Dans la grande douche, Miranda et Hannah pouvaient se faire mutuellement plaisir, même si, en l’état, et comme très souvent, c’était Hannah qui était occupée. Après leur séance en compagnie de tous ces hommes, on aurait pu croire les femmes épuisées, mais ce serait mal les connaître. Miranda était une Forge, et, par nature, les Forge étaient des personnes inépuisables, pleins d’ardeur et de vigueur. Quant à Hannah, il n’était, foncièrement, pas faux de la décrire comme une sorte de « [|i]super-assistante[/i] », car elle avait été formée depuis son enfance. Elle avait été conçue et pensée pour être la femme qu’elle était actuellement, pour assister Miranda dans toutes ses tâches. C’est ce qui rendait Hannah si merveilleuse, et qui conduisait parfois Miranda à voir en elle sa fille. Hannah était le fruit d’un programme très compliqué, une réussite parfaite, la preuve que le programme GeoHuman avait réussi.
À genoux, elle suçait donc son mandrin, et Miranda s’appuyait contre la porte vitrée, en sentant sa queue grossir et enfler, retrouvant, au bout de quelques succions, sa rigidité habituelle. Une longue queue élancée, dure et grosse, pendant que l’imperturbable Hannah continuait à la sucer, retirant parfois sa bouche pour déposer une série de baisers sur son sexe. Son vit brûlant retournait ensuite s’enfouir en elle, et Miranda posait ses deux mains sur les cheveux de la femme, soupirant longuement. Hannah y allait de plus en plus fort, et Miranda se sentait frémir, jusqu’à ce que les mains d’Hannah aillent se poser sur ses fesses, les malaxant.
« Haaaa… Hmmmm… Petite… Petite catin, haaa… !! »
Infatigable, Hannah continuait à pomper son dard, et les mains de la PDG se posèrent sur ses cheveux, se crispant dessus, veillant ainsi à l’immobiliser, l’empêchant de trop remuer, tout en multipliant, à son tour, les coups de butoir. Sa trique s’enfonçait en elle, filant dans son corps, d’avant en arrière, la faisant gémir. Petit à petit, c’était Miranda qui inversait les rôles, en multipliant les coups, en baisant cette belle petite bouche d’amour, sa queue allant régulièrement taper contre le fond de sa gorge, et s’y maintenant même. Ainsi, et de cette manière, Miranda immobilisait Hannah, la soumettant à son propre désir, sans que la jeune femme ne puisse faire quoi que ce soit. Elle se contentait de devoir subir les assauts énergiques de sa Maîtresse, tout en serrant ses mains sur son cul.
« Hnnnn… Hnnnn… Hnnnn… !! »
C’était désormais Miranda qui avait pris les rênes de cette séance. Elle se crispait sur la douce chevelure d’Hannah, et filait en elle, d’avant en arrière, défonçant sa belle bouche, la contraignant à devoir suivre. Yeux clos, Miranda soupirait de plaisir, son cœur remuant joyeusement dans sa poitrine. Encore et encore, la femme continuait à la prendre, sans relâche, avec une ardeur renouvelée, son corps s’en couvrant de plaques rouges.
Au bout de plusieurs minutes, l’érection de Miranda atteignit le point critique, et, dans un ultime soupir, elle se déversa en elle, répandant son sperme dans sa bouche, jouissant généreusement. Elle relâcha dans la foulée la tête d’Hannah, et, après l’ultime mouvement, le corps d’Hannah en partit à la renverse, tombant sur le sol. Respirant lourdement, Miranda papillonna des yeux, et, jambes écartées, se tenait face à elle.
« Relève-toi, ma petite Hannah… Plaque-toi contre la vitre… »
Pas de repos pour les braves, et Miranda la laissa se placer. Collée comme ça, elle était appuyée sur la porte vitrée, et Miranda alla vers elle. Son sexe avait légèrement perdu de sa vigueur, mais était toujours, malgré tout, très raide. La belle femme blonde se glissa dans son dos, et caressa ses hanches, tout en l’embrassant dans le cou, mordillant sa peau, caressant avec son sexe trempé, recouvert de salive et de sperme, le cul de la femme. Elle se frottait ainsi très sensuellement contre elle, jouant encore avec son cou.
« Tu as vraiment un corps parfait, Hannah... Je vais adorer te violer contre cette vitre… Pas toi, ma petite salope ? »
Elle parlait sur un ton affectueux et savoureux, mais qui trahissait toute sa perversion, au fur et à mesure que son sexe se frottait contre son corps, s’enfonçant contre son petit cul.