Ainsi, elle posa ses mains sur ses épaules puis elle pressa légèrement, comme pour lui faire signe de reculer. En fait, elle l’incita à venir s’asseoir sur le canapé. Quand elle fut en place, Aemiliane se posta devant elle, et lui affichant son plus beau des sourire, commençant à se dévêtir complètement. Retirant d’abord son pantalon, elle se retrouva rapidement en sous-vêtements. Elle portait un soutien-gorge, une culotte, et des collants. Tous à l’effigie de son idole favorite. En se dandinant, mimant un petit jeu de strip-tease, Aemiliane dégrafa son soutien-gorge, laissant alors sa belle et ferme petite poitrine se révéler. S’en suivit de sa culotte … Qui révéla à son tour une féminité des plus douce et entretenue, ne présentant aucune ombre de pilosité à l’horizon. Quant à ses collants … Elle les conserva, étrangement.
« Passons à la meilleure partie maintenant ! » Déclara-t-elle, une fois nue. D’un pas malicieux, elle vint prendre assise sur les genoux de son amante et enroula ses bras autour de son cou. Elle lui asséna un énième baiser, qui se voulut extrêmement langoureux et mouillé. Elle le fit durer un certain temps, savourant chaque centimètre de la bouche de Jessica, avant d’écarter son visage en douceur. Ses mains caressèrent ses délicates épaules, alors que sa bouche l’embrassa au niveau de sa joue, puis de mâchoire, avant de descendre à son cou. Là, elle y déposa d’innombrables baisers tous les plus ardents les uns que les autres. Ses mains délaissèrent ses épaules pour venir tendrement s’éprendre de sa chevelure, qu’elle jalousait presque tellement était-elle belle et incroyablement bien entretenue.
Finalement l’ingénieure eut une idée, qu’elle mit en application dès l’instant. Après avoir couvert le cou de son amante de baisers, elle redressa sa tête puis courba doucement l’échine pour offrir sa poitrine à Jessica. « Lances-toi Jessica, n’ai pas peur … » Lui dit-elle doucement, caressant tendrement ses cheveux tout en appuyant doucement, pour l’inciter à venir gouter à ses seins tout juvéniles.