Padmé se délectait de cette situation. La souffrance de cette femme était quelque chose de palpable, de visuelle, et elle était, tout simplement, merveilleusement jouissive. La Sénatrice, espiègle, et volontiers cruelle, s’amusait à jouer avec son mandrin. Sa langue filait dessus, ses baisers se multipliaient, et elle frottait même son visage. C’était, pour elle, un fantasme, un objet de désir. Cette belle queue tendue, dure comme une sucette, un solide vit sur le point d’exploser, était un objet magnifique et merveilleux. De fait, sentir la souffrance de cette femme avait aussi quelque chose de profondément jouissif. Padmé était ainsi, une belle femme qui adorait frustrer ses propres esclaves. Elle adorait les voir se tortiller quand elle se refusait à elles, quand elle faisait l’amour avec d’autres, leur offrant pendant des heures et des heures, alors qu’elles étaient attachées, le spectacle de son corps en train de remuer et de se faire prendre. Chez Padmé, le sexe était une sorte d’ode à la beauté, à la joie, mais aussi à la perversion et à la souffrance. Elle faisait presque l’amour de manière esthétique, avec ce corps parfait qu’elle avait… Et, quand elle relâchait les esclaves qu’elle frustrait pendant des heures… Oh ! Il n’y avait aucun mot pour décrire ce qu’elle ressentait quand ses esclaves, oubliant toute bienséance, se ruaient sur elle pour la défoncer violemment et brutalement.
Avec Hannah, Padmé était ravie de voir sa résistance, et Miranda l’était tout autant. C’était une grave erreur de négliger l’importance du sexe à Tekhos, que ce soit dans les interactions sociales classiques, ou même dans les relations d’affaires. Le sexe était quelque chose de fondamental à Tekhos, et Miranda avait pour habitude de considérer qu’un contrat d’affaires ne se concluant pas par une sauterie mutuelle n’était pas vraiment réussie, et qu’il manquait quelque chose entre les cocontractants. C’était en suivant cette logique perverse qu’elle avait doté certains de ses bureaux et agences, comme GeoLaw, son cabinet d’avocats, d’esclaves sexuels issus du Programme GeoSlave. Elle était donc ravie de voir la résistance d’Hannah. Tant que Padmé ne lui donnerait pas l’ordre de jouir, et aussi horrible que ce soit, elle se refuserait à le faire. Autrement dit, toutes les femmes présentes autour de la table pouvaient voir la grande résistance sexuelle de cette femme, sa capacité d’obéissance, même dans une situation où tout était fait pour qu’elle désobéisse. Bras croisés, Miranda avait sciemment évité de se mêler à cette situation, afin de bien démontrer qu’Hannah était servile envers quiconque devenait sa Maîtresse… Fort heureusement, les quelques regards coulissants d’Hannah vers Miranda, loin de la desservir, n’avaient fait que l’idée. Les applications possibles de GeoHuman transparaissaient déjà : quelle Tekhane stérile ne serait pas prête à payer pour avoir un beau petit bébé issu de GeoHuman, dont toutes les caractéristiques pourraient être définies très précisément à l’avance ? GeoHuman offrait la possibilité d’aller plus loin que ce que la Nature permettait, et c’était bien pour ça que Miranda tenait énormément à ce programme, qu’elle considérait comme étant intrinsèquement liée à GeoWeapon Corp., et, au-delà de ça, comme un moyen d’évolution de la société, voire de l’humanité elle-même.
Padmé continuait donc à jouer, et finit par se redresser. Ses mains caressèrent les seins d’Hannah, s’appuyant dessus, et elle lui mordilla le creux de la nuque.
« Hum… Si tu étais mon esclave, je continuerais à te faire souffrir, juste pour e voir pleurer, et te voir devenir folle… »
Elle lui mordilla donc la peau, et embrassa sa joue, rapprochant ensuite ses lèvres de sa bouche, pour un tendre et sensuel baiser, horrible par sa lenteur et par sa douceur, alors que tout le corps d’Hannah réclamait de la violence et de la passion. Padmé savait ce qu’elle faisait. Elle remuait de haut en bas, frottant son corps contre le sien, sentant une grosse queue qui s’enfonçait dans son ventre, comme une lance de chair prête à craquer.
La Sénatrice lécha alors à nouveau ses lèvres, en se redressant un peu.
« …Mais tu n’es pas mon esclave, Hannah… Alors, tu vas pouvoir faire jouir, ma chérie… Mais il faudra que tu jouisses très, très fort, d’accord ? Je veux sentir ton foutre me remplir mon bel estomac… Sinon, c’est que je ne t’aurais pas fait assez souffrir, et que, la prochaine fois, je te souffrirais jusqu’à ce que tu pleures, jusqu’à ce que tu approches de la folie, tant ton corps voudra jouir… »
Oh, Padmé connaissait bien le sexe… Elle se redressa donc, et tourna alors la tête vers Elena, venant caresser ses cheveux.
« Tu aimes bien mon cul, toi, hein ? Petite salope… Je vais finir par croire que Miranda vous recueille pour ça… »
Elena se redressa en souriant, et se nicha dans le dos de cette femme, ses mains venant pétrir ses seins.
« Il faudrait être folle pour passer à côté de l’occasion de goûter à votre insolent petit cul, Sénatrice… »
Tendant une main en arrière pour caresser l’une des joues d’Elena, Padmé tourna la tête vers elle, soupirant dans ses oreilles.
« Tu n’auras qu’à venir chez moi un soir, si tu apprécies tant le fait de lécher mon corps… Mais, pour l’heure, je vais m’occuper de cette pauvre Hannah… »
Elena esquissa un sourire, et la belle comptable s’écarta. La Sénatrice s’humecta ensuite les lèvres, puis se redressa… Le membre turgescent d’Hannah frottait en ce moment ses fesses, et elle se releva donc… Puis guida son trou vers sa verge… Et, enfin, après tant d’attente pour la pauvre Hannah, elle s’empala dessus en soupirant longuement.
« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA… !! » soupira-t-elle longuement.