Le fantasme très particulier de Padmé surprit bien évidemment Hannah, mais elle sut rapidement s’y adapter, et y répondre. Miranda, elle, venait à son tour de s’asseoir, et, comme toutes les autres personnes assises autour de la table, elle observa le spectacle… Le spectacle fascinant d’une femme léchant sensuellement une autre femme. Kaorin avait toujours aimé qu’on la lèche, sans que Miranda n’y trouve d’explications particulières… Mais un fantasme avait-il besoin d’une explication pour exister ? Il est, tout simplement, et celui de Padmé était loin d’être choquant. Miranda connaissait LaBelle, et elle savait qu’Hannah, malgré tout le conditionnement qu’elle avait reçu, et l’obligation formelle qu’elle avait de satisfaire les désirs de sa Maîtresse, avait aussi ses propres pulsions. C’était quelque chose d’humain, et Miranda n’avait aucune envie de le lui enlever, car c’était là tout ce qu’elle avait jamais voulu créer : un être humain. Un être humain parfait, car c’est ce que Hannah était. La perfection, selon les critères exigeants des Forge. Comment ne pas l’aimer ? Elle était sa domestique, et elle avait pleinement conscience de sa chance. Hannah couchait avec une Sénatrice, elle offrait son corps aux puissantes de ce monde. Comment s’en lasser ? Comment ne pas éprouver la plus sincère et la plus profonde des attirances pour Padmé ? La Sénatrice avait un corps magnifique, une silhouette de rêve, et Hannah prenait plaisir à la lécher.
Padmé, elle, soupirait et gémissait, se frottant contre Hannah. Elle sentait les talents buccaux d’Hannah, et sa main empoignait et caressait ses cheveux. Hannah alternait entre baisers et léchouilles, sur le corps de Padmé, et sentir sa langue frotter ses joues, mais surtout ses lèvres, excitait follement Padmé. Sa langue filait sur tout son visage, Hannah alternant les coups de langue avec de tendres et sensuels baisers, déposant ses lèvres sur son visage, sur sa parfaite peau de bébé. Ses joues, son nez, ses yeux, son menton, son front… Tout y passait, et, plus Hannah agissait, plus ses lourds seins frottaient ceux de Padmé. Allongée sur la table, la Sénatrice gémissait et haletait, ses mains se serrant et se crispant sur les hanches de l’esclave. Hannah se faisait plaisir, et Miranda était loin d’être insensible à ce spectacle, ce qui amenait ses doigts à effleurer les boutons de la télécommande réglant l’appareil qu’elle avait sous ses vêtements. Elle pouvait appuyer afin de déclencher les vibromasseurs, et ainsi soulager la belle Hannah, dont elle imaginait la frustration sous de si lourds vêtements.
*Et je sais que tu en as envie, Hannah, je le ressens, car je te connais mieux que personne…*
Plus personne ne parlait, désormais, car la Sénatrice était une femme importante, et, de fait, la voir être ainsi léchée, l’entendre soupirer et gémir, de sa belle voix fluette et douce, était un régal certain. Hannah subissait régulièrement les excentricités sexuelles de Miranda. Femme puissante et délurée, Miranda considérait que l’une des expressions les plus pures du pouvoir était la capacité d’avoir des relations sexuelles quand bon lui semble… Il était ainsi fréquent qu’Hannah soit sa partenaire privilégiée pour les petits jeux pervers et osés de Miranda, des jeux qui, en d’autres circonstances, et surtout si elle avait été une autre personne, lui auraient assurément valu d’être incarcérée. Elle hésitait donc à enclencher les vibromasseurs, préférant pour l’heure laisser ce spectacle visuel, et presque artistique.
En tout cas, c’est ce que Padmé se mit à penser en voyant Hannah sucer sa main. La manière dont sa langue sortait pour lécher ses doigts, dont elle baisait sa paume, avait, à ses yeux, quelque chose de profondément artistique. Une magnifique rougeur perlait sur ses belles joues pâles et blanches, exprimant tout le désir que la Sénatrice ressentait. Coincée contre Hannah, sentant ses jambes serrer son corps à hauteur de la taille, elle remuait ses doigts dans la bouche d’Hannah, et déplaça son autre main pour empoigner et malaxer l’un de ses seins… Ce qui lui permet de sentir, sous les vêtements de la majordome, des sous-vêtements assez complets… Néanmoins, le fantasme de Padmé étant comblé, elle n’eut guère l’envie d’embêter Hannah avec ça, et déplaça donc sa main, venant caresser ensuite l’une des joues de la belle esclave.
« Hunn… Miranda, votre majordome est… Est fabuleuse…
- N’est-ce pas ? répliqua Miranda. Et, pourtant, Hannah n’a aucune véritable expérience dans ce que vous lui avez demandé de faire… Or, je suis convaincue qu’elle est plus douée que la plupart de vos esclaves, et j’entends bien celles que vous avez formé depuis des années à lécher votre corps magnifique…
- Haaaannn… »
Hannah continuait à s’approprier le corps de la Sénatrice, et finit par retourner cette dernière, puis tira très légèrement sur son décolleté, dévoilant sa ronde et tendre poitrine. Comme le reste de son corps, ses seins étaient magnifiquement proportionéns en fonction de son poids et de sa taille. Les cliniques esthétiques étaient très bien équipés, effectuant quantité de scans pour ceux qui demandaient le traitement le plus élevé. Pigmentation et coloration de la peau, masse corporelle, forme globale du corps en fonction de la taille, de l’âge, du poids, adoucissement de la peau… Tout était prévu dans des programmes très complets, destinés à doter le corps de ceux qui y allaient de l’apparence la plus belle qui soit. Miranda y avait eu droit, Hannah aussi, et Padmé également, bien évidemment.
La majordome finit ainsi par s’attaquer à ses seins, et Padmé soupira, agrippant les cheveux d’Hannah d’une main ferme et assurée. Ses seins pointaient, et la langue d’Hannah, joueuse, continua à filer sur son corps, alternant entre ses seins et sa peau, allant par exemple se fourrer dans l’espace creux qui se formait entre les seins de Padmé. La Sénatrice sentait clairement qu’Hannah aimait se fourrer ici, remuant sa tête pour se frotter contre ses seins, ce qui conduisit la Sénatrice à se demander si, pendant la période où Hannah avait été formée par Miranda, elle n’aimait pas se nicher contre ses seins.
« Vas-y, ma belle, vas-y… Continue à me lécher, continue, hummm… Tu es si douée, ma belle Hannah, si douée… Ah, je te prendrais volontiers, si tu n’étais pas si attachée à Miranda ! »
Les spectatrices alentour étaient loin de rester calmes, notamment Elena, qui avait une furieuse envie de faire l’amour. Son regard croisa celui de Miranda, et cette dernière lui sourit légèrement. Elle appuya alors sur la télécommande, et les vibromasseurs commencèrent à s’activer, remuant dans le vagin d’Hannah ainsi que dans son fondement… Et Elena Jun les rejoignit alors. Elle se glissa sur le rebord de la table, et vint caresser les fesses de la majordome. On pouvait lire un désir fort dans ses yeux, vibrant et intense, et ses mains palpèrent donc les fesses de la majordome, remuant dessus.
« Vous êtes tellement belles, toutes les deux… »