Jouer de la sorte était une torture pour moi. Décidément, elle réveillait en moi des désirs et des envies que jamais je n'aurais pensé réel. Comme dit plus tôt, si nous étions du genre sentimental, pour sûr que je l'aurais demandé en tant que petite copine. Au moins, en tant que polymorphe aux mille et une formes, on peut être sûr que jamais je n'aurais été lassé lors de nos actes passionnels. Sourire aux lèvres, je m'occupais d'elle en tentant d'occuper chaque parties de son corps. Sa poitrine, son anus et sa fente. Pour l'heure, m'amusant avec son bouton d'or, je voulais lui arracher de profond soupirs d'aise. Elle je ne m'arrêterais pas tant qu'elle n'aura pas crier de plaisir au moins une fois. " Peine le glaçon " ne me laissait pas indifférent. Bien au contraire, sa froideur naturelle m'excitait au point d'en vouloir toujours plus.
Mes lèvres aspirant délicatement cette boule rose, je laissais ma langue titiller la chose. Durant ce laps de temps, un de mes doigts allait aussi titiller son anus. Rien de bien méchant, mon index faisant le tour de celui-ci comme pour le délimiter, puis parfois, dans un mini instant taquin, j'appuyais sans faire pénétrer le doigt. Après un moment à stimuler ces endroits, je me sentais prêt pour la suite. Surtout que d'après ses dires, j'avais carte blanche. J'étais le dominateur sans être le dominateur. Je pouvais faire ce que je voulais et elle, elle me donnerait son avis. Parfait donc.
Diantre que le plaisir de la mordre aurait été un summum. Mais ceci restera un simple fantasme. Ne pas y avoir accès n'était pas la mort non plus. Je vins délicatement retirer ses jolis collants et les mettre au sol. Ses cuisses dévoilées, il ne restait plus que son string quasiment en place. Me délectant de la vue plus qu'avantageuse, je vins saisir une cuisse et laisser traîner mes lèvres dessus. Sa peau était douce, mille fois trop douce même. J'en étais ivre. Quel contact délicat. Certains se seraient amusés à lécher les pieds ou autre, mais ce genre de fétichisme n'est pas mon domaine. Je préfère rester dans le quelque peu classique. Ainsi donc, l'admirant, je revins prendre le dessus. Ses lèvres étaient un délice et c'est donc sans trop de surprise que je vins respirer ce parfum qu'elle dégageait.
" Hmmm "
D'un coup, je vins l'embrasser avec une grande fougue. Mes lèvres se collant aux siennes, je laissais ma langue valser avec la sienne dans une danse enflammée. Une fois ce balet terminé, je me léchais les lèvres avant de finalement descendre un peu plus. Après sa bouche, sa poitrine. Ni une ni deux, je massais celle-ci avec une certaine intensité sans trop l'écraser.Après tout, c'est sensible. Que ce soit petit ou gros d'ailleurs. Mes lèvres englobaient chacun de ses tétons à tour de rôle, puis ma langue faisait son petit manège pour les titiller encore et encore. Une fois dressés s'ils l'étaient, je me retirais sourire aux lèvres.
" Délicieux... J'aurais presque envie d'être un bébé pour en profiter quand bon me semble kr kr "
Lui faisant un clin d'oeil, dans un instant de pure douceur, je vins passer mes doigts sur sa joue. Cette seconde qui passait avait presque un air de romantisme. Mais justement, je voulais jouer sur la sauvagerie et la douceur. Ainsi donc, après tant de douceur, il était temps de la surprendre un peu. Descendant lentement une main, celle-ci vint retirer avec une certaine rapidité son string. Le laissant juste au niveau de sa chevlle droite, il ne tenait qu'à elle de le laisser tomber via un mouvement de jambe.
Ma main vint se plaquer contre son intimité et sans attendre, deux doigts s'enfoncèrent en elle. Bien entendu, la pénétration était douce, mais une fois en elle, mes doigts commençaient à la masturber en bonne et due forme. Le sourire carnassier aux lèvres, je me délectais de la vue de son corps, je notais chacune de ses réactions, puis finalement, je me décidais à me faire plus taquin. Lentement, je me retirais et vins lécher mes doigts avec une excitation certaine.
M'abaissant entre ses cuisses, avec douceur, je posais mes mains sur son fessier et le relevais très légèrement. Venant embrasser son fessier si bien formé, je fermais les yeux alors que ma langue venait parcourir ces monts de chaire. Puis après un petit moment, je m'en allais même découvrir ce second trou que peu osent affronter. Ma langue y faisait quelques vas et viens jusqu'à finalement revenir sur le premier plus chaud et délicat. Je n'avais pas honte de toucher certaines zones à vrai dire. Ma langue n'attendait plus et vint s'incruster en elle. Ses lèvres humide et chaudes étaient si délicieuse, je m'enfonçais dedans comme dans du beurre. Quant au goût... Subtile, à croire que s'était sucré. Je fermais les yeux, dans l'objectif de lui offrir un cunnilungus comme jamais elle en a eu.
Quant à mon index de tout à l'heure, cette fois-ci, le petit coquin s'en allait titiller sa seconde fleur de manière plus intime, entrant millimètres par millimètres.